WTO hikes 2025 trade growth outlook but tariffs to bite in 2026

AI-related goods and a surge in exports to the United States to beat President Donald Trump’s tariff hikes boosted global merchandise trade growth this year, the World Trade Organization said Tuesday.However, the picture is bleaker for 2026, the WTO warned, as the impact of those tariffs kicks in.The WTO raised its forecast for trade volume growth in 2025 to 2.4 percent — up from 0.9 percent in August — and slashed its 2026 outlook from 1.8 percent to 0.5 percent.”Global merchandise trade outpaced expectations in the first half of 2025, driven by increased spending on AI-related products, a surge in North American imports ahead of tariff hikes, and strong trade among the rest of the world,” the WTO said, as it published its updated global trade outlook.In an unusual move, the global trade body has revised its estimates several times this year due to uncertainties surrounding the new tariffs imposed by the Trump administration.Since returning to office in January, Trump has slapped several waves of new tariffs on imports entering the United States.His administration has imposed a basic tariff of 10 percent on all countries since April, with much higher rates for some economies.- Measured reaction to tariffs -“Countries’ measured response to tariff changes in general, the growth potential of AI, as well as increased trade among the rest of the world — particularly among emerging economies — helped ease trade setbacks in 2025,” WTO chief Ngozi Okonjo-Iweala said.The WTO said artificial intelligence-related goods — including semiconductors, servers, and telecommunications equipment — drove nearly half of the overall trade expansion in the first six months of the year, rising 20 percent year-on-year in value terms.Over those six months, “42 percent of global trade growth came from AI-related goods — far out of proportion to their 15 percent share in world trade”, Okonjo-Iweala told a press conference.But the former Nigerian finance minister said trade resilience this year should not fool countries into “complacency”.”Today’s disruptions to the global trade system are a call to action for nations to reimagine trade and together lay a stronger foundation that delivers greater prosperity for people everywhere,” she said.She noted that apart from a few countries, most WTO members have not imposed tit-for-tat tariffs on the United States “like it was in the 1930s” during the Great Depression, praising them for sticking to WTO rules.- ‘So much uncertainty’ -The report predicted that all regions will record weaker import performance in 2026 as higher tariff rates and heightened trade policy uncertainty bite.Okonjo-Iweala said that looking ahead to 2026, “the fact is there is so much uncertainty it is hard to be conclusive”.The WTO’s global GDP growth projection is 2.7 percent this year and 2.6 percent in 2026.Services export growth is now expected to slow from 6.8 percent last year to 4.6 in 2025, and further down to 4.4 percent next year.

Lecornu tente d’ultimes négociations sur le budget, Macron lâché par les siens

Au lendemain de sa démission surprise, Sébastien Lecornu rencontre les forces politiques pour “d’ultimes négociations” éclair, comme le lui a demandé le président Emmanuel Macron, lâché jusque dans son propre camp et de plus en plus sous pression face aux appels à dissoudre l’Assemblée ou démissionner.A la tête d’un gouvernement zombie, le Premier ministre démissionnaire a d’abord réuni mardi les responsables de Renaissance, d’Horizons et du MoDem, ainsi que les présidents des deux chambres, Yäel Braun-Pivet et Gérard Larcher. Ils sont convenus de “concentrer” ces discussions de la dernière chance sur le budget et l’avenir de la Nouvelle-Calédonie.Le chef de file des députés LR, Laurent Wauquiez, et le patron du parti Bruno Retailleau, sont eux reçus séparément à Matignon dans l’après-midi. Et ce alors que M. Wauquiez a regretté devant son groupe que l’échec du très éphémère gouvernement Lecornu ait “abîmé l’image” de son parti, visant en filigrane le ministre de l’Intérieur démissionnaire.Le groupe indépendant Liot doit, lui, être reçu en fin de journée mardi, avant Raphaël Glucksmann. Le Parti socialiste se rendra pour sa part à Matignon mercredi matin, et les Écologistes ont indiqué qu’ils iraient en milieu de journée pour demander “une cohabitation” avec un “Premier ministre de gauche”. Le Rassemblement national a aussitôt décliné l’invitation, réitérant sa demande de dissolution – tout comme La France insoumise.La France est plongée dans une grave crise politique depuis la démission lundi de Sébastien Lecornu, qui venait de nommer 14 heures plus tôt son gouvernement. Le chef de l’État, qui lui a donné jusqu’à mercredi soir pour chercher à aboutir à une “plateforme d’action” pour la “stabilité du pays”, est désormais lâché par les siens. Son ancien Premier ministre et patron d’Horizons, candidat déclaré à la présidentielle, Édouard Philippe, l’exhorte à partir avant la fin de son mandat. Il lui a demandé d’organiser “une élection présidentielle anticipée” après l’adoption d’un budget pour 2026, évoquant un État qui n’est selon lui “pas tenu”.La veille, un autre ex-chef du gouvernement, jadis proche d’Emmanuel Macron, Gabriel Attal, avait sèchement pris ses distances avec le président dont il ne comprend “plus les décisions”. Mardi, le patron du parti présidentiel Renaissance a toutefois rejeté l’hypothèse d’un départ anticipé du président, arguant que “tout notre équilibre démocratique serait fragilisé”.- La gauche tente de s’unir -Face à la menace de dissolution, les Écologistes et La France insoumise ont appelé toute la gauche à s’unir pour porter un “programme de rupture au pouvoir”. Un message notamment en direction du Parti socialiste, peu enclin à renouer avec la gauche radicale.Le parti d’Olivier Faure a organisé une réunion distincte en visio, à laquelle toutes les organisations de gauche ont participé sauf LFI. Avec une revendication à l’issue: “Nommer à Matignon un Premier ministre qui composera un gouvernement de gauche et écologiste.”A droite, le président des Républicains, Bruno Retailleau, a semé la confusion dans sa propre famille, après avoir été l’un des détonateurs de la crise en menaçant de quitter le gouvernement pour protester contre sa composition.Mardi, il a tempéré sa position, proposant que son parti participe à un gouvernement de “cohabitation” avec la macronie à condition que LR “ne s(‘y) dilue pas”.Dans cette atmosphère, M. Retailleau pourrait-il être sensible aux appels du pied du RN ? Le patron du parti à la flamme Jordan Bardella s’est en tous cas dit “prêt à tendre la main” aux Républicains sur “un accord de gouvernement”, en cas de législatives anticipées.- Macron face à ses “responsabilités” -Quoiqu’il arrive, ces nouvelles tractations, si elles devaient aboutir à un compromis, ne se traduiront pas nécessairement par une reconduction de Sébastien Lecornu à Matignon, selon l’entourage d’Emmanuel Macron.En cas d’échec, le président prendra ses “responsabilités” selon la même source, faisant planer la menace d’une nouvelle dissolution après celle de l’été 2024.”Il peut réussir”, considérait lundi un conseiller de l’exécutif, “s’il décroche la suspension de la réforme des retraites par exemple”, une exigence des socialistes. Face à l’incertitude politique, les milieux économiques s’inquiètent du décrochage. A l’image du président du Medef Patrick Martin qui a fait part mardi sur franceinfo de sa “colère”.Après la visite d’une exposition sur les victimes de l’attaque du 7-octobre en Israël, M. Lecornu a refusé de s’exprimer directement sur la situation. Mais y a vu un rappel “que de grands maux et de grands défis continuent de peser sur la nation française et sur le monde entier”.

Lecornu tente d’ultimes négociations sur le budget, Macron lâché par les siens

Au lendemain de sa démission surprise, Sébastien Lecornu rencontre les forces politiques pour “d’ultimes négociations” éclair, comme le lui a demandé le président Emmanuel Macron, lâché jusque dans son propre camp et de plus en plus sous pression face aux appels à dissoudre l’Assemblée ou démissionner.A la tête d’un gouvernement zombie, le Premier ministre démissionnaire a d’abord réuni mardi les responsables de Renaissance, d’Horizons et du MoDem, ainsi que les présidents des deux chambres, Yäel Braun-Pivet et Gérard Larcher. Ils sont convenus de “concentrer” ces discussions de la dernière chance sur le budget et l’avenir de la Nouvelle-Calédonie.Le chef de file des députés LR, Laurent Wauquiez, et le patron du parti Bruno Retailleau, sont eux reçus séparément à Matignon dans l’après-midi. Et ce alors que M. Wauquiez a regretté devant son groupe que l’échec du très éphémère gouvernement Lecornu ait “abîmé l’image” de son parti, visant en filigrane le ministre de l’Intérieur démissionnaire.Le groupe indépendant Liot doit, lui, être reçu en fin de journée mardi, avant Raphaël Glucksmann. Le Parti socialiste se rendra pour sa part à Matignon mercredi matin, et les Écologistes ont indiqué qu’ils iraient en milieu de journée pour demander “une cohabitation” avec un “Premier ministre de gauche”. Le Rassemblement national a aussitôt décliné l’invitation, réitérant sa demande de dissolution – tout comme La France insoumise.La France est plongée dans une grave crise politique depuis la démission lundi de Sébastien Lecornu, qui venait de nommer 14 heures plus tôt son gouvernement. Le chef de l’État, qui lui a donné jusqu’à mercredi soir pour chercher à aboutir à une “plateforme d’action” pour la “stabilité du pays”, est désormais lâché par les siens. Son ancien Premier ministre et patron d’Horizons, candidat déclaré à la présidentielle, Édouard Philippe, l’exhorte à partir avant la fin de son mandat. Il lui a demandé d’organiser “une élection présidentielle anticipée” après l’adoption d’un budget pour 2026, évoquant un État qui n’est selon lui “pas tenu”.La veille, un autre ex-chef du gouvernement, jadis proche d’Emmanuel Macron, Gabriel Attal, avait sèchement pris ses distances avec le président dont il ne comprend “plus les décisions”. Mardi, le patron du parti présidentiel Renaissance a toutefois rejeté l’hypothèse d’un départ anticipé du président, arguant que “tout notre équilibre démocratique serait fragilisé”.- La gauche tente de s’unir -Face à la menace de dissolution, les Écologistes et La France insoumise ont appelé toute la gauche à s’unir pour porter un “programme de rupture au pouvoir”. Un message notamment en direction du Parti socialiste, peu enclin à renouer avec la gauche radicale.Le parti d’Olivier Faure a organisé une réunion distincte en visio, à laquelle toutes les organisations de gauche ont participé sauf LFI. Avec une revendication à l’issue: “Nommer à Matignon un Premier ministre qui composera un gouvernement de gauche et écologiste.”A droite, le président des Républicains, Bruno Retailleau, a semé la confusion dans sa propre famille, après avoir été l’un des détonateurs de la crise en menaçant de quitter le gouvernement pour protester contre sa composition.Mardi, il a tempéré sa position, proposant que son parti participe à un gouvernement de “cohabitation” avec la macronie à condition que LR “ne s(‘y) dilue pas”.Dans cette atmosphère, M. Retailleau pourrait-il être sensible aux appels du pied du RN ? Le patron du parti à la flamme Jordan Bardella s’est en tous cas dit “prêt à tendre la main” aux Républicains sur “un accord de gouvernement”, en cas de législatives anticipées.- Macron face à ses “responsabilités” -Quoiqu’il arrive, ces nouvelles tractations, si elles devaient aboutir à un compromis, ne se traduiront pas nécessairement par une reconduction de Sébastien Lecornu à Matignon, selon l’entourage d’Emmanuel Macron.En cas d’échec, le président prendra ses “responsabilités” selon la même source, faisant planer la menace d’une nouvelle dissolution après celle de l’été 2024.”Il peut réussir”, considérait lundi un conseiller de l’exécutif, “s’il décroche la suspension de la réforme des retraites par exemple”, une exigence des socialistes. Face à l’incertitude politique, les milieux économiques s’inquiètent du décrochage. A l’image du président du Medef Patrick Martin qui a fait part mardi sur franceinfo de sa “colère”.Après la visite d’une exposition sur les victimes de l’attaque du 7-octobre en Israël, M. Lecornu a refusé de s’exprimer directement sur la situation. Mais y a vu un rappel “que de grands maux et de grands défis continuent de peser sur la nation française et sur le monde entier”.

Lecornu tente d’ultimes négociations sur le budget, Macron lâché par les siens

Au lendemain de sa démission surprise, Sébastien Lecornu rencontre les forces politiques pour “d’ultimes négociations” éclair, comme le lui a demandé le président Emmanuel Macron, lâché jusque dans son propre camp et de plus en plus sous pression face aux appels à dissoudre l’Assemblée ou démissionner.A la tête d’un gouvernement zombie, le Premier ministre démissionnaire a d’abord réuni mardi les responsables de Renaissance, d’Horizons et du MoDem, ainsi que les présidents des deux chambres, Yäel Braun-Pivet et Gérard Larcher. Ils sont convenus de “concentrer” ces discussions de la dernière chance sur le budget et l’avenir de la Nouvelle-Calédonie.Le chef de file des députés LR, Laurent Wauquiez, et le patron du parti Bruno Retailleau, sont eux reçus séparément à Matignon dans l’après-midi. Et ce alors que M. Wauquiez a regretté devant son groupe que l’échec du très éphémère gouvernement Lecornu ait “abîmé l’image” de son parti, visant en filigrane le ministre de l’Intérieur démissionnaire.Le groupe indépendant Liot doit, lui, être reçu en fin de journée mardi, avant Raphaël Glucksmann. Le Parti socialiste se rendra pour sa part à Matignon mercredi matin, et les Écologistes ont indiqué qu’ils iraient en milieu de journée pour demander “une cohabitation” avec un “Premier ministre de gauche”. Le Rassemblement national a aussitôt décliné l’invitation, réitérant sa demande de dissolution – tout comme La France insoumise.La France est plongée dans une grave crise politique depuis la démission lundi de Sébastien Lecornu, qui venait de nommer 14 heures plus tôt son gouvernement. Le chef de l’État, qui lui a donné jusqu’à mercredi soir pour chercher à aboutir à une “plateforme d’action” pour la “stabilité du pays”, est désormais lâché par les siens. Son ancien Premier ministre et patron d’Horizons, candidat déclaré à la présidentielle, Édouard Philippe, l’exhorte à partir avant la fin de son mandat. Il lui a demandé d’organiser “une élection présidentielle anticipée” après l’adoption d’un budget pour 2026, évoquant un État qui n’est selon lui “pas tenu”.La veille, un autre ex-chef du gouvernement, jadis proche d’Emmanuel Macron, Gabriel Attal, avait sèchement pris ses distances avec le président dont il ne comprend “plus les décisions”. Mardi, le patron du parti présidentiel Renaissance a toutefois rejeté l’hypothèse d’un départ anticipé du président, arguant que “tout notre équilibre démocratique serait fragilisé”.- La gauche tente de s’unir -Face à la menace de dissolution, les Écologistes et La France insoumise ont appelé toute la gauche à s’unir pour porter un “programme de rupture au pouvoir”. Un message notamment en direction du Parti socialiste, peu enclin à renouer avec la gauche radicale.Le parti d’Olivier Faure a organisé une réunion distincte en visio, à laquelle toutes les organisations de gauche ont participé sauf LFI. Avec une revendication à l’issue: “Nommer à Matignon un Premier ministre qui composera un gouvernement de gauche et écologiste.”A droite, le président des Républicains, Bruno Retailleau, a semé la confusion dans sa propre famille, après avoir été l’un des détonateurs de la crise en menaçant de quitter le gouvernement pour protester contre sa composition.Mardi, il a tempéré sa position, proposant que son parti participe à un gouvernement de “cohabitation” avec la macronie à condition que LR “ne s(‘y) dilue pas”.Dans cette atmosphère, M. Retailleau pourrait-il être sensible aux appels du pied du RN ? Le patron du parti à la flamme Jordan Bardella s’est en tous cas dit “prêt à tendre la main” aux Républicains sur “un accord de gouvernement”, en cas de législatives anticipées.- Macron face à ses “responsabilités” -Quoiqu’il arrive, ces nouvelles tractations, si elles devaient aboutir à un compromis, ne se traduiront pas nécessairement par une reconduction de Sébastien Lecornu à Matignon, selon l’entourage d’Emmanuel Macron.En cas d’échec, le président prendra ses “responsabilités” selon la même source, faisant planer la menace d’une nouvelle dissolution après celle de l’été 2024.”Il peut réussir”, considérait lundi un conseiller de l’exécutif, “s’il décroche la suspension de la réforme des retraites par exemple”, une exigence des socialistes. Face à l’incertitude politique, les milieux économiques s’inquiètent du décrochage. A l’image du président du Medef Patrick Martin qui a fait part mardi sur franceinfo de sa “colère”.Après la visite d’une exposition sur les victimes de l’attaque du 7-octobre en Israël, M. Lecornu a refusé de s’exprimer directement sur la situation. Mais y a vu un rappel “que de grands maux et de grands défis continuent de peser sur la nation française et sur le monde entier”.

Top US law enforcer accused of bias in fiery Senate hearing

US Attorney General Pam Bondi faced fiery questioning Tuesday from senators who accuse her of transforming the Justice Department into a tool of President Donald Trump’s efforts to target his perceived enemies.Bondi has courted huge controversy since taking over as the nation’s top law enforcement official, amid criticism that she has failed to maintain the guardrails keeping the department separate from the White House. Former president Joe Biden “never directed the attorney general to prosecute his political opponents,” Dick Durbin, the top Democrat on the Senate Judiciary Committee, told her in a blistering opening speech.”This is your legacy, Attorney General Bondi. In eight short months, you fundamentally transformed the Justice Department and left an enormous stain in American history.”Trump warned repeatedly during the 2024 election campaign that he would go after his political foes, and appeared to berate Bondi in a recent social media post, dressing down someone he referred to as “Pam” over the lack of action by government prosecutors. Shortly after, federal prosecutors sent shockwaves through Washington by indicting former FBI director James Comey, who led a probe into Russian interference in the 2016 presidential election.Comey is due in court on Wednesday, accused of lying to Congress in a case many legal experts say looks specious. The launch of investigations into US Senator Adam Schiff, former national security advisor John Bolton and New York Attorney General Letitia James — all of whom have publicly opposed Trump — have added to the controversy.Both Schiff and James were singled out in Trump’s post apparently upbraiding Bondi.Senators also pressed Bondi on the legal basis for Trump’s use of federal troops in cities he says are rife with crime, a crackdown critics say is unconstitutional.Trump has focused on Los Angeles, Washington, Chicago, Memphis and Portland — all of which have Democratic leaders.- ‘Weaponization’ -Bondi offered a defiant defense of her record, telling senators that she was working to reinstate public faith undermined by the weaponization of her department under the previous administration.”We are returning to our core mission of fighting real crime. While there is more work to do, I believe in eight short months, we have made tremendous progress towards those ends,” she said.Before his election wiped away his own legal woes, Trump was facing multiple indictments for allegedly hoarding sensitive state secrets and leading a criminal conspiracy to overturn the 2020 election result.  Republicans say the Justice Department under President Joe Biden — which led two of the indictments — has more questions to answer over weaponization than Bondi’s team.On the eve of the hearing, Senate Judiciary Chairman Chuck Grassley published FBI documents showing that Special Counsel Jack Smith, who led the federal prosecutions into Trump, secretly gathered phone records on the contacts of eight Republican senators. “That’s what we’ve been talking about when we refer to the weaponization of government… we are ending this weaponization,” Bondi said when Grassley brought up the issue. “Our FBI is targeting violent criminals, child predators and other law breakers, not sitting senators who happen to be from the wrong political party.”Bondi also faced heat on her handling of the files relating to the federal investigation into notorious sex offender Jeffrey Epstein. House Democrats — supported by a handful of Republicans — have been pressing for the release of the entire case file, after Bondi announced that the case was closed and that she had no new information to offer.

Pope Leo to make first papal trip to Turkey and Lebanon

Pope Leo XIV will travel to Turkey and Lebanon in a six-day trip beginning late November, his first since becoming head of the Catholic Church, the Vatican said Tuesday.The 70-year-old American is expected in Turkey from November 27-30, a visit that “will include a pilgrimage to Iznik on the occasion of the 1,700th anniversary of the First Council of Nicaea,” Vatican spokesman Matteo Bruni said in a brief statement. A subsequent trip to Lebanon will take place from November 30 to December 2, he said, adding that an itinerary would come later.Lebanese President Joseph Aoun — a Maronite Christian who invited Leo to visit his country while at the Vatican in June — called the trip a “historic moment”.”The papal visit is a call for peace, for the rooting of the Christian presence in the East, and for the preservation of the Lebanese model, which the world and the region need,” said Aoun in a statement.In July, the pope said he hoped to visit Iznik for the 1,700th anniversary of the Council of Nicaea this year, a milestone in Church history.That trip was supposed to have been made in May by his predecessor, Pope Francis, who died on April 21 at the age of 88. Nicaea, which is now the city of Iznik and is located 100 kilometres (62 miles) southeast of Istanbul, hosted the first ecumenical council in Christian history in 325 AD. Convened by Emperor Constantine, the council was the first to bring together Christian bishops from across the Roman Empire. It laid the foundations for the Nicene Creed, a statement of faith that intended to exclude certain so-called heresies.The creed confirmed there was one God who exists in three parts — the Father, the Son Jesus and the Holy Spirit — which remains the cornerstone doctrine for most Christian denominations.Leo’s highly anticipated visit to Lebanon is expected to focus on peace in the multi-faith country, which has committed to disarming non-state groups, particularly the Iran-backed Shiite movement Hezbollah. A source close to organisers of the trip in Lebanon told AFP that the pope would visit the Sanctuary of Saint Charbel, north of Beirut, as part of the visit. Despite a ceasefire that came into effect in November 2024, Israel maintains troops in border positions considered strategic in southern Lebanon.Israeli forces regularly carry out strikes, claiming to target Hezbollah fighters and infrastructure, particularly in the south.The last pope to visit Lebanon was Benedict XVI in 2012, while the last papal visit to Turkey was in 2014, when Pope Francis travelled to Ankara and Istanbul and met with President Recep Tayyip Erdogan.

Ana Girardot dans la combinaison de la pilote Michèle Mouton pour une mini-série

Ana Girardot va incarner la pilote automobile Michèle Mouton, devenue en 1981 la seule femme à avoir remporté un rallye du championnat du monde, dans une mini-série pour la plateforme américaine HBO Max et le groupe public France Télévisions, ont annoncé ces derniers mardi.En 4 épisodes de 45 minutes, cette mini-série, “Rallye 82”, retracera “les grandes étapes de la saison 1982 du championnat du monde des rallyes et l’ascension fulgurante de Michèle Mouton dans un univers masculin où elle a dû faire ses preuves”, selon un communiqué des diffuseurs, dont fait aussi partie la chaîne publique allemande ZDFneo.La diffusion est prévue en 2026, d’abord sur HBO Max et plus tard sur France Télévisions. Le tournage a commencé lundi et s’étalera jusqu’au 19 décembre, entre la Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’Île-de-France et le Sénégal.Le père d’Ana Girardot, Hippolyte, fait aussi partie du casting.Pionnière dans le sport automobile, Michèle Mouton est devenue en 1981 la première femme (et à ce jour la seule) à remporter un rallye du Championnat du monde WRC, à Sanremo.L’année suivante, la Française née à Grasse (Alpes-Maritimes) ajouta trois courses à son palmarès, toujours au volant d’une Audi Quattro, et fut tout près de remporter le titre. Mais, pour 12 points, et même s’il avait gagné un rallye de moins qu’elle, le champion du monde fut l’Allemand Walter Röhrl, qui avoua des années plus tard qu’il “ne voulait surtout pas perdre contre une femme”.Pour Michèle Mouton, être femme ou homme ne faisait aucune différence. Aux photographes qui voulaient qu’elle sourie, elle lançait: “allez le demander à Mikkola ou à Blomqvist!”, deux de ses grands rivaux.Les collaborations de ce type se multiplient ces dernières années entre les plateformes, soucieuses d’alimenter leurs catalogues en contenus locaux, et les chaînes, en quête de financements pour des fictions de plus en plus coûteuses.Cela a par exemple donné lieu à “Cat’s Eyes” sur TF1 et Prime Video, au “Zorro” campé par Jean Dujardin sur France 2 et Paramount+, ou encore au projet “Belphégor”, annoncé en mars par M6 et HBO Max.En septembre, France Télévisions et HBO Max ont annoncé développer une série avec Bérénice Béjo sur une pionnière méconnue du cinéma, Alice Guy-Blaché.

Wall Street fait fi de la prolongation de la paralysie budgétaire américaine

La Bourse de New York évolue en petite hausse mardi, les investisseurs faisant abstraction des incertitudes politiques aux Etats-Unis, où l’arrêt partiel des activités de l’Etat fédéral se poursuit, pour continuer à se réjouir des perspectives d’assouplissement monétaire.Vers 14H00 GMT, le Dow Jones grappillait 0,01%, l’indice Nasdaq gagnait 0,16% et l’indice élargi S&P 500 avançait de 0,08%.Ces mouvements “ne traduisent pas une grande conviction à l’achat, mais à ce stade, ce n’est pas le facteur déterminant”, juge Patrick O’Hare, de Briefing.com.Pour l’analyste, “l’aspect principal est qu’il n’y a toujours pas de conviction à la vente” au sein des investisseurs.Ces dernières semaines, les principaux indices de la place américaine ont enchaîné les records.Les remous politiques aux Etats-Unis et la paralysie budgétaire dans laquelle est plongée le pays n’ont pas entamé cet optimisme.”Les acteurs du marché considèrent le +shutdown+ sous un angle historique et affirment que, dans l’ensemble, il n’a pas eu d’incidence sur le marché ou l’économie” lors des précédents blocages, souligne auprès de l’AFP Art Hogan, de B. Riley Wealth Management.Pour l’analyste, la seule limite pourrait être en cas d’arrêt “trop long”.Lundi, le Sénat américain a, de nouveau, échoué à se mettre d’accord sur un budget. Comme lors du dernier vote vendredi, le texte des élus républicains n’a récolté que trois voix de sénateurs de l’opposition et n’a pas réussi à atteindre le seuil des 60 requises pour lever ce blocage.Cette mise à l’arrêt empêche la publication d’un certain nombre d’indicateurs susceptibles de donner une image plus précise de l’état de santé de l’économie américaine.Mais pour Art Hogan, les données dont la publication est maintenue, “n’auront pas plus d’importance que d’habitude”.La raison: des attentes déjà très fortes quant à une nouvelle baisse des taux directeurs de la banque centrale américaine (Fed) fin octobre.Selon l’outil de veille CME FedWatch, la Réserve fédérale devrait avoir diminué ses taux d’un demi-point de pourcentage d’ici la fin de l’année.En attendant, les investisseurs prêteront attention aux différentes prises de parole des responsables de l’institution monétaire ainsi qu’à la publication, mercredi, du compte-rendu de la dernière réunion de la Fed.Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’Etat américains à échéance dix ans était stable par rapport à la clôture la veille, à 4,15%.Côté entreprises, le géant boursier américain Intercontinental Exchange (ICE), maison mère de la New York Stock Exchange (NYSE), était recherché (+1,78% à 161,89 dollars) après avoir annoncé une prise de participation de 2 milliards de dollars dans la plateforme de paris Polymarket.L’opération valorise cette dernière 8 milliards de dollars, selon un communiqué commun publié mardi.Le prix de l’action de la société d’exploration minière canadienne Trilogy Metals était quasiment multiplié par trois (+194,05% à 6,16 dollars), profitant de l’annonce d’une prise de participation de l’Etat américain, à hauteur de 10% de son capital.Ce partenariat est lié au rétablissement du projet Ambler Road qui vise à construire une autoroute en Alaska de plus de 300 km qui traverserait un parc national pour rejoindre une mine.Le fabricant d’ordinateurs et serveurs Dell (+3,00% à 150,13 dollars) profitait d’un relèvement de ses prévisions de chiffre d’affaires, attendu en hausse de 7% à 9% contre 3% à 4% précédemment. L’entreprise prévoit également une croissance plus forte de son bénéfice net.