Stock markets diverge as traders weigh future Fed cuts

Stock markets diverged on Thursday as investors digested US inflation data that supported the case for another interest rate cut next month, while worries over Donald Trump’s presidency clouded optimism.Bitcoin was trading above the $90,000 level but below Wednesday’s record of $93,462. Observers are expecting it to soon top $100,000 following pro-crypto pledges from the US president-elect.US inflation data showed that consumer prices rose in line with forecasts, cementing expectations that the Federal Reserve will cut interest rates again next month. “Inflation is moving sideways on a year-on-year basis, but there is nothing in (the) report that would alarm the Fed,” said Bank of America Global Research in a report.”A 25-basis-point cut in December firmly remains our base case.”Still, there are worries about the impact of Trump’s plans to slash taxes, ease regulations and impose huge tariffs on imports — particularly from China — which observers say could reignite inflation.Some players are now scaling back their bets on how many cuts the Fed will make in 2025 in response to that.Tokyo, Hong Kong and Shanghai all fell on Thursday as concerns over another possible China-US trade war, and Beijing’s economic woes, weighed on Asian markets.European markets fared better, ahead of data on the health of the Eurozone’s economy due later in the day and data on the UK economy due on Friday.Shares in struggling British fashion house Burberry rose around 15 percent on London’s FTSE 250 as the group announced cost-cutting plans after posting a loss. The dollar built on advances against its peers on the prospect that Trump’s policies will keep the Fed from cutting interest rates as much as initially expected.The greenback topped 155 yen for the first time since July, putting focus on Japanese authorities who have said they are prepared to support their unit if they considered moves to be one-sided or speculative.The dollar was also at a more than one-year high against the euro.In company news, Chinese tech giant Tencent rose more than one percent after an upbeat earnings announcement in which it saw forecast-beating profits in the third quarter.It also said it saw signs of a recovery in the world’s number two economy.Chinese e-commerce giant JD.com also announced a pickup in third-quarter revenue, in a positive sign for the firm as it grapples with lacklustre consumer spending. The firm’s latest results — as well as rival Alibaba’s expected third-quarter filing on Friday — are being closely scrutinised by analysts and investors for signs that recent measures taken by the Chinese government to boost activity are having an impact.- Key figures around 1100 GMT -London – FTSE 100: UP 0.3 percent at 8,052.13Paris – CAC 40: UP 0.9 percent at 7,284.77Frankfurt – DAX: UP 1.2 percent at 19,220.72Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.5 percent at 38,535.70 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 2.0 percent at 19,435.81 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.7 percent at 3,379.84 (close)New York – Dow: UP 0.1 percent at 43,958.19 (close) Dollar/yen: UP at 155.71 yen from 155.51 yen on WednesdayEuro/dollar: DOWN at $1.0508 from $1.0564Pound/dollar: DOWN at $1.2636 from $1.2710Euro/pound: UP at 83.19 pence from 83.11 penceWest Texas Intermediate: UP 0.4 percent at $68.70 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.4 percent at $72.55 per barrel

En Nouvelle-Calédonie, Larcher et Braun-Pivet plaident pour une “souveraineté partagée” dans la République

Au terme d’une mission de concertation de trois jours en Nouvelle-Calédonie, secouée par des violences pendant plusieurs mois qui ont fait 13 morts et des milliards d’euros de dégâts, les présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale ont plaidé pour une “souveraineté partagée” dans la République.Lors d’un entretien d’une demi-heure accordé mardi soir aux chaînes de télévision de Nouvelle-Calédonie La 1ere et Caledonia, Gérard Larcher et Yaël Braun-Pivet ont une dernière fois martelé le message répété au cours de leur visite sur le “Caillou”, avant de s’envoler pour Paris: “Nous vous invitons à construire une solution innovante”, a lancé la présidente de l’Assemblée nationale. Mais “sans vous enfermer dans des idéologies”, a ajouté son homologue de la chambre haute. Le matin même, six mois jour pour jour après le début des émeutes qui ont mis à terre l’économie de l’archipel sur fond de contestation indépendantiste de la réforme du corps électoral, les deux présidents de chambre missionnés par le gouvernement Barnier ont rencontré des chefs d’entreprise dans les décombres d’un centre commercial, parti en fumée.La veille, ils étaient allés à la rencontre des habitants du Mont-Dore, au sud de Nouméa, quasi inaccessible jusqu’en septembre en raison de l’insécurité qui règne depuis mai sur la seule route existante. Pour permettre aux 15.000 habitants du Sud de se déplacer, des navettes maritimes ont été mises en place en direction de la capitale. Elles sont aujourd’hui toujours en place, car si la route a rouvert à la circulation à la mi-octobre, c’est sous escorte de blindés de la gendarmerie et uniquement à certaines heures.- “Colonies lointaines” -Des déplacement au plus près des habitants, rares lors des déplacements officiels dans l’archipel.”Dites-nous ce que vous vivez, afin que nous soyons lucides sur votre situation”, a ainsi lancé M. Larcher mardi soir à l’occasion d’un échange ouvert au public à la mairie de Nouméa. Deux heures après le début de la rencontre, les parlementaires faisaient encore face à une haie de mains levées. Une soirée marquée par des propos sans fard, plutôt rares en Nouvelle-Calédonie, surnommé le “pays du non-dit”. “Est-ce que vous vous sentez assez proches de vos colonies lointaines ? Car c’est ça, la question”, leur a lancé Frédéric, un trentenaire qui n’a pas donné son patronyme.Buama, un habitant des quartiers populaires, a lui reproché à l’État “de ne pas être allé au bout de l’accord de Nouméa”, faisant référence au référendum de 2021, boycotté par les indépendantistes, qui avait donc vu sans surprise le vote en faveur du maintien dans la République française l’emporter.”J’ai toujours connu la paix, car je suis né après les événements des années 1980, raconte le trentenaire. Et voilà qu’il y a eu le 13 mai, que tout a changé. Aujourd’hui, on ne vit plus. On compte les paquets de riz qui restent sur l’étagère pour finir le mois.” – Paix perdue -Le regret de cette paix perdue transparaît dans toutes les prises de parole. “Je suis né en 1979, j’ai grandi avec les événements (des années 1980) et j’ai cru que les accords me garantissaient, à 45 ans aujourd’hui, un présent paisible, je me suis trompé”, soupire Alexandre, un habitant métis. Et de déplorer “l’incapacité” des politiques “à concilier deux visions du monde: la +société de l’être+, de la communauté, du monde kanak, et la +société de l’avoir+ du monde européen”. “Pourtant, dans notre quotidien, on arrive très bien à vivre les deux.”Des interrogations auxquelles font écho les discours prononcés par les parlementaires devant les élus calédoniens. “Vous faites partie de la République et vous n’êtes pas abandonnés, même si vous en avez eu l’impression, a déclaré M. Larcher. Le drame économique n’est pas le seul. Il se double d’une crise d’identité qui sape les fondements même de ce que notre génération s’est efforcée de construire après les déchirements des années 1980 et la tragédie d’Ouvéa.” “En vertu de quelle absurde vision de l’Histoire ne pourriez-vous pas faire vivre à la fois les valeurs kanak et les valeurs républicaines, en les conjuguant ?”, a-t-il poursuivi, avant d’évoquer la “nécessité de réfléchir à la notion de souveraineté”.”Il n’existe que des souverainetés partagées. C’est un choix qui n’est pas nécessairement binaire et qui peut passer par une construction imaginative et originale au sein de la République, si les Calédoniens le souhaitent”, a estimé le président du Sénat. 

S.Africa police urge illegal miners to leave shaftThu, 14 Nov 2024 10:55:52 GMT

South African police and ambulances were at the site Thursday of an old gold mine shaft where around 4,000 illegal miners were claimed to be underground, facing arrest if they surface.Five clandestine miners were hauled out of the shaft by rope Wednesday at Stilfontein, about 140 kilometres (90 miles) southwest of Johannesburg, a police spokesman …

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Uganda TikToker convicted for insulting presidentThu, 14 Nov 2024 10:37:37 GMT

A Ugandan court has convicted a 21-year-old content creator for calling for the public flogging of President Yoweri Museveni on video-sharing platform TikTok, a state prosecutor said on Thursday. Emmanuel Nabugodi, who created a video depicting a mock Museveni trial, faces up to seven years in prison for “spreading hate speech” against the head of state.He …

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As Trump returns, African exporters torn between hope and horrorThu, 14 Nov 2024 10:25:53 GMT

Citrus growers in South Africa are among the businesses most nervous that duty- and quota-free exports to the United States could be scrapped next year when Donald Trump returns to the White House.The fruits are among 1,800 products across 32 African countries benefitting from preferential market access under the African Growth and Opportunity Act (AGOA), …

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Most markets drop as traders weigh Fed; bitcoin eases

Markets mostly fell Thursday as investors digested US inflation data that supported the case for another interest rate cut next month, while worries over Donald Trump’s next administration continued to cloud optimism.Bitcoin eased just below the $90,000 level it broke for the first time Wednesday when it hit a record $93,462, with observers expecting it to soon top $100,000 following pro-crypto pledges from the US president-elect.After a tough first half of the week for Asian investors, many are trying to get back into the game via bargain-buying, but concerns over another possible China-US trade war, and Beijing’s economic woes, are weighing on confidence.Wall Street provided a tepid lead after news that US consumer prices had picked up pace last month from September, which was in line with forecasts but highlighted the slow progress in bringing inflation under control.The figure lifted hopes that the Federal Reserve will cut rates again next month.”This is a business-as-usual print for the Fed. Inflation is moving sideways on a year-on-year basis, but there is nothing in (the) report that would alarm the Fed,” said Bank of America Global Research in a report.”A 25-basis-point cut in December firmly remains our base case.”Still, officials at the US central bank trod a careful road.Minneapolis Fed boss Neel Kashkari said: “Right now, I think that inflation is headed in the right direction. I’ve got confidence about that, but we need to wait.””We’ve got another month or six weeks of data to analyse before we make any decisions,” he said in an interview with Bloomberg Television.His Dallas counterpart Lorie Logan added that she saw more reductions to borrowing costs but that the neutral level — one which supports growth but keeps inflation in check — was uncertain.”I think it behooves us to proceed cautiously at this point,” she said.Still, there are worries about the impact of Trump’s plans to slash taxes, ease regulations and impose huge tariffs on imports — particularly from China — which observers say could reignite inflation.Some players are now scaling back their bets on how many cuts the Fed will make in 2025 in response to that.After Wall Street’s flat day, Asia struggled.Tokyo, Hong Kong, Shanghai, Mumbai, Taipei, Manila, Bangkok and Jakarta all fell, though Sydney, Seoul, Singapore and Wellington eked out gains.London opened lower, though Paris and Frankfurt edged up.The dollar built on advances against its peers on the prospect that Trump’s policies will keep the Fed from cutting as much as initially expected.The greenback topped 155 yen for the first time since July, putting focus on Japanese authorities who have said they are prepared to support their unit if they considered moves to be one-sided or speculative.The dollar was also at a more than one-year high against the euro.In company news, Chinese tech giant Tencent rose more than one percent after an upbeat earnings announcement in which it saw forecast-beating profits in the third quarter.It also said it saw signs of a recovery in the world’s number two economy.The results are expected to be followed this week by fellow tech titans JD.com and Alibaba, which will be pored over for signs of an improvement in Chinese domestic consumption.- Key figures around 0810 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.5 percent at 38,535.70 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 2.0 percent at 19,435.81 (close)Shanghai – Composite: DOWN 1.7 percent at 3,379.84 (close)London – FTSE 100: DOWN 0.1 percent at 8,024.02Dollar/yen: UP at 155.71 yen from 155.51 yen on WednesdayEuro/dollar: DOWN at $1.0555 from $1.0564Pound/dollar: DOWN at $1.2694 from $1.2710Euro/pound: UP at 83.15 pence from 83.11 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.5 percent at $68.06 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.5 percent at $71.92 per barrelNew York – Dow: UP 0.1 percent at 43,958.19 (close) 

Le match France-Israël doit être un “anti-Amsterdam”, espère le président du Crif

Le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) Yonathan Arfi s’est dit jeudi “inquiet et vigilant”, à quelques heures du match “symbole” France-Israël, espérant qu’il donnera à voir “l’anti-Amsterdam”.”On est inquiets. On est vigilants parce que nous savons que ce soir se tient le match France-Israël sous haute tension sécuritaire, avec beaucoup de menaces”, a déclaré le représentant du Crif sur RTL.La pression est à son comble avant ce rendez-vous de football comptant pour la Ligue des nations, dont l’enjeu sportif est largement éclipsé par le contexte du conflit au Proche-Orient et le climat exacerbé par les violences récentes en marge d’un match du Maccabi Tel-Aviv à Amsterdam. Plus de 4.000 policiers et gendarmes ont été déployés pour en assurer la sécurité.”Il faut aller voir ce match car c’est devenu un symbole qui va au-delà du sport, un symbole presque politique d’affirmation face à l’antisémitisme, d’affirmation républicaine tout court”, a affirmé Yonathan Arfi.”C’est l’anti-Amsterdam que nous devons donner à voir ce soir”, a plaidé le président du Crif, en référence aux incidents graves ayant suivi la rencontre de Ligue Europa entre l’Ajax et le Maccabi Tel-Aviv, dans la nuit du 7 au 8 novembre aux Pays-Bas.Pour le président du Crif, la présence du président de la République Emmanuel Macron dans les tribunes du stade de France, à Saint-Denis, ainsi que de ses prédécesseurs François Hollande et Nicolas Sarkozy selon plusieurs médias, est “un signal fort”.”Nous avons besoin de symboles dans notre pays. Face à l’antisémitisme, mais face à la haine de manière générale nous avons besoin de rappeler ce qu’est la concorde civile”, a-t-il ajouté.

Inéligibilité éventuelle de Marine Le Pen: “un grand numéro d’hypocrisie” du RN dénonce Bertrand (LR)

Le président LR de la région Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a critiqué jeudi le “grand numéro d’hypocrisie” joué par l’extrême droite qui a dénoncé une “atteinte à la démocratie” après  la peine d’inéligibilité requise contre Marine Le Pen au procès des assistants des eurodéputés RN.”Qu’on arrête avec le déni de démocratie”, de faire comme si le Rassemblement national (RN) “ne serait pas capable de présenter un candidat: ils ont un candidat de rechange, il s’appelle Bardella, il n’attend que cela”, a déclaré sur RTL cet adversaire historique de la triple candidate à la présidentielle. “La démocratie, c’est aussi le respect de la justice”, a-t-il lancé, rappelant qu’en 2004, au moment du procès d’Alain Juppé dans le dossier des emplois fictifs du RPR, où le potentiel candidat à la présidentielle avait été touché par une peine d’inéligibilité, Marine Le Pen avait estimé qu'”il y en a marre de ces élus qui détournent de l’argent”. Mercredi à Paris, l’accusation a requis cinq ans de prison, dont deux ans de prison ferme, et cinq ans d’inéligibilité contre Marine Le Pen, qui était selon elle au “centre” d’un “système organisé” visant à faire du parlement européen la “vache à lait” du RN.Quant à l’ancien ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin qui a critiqué ces réquisitions car selon lui “combattre Marine Le Pen se fait dans les urnes, pas ailleurs”, “il n’aurait pas dû dire ça”, a estimé Xavier Bertrand, qui est un de ses proches. “Ou alors il va au bout de sa pensée et il dépose une proposition de loi pour supprimer l’inéligibilité”, a-t-il avancé. “Mais en attendant, la loi existe, elle s’applique à tous et personne n’est au-dessus des lois”. “La loi s’applique à tout le monde”, a renchéri sur Public Sénat la ministre chargée des Relations avec le Parlement Nathalie Delattre qui a trouvé “choquant” le commentaire de Gérald Darmanin.