India’s Gill accuses England of ignoring ‘spirit of the game’ with time-wasting
India captain Shubman Gill accused England of ignoring the “spirit of cricket” after the hosts’ time-wasting tactics in the third Test at Lord’s sparked an angry flare-up between the teams.The tourists ought to have been able to bowl two overs late in the third day’s play of the third Test after being dismissed for 387 — exactly level with England’s first-innings total.Crawley, however, ensured there were only six deliveries from Jasprit Bumrah before stumps by twice withdrawing from his stance and then calling for the physio after the fifth ball appeared to make only minimal contact with his glove.Tempers flared as it became evident India would not be able to bowl another over before the close, with host broadcaster Sky Sports issuing an on-air apology after a stump microphone picked up Gill swearing angrily at Crawley.England went on to win a thrilling match by 22 runs to go 2-1 up in a five-match series.Gill, in his first campaign as India captain, addressed the issue on the eve of the fourth Test at Old Trafford.”A lot of people have been talking about it so let me just clear the air once and for all,” the 25-year-old Gill said on Tuesday.”The English batsmen on that day had seven minutes of play left, they were 90 seconds late to come to the crease, not 10, not 20, 90 seconds late. “Yes, most of the teams use this (delaying tactic), even if we were in this position we would have liked to play fewer overs but there’s a manner to do it. “If you get hit on your body, the physios are allowed to come on and that is something that is fair. But to be able to come 90 seconds late to the crease is not something that comes in the spirit of the game.”Gill admitted he was not proud of swearing at Crawley but said it took place in the context of rising tensions.”We had no intention of doing that whatsoever but you’re playing a game, you’re playing to win and there are a lot of emotions,” said the India skipper.”When you see there are things happening that should not happen, sometimes emotions come out of nowhere.”
Wall Street ouvre sans entrain, se concentre sur les résultats d’entreprises
La Bourse de New York a ouvert avec prudence mardi, digérant une nouvelle volée de résultats d’entreprises mitigés et dans l’attente de développements sur le plan commercial.Dans les premiers échanges, le Dow Jones lâchait 0,11%, tandis que l’indice Nasdaq (+0,04%) et l’indice élargi S&P 500 (-0,01%) étaient tous les deux près de l’équilibre.Â
Un hôpital de Gaza affirme que 21 enfants sont morts de malnutrition ou de faim
Un hôpital de la bande de Gaza a affirmé mardi que 21 enfants étaient morts de malnutrition ou de faim dans le territoire palestinien, où Israël étend ses opérations meurtrières contre le Hamas sous un flot de condamnations internationales.Assiégés par Israël depuis le début de la guerre en octobre 2023, les 2,4 millions d’habitants de Gaza sont soumis à des pénuries sévères de nourriture et de biens de première nécessité, tandis que les centres de distribution d’aide humanitaire sont régulièrement la cible de tirs. L’ONU a accusé mardi l’armée israélienne d’avoir tué depuis la fin mai plus de 1.000 personnes qui attendaient de l’aide.Selon le directeur de l’hôpital al-Chifa à Gaza-Ville, Mohammed Abou Salmiya, les décès de 21 enfants “morts de malnutrition ou de faim” ont été enregistrés en 72 heures dans différents établissements y compris le sien, l’hôpital des Martyrs d’al-Aqsa à Deir el-Balah et l’hôpital Nasser à Khan Younès.”A chaque moment, de nouveaux cas de malnutrition et de famine parviennent aux hôpitaux de Gaza”, a ajouté le médecin.A l’hôpital Nasser, dans le sud de Gaza, des images de l’AFP ont montré des parents pleurant sur la dépouille de leur fils de 14 ans, Abdul Jawad al-Ghalban, mort de faim, dont le corps squelettique venait d’être enveloppé dans un sac mortuaire blanc.  La Défense civile a annoncé mardi que des frappes israéliennes avaient fait 15 morts, dont 13 dans le camp d’Al-Shati, dans le nord de Gaza, qui abrite des milliers de déplacés.Raed Bakr, père de trois enfants âgé de 30 ans, a décrit “une explosion massive” qui a soufflé leur tente en pleine nuit.”J’ai cru être dans un cauchemar. Du feu, de la poussière, de la fumée et des morceaux de corps projetés en l’air, des débris partout. Les enfants criaient”, a témoigné à l’AFP Bakr, dont la femme a été tuée l’année dernière.- “Nuit de terreur” -Muhannad Thabet, 33 ans, a décrit “une nuit de terreur” dans ce camp, “des frappes aériennes et des explosions ininterrompues”.La Défense civile a également fait état mardi de la mort de deux personnes à Deir el-Balah, dans le centre du territoire, où Israël avait annoncé la veille étendre ses opérations et appelé la population à évacuer.L’armée israélienne a affirmé que ses soldats avaient “identifié des tirs dans leur direction dans le secteur de Deir el-Balah et avaient riposté” en visant l’origine des tirs.Selon le Bureau des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha), entre 50.000 et 80.000 personnes se trouvaient alors dans la zone et près de 88% du territoire de Gaza est désormais soumis à un ordre d’évacuation israélien ou inclus dans une zone militarisée israélienne.La situation humanitaire à Gaza est “moralement inacceptable”, a affirmé mardi le patriarche latin de Jérusalem, Pierbattista Pizzaballa.”Nous avons vu des hommes attendre pendant des heures sous le soleil dans l’espoir d’un simple repas”, a-t-il ajouté.Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, a alerté sur le risque “extrêmement élevé” de violations graves du droit international après l’extension des opérations israéliennes.- “Situation effroyable” -L’Organisation mondiale de la Santé avait annoncé lundi que son principal entrepôt à Deir el-Balah avait été attaqué et que des soldats israéliens étaient entrés dans la résidence de son personnel dans ce secteur. “Le personnel masculin et des membres de leur famille ont été menottés, déshabillés, interrogés sur place et contrôlés sous la menace d’une arme”, a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.Après un appel lancé par 25 pays à la fin “immédiate” de la guerre, la France a réclamé mardi que la presse internationale “puisse accéder à Gaza pour montrer” ce qu’il s’y passe.Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, était interrogé sur la radio France Inter sur le cas de plusieurs collaborateurs de l’Agence France-Presse sur place qui se trouvent dans “une situation effroyable”, selon la direction de l’agence.L’attaque menée le 7 octobre 2023 par le mouvement islamiste Hamas contre Israël, qui a déclenché la guerre, a entraîné du côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles.Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là , 49 sont toujours otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne. En représailles, Israël a promis de détruire le Hamas et lancé une offensive dans laquelle au moins 59.106 personnes, majoritairement des civils, ont été tuées, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.
Un hôpital de Gaza affirme que 21 enfants sont morts de malnutrition ou de faim
Un hôpital de la bande de Gaza a affirmé mardi que 21 enfants étaient morts de malnutrition ou de faim dans le territoire palestinien, où Israël étend ses opérations meurtrières contre le Hamas sous un flot de condamnations internationales.Assiégés par Israël depuis le début de la guerre en octobre 2023, les 2,4 millions d’habitants de Gaza sont soumis à des pénuries sévères de nourriture et de biens de première nécessité, tandis que les centres de distribution d’aide humanitaire sont régulièrement la cible de tirs. L’ONU a accusé mardi l’armée israélienne d’avoir tué depuis la fin mai plus de 1.000 personnes qui attendaient de l’aide.Selon le directeur de l’hôpital al-Chifa à Gaza-Ville, Mohammed Abou Salmiya, les décès de 21 enfants “morts de malnutrition ou de faim” ont été enregistrés en 72 heures dans différents établissements y compris le sien, l’hôpital des Martyrs d’al-Aqsa à Deir el-Balah et l’hôpital Nasser à Khan Younès.”A chaque moment, de nouveaux cas de malnutrition et de famine parviennent aux hôpitaux de Gaza”, a ajouté le médecin.A l’hôpital Nasser, dans le sud de Gaza, des images de l’AFP ont montré des parents pleurant sur la dépouille de leur fils de 14 ans, Abdul Jawad al-Ghalban, mort de faim, dont le corps squelettique venait d’être enveloppé dans un sac mortuaire blanc.  La Défense civile a annoncé mardi que des frappes israéliennes avaient fait 15 morts, dont 13 dans le camp d’Al-Shati, dans le nord de Gaza, qui abrite des milliers de déplacés.Raed Bakr, père de trois enfants âgé de 30 ans, a décrit “une explosion massive” qui a soufflé leur tente en pleine nuit.”J’ai cru être dans un cauchemar. Du feu, de la poussière, de la fumée et des morceaux de corps projetés en l’air, des débris partout. Les enfants criaient”, a témoigné à l’AFP Bakr, dont la femme a été tuée l’année dernière.- “Nuit de terreur” -Muhannad Thabet, 33 ans, a décrit “une nuit de terreur” dans ce camp, “des frappes aériennes et des explosions ininterrompues”.La Défense civile a également fait état mardi de la mort de deux personnes à Deir el-Balah, dans le centre du territoire, où Israël avait annoncé la veille étendre ses opérations et appelé la population à évacuer.L’armée israélienne a affirmé que ses soldats avaient “identifié des tirs dans leur direction dans le secteur de Deir el-Balah et avaient riposté” en visant l’origine des tirs.Selon le Bureau des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha), entre 50.000 et 80.000 personnes se trouvaient alors dans la zone et près de 88% du territoire de Gaza est désormais soumis à un ordre d’évacuation israélien ou inclus dans une zone militarisée israélienne.La situation humanitaire à Gaza est “moralement inacceptable”, a affirmé mardi le patriarche latin de Jérusalem, Pierbattista Pizzaballa.”Nous avons vu des hommes attendre pendant des heures sous le soleil dans l’espoir d’un simple repas”, a-t-il ajouté.Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, a alerté sur le risque “extrêmement élevé” de violations graves du droit international après l’extension des opérations israéliennes.- “Situation effroyable” -L’Organisation mondiale de la Santé avait annoncé lundi que son principal entrepôt à Deir el-Balah avait été attaqué et que des soldats israéliens étaient entrés dans la résidence de son personnel dans ce secteur. “Le personnel masculin et des membres de leur famille ont été menottés, déshabillés, interrogés sur place et contrôlés sous la menace d’une arme”, a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus.Après un appel lancé par 25 pays à la fin “immédiate” de la guerre, la France a réclamé mardi que la presse internationale “puisse accéder à Gaza pour montrer” ce qu’il s’y passe.Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, était interrogé sur la radio France Inter sur le cas de plusieurs collaborateurs de l’Agence France-Presse sur place qui se trouvent dans “une situation effroyable”, selon la direction de l’agence.L’attaque menée le 7 octobre 2023 par le mouvement islamiste Hamas contre Israël, qui a déclenché la guerre, a entraîné du côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles.Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là , 49 sont toujours otages à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne. En représailles, Israël a promis de détruire le Hamas et lancé une offensive dans laquelle au moins 59.106 personnes, majoritairement des civils, ont été tuées, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.
Newcastle cult hero ‘Nobby’ Solano appointed Pakistan coach
Pakistan’s embattled football federation has appointed former Newcastle United cult hero Nolberto ‘Nobby’ Solano as coach of their national teams to try to improve their dreadful record of never qualifying for a major tournament.Solano, 50, who also played for Aston Villa and West Ham United in the English Premier League before retiring in 2012, was an assistant coach for his country Peru when they qualified for the 2018 World Cup in Russia.”We have hired the services of Solano with a hope that he will bring more energy and zest to the national players and lift our standings at the international level,” the Pakistan Football Federation president, Mohsen Gilani, said in a statement.The cricket-obsessed nation has reached the second round of Asian qualifying for the FIFA World Cup only once.Pakistan are 201st of 210 teams the in FIFA world men’s team rankings, and have sought to improve standards by inducting players of Pakistan heritage based in the UK.Pakistan football has suffered badly from political parties fighting over control of the federation, which receives a large annual grant from world governing body FIFA.The federation was for 10 years run by a FIFA-appointed committee and earlier this year briefly suspended for political interference ahead of elections in May.FIFA in 2021 banned Pakistan from playing international matches for 15 months, also for political interference in the federation.Solano’s first task will be with the under-23s men’s team, who are due to face Cambodia, Iraq and Oman in September in qualifying for the U23 Asian Cup next year.Solano’s first matches in charge of the senior team will be a double-header against Afghanistan in 2027 Asian Cup qualifying in October.Pakistan kicked off their campaign with a 2-0 away defeat to Syria in March and a 1-0 loss to Myanmar in Yangon last month.
Iran: la canicule provoque pénuries d’eau, d’électricité et perturbe l’activitéÂ
Une vague de chaleur en Iran provoque des pénuries d’eau et d’électricité dans une grande partie du pays, au moment où les réservoirs d’eau sont mis à rude épreuve avec des niveaux anormalement bas, ont rapporté mardi des médias d’Etat.Pays aride, l’Iran est régulièrement confronté à des épisodes de sécheresse et les étés y sont souvent chauds, augmentant mécaniquement la consommation d’électricité pour alimenter les climatisations. Ce phénomène est amplifié cette année par des températures extrêmes: faute de pluies suffisantes, les barrages sont quasi à sec, entraînant coupures d’eau courante mais aussi d’électricité.Mercredi, administrations et bâtiments publics seront fermés dans au moins 15 des 31 provinces que compte l’Iran, afin d’économiser l’eau et l’électricité. A Téhéran et sa région, les autorités ont décrété mercredi jour férié pour cette même raison.La porte-parole du gouvernement, Fatemeh Mohajerani, a déclaré mardi que le gouvernement pourrait “prolonger” la mesure et mis en garde contre la “situation critique” pour l’approvisionnement en eau à Téhéran.La société de gestion de l’eau de la capitale a appelé dimanche les habitants à réduire leur consommation d'”au moins 20%”, afin d’atténuer la crise. “Les barrages qui alimentent Téhéran en eau sont actuellement à leur plus bas niveau depuis un siècle”, a-t-elle indiqué évoquant “la pire sécheresse depuis 60 ans” dans la capitale iranienne.Des habitants ont rapporté mardi des coupures d’eau dans certains quartiers de Téhéran. – “Crise de l’eau” -“Nous n’avons pas d’eau depuis 10 jours”, déclare à l’AFP Mme Moïni, une femme au foyer de 52 ans qui n’a pas souhaité donner son nom complet.”Notre vie s’est effondrée” à cause de la canicule, ajoute Mme Moïni.”Les gens ne peuvent pas vaquer à leurs occupations habituelles (…) ils sont contraints de rester davantage à la maison et la productivité au travail baisse”, relève pour sa part Mehdi Zandi, un technicien de 42 ans.L’agence de presse Fars a diffusé des images de sacs d’eau potable prêts à être distribués à la population en cas de nécessité.La crise de l’eau fait mardi la une de nombreux journaux en Iran. “Barrages à moitié hors-service” titre notamment le quotidien Shargh.”La crise de l’eau est plus grave que ce dont on parle aujourd’hui”, a mis en garde le président iranien, Massoud Pezeshkian, appelant dimanche ses compatriotes à “réfléchir à la consommation excessive” d’eau.- Pannes moteur -L’Iran est confronté à la semaine la plus chaude de l’année avec des températures qui dépassent localement les 50°C, selon la météo nationale.Dans le sud de l’Iran, la localité de Shabankareh a ainsi enregistré lundi 53°C.A Téhéran, des automobilistes ont été contraints de s’arrêter pour refroidir leur moteur par plus de 40°C, a constaté l’AFP.Les températures extrêmes, qui ont débuté vendredi, devraient s’atténuer à partir de jeudi, a indiqué la télévision d’Etat.Les services météo mettent en garde contre l’augmentation en journée des niveaux d’ultraviolets, dangereux pour la santé.En juillet dernier, le gouvernement avait déjà ordonné la fermeture des banques et des administrations en raison de fortes chaleurs.La consommation d’électricité avait par ailleurs atteint un niveau record avec plus de 79.000 mégawatts.
Iran: la canicule provoque pénuries d’eau, d’électricité et perturbe l’activitéÂ
Une vague de chaleur en Iran provoque des pénuries d’eau et d’électricité dans une grande partie du pays, au moment où les réservoirs d’eau sont mis à rude épreuve avec des niveaux anormalement bas, ont rapporté mardi des médias d’Etat.Pays aride, l’Iran est régulièrement confronté à des épisodes de sécheresse et les étés y sont souvent chauds, augmentant mécaniquement la consommation d’électricité pour alimenter les climatisations. Ce phénomène est amplifié cette année par des températures extrêmes: faute de pluies suffisantes, les barrages sont quasi à sec, entraînant coupures d’eau courante mais aussi d’électricité.Mercredi, administrations et bâtiments publics seront fermés dans au moins 15 des 31 provinces que compte l’Iran, afin d’économiser l’eau et l’électricité. A Téhéran et sa région, les autorités ont décrété mercredi jour férié pour cette même raison.La porte-parole du gouvernement, Fatemeh Mohajerani, a déclaré mardi que le gouvernement pourrait “prolonger” la mesure et mis en garde contre la “situation critique” pour l’approvisionnement en eau à Téhéran.La société de gestion de l’eau de la capitale a appelé dimanche les habitants à réduire leur consommation d'”au moins 20%”, afin d’atténuer la crise. “Les barrages qui alimentent Téhéran en eau sont actuellement à leur plus bas niveau depuis un siècle”, a-t-elle indiqué évoquant “la pire sécheresse depuis 60 ans” dans la capitale iranienne.Des habitants ont rapporté mardi des coupures d’eau dans certains quartiers de Téhéran. – “Crise de l’eau” -“Nous n’avons pas d’eau depuis 10 jours”, déclare à l’AFP Mme Moïni, une femme au foyer de 52 ans qui n’a pas souhaité donner son nom complet.”Notre vie s’est effondrée” à cause de la canicule, ajoute Mme Moïni.”Les gens ne peuvent pas vaquer à leurs occupations habituelles (…) ils sont contraints de rester davantage à la maison et la productivité au travail baisse”, relève pour sa part Mehdi Zandi, un technicien de 42 ans.L’agence de presse Fars a diffusé des images de sacs d’eau potable prêts à être distribués à la population en cas de nécessité.La crise de l’eau fait mardi la une de nombreux journaux en Iran. “Barrages à moitié hors-service” titre notamment le quotidien Shargh.”La crise de l’eau est plus grave que ce dont on parle aujourd’hui”, a mis en garde le président iranien, Massoud Pezeshkian, appelant dimanche ses compatriotes à “réfléchir à la consommation excessive” d’eau.- Pannes moteur -L’Iran est confronté à la semaine la plus chaude de l’année avec des températures qui dépassent localement les 50°C, selon la météo nationale.Dans le sud de l’Iran, la localité de Shabankareh a ainsi enregistré lundi 53°C.A Téhéran, des automobilistes ont été contraints de s’arrêter pour refroidir leur moteur par plus de 40°C, a constaté l’AFP.Les températures extrêmes, qui ont débuté vendredi, devraient s’atténuer à partir de jeudi, a indiqué la télévision d’Etat.Les services météo mettent en garde contre l’augmentation en journée des niveaux d’ultraviolets, dangereux pour la santé.En juillet dernier, le gouvernement avait déjà ordonné la fermeture des banques et des administrations en raison de fortes chaleurs.La consommation d’électricité avait par ailleurs atteint un niveau record avec plus de 79.000 mégawatts.
Iran: la canicule provoque pénuries d’eau, d’électricité et perturbe l’activitéÂ
Une vague de chaleur en Iran provoque des pénuries d’eau et d’électricité dans une grande partie du pays, au moment où les réservoirs d’eau sont mis à rude épreuve avec des niveaux anormalement bas, ont rapporté mardi des médias d’Etat.Pays aride, l’Iran est régulièrement confronté à des épisodes de sécheresse et les étés y sont souvent chauds, augmentant mécaniquement la consommation d’électricité pour alimenter les climatisations. Ce phénomène est amplifié cette année par des températures extrêmes: faute de pluies suffisantes, les barrages sont quasi à sec, entraînant coupures d’eau courante mais aussi d’électricité.Mercredi, administrations et bâtiments publics seront fermés dans au moins 15 des 31 provinces que compte l’Iran, afin d’économiser l’eau et l’électricité. A Téhéran et sa région, les autorités ont décrété mercredi jour férié pour cette même raison.La porte-parole du gouvernement, Fatemeh Mohajerani, a déclaré mardi que le gouvernement pourrait “prolonger” la mesure et mis en garde contre la “situation critique” pour l’approvisionnement en eau à Téhéran.La société de gestion de l’eau de la capitale a appelé dimanche les habitants à réduire leur consommation d'”au moins 20%”, afin d’atténuer la crise. “Les barrages qui alimentent Téhéran en eau sont actuellement à leur plus bas niveau depuis un siècle”, a-t-elle indiqué évoquant “la pire sécheresse depuis 60 ans” dans la capitale iranienne.Des habitants ont rapporté mardi des coupures d’eau dans certains quartiers de Téhéran. – “Crise de l’eau” -“Nous n’avons pas d’eau depuis 10 jours”, déclare à l’AFP Mme Moïni, une femme au foyer de 52 ans qui n’a pas souhaité donner son nom complet.”Notre vie s’est effondrée” à cause de la canicule, ajoute Mme Moïni.”Les gens ne peuvent pas vaquer à leurs occupations habituelles (…) ils sont contraints de rester davantage à la maison et la productivité au travail baisse”, relève pour sa part Mehdi Zandi, un technicien de 42 ans.L’agence de presse Fars a diffusé des images de sacs d’eau potable prêts à être distribués à la population en cas de nécessité.La crise de l’eau fait mardi la une de nombreux journaux en Iran. “Barrages à moitié hors-service” titre notamment le quotidien Shargh.”La crise de l’eau est plus grave que ce dont on parle aujourd’hui”, a mis en garde le président iranien, Massoud Pezeshkian, appelant dimanche ses compatriotes à “réfléchir à la consommation excessive” d’eau.- Pannes moteur -L’Iran est confronté à la semaine la plus chaude de l’année avec des températures qui dépassent localement les 50°C, selon la météo nationale.Dans le sud de l’Iran, la localité de Shabankareh a ainsi enregistré lundi 53°C.A Téhéran, des automobilistes ont été contraints de s’arrêter pour refroidir leur moteur par plus de 40°C, a constaté l’AFP.Les températures extrêmes, qui ont débuté vendredi, devraient s’atténuer à partir de jeudi, a indiqué la télévision d’Etat.Les services météo mettent en garde contre l’augmentation en journée des niveaux d’ultraviolets, dangereux pour la santé.En juillet dernier, le gouvernement avait déjà ordonné la fermeture des banques et des administrations en raison de fortes chaleurs.La consommation d’électricité avait par ailleurs atteint un niveau record avec plus de 79.000 mégawatts.