Trump announces US Space Command move to Alabama

President Donald Trump on Tuesday announced that the headquarters of the US Space Command will be moved from Colorado to Alabama, reversing a decision by his Democratic predecessor Joe Biden.The move, which Trump openly linked to his debunked conspiracy theory about election fraud by opponents, follows a bitter, years-long battle between the two states over which should host the facility.The command center oversees US operations in outer space and brings with it a significant boost to jobs in the area where it is located.”I’m thrilled to report that the US Space Command headquarters will move to the beautiful locale of a place called Huntsville, Alabama,” Trump said at the White House.Democrat Biden had decided to keep Space Command — known as SPACECOM — at its temporary location in Colorado, after Republican Trump picked Alabama as the location during his first term.”We initially selected Huntsville for the SPACECOM headquarters. Yet those plans were wrongfully obstructed by the Biden administration,” Trump said.One of the reasons given by Trump for the military reorganization was his dislike for Colorado being one of the US states that allows voters to mail in their ballots.Trump, who himself has cast a vote by mail in Florida, repeated his claim that the method is linked to voter fraud — a theory repeatedly proved to be false, but which is part of the Republican’s broader, unprecedented attempts to discredit trust in US elections.”When the state is for mail-in voting, that means they want dishonest elections, because that’s what that means. So that played a big factor” in the SPACECOM decision, Trump said.Space plays a vital role in just about every aspect of modern warfare, with many military technologies reliant on a network of orbiting sensors and satellites.

Trump dismisses health rumors as ‘fake news’

US President Donald Trump on Tuesday dismissed social media rumors that have swirled about his health as “fake news” during press conference at the White House.Trump did not schedule any public appearances or hold any press conferences for several days last week, a noticeable absence from the cameras for the publicity-loving 79-year-old.Combined with his age — he is the oldest person ever to be elected US president — and recent images of his bruised hand and swollen ankles, the quiet from the Oval Office ignited widespread speculation that something was seriously wrong with Trump’s health.Many users even suggested that the 47th US president may have passed away, and that the White House was covering it up.”I didn’t see that,” the Republican said when a reporter on Tuesday asked him jokingly, “How did you find out over the weekend that you were dead?””That’s fake news,” he added as the reporter, Fox News’ Peter Doocy, told him of the speculation.In July the White House said that discoloration on Trump’s right hand was “tissue irritation from frequent handshaking” and the use of aspirin as part of a standard cardiovascular treatment.It said his legs were swollen by chronic venous insufficiency, a common, benign vein condition.The condition involves damaged leg veins that fail to keep blood flowing properly.Presidential physician Sean Barbabella said Trump “remains in excellent health” despite the condition, in a letter released by the White House at the time.The Republican frequently boasts of his good health and energy levels while the administration even posted an image depicting him as Superman.The health of US presidents has always been closely watched, but with the White House seeing its two oldest ever occupants since 2017 the scrutiny is now heavier than ever.Trump has alleged that Democrats covered up the mental and physical decline of his predecessor, Joe Biden, who was 82 when he left office in January.Biden’s health was a key issue in the 2024 election, and the then-president was forced to drop his campaign for a second term after a disastrous debate performance against Trump.

Israël intensifie ses préparatifs en vue d’une offensive sur Gaza-ville

Israël intensifie mardi ses préparatifs militaires en réintégrant dans ses rangs des milliers de réservistes en vue d’une offensive annoncée sur la ville de Gaza après près de deux années de guerre contre le Hamas palestinien.Un groupe de réservistes a appelé mardi à Tel-Aviv leurs camarades à ne pas répondre à ces appels car “tout acte visant à légitimer la poursuite des hostilités au détriment d’un accord pour les otages (retenus à Gaza, ndlr) est une trahison envers eux et envers le peuple israélien”, selon Max Kresch, un de ces réservistes.Nombre de ces réservistes quittent leur vie, leur famille et leur travail pour la quatrième ou cinquième fois depuis le début de la guerre, déclenchée le 7 octobre 2023 par l’attaque sans précédent du mouvement islamiste sur le sol israélien.Dans le territoire palestinien ravagé par le conflit, 85 personnes ont été tuées mardi dans des bombardements israéliens, selon la Défense civile, l’organisation de premiers secours opérant sous l’autorité du Hamas.- “Vers une victoire écrasante” -Compte tenu des restrictions imposées aux médias à Gaza et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante ce bilan.Malgré une pression croissante, à l’étranger comme en Israël, pour mettre fin à la guerre, le gouvernement israélien a ordonné à l’armée de lancer une offensive sur Gaza-ville, dans le but affiché d’y anéantir le Hamas et de récupérer les personnes enlevées le 7 octobre 2023 et encore retenues à Gaza.L’armée israélienne se prépare “sur le plan logistique et opérationnel à des opérations de combat étendues et à la mobilisation massive de réservistes”, indique un communiqué militaire. En approuvant fin août les plans militaires pour la conquête de Gaza, le ministre de la Défense Israël Katz avait autorisé la mobilisation d’environ 60.000 réservistes.”Chers soldats, réguliers et réservistes, tout au long de cette guerre, nous avons pris des décisions très difficiles (…) Mais nous les avons mises en œuvre parce que vous nous avez donnés, à moi et au pays, la force de faire avancer Israël vers une victoire écrasante” contre le Hamas, a dit mardi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu dans une vidéo. Dans une publication sur X mardi, le porte-parole de l’armée israélienne en arabe, Avichay Adraee, a averti les habitants de Gaza de “l’élargissement des opérations de combat vers la ville de Gaza”.L’armée avait affirmé fin août que l’évacuation de Gaza-ville était “inévitable” en vue de l’offensive. La majorité des plus de deux millions d’habitants de la bande de Gaza assiégée a déjà été déplacée au moins une fois depuis le début de la guerre.Khalil al-Madhoun, 37 ans, qui vit dans un appartement partiellement détruit dans l’ouest de Gaza-ville, a expliqué avoir tenté deux fois de se rendre dans le sud, mais sans succès. “Le centre et le sud sont complètement surpeuplés”, a-t-il dit à l’AFP par téléphone.- Appel à Trump -Les Nations unies estiment qu’environ un million de personnes vivent dans la ville de Gaza et ses environs, où une famine a été déclarée.Mardi, des images tournées par une journaliste de l’AFP à Tel el-Hawa, quartier du sud de Gaza-ville montrent des secouristes du Croissant-Rouge sortir des décombres le corps sans vie d’une petite fille, entièrement recouvert de poussière.”Nous dormions dans nos maisons et soudain nous nous sommes réveillés au bruit des bombardements (…) et avons trouvé la plupart de nos voisins assassinés et blessés”, a déclaré à l’AFP Sanaa al-Dreimli, une voisine.L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles.Sur les 251 personnes enlevées le 7-Octobre, 47 restent retenues à Gaza dont 25 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.Des proches d’otages ont imploré mardi le président américain Donald Trump de “conclure un accord” pour ramener leurs proches, dans une conférence de presse à Tel-Aviv.La campagne de représailles israéliennes a fait au moins 63.633 morts dans la bande de Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé de Gaza, placé sous l’autorité du Hamas. Le ministère, dont les chiffres sont jugés fiables par l’ONU, ne précise pas le nombre de combattants tués. 

Israël intensifie ses préparatifs en vue d’une offensive sur Gaza-ville

Israël intensifie mardi ses préparatifs militaires en réintégrant dans ses rangs des milliers de réservistes en vue d’une offensive annoncée sur la ville de Gaza après près de deux années de guerre contre le Hamas palestinien.Un groupe de réservistes a appelé mardi à Tel-Aviv leurs camarades à ne pas répondre à ces appels car “tout acte visant à légitimer la poursuite des hostilités au détriment d’un accord pour les otages (retenus à Gaza, ndlr) est une trahison envers eux et envers le peuple israélien”, selon Max Kresch, un de ces réservistes.Nombre de ces réservistes quittent leur vie, leur famille et leur travail pour la quatrième ou cinquième fois depuis le début de la guerre, déclenchée le 7 octobre 2023 par l’attaque sans précédent du mouvement islamiste sur le sol israélien.Dans le territoire palestinien ravagé par le conflit, 85 personnes ont été tuées mardi dans des bombardements israéliens, selon la Défense civile, l’organisation de premiers secours opérant sous l’autorité du Hamas.- “Vers une victoire écrasante” -Compte tenu des restrictions imposées aux médias à Gaza et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante ce bilan.Malgré une pression croissante, à l’étranger comme en Israël, pour mettre fin à la guerre, le gouvernement israélien a ordonné à l’armée de lancer une offensive sur Gaza-ville, dans le but affiché d’y anéantir le Hamas et de récupérer les personnes enlevées le 7 octobre 2023 et encore retenues à Gaza.L’armée israélienne se prépare “sur le plan logistique et opérationnel à des opérations de combat étendues et à la mobilisation massive de réservistes”, indique un communiqué militaire. En approuvant fin août les plans militaires pour la conquête de Gaza, le ministre de la Défense Israël Katz avait autorisé la mobilisation d’environ 60.000 réservistes.”Chers soldats, réguliers et réservistes, tout au long de cette guerre, nous avons pris des décisions très difficiles (…) Mais nous les avons mises en œuvre parce que vous nous avez donnés, à moi et au pays, la force de faire avancer Israël vers une victoire écrasante” contre le Hamas, a dit mardi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu dans une vidéo. Dans une publication sur X mardi, le porte-parole de l’armée israélienne en arabe, Avichay Adraee, a averti les habitants de Gaza de “l’élargissement des opérations de combat vers la ville de Gaza”.L’armée avait affirmé fin août que l’évacuation de Gaza-ville était “inévitable” en vue de l’offensive. La majorité des plus de deux millions d’habitants de la bande de Gaza assiégée a déjà été déplacée au moins une fois depuis le début de la guerre.Khalil al-Madhoun, 37 ans, qui vit dans un appartement partiellement détruit dans l’ouest de Gaza-ville, a expliqué avoir tenté deux fois de se rendre dans le sud, mais sans succès. “Le centre et le sud sont complètement surpeuplés”, a-t-il dit à l’AFP par téléphone.- Appel à Trump -Les Nations unies estiment qu’environ un million de personnes vivent dans la ville de Gaza et ses environs, où une famine a été déclarée.Mardi, des images tournées par une journaliste de l’AFP à Tel el-Hawa, quartier du sud de Gaza-ville montrent des secouristes du Croissant-Rouge sortir des décombres le corps sans vie d’une petite fille, entièrement recouvert de poussière.”Nous dormions dans nos maisons et soudain nous nous sommes réveillés au bruit des bombardements (…) et avons trouvé la plupart de nos voisins assassinés et blessés”, a déclaré à l’AFP Sanaa al-Dreimli, une voisine.L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles.Sur les 251 personnes enlevées le 7-Octobre, 47 restent retenues à Gaza dont 25 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.Des proches d’otages ont imploré mardi le président américain Donald Trump de “conclure un accord” pour ramener leurs proches, dans une conférence de presse à Tel-Aviv.La campagne de représailles israéliennes a fait au moins 63.633 morts dans la bande de Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé de Gaza, placé sous l’autorité du Hamas. Le ministère, dont les chiffres sont jugés fiables par l’ONU, ne précise pas le nombre de combattants tués. 

Crash mortel de l’émission Dropped : procès requis contre la production

Dix ans après un crash d’hélicoptères ayant fait dix morts lors du tournage de l’émission Dropped en Argentine, le parquet de Paris a requis un procès pour homicides involontaires à l’encontre de la production et d’un responsable sécurité.La société Adventure Line Productions (ALP) et ce responsable “ont commis des fautes de nature à engager leur responsabilité pénale”, et qui ont conduit à la tragédie la plus meurtrière de l’histoire de la téléréalité, a précisé le parquet à l’AFP.Pour les familles des victimes du drame, dans lequel ont péri notamment trois sportifs français de haut niveau, la navigatrice Florence Arthaud, le boxeur Alexis Vastine et la nageuse Camille Muffat, la perspective d’un procès pénal se rapproche. Cinq membres français de la production et deux pilotes argentins avaient également été tués.”Les familles ont enfin une réponse. C’est à la fois très tardif, mais en même temps c’est un soulagement. Elles seront maintenant très attentives à la décision du juge d’instruction”, qui décidera de renvoyer ou non les mis en cause devant le tribunal, a réagi auprès de l’AFP Me Solenn Le Tutour, avocate des familles de victimes.Le 9 mars 2015, le tournage de Dropped, jeu d’aventures prévu pour diffusion à l’été 2015 sur TF1, avait tourné au drame: deux hélicoptères Ecureuil étaient entrés en collision en plein vol avant de s’écraser, dans la province argentine de la Rioja.L’accident avait eu lieu au départ de ce vol rapproché à basse altitude, visant à ce que le cameraman d’un appareil filme l’autre. Les candidats, eux, devaient être largués dans des zones isolées, puis avaient 72 heures pour retrouver la civilisation.- Pas de briefing -Le pôle accidents collectifs du parquet de Paris, qui a rendu son réquisitoire fin août, reproche à la production et au responsable sécurité de n’avoir organisé en amont du vol aucun briefing “en présence du second pilote”, arrivé tardivement sur les lieux.Une telle réunion aurait dû permettre “de s’assurer que la manœuvre en vol souhaitée par la production à des fins éditoriales soit parfaitement comprise par les deux pilotes”, a souligné le ministère public.Les organisateurs ne se sont pas non plus assurés du “respect des règles aéronautiques en vigueur concernant ce type de manœuvre en vol”, a-t-il ajouté.Sollicitée par l’AFP, la défense de la société de production ALP, poids lourd des jeux télévisés d’aventure tels que Koh-Lanta ou Fort Boyard, n’a pas commenté dans l’immédiat.En revanche, “un non-lieu a été requis à l’encontre des autres personnes physiques mises en examen dans le dossier”, soit les ex-dirigeants de la société de production.Après l’accident, deux enquêtes judiciaires avaient été ouvertes, en Argentine et en France.Vidéos et témoignages ont vite mis en cause une erreur de pilotage, hypothèse accréditée fin 2015 par la Direction d’enquête des accidents de l’aviation civile (Jiaac), l’équivalent argentin du Bureau d’enquêtes et analyses (BEA).Mais la Jiaac pointait aussi d’autres défaillances: “Lacunes dans la planification” du vol, utilisation dans un cadre commercial d’hélicoptères publics, imprudences de pilotage pour des séquences spectaculaires.En 2021, la justice française avait décidé de la mise en examen d’ALP soupçonnant une “faute caractérisée”, avoir sous-évalué le budget affecté aux moyens aériens et privilégié les critères financiers dans le choix des pilotes et des hélicoptères, “au détriment de la sécurité des personnes”.ALP, aujourd’hui dirigée par Alexia Laroche-Joubert, est une filiale du poids-lourd de la production audiovisuelle Banijay fondé par Stéphane Courbit.La société ALP a déjà été condamnée au civil. En 2021 notamment, la cour d’appel de Versailles l’a condamnée pour “faute inexcusable” à indemniser la famille d’un caméraman victime de l’accident.

Landslide wipes out Sudan village, killing hundredsTue, 02 Sep 2025 19:05:31 GMT

Sudanese authorities, the United Nations and aid groups scrambled Tuesday to respond to a devastating landslide in Sudan’s Darfur region that buried an entire mountain village, killing hundreds of people.Heavy rain triggered the disaster on Sunday, flattening the village of Tarasin in the remote Jebel Marra range, the rebel Sudan Liberation Movement/Army (SLM) faction which …

Landslide wipes out Sudan village, killing hundredsTue, 02 Sep 2025 19:05:31 GMT Read More »

Cinéma: Canal+ annonce vouloir racheter UGC

Le groupe Canal+ a annoncé mardi des “négociations exclusives” pour entrer au capital du réseau de salles de cinéma UGC dans le but d’une “prise de contrôle éventuelle” en 2028.”Dans un premier temps, le groupe Canal+ ferait l’acquisition d’une participation minoritaire (34%) au capital d’UGC. Dans un deuxième temps, les accords avec les actionnaires d’UGC permettraient au groupe Canal+ de prendre le contrôle d’UGC à partir de 2028″, détaille un communiqué du groupe, contrôlé par le milliardaire Vincent Bolloré.UGC, groupe français majeur du cinéma et de la production audiovisuelle, est aussi l’un des plus gros exploitants de cinémas en France avec une cinquantaine de salles.”UGC a construit une chaîne de cinémas remarquable et un catalogue emblématique de contenus”, fait valoir dans le communiqué Maxime Saada, président du directoire de Canal+. “La croissance de Studiocanal, dirigé par Anna Marsh, est un enjeu majeur pour le groupe Canal+ et sa combinaison avec UGC, un partenaire stratégique de longue date, nous permettrait d’accélérer ce développement”.Selon le groupe Canal+, la signature des accords relatifs à l’entrée au capital d’UGC devra encore être soumise “à l’information et à la consultation des instances représentatives du personnel concernées”.Depuis sa création en 1984, Canal+ est devenu un des acteurs mondiaux des médias et du divertissement avec près de 27 millions d’abonnés répartis dans 52 pays.Son studio de production et de distribution, StudioCanal, est le premier studio de cinéma et de télévision européen, avec 200 films et 80 séries par an, dont plusieurs franchises.En 2021, les deux entreprises françaises s’étaient alliées pour lancer une offre “illimitée” commune pour les jeunes, couplant abonnement aux chaînes de Canal+ et la carte UGC Illimité.