Israël annonce avoir tué le porte-parole de la branche armée du Hamas

Israël a annoncé dimanche avoir tué le porte-parole de la branche armée du mouvement islamiste Hamas dans la bande de Gaza, à l’heure où son armée poursuit son offensive dans le territoire palestinien affamé et ravagé par la guerre.”Nous avons désormais peur de la nuit et de dormir dans nos tentes”, affirme Iman Rajab, une habitante de Gaza, après des raids israéliens intenses ayant fait au moins 63 morts dimanche selon la Défense civile.”Le porte-parole terroriste du Hamas, Abou Obeida, a été éliminé à Gaza et a rejoint les autres (personnes) éliminées de l’axe du mal d’Iran, du Liban et du Yémen au fond de l’enfer”, a affirmé le ministre de la Défense israélien, Israël Katz, sur son compte X.L’armée israélienne a également fait état de la mort de “Houdhayfa al-Kahlout, alias Abou Obeida”. Le Hamas, dont l’attaque sans précédent le 7 octobre 2023 contre Israël a déclenché la guerre à Gaza, n’a pas réagi dans l’immédiat à cette annonce.”Ce n’est pas fini, la plupart des dirigeants du Hamas se trouvent à l’étranger, et nous les atteindrons également”, a déclaré le chef d’état-major de l’armée israélienne, Eyal Zamir.Porte-parole des Brigades Ezzedine al-Qassam depuis 2002, Abou Obeida avait été l’un des chefs du Hamas à annoncer dans une vidéo l’attaque du 7-Octobre.Depuis le début de la guerre, il a fait des dizaines de discours télévisés et publié des messages audio, ainsi que des communiqués de presse et des tweets sur les réseaux sociaux du mouvement. Il apparaît toujours en uniforme militaire et son visage couvert d’un keffieh. Une nouvelle vague de bombardements israéliens nocturnes a ciblé plusieurs secteurs de la bande de Gaza, dont la ville éponyme contre laquelle l’armée s’apprête à lancer une offensive d’envergure pour en finir avec le Hamas.Au lever du jour dimanche, de la fumée s’élevait dans le ciel au-dessus de Gaza-ville, dans le nord du territoire, selon des images de l’AFP. Devant une tente détruite, des couvertures tâchées de sang se mêlent aux décombres.- “Horreur” -“Nous prions Dieu pour que la guerre cesse car nous sommes fatigués des déplacements, nous avons peur et nous avons faim”, affirme à l’AFP Iman Rajab, qui vit dans un camp de déplacés ciblé par une frappe dans le quartier de Maqousi.”Horreur, peur et destruction. Le feu s’est déclaré dans toutes les tentes, seul Dieu nous a protégés du feu”, indique Achraf Abou Amsha, habitant dans une tente plus loin.Dans la morgue de l’hôpital Al-Chifa de Gaza-ville, des proches pleurent près de corps alignés par terre.Dimanche, la Défense civile de Gaza a fait état de 63 personnes tuées au cours d’opérations militaires israéliennes dans le territoire palestinien, dont 24 près de sites de distribution d’aide.Sollicitée par l’AFP, l’armée israélienne a dit qu’elle se renseignait tout en rappelant qu’il lui était très difficile de réunir des informations sans l’horaire et les coordonnées précises des faits rapportés.Compte tenu des restrictions imposées aux médias à Gaza et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et les informations des différentes parties.Selon l’ONU, l’immense majorité des habitants ont été déplacés plusieurs fois par la guerre à Gaza, où les quelque deux millions d’habitants sont assiégés par Israël depuis près de 23 mois.L’ONU a déclaré la famine dans ce petit territoire pauvre, mais Israël dément.- Fuite des habitants -Samedi, la Croix-Rouge internationale a mis en garde contre une évacuation massive de la population de Gaza-ville, après que l’armée a jugé “inévitable” une telle évacuation en prévision de son offensive.Des milliers d’habitants ont déjà fui la ville. Selon l’ONU, près d’un million de personnes vivent dans le gouvernorat de Gaza, incluant la ville et ses environs.Avec l’offensive annoncée sur Gaza-ville, M. Netanyahu et ses alliés d’extrême droite disent vouloir en finir avec le Hamas et ramener les otages toujours retenus à Gaza. Le Hamas a confirmé dimanche la mort de l’un de ses chefs, Mohammed Sinouar, trois mois après que l’armée israélienne a annoncé l’avoir tué dans une frappe à Khan Younès dans le sud de la bande de Gaza.Cette attaque a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 47 restent retenues à Gaza dont 25 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.La campagne de représailles israéliennes a fait au moins 63.459 morts à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.

Israël annonce avoir tué le porte-parole de la branche armée du Hamas

Israël a annoncé dimanche avoir tué le porte-parole de la branche armée du mouvement islamiste Hamas dans la bande de Gaza, à l’heure où son armée poursuit son offensive dans le territoire palestinien affamé et ravagé par la guerre.”Nous avons désormais peur de la nuit et de dormir dans nos tentes”, affirme Iman Rajab, une habitante de Gaza, après des raids israéliens intenses ayant fait au moins 63 morts dimanche selon la Défense civile.”Le porte-parole terroriste du Hamas, Abou Obeida, a été éliminé à Gaza et a rejoint les autres (personnes) éliminées de l’axe du mal d’Iran, du Liban et du Yémen au fond de l’enfer”, a affirmé le ministre de la Défense israélien, Israël Katz, sur son compte X.L’armée israélienne a également fait état de la mort de “Houdhayfa al-Kahlout, alias Abou Obeida”. Le Hamas, dont l’attaque sans précédent le 7 octobre 2023 contre Israël a déclenché la guerre à Gaza, n’a pas réagi dans l’immédiat à cette annonce.”Ce n’est pas fini, la plupart des dirigeants du Hamas se trouvent à l’étranger, et nous les atteindrons également”, a déclaré le chef d’état-major de l’armée israélienne, Eyal Zamir.Porte-parole des Brigades Ezzedine al-Qassam depuis 2002, Abou Obeida avait été l’un des chefs du Hamas à annoncer dans une vidéo l’attaque du 7-Octobre.Depuis le début de la guerre, il a fait des dizaines de discours télévisés et publié des messages audio, ainsi que des communiqués de presse et des tweets sur les réseaux sociaux du mouvement. Il apparaît toujours en uniforme militaire et son visage couvert d’un keffieh. Une nouvelle vague de bombardements israéliens nocturnes a ciblé plusieurs secteurs de la bande de Gaza, dont la ville éponyme contre laquelle l’armée s’apprête à lancer une offensive d’envergure pour en finir avec le Hamas.Au lever du jour dimanche, de la fumée s’élevait dans le ciel au-dessus de Gaza-ville, dans le nord du territoire, selon des images de l’AFP. Devant une tente détruite, des couvertures tâchées de sang se mêlent aux décombres.- “Horreur” -“Nous prions Dieu pour que la guerre cesse car nous sommes fatigués des déplacements, nous avons peur et nous avons faim”, affirme à l’AFP Iman Rajab, qui vit dans un camp de déplacés ciblé par une frappe dans le quartier de Maqousi.”Horreur, peur et destruction. Le feu s’est déclaré dans toutes les tentes, seul Dieu nous a protégés du feu”, indique Achraf Abou Amsha, habitant dans une tente plus loin.Dans la morgue de l’hôpital Al-Chifa de Gaza-ville, des proches pleurent près de corps alignés par terre.Dimanche, la Défense civile de Gaza a fait état de 63 personnes tuées au cours d’opérations militaires israéliennes dans le territoire palestinien, dont 24 près de sites de distribution d’aide.Sollicitée par l’AFP, l’armée israélienne a dit qu’elle se renseignait tout en rappelant qu’il lui était très difficile de réunir des informations sans l’horaire et les coordonnées précises des faits rapportés.Compte tenu des restrictions imposées aux médias à Gaza et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et les informations des différentes parties.Selon l’ONU, l’immense majorité des habitants ont été déplacés plusieurs fois par la guerre à Gaza, où les quelque deux millions d’habitants sont assiégés par Israël depuis près de 23 mois.L’ONU a déclaré la famine dans ce petit territoire pauvre, mais Israël dément.- Fuite des habitants -Samedi, la Croix-Rouge internationale a mis en garde contre une évacuation massive de la population de Gaza-ville, après que l’armée a jugé “inévitable” une telle évacuation en prévision de son offensive.Des milliers d’habitants ont déjà fui la ville. Selon l’ONU, près d’un million de personnes vivent dans le gouvernorat de Gaza, incluant la ville et ses environs.Avec l’offensive annoncée sur Gaza-ville, M. Netanyahu et ses alliés d’extrême droite disent vouloir en finir avec le Hamas et ramener les otages toujours retenus à Gaza. Le Hamas a confirmé dimanche la mort de l’un de ses chefs, Mohammed Sinouar, trois mois après que l’armée israélienne a annoncé l’avoir tué dans une frappe à Khan Younès dans le sud de la bande de Gaza.Cette attaque a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 47 restent retenues à Gaza dont 25 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.La campagne de représailles israéliennes a fait au moins 63.459 morts à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.

Darmanin, entre mise en garde et conseils de méthode, avant le 8 septembre et au delà

Gérald Darmanin a mis en garde dimanche, lors de sa rentrée politique à Tourcoing (Nord), contre “l’instabilité” politique avant le vote de confiance du 8 septembre, disant craindre pour “les institutions du général De Gaulle” et adressant des signes d’ouverture au PS.Il n’y a pas eu, contrairement à l’habitude, de nombreuses propositions dans le discours de clôture du Garde des Sceaux dans son fief du Nord. La faute à l’instabilité politique et à la grande précarité du gouvernement avant l’épreuve parlementaire du 8 septembre.Il n’y eut guère non plus de références aux tables rondes organisées tout au long d’une journée parfois pluvieuse au jardin botanique de la ville, consacrées à la parentalité, à la santé mentale et à “l”assignation à résidence sociale”, pour cette rentrée organisée par son parti, Populaires.Pas davantage de déclaration de candidature à l’élection présidentielle, un bruit qui courait depuis plusieurs jours dans le monde politique, démenti la veille par l’entourage de M. Darmanin.Ni d’acte de candidature trop explicite pour Matignon dans le cas, probable, où le gouvernement Bayrou viendrait à être renversé, la même source assurant que le ministre de la Justice n’était “pas dans cette optique” et souhaitait avant tout rester Place Vendôme.Mais, néanmoins, quelques avertissements aux oppositions, et quelques pistes politiques pour la suite des opérations.”Bien sûr, ce gouvernement doit faire des efforts, doit tendre la main, doit peut être modifier — le Premier ministre l’a dit lui même — un certain nombre de propositions. Mais quel coup, quel abîme, quel hématome que de jouer au jeu politique de l’instabilité institutionnelle”, a déclaré M. Darmanin devant quelques centaines de personnes (1.500 selon les organisateurs).”Lundi prochain se jouent en partie les institutions du général De Gaulle. Si nous retombons dans l’instabilité de la Quatrième République (…) alors ce sont les institutions du général de Gaulle, nos institutions, (…) qui potentiellement seront remises en cause”, a estimé M. Darmanin.- “Empathie sociale” -“La France, qui est un immense pays avec un immense peuple, est tout à fait capable de relever ce défi, à condition que nous soyons responsables”, a-t-il dit, s’adressant au Parti socialiste, “un grand parti d’opposition responsable”, mais aussi aux Républicains (LR), son ancienne formation, “dont on n’imagine pas un seul instant qu’ils ne puissent pas soutenir le gouvernement”.”L’écueil de Bayrou, comme Barnier, c’est de ne pas avoir choisi avec qui négocier la non-censure. Aujourd’hui c’est avec le PS qu’il faut discuter”, appuie un de ses proches.La tâche semble quasi-impossible pour François Bayrou, le premier secrétaire du PS Olivier Faure ayant réaffirmé dimanche l’intention des socialistes de voter contre la confiance. Mais la méthode pourra être employée pour son successeur.Pour l’élu du Nord, “gaulliste social” revendiqué, “tout le monde doit faire des efforts. Les élus, sans doute, les gens qui ont de l’argent, bien sûr, les entreprises évidemment, mais aussi tous ceux qui doivent travailler davantage”.”Peut-être que l’empathie sociale est désormais l’enjeu des prochains mois et, je l’espère, des prochaines années”, a lancé celui qui a, à plusieurs reprises, souhaité une “inflexion sociale” de l’exécutif et critiqué le côté technocratique de la macronie, qu’il a rejointe en 2017.”Gérald Darmanin incarne la justice sociale qui n’est pas la revanche fiscale et qui est compatible avec la politique de l’offre menée par Emmanuel Macron”, a plaidé auprès de l’AFP l’un de ses proches, le député Renaissance Mathieu Lefèvre. Un bon CV pour Matignon ?Sept collègues du gouvernement avaient fait le déplacement, dont le ministre des Armées et ami de longue date, Sébastien Lecornu, pour cette troisième rentrée de Tourcoing.Ayant pris quelque distance avec Renaissance désormais dirigé par Gabriel Attal, proche d’Edouard Philippe mais parfois critique de sa démarche, M. Darmanin ne fait pas mystère de son intention de présenter un projet en vue de 2027.Il a par ailleurs indiqué à La Voix du Nord qu’il serait candidat aux élections municipales, en tête de liste ou en numéro deux derrière sa successeure Doriane Bécue. Décision définitive en janvier.

Israel says killed spokesman for Hamas armed wing

Israel said Sunday its forces had killed the spokesman of Hamas’s armed wing in a strike on Gaza a day earlier, the latest fatality in the group’s senior ranks in the nearly two-year war.”Hamas terror spokesperson Abu Obeida was eliminated in Gaza,” Israeli Defence Minister Israel Katz said in a post on X, after Prime Minister Benjamin Netanyahu earlier said he had been targeted in a strike.Israel has decimated Hamas’s leadership during 23 months of devastating fighting in the Gaza Strip, saying it seeks to eradicate the armed group and return hostages seized by Palestinian militants in their October 7, 2023 attack that sparked the war.Israel’s military chief Eyal Zamir promised to continue targeting Hamas’s leadership, most of which he said was now abroad.Hamas has not commented on the killing of Ezzedine al-Qassam Brigades spokesman Abu Obeida, whose real name according to the Israeli military is Hudaifa al-Kahlut.Since the war began, he had issued dozens of televised speeches — always appearing in military fatigues and a red keffiyeh scarf to obscure his face — and published audio messages, press releases and social media posts.On the ground, smoke drifted into the sky above Gaza City and residents came to inspect the damage at a tent, crumpled in an overnight strike, with bloodstained blankets strewn in the rubble.Ashraf Abu Amsha, a displaced Palestinian sheltering in the area, said that “horror, fear, destruction, and fire erupted in all the tents.”Israeli forces have been preparing for an offensive to seize Gaza City, the largest urban centre in the Palestinian territory, intensifying bombardments in the area in recent days and warning of imminent evacuation.- ‘Afraid of the night’ -As the Israeli cabinet was expected to meet Sunday to discuss the plans, campaign group the Hostages and Missing Families Forum warned against expanding military operations, fearing they could jeopardise the lives of the remaining captives.Of the 251 hostages seized during Hamas’s 2023 attack, 47 are still being held in Gaza, including 25 the military says are dead.Einav Zangauker, mother of hostage Matan Zangauker, accused the Israeli government of “deciding to sacrifice my living child” and troops by not accepting a proposed truce deal.According to Gaza’s civil defence agency, Israeli strikes and gunfire across the territory on Sunday killed at least 63 people, 24 of whom near aid distribution sites.Iman Rajab, who lives in the displacement camp near Gaza City that residents said was hit by Israel overnight, told AFP that “we are now afraid of the night and of sleeping in our tents”.”We pray to God for the war to end because we are very tired from the displacement, the fear and the hunger,” said Rajab.The vast majority of the Gaza Strip’s more than two million residents have been displaced at least once during the war.The UN estimates that nearly a million people currently live in Gaza City and its surroundings, where famine has been declared.- Top figures killed -Asked for comment by AFP on incidents reported by the civil defence agency, the Israeli military said it was “not aware of casualties” from its fire “adjacent to a humanitarian aid distribution point in central Gaza”.There was no comment on other reported incidents.Media restrictions in Gaza and difficulties in accessing many areas mean AFP is unable to independently verify the tolls and details provided by the civil defence agency or the Israeli military.Israel’s killing of Abu Obeida is the latest in a string of attacks targeting senior Hamas figures, including leader Yahya Sinwar who was accused by Israel of masterminding the 2023 attack.Israeli operations have also killed Hamas’s political chief Ismail Haniyeh, the head of its armed wing Mohammed Deif, and other commanders and political figures, considerably weakening the Islamist movement.Earlier on Sunday, Hamas confirmed the death of Mohammed Sinwar, Yahya Sinwar’s brother and the group’s presumed leader in Gaza, more than three months after Israel said it had killed him in an air strike.Hamas’s October 2023 attack on Israel resulted in the deaths of 1,219 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on Israeli figures.Israel’s retaliatory offensive has killed at least 63,459 Palestinians, most of them civilians, according to figures from the health ministry in Hamas-run Gaza that the United Nations considers reliable.

Equipe de France: Ekitike remplace Cherki, inquiétude pour Saliba et Konaté

Les pépins s’accumulent pour l’équipe de France avant le début des qualifications du Mondial-2026, le forfait de Rayan Cherki ayant profité à Hugo Ekitike alors que les défenseurs William Saliba et Ibrahima Konaté sont sortis sur blessure, lors du choc de Premier League entre Liverpool et Arsenal (1-0) dimanche. Les Bleus commencent leur campagne en vue de la Coupe du monde organisée aux États-Unis, au Mexique et au Canada, vendredi contre l’Ukraine à Wroclaw (Pologne) et enchaîneront avec un match face à l’Islande, le 9 septembre au Parc des Princes.Cherki, indisponible dimanche en Championnat d’Angleterre avec Manchester City, souffre d’une “déchirure du quadriceps gauche”, a précisé la Fédération française de football. “Il est blessé pour deux mois plus ou moins”, a déclaré de son côté l’entraîneur des Citizens Pep Guardiola, à l’issue de la défaite de son équipe à Brighton (2-1).La blessure de l’ex-Lyonnais a permis la promotion d’Ekitike mais celle-ci n’est pas réellement une surprise. L’ancien Parisien, international Espoirs (23 ans), réussit des débuts de rêve avec Liverpool (deux buts en Premier League) après avoir été acheté cet été 95 millions d’euros à Francfort, où il avait flambé la saison dernière (22 buts toutes compétitions confondues). L’attaquant né à Reims possède en outre un profil de N.9 dont ne dispose plus le sélectionneur Didier Deschamps, depuis la retraite internationale d’Olivier Giroud. “Hugo, on le suivait quand il était à Francfort. Qu’il continue à avoir une bonne efficacité avec Liverpool. C’est très bien. Après il y a de la concurrence à ce poste. Je ne suis pas là pour les accumuler mais évidemment qu’il a le potentiel pour être en équipe de France”, avait expliqué Didier Deschamps jeudi en divulguant sa liste de joueurs pour affronter l’Ukraine et l’Islande, dans laquelle ne figurait pas initialement Ekitike.- Coups durs -Mais le sélectionneur n’est peut-être pas au bout de ses peines avant de retrouver les Bleus lundi à Clairefontaine (Yvelines) puisque deux de ses cadres en défense, William Saliba (Arsenal) et Ibrahima Konaté (Liverpool), ont dû céder leur place sur blessure au cours de la rencontre entre les Gunners et les Reds à Anfield dimanche.   Saliba n’est même pas resté cinq minutes sur la pelouse. L’arrière central de 24 ans (28 sélections), déjà forfait en juin pour le “Final Four” de la Ligue des nations, a semblé diminué dans ses mouvements d’entrée et il a demandé à être remplacé après un contact avec Hugo Ekitike.”Il s’est tordu la cheville pendant l’échauffement. Il est venu me voir et m’a dit qu’il pensait pouvoir jouer, mais après les deux premières actions, j’ai vu qu’il n’y arrivait pas et nous avons dû le remplacer”, a dit l’entraîneur d’Arsenal Mikel Arteta à l’issue de la partie. En seconde période, Konaté (26 ans, 23 sélections) a quitté ses coéquipiers en boitant, après s’être blessé à la jambe droite (79e).Ces coups durs pour les Bleus s’ajoutent à l’incertitude concernant l’état d’Ousmane Dembélé (28 ans, 56 sélections, 7 buts). L’attaquant, grand favori pour l’obtention du Ballon d’Or, est sorti à la 70e minute en se tenant l’arrière de la cuisse gauche avec le PSG, samedi à Toulouse en Ligue 1. Il s’était voulu toutefois rassurant après le match. “J’ai ressenti une petite gêne sur la fin, juste avant de sortir. Je vais faire l’IRM. On va voir ce qu’il y a. Mais je ne pense pas que ce soit si grave que ça. Je pense que c’est de la précaution”, a-t-il indiqué sur Ligue 1+.  

Bleus: Saliba et Konaté sortent blessés durant Liverpool-Arsenal

Les défenseurs français Ibrahima Konaté et William Saliba sont sortis sur blessure durant le choc Liverpool-Arsenal qui les opposait, dimanche en championnat d’Angleterre, à la veille du premier rassemblement de la saison des Bleus, pour lequel ils ont été convoqués.Saliba n’est même pas resté cinq minutes sur la pelouse d’Anfield. L’arrière central de 24 ans a semblé diminué dans ses mouvements d’entrée et il a demandé à être remplacé après un contact avec Hugo Ekitike, l’attaquant de Liverpool qu’il était chargé de museler.”Il s’est tordu la cheville pendant l’échauffement. Il est venu me voir et m’a dit qu’il pensait pouvoir jouer, mais après les deux premières actions, j’ai vu qu’il n’y arrivait pas et nous avons dû le remplacer”, a expliqué Mikel Arteta en conférence d’après-match.Cela inquiète l’entraîneur d’Arsenal, “oui”, parce que “quand on ne peut pas jouer un match de cette importance, c’est qu’il y a un problème”.En seconde période, Konaté a lui aussi cédé sa place, en boîtant, après s’être blessé à la jambe droite (79e).Le sélectionneur Didier Deschamps pourrait devoir renoncer à la présence des deux défenseurs centraux, attendus lundi à Clairefontaine, après avoir déjà dû se passer de Rayan Cherki, forfait sur blessure.