Trump stirs tensions with surprise nuclear test order

US President Donald Trump landed back in Washington Thursday after a surprise directive to begin nuclear weapons testing that raised the specter of renewed superpower tensions.The announcement on social media was issued just before Trump — who boasts frequently about being a peace president —  went into a summit with Chinese leader Xi Jinping in South Korea.But the announcement left much unanswered — chiefly about whether he meant testing weapons systems or actually conducting test explosions, something the United States has not done since 1992.Vice President JD Vance said that the US nuclear arsenal needed to be tested to ensure it actually “functions properly,” but did not elaborate on what type of tests Trump had ordered.The president’s statement “speaks for itself,” Vance told reporters at the White House.”It’s an important part of American national security to make sure that this nuclear arsenal we have actually functions properly, and that’s part of a testing regime,” he added.Trump’s statement nevertheless amounted to unusual nuclear sabre rattling.It came came days after Russia declared it had tested nuclear-capable, nuclear-powered cruise missiles and sea drones. “Because of other countries testing programs, I have instructed the Department of War to start testing our Nuclear Weapons on an equal basis,” Trump said on Truth Social.Trump also claimed that the United States has more nuclear weapons than any other country and that he had achieved this in his first term as president.That however appeared to be untrue. The Stockholm International Peace Research Institute (SIPRI) says in its latest annual report that Russia possesses 5,489 nuclear warheads, compared to 5,177 for the United States and 600 for China. In his post, Trump said — minutes ahead of his Xi summit — that China was expected to “be even within 5 years.”- Russia pushes back -The Kremlin questioned whether Trump was well-informed about Russia’s military activities.The recent weapons drills “cannot in any way be interpreted as a nuclear test,” spokesman Dmitry Peskov told journalists. “We hope that the information was conveyed correctly to President Trump.”Peskov then implied that Russia would conduct its own live warhead tests if Trump did it first.Chinese foreign ministry spokesman Guo Jiakun urged the United States to “earnestly abide” by a global nuclear testing ban.Both countries observe a de facto moratorium on testing nuclear warheads, though Russia and the United States do regularly run military drills involving nuclear-capable systems.United Nations Secretary-General Antonio Guterres said through his deputy spokesman that “nuclear testing can never be permitted under any circumstances.”The United States has been a signatory since 1996 to the Comprehensive Nuclear-Test-Ban Treaty, which bans all atomic test explosions, whether for military or civilian purposes.Trump told reporters aboard Air Force One that it had been “many years” since the United States had conducted nuclear tests, but it was “appropriate” to start again.Further muddying the waters, Trump also repeated in his remarks to reporters a previous claim that he wants negotiations with Russia and China on reducing nuclear weapons forces.”Denuclearization would be a tremendous thing,” he said.- Last US test in 1992 -The United States conducted 1,054 nuclear tests between July 16, 1945, when the first test was conducted in New Mexico, and 1992, as well as two nuclear attacks on Japan during World War II.It is the only country to have used nuclear weapons in combat.The last US nuclear test explosion was in September 1992, with a 20-kiloton underground detonation at the Nevada Nuclear Security Site.Then-president George H.W. Bush imposed a moratorium on further tests in October 1992 that has been continued by successive administrations.Nuclear testing was replaced by non-nuclear and subcritical experiments using advanced computer simulations.Nevada congresswoman Dina Titus responded that she would introduce legislation to “put a stop” to any move at restoring live weapons testing in her state.burs-sms-dk/bgs

Macron rejoint Hollande au palmarès de l’impopularité record

Une impopularité record qui le renvoie à François Hollande: Emmanuel Macron voit sa cote de confiance dégringoler à 11% selon un sondage Verian pour le Figaro magazine publié jeudi, miroir d’une crise politique qui ne cesse de s’alourdir et d’un divorce “profond” et “structurel” avec les Français.En baisse de cinq points par rapport au précédent baromètre, en septembre, le chef de l’État subit notamment une forte chute (-11 points) chez les plus de 65 ans et chez les retraités (-9 points).Il rejoint ainsi le plus bas record atteint par son prédécesseur socialiste François Hollande en novembre 2016. A l’époque, Emmanuel Macron s’affranchissait justement de son mentor et était en pleine ascension politique.A l’inverse, son Premier ministre, Sébastien Lecornu, voit sa cote augmenter de cinq points, à 26%, depuis sa nomination le 9 septembre. Contrairement au locataire de l’Élysée, il bénéficie de la bienveillance des 65 ans et plus (+7 points) et des retraités (+9 points). “Bien sûr il y a un effet de contexte avec un sentiment d’extrême lassitude dans le pays par rapport à cette espèce de chronique politique sans fin, où plus personne ne comprend rien”, relève auprès de l’AFP le politologue Bruno Cautrès.”Et le sentiment aussi qu’Emmanuel Macron est responsable puisqu’il a pris la responsabilité de la dissolution de l’Assemblée nationale” en juin 2024 qui a plongé le pays dans la crise, faute d’avoir dégagé la moindre majorité, ajoute-t-il.- “Mieux il se porte” -Depuis les législatives qui ont suivi, trois Premiers ministres, Michel Barnier, François Bayrou et Sébastien Lecornu se sont succédé, avec pour tous le même défi, faire voter un budget sans se faire censurer.Actuellement, l’Assemblée nationale ferraille, au gré d’alliances parfois improbables, pour tricoter et détricoter taxes et impôts, et tenter de trouver des compromis sur le budget 2026.Dans cette tourmente politique et législative, l’hyper-président d’hier assure avoir donné “carte blanche” à son nouveau Premier ministre et rester en retrait des enjeux intérieurs pour se concentrer sur l’international.Mais le naturel revient souvent au galop. Ainsi clamait-il le 21 octobre, depuis la Slovénie, que la réforme des retraites n’était pas “suspendue” mais seulement “reportée”, au risque de contredire et affaiblir Sébastien Lecornu.Il s’est aussi lancé dans de nouveaux “combats”, comme la lutte contre les effets pervers des réseaux sociaux sur la démocratie, en pleine cohérence, selon son entourage, avec son rôle de garant des institutions et de l’indépendance nationale.”Il faudrait qu’il finisse par intégrer l’idée que moins il s’occupe de politique intérieure, mieux il se porte”, estime pourtant un de ses soutiens centristes.- Dans l’ombre de Trump? -A l’international, “quand on arrive précédé d’un sondage à 11%, vos interlocuteurs comme Trump sourient”, ajoute-t-il, pointant en outre “l’image dégradée du pays” avec ses déficits publics structurels.De l’Ukraine à la reconnaissance de la Palestine, pour laquelle il est monté en première ligne à la tribune de l’ONU en septembre, Emmanuel Macron se veut justement omniprésent sur la scène internationale. Mais l’opinion publique française est surtout obsédée par les enjeux intérieurs, la situation budgétaire et l’instabilité politique.”La dimension internationale est totalement dominée par Trump. Emmanuel Macron n’incarne plus une sorte de leadership international incontesté, évident”, pointe en outre Bruno Cautrès.Le risque est désormais que sa popularité tombe sous les 10%, avec une cote à “un chiffre” qui serait sans précédent. Le divorce “profond et structurel” avec l’opinion deviendrait “total”, considère le politologue.

Macron rejoint Hollande au palmarès de l’impopularité record

Une impopularité record qui le renvoie à François Hollande: Emmanuel Macron voit sa cote de confiance dégringoler à 11% selon un sondage Verian pour le Figaro magazine publié jeudi, miroir d’une crise politique qui ne cesse de s’alourdir et d’un divorce “profond” et “structurel” avec les Français.En baisse de cinq points par rapport au précédent baromètre, en septembre, le chef de l’État subit notamment une forte chute (-11 points) chez les plus de 65 ans et chez les retraités (-9 points).Il rejoint ainsi le plus bas record atteint par son prédécesseur socialiste François Hollande en novembre 2016. A l’époque, Emmanuel Macron s’affranchissait justement de son mentor et était en pleine ascension politique.A l’inverse, son Premier ministre, Sébastien Lecornu, voit sa cote augmenter de cinq points, à 26%, depuis sa nomination le 9 septembre. Contrairement au locataire de l’Élysée, il bénéficie de la bienveillance des 65 ans et plus (+7 points) et des retraités (+9 points). “Bien sûr il y a un effet de contexte avec un sentiment d’extrême lassitude dans le pays par rapport à cette espèce de chronique politique sans fin, où plus personne ne comprend rien”, relève auprès de l’AFP le politologue Bruno Cautrès.”Et le sentiment aussi qu’Emmanuel Macron est responsable puisqu’il a pris la responsabilité de la dissolution de l’Assemblée nationale” en juin 2024 qui a plongé le pays dans la crise, faute d’avoir dégagé la moindre majorité, ajoute-t-il.- “Mieux il se porte” -Depuis les législatives qui ont suivi, trois Premiers ministres, Michel Barnier, François Bayrou et Sébastien Lecornu se sont succédé, avec pour tous le même défi, faire voter un budget sans se faire censurer.Actuellement, l’Assemblée nationale ferraille, au gré d’alliances parfois improbables, pour tricoter et détricoter taxes et impôts, et tenter de trouver des compromis sur le budget 2026.Dans cette tourmente politique et législative, l’hyper-président d’hier assure avoir donné “carte blanche” à son nouveau Premier ministre et rester en retrait des enjeux intérieurs pour se concentrer sur l’international.Mais le naturel revient souvent au galop. Ainsi clamait-il le 21 octobre, depuis la Slovénie, que la réforme des retraites n’était pas “suspendue” mais seulement “reportée”, au risque de contredire et affaiblir Sébastien Lecornu.Il s’est aussi lancé dans de nouveaux “combats”, comme la lutte contre les effets pervers des réseaux sociaux sur la démocratie, en pleine cohérence, selon son entourage, avec son rôle de garant des institutions et de l’indépendance nationale.”Il faudrait qu’il finisse par intégrer l’idée que moins il s’occupe de politique intérieure, mieux il se porte”, estime pourtant un de ses soutiens centristes.- Dans l’ombre de Trump? -A l’international, “quand on arrive précédé d’un sondage à 11%, vos interlocuteurs comme Trump sourient”, ajoute-t-il, pointant en outre “l’image dégradée du pays” avec ses déficits publics structurels.De l’Ukraine à la reconnaissance de la Palestine, pour laquelle il est monté en première ligne à la tribune de l’ONU en septembre, Emmanuel Macron se veut justement omniprésent sur la scène internationale. Mais l’opinion publique française est surtout obsédée par les enjeux intérieurs, la situation budgétaire et l’instabilité politique.”La dimension internationale est totalement dominée par Trump. Emmanuel Macron n’incarne plus une sorte de leadership international incontesté, évident”, pointe en outre Bruno Cautrès.Le risque est désormais que sa popularité tombe sous les 10%, avec une cote à “un chiffre” qui serait sans précédent. Le divorce “profond et structurel” avec l’opinion deviendrait “total”, considère le politologue.

Malgré les obstacles, Dati reste déterminée à conquérir Paris

L’absence de soutien de Renaissance freine-t-elle Rachida Dati dans sa course à la mairie de Paris? Ses proches balayent l’idée: pour eux, la ministre de la Culture est la seule capable de gagner à droite, une “marque” qui transcende les appareils partisans.Eclatée en trois groupes au Conseil de Paris, la droite misait sur l’investiture promise de Rachida Dati par Renaissance pour ravir enfin la capitale à une gauche éclatée, au pouvoir depuis 2001. Mais le parti présidentiel a finalement choisi Pierre-Yves Bournazel, proche d’Edouard Philippe, en raison notamment de la rupture déclarée entre son patron, Gabriel Attal, et Mme Dati.”Rachida, elle n’est ni LR, ni Renaissance, ni Horizon, elle est +datiste+ avant tout. C’est une marque, une personnalité qui incarne l’opposition à la gauche et se place au-dessus des partis, comme Jean-Michel Aulas à Lyon”, assure auprès de l’AFP Agnès Evren, présidente de la Fédération LR de Paris.Une singularité que Rachida Dati revendique sans détour. “Ça ne change pas ma vie, ça ne change pas ma campagne, et ça ne va pas changer cette volonté de victoire et de conquête”, a-t-elle déclaré mercredi sur LCI, posant pour la photo autour d’un café avec Benjamin Haddad, ministre délégué chargé de l’Europe, et Sylvain Maillard, en retrait de la présidence de Renaissance à Paris pour continuer à la soutenir.Certains partisans assimilent ce revirement à une simple “péripétie de campagne”. “Le choix de Bournazel est un choix de l’appareil national mais sur le terrain, il fracture en deux Renaissance”, insiste David Alphand, conseiller LR de Paris.Selon ce proche de Dati, la campagne ne se jouera pas sur les étiquettes politiques, “aujourd’hui très largement dévalorisées”. “L’élection parisienne est une élection de personnalité. Les Parisiens recherchent un maire avec de l’envergure”, complète-t-il en assurant que cette fois, la droite “ne rejouera pas la guerre Tibéri-Séguin ni les déchirements de 2020” alors que la gauche affiche elle “quatre candidats” au départ.-“A l’arrivée, elle gagne”-En coulisses, un dirigeant LR juge pourtant l’investiture de Bournazel “embêtante”, faisant “perdre sa dynamique” à Dati, même si “à l’arrivée, elle gagne”.”S’il y a deux listes, il faut qu’elles se réunissent au second tour. Plus ce sera tendu entre eux, plus ce sera difficile”, juge un autre baron LR, tandis qu’un membre de l’entourage de Bruno Retailleau est plus critique, soulignant simplement qu’il n’y a “pas de plan B” à Dati.Si la ministre peut séduire des électeurs des quartiers populaires, assure une personnalité de la droite parisienne, sur le terrain, certains n’hésitent pas à la qualifier de “traître” ou “voleuse”. Une image qui pourrait lui coûter cher, moins d’un an avant son procès dans l’affaire Renault-Ghosn. Ancien rival devenu allié, le maire LR du XVe arrondissement Philippe Goujon admet que “tout le monde n’aime pas la personnalité” de Rachida Dati, “très clivante”, mais souligne aussi qu’elle “accroche la lumière”. L’absence de soutien de Renaissance ne devrait en revanche pas peser du côté de la force militante. Selon Agnès Evren, la fédération LR de Paris regroupe “11.000 adhérents” contre “10.000 au plan national pour Renaissance”.Sur le plan stratégique, Rachida Dati a inauguré son siège de campagne dans le XIIe arrondissement, bastion de son adversaire socialiste Emmanuel Grégoire, et multiplie les déplacements dans les quartiers populaires.Une tactique justifiée par la réforme de la loi PLM (Paris-Lyon-Marseille), portée par le député Renaissance Sylvain Maillard, qui permet à chaque Parisien d’élire directement les membres du Conseil de Paris sans passer par le filtre de l’arrondissement. Selon le constitutionnaliste Benjamin Morel, Rachida Dati comptait s’appuyer sur cette réforme, qui favorise le camp le plus uni, et faire “table rase autour d’elle” pour arriver en tête au second tour et l’emporter avec 35% des voix, en comptant sur la prime majoritaire et l’absence de ralliement de LFI. “C’était un bon plan”, estime-t-il. Mais l’arrivée de Pierre-Yves Bournazel complique la donne: “Même s’il se rallie à Dati au second tour, une partie de ses soutiens, comme Clément Beaune, seront sans doute plus prompts à voter PS au second tour”.

Ukraine: vaste attaque aérienne russe contre des sites énergétiques, quatre morts

La Russie a bombardé des installations énergétiques en Ukraine avec des centaines de drones et de missiles, faisant au moins quatre morts et de nombreux blessés, notamment des enfants, et provoquant d’importantes coupures de courant, a annoncé jeudi Kiev . Dans le même temps, l’armée russe a affirmé avoir conquis deux autres villages, Sadové dans la région de Kharkiv (nord-est) et Krasnoguirské dans celle de Zaporijjia (sud), où les forces ukrainiennes, en infériorité numérique, perdent progressivement du terrain.Les troupes russes, qui s’efforcent depuis près de quatre ans d’envahir ce pays, prennent actuellement pour cible, à l’approche de l’hiver, un réseau énergétique déjà fragile. Dans un message en ligne, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré que les Russes avaient visé des civils et des installations énergétiques dans dix régions, dont celle de la capitale Kiev, au cours de leur nouvelle attaque aérienne massive dans la nuit de mercredi à jeudi.”Nous comptons sur l’Amérique, l’Europe et les pays du G7 pour ne pas ignorer la volonté de Moscou de tout détruire”, a-t-il insisté, appelant à de nouvelles sanctions pour contraindre la Russie à mettre fin à la guerre. L’armée de l’air ukrainienne a de son côté dit avoir abattu 623 des 653 drones et 52 missiles ennemis qu’elle a recensés dans l’espace aérien de l’Ukraine au cours de la nuit de mercredi à jeudi.Les journalistes de l’AFP ont pour leur part entendu des drones russes survoler Kiev.- “Un “coup dur” -DTEK, la plus grande entreprise énergétique privée d’Ukraine, a signalé que des centrales électriques avaient été endommagées dans plusieurs régions, sans préciser lesquelles. Son PDG, Maxim Timtchenko, a dénoncé un “coup dur porté à nos efforts pour assurer la continuité de l’approvisionnement en électricité cet hiver”.La compagnie nationale d’électricité Ukrenergo a concédé que ce nouveau raid avait – à nouveau – placé son réseau dans une situation difficile et que des coupures de courant persisteraient dans l’ensemble de l’Ukraine jusqu’à jeudi soir.Des coupures d’électricité “continues” pourraient en outre être imposées dans toutes les régions dès vendredi, a-t-elle ajouté.Dans la région occidentale de Lviv, frontalière de la Pologne, le gouverneur a reconnu que deux installations énergétiques aient été touchées.Le ministère russe de la Défense a de son côté expliqué avoir lancé une vaste opération à l’aide de missiles et de drones contre des sites militaro-industriels, des installations énergétiques et des bases aériennes ukrainiennes. L’armée russe attaque chaque hiver depuis 2022 les infrastructures électriques de l’Ukraine, la contraignant à des restrictions dans l’alimentation en électricité et à importer de l’énergie.- Un lourd bilan humain -Dans la ville de Zaporijjia (sud-est), deux personnes ont été tuées et 23 blessées, dont six enfants, selon le chef de la région militaire.Un journaliste de l’AFP a vu un immeuble d’habitation ravagé et des secouristes déblayer les décombres.L’administration régionale de Vinnytsia (centre-ouest) a fait état de cinq blessés, dont une fillette de sept ans qui est par la suite morte à l’hôpital. Le ministère russe de la Défense a quant à lui déclaré que 170 drones ukrainiens avaient été abattus pendant la nuit, dont 48 dans la région de Briansk, à la frontière avec l’Ukraine, et neuf dans celle de Moscou.L’armée russe bombarde presque quotidiennement les zones d’habitation et les infrastructures civiles en Ukraine depuis le début de l’invasion en février 2022. Les Ukrainiens ripostent par des frappes de longue portée, le plus souvent avec des drones. Ces derniers mois, ils ciblent surtout les infrastructures énergétiques russes avec l’objectif de perturber les exportations de pétrole et de réduire le financement de l’effort de guerre de la Russie.

UN warns of ‘atrocities,’ ‘horror’ in Sudan as RSF advancesThu, 30 Oct 2025 18:24:56 GMT

UN officials warned Thursday that “large-scale atrocities” were underway in Sudan’s Kordofan region as paramilitary forces advanced, while residents in El-Fasher, a key city in the neighboring Darfur region, were being subjected to mass “horror.”El-Fasher, the last major city in Darfur to fall to Rapid Support Forces (RSF) paramilitaries was “already the scene of catastrophic …

UN warns of ‘atrocities,’ ‘horror’ in Sudan as RSF advancesThu, 30 Oct 2025 18:24:56 GMT Read More »