Mondial-2026: l’Italie bat Israël 3 à 0 et assure son billet pour les barrages
L’Italie a battu Israël 3 à 0 (mi-temps: 1-0) mardi à Udine pour signer sa quatrième victoire consécutive qui l’assure, au minimum, de participer aux barrages pour le Mondial-2026.Mateo Retegui a inscrit un doublé, sur pénalty (45e+2) et d’une superbe reprise (74e), puis Gianluca Mancini a ajouté dans le temps additionnel (90e+3) un troisième but, lors d’une rencontre disputée dans un climat tendu.Une manifestation propalestinienne a rassemblé, d’abord dans le calme, plusieurs dizaines de milliers de manifestants dans la rues d’Udine.Au moment où débutait le match, des incidents ont éclaté quand plusieurs dizaines de manifestants ont tenté de forcer les barrages de police pour se rendre vers le stade, puis ont incendié des poubelles.La police a fait usage d’engins lanceurs d’eau pour les stopper et a procédé à plusieurs arrestations, selon l’agence AGI. Une journaliste de la Rai a été blessée à la tête durant ces heurts, mais son pronostic vital n’est pas engagé, rapporte l’agence AGI.Avant le coup d’envoi, l’hymne israélien a été sifflé par une partie des 10.000 spectateurs présents dans les tribunes du Stadio Friuli.La Nazionale, bousculée en première période, a offert une quatrième victoire en autant de matches à son sélectionneur Gennaro Gattuso, en poste depuis juin.Elle est désormais assurée de terminer au moins 2e du groupe I avec ses 15 points, soit six de plus que son adversaire du jour (9 pts).L’Italie, absente des deux dernières Coupes du monde, peut théoriquement encore finir première et donc se qualifier directement pour la prochaine Coupe du monde. Mais elle doit remporter ses deux derniers matches mi-novembre contre la Moldavie et la Norvège, et marquer beaucoup de buts pour dépasser le leader norvégien, 18 points et une différence de buts nettement favorable (+26, contre +10).
Mondial 2026: le Portugal fait match nul face à la Hongrie, malgré un doublé de Ronaldo
Le Portugal devra patienter pour valider son billet pour la Coupe du monde 2026 après son match nul (2-2) concédé mardi à Lisbonne dans le temps additionnel contre la Hongrie malgré un doublé de Cristiano Ronaldo.Lors de ce match, “CR7” est devenu à 40 ans le meilleur buteur de l’histoire des qualifications du Mondial avec 41 buts.Le match a mal commencé pour le Portugal. Après une première tentative de Ronaldo, qui a vu le ballon s’envoler au dessus des cages, les Hongrois ont créé la surprise en ouvrant le score dès la 9e minute grâce à un but de Szalai, de la tête sur un corner de Szoboszlai. Mais le Portugal a rapidement réagi. Plus entreprenants, les hommes de Roberto Martinez ont égalisé à la 22e minute grâce à Ronaldo.Parfaitement placé dans l’axe, il a marqué d’un tir puissant en reprenant dans les six mètres un centre tendu de la droite de Nelson Semedo.Juste avant la pause (45+3), le capitaine portugais a offert l’avantage aux siens en reprenant un centre de Nuno Mendes. Les quelque 48.000 spectateurs du stade Alvalade à Lisbonne ont explosé de joie.Ce doublé a permis à CR7 d’entrer un peu plus dans la légende, en établissant un nouveau record historique de buts inscrits lors de phases de qualification, tous continents confondus.L’attaquant portugais est devenu le meilleur buteur de l’histoire des qualifications pour la Coupe du monde, en inscrivant ses 40e et 41e buts. Il devance ainsi le Guatémaltèque Carlos Ruiz, ancien détenteur du record avec 39 réalisations.En deuxième période, le Portugal a continué à presser, mais sans succès. Malgré plusieurs occasions nettes, notamment des frappes de Ruben Dias et Bruno Fernandes repoussées par les poteaux.Mais les Hongrois sont restés dangereux jusqu’au bout. A la 73e minute la Hongrie a frôlé l’égalisation, mais le ballon s’est écrasé sur la barre avant d’être dégagé par Ruben Dias.La douche froide est arrivée au début du temps additionnel, lorsque les Hongrois ont égalisé grâce à un but de Dominik Szoboszlai (90+1).
Otages à Gaza: le Hamas a rendu quatre dépouilles supplémentaires d’Israéliens
Le Hamas a rendu mardi soir quatre dépouilles d’otages supplémentaires au lendemain du retour en Israël des vingt derniers otages vivants retenus à Gaza et de quatre premières dépouilles.L’armée israélienne a annoncé peu après minuit mercredi (21H00 GMT mardi) le retour en Israël des quatre cercueils, reçus par l’intermédiaire de la Croix-Rouge.Ils “sont en route vers l’Institut national de médecine légale (à Tel-Aviv pour) des procédures d’identification”, a précisé un communiqué militaire Lundi, en échange du retour des otages vivants, Israël a libéré près de 2.000 détenus palestiniens, dans le cadre de l’accord de cessez-le-feu à Gaza obtenu à la suite des pression du président américain Donald Trump.L’accord prévoyait la libération de tous les otages, les vivants et les morts, dans les 72 heures après l’entrée en vigueur de la trêve, c’est-à-dire avant 09H00 GMT, mais le mouvement islamiste palestinien avait prévenu qu’il pourrait avoir du mal à tenir les délais pour des questions logistiques après plus de deux ans d’une guerre ayant dévasté la bande de Gaza. “C’est difficile. Vous savez, hier, on a connu des hauts et des bas, et maintenant, on est en pleine déprime”, a déclaré mardi après-midi Rotem Kuper, attendant toujours le retour de la dépouille de son père Amiran Kuper”Le travail N’EST PAS FINI. LES MORTS N’ONT PAS ETE REMIS COMME PROMIS!”, a lancé Donald Trump sur sa plateforme Truth Social, au lendemain d’un déplacement en Israël et en Egypte lors duquel il avait annoncé, sur un ton triomphaliste, que la “paix” régnait désormais au Moyen-Orient.- “Enterrement digne” -“Nous sommes déterminés à ramener tout le monde”, a déclaré le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.Son ministre de la Sécurité intérieure, Itamar Ben Gvir, opposé à l’accord de cessez-le-feu, a appelé M. Netanyahu à poser un “ultimatum” clair au Hamas et à couper l’aide humanitaire à destination de Gaza si le mouvement islamiste ne rend pas “immédiatement” les restes de tous les soldats israéliens encore retenus.Après le retour en Israël des quatre premières dépouilles d’otages lundi soir, les restes de sept soldats et de dix-sept civils israéliens se trouvaient encore à Gaza.A l’exception d’un soldat tué au combat en mars 2014, tous avaient été capturés ou enlevés en Israël, certains déjà morts, au cours de l’attaque sans précédent du Hamas ayant déclenché la guerre le 7 octobre 2023. Les quatre dépouilles rendues lundi soir ont été identifiées comme étant celles de Bipin Joshi, étudiant népalais de 24 ans enlevé au kibboutz Kissoufim, Guy Illouz, 26 ans, enlevé au festival de musique de Nova, théâtre du pire massacre (plus de 370 morts) commis le 7-Octobre, Daniel Peretz, capitaine de blindés capturé dans son char à l’âge de 22 an, et Yossi Sharabi, tué dans un bombardement de l’armée israélienne à Gaza après avoir été enlevé à 53 ans au kibboutz Beeri.En échange de leur retour, Israël a renvoyé à Gaza les dépouilles de 45 Palestiniens originaires du territoire.”Nous pouvons désormais enfin mettre un terme au cauchemar qui a commencé il y a plus de deux ans et offrir à Yossi l’enterrement digne (…) qu’il mérite”, a déclaré sa femme Nira Sharabi dans un communiqué publié par le Forum des familles d’otages, principale organisation israélienne militant pour la libération des captifs à Gaza.- Isolement complet -L’armée a accusé le Hamas d’avoir assassiné Bipin Joshi en captivité “au cours des premiers mois de la guerre” et indiqué que, selon les premiers résultats d’autopsie, Guy Illouz était “décédé des suites de ses blessures après n’avoir pas reçu de soins médicaux appropriés”. Bipin Joshi était le dernier otage du 7-Octobre non-Israélien encore dans Gaza.Certains otages ont subi une “perte de poids importante”, a déclaré à la presse Noa Eliakim Raz, responsable du département de hôpital Beilinson (près de Tel-Aviv) chargé d’accueillir plusieurs des otages libérés lundi.”Le fait d’avoir été sous terre affecte tous les systèmes de l’organisme”, a-t-elle indiqué, faisant référence aux tunnels du Hamas dans la bande de Gaza.Les jumeaux Ziv et Gali Berman, 28 ans, qui se sont longuement tenus par le cou lors de leurs retrouvailles lundi, ont expliqué avoir été séparés tout au long de leur captivité et détenus en isolement total sans savoir si l’autre était en vie, selon des informations publiées par la chaîne 12.De même source, Avinatan Or, 32 ans, dont les images de l’enlèvement avec sa petite amie, Noa Argamani, avaient fait le tour du monde, a perdu 30% à 40% de sa masse corporelle et a été maintenu en isolement complet pendant deux ans. L’ingénieur n’a appris qu’une fois relâché que son amie avait été libérée, lors d’une opération commando israélienne.
Mixed day for global stocks amid trade angst, Powell comments
European and US stock markets fell before recovering somewhat as markets weighed trade tensions between Beijing and Washington and digested fresh Federal Reserve commentary.Wall Street indices opened firmly in the red amid the latest back and forth involving the United States and China on trade. But US stocks recovered somewhat following midday remarks from Fed Chair Jerome Powell.Powell’s observation that US payroll gains have “slowed sharply” strengthened confidence the US central bank would cut interest rates later this month.”In this less dynamic and somewhat softer labor market, the downside risks to employment appear to have risen,” Powell said.While two of the three major US indices still finished in the red, the broad-based S&P 500 shed just 0.2 percent at 6,644.31, about 90 points above its session low.Bourses earlier in Europe had also struggled to get out of the red, while Asian markets suffered losses following Monday’s pullback in the wake of US -China tensions.”There is a whiff of risk aversion about financial markets today,” said Kathleen Brooks, research director at XTB. “The global stock market uptrend is facing a little more resistance on the upside.”Markets were unsettled after China imposed sanctions on five American subsidiaries of South Korean shipbuilder Hanwha Ocean, accusing them of supporting a US government investigation into the shipping industry.In Europe, eyes were on embattled French Prime Minister Sebastien Lecornu as he presented a cost-cutting budget to a divided parliament, with parties on both ends of the political spectrum already trying to topple his government.Paris ended down just 0.2 percent but among individual shares, tire maker Michelin plunged almost nine percent after it revised downward its revenue expectations in North America where its activities have been hit by tariffs. It later recovered to close down 2.6 percent.Earlier, Tokyo slumped more than two percent as the country’s top opposition parties sought to find a unified candidate for prime minister and oust the ruling party from power after the ruling coalition collapsed last week, putting in peril Sanae Takaichi’s bid to become the country’s first woman prime minister.Back in New York, JPMorgan Chase finished down 1.9 percent despite reporting higher profits in results that topped analyst expectations. However, the bank disclosed a $170 million hit from its exposure to Tricolor, a subprime auto lending company that went bankrupt. Goldman Sachs also dropped 2.0 percent after reporting higher profits, but Citigroup jumped 3.9 percent and Wells Fargo surged 7.2 percent. – Key figures at around 2030 GMT -New York – Dow: UP 0.4 percent at 46,270.46 (close)New York – S&P 500: DOWN 0.2 percent at 6,644.31 (close)New York – Nasdaq: DOWN 0.8 percent at 22,521.70 (close) London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 9,452.77 points (close)Paris – CAC 40: DOWN 0.2 percent at 7,919.62 (close)Frankfurt – DAX: DOWN 0.6 percent at 24,236.94 (close)Tokyo – Nikkei 225: DOWN 2.6 percent at 46,847.32 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.7 percent at 25,441.35 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.6 percent at 3,865.23 (close)Euro/dollar: UP $1.1604 from $1.1570 on MondayPound/dollar: DOWN at $1.3319 from $1.3333Dollar/yen: DOWN at 151.74 yen from 152.28 yenEuro/pound: UP at 87.13 pence from 86.77 penceBrent North Sea Crude: DOWN 1.5 percent at $62.39 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 1.3 percent at $58.70 per barrel
Trump conditionne l’aide à l’Argentine à la survie politique de son allié Milei
“S’il ne gagne pas, nous partons”: Donald Trump a menacé mardi de couper les vivres à l’Argentine si son allié, le président ultralibéral Javier Milei, essuyait un revers lors des élections législatives à la fin du mois.”Je soutiens cet homme parce que sa philosophie est la bonne”, a dit le président américain pendant une visite de son homologue argentin à la Maison Blanche.”Je pense qu’il va gagner”, a encore dit le dirigeant républicain en référence au scrutin du 26 octobre en Argentine, en assénant: “S’il gagne nous restons avec lui et s’il ne gagne pas, nous partons.””Nos soutiens sont d’une certaine manière liés à qui remporte l’élection”, a aussi déclaré le président américain.Le message est on ne peut plus clair, alors que les Etats-Unis viennent de donner une bouffée d’oxygène à la troisième économie d’Amérique latine, malmenée sur les marchés financiers.Le Trésor américain a annoncé jeudi un échange bilatéral de devises, dit “swap”, pour 20 milliards de dollars, et une intervention directe sur le marché des changes pour soutenir le peso.Pendant une réunion avec Donald Trump et des membres de son gouvernement, Javier Milei a remercié le ministre des Finances Scott Bessent pour “l’immense travail” qu’il a effectué afin d’aider l’Argentine à “surmonter un problème de liquidité”.L’annonce américaine est intervenue alors même que les Etats-Unis commencent à sentir les effets d’une paralysie budgétaire qui entre dans sa troisième semaine, en raison d’un blocage parlementaire qui ne semble pas près de se dénouer.- Incertitude -Elle contraste avec la décision du gouvernement Trump de tailler massivement dans l’aide internationale au nom de la doctrine “America First” (“l’Amérique d’abord”). Cette approche diplomatique s’avère toutefois compatible avec le soutien de gouvernements étrangers jugés idéologiquement proches de Donald Trump.Le soutien américain intervient à un moment critique pour le dirigeant argentin. Le 26 octobre, il fera face à des élections législatives de mi-mandat indécises, qui vont déterminer sa marge de manœuvre parlementaire et sa capacité à gouverner pour ses deux ans restants de présidence.L’incertitude liée au scrutin – et au maintien ou non du cap d’austérité de Javier Milei – avait mis l’économie argentine à la merci de turbulences financières ces dernières semaines.”Les Etats-Unis ont perçu cette attaque contre l’Argentine, contre les idées de liberté, contre un allié stratégique, et c’est pourquoi ils nous ont apporté leur soutien”, a estimé M. Milei lundi.Cette aide américaine sert à “surmonter ce problème de liquidités que connaît l’Argentine à la suite d’attaques politiques par nos opposants, qui ne veulent pas que l’Argentine embrasse à nouveau les idées de la liberté”, a-t-il déclaré mardi à la Maison Blanche.- Rapprochement avec l’Amérique latine -Pour l’économiste et ancien président de la Banque centrale Martin Redrado, l’aide américaine correspond à “une assistance financière, une nouvelle passerelle”, venant après l’aide du FMI en avril (prêt de 20 milliards).”Mais l’Argentine ne peut pas aller de passerelle en passerelle”, estime-t-il, d’où l’importance, après l’élection, “d’armer un programme législatif s’attaquant aux problèmes de production et d’emploi”, dans un pays à plus de 40% d’emploi informel, et où le formel ne croit plus depuis 2011.Au-delà de l’Argentine, le président américain s’est félicité de voir un certain nombre de pays d’Amérique latine se rapprocher des Etats-Unis.”Il y a tellement de pays qui viennent vers nous”, s’est-il réjoui.Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a abondé dans son sens, en parlant de “8 ou 9, 10 pays, l’Argentine en tête, qui se sont alignés sur les Etats-Unis sur un sujet après l’autre lors d’événements internationaux”. Il a mentionné spécifiquement le Costa Rica et le Salvador.Le ministre, qui participait à la réunion avec le président argentin, a jugé que “l’une des évolutions les plus prometteuses” selon lui était la tenue dimanche d’une élection présidentielle en Bolivie. Elle verra s’affronter deux candidats de droite, après 20 ans de gouvernements de gauche dans le pays.Javier Milei a de son côté “félicité (Donald Trump) d’avoir compris la menace que représente le socialisme au XXIème siècle, dans le monde entier et pariculièrement en Amérique latine”.
Brazil, other nations agree to quadruple sustainable fuels
Brazil, India, Italy and Japan vowed Tuesday to quadruple their production and consumption of renewable fuels, hoping other countries will join the pledge during UN climate talks in November.”We hope to have a good number of signatories” by COP30, Brazilian foreign ministry official Joao Marcos Paes Leme told reporters in the capital Brasilia.”Other European countries are also interested,” he added.Paes Leme was speaking on the sidelines of a meeting of representatives from 67 countries in the run up to COP30 climate talks in the Amazon city of Belem next month.The pledge involves quadrupling the production of sustainable fuels such as biofuels, hydrogen and some synthetic fuels by 2035, compared to 2024 levels.Paes Leme noted that these fuels can be used to replace planet-harming fossil fuels in sectors such as aviation, maritime transport, or the cement and steel industries.”These are sectors where decarbonization is difficult,” because electrical energy has not yet succeeded in replacing fossil fuels.Sustainable fuels are already used in these industries “but they are not produced in sufficient quantities,” he said.The massive use of coal, oil, and fossil gas for energy since the industrial revolution is the primary driver of human-induced global warming.The commitment to sustainable fuels “is something we love to hear,” said Francesco La Camera, director-general of the International Renewable Energy Agency (IRENA). However, he warned that some biofuels can be harmful due to the vast expanses of land required to produce raw materials such as sugarcane, soy, or corn. “We have to be serious about what we say: sustainable fuel also means sustainable from the perspective of land use.”For the first time, the world pledged to “transition away” from fossil fuels at COP28 in Dubai in 2023.However many of the largest fossil-fuel producing nations — including Brazil — are planning to increase production in the coming years.
Brazil, other nations agree to quadruple sustainable fuels
Brazil, India, Italy and Japan vowed Tuesday to quadruple their production and consumption of renewable fuels, hoping other countries will join the pledge during UN climate talks in November.”We hope to have a good number of signatories” by COP30, Brazilian foreign ministry official Joao Marcos Paes Leme told reporters in the capital Brasilia.”Other European countries are also interested,” he added.Paes Leme was speaking on the sidelines of a meeting of representatives from 67 countries in the run up to COP30 climate talks in the Amazon city of Belem next month.The pledge involves quadrupling the production of sustainable fuels such as biofuels, hydrogen and some synthetic fuels by 2035, compared to 2024 levels.Paes Leme noted that these fuels can be used to replace planet-harming fossil fuels in sectors such as aviation, maritime transport, or the cement and steel industries.”These are sectors where decarbonization is difficult,” because electrical energy has not yet succeeded in replacing fossil fuels.Sustainable fuels are already used in these industries “but they are not produced in sufficient quantities,” he said.The massive use of coal, oil, and fossil gas for energy since the industrial revolution is the primary driver of human-induced global warming.The commitment to sustainable fuels “is something we love to hear,” said Francesco La Camera, director-general of the International Renewable Energy Agency (IRENA). However, he warned that some biofuels can be harmful due to the vast expanses of land required to produce raw materials such as sugarcane, soy, or corn. “We have to be serious about what we say: sustainable fuel also means sustainable from the perspective of land use.”For the first time, the world pledged to “transition away” from fossil fuels at COP28 in Dubai in 2023.However many of the largest fossil-fuel producing nations — including Brazil — are planning to increase production in the coming years.







