Ligue 1: Rennes implose, Strasbourg sur sa lancée
Rennes a été plombé par deux exclusions en début de match et a coulé 4-0 dans le derby breton à Lorient, dimanche lors de la 2e journée de Ligue 1, qui a vu Strasbourg poursuivre sur sa lancée de la saison dernière avec une deuxième victoire.Emmanuel Emegha a permis au RCSA de s’imposer 1-0 contre Nantes à la Meinau, d’une tête croisée sur un service impeccable de Dilane Bakwa, en fin de match. L’attaquant néerlandais venait pourtant de rater une reprise à bout portant devant le but vide. Strasbourg rejoint en tête du classement le PSG, Lyon, mais aussi Toulouse.Les hommes de Carles Martinez Novell ont en effet à nouveau gagné dimanche, contre Brest cette fois (2-0) sur un doublé au retour des vestiaires de Frank Magri. Les Brestois se préparent peut-être à une saison difficile après les deux derniers exercices glorieux (troisième place puis participation réussie à la Ligue des champions). Comme un symbole, l’entraîneur Eric Roy a remplacé au cours du match le capitaine défenseur Brendan Chardonnet.De son côté, Rennes a manqué l’occasion de surfer sur sa victoire en infériorité numérique face à Marseille la semaine dernière. L’équipe entraînée par Habib Beye a été affaiblie par les deux exclusions successives, lors des 11 premières minutes, de la recrue Mahdi Camara puis de Christopher Wooh.Après avoir buté sur une défense regroupée, Lorient a déroulé et inscrit quatre buts. Les deux équipes comptent trois points.Lens s’est pour sa part bien repris de sa défaite cruelle contre Lyon le weekend dernier en allant s’imposer au stade Océane du Havre (2-1) grâce notamment au premier but en L1 du jeune Rayan Fofana, 19 ans.
Ligue 1: Rennes implose, Strasbourg sur sa lancée
Rennes a été plombé par deux exclusions en début de match et a coulé 4-0 dans le derby breton à Lorient, dimanche lors de la 2e journée de Ligue 1, qui a vu Strasbourg poursuivre sur sa lancée de la saison dernière avec une deuxième victoire.Emmanuel Emegha a permis au RCSA de s’imposer 1-0 contre Nantes à la Meinau, d’une tête croisée sur un service impeccable de Dilane Bakwa, en fin de match. L’attaquant néerlandais venait pourtant de rater une reprise à bout portant devant le but vide. Strasbourg rejoint en tête du classement le PSG, Lyon, mais aussi Toulouse.Les hommes de Carles Martinez Novell ont en effet à nouveau gagné dimanche, contre Brest cette fois (2-0) sur un doublé au retour des vestiaires de Frank Magri. Les Brestois se préparent peut-être à une saison difficile après les deux derniers exercices glorieux (troisième place puis participation réussie à la Ligue des champions). Comme un symbole, l’entraîneur Eric Roy a remplacé au cours du match le capitaine défenseur Brendan Chardonnet.De son côté, Rennes a manqué l’occasion de surfer sur sa victoire en infériorité numérique face à Marseille la semaine dernière. L’équipe entraînée par Habib Beye a été affaiblie par les deux exclusions successives, lors des 11 premières minutes, de la recrue Mahdi Camara puis de Christopher Wooh.Après avoir buté sur une défense regroupée, Lorient a déroulé et inscrit quatre buts. Les deux équipes comptent trois points.Lens s’est pour sa part bien repris de sa défaite cruelle contre Lyon le weekend dernier en allant s’imposer au stade Océane du Havre (2-1) grâce notamment au premier but en L1 du jeune Rayan Fofana, 19 ans.
‘KPop Demon Hunters’ takes N. American box office by storm
Netflix’s monster animated hit “KPop Demon Hunters” ruled the North American box office with a special singalong event, raking in $18 million in a first victory in theaters for the streaming giant, industry estimates showed Sunday.Netflix refuses to report ticket sales data, so the amount is based on projections from rival studios and exhibitors, but it is a huge showing for the famously cinema-averse streamer, whose film has already topped music charts and smashed viewing records.Released in June, “KPop Demon Hunters” is already Netflix’s most-watched animated offering. The weekend singalongs at theaters in five countries were expected to draw legions of fans ready to watch the tale of a Kpop girl group that protects the world from demons with their music — and belt out the movie’s catchy bangers.”This weekend, a streaming production made for viewing at home is connecting on a level that theatrical hits rarely reach,” said analyst David A. Gross of Franchise Entertainment Research.”For 48 hours, this made-for-television film is playing to sold-out audiences who are singing, dancing, dressing up, and losing themselves in the fun. That’s pop entertainment at its best.”Buzzy horror film “Weapons” — which topped the box office for the last two weeks — will likely be the official winner again this week, given Netflix’s refusal to release official figures. The Warner Bros. movie — which tells the story of the mysterious disappearance of a group of children from the same school class — made $15.6 million from Friday to Sunday, Exhibitor Relations reported. In third place was Disney’s “Freakier Friday” starring Lindsay Lohan and Jamie Lee Curtis, the much-anticipated sequel to the 2003 body-swapping family film, at $9.2 million.”The Fantastic Four: First Steps,” Disney’s reboot of the Marvel Comics franchise, held in fourth place at $5.9 million.And in fifth place was Universal’s family-friendly animation sequel “The Bad Guys 2,” about a squad of goofy animal criminals actually doing good in their rebranded lives, earning $5.1 million.Rounding out the top 10 were:”Nobody 2″ ($3.7 million)”Superman” ($3.4 million)”Honey Don’t” ($3.0 million)”The Naked Gun” ($2.95 million)”Jurassic World: Rebirth” ($2.1 million)
Zelensky réclame à nouveau une rencontre avec Poutine, Moscou lui reproche son insistance
Volodymyr Zelensky a affirmé dimanche, le jour de la fête de l’indépendance de l’Ukraine, qu’une rencontre avec Vladimir Poutine constituait le moyen “le plus efficace pour avancer”, alors que Moscou lui reproche son insistance à la réclamer “coûte que coûte”, au moment où les efforts diplomatiques pour régler le conflit semblent s’enliser. Invité à Kiev, le Premier ministre canadien Mark Carney à quant à lui mis en garde sur le fait que, selon lui, l’invasion russe de l’Ukraine “ne s’arrêtera pas là”, si elle reste “sans réponse” des alliés de ce pays.”Nous devons continuer à faire pression sur la Russie pour qu’elle mette fin à cette guerre, pour qu’elle y mette fin dans la dignité, avec une sécurité et une paix garanties. Cela n’est possible que grâce à la force combinée de tous ceux qui, dans le monde, veulent la paix et respectent le droit international. Le format des pourparlers entre dirigeants est le moyen le plus efficace d’aller de l’avant”, a de son côté dit M. Zelensky pendant leur conférence de presse commune.Après les efforts déployés par le président américain Donald Trump pour négocier la tenue d’une réunion entre ses homologues russe et ukrainien, les espoirs de paix se sont amenuisés lorsque la Russie a exclu vendredi l’organisation immédiate d’un tel sommet.- “Ce n’est pas à la Russie de décider” -Un peu plus tôt, le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, avait dénoncé la position du chef de l’Etat ukrainien qui, avait-il martelé, “s’entête, pose des conditions, réclame coûte que coûte” cette rencontre.L’émissaire américain pour l’Ukraine Keith Kellogg était aussi dans la capitale ukrainienne dimanche où il a assisté aux célébrations du Jour de l’Indépendance et a été à cette occasion décoré.Dans un entretien avec la chaîne de télévision NBC diffusée le même jour, le vice-président américain JD Vance a pour sa part jugé que les Russes avaient ces derniers temps fait d'”importantes concessions” sur l’Ukraine auprès de Donald Trump.”Ils veulent en fait être flexibles sur certaines de leurs exigences fondamentales”, a-t-il ajouté.Chacun des belligérants tente de s’attirer les faveurs des Etats-Unis, désireux de mettre fin à trois ans de conflit en Ukraine, le président américain ayant rencontré Vladimir Poutine en Alaska le 15 août et Volodymyr Zelensky et ses alliés européens juste après.”Ce n’est pas à la Russie de décider comment garantir la souveraineté, l’indépendance et la liberté de l’Ukraine à l’avenir. C’est le choix de l’Ukraine et les décisions des partenaires”, a insisté Mark Carney devant les journalistes.Il a d’ailleurs appelé dimanche à un cessez-le-feu entre la Russie et l’Ukraine, alors que M. Trump préfère un accord de paix direct entre ces deux pays pour mettre fin à la guerre.- Sueur et sang -Tandis que, sur le front, l’armée russe continue de progresser, le commandant en chef des forces ukrainiennes, Oleksandre Syrsky, a assuré dimanche que ses soldats avaient repris trois villages de la région orientale de Donetsk qui étaient tombés sous le contrôle de la Russie.”Nos troupes ont contre-attaqué avec succès et libéré de l’ennemi les villages de Mykhailivka, Zeleniï Gai et Volodymyrivka dans la région de Donetsk”, situés non loin de la région centrale de Dnipropetrovsk, a-t-il annoncé sur Facebook. Une femme de 47 ans a été tuée le matin même dans une frappe de drone russe dans cette même région, selon son gouverneur.La Russie avait lancé 72 drones de type Shahed et divers leurres ainsi qu’un missile balistique, ont dit les forces aériennes ukrainiennes.Ce Jour de l’Indépendance a un “goût de sueur et de sang”, a à cet égard commenté auprès de l’AFP Dobriï, un médecin militaire, non loin du front est. “Je suis un patriote dans l’âme mais quand le Jour de l’Indépendance est devenu un jour de combat, le sentiment est un peu différent”, a-t-il poursuivi.Dimanche également, l’Ukraine et la Russie ont affirmé avoir chacune renvoyé chez eux 146 prisonniers de guerre et civils dans le cadre d’une série d’échanges qui restent l’un des rares domaines de coopération entre Kiev et Moscou.- Appels à la paix “ignorés” -Dans la nuit de samedi à dimanche, l’armée ukrainienne a procédé à une série d’attaques de drones sur le territoire russe, déclenchant des incendies sur le site d’une centrale nucléaire et dans un terminal pétrolier.”Voici comment l’Ukraine réagit lorsque ses appels à la paix sont ignorés”, avait proclamé le président Zelensky, illustrant l’enlisement des pourparlers.L’un des drones “a explosé et endommagé un transformateur auxiliaire” de la centrale nucléaire située dans la région russe frontalière de Koursk, a annoncé son opérateur sur son compte Telegram. “Le niveau de radiation sur place (…) et dans les environs n’a pas changé et correspond aux niveaux normaux”, selon la même source.Sur les rives de la Baltique, des raids de drones ukrainiens ayant visé le port d’Oust-Louga ont provoqué un incendie dans un terminal pétrolier du groupe russe Novatek, a souligné le gouverneur régional Alexandre Drozdenko sur Telegram.Une attaque que l’Ukraine a revendiquée.L’armée ukrainienne a aussi assuré voir touché la raffinerie de pétrole de Syzran, à 800 km de la frontière, dans la région méridionale russe de Samara, déjà prise pour cible par le passé.
Zelensky réclame à nouveau une rencontre avec Poutine, Moscou lui reproche son insistance
Volodymyr Zelensky a affirmé dimanche, le jour de la fête de l’indépendance de l’Ukraine, qu’une rencontre avec Vladimir Poutine constituait le moyen “le plus efficace pour avancer”, alors que Moscou lui reproche son insistance à la réclamer “coûte que coûte”, au moment où les efforts diplomatiques pour régler le conflit semblent s’enliser. Invité à Kiev, le Premier ministre canadien Mark Carney à quant à lui mis en garde sur le fait que, selon lui, l’invasion russe de l’Ukraine “ne s’arrêtera pas là”, si elle reste “sans réponse” des alliés de ce pays.”Nous devons continuer à faire pression sur la Russie pour qu’elle mette fin à cette guerre, pour qu’elle y mette fin dans la dignité, avec une sécurité et une paix garanties. Cela n’est possible que grâce à la force combinée de tous ceux qui, dans le monde, veulent la paix et respectent le droit international. Le format des pourparlers entre dirigeants est le moyen le plus efficace d’aller de l’avant”, a de son côté dit M. Zelensky pendant leur conférence de presse commune.Après les efforts déployés par le président américain Donald Trump pour négocier la tenue d’une réunion entre ses homologues russe et ukrainien, les espoirs de paix se sont amenuisés lorsque la Russie a exclu vendredi l’organisation immédiate d’un tel sommet.- “Ce n’est pas à la Russie de décider” -Un peu plus tôt, le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, avait dénoncé la position du chef de l’Etat ukrainien qui, avait-il martelé, “s’entête, pose des conditions, réclame coûte que coûte” cette rencontre.L’émissaire américain pour l’Ukraine Keith Kellogg était aussi dans la capitale ukrainienne dimanche où il a assisté aux célébrations du Jour de l’Indépendance et a été à cette occasion décoré.Dans un entretien avec la chaîne de télévision NBC diffusée le même jour, le vice-président américain JD Vance a pour sa part jugé que les Russes avaient ces derniers temps fait d'”importantes concessions” sur l’Ukraine auprès de Donald Trump.”Ils veulent en fait être flexibles sur certaines de leurs exigences fondamentales”, a-t-il ajouté.Chacun des belligérants tente de s’attirer les faveurs des Etats-Unis, désireux de mettre fin à trois ans de conflit en Ukraine, le président américain ayant rencontré Vladimir Poutine en Alaska le 15 août et Volodymyr Zelensky et ses alliés européens juste après.”Ce n’est pas à la Russie de décider comment garantir la souveraineté, l’indépendance et la liberté de l’Ukraine à l’avenir. C’est le choix de l’Ukraine et les décisions des partenaires”, a insisté Mark Carney devant les journalistes.Il a d’ailleurs appelé dimanche à un cessez-le-feu entre la Russie et l’Ukraine, alors que M. Trump préfère un accord de paix direct entre ces deux pays pour mettre fin à la guerre.- Sueur et sang -Tandis que, sur le front, l’armée russe continue de progresser, le commandant en chef des forces ukrainiennes, Oleksandre Syrsky, a assuré dimanche que ses soldats avaient repris trois villages de la région orientale de Donetsk qui étaient tombés sous le contrôle de la Russie.”Nos troupes ont contre-attaqué avec succès et libéré de l’ennemi les villages de Mykhailivka, Zeleniï Gai et Volodymyrivka dans la région de Donetsk”, situés non loin de la région centrale de Dnipropetrovsk, a-t-il annoncé sur Facebook. Une femme de 47 ans a été tuée le matin même dans une frappe de drone russe dans cette même région, selon son gouverneur.La Russie avait lancé 72 drones de type Shahed et divers leurres ainsi qu’un missile balistique, ont dit les forces aériennes ukrainiennes.Ce Jour de l’Indépendance a un “goût de sueur et de sang”, a à cet égard commenté auprès de l’AFP Dobriï, un médecin militaire, non loin du front est. “Je suis un patriote dans l’âme mais quand le Jour de l’Indépendance est devenu un jour de combat, le sentiment est un peu différent”, a-t-il poursuivi.Dimanche également, l’Ukraine et la Russie ont affirmé avoir chacune renvoyé chez eux 146 prisonniers de guerre et civils dans le cadre d’une série d’échanges qui restent l’un des rares domaines de coopération entre Kiev et Moscou.- Appels à la paix “ignorés” -Dans la nuit de samedi à dimanche, l’armée ukrainienne a procédé à une série d’attaques de drones sur le territoire russe, déclenchant des incendies sur le site d’une centrale nucléaire et dans un terminal pétrolier.”Voici comment l’Ukraine réagit lorsque ses appels à la paix sont ignorés”, avait proclamé le président Zelensky, illustrant l’enlisement des pourparlers.L’un des drones “a explosé et endommagé un transformateur auxiliaire” de la centrale nucléaire située dans la région russe frontalière de Koursk, a annoncé son opérateur sur son compte Telegram. “Le niveau de radiation sur place (…) et dans les environs n’a pas changé et correspond aux niveaux normaux”, selon la même source.Sur les rives de la Baltique, des raids de drones ukrainiens ayant visé le port d’Oust-Louga ont provoqué un incendie dans un terminal pétrolier du groupe russe Novatek, a souligné le gouverneur régional Alexandre Drozdenko sur Telegram.Une attaque que l’Ukraine a revendiquée.L’armée ukrainienne a aussi assuré voir touché la raffinerie de pétrole de Syzran, à 800 km de la frontière, dans la région méridionale russe de Samara, déjà prise pour cible par le passé.