Sydney Sweeney details preparation to play female boxer

At Friday’s premiere of “Christy,” a gritty biopic of US female boxing pioneer Christy Martin, the film’s star Sydney Sweeney declined to address her recent jeans ad controversy that caused a firestorm online.But she was prepared to talk about her waistline, namely how she gained weight to transform her appearance for a role that could make her an Academy Award contender.”A lot of Chick-fil-A, a lot of Smucker’s, a lot of milkshakes, a lot of protein shakes,” Sweeney told an adoring crowd following the world premiere at the Toronto International Film Festival.”I trained three times a day, every day.”The film recounts a life that director David Michod described as “incredible.””Particularly incredible that I’d never heard it before” until working on the film, he said after the premiere. Christy Martin, 57, was born Christine Salter in the US state of West Virginia, the daughter of a coal miner.In the late 1980s she started boxing, gradually becoming the sport’s first true female star, backed at times by iconic boxing promoter Don King.The film addresses her efforts to suppress her sexuality as a young woman and the abuse she suffered from her trainer and eventual husband Jim Martin, played by Ben Foster.Martin stabbed and shot his then-wife and remains in prison over her attempted murder.Foster said he was “curious” about meeting Jim Martin when preparing for the role, but ultimately decided that would be “disrespectful,” instead shaping his performance around the issues of “coercive control and domestic violence.””Her story deserves to be told,” Sweeney said of the fighter, who has resumed using her maiden name, Salter.”It was incredible being able to completely embody such a powerful woman,” Sweeney said. Ahead of the premiere, the Emmy-nominated actress — best known for roles in the series “The White Lotus” and “Euphoria” — dodged questions about the internet meltdown triggered by her ad campaign for the clothing brand American Eagle.Some social media users were outraged, saying the wordplay of the tagline “Sydney Sweeney has great jeans,” coupled with the actor’s blue eyes and blonde hair, has racial undertones.”Genes are passed down from parents to offspring, often determining traits like hair color, personality and even eye color. My genes are blue,” Sweeney, wearing denim on denim, says in one video.The ad’s defenders have included President Donald Trump.”Sydney Sweeney, a registered Republican, has the HOTTEST ad out there,” he posted last month on his Truth Social platform. Salter, in Toronto for the premiere, praised Sweeney’s transformative performance.”She wasn’t the beautiful, sexy Sydney. She was the tough, rugged Christy in this movie and I think it’s awesome,” said Salter, who is now married to one of her former boxing rivals, Lisa Holewyne. Foster also offered effusive praise for his 27-year-old co-star.”Sydney is a smokehouse. She’s the real deal,” he said. “She puts in the work. I think you all will be mind-blown by what she does in this film.” 

Peu d’embauches, plus de chômage: l’emploi en berne aux Etats-Unis

Le marché du travail américain est en perte de vitesse, selon un rapport officiel publié vendredi que le président Donald Trump juge peu fiable, confiant dans les retombées positives de ses politiques.La première économie mondiale a créé 22.000 emplois en août, un niveau bien inférieur à ce à quoi les Etats-Unis étaient habitués, selon la publication du service statistiques du ministère américain du Travail (BLS).Les analystes s’attendaient à 75.000 créations d’emplois, selon le consensus publié par MarketWatch.Le taux de chômage a progressé, à 4,3% contre 4,2% en juillet et 4,1% en juin. Il s’agit du plus haut niveau depuis l’automne 2021.”Ils (les auteurs du rapport, ndlr) disent qu’on perd des emplois et le mois suivant ils disent, au fait, on a une correction (des chiffres)”, a cherché à relativiser Donald Trump depuis le Bureau ovale.Une réaction bien différente du mois dernier. Le précédent rapport du BLS, déjà considéré comme décevant, avait mis en rogne le président qui avait alors limogé la directrice du service statistiques. Selon lui, les chiffres avaient forcément été “bidonnés” de manière partisane pour saper son bilan.L’initiative avait stupéfait économistes et opposants politiques, ces derniers l’accusant d’essayer de faire taire le messager plutôt que d’affronter les conséquences de ses politiques, notamment ses droits de douane massifs qui bousculent les chaînes de production.Donald Trump n’a pas renouvelé vendredi ses accusations de manipulation politique.A ses côtés à la Maison Blanche, son conseiller économique Kevin Hassett a affirmé qu’il s’attendait lui aussi à voir les chiffres d’août révisés à la hausse. Et que la présidence “avait hâte d’avoir une nouvelle direction (au BLS) qui rende les chiffres plus fiables”.Plus tôt dans la journée, le président américain avait rejeté la faute sur le patron de la Réserve fédérale (Fed) Jerome Powell, affirmant sur son réseau Truth Social qu’il “aurait dû baisser les taux d’intérêt il y a longtemps”.Le “programme procroissance” de l’exécutif “continue d’être freiné par le refus stupide de Jerome +Trop tard+ Powell d’admettre que le président Trump a raison sur tout”, a aussi cinglé sur X sa porte-parole Karoline Leavitt.- Plus de destructions que de créations en juin -Le rapport de juillet, qui avait fâché Donald Trump, comportait d’importantes révisions à la baisse du nombre d’emplois qui avaient été créés les mois précédents – montrant que le marché du travail résistait moins bien que ce qui avait été jusque-là imaginé.Les chiffres publiés vendredi contiennent de nouvelles révisions, de moindre ampleur toutefois.La plus notable concerne le mois de juin, où la tendance auparavant légèrement positive est devenue négative, avec 13.000 destructions d’emplois sur la période.Plus le tableau se précise, plus il montre un marché du travail en perte de vitesse.Le secteur industriel, dont le redressement est une des priorités du gouvernement, a détruit plus d’emplois qu’il n’en a créé ces derniers mois.La santé est un des rares domaines qui embauche encore.”Les Etats-Unis n’ont quasiment pas créé d’emplois au cours des quatre derniers mois. Cela touche aussi bien les cadres que les ouvriers”, observe Heather Long, économiste pour la banque Navy Federal Credit Union, pour qui une baisse des taux de Fed s’impose afin d’éviter une récession.La prochaine réunion de la banque centrale des Etats-Unis se tient les 16 et 17 septembre.Les investisseurs considèrent maintenant une baisse des taux comme acquise: ils parient tous dessus, selon l’outil de veille de CME, FedWatch.La question est maintenant de savoir si la diminution sera d’un quart de point – la Fed avançant généralement à petits pas – ou si les banquiers centraux décideront que la situation impose d’aller plus vite, en baissant les taux directeurs d’un demi-point.Les taux de la Fed, qui guident les coûts d’emprunt, sont au même niveau depuis décembre, dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50%.Wall Street avait initialement bien accueilli le rapport sur l’emploi et la perspective accrue d’une prochaine baisse de taux, les marchés appréciant quand l’argent devient moins cher, y voyant du carburant pour l’économie. La confiance s’est ensuite affaissée, les investisseurs semblant redouter de voir la première économie mondiale durablement dans une mauvaise passe.

Trump accueillera le sommet du G20 dans son golf de Miami

Donald Trump, largement sourd aux accusations de conflits d’intérêts depuis son retour au pouvoir, organisera le sommet des dirigeants du G20 en décembre 2026 dans un complexe de golf que possède sa famille.”Nous ne gagnerons pas du tout d’argent avec ça”, a assuré le président américain vendredi en faisant valoir que le site retenu, le “Trump National Doral Miami” en Floride, était “le meilleur endroit”.Il a confirmé par ailleurs qu’il ne se rendrait pas au rassemblement des dirigeants du G20, cette année en novembre en Afrique du Sud, et que les Etats-Unis y seraient représentés par le vice-président JD Vance.Pendant son premier mandat (2017-2021), il avait voulu accueillir un sommet du G7 à Doral mais avait reculé face à une vague d’accusations de corruption.Cette fois-ci, “ce sera vraiment magnifique”, a assuré le milliardaire de 79 ans pendant un échange avec la presse dans le Bureau ovale, faisant valoir que la propriété était proche de l’aéroport et assurant que “chaque pays aurait son propre bâtiment”.Donald Trump a aussi dit qu’il “aimerait” que le président russe Vladimir Poutine et le président chinois Xi Jinping participent à ce rassemblement l’an prochain.- Afrique du Sud -La présidence tournante du G20, qui rassemble les plus puissantes économies mondiales, est assurée cette année par l’Afrique du Sud.Donald Trump avait déclaré fin juillet qu’il ne se rendrait “probablement pas” au rassemblement de chefs d’Etat et de gouvernement prévu en novembre dans le pays, qu’il accuse de persécuter les personnes blanches.Il a confirmé cette décision vendredi.”JD (Vance) ira”, a déclaré le président américain, “je n’irai pas.”Donald Trump est accusé par l’opposition démocrate de profiter de son retour au pouvoir pour promouvoir les intérêts économiques de sa famille dans divers secteurs, en particulier l’immobilier et les cryptomonnaies.Formellement, le président américain n’est plus impliqué dans les affaires familiales, désormais gérées principalement par ses fils.Mais l’ancien promoteur immobilier, qui mène ce second mandat de manière complètement désinhibée, brouille régulièrement la ligne entre intérêts privés et domaine de l’Etat, au grand dam des associations anti-corruption.Il y a quelques semaines, il a profité d’un séjour en Ecosse pour inaugurer un nouveau cours de golf dans un complexe portant son nom.- Intérêts privés -Le président américain s’est associé à plusieurs projets dans les cryptomonnaies, ce qui lui a permis de gonfler sa fortune personnelle, pendant que son gouvernement encourage activement ce secteur.Par ailleurs, Donald Trump et Steve Witkoff, son émissaire spécial en Russie et au Moyen-Orient, sont associés via leurs familles dans une société de cryptomonnaies, World Liberty Financial.Cette entreprise, qui présente le président comme “cofondateur émérite” sur son site web, a été très critiquée pour une récente transaction lucrative avec une société d’Abou Dhabi.Donald Trump, quand il s’est rendu à Abou Dhabi au printemps dans le cadre d’une grande tournée du Golfe, avait accédé à une demande des autorités émiraties: pouvoir acheter des composants électroniques américains de pointe.Lors du même voyage, il avait accepté un Boeing offert par le Qatar, balayant les protestations des démocrates.Pendant son premier mandat, la Trump Organization, la holding familiale, s’était imposé un moratoire sur les investissements avec des partenaires privés étrangers. Rien de tel cette fois.Dans une longue enquête publiée en août, le magazine The New Yorker a tenté d’additionner les gains réalisés par la famille Trump dans ses diverses activités depuis le début du second mandat. L’hebdomadaire est arrivé à un total d’un peu plus de 3 milliards de dollars.

Trump hails Department of War rebrand as ‘message of victory’

US President Donald Trump signed an order Friday rebranding the Department of Defense as the Department of War, saying it sent a “message of victory” to the rest of the world.Flanked by Pentagon chief Pete Hegseth at a signing ceremony at the White House, the Republican president said the current name that had been in place for more than 70 years was too “wokey.””I think it sends a message of victory,” Trump told reporters in the Oval Office about the rebranding. “It’s a much more appropriate name in light of where the world is right now.” The name harks back to the War Department, the title used for more than 150 years from 1789, just after independence from Britain, to 1947, shortly after World War II.Trump cannot formally change the name of the Pentagon without the approval of Congress — but the 79-year-old’s order authorizes the use of the new label as a “secondary title.”Former Fox News host Hegseth swiftly embraced the change, posting a video of a new nameplate saying “Secretary of War” being stuck to his door at the Pentagon.The combat veteran, named by Trump to lead a major overhaul of the sprawling department, said the change was “not just about renaming, it’s about restoring the warrior ethos.””Maximum lethality, not tepid legality. Violent effect, not politically correct. We’re going to raise up warriors, not just defenders,” said Hegseth. Trump meanwhile even appeared to blame America’s military misadventures since its victories in World Wars I and II on the decision to call it the Department of Defense, which was made in 1949.”We could have won every war, but we really chose to be very politically correct or wokey,” said Trump, who was signing the 200th executive order of his second term.- Too ‘defensive’ -The rebranding forms part of a wider bid by Trump to project power and potency at home and abroad in his second term, as part of his “Make America Great Again” policy. Trump has in particular ordered a US military build-up in the Caribbean to counter what he calls drug cartels led by Venezuela’s leader Nicolas Maduro. US forces killed 11 people in a strike on what Washington said was a drug-carrying boat earlier this week.Trump also ordered a US military strike on Iranian nuclear sites in June.Domestically he has deployed the US National Guard in the capital Washington and Los Angeles in recent months in what he has called a crackdown on crime and illegal immigration.Trump’s “Department of War” move could also be seen to be at odds with his campaign to win the Nobel Peace Prize for what he says is his role in ending a number of conflicts — he has variously said six and seven. Democrats have called the move a costly political stunt by the billionaire.The White House is yet to say how much a rebrand would cost, but US media expect a billion-dollar price tag for the overhaul of hundreds of agencies, emblems, email addresses and uniforms.A Pentagon official told AFP the “cost estimate will fluctuate as we carry out President Trump’s directive to establish the Department of War’s name. We will have a clearer estimate to report at a later time.”Trump had trailed the announcement for several weeks. He complained that the name Department of Defense was too “defensive” and made America look weak.Hegseth meanwhile has lambasted prior administrations for policies he and Trump have derided as “woke.”Notably, he has sought to expel transgender troops from the military and change the names of bases that honored Confederate troops back to their original titles, after they were renamed under former president Joe Biden.The War Department was established in August 1789 to oversee the US Army, Navy and Marine Corps, according to an official Pentagon history web page. The Navy and Marines split off a decade later.

Trump to host G20 at own Miami golf resort

US President Donald Trump said Friday he would host the 2026 G20 summit at his own golf resort in Miami — despite abandoning a similar move in his first term after accusations of corruption.Billionaire Trump said his Trump National Doral resort and spa was the ideal choice for the gathering in December next year because it is “beautiful” and the Florida weather is nice.”It’s going to be at Doral,” the 79-year-old told reporters in the Oval Office after announcing that Miami would be the venue for next year’s summit.”Everybody wants it there because it’s right next to the airport, it’s the best location, it’s beautiful, a beautiful everything.”But Trump, who has faced repeated accusations that he and his family have enriched themselves during his two presidencies, insisted he would not profit from the event.”We will not make any money on it. We’re doing a deal where it’s not going to be money, there’s no money in it. I just want it to go well,” Trump said.Another reason for holding the event at Doral, Trump said, was that most hotel rooms in Miami are normally fully booked in December.”Each country will have its own building. I think it will be really a beautiful thing.”Trump was born in New York but has made Florida his home for years, with his Mar-a-Lago resort in West Palm Beach and the Doral resort nearer the sprawling metropolis of Miami.He had made similar plans to host the 2020 G7 summit at the Doral resort during his first presidency.But it caused a firestorm among Trump’s Democratic opponents, who called it “among the most brazen examples yet of the president’s corruption.”He later ditched the plan with a swipe at “media and Democrat crazed and irrational hostility” — and the summit eventually never took place because of the Covid pandemic.Trump at the time also abandoned a plan to invite Russia despite its suspension from the G7 because of its annexation of Crimea.But this time Trump said he would be open to Russian President Vladimir Putin attending the G20 despite Moscow’s 2022 full-scale invasion of Ukraine — adding that he would also welcome Chinese President Xi Jinping.”I would love them to, if they want to,” Trump said.He added however that they would be “observers, and I’m not sure if they’d want to come as observers” — despite the fact that both Russia and China are G20 members.Trump meanwhile confirmed that he would skip this year’s G20 in South Africa and send Vice President JD Vance instead.The US president had previously said he was unlikely to go, citing debunked claims of white citizens being systematically persecuted and killed in the country.”I won’t be going, JD will be going. Great vice president, and he looks forward to it,” Trump said.

Mondial-2026: la France réussit son entrée contre l’Ukraine

L’équipe de France a réussi des débuts emballants dans les qualifications au Mondial 2026 en battant à l’extérieur l’Ukraine (2-0), son plus coriace adversaire, mais a perdu Ousmane Dembélé sorti sur blessure, vendredi à Wroclaw (Pologne).Mission accomplie. Les hommes de Didier Deschamps, qui mène sa toute dernière campagne à la tête des Bleus, ne sont pas tombés dans le piège de ce match de rentrée, où les états de forme sont disparates.Les Bleus, en blanc pour l’occasion, n’ont quasiment jamais laissé respirer les Ukrainiens, dominés dans tous les secteurs du jeu.Ils recevront mardi au Parc des Princes l’autre leader du groupe D, l’Islande, qui a surclassé l’Azerbaïdjan (5-0), pour poser une deuxième dalle de leur chemin vers le Mondial aux Etats-Unis, au Canada et au Mexique.Cet excellent départ porte la signature de Michael Olise (10e) et Kylian Mbappé (82e), les buteurs.Dans leur sillage, le 4-2-3-1 a donné le tournis aux partenaires du défenseur parisien Illia Zabarnyi, mis au supplice par les attaquants français.La défense, le point faible de ce système généreux offensivement, s’est montrée rassurante. Ce secteur avait volé en éclats contre l’Espagne (défaite 5-4) en demi-finale de la Ligue des nations en juin.- Olise s’affirme -Mais le pressing haut et le retour du patron, Dayot Upamecano, ont fait du bien, à l’image des nombreux duels remportés par le Munichois sur la pointe ukrainienne Artem Dovbyk, en costaud.Son partenaire au Bayern Michael Olise a facilité le début de match des Français en marquant assez tôt, bien servi par Bradley Barcola qui avait pris son temps pour choisir où centrer.Le nouveau meneur de jeu des Bleus, auteur de son troisième but en 9 sélections, était à l’origine de l’action, il avait lui-même lancé son ailier gauche. Un an après des débuts ratés contre l’Italie, une défaite 3-1 au Parc des Princes, le Munichois s’affirme de plus en plus dans ce schéma en 4-2-3-1 où il bénéficie d’une grande liberté de mouvement en phase offensive.Olise aurait même pu doubler la mise un peu plus tard sans une belle parade d’Anatoliy Trubin (18).A droite, Désiré Doué, moins inspiré qu’en finale de Ligue des champions, où il avait signé un doublé et une passe décisive, n’a pas fait oublier son partenaire du Paris Saint-Germain Ousmane Dembélé.- But du K.-O. pour Mbappé -Le favori du Ballon d’or est entré à la pause en remplacement de Doué (46e), qui a reçu un coup au mollet droit.Mais “Dembouz” à son tour a dû céder sa place à Hugo Ekitike (80), pour sa première sélection. Ménagé pour une gêne à la cuisse gauche, le Parisien est sorti en se tenant l’arrière de la cuisse droite. La très longue saison du PSG, jusqu’à la finale du Mondial des clubs le 13 juillet, laisse des traces.Dembélé n’a “pas ressenti de truc violent”, a rassuré Didier Deschamps. “Il était dans de bonnes dispositions, il n’y avait pas la moindre appréhension à le faire jouer”, a ajouté le sélectionneur.Si le côté droit a souffert, les trois autres attaquants ont brillé.En pointe, Kylian Mbappé a gâché quelques cartouches, envoyant dans les nuages une bonne passe de Manu Koné – encore excellent – ou en tergiversant devant le but avant de voir sa frappe déviée (41).Mais le capitaine a signé tout en vitesse le but du KO, bien lancé par Aurélien Tchouameni, pour son 51e but, comme Thierry Henry, en 91 sélections. Avec la blessure de Dembélé, ce léger déchet offensif reste la seule note négative de ce début de qualifications. La France n’a été vraiment mise en danger par les joueurs de Serhiy Rebrov qu’une minute, bouillante, entre la 65e et la 66e.Ibrahima Konaté a sauvé sur la ligne un ballon de Dovbyk (65e), puis Mike Maignan a boxé un coup franc et vu le poteau repousser la reprise de l’attaquant de l’AS Rome (66e).Au passage, le défenseur de Liverpool s’est montré bien plus sûr que lors de ses dernières sorties.Et Lucas Digne, solide malgré quelques erreurs de placement, prend de l’avance dans son duel avec Théo Hernandez pour le poste de latéral gauche. La France est bien lancée.

Mondial-2026: la France réussit son entrée contre l’Ukraine

L’équipe de France a réussi des débuts emballants dans les qualifications au Mondial 2026 en battant à l’extérieur l’Ukraine (2-0), son plus coriace adversaire, mais a perdu Ousmane Dembélé sorti sur blessure, vendredi à Wroclaw (Pologne).Mission accomplie. Les hommes de Didier Deschamps, qui mène sa toute dernière campagne à la tête des Bleus, ne sont pas tombés dans le piège de ce match de rentrée, où les états de forme sont disparates.Les Bleus, en blanc pour l’occasion, n’ont quasiment jamais laissé respirer les Ukrainiens, dominés dans tous les secteurs du jeu.Ils recevront mardi au Parc des Princes l’autre leader du groupe D, l’Islande, qui a surclassé l’Azerbaïdjan (5-0), pour poser une deuxième dalle de leur chemin vers le Mondial aux Etats-Unis, au Canada et au Mexique.Cet excellent départ porte la signature de Michael Olise (10e) et Kylian Mbappé (82e), les buteurs.Dans leur sillage, le 4-2-3-1 a donné le tournis aux partenaires du défenseur parisien Illia Zabarnyi, mis au supplice par les attaquants français.La défense, le point faible de ce système généreux offensivement, s’est montrée rassurante. Ce secteur avait volé en éclats contre l’Espagne (défaite 5-4) en demi-finale de la Ligue des nations en juin.- Olise s’affirme -Mais le pressing haut et le retour du patron, Dayot Upamecano, ont fait du bien, à l’image des nombreux duels remportés par le Munichois sur la pointe ukrainienne Artem Dovbyk, en costaud.Son partenaire au Bayern Michael Olise a facilité le début de match des Français en marquant assez tôt, bien servi par Bradley Barcola qui avait pris son temps pour choisir où centrer.Le nouveau meneur de jeu des Bleus, auteur de son troisième but en 9 sélections, était à l’origine de l’action, il avait lui-même lancé son ailier gauche. Un an après des débuts ratés contre l’Italie, une défaite 3-1 au Parc des Princes, le Munichois s’affirme de plus en plus dans ce schéma en 4-2-3-1 où il bénéficie d’une grande liberté de mouvement en phase offensive.Olise aurait même pu doubler la mise un peu plus tard sans une belle parade d’Anatoliy Trubin (18).A droite, Désiré Doué, moins inspiré qu’en finale de Ligue des champions, où il avait signé un doublé et une passe décisive, n’a pas fait oublier son partenaire du Paris Saint-Germain Ousmane Dembélé.- But du K.-O. pour Mbappé -Le favori du Ballon d’or est entré à la pause en remplacement de Doué (46e), qui a reçu un coup au mollet droit.Mais “Dembouz” à son tour a dû céder sa place à Hugo Ekitike (80), pour sa première sélection. Ménagé pour une gêne à la cuisse gauche, le Parisien est sorti en se tenant l’arrière de la cuisse droite. La très longue saison du PSG, jusqu’à la finale du Mondial des clubs le 13 juillet, laisse des traces.Dembélé n’a “pas ressenti de truc violent”, a rassuré Didier Deschamps. “Il était dans de bonnes dispositions, il n’y avait pas la moindre appréhension à le faire jouer”, a ajouté le sélectionneur.Si le côté droit a souffert, les trois autres attaquants ont brillé.En pointe, Kylian Mbappé a gâché quelques cartouches, envoyant dans les nuages une bonne passe de Manu Koné – encore excellent – ou en tergiversant devant le but avant de voir sa frappe déviée (41).Mais le capitaine a signé tout en vitesse le but du KO, bien lancé par Aurélien Tchouameni, pour son 51e but, comme Thierry Henry, en 91 sélections. Avec la blessure de Dembélé, ce léger déchet offensif reste la seule note négative de ce début de qualifications. La France n’a été vraiment mise en danger par les joueurs de Serhiy Rebrov qu’une minute, bouillante, entre la 65e et la 66e.Ibrahima Konaté a sauvé sur la ligne un ballon de Dovbyk (65e), puis Mike Maignan a boxé un coup franc et vu le poteau repousser la reprise de l’attaquant de l’AS Rome (66e).Au passage, le défenseur de Liverpool s’est montré bien plus sûr que lors de ses dernières sorties.Et Lucas Digne, solide malgré quelques erreurs de placement, prend de l’avance dans son duel avec Théo Hernandez pour le poste de latéral gauche. La France est bien lancée.