Netanyahu says reaffirmed hostages release, Hamas defeat in Trump talks

Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu said he discussed efforts to release hostages held in Gaza and the ongoing military campaign to defeat Hamas during talks at the White House with US President Donald Trump.The meeting on Tuesday was the second in 24 hours between the two leaders, as Trump intensified pressure on Netanyahu to reach a deal that could end what he called the “tragedy” of the war in Gaza.In a statement, Netanyahu said he reaffirmed Israel’s objectives during the talks.”We focused on the efforts to release our hostages,” he said.”We are not relenting, even for a moment, and this is made possible due to the military pressure by our heroic soldiers.”The release of all of our hostages — the living and the deceased, and the elimination of Hamas’s military and governing capabilities, thereby ensuring that Gaza will never again constitute a threat to Israel.”Netanyahu said military pressure remained essential, though it had come at a high cost, including the deaths of five Israeli soldiers Tuesday in northern Gaza.Trump has kept up strong US support for Israel, especially over the recent Iran-Israel war but has also been stepping up the pressure to end what he calls the “hell” in Gaza.The US leader’s special envoy, Steve Witkoff, said on Tuesday he was hopeful of a deal between Israel and Hamas, who are holding indirect talks in Qatar that he will join later this week.But Qatar, a mediator alongside Egypt and the United States, has said more time was needed for negotiations for a breakthrough.In the latest violence, Gaza civil defence on Wednesday said 20 people — including six children — were killed in two Israeli air strikes overnight on a tent housing displaced people in Khan Yunis and a camp in the north of the Palestinian territory.The war in Gaza was triggered by Hamas’s October 7, 2023 attack on Israel, which resulted in the deaths of 1,219 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on Israeli official figures.Of 251 hostages taken by Palestinian militants during attack, 49 are still held in Gaza, including 27 the Israeli military says are dead.Israel’s retaliatory campaign has killed at least 57,575 people in Gaza, also mostly civilians, according to the Hamas-run territory’s health ministry. The UN considers the figures reliable.

La France connaît la croissance la plus rapide en matière d’investissements immatériels, selon l’ONU

Des données aux logiciels en passant par les marques, la croissance en France des investissements dans les actifs incorporels a été la plus rapide l’an dernier parmi les pays les plus avancés dans le domaine, selon un rapport publié par l’ONU mercredi.Selon l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (Ompi), les investissements dans les actifs incorporels ont augmenté trois fois plus vite l’an dernier que les investissements dans les actifs physiques tels que les machines et les bâtiments.Le rapport montre que les investissements dans les actifs incorporels dans 27 économies à revenu élevé ou intermédiaire ont augmenté d’environ 3% en termes réels l’an dernier, pour atteindre 7.600 milliards de dollars.La France s’en sort très bien, avec des investissements atteignant plus de 631 milliards de dollars l’an dernier, seulement devancée par le numéro un mondial, les Etats-Unis.En 2024, elle a enregistré la croissance la plus rapide de l’investissement immatériel parmi les économies à forte intensité immatérielle, avec une progression réelle de plus de 5%, suivie par le Royaume-Uni (plus de 4%), l’Espagne et le Danemark (proche de 4%) et les Etats-Unis (3,5%).”On a vu la France dépasser l’Allemagne et le Japon pendant ces deux dernières années dans le domaine de l’investissement dans l’immatériel”, indique à l’AFP Sacha Wunsch-Vincent, chef du Département de l’économie et de l’analyse de données, à l’Ompi.Cette tendance s’intègre selon lui “dans une amélioration de compétitivité de la France sur les cinq dernières années à peu près”.”Cela vient conforter un changement de la structure de l’économie française. Tandis que l’Allemagne et le Japon sont encore très liés par leur industrie d’automobile et l’industrie lourde, la France semble avoir pu se repositionner et monte en flèche ses investissements dans l’immatériel”, analyse-t-il.Selon M. Wunsch-Vincent, la croissance des investissements immatériels en France n’est pas portée par une entreprise en particulier, mais par la majorité des secteurs et acteurs économiques.”C’est le signe d’une transformation plus systémique ou plus profonde des entreprises françaises, notamment en ce qui concerne la R&D, les logiciels et données”, affirme-t-il.  – Hôpitaux, usines et administrations -“Les pays qui comprennent et encouragent les investissements dans les actifs incorporels seront mieux placés pour croître et prospérer dans une économie mondiale de plus en plus axée sur l’innovation technologique, numérique et culturelle”, assure le directeur général de l’Ompi, Daren Tang dans un communiqué.Les Etats-Unis occupent la première place en termes de niveau absolu d’investissements dans les actifs incorporels, avec un montant presque deux fois supérieur à celui de l’Allemagne, de la France, du Japon et du Royaume-Uni réunis.La Suède conserve elle sa position de leader en tant qu’économie à plus forte intensité d’actifs incorporels, avec des investissements dans les actifs incorporels représentant 16% de son produit intérieur brut (PIB). Elle est talonnée par les Etats-Unis, la France et la Finlande, tous avec une intensité de 15% du PIB.L’intensité des investissements dans les actifs incorporels de l’Inde (près de 10%) place celle-ci devant plusieurs économies de l’Union européenne, ainsi que devant le Japon.Les logiciels et les bases de données apparaissent comme le type d’actifs incorporels qui connaît la croissance la plus rapide, avec une expansion de plus de 7% par an entre 2013 et 2022. Cette croissance est stimulée par l’essor actuel de l’intelligence artificielle (IA), selon l’Ompi.Mais M. Wunsch-Vincent prévient : “Beaucoup pensent que nous sommes déjà pleinement entrés dans l’ère de l’IA. En réalité, nous n’en sommes qu’à la première phase : celle de la construction des infrastructures physiques et des capacités de données”. “Les grands investissements immatériels viendront dans un second temps, lorsque les secteurs utilisateurs – comme les hôpitaux, les usines ou les administrations – transformeront en profondeur leurs modes de fonctionnement”, souligne-t-il.

La France connaît la croissance la plus rapide en matière d’investissements immatériels, selon l’ONU

Des données aux logiciels en passant par les marques, la croissance en France des investissements dans les actifs incorporels a été la plus rapide l’an dernier parmi les pays les plus avancés dans le domaine, selon un rapport publié par l’ONU mercredi.Selon l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (Ompi), les investissements dans les actifs incorporels ont augmenté trois fois plus vite l’an dernier que les investissements dans les actifs physiques tels que les machines et les bâtiments.Le rapport montre que les investissements dans les actifs incorporels dans 27 économies à revenu élevé ou intermédiaire ont augmenté d’environ 3% en termes réels l’an dernier, pour atteindre 7.600 milliards de dollars.La France s’en sort très bien, avec des investissements atteignant plus de 631 milliards de dollars l’an dernier, seulement devancée par le numéro un mondial, les Etats-Unis.En 2024, elle a enregistré la croissance la plus rapide de l’investissement immatériel parmi les économies à forte intensité immatérielle, avec une progression réelle de plus de 5%, suivie par le Royaume-Uni (plus de 4%), l’Espagne et le Danemark (proche de 4%) et les Etats-Unis (3,5%).”On a vu la France dépasser l’Allemagne et le Japon pendant ces deux dernières années dans le domaine de l’investissement dans l’immatériel”, indique à l’AFP Sacha Wunsch-Vincent, chef du Département de l’économie et de l’analyse de données, à l’Ompi.Cette tendance s’intègre selon lui “dans une amélioration de compétitivité de la France sur les cinq dernières années à peu près”.”Cela vient conforter un changement de la structure de l’économie française. Tandis que l’Allemagne et le Japon sont encore très liés par leur industrie d’automobile et l’industrie lourde, la France semble avoir pu se repositionner et monte en flèche ses investissements dans l’immatériel”, analyse-t-il.Selon M. Wunsch-Vincent, la croissance des investissements immatériels en France n’est pas portée par une entreprise en particulier, mais par la majorité des secteurs et acteurs économiques.”C’est le signe d’une transformation plus systémique ou plus profonde des entreprises françaises, notamment en ce qui concerne la R&D, les logiciels et données”, affirme-t-il.  – Hôpitaux, usines et administrations -“Les pays qui comprennent et encouragent les investissements dans les actifs incorporels seront mieux placés pour croître et prospérer dans une économie mondiale de plus en plus axée sur l’innovation technologique, numérique et culturelle”, assure le directeur général de l’Ompi, Daren Tang dans un communiqué.Les Etats-Unis occupent la première place en termes de niveau absolu d’investissements dans les actifs incorporels, avec un montant presque deux fois supérieur à celui de l’Allemagne, de la France, du Japon et du Royaume-Uni réunis.La Suède conserve elle sa position de leader en tant qu’économie à plus forte intensité d’actifs incorporels, avec des investissements dans les actifs incorporels représentant 16% de son produit intérieur brut (PIB). Elle est talonnée par les Etats-Unis, la France et la Finlande, tous avec une intensité de 15% du PIB.L’intensité des investissements dans les actifs incorporels de l’Inde (près de 10%) place celle-ci devant plusieurs économies de l’Union européenne, ainsi que devant le Japon.Les logiciels et les bases de données apparaissent comme le type d’actifs incorporels qui connaît la croissance la plus rapide, avec une expansion de plus de 7% par an entre 2013 et 2022. Cette croissance est stimulée par l’essor actuel de l’intelligence artificielle (IA), selon l’Ompi.Mais M. Wunsch-Vincent prévient : “Beaucoup pensent que nous sommes déjà pleinement entrés dans l’ère de l’IA. En réalité, nous n’en sommes qu’à la première phase : celle de la construction des infrastructures physiques et des capacités de données”. “Les grands investissements immatériels viendront dans un second temps, lorsque les secteurs utilisateurs – comme les hôpitaux, les usines ou les administrations – transformeront en profondeur leurs modes de fonctionnement”, souligne-t-il.

Incendie: le feu encore actif à Marseille mais baisse en intensité

Le violent incendie qui menace Marseille depuis mardi, dopé par une longue période de canicule et un mistral violent, a baissé en intensité mais n’est toujours pas fixé, a indiqué la préfecture mercredi matin, après que le ministre de l’Intérieur a averti d’un “été à haut risque”.”A Marseille, le feu baisse en intensité” mercredi matin, “mais les lisières sont toujours actives et non stabilisées”, a indiqué une porte-parole de la préfecture à l’AFP, précisant que le feu n’était pas fixé à ce stade.Devant cette amélioration de la situation, la préfecture a cependant averti sur X que les habitants du 16e arrondissement de Marseille, touché par les flammes hier après-midi, dans le nord de la ville, étaient désormais “déconfinés” mais qu’il était “encore trop tôt pour les personnes évacuées”, au nombre d’environ 400, “regagnent leur domicile”. Du côté des Pennes-Mirabeau, commune limitrophe dans le nord-ouest de Marseille d’où était parti cet incendie mardi en fin de matinée après un feu de véhicule, il y a “une réactivation du feu”, a précisé la Préfecture de région, sans détailler.”Il y a tout lieu de penser qu’on va vers un été à haut risque”, avait averti Bruno Retailleau mardi soir, lors d’un point presse à Marseille auprès des marins-pompiers de la ville et des pompiers du département. Ils ont été plus de 800 mobilisés.Le ministre a souligné que 400 personnes avaient été évacuées, dont les 71 résidents d’un Ehpad aux Pennes-Mirabeau. Egalement “63 maisons ont été touchées, dont une dizaine brûlées et pratiquement détruites”.Soulignant que jusqu’à 400 tonnes d’eau avaient été déversées par la dizaine d’aéronefs mobilisés, pour empêcher que les flammes, venues toucher les quartiers nord de Marseille, fassent plus de dégâts, le ministre a appelé au civisme des habitants, rappelant que neuf incendies sur dix sont d’origine humaine.En quelques heures, cet incendie avait parcouru 700 hectares mardi entre les Pennes-Mirabeau et Marseille dans la journée, entraînant à la mi-journée la fermeture de l’aéroport d’Aix-Marseille Provence, le quatrième français en nombre de passagers, situé sur l’étang-de-Berre, à Marignane. Une reprise partielle du trafic a eu lieu vers 21H30 mardi soir, mais celui-ci pourrait à nouveau être fermé mercredi, pour prioriser les moyens aériens de lutte contre le feu, a averti la Préfecture.Le panache de fumée dégagé a provoqué sur Marseille une concentration en particules fines dix fois supérieure aux normes, selon Atmo-Sud, et s’étendait en mer sur une centaine de kilomètres, selon les images satellites.- Reprise du trafic des TGV -Arrivé à 16h00 aux portes des quartiers Nord de la cité phocéenne, l’incendie a poussé les autorités à appeler au confinement les quelque 15.000 habitants du 16e arrondissement, tous prévenus sur leurs téléphones par le système FR.alert.La police a aussitôt bouclé le secteur, juste en dessous du centre commercial Grand Littoral. La préfecture a signalé mercredi matin une “possible réouverture partielle de l’A55 (l’autoroute qui dessert Marseille par le nord, NDLR), avec une voie sanctuarisée pour sécuriser l’action des pompiers en bordure d’autoroute dans les deux sens”. De même, il y aurait “une possible réouverture des tunnels Vieux port et Prado carénage”, les deux tunnels qui permettent de traverser la ville du sud au nord, selon la préfecture.Enfin, sur l’autoroute A7, vers Aix-en-Provence et Lyon, “deux voies devraient être sanctuarisées pour les secours dans le sens Lyon Marseille”, a précisé une porte-parole.La circulation des trains à grande vitesse à Marseille doit reprendre “normalement” mercredi matin après une interruption liée aux incendies, tandis que celle des trains locaux reste fortement perturbée, a annoncé la SNCF.”Il est à nouveau possible d’exploiter la ligne à grande vitesse entre Marseille et Aix TGV”, a-t-elle indiqué dans un communiqué diffusé dans la nuit de mardi à mercredi.A l’autre bout du littoral méditerranéen, près de Narbonne, dans l’Aude, département touché par trois feux de forêt en une semaine, plus d’un millier de pompiers venus de toute la France continuent toujours à lutter contre un incendie qui a parcouru 2.000 hectares de forêt depuis lundi. Là aussi le feu, parti lundi d’un domaine viticole des Corbières, s’est très vite propagé, sur une végétation desséchée et sous l’effet d’un vent soufflant jusqu’à 90 km/h. Une enquête a été ouverte par le parquet de Narbonne afin de déterminer les causes de l’incendie.Pour fluidifier le trafic routier, en cette période de congés, l’autoroute A9, avait été fermée partiellement lundi et mardi, causant des dizaines de kilomètres d’embouteillages.Cet axe incontournable entre la vallée du Rhône et l’Espagne a finalement été rouvert vers 21h45 mardi, a-t-on appris auprès des pompiers et de Vinci.burs-san/ol/lgo/pta

Incendie: le feu encore actif à Marseille mais baisse en intensité

Le violent incendie qui menace Marseille depuis mardi, dopé par une longue période de canicule et un mistral violent, a baissé en intensité mais n’est toujours pas fixé, a indiqué la préfecture mercredi matin, après que le ministre de l’Intérieur a averti d’un “été à haut risque”.”A Marseille, le feu baisse en intensité” mercredi matin, “mais les lisières sont toujours actives et non stabilisées”, a indiqué une porte-parole de la préfecture à l’AFP, précisant que le feu n’était pas fixé à ce stade.Devant cette amélioration de la situation, la préfecture a cependant averti sur X que les habitants du 16e arrondissement de Marseille, touché par les flammes hier après-midi, dans le nord de la ville, étaient désormais “déconfinés” mais qu’il était “encore trop tôt pour les personnes évacuées”, au nombre d’environ 400, “regagnent leur domicile”. Du côté des Pennes-Mirabeau, commune limitrophe dans le nord-ouest de Marseille d’où était parti cet incendie mardi en fin de matinée après un feu de véhicule, il y a “une réactivation du feu”, a précisé la Préfecture de région, sans détailler.”Il y a tout lieu de penser qu’on va vers un été à haut risque”, avait averti Bruno Retailleau mardi soir, lors d’un point presse à Marseille auprès des marins-pompiers de la ville et des pompiers du département. Ils ont été plus de 800 mobilisés.Le ministre a souligné que 400 personnes avaient été évacuées, dont les 71 résidents d’un Ehpad aux Pennes-Mirabeau. Egalement “63 maisons ont été touchées, dont une dizaine brûlées et pratiquement détruites”.Soulignant que jusqu’à 400 tonnes d’eau avaient été déversées par la dizaine d’aéronefs mobilisés, pour empêcher que les flammes, venues toucher les quartiers nord de Marseille, fassent plus de dégâts, le ministre a appelé au civisme des habitants, rappelant que neuf incendies sur dix sont d’origine humaine.En quelques heures, cet incendie avait parcouru 700 hectares mardi entre les Pennes-Mirabeau et Marseille dans la journée, entraînant à la mi-journée la fermeture de l’aéroport d’Aix-Marseille Provence, le quatrième français en nombre de passagers, situé sur l’étang-de-Berre, à Marignane. Une reprise partielle du trafic a eu lieu vers 21H30 mardi soir, mais celui-ci pourrait à nouveau être fermé mercredi, pour prioriser les moyens aériens de lutte contre le feu, a averti la Préfecture.Le panache de fumée dégagé a provoqué sur Marseille une concentration en particules fines dix fois supérieure aux normes, selon Atmo-Sud, et s’étendait en mer sur une centaine de kilomètres, selon les images satellites.- Reprise du trafic des TGV -Arrivé à 16h00 aux portes des quartiers Nord de la cité phocéenne, l’incendie a poussé les autorités à appeler au confinement les quelque 15.000 habitants du 16e arrondissement, tous prévenus sur leurs téléphones par le système FR.alert.La police a aussitôt bouclé le secteur, juste en dessous du centre commercial Grand Littoral. La préfecture a signalé mercredi matin une “possible réouverture partielle de l’A55 (l’autoroute qui dessert Marseille par le nord, NDLR), avec une voie sanctuarisée pour sécuriser l’action des pompiers en bordure d’autoroute dans les deux sens”. De même, il y aurait “une possible réouverture des tunnels Vieux port et Prado carénage”, les deux tunnels qui permettent de traverser la ville du sud au nord, selon la préfecture.Enfin, sur l’autoroute A7, vers Aix-en-Provence et Lyon, “deux voies devraient être sanctuarisées pour les secours dans le sens Lyon Marseille”, a précisé une porte-parole.La circulation des trains à grande vitesse à Marseille doit reprendre “normalement” mercredi matin après une interruption liée aux incendies, tandis que celle des trains locaux reste fortement perturbée, a annoncé la SNCF.”Il est à nouveau possible d’exploiter la ligne à grande vitesse entre Marseille et Aix TGV”, a-t-elle indiqué dans un communiqué diffusé dans la nuit de mardi à mercredi.A l’autre bout du littoral méditerranéen, près de Narbonne, dans l’Aude, département touché par trois feux de forêt en une semaine, plus d’un millier de pompiers venus de toute la France continuent toujours à lutter contre un incendie qui a parcouru 2.000 hectares de forêt depuis lundi. Là aussi le feu, parti lundi d’un domaine viticole des Corbières, s’est très vite propagé, sur une végétation desséchée et sous l’effet d’un vent soufflant jusqu’à 90 km/h. Une enquête a été ouverte par le parquet de Narbonne afin de déterminer les causes de l’incendie.Pour fluidifier le trafic routier, en cette période de congés, l’autoroute A9, avait été fermée partiellement lundi et mardi, causant des dizaines de kilomètres d’embouteillages.Cet axe incontournable entre la vallée du Rhône et l’Espagne a finalement été rouvert vers 21h45 mardi, a-t-on appris auprès des pompiers et de Vinci.burs-san/ol/lgo/pta

Incendie: le feu encore actif à Marseille mais baisse en intensité

Le violent incendie qui menace Marseille depuis mardi, dopé par une longue période de canicule et un mistral violent, a baissé en intensité mais n’est toujours pas fixé, a indiqué la préfecture mercredi matin, après que le ministre de l’Intérieur a averti d’un “été à haut risque”.”A Marseille, le feu baisse en intensité” mercredi matin, “mais les lisières sont toujours actives et non stabilisées”, a indiqué une porte-parole de la préfecture à l’AFP, précisant que le feu n’était pas fixé à ce stade.Devant cette amélioration de la situation, la préfecture a cependant averti sur X que les habitants du 16e arrondissement de Marseille, touché par les flammes hier après-midi, dans le nord de la ville, étaient désormais “déconfinés” mais qu’il était “encore trop tôt pour les personnes évacuées”, au nombre d’environ 400, “regagnent leur domicile”. Du côté des Pennes-Mirabeau, commune limitrophe dans le nord-ouest de Marseille d’où était parti cet incendie mardi en fin de matinée après un feu de véhicule, il y a “une réactivation du feu”, a précisé la Préfecture de région, sans détailler.”Il y a tout lieu de penser qu’on va vers un été à haut risque”, avait averti Bruno Retailleau mardi soir, lors d’un point presse à Marseille auprès des marins-pompiers de la ville et des pompiers du département. Ils ont été plus de 800 mobilisés.Le ministre a souligné que 400 personnes avaient été évacuées, dont les 71 résidents d’un Ehpad aux Pennes-Mirabeau. Egalement “63 maisons ont été touchées, dont une dizaine brûlées et pratiquement détruites”.Soulignant que jusqu’à 400 tonnes d’eau avaient été déversées par la dizaine d’aéronefs mobilisés, pour empêcher que les flammes, venues toucher les quartiers nord de Marseille, fassent plus de dégâts, le ministre a appelé au civisme des habitants, rappelant que neuf incendies sur dix sont d’origine humaine.En quelques heures, cet incendie avait parcouru 700 hectares mardi entre les Pennes-Mirabeau et Marseille dans la journée, entraînant à la mi-journée la fermeture de l’aéroport d’Aix-Marseille Provence, le quatrième français en nombre de passagers, situé sur l’étang-de-Berre, à Marignane. Une reprise partielle du trafic a eu lieu vers 21H30 mardi soir, mais celui-ci pourrait à nouveau être fermé mercredi, pour prioriser les moyens aériens de lutte contre le feu, a averti la Préfecture.Le panache de fumée dégagé a provoqué sur Marseille une concentration en particules fines dix fois supérieure aux normes, selon Atmo-Sud, et s’étendait en mer sur une centaine de kilomètres, selon les images satellites.- Reprise du trafic des TGV -Arrivé à 16h00 aux portes des quartiers Nord de la cité phocéenne, l’incendie a poussé les autorités à appeler au confinement les quelque 15.000 habitants du 16e arrondissement, tous prévenus sur leurs téléphones par le système FR.alert.La police a aussitôt bouclé le secteur, juste en dessous du centre commercial Grand Littoral. La préfecture a signalé mercredi matin une “possible réouverture partielle de l’A55 (l’autoroute qui dessert Marseille par le nord, NDLR), avec une voie sanctuarisée pour sécuriser l’action des pompiers en bordure d’autoroute dans les deux sens”. De même, il y aurait “une possible réouverture des tunnels Vieux port et Prado carénage”, les deux tunnels qui permettent de traverser la ville du sud au nord, selon la préfecture.Enfin, sur l’autoroute A7, vers Aix-en-Provence et Lyon, “deux voies devraient être sanctuarisées pour les secours dans le sens Lyon Marseille”, a précisé une porte-parole.La circulation des trains à grande vitesse à Marseille doit reprendre “normalement” mercredi matin après une interruption liée aux incendies, tandis que celle des trains locaux reste fortement perturbée, a annoncé la SNCF.”Il est à nouveau possible d’exploiter la ligne à grande vitesse entre Marseille et Aix TGV”, a-t-elle indiqué dans un communiqué diffusé dans la nuit de mardi à mercredi.A l’autre bout du littoral méditerranéen, près de Narbonne, dans l’Aude, département touché par trois feux de forêt en une semaine, plus d’un millier de pompiers venus de toute la France continuent toujours à lutter contre un incendie qui a parcouru 2.000 hectares de forêt depuis lundi. Là aussi le feu, parti lundi d’un domaine viticole des Corbières, s’est très vite propagé, sur une végétation desséchée et sous l’effet d’un vent soufflant jusqu’à 90 km/h. Une enquête a été ouverte par le parquet de Narbonne afin de déterminer les causes de l’incendie.Pour fluidifier le trafic routier, en cette période de congés, l’autoroute A9, avait été fermée partiellement lundi et mardi, causant des dizaines de kilomètres d’embouteillages.Cet axe incontournable entre la vallée du Rhône et l’Espagne a finalement été rouvert vers 21h45 mardi, a-t-on appris auprès des pompiers et de Vinci.burs-san/ol/lgo/pta

Incendie: le feu encore actif à Marseille mais baisse en intensité

Le violent incendie qui menace Marseille depuis mardi, dopé par une longue période de canicule et un mistral violent, a baissé en intensité mais n’est toujours pas fixé, a indiqué la préfecture mercredi matin, après que le ministre de l’Intérieur a averti d’un “été à haut risque”.”A Marseille, le feu baisse en intensité” mercredi matin, “mais les lisières sont toujours actives et non stabilisées”, a indiqué une porte-parole de la préfecture à l’AFP, précisant que le feu n’était pas fixé à ce stade.Devant cette amélioration de la situation, la préfecture a cependant averti sur X que les habitants du 16e arrondissement de Marseille, touché par les flammes hier après-midi, dans le nord de la ville, étaient désormais “déconfinés” mais qu’il était “encore trop tôt pour les personnes évacuées”, au nombre d’environ 400, “regagnent leur domicile”. Du côté des Pennes-Mirabeau, commune limitrophe dans le nord-ouest de Marseille d’où était parti cet incendie mardi en fin de matinée après un feu de véhicule, il y a “une réactivation du feu”, a précisé la Préfecture de région, sans détailler.”Il y a tout lieu de penser qu’on va vers un été à haut risque”, avait averti Bruno Retailleau mardi soir, lors d’un point presse à Marseille auprès des marins-pompiers de la ville et des pompiers du département. Ils ont été plus de 800 mobilisés.Le ministre a souligné que 400 personnes avaient été évacuées, dont les 71 résidents d’un Ehpad aux Pennes-Mirabeau. Egalement “63 maisons ont été touchées, dont une dizaine brûlées et pratiquement détruites”.Soulignant que jusqu’à 400 tonnes d’eau avaient été déversées par la dizaine d’aéronefs mobilisés, pour empêcher que les flammes, venues toucher les quartiers nord de Marseille, fassent plus de dégâts, le ministre a appelé au civisme des habitants, rappelant que neuf incendies sur dix sont d’origine humaine.En quelques heures, cet incendie avait parcouru 700 hectares mardi entre les Pennes-Mirabeau et Marseille dans la journée, entraînant à la mi-journée la fermeture de l’aéroport d’Aix-Marseille Provence, le quatrième français en nombre de passagers, situé sur l’étang-de-Berre, à Marignane. Une reprise partielle du trafic a eu lieu vers 21H30 mardi soir, mais celui-ci pourrait à nouveau être fermé mercredi, pour prioriser les moyens aériens de lutte contre le feu, a averti la Préfecture.Le panache de fumée dégagé a provoqué sur Marseille une concentration en particules fines dix fois supérieure aux normes, selon Atmo-Sud, et s’étendait en mer sur une centaine de kilomètres, selon les images satellites.- Reprise du trafic des TGV -Arrivé à 16h00 aux portes des quartiers Nord de la cité phocéenne, l’incendie a poussé les autorités à appeler au confinement les quelque 15.000 habitants du 16e arrondissement, tous prévenus sur leurs téléphones par le système FR.alert.La police a aussitôt bouclé le secteur, juste en dessous du centre commercial Grand Littoral. La préfecture a signalé mercredi matin une “possible réouverture partielle de l’A55 (l’autoroute qui dessert Marseille par le nord, NDLR), avec une voie sanctuarisée pour sécuriser l’action des pompiers en bordure d’autoroute dans les deux sens”. De même, il y aurait “une possible réouverture des tunnels Vieux port et Prado carénage”, les deux tunnels qui permettent de traverser la ville du sud au nord, selon la préfecture.Enfin, sur l’autoroute A7, vers Aix-en-Provence et Lyon, “deux voies devraient être sanctuarisées pour les secours dans le sens Lyon Marseille”, a précisé une porte-parole.La circulation des trains à grande vitesse à Marseille doit reprendre “normalement” mercredi matin après une interruption liée aux incendies, tandis que celle des trains locaux reste fortement perturbée, a annoncé la SNCF.”Il est à nouveau possible d’exploiter la ligne à grande vitesse entre Marseille et Aix TGV”, a-t-elle indiqué dans un communiqué diffusé dans la nuit de mardi à mercredi.A l’autre bout du littoral méditerranéen, près de Narbonne, dans l’Aude, département touché par trois feux de forêt en une semaine, plus d’un millier de pompiers venus de toute la France continuent toujours à lutter contre un incendie qui a parcouru 2.000 hectares de forêt depuis lundi. Là aussi le feu, parti lundi d’un domaine viticole des Corbières, s’est très vite propagé, sur une végétation desséchée et sous l’effet d’un vent soufflant jusqu’à 90 km/h. Une enquête a été ouverte par le parquet de Narbonne afin de déterminer les causes de l’incendie.Pour fluidifier le trafic routier, en cette période de congés, l’autoroute A9, avait été fermée partiellement lundi et mardi, causant des dizaines de kilomètres d’embouteillages.Cet axe incontournable entre la vallée du Rhône et l’Espagne a finalement été rouvert vers 21h45 mardi, a-t-on appris auprès des pompiers et de Vinci.burs-san/ol/lgo/pta

Visite d’Etat, acte II: Macron rencontre Starmer et la communauté des affaires à Londres

Le président français Emmanuel Macron poursuit mercredi sa visite d’Etat au Royaume-Uni par un entretien avec le Premier ministre Keir Starmer, après avoir célébré la veille avec le roi Charles III “l’entente amicale” entre les deux pays.Au lendemain d’une première journée consacrée essentiellement au faste royal, avec procession en calèche et dîner d’Etat dans le décor somptueux du château de Windsor, le chef de l’Etat et son épouse Brigitte vont d’abord s’incliner sur la tombe d’Elizabeth II, décédée en 2022.Emmanuel Macron échangera ensuite avec le roi Charles III sur les enjeux de biodiversité lors d’une promenade dans le parc du château avant de prendre congé de son hôte pour rejoindre Londres, à une trentaine de kilomètres.Il s’agit de la première visite d’Etat d’un président français au Royaume-Uni depuis Nicolas Sarkozy en 2008 et de la première d’un chef d’Etat de l’Union européenne depuis le Brexit en 2020.Mardi soir, le souverain a souligné que l’amitié entre le Royaume-Uni et la France était “essentielle à la préservation des libertés et de la paix en Europe”, face à une “multitude de menaces”.Les deux pays, qui avaient déjà renoué en 2023 après les tensions liées au Brexit, à l’occasion d’une visite d’Etat du roi et d’un sommet avec le Premier ministre Rishi Sunak en France, ont proclamé une nouvelle ère d'”entente amicale”, à l’image de “l’Entente cordiale” scellée en 1904.Emmanuel Macron a souligné que Paris et Londres étaient “aux avant-postes de la défense de la sécurité de notre continent et de ses valeurs démocratiques”.- “Faire la différence”  -Dans l’après-midi, le chef de l’Etat qui s’exprimait, honneur rare, devant le Parlement au palais de Westminster, avait déjà appelé la France et le Royaume-Uni à “travailler ensemble” pour protéger l’ordre mondial hérité de 1945, à commencer par l’Ukraine, en renforçant les liens entre Londres et l’Union européenne.”Le Royaume-Uni et la France doivent aujourd’hui de nouveau montrer au monde que notre alliance peut faire toute la différence”, a-t-il lancé.Pour ce faire, le président français a promis des résultats “tangibles” durant la visite en matière de coopération économique, de défense, et de lutte contre l’immigration, un sujet souvent source de tensions entre les deux pays.Il va évoquer mercredi ces enjeux autour d’un déjeuner avec Keir Starmer, avant un sommet jeudi des deux dirigeants et d’une douzaine de ministres concernés. Sur le front économique, l’Elysée a déjà annoncé que l’énergéticien public EDF allait prendre une participation de 12,5% dans la future centrale nucléaire britannique de Sizewell C, dans l’est de l’Angleterre.Mercredi matin, le président français va échanger avec des entrepreneurs et scientifiques sur l’intelligence artificielle à l’Imperial College de Londres.Il rencontrera aussi la communauté d’affaires lors d’un dîner organisé en son honneur au Guildhall, bâtiment historique de la City, en présence de 650 convives.- “Changement d’échelle” -“Une nouvelle ère” post-Brexit s’ouvre pour une collaboration plus poussée”, a affirmé mardi à l’AFP le lord-maire de Londres Alastair King, représentant de la City.La puissante place financière cherche à défendre son attractivité, surtout depuis le Brexit, face à la concurrence de ses rivales européennes, après avoir connu une série de revers ces dernières années.Le chef de l’Etat se rendra aussi au British Museum pour sceller l’annonce du prêt au Royaume-Uni de la célèbre tapisserie de Bayeux, symbole quasi-millénaire des relations longtemps belliqueuses entre l’Angleterre et le continent.Elle sera exposée au British Museum entre septembre 2026 et juin 2027. En échange, le musée britannique va prêter à la France des pièces issues notamment du trésor de Sutton Hoo, un des joyaux de sa collection.Côté défense, “nous franchirons une nouvelle étape qui changera l’échelle de (notre) coopération”, a promis Emmanuel Macron devant le Parlement.La coopération militaire entre les deux pays repose sur les accords de Lancaster House, signés en 2010, qui comprennent un volet nucléaire, la mise en place d’une force expéditionnaire conjointe et la fabrication en commun de missiles.Côté britannique, les attentes sont fortes sur la lutte contre l’immigration clandestine, après un nombre record d’arrivées de migrants par la Manche depuis janvier (plus de 21.000).

Visite d’Etat, acte II: Macron rencontre Starmer et la communauté des affaires à Londres

Le président français Emmanuel Macron poursuit mercredi sa visite d’Etat au Royaume-Uni par un entretien avec le Premier ministre Keir Starmer, après avoir célébré la veille avec le roi Charles III “l’entente amicale” entre les deux pays.Au lendemain d’une première journée consacrée essentiellement au faste royal, avec procession en calèche et dîner d’Etat dans le décor somptueux du château de Windsor, le chef de l’Etat et son épouse Brigitte vont d’abord s’incliner sur la tombe d’Elizabeth II, décédée en 2022.Emmanuel Macron échangera ensuite avec le roi Charles III sur les enjeux de biodiversité lors d’une promenade dans le parc du château avant de prendre congé de son hôte pour rejoindre Londres, à une trentaine de kilomètres.Il s’agit de la première visite d’Etat d’un président français au Royaume-Uni depuis Nicolas Sarkozy en 2008 et de la première d’un chef d’Etat de l’Union européenne depuis le Brexit en 2020.Mardi soir, le souverain a souligné que l’amitié entre le Royaume-Uni et la France était “essentielle à la préservation des libertés et de la paix en Europe”, face à une “multitude de menaces”.Les deux pays, qui avaient déjà renoué en 2023 après les tensions liées au Brexit, à l’occasion d’une visite d’Etat du roi et d’un sommet avec le Premier ministre Rishi Sunak en France, ont proclamé une nouvelle ère d'”entente amicale”, à l’image de “l’Entente cordiale” scellée en 1904.Emmanuel Macron a souligné que Paris et Londres étaient “aux avant-postes de la défense de la sécurité de notre continent et de ses valeurs démocratiques”.- “Faire la différence”  -Dans l’après-midi, le chef de l’Etat qui s’exprimait, honneur rare, devant le Parlement au palais de Westminster, avait déjà appelé la France et le Royaume-Uni à “travailler ensemble” pour protéger l’ordre mondial hérité de 1945, à commencer par l’Ukraine, en renforçant les liens entre Londres et l’Union européenne.”Le Royaume-Uni et la France doivent aujourd’hui de nouveau montrer au monde que notre alliance peut faire toute la différence”, a-t-il lancé.Pour ce faire, le président français a promis des résultats “tangibles” durant la visite en matière de coopération économique, de défense, et de lutte contre l’immigration, un sujet souvent source de tensions entre les deux pays.Il va évoquer mercredi ces enjeux autour d’un déjeuner avec Keir Starmer, avant un sommet jeudi des deux dirigeants et d’une douzaine de ministres concernés. Sur le front économique, l’Elysée a déjà annoncé que l’énergéticien public EDF allait prendre une participation de 12,5% dans la future centrale nucléaire britannique de Sizewell C, dans l’est de l’Angleterre.Mercredi matin, le président français va échanger avec des entrepreneurs et scientifiques sur l’intelligence artificielle à l’Imperial College de Londres.Il rencontrera aussi la communauté d’affaires lors d’un dîner organisé en son honneur au Guildhall, bâtiment historique de la City, en présence de 650 convives.- “Changement d’échelle” -“Une nouvelle ère” post-Brexit s’ouvre pour une collaboration plus poussée”, a affirmé mardi à l’AFP le lord-maire de Londres Alastair King, représentant de la City.La puissante place financière cherche à défendre son attractivité, surtout depuis le Brexit, face à la concurrence de ses rivales européennes, après avoir connu une série de revers ces dernières années.Le chef de l’Etat se rendra aussi au British Museum pour sceller l’annonce du prêt au Royaume-Uni de la célèbre tapisserie de Bayeux, symbole quasi-millénaire des relations longtemps belliqueuses entre l’Angleterre et le continent.Elle sera exposée au British Museum entre septembre 2026 et juin 2027. En échange, le musée britannique va prêter à la France des pièces issues notamment du trésor de Sutton Hoo, un des joyaux de sa collection.Côté défense, “nous franchirons une nouvelle étape qui changera l’échelle de (notre) coopération”, a promis Emmanuel Macron devant le Parlement.La coopération militaire entre les deux pays repose sur les accords de Lancaster House, signés en 2010, qui comprennent un volet nucléaire, la mise en place d’une force expéditionnaire conjointe et la fabrication en commun de missiles.Côté britannique, les attentes sont fortes sur la lutte contre l’immigration clandestine, après un nombre record d’arrivées de migrants par la Manche depuis janvier (plus de 21.000).