Trump hits Brazil with 50% tariff, sets date for copper levy

President Donald Trump announced a 50-percent tariff Wednesday targeting Brazil as he blasted the trial of the country’s ex-leader, and said a US “national security” levy on copper would begin in August.In a letter addressed to Brazilian President Luiz Inacio Lula da Silva, Trump criticized the treatment of his right-wing ally Jair Bolsonaro as an “international disgrace.”Bolsonaro is facing trial over accusations he plotted a coup after his narrow 2022 election loss to Lula.In response to Trump’s tariff letter, Lula warned of possible reciprocation, writing on social media that “any unilateral tariff increases will be addressed in light of the Brazilian Law of Economic Reciprocity.”Brazil said earlier on Wednesday it had summoned the US charge d’affaires over Trump’s previous criticism of the Bolsonaro trial.The 50-percent US tariff on Brazilian goods will take effect August 1, Trump said in his letter, mirroring a deadline that dozens of other economies face.On that same date, a 50-percent tariff on US imports of copper — a key metal used in green energy and other technologies — will take effect, Trump announced Wednesday evening on social media.He said the move followed a “robust NATIONAL SECURITY ASSESSMENT,” likely alluding to a Department of Commerce investigation into copper launched this year.”Copper is the second most used material by the Department of Defense!” Trump said.- Escalation threats -Trump’s message to Lula was the latest in more than 20 such letters the US president has released since Monday, after repeatedly threatening to simply decide a rate for countries as negotiations continue over his elevated “reciprocal” tariffs.Brazil had not been among those threatened previously with duties above a 10-percent baseline, and the United States runs a goods trade surplus with Brazil.China said in response that “arbitrary” tariffs such as the 50-percent levy on copper “serve no party’s interests”.”We have always opposed the overstretching of the concept of national security,” foreign ministry spokeswoman Mao Ning told a regular news conference.On Wednesday, Trump also addressed letters to leaders of the Philippines, Sri Lanka, Brunei, Algeria, Libya, Iraq and Moldova, spelling out duties ranging from 20 percent to 30 percent that would also take effect on August 1.Similar to a first batch of documents published Monday, the levels were not too far from those originally threatened in April, although some partners received notably lower rates this time.While Trump in April imposed a 10-percent levy on almost all trading partners, he unveiled — and then withheld — higher rates for dozens of economies.The deadline for those steeper levels to take effect was meant to be Wednesday, before Trump postponed it further to August 1.Countries that faced the threats of elevated duties began receiving letters spelling out US tariff rates on their products.In the messages, Trump justified his tariffs as a response to trade ties that he says are “far from Reciprocal.”The letters urged countries to manufacture products in the United States to avoid duties, while threatening further escalation if leaders retaliated.Other countries that have received Trump’s letters include key US allies Japan and South Korea, as well as Indonesia, Bangladesh and Thailand.- EU deal in ‘coming days’? -Analysts have noted that Asian countries have been a key target so far.But all eyes are on the state of negotiations with major partners who have yet to receive such letters, including the European Union.European stock markets rose at the start of trading on Thursday, with London hitting a fresh record high on optimism that governments will strike deals to avoid the worst of US tariffs.The Trump administration is under pressure to unveil more trade pacts. So far, Washington has only reached agreements with Britain and Vietnam, alongside a deal to temporarily lower tit-for-tat levies with China.Trump said on Tuesday his government was “probably two days off” from sending the EU a letter with an updated tariff rate.An EU spokesperson said Wednesday the bloc wants to strike a deal with the United States “in the coming days,” and has shown readiness to reach an agreement in principle.Apart from tariffs targeting goods from different countries, Trump has rolled out sector-specific duties on steel, aluminum and autos since returning to the White House in January.

“Hippo Birthday”: Moo Deng fête son premier anniversaire en Thaïlande

Le bébé hippopotame pygmée aux millions de vues sur les réseaux sociaux, Moo Deng, fête jeudi son premier anniversaire dans un zoo de Thaïlande, dont il demeure l’ambassadeur N.1 du “soft power”.Le zoo de Khao Kheow a programmé une série d’événements à la gloire de son animal star, comprenant une parade, une table ronde d’influenceurs, une vente aux enchères et, évidemment, un gâteau.Un dirigeant d’une marque thaïlandaise de produits cosmétiques a dépensé 100.000 bahts (2.600 euros) pour sponsoriser ce que le mammifère femelle, célèbre pour ses gloutonneries, devrait avaler en deux temps trois mouvements.Jeudi étant férié en Thaïlande, à l’occasion d’une fête bouddhique, une foule est attendue devant son enclos, à mi-chemin entre la capitale Bangkok et la station balnéaire de Pattaya.Moo Deng a conquis internet avec ses facéties de diva et ses grimaces mignonnes. Des millions de personnes ont visionné les caprices du bébé hippopotame pygmée, en train de mordre des gardiens, de prendre un bain, ou de se reposer auprès de sa mère.Le zoo qui l’abrite a indiqué en septembre avoir quadruplé en un an le nombre de billets vendus. La fièvre Moo Deng (“porc bondissant” en thaï) s’est aussi déclinée dans une vaste gamme de produits dérivés.Elle s’est aussi prêtée au jeu des prédictions, un classique des animaux connus sur Internet, avec un certain flair: elle a pronostiqué la victoire de Donald Trump aux élections américaines de novembre.- Une popularité qui s’estompe -Aujourd’hui, la Thaïlande continue de chérir sa mascotte la plus célèbre, et l’ambassade des Etats-Unis lui a offert une peluche à son effigie à l’occasion de la fête nationale américaine, le 4 juillet dernier.Mais à un an, Moo Deng n’est plus le bébé joufflu qui faisait fondre le coeur des internautes. Fin juin, elle pesait 93 kilos, soit le triple qu’il y a huit mois, selon le zoo. La société de veille numérique Meltwater s’est interrogée en novembre si la tendance était “terminée”.Fin septembre, son nom a été mentionné en ligne plus de 200.000 fois en une journée, sous l’effet d’un sketch de la célèbre émission américaine Saturday Night Live, dans lequel un acteur s’est déguisé en Moo Deng. Plus d’un mois plus tard, le chiffre est tombé à 34.000, selon leur étude.”Moo Deng est devenue virale très rapidement après sa naissance, et peut-être qu’elle ne l’est plus autant”, estime Joshua Paul Dale, professeur spécialiste du “kawaii” (“mignon” en japonais) à l’université Chuo au Japon.”Une partie de notre appréciation de ce qui est mignon est liée au fait qu’on sait que cela ne va pas durer longtemps”, développe-t-il. “Si quelque chose est super mignon, il faut en profiter maintenant, parce que ça ne va pas durer éternellement.” La célébrité de Moo Deng a aussi permis d’alerter l’opinion du sort de son espèce, menacée d’extinction. L’hippopotame pygmée vit dans les forêts et les marécages d’Afrique de l’Ouest, et préfère le milieu terrestre plutôt que l’aquatique, contrairement à son cousin l’hippopotame commun, plus imposant.Il en resterait entre 2.000 et 2.500 à l’état sauvage, selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

“Hippo Birthday”: Moo Deng fête son premier anniversaire en Thaïlande

Le bébé hippopotame pygmée aux millions de vues sur les réseaux sociaux, Moo Deng, fête jeudi son premier anniversaire dans un zoo de Thaïlande, dont il demeure l’ambassadeur N.1 du “soft power”.Le zoo de Khao Kheow a programmé une série d’événements à la gloire de son animal star, comprenant une parade, une table ronde d’influenceurs, une vente aux enchères et, évidemment, un gâteau.Un dirigeant d’une marque thaïlandaise de produits cosmétiques a dépensé 100.000 bahts (2.600 euros) pour sponsoriser ce que le mammifère femelle, célèbre pour ses gloutonneries, devrait avaler en deux temps trois mouvements.Jeudi étant férié en Thaïlande, à l’occasion d’une fête bouddhique, une foule est attendue devant son enclos, à mi-chemin entre la capitale Bangkok et la station balnéaire de Pattaya.Moo Deng a conquis internet avec ses facéties de diva et ses grimaces mignonnes. Des millions de personnes ont visionné les caprices du bébé hippopotame pygmée, en train de mordre des gardiens, de prendre un bain, ou de se reposer auprès de sa mère.Le zoo qui l’abrite a indiqué en septembre avoir quadruplé en un an le nombre de billets vendus. La fièvre Moo Deng (“porc bondissant” en thaï) s’est aussi déclinée dans une vaste gamme de produits dérivés.Elle s’est aussi prêtée au jeu des prédictions, un classique des animaux connus sur Internet, avec un certain flair: elle a pronostiqué la victoire de Donald Trump aux élections américaines de novembre.- Une popularité qui s’estompe -Aujourd’hui, la Thaïlande continue de chérir sa mascotte la plus célèbre, et l’ambassade des Etats-Unis lui a offert une peluche à son effigie à l’occasion de la fête nationale américaine, le 4 juillet dernier.Mais à un an, Moo Deng n’est plus le bébé joufflu qui faisait fondre le coeur des internautes. Fin juin, elle pesait 93 kilos, soit le triple qu’il y a huit mois, selon le zoo. La société de veille numérique Meltwater s’est interrogée en novembre si la tendance était “terminée”.Fin septembre, son nom a été mentionné en ligne plus de 200.000 fois en une journée, sous l’effet d’un sketch de la célèbre émission américaine Saturday Night Live, dans lequel un acteur s’est déguisé en Moo Deng. Plus d’un mois plus tard, le chiffre est tombé à 34.000, selon leur étude.”Moo Deng est devenue virale très rapidement après sa naissance, et peut-être qu’elle ne l’est plus autant”, estime Joshua Paul Dale, professeur spécialiste du “kawaii” (“mignon” en japonais) à l’université Chuo au Japon.”Une partie de notre appréciation de ce qui est mignon est liée au fait qu’on sait que cela ne va pas durer longtemps”, développe-t-il. “Si quelque chose est super mignon, il faut en profiter maintenant, parce que ça ne va pas durer éternellement.” La célébrité de Moo Deng a aussi permis d’alerter l’opinion du sort de son espèce, menacée d’extinction. L’hippopotame pygmée vit dans les forêts et les marécages d’Afrique de l’Ouest, et préfère le milieu terrestre plutôt que l’aquatique, contrairement à son cousin l’hippopotame commun, plus imposant.Il en resterait entre 2.000 et 2.500 à l’état sauvage, selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

La baignade dans la Seine rouvre après quatre jours de fermeture

Les trois bassins de baignade dans la Seine à Paris, qui à cause de la pluie avaient dû fermer durant quatre jours au lendemain de leur inauguration, ont rouvert jeudi, a indiqué la mairie de Paris.Avec le retour du soleil, les drapeaux verts ont de nouveau été levés à l’entrée des sites du bras Marie (4e arrondissement, centre), de Grenelle (15e, ouest) et de Bercy (12e, est), après réception des derniers résultats des tests sur la qualité de l’eau.Les pluies intenses de dimanche et lundi avaient contraint la mairie à fermer les bassins pendant quatre jours, dès le lendemain de leur inauguration, samedi, dans une ambiance festive.”Selon notre protocole, s’il pleut plus de 10 millimètres en moins de 12 heures, on n’ouvre pas la baignade en attendant les résultats de la qualité de l’eau”, a expliqué à l’AFP Pierre Rabadan, adjoint aux sports à la maire de Paris Anne Hidalgo, précisant qu’il avait plu 26 millimètres dimanche et lundi.L’ensemble des eaux de pluies – qui à Paris se mêlent aux eaux usées – ont pu être stockées, grâce au bassin d’Austerlitz, évitant tout déversement dans la Seine, a-t-il ajouté. Mais des déversements peuvent se produire en amont de la capitale en cas de trop fortes pluies, entraînant une pollution bactériologique de l’eau.Samedi, plus de 2.300 visiteurs ont été comptabilisés sur les trois sites. Comme sur les plages, des drapeaux (verts, jaunes et rouges) hissés à l’entrée indiquent le débit du fleuve et la qualité de son eau.L’été dernier, les pluies record enregistrées pendant les JO avaient souvent rendu l’eau impropre à la baignade des athlètes, notamment à cause des taux ponctuellement trop élevés de bactéries fécales (Escherichia coli et entérocoques).

Modération des contenus: une étude met en doute l’efficacité des notes de contexte sur X

Présentées comme une alternative à la vérification des contenus (fact-checking), les notes de contexte proposées par les utilisateurs de X semblent inefficaces pour lutter contre la désinformation sur internet, selon une nouvelle étude américaine.Plus de 90% de ces notes de contexte ne sont en effet jamais publiées sur X, indique cette enquête publiée mercredi par l’ONG américaine Digital Democracy Institute of the Americas (DDIA, Institut pour la démocratie digitale des Amériques). Un constat qui risque de relancer les critiques sur le retrait de plusieurs réseaux sociaux de la modération et vérification des contenus, comme annoncé par Meta en janvier dernier. Sur X (ex-Twitter), les utilisateurs peuvent depuis plusieurs années proposer, en dessous d’une publication, un commentaire, ou “community note”, pour ajouter du contexte ou signaler une erreur factuelle.C’est ensuite aux autres utilisateurs, par un système de vote, de dire s’ils considèrent ce commentaire utile ou non. Si suffisamment de personnes votent en sa faveur, la note est rendue visible pour l’ensemble des internautes en-dessous de la publication d’origine.En étudiant 1,76 million de ces notes proposées entre janvier 2021 et mars 2025, le DDIA a conclu que “la vaste majorité des notes soumises – plus de 90% – ne parviennent jamais au public”.-Encore trop lent-“Pour un système promu comme rapide, facile à étendre et transparent, ces chiffres devraient soulever de graves inquiétudes”, souligne l’ONG américaine dans son étude.En 2023, 9,5% des notes soumises en anglais étaient publiées, contre seulement 4,9% début 2025, selon elle. La dynamique est cependant inverse pour les notes en langue espagnole (3,6% en 2023, 7,1% en 2025).Une grande partie des notes qui restent non-publiées le sont par manque de consensus lors de la phase de vote, tandis que d’autres ne sont même jamais proposées au vote, explique l’étude.L’augmentation du nombre de notes semble provoquer un “goulot d’étranglement” pour leur visibilité, “spécialement en anglais”, souligne l’enquête, estimant que “de nombreuses notes restent perdues dans les limbes, invisibles et non évaluées” par d’autres.Les enquêteurs du DDIA ont aussi montré que le plus gros fournisseur de notes en anglais n’est pas un être humain, mais un bot conçu pour signaler les arnaques sur les crypto-monnaies, qui a soumis plus de 43.000 notes entre 2021 et mars 2025. Seules 3,1% de ses notes ont été publiées.L’étude a cependant relevé du progrès dans le délai nécessaire pour qu’une note soit mise en ligne, passant d’une moyenne de plus de 100 jours en 2022 à 14 jours en 2025.-TikTok et Meta aussi-Ces “community notes”, lancées par X sous la direction de Linda Yaccarino, qui a démissionné mercredi, sont désormais envisagées par les concurrents TikTok et Meta.Le patron de Meta, Mark Zuckerberg a annoncé en janvier mettre fin à son programme de vérification des contenus par des journalistes aux Etats-Unis, assimilant cette pratique à de la “censure”, reprenant les termes du parti Républicain au pouvoir.Le volume de contenus nocifs, y compris haineux, a augmenté depuis lors sur ses plateformes (Facebook, Instagram, Threads…) aux Etats-Unis, selon une enquête publiée en juin par des organisations de défense des droits numériques et humains, notamment UltraViolet, GLAAD et All Out.L’Union européenne, qui s’est dotée d’un texte visant à endiguer les contenus illégaux et la désinformation sur internet (le DSA), pourrait avoir bientôt à trancher sur les obligations précises des réseaux sociaux à ce sujet.L’AFP participe dans  plus de 26 langues à un programme de vérification des faits développé par Facebook, qui rémunère plus de 80 médias à travers le monde.

Modération des contenus: une étude met en doute l’efficacité des notes de contexte sur X

Présentées comme une alternative à la vérification des contenus (fact-checking), les notes de contexte proposées par les utilisateurs de X semblent inefficaces pour lutter contre la désinformation sur internet, selon une nouvelle étude américaine.Plus de 90% de ces notes de contexte ne sont en effet jamais publiées sur X, indique cette enquête publiée mercredi par l’ONG américaine Digital Democracy Institute of the Americas (DDIA, Institut pour la démocratie digitale des Amériques). Un constat qui risque de relancer les critiques sur le retrait de plusieurs réseaux sociaux de la modération et vérification des contenus, comme annoncé par Meta en janvier dernier. Sur X (ex-Twitter), les utilisateurs peuvent depuis plusieurs années proposer, en dessous d’une publication, un commentaire, ou “community note”, pour ajouter du contexte ou signaler une erreur factuelle.C’est ensuite aux autres utilisateurs, par un système de vote, de dire s’ils considèrent ce commentaire utile ou non. Si suffisamment de personnes votent en sa faveur, la note est rendue visible pour l’ensemble des internautes en-dessous de la publication d’origine.En étudiant 1,76 million de ces notes proposées entre janvier 2021 et mars 2025, le DDIA a conclu que “la vaste majorité des notes soumises – plus de 90% – ne parviennent jamais au public”.-Encore trop lent-“Pour un système promu comme rapide, facile à étendre et transparent, ces chiffres devraient soulever de graves inquiétudes”, souligne l’ONG américaine dans son étude.En 2023, 9,5% des notes soumises en anglais étaient publiées, contre seulement 4,9% début 2025, selon elle. La dynamique est cependant inverse pour les notes en langue espagnole (3,6% en 2023, 7,1% en 2025).Une grande partie des notes qui restent non-publiées le sont par manque de consensus lors de la phase de vote, tandis que d’autres ne sont même jamais proposées au vote, explique l’étude.L’augmentation du nombre de notes semble provoquer un “goulot d’étranglement” pour leur visibilité, “spécialement en anglais”, souligne l’enquête, estimant que “de nombreuses notes restent perdues dans les limbes, invisibles et non évaluées” par d’autres.Les enquêteurs du DDIA ont aussi montré que le plus gros fournisseur de notes en anglais n’est pas un être humain, mais un bot conçu pour signaler les arnaques sur les crypto-monnaies, qui a soumis plus de 43.000 notes entre 2021 et mars 2025. Seules 3,1% de ses notes ont été publiées.L’étude a cependant relevé du progrès dans le délai nécessaire pour qu’une note soit mise en ligne, passant d’une moyenne de plus de 100 jours en 2022 à 14 jours en 2025.-TikTok et Meta aussi-Ces “community notes”, lancées par X sous la direction de Linda Yaccarino, qui a démissionné mercredi, sont désormais envisagées par les concurrents TikTok et Meta.Le patron de Meta, Mark Zuckerberg a annoncé en janvier mettre fin à son programme de vérification des contenus par des journalistes aux Etats-Unis, assimilant cette pratique à de la “censure”, reprenant les termes du parti Républicain au pouvoir.Le volume de contenus nocifs, y compris haineux, a augmenté depuis lors sur ses plateformes (Facebook, Instagram, Threads…) aux Etats-Unis, selon une enquête publiée en juin par des organisations de défense des droits numériques et humains, notamment UltraViolet, GLAAD et All Out.L’Union européenne, qui s’est dotée d’un texte visant à endiguer les contenus illégaux et la désinformation sur internet (le DSA), pourrait avoir bientôt à trancher sur les obligations précises des réseaux sociaux à ce sujet.L’AFP participe dans  plus de 26 langues à un programme de vérification des faits développé par Facebook, qui rémunère plus de 80 médias à travers le monde.

London hits record as trade deal hopes fan rally on markets

London hit a record high Thursday as equity markets were boosted by optimism governments will hammer out deals to avoid the worst of US President Donald Trump’s tariffs even after he broadened his range of measures.Negotiators from around the world have tried to reach agreements with Washington since Trump in April unveiled his “Liberation Day” tariff bombshell, with a July 9 deadline recently pushed back to August 1.Letters have been sent in recent days to more than 20 trading partners — including Japan and South Korea — setting out new tolls, with some higher and some lower than the initial levels.Trump also said this week he would put a 50 percent tariff on copper imports, while considering a 200 percent charge for pharmaceuticals.However, analysts said the threats are largely being seen as negotiating tools, and investors have increasingly taken them in their stride, with the S&P 500 and Nasdaq hitting all-time highs in New York.David Chao, global market strategist for Asia Pacific at Invesco, painted a positive picture even in light of the threatened levies.”Should the US ultimately impose higher tariffs on Asian countries, the region appears better positioned to withstand the resulting headwinds,” he wrote.”A softer dollar should give Asian central banks greater flexibility to ease policy to support their domestic economies without heightened concerns over currency depreciation.”London jumped one percent to a record high at the open, with Frankfurt and Paris also advancing.In Asia, Hong Kong, Shanghai, Sydney, Singapore, Seoul, Taipei and Jakarta all rose, though Tokyo edged down with Manila, Bangkok and Wellington.The rallies followed a healthy lead from Wall Street, where the Nasdaq hit another peak thanks to a surge in Nvidia that pushed the firm to a $4 trillion valuation at one point.The upbeat mood helped push bitcoin above $112,000 for the first time.There was also little reaction to news that Trump had hit Brazil with a 50 percent tariff as he blasted the trial of the country’s ex-president Jair Bolsonaro.In a letter addressed to Brazilian President Luiz Inacio Lula da Silva, he called the treatment of his right-wing ally an “international disgrace”. Bolsonaro is on trial over accusations he plotted a coup after his 2022 election loss to Lula.Lula said he will impose reciprocal levies on the United States.Brazil had not been among those threatened with these higher duties previously, with the United States running a goods trade surplus instead with the South American giant.Traders were given few guides on the Federal Reserve’s interest rate plans after minutes from its June policy meeting showed officials divided on the best way forward.Boss Jerome Powell’s patient approach to lowering borrowing costs has drawn the ire of Trump, who on Wednesday said on social media that they were “AT LEAST 3 Points too high”.While the board sees the president’s tariffs as inflationary, the minutes said there remained “considerable uncertainty” on the timing, size and duration of the effects.Companies might choose not to raise consumer prices until they depleted their product stockpiles, for example, but supply chain disruptions caused by the levies could trigger larger price hikes.”While a few participants noted that tariffs would lead to a one-time increase in prices and would not affect longer-term inflation expectations, most participants noted the risk that tariffs could have more persistent effects on inflation,” the report said.- Key figures at around 0810 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.4 percent at 39,646.36 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.6 percent at 24,028.37 (close)Shanghai – Composite: UP 0.5 percent at 3,509.68 (close)London – FTSE 100: UP 1.0 percent at 8,952.92Euro/dollar: UP at $1.1733 from $1.1719 on WednesdayPound/dollar: UP at $1.3610 from $1.3590Dollar/yen: UP at 146.32 yen from 146.30 yenEuro/pound: DOWN at 86.18 pence from 86.21 penceWest Texas Intermediate: FLAT at $68.39 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.1 percent at $70.26 per barrelNew York – Dow: UP 0.5 percent at 44,458.30 (close)

La Bourse de Paris optimiste sur l’issue des négociations commerciales UE-USA

La Bourse de Paris est en hausse jeudi, portée par les records de ses pairs européens, dans un marché optimiste quant à l’issue des négociations commerciales entre les États-Unis et l’Union européenne au sujet des droits de douane.L’indice vedette de la Bourse de Paris prenait 0,67% vers 10H00, une hausse de 53,14 points à 7.931,60 points. La veille, le CAC 40 a terminé en forte hausse de 111,75 points (+1,44%).Ailleurs en Europe, les équivalents allemand (Dax) et britannique (FTSE 100) du CAC 40 franchissaient des records en séance. L’indice parisien restait toutefois à plus de 300 points de son plus haut en date de 10 mai 2024, à 8.259,19.L’administration Trump, qui a repoussé du 9 juillet au 1er août la date butoir pour trouver un accord avec ses partenaires commerciaux sur des surtaxes douanières, a commencé à envoyer une série de lettres pour annoncer aux pays concernés les droits de douane additionnels qui seront appliqués à leurs produits entrant aux États-Unis.”Jusqu’à présent, les droits varient entre 25% et 50%, à l’exception du Royaume-Uni qui a réussi à s’en sortir avec un modeste 10%, tandis que l’UE attend encore d’être fixée”, commente Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank.L’objectif des Européens est dans l’immédiat d’obtenir également le maintien des droits de douane appliqués à leurs produits à 10%, au lieu des 20% annoncés début avril, avec des exemptions pour des secteurs clés tels que l’aéronautique, les cosmétiques et les boissons alcoolisées.”Personne ne croit réellement que les droits de douane seront totalement supprimés, mais la grande résilience de l’économie et la capacité d’adaptation des entreprises pourraient permettre à l’activité économique et aux bénéfices des entreprises de continuer à croître, malgré de nouveaux droits de douane américains”, estime Jochen Stanzl, analyste chez CMC Markets.”Tant que les négociations se poursuivent, l’espoir d’un bon compromis reste présent”, poursuit-il.”Ce qui pourrait ébranler les marchés, c’est si tous ces droits de douane se traduisent dans les données économiques par un ralentissement de la croissance ou par une hausse de l’inflation”, commente Ipek Ozkardeskaya de Swissquote Bank. Legrand se tourne vers les interphones CogelecLe spécialiste du matériel électrique Legrand (+0,88% à 114,75 euros) a annoncé mercredi être sur le point de prendre une participation majoritaire d’à peu près 60% dans l’entreprise d’interphones Cogelec, qui sera valorisée à environ 254 millions d’euros à l’issue de l’opération.