Explosion mortelle dans l’Ain: une personne toujours recherchée

Les recherches ont repris mardi à Trévoux, dans l’Ain, pour retrouver une “personne manquante” au lendemain de l’explosion, d’origine encore indéterminée, qui a tué deux enfants en bas âge et fait une dizaine de blessés.”Il y a une personne qui manque à l’appel, qui était probablement occupante d’un des logements. Ce sont les équipes cyno(philes) qui sont en recherche actuellement”, a déclaré à la presse le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez, lors d’une visite.Un peu plus tôt, le maire de Trévoux Marc Péchoux avait mentionné des personnes “dont on n’a pas forcément de nouvelles. Mais rien ne dit qu’elles étaient dans leur appartement”, avait-il dit devant la presse. Il a évoqué des recherches menées lundi “jusqu’à 23H30 avec des chiens qui n’ont rien détecté”.L’explosion, survenue vers 17H30, au rez-de-chaussée d’un immeuble d’habitation de quatre étages, a tué deux jeunes enfants et fait “une dizaine de blessés en urgence relative”, selon le ministre. “On a 53 personnes impliquées qui ont été choquées”, a-t-il ajouté.”Sur les motifs de cette explosion, il y a une enquête qui est en cours”, et les investigations sont menées par les gendarmes sous l’égide du parquet de Bourg-en-Bresse, a-t-il déclaré, refusant d’en dire davantage.Le maire de la ville de 6.930 habitants, située à une quarantaine de kilomètres au nord de Lyon, a évoqué la piste d’une explosion due au gaz mais le parquet a souligné dans un communiqué qu’à ce stade, les causes exactes n’étaient “pas encore déterminées avec certitude”.Les deux garçons, des frères de trois et cinq ans, ont été sortis des décombres en arrêt cardio-respiratoire mais n’ont pas pu être ranimés, selon une source au sein des secours.La zone autour de l’effondrement était toujours barrée mardi par des cordons de sécurité derrière lesquels s’affairaient pompiers et gendarmes.- “La cuisine coupée en deux” -Tôt mardi, des résidents sont venus, parfois avec leurs enfants, souvent en peignoir, chaussons ou vêtement de jogging, dans l’espoir de récupérer quelques affaires dans les logements alentours, évacués la veille par précaution. L’accès à l’immeuble de l’explosion reste  interdit d’accès.Samira y vivait au deuxième étage avec ses trois enfants. Au moment de l’explosion, “j’étais avec mon fils, il était dans sa chambre, d’un coup tout est tombé par terre”, raconte-elle.”C’est tombé d’un coup. On a plus de porte, elle s’est envolée, les fenêtres et la terrasse ont été soufflées. La cuisine a été coupée en deux”, dit cette mère célibataire, dont un fils a été légèrement blessé. “Je ne peux plus rentrer chez moi je suis au camping”.La mère d’Abdel, âgée de 81 ans, habitait elle aussi au deuxième étage de l’immeuble soufflé. “Elle n’a rien compris. La porte a volé, les fenêtres ont éclaté. Un bruit assourdissant, comme une bombe”, a raconté à l’AFP le fils de l’octogénaire.”Elle est en état de choc, elle est légèrement blessée aux genoux. L’essentiel, ce matin, elle est chez moi, elle va bien”, a-t-il ajouté.Le ministre de l’Intérieur a salué l’action des pompiers, notamment de deux officiers qui sont intervenus en civil lundi en dehors de leur service et “qui ont été les premiers à pratiquer les gestes de secours, notamment sur les deux jeunes enfants”.Venu pour témoigner du “soutien” et de “la compassion du gouvernement”, Laurent Nuñez a également “salué un habitant de l’immeuble qui a joué un rôle important pour procéder aux évacuations” et souligné qu’une chaîne de solidarité” s’était mise en place pour prendre en charge les sinistrés.L’immeuble où l’explosion a eu lieu comptait 20 logements, dont 19 occupés par quelque 70 habitants. Tous ont été évacués et ils ne pourront pas le réintégrer dans l’immédiat. Ils ont été hébergés provisoirement dans des hôtels, un camping ou bien chez des proches, selon la mairie.”Le périmètre va être gelé pendant le temps nécessaire aux constatations”, a dit le ministre.

US unemployment rises further, hovering at highest since 2021

The US jobless rate picked up again in November, hovering at its highest level in four years, official data showed Tuesday in a report underscoring a labor market cooldown in the world’s biggest economy.The report, delayed by a lengthy government shutdown, also indicated that the US economy lost 105,000 jobs in October.Hiring picked up again in November with a gain of 64,000 jobs, but this was still a slower pace than before, according to the Labor Department figures.”Employment rose in health care and construction in November, while (the) federal government continued to lose jobs,” the department said.There was a sharp decline of 162,000 government jobs in October, “as some federal employees who accepted a deferred resignation offer came off federal payrolls,” the report added.In November, unemployment climbed to 4.6 percent from 4.4 percent in September. It is the highest rate since September 2021.There was no October jobless rate as officials were unable to retroactively collect data after the shutdown, which lasted until November 12.The figures will be closely scrutinized for their potential bearing on US interest rates.The Federal Reserve has cut rates three times in a row this year as employment weakened, but hinted that the bar is likely higher for further cuts.A rapidly deteriorating jobs market could nudge the central bank to lower rates more to boost the economy, despite some policymakers’ worries that higher inflation could become persistent.While President Donald Trump’s tariffs have not sparked a broad inflation surge, firms say they have caused business costs to grow and fueled uncertainty.Trump’s chief economic adviser Kevin Hassett told reporters Tuesday that government workers who took buyouts “are staying in the labor force and looking for work.”He said he expects “that they’ll be very successful with it.”- Americans ‘squeezed’ -Elizabeth Warren, the top Democrat on the Senate Banking Committee, slammed Trump’s “chaotic tariffs” and economic policies, saying they were “hammering the labor market.””With wages struggling to keep up with higher costs, it’s no wonder Americans are more anxious about the economy than ever,” she said.In November, average hourly earnings climbed 0.1 percent to $36.86, while wages rose 3.5 percent on an annual basis. But both numbers represent a slowdown from the prior month.In another sign that the economy appears to be cooling, a separate report released Tuesday by the Commerce Department said that retail sales were flat in October at $732.6 billion.This came on the back of sales declines at motor vehicle and parts dealers, and gasoline stations. Consumers also pulled back at restaurants and bars.”Americans are feeling squeezed,” said Heather Long, chief economist at the Navy Federal Credit Union, adding that consumers were shifting to spending more on necessities.- Long-term unemployment -On employment, Long said: “The US economy is in a jobs recession. The nation has added a mere 100,000 in the past six months.”She said businesses were adjusting to tariffs, uncertain conditions and AI, and that most of the new jobs were in health care which is regularly hiring as the American population ages.Economist Samuel Tombs of Pantheon Macroeconomics said much of the overall drag came from a slump in federal payrolls. The government shutdown likely also exacerbated unemployment figures.But a growing proportion of people are jobless for longer periods.The number of individuals unemployed for 27 weeks or more has risen by 15.5 percent over the past year, said Nicole Bachaud, labor economist at ZipRecruiter.For now, economists say the jobs market is likely not weakening enough to trigger a January rate cut.”While net hiring remains soft and narrowly based, it is not softening further and in fact is moderately firmer than the weak readings in the summer,” said Nationwide chief economist Kathy Bostjancic.She expected the Fed can continue holding rates steady for a few months.

Dermatose: Lecornu promet d’accélérer la vaccination, une “urgence absolue”

Sébastien Lecornu a tenté mardi de rassurer les éleveurs très mobilisés dans le Sud-Ouest contre la gestion de la dermatose nodulaire contagieuse, en promettant “d’accélérer” la vaccination, une “urgence absolue”.”Et pour cela, on a besoin de doses, on a besoin de lever un certain nombre de freins logistiques”, a affirmé le Premier ministre devant l’Assemblée nationale, en annonçant la mobilisation des vétérinaires de l’armée.Il a insisté sur la nécessité de rendre les doses de vaccin disponibles “au plus près” des élevages, évoquant des décisions à venir alors qu’une réunion ministérielle de crise sur cette maladie contagieuse se tiendra à Matignon à 17H30, la deuxième de la journée.”Nous allons organiser une politique massive, rapide, déterminée de vaccination le plus vite possible en la territorialisant de façon à rassurer les éleveurs”, a précisé la ministre de l’Agriculture Annie Genevard qui s’est dite “ouverte à l’extension de la zone” de vaccination.Au total, 113 foyers de dermatose nodulaire contagieuse ont été recensés en France, depuis l’apparition de la maladie en juin en Savoie. Mais à ce jour, “il n’y a plus de foyers infectieux”, a assuré la ministre.Plus de 3.300 bêtes ont été abattues sur un cheptel national bovins de quelque 16 millions de têtes. Environ un million ont été vaccinées, et de 600.000 à 1 million d’animaux supplémentaires doivent l’être dans une zone du Sud-Ouest présentée par le gouvernement comme “un cordon sanitaire” destiné à protéger les élevages du reste du pays.- “Amalgame” -Sébastien Lecornu a par ailleurs dénoncé l'”amalgame” qui a pu être fait entre les éleveurs “et 40 à 50 militants de l’ultragauche (…) venus s’immiscer” dans leurs manifestations avec “des armes par destination”. “Il n’y a pas de place pour cette violence”, a-t-il lancé en direction des députés de La France insoumise.Il recevra vendredi les différents syndicats agricoles, dont certains critiquent la gestion de cette maladie et sont aussi indignés par la perspective d’une signature du traité de libre-échange entre l’Union européenne et des pays latino-américains du Mercosur.Au lendemain d’une visite en Occitanie de la ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, la mobilisation des agriculteurs contre la gestion de cette maladie animale ne retombait pas mardi, au septième jour consécutif, avec plusieurs axes routiers et ferroviaires bloqués dans le Sud-Ouest.Une partie des agriculteurs, surtout de la Coordination rurale, proche de l’extrême droite, et de la Confédération paysanne, classée à gauche, conteste la stratégie d’abattage systématique d’un troupeau de bovins dès la détection d’un cas. Ils demandent la fin de l’abattage total et un élargissement de la zone vaccinale.- “Mercosur” -L’exécutif doit par ailleurs gérer une autre colère agricole contre la signature du traité du Mercosur. La FNSEA, premier syndicat agricole, a appelé à manifester à Bruxelles jeudi à l’occasion du sommet des chefs d’Etat européens invités à valider l’accord.La patronne du Rassemblement national, Marine Le Pen, a appelé le président Emmanuel Macron à “dire non” à ce traité plutôt que de demander un report du vote prévu à Bruxelles cette semaine comme l’a fait le gouvernement français. En déplacement lundi soir à Berlin pour des échanges sur l’Ukraine, M. Macron a redit aux dirigeants de l’UE son opposition à la signature de l’accord.Mais ces efforts sur les deux fronts de la colère agricole paraissent insuffisants à beaucoup de manifestants. “Au vu des annonces de la ministre (Annie Genevard)”, les blocages “ne sont pas près de se lever”, a prévenu mardi Guillaume Bénazet, patron des Jeunes Agriculteurs de Haute-Garonne.En Nouvelle-Aquitaine mardi après-midi, des agriculteurs bloquaient la circulation dans les deux sens sur l’A63 au sud de Bordeaux, perturbant notamment le trafic des poids lourds en provenance d’Espagne.Des actions étaient également signalées sur l’A64 entre les Pyrénées-Atlantiques et la Haute-Garonne, sur l’A20 autour de Brive-la-Gaillarde (Corrèze) et sur l’A89 (qui relie Lyon) à hauteur de Périgueux en Dordogne et d’Ussel en Corrèze. D’autres actions sont d’ores et déjà prévues mercredi à Limoges, où la Coordination rurale de Haute-Vienne appelle les paysans à monter un mur de foin et de paille devant la préfecture.En Occitanie, après avoir entravé le trafic ferroviaire entre Toulouse et Narbonne mardi matin, à hauteur de Villefranche-de-Lauragais en Haute-Garonne, des agriculteurs ont investi non loin l’autoroute A61 et installé un point de blocage dans le sens Carcassonne-Toulouse.

Dermatose: Lecornu promet d’accélérer la vaccination, une “urgence absolue”

Sébastien Lecornu a tenté mardi de rassurer les éleveurs très mobilisés dans le Sud-Ouest contre la gestion de la dermatose nodulaire contagieuse, en promettant “d’accélérer” la vaccination, une “urgence absolue”.”Et pour cela, on a besoin de doses, on a besoin de lever un certain nombre de freins logistiques”, a affirmé le Premier ministre devant l’Assemblée nationale, en annonçant la mobilisation des vétérinaires de l’armée.Il a insisté sur la nécessité de rendre les doses de vaccin disponibles “au plus près” des élevages, évoquant des décisions à venir alors qu’une réunion ministérielle de crise sur cette maladie contagieuse se tiendra à Matignon à 17H30, la deuxième de la journée.”Nous allons organiser une politique massive, rapide, déterminée de vaccination le plus vite possible en la territorialisant de façon à rassurer les éleveurs”, a précisé la ministre de l’Agriculture Annie Genevard qui s’est dite “ouverte à l’extension de la zone” de vaccination.Au total, 113 foyers de dermatose nodulaire contagieuse ont été recensés en France, depuis l’apparition de la maladie en juin en Savoie. Mais à ce jour, “il n’y a plus de foyers infectieux”, a assuré la ministre.Plus de 3.300 bêtes ont été abattues sur un cheptel national bovins de quelque 16 millions de têtes. Environ un million ont été vaccinées, et de 600.000 à 1 million d’animaux supplémentaires doivent l’être dans une zone du Sud-Ouest présentée par le gouvernement comme “un cordon sanitaire” destiné à protéger les élevages du reste du pays.- “Amalgame” -Sébastien Lecornu a par ailleurs dénoncé l'”amalgame” qui a pu être fait entre les éleveurs “et 40 à 50 militants de l’ultragauche (…) venus s’immiscer” dans leurs manifestations avec “des armes par destination”. “Il n’y a pas de place pour cette violence”, a-t-il lancé en direction des députés de La France insoumise.Il recevra vendredi les différents syndicats agricoles, dont certains critiquent la gestion de cette maladie et sont aussi indignés par la perspective d’une signature du traité de libre-échange entre l’Union européenne et des pays latino-américains du Mercosur.Au lendemain d’une visite en Occitanie de la ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, la mobilisation des agriculteurs contre la gestion de cette maladie animale ne retombait pas mardi, au septième jour consécutif, avec plusieurs axes routiers et ferroviaires bloqués dans le Sud-Ouest.Une partie des agriculteurs, surtout de la Coordination rurale, proche de l’extrême droite, et de la Confédération paysanne, classée à gauche, conteste la stratégie d’abattage systématique d’un troupeau de bovins dès la détection d’un cas. Ils demandent la fin de l’abattage total et un élargissement de la zone vaccinale.- “Mercosur” -L’exécutif doit par ailleurs gérer une autre colère agricole contre la signature du traité du Mercosur. La FNSEA, premier syndicat agricole, a appelé à manifester à Bruxelles jeudi à l’occasion du sommet des chefs d’Etat européens invités à valider l’accord.La patronne du Rassemblement national, Marine Le Pen, a appelé le président Emmanuel Macron à “dire non” à ce traité plutôt que de demander un report du vote prévu à Bruxelles cette semaine comme l’a fait le gouvernement français. En déplacement lundi soir à Berlin pour des échanges sur l’Ukraine, M. Macron a redit aux dirigeants de l’UE son opposition à la signature de l’accord.Mais ces efforts sur les deux fronts de la colère agricole paraissent insuffisants à beaucoup de manifestants. “Au vu des annonces de la ministre (Annie Genevard)”, les blocages “ne sont pas près de se lever”, a prévenu mardi Guillaume Bénazet, patron des Jeunes Agriculteurs de Haute-Garonne.En Nouvelle-Aquitaine mardi après-midi, des agriculteurs bloquaient la circulation dans les deux sens sur l’A63 au sud de Bordeaux, perturbant notamment le trafic des poids lourds en provenance d’Espagne.Des actions étaient également signalées sur l’A64 entre les Pyrénées-Atlantiques et la Haute-Garonne, sur l’A20 autour de Brive-la-Gaillarde (Corrèze) et sur l’A89 (qui relie Lyon) à hauteur de Périgueux en Dordogne et d’Ussel en Corrèze. D’autres actions sont d’ores et déjà prévues mercredi à Limoges, où la Coordination rurale de Haute-Vienne appelle les paysans à monter un mur de foin et de paille devant la préfecture.En Occitanie, après avoir entravé le trafic ferroviaire entre Toulouse et Narbonne mardi matin, à hauteur de Villefranche-de-Lauragais en Haute-Garonne, des agriculteurs ont investi non loin l’autoroute A61 et installé un point de blocage dans le sens Carcassonne-Toulouse.

Fresh rains flood streets in war-scarred Gaza

Some pushed cars through the Gaza Strip’s flooded streets, while others took to donkey-pulled carts to wade through the floodwaters after fresh winter rains lashed the war-battered Palestinian territory.The rains have flooded tents and makeshift shelters in Gaza, where most of the buildings have been destroyed or damaged by two years of war between Israel and Hamas.The health ministry in the Hamas-run territory said a two-week-old baby named Muhammad Khalil Abu Al-Khair died because of severe hypothermia caused by extreme cold.The ministry said the baby had been admitted to a hospital two days ago and placed in intensive care, but died on Monday.Although a ceasefire between Israel and militant group Hamas that took effect in October has partially eased restrictions on goods and aid, the United Nations says not enough is entering Gaza where people’s needs are great.The UN said on Monday that an estimated 1.3 million people currently need shelter assistance in Gaza and warned of the increasing risk of hypothermia.It said babies were in particularly “high danger” from the winter conditions.”With heavy rain and cold brought in by Storm Byron, people in the Gaza Strip are freezing to death,” the UN Palestinian relief agency’s head Philippe Lazzarini said in an X post on Monday.”Our supplies have now been waiting for months to enter Gaza. They would cover the needs of hundreds of thousands of people in desperation,” he added.- ‘Living in the streets’ -Last week, heavy rain from Storm Byron battered the territory — compounding the suffering of the territory’s residents, nearly all of whom were displaced during the war.Gaza’s civil defence agency — which operates as a rescue force under Hamas authority — said on Friday that at least 16 people had died within 24 hours from collapsed buildings and the effects of the cold.On Tuesday, agency spokesman Mahmud Bassal said at least one person had died after the roof of a building collapsed following heavy rains in northwest Gaza City.He said the house had already been damaged by air strikes during the war.AFP footage showed rescuers pulling the body of a man out of the collapsed slabs of concrete on a stretcher, while grieving relatives wept in the street.”We call on the world to solve our problems and rebuild the territory so that people can have homes instead of being displaced and living in the streets,” said Ahmed Al-Hosari, who lost a relative.Located between the Sinai and the Negev desert on one side, and the Mediterranean Sea on the other, the tiny Gaza Strip receives nearly all of its precipitation via strong rain in the late autumn and winter.str-az-raz-acc-glp/jfx

Trafic de cocaïne: à son procès, Bouguettaia accusé d’avoir fait régner peur et violence

Au deuxième jour de son procès à Lille, Abdelkader Bouguettaia a été confronté mardi à un témoignage accablant sur les méthodes brutales avec lesquelles il est accusé d’avoir contrôlé depuis Dubaï l’importation de cocaïne au port du Havre.Installé aux Emirats arabes unis depuis fin 2019, il était loin de la justice française au moment de ses condamnations à Lille, entre 2022 et 2024, à des peines de neuf à quinze ans de prison pour narcotrafic.Après son extradition obtenue par la France en juin de cette année, il n’avait pas acquiescé à ces condamnations prononcées en son absence, entraînant la tenue d’un nouveau procès regroupant trois affaires.Les réquisitions et les plaidoiries de ses avocates sont prévues mercredi.Mardi, le tribunal correctionnel de Lille a étudié deux des trois dossiers, portant respectivement sur des importations de 2,4 tonnes et près de 600 kg de cocaïne via le port du Havre, en 2020 et 2021.Les bras croisés dans le dos, Abdelkader Bouguettaia, franco-algérien de 38 ans, a écouté la présidente citer le témoignage, central dans les trois dossiers, d’un ancien membre de l’organisation criminelle qu’il est accusé d’avoir dirigée.Ce témoin dit avoir un jour reçu par message de “Bibi”, surnom d’Abdelkader Bouguettaia, une photo de sa nièce décédée dans un accident de la route. “C’est juste pour te rappeler qui commande”, lui aurait écrit Bouguettaia.- “Balles dans les genoux” -Toujours selon ce témoin, Abdelkader Bouguettaia lui aurait aussi envoyé une photo du lieu où travaillait sa petite amie pour le forcer à accepter une mission en Belgique.Il assure également qu'”on l’aurait menacé de lui tirer des balles dans les genoux”, un sort qu’a selon lui subi un autre membre du réseau, a encore rapporté la présidente.Abdelkader Bouguettaia, qui a tenté lundi de se présenter comme un citoyen ordinaire, salarié à Buffalo Grill en banlieue du Havre, a préféré garder le silence sur ces accusations. Il a dit “réserver (sa) défense” pour une confrontation avec ce témoin dans une autre instruction qui le vise, une tentative d’importation de 2,5 tonnes de cocaïne en 2020 pour laquelle il a été mis en examen en juin à Paris.Ce même membre présumé du réseau a assuré qu’Abdelkader Bouguettaia faisait une marge de 1.000 euros par kilogramme de cocaïne sorti du port, et qu’il rachetait parfois lui-même une partie de la cargaison pour la revendre.Ces livraisons se faisaient dans des conteneurs de bois de balsa, de gélatine de boeuf ou encore de café, en provenance de l’Equateur, du Brésil et du Guatemala.Dans les deux dossiers évoqués mardi, de nombreux membres du réseau – lieutenants, dockers, chauffeurs routiers, ainsi qu’un frère de “Bibi”, Bobdellah Bouguettaia – ont été condamnés à des peines de plusieurs années de prison.- La grande vie à Dubaï -Les messages et appels téléphoniques échangés par certaines petites mains du réseau mentionnaient des échanges d’importantes sommes d’argent ainsi que des ordres donnés par un certain “Bibi”.Le mis en cause a affirmé ne pas connaître ces personnes, ou vaguement.Multiple condamné pour trafic de cannabis dans sa jeunesse, Abdelkader Bouguettaia a quitté la France en 2019, d’abord pour l’Algérie puis Dubaï, après avoir été enlevé et séquestré en région parisienne dans des circonstances troubles sur lesquelles il préfère ne pas s’attarder.Selon un extrait d’interrogatoire d’un ancien proche consulté par l’AFP en 2024, il occupait avec sa compagne à Dubaï deux appartements dans un immeuble cossu de la marina, possédait des voitures haut de gamme, et fréquentait des piscines d’hôtels luxueux ou restaurants chics.La lutte contre les têtes de réseaux à l’étranger est au coeur de la guerre que mène la France au narcotrafic.Devant des lecteurs du journal La Provence à Marseille, le président Emmanuel Macron a affiché sa volonté d’aller “chercher dans les pays” où sont installées les têtes de réseaux, “pour pouvoir saisir leurs biens”, les “arrêter” et “les restituer” à la justice française.

Filmmaker Rob Reiner’s son to be formally charged with parents’ murder

The son of famed Hollywood director Rob Reiner is expected to appear in court on Tuesday after being arrested for allegedly murdering his parents in their home.Nick Reiner, 32, who has a history of substance abuse stretching back to his teenage years, is to be formally charged with murder at an arraignment at a downtown Los Angeles courthouse.The younger Reiner was arrested after the bodies of his 78-year-old father and mother, Michele Singer Reiner, 70, were discovered at their house in the upscale Brentwood neighborhood of Los Angeles on Sunday.They were reportedly stabbed to death in a brutal double killing that has shocked movie fans around the world.According to US media reports, Nick Reiner had argued with his parents at a glitzy Hollywood party on Saturday evening.Entertainment outlet TMZ said the bodies were found on Sunday afternoon by the couple’s daughter, who told police another family member had killed them.Reiner, the son of legendary comedian Carl Reiner, started his showbiz career in acting.He won fame as the oafish son-in-law Michael “Meathead” Stivic on groundbreaking 1970s sitcom “All in the Family,” before transitioning to directing. Even while leading behind the camera, he often appeared in cameo roles in his own films.But it was as a director that he struck Hollywood gold.His output included classic films like 1984’s rock music mockumentary “This is Spinal Tap,” fantasy gem “The Princess Bride” from 1987, and the 1992 courtroom drama “A Few Good Men,” as well as seminal coming-of-age movie “Stand By Me.””A Few Good Men,” starring Hollywood heavyweights Tom Cruise and Jack Nicholson, earned an Oscar nomination for Best Picture.Reiner also directed “When Harry Met Sally,” which included the legendary restaurant scene in which Meg Ryan fakes an orgasm in front of Billy Crystal.- ‘Heartbroken’ -Entertainers and politicians paid tribute to the beloved filmmaker following his death.Actor-director Ben Stiller described Rob Reiner as “a kind caring person who was really really funny,” and someone who “made some of the most formative movies for my generation.”Former Democratic president Barack Obama said he and his wife, Michelle, were “heartbroken.””Beneath all of the stories he produced was a deep belief in the goodness of people,” Obama said on X.California Governor Gavin Newsom said Reiner had “made California a better place.”Donald Trump, meanwhile, unleashed an extraordinary broadside, suggesting that Reiner brought on his own murder by criticizing the US president.Trump claimed the Reiners had died “reportedly due to the anger he caused others through his massive, unyielding, and incurable affliction with a mind crippling disease known as TRUMP DERANGEMENT SYNDROME.””He was known to have driven people CRAZY by his raging obsession,” the Republican leader wrote.The comments were blasted by two prominent right-wing Republicans, including Representative Thomas Massie, who called them “inappropriate and disrespectful.”Reiner was politically active, an outspoken supporter of progressive causes, and had warned that Trump was mounting an authoritarian takeover.

Marine Le Pen définitivement condamnée pour diffamation envers la Cimade

La Cour de cassation a rendu définitive mardi la condamnation de Marine Le Pen pour diffamation envers la Cimade, une association d’aide aux migrants, qu’elle avait accusée d’organiser “la filière d’immigration clandestine en provenance des Comores” à Mayotte.Dans un arrêt consulté par l’AFP, la plus haute instance judiciaire française a rejeté le pourvoi de la cheffe de file de l’extrême droite contre sa condamnation à 500 euros d’amende avec sursis par la cour d’appel de Paris le 11 septembre 2024.”Les propos de Mme Le Pen qui assimilaient l’action de la Cimade à celle des passeurs de migrants étaient inacceptables. La Cour de cassation juge que les limites de la liberté d’expression ont été dépassées. Être une personnalité politique n’excuse pas tous les débordements”, a réagi auprès de l’AFP Me Patrice Spinosi, avocat de l’association.Lors d’un entretien diffusé sur BFMTV en janvier 2022, la leader du Rassemblement national avait accusé les associations humanitaires d’être “parfois” “complices des passeurs”.A la question “est-ce que les associations humanitaires sont complices du délit d’entrée?”, Marine Le Pen, alors candidate à l’élection présidentielle, avait répondu: “Parfois oui. Ils sont même complices des passeurs, oui, parfois.”Elle avait ensuite visé directement la Cimade, association engagée contre la xénophobie et l’exclusion des personnes immigrées, pour ses actions à Mayotte.La Cimade “organise la filière d’immigration clandestine en provenance des Comores” à Mayotte, avait-elle déclaré.Actuellement inéligible du fait de sa condamnation en première instance dans l’affaire des assistants parlementaires européens du FN, Mme Le Pen sera jugée en appel du 13 janvier au 12 février 2026 dans ce dossier, une échéance judiciaire et politique cruciale avant la présidentielle de 2027.

Marine Le Pen définitivement condamnée pour diffamation envers la Cimade

La Cour de cassation a rendu définitive mardi la condamnation de Marine Le Pen pour diffamation envers la Cimade, une association d’aide aux migrants, qu’elle avait accusée d’organiser “la filière d’immigration clandestine en provenance des Comores” à Mayotte.Dans un arrêt consulté par l’AFP, la plus haute instance judiciaire française a rejeté le pourvoi de la cheffe de file de l’extrême droite contre sa condamnation à 500 euros d’amende avec sursis par la cour d’appel de Paris le 11 septembre 2024.”Les propos de Mme Le Pen qui assimilaient l’action de la Cimade à celle des passeurs de migrants étaient inacceptables. La Cour de cassation juge que les limites de la liberté d’expression ont été dépassées. Être une personnalité politique n’excuse pas tous les débordements”, a réagi auprès de l’AFP Me Patrice Spinosi, avocat de l’association.Lors d’un entretien diffusé sur BFMTV en janvier 2022, la leader du Rassemblement national avait accusé les associations humanitaires d’être “parfois” “complices des passeurs”.A la question “est-ce que les associations humanitaires sont complices du délit d’entrée?”, Marine Le Pen, alors candidate à l’élection présidentielle, avait répondu: “Parfois oui. Ils sont même complices des passeurs, oui, parfois.”Elle avait ensuite visé directement la Cimade, association engagée contre la xénophobie et l’exclusion des personnes immigrées, pour ses actions à Mayotte.La Cimade “organise la filière d’immigration clandestine en provenance des Comores” à Mayotte, avait-elle déclaré.Actuellement inéligible du fait de sa condamnation en première instance dans l’affaire des assistants parlementaires européens du FN, Mme Le Pen sera jugée en appel du 13 janvier au 12 février 2026 dans ce dossier, une échéance judiciaire et politique cruciale avant la présidentielle de 2027.

Tentative de putsch au Bénin: une trentaine de personnes écrouées

Une trentaine de personnes, majoritairement des militaires, ont été écrouées mardi au Bénin, après avoir été arrêtées en lien avec la tentative de coup d’Etat déjouée début décembre, tandis que plusieurs mutins sont toujours en fuite.Le 7 décembre, des militaires affirmaient à la télévision nationale avoir destitué le président Patrice Talon. Le putsch a finalement …

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