A Bram, la gauche hors LFI affiche son unité, même si des divergences demeurent

Olivier Faure, Marine Tondelier, Raphaël Glucksmann: une partie de la gauche hors LFI a tenté d’afficher une image de réconciliation à Bram (Aude) en vue des prochaines échéances électorales, même si des divergences demeurent.Alors que le Premier ministre Sébastien Lecornu a écarté vendredi plusieurs de ses demandes, comme la taxe Zucman sur les hauts patrimoines ou une suspension de la réforme des retraites, ancrer l’union à gauche est plus que jamais une nécessité, en vue des prochaines échéances électorales, présidentielle ou législatives. Les trois leaders de gauche (le patron du PCF Fabien Roussel étant finalement absent pour des obsèques) qui se sont retrouvés aux Rencontres de la gauche, à l’invitation de la présidente de l’Occitanie Carole Delga, n’ont d’ailleurs pas exclu de censurer le prochain gouvernement, – même si le PS et Place publique laissent encore une porte ouverte à la discussion.”Olivier Faure à Bram, c’est bien, avec Marine Tondelier, c’est encore mieux”, salue un député socialiste.   Car le Premier secrétaire du PS, qui a gagné de justesse son dernier congrès, est accueilli sur les terres d’une de ses opposantes internes, Carole Delga, très critique sur sa stratégie d’union avec La France insoumise aux législatives de 2022 et 2024. “L’état d’esprit c’est de rassembler la famille”, explique un autre député socialiste, soulignant que depuis que le PS a consolidé son image de parti de gouvernement en présentant une proposition de budget alternatif, plébiscitée par les Français, il est “plutôt uni”. Et si Olivier Faure est venu en terres occitanes avec la patronne des Ecologistes Marine Tondelier, c’est aussi pour se faire le VRP de l’union de la gauche. Les Ecologistes et la direction du Parti socialiste ont déjà acté ensemble le principe d’une candidature commune pour 2027 – avec Générations et les ex-Insoumis -, via certainement une primaire, alors que Raphaël Glucksmann et Fabien Roussel s’y refusent. Tout comme une partie des socialistes, à l’instar de Carole Delga.Les opposants internes à Olivier Faure plaident plutôt pour “une affirmation socialiste”, assurant qu’ils sont les seuls à pouvoir rassembler largement derrière eux.Marine Tondelier l’admet volontiers, Carole Delga n’est “pas sa meilleure amie à gauche”, les deux femmes étant notoirement opposées sur le projet de l’autoroute A69, défendue par la présidente d’Occitanie. Mais elle est venue pour “convaincre”. – “Belles phrases” -Lors d’un débat devant quelque 2.500 personnes, les divergences stratégiques n’ont pas manqué de se faire jour.L’écologiste a défendu le Nouveau Front populaire (l’alliance de gauche nouée en 2024 avec LFI), qui n’était “pas parfait”, mais a permis d’empêcher l’arrivée à Matignon du patron du Rassemblement national Jordan Bardella, a-t-elle rappelé, sous les acclamations. Mais elle s’est fait huer lorsqu’elle a appelé à une primaire de la gauche pour 2027 y compris avec les Insoumis.”On finira par être d’accord, on n’a pas le choix”, a-t-elle plaidé, notamment en direction de Raphaël Glucksmann, affirmant avoir avec lui “des valeurs communes et l’antifascisme est la valeur principale”.Juste avant, Olivier Faure avait aussi plaidé pour un rassemblement large, sans LFI mais avec Raphaël Glucksmann: “Je ne connais qu’une seule recette, celle de François Mitterrand: d’abord on rassemble son camp et ensuite on élargit”, a-t-il expliqué. Si la gauche hors LFI n’arrive pas à s’entendre sur un seul candidat, “nous n’aurons fait que des belles phrases”, mais sans parvenir à accéder au second tour, a-t-il insisté.Mais pas question pour Raphaël Glucksmann, qui porte clairement une ligne anti-LFI, de participer à une primaire, même sans les Insoumis. Fort de son bon score aux européennes qui l’ont placé en tête de la gauche, il espère s’imposer dans les sondages pour incarner le vote utile.”Si on fait une primaire avec Jean-Luc Mélenchon, ça veut dire qu’on imagine que s’il gagne on va se battre derrière lui. Dans ce moment de l’histoire, je dis non”, a-t-il affirmé sous les applaudissements.Des débats qui n’ont pas échappé au leader de LFI, qui a fustigé sur son blog un “enchaînement diviseur” transparaissant sous la “comédie de l’unité”. “Ce sont bien les +irresponsables+ qui servent la soupe au RN” en “coupant en deux le NFP”, a-t-il dénoncé.

Allemagne: Dortmund déroule, Leipzig enchaîne, Leverkusen s’en sort enfin

Le Borussia Dortmund a répondu samedi au rythme effréné du Bayern Munich en s’imposant sur la pelouse de Mayence (2-0), un quatrième succès consécutif en cinq journées, tout comme le RB Leipzig, qui s’est difficilement défait de Wolfsburg (1-0).Auteur d’un impressionnant début de saison avec cinq victoires en cinq matches et donc 15 points, 22 buts marqués pour seulement trois encaissés, le Bayern occupe la place de leader, avec deux points d’avance sur Dortmund (13) et trois sur le RB Leipzig (12).Les hommes de Niko Kovac ont pris les commandes de la rencontre peu avant la demi-heure de jeu grâce à Daniel Svensson (27e) et ont doublé la mise avant la pause par Karim Adeyemi (40e). Ils ont évolué en supériorité numérique pendant une grosse vingtaine de minutes après l’exclusion du gardien de Mayence Robin Zentner à la 67e minute.Seule ombre au tableau pour le BVB avant de recevoir Bilbao (mercredi, 21h00) pour la 2e journée de la phase de ligue de la Ligue des champions, la blessure à une cuisse de son attaquant et buteur Serhou Guirassy à l’échauffement.Guirassy a été remplacé dans le onze de départ par Julian Brandt, auteur des deux passes décisives de l’après-midi pour les Jaunes et Noirs.Après avoir cédé deux points en fin de rencontre à St. Pauli (3-3) pour l’ouverture de la Bundesliga, le Borussia a enchaîné un quatrième succès en championnat, tout comme le RB Leipzig.- Leverkusen et Francfort se replacent -Corrigé à Munich par le Bayern (6-0) en ouverture du championnat, Leipzig s’est imposé 1 à 0 à Wolfsburg grâce à un but de Johan Bakayoko en première période (8e). Christoph Baugmartner a manqué un penalty en fin de rencontre et Leipzig s’est fait peur jusqu’au bout.Privé de compétition européenne pour la première fois depuis son arrivée en Bundesliga lors de la saison 2016/17, le club de l’est de l’Allemagne peut se concentrer sur le championnat.Derrière le trio de tête, l’Eintracht Francfort et le Bayer Leverkusen, qui restaient sur des sorties ratées (deux défaites pour Francfort, un nul pour Leverkusen), se replacent à la 4e place pour l’Eintracht (9 points), et à la 5e place pour le Bayer04 (8 pts) grâce à leur succès à Mönchengladbach (6-4) et à St. Pauli (2-1).L’Eintracht a d’abord offert un festival offensif avec six buts en 47 minutes, avant de se faire une frayeur en fin de rencontre, avec quatre buts encaissés en fin de rencontre (72e, 78e, 83e, 90e+9). Francfort compte neuf points, soit six de moins que le Bayern, son prochain adversaire en Bundesliga dans une semaine, quatre jours après un déplacement à Madrid contre l’Atlético en C1 (mardi, 21h00).A St. Pauli, Leverkusen a mené au score grâce à Edmond Tapsoba, mais a encore une fois vu son adversaire du jour revenir au score, comme ce fut le cas contre Hoffenheim (défaite 2-1), à Brême (3-3) et contre Mönchengladbach (1-1). Mais cette fois-ci, Ernest Poku a redonné l’avantage au Werkself (le onze de l’usine) en seconde période (58e minute).

India warns not to condone ‘terrorist epicenter’ Pakistan

India on Saturday warned countries against turning a blind eye to what it called support for terrorism from Pakistan, which has basked in closer relations with US President Donald Trump.Addressing the UN General Assembly a day after Pakistan used the forum to appeal for talks, Indian Foreign Minister Subrahmanyam Jaishankar demanded “much deeper global cooperation” against terrorism.”India has confronted this challenge since independence, having a neighbor that is an epicenter of global terrorism,” Jaishankar said, without saying Pakistan’s name.”For decades now, major international terrorist attacks are traced back to that one country,” he said.”Those who condone nations that sponsor terror will find that it comes back to bite them,” he said, also without naming countries.India in May launched attacks on military sites in Pakistan after suspected Islamist gunmen massacred tourists, nearly all Hindus, on the Indian side of divided Kashmir.Jaishankar said that India “exercised its right to defend its people against terrorism.”Pakistan denied responsibility. In his own UN address on Friday, Pakistani Prime Minister Shehbaz Sharif said India showed “arrogance” and received a “bloody nose” with counterattacks.Sharif before the UN summit traveled to Washington to meet alongside Pakistan’s military chief with Trump, who has voiced hope of mediating between India and Pakistan.Indian Prime Minister Narendra Modi has played down Trump’s role in reaching a ceasefire in May and stuck to New Delhi’s refusal of outside mediation on Kashmir.Pakistan by contrast has heaped praise on Trump and said he deserves the Nobel Peace Prize, rekindling Islamabad’s relationship with Washington that had grown tense during the two-decade Afghanistan war.Trump has ramped up tariffs on India, pointing to its purchases of oil from sanctioned Russia.Jaishankar in his speech said that India will need to correct “overdependence on a particular market.””We now see tariff volatility and uncertain market access. As a result, de-risking is a growing compulsion,” he said.

India warns not to condone ‘terrorist epicenter’ Pakistan

India on Saturday warned countries against turning a blind eye to what it called support for terrorism from Pakistan, which has basked in closer relations with US President Donald Trump.Addressing the UN General Assembly a day after Pakistan used the forum to appeal for talks, Indian Foreign Minister Subrahmanyam Jaishankar demanded “much deeper global cooperation” against terrorism.”India has confronted this challenge since independence, having a neighbor that is an epicenter of global terrorism,” Jaishankar said, without saying Pakistan’s name.”For decades now, major international terrorist attacks are traced back to that one country,” he said.”Those who condone nations that sponsor terror will find that it comes back to bite them,” he said, also without naming countries.India in May launched attacks on military sites in Pakistan after suspected Islamist gunmen massacred tourists, nearly all Hindus, on the Indian side of divided Kashmir.Jaishankar said that India “exercised its right to defend its people against terrorism.”Pakistan denied responsibility. In his own UN address on Friday, Pakistani Prime Minister Shehbaz Sharif said India showed “arrogance” and received a “bloody nose” with counterattacks.Sharif before the UN summit traveled to Washington to meet alongside Pakistan’s military chief with Trump, who has voiced hope of mediating between India and Pakistan.Indian Prime Minister Narendra Modi has played down Trump’s role in reaching a ceasefire in May and stuck to New Delhi’s refusal of outside mediation on Kashmir.Pakistan by contrast has heaped praise on Trump and said he deserves the Nobel Peace Prize, rekindling Islamabad’s relationship with Washington that had grown tense during the two-decade Afghanistan war.Trump has ramped up tariffs on India, pointing to its purchases of oil from sanctioned Russia.Jaishankar in his speech said that India will need to correct “overdependence on a particular market.””We now see tariff volatility and uncertain market access. As a result, de-risking is a growing compulsion,” he said.

Feinberg-Mngomezulu scores 37 points as Springboks top tableSat, 27 Sep 2025 18:07:46 GMT

Sacha Feinberg-Mngomezulu scored a Springbok record 37 points in a 67-30 triumph over Argentina in Durban on Saturday to take the title-holders to the top of the Rugby Championship table.The fly-half claimed three tries, kicked eight conversions and sloted two penalties for South Africa, who lead New Zealand by one point with one round remaining.The …

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Espagne: l’Atlético Madrid terrasse le Real 5-2 avec un doublé d’Alvarez

Porté par un doublé de son buteur argentin Julian Alvarez, l’Atlético Madrid a infligé samedi sa première défaite de la saison au Real de Xabi Alonso (5-2) au terme d’un derby spectaculaire, et s’est relancé dans la course au titre en Liga.Ce Real n’est plus invincible. Après sept victoires en sept rencontres toutes compétitions confondues, le géant espagnol a sombré sur la pelouse du Metropolitano, assommé par un doublé de l’Argentin Julian Alvarez (52e, 64e) et un cinquième but d’Antoine Griezmann au bout du temps additionnel (90e+4).Toujours leader, le Real Madrid (1er, 18 points) voit revenir son rival et adversaire du jour (4e, 12 points) à six longueurs et offre la possibilité au Barça (2e, 16 points), champion en titre, de reprendre la tête du championnat en cas de succès dimanche (18h30) face à la Real Sociedad.”Nous n’avons pas bien joué ni collectivement ni en termes de pression, nous n’avons pas été au niveau où nous devions être”, a estimé Xabi Alonso, qui a déploré “le manque d’intensité” de son équipe en conférence de presse.”Peut-être que c’est un mal pour un bien pour l’avenir. (…) Le plus important désormais c’est la manière dont nous allons réagir”, a-t-il poursuivi.- Le Real étouffé -Dans un stade plein à craquer samedi après-midi, ses joueurs ont d’abord été asphyxiés, incapables de sortir sereinement du pressing rojiblanco et battus dans l’impact physique par des Colchoneros plus agressifs. Dès la troisième minute de jeu, le retour salvateur du défenseur brésilien Eder Militao a empêché le Norvégien Alexander Sorloth, titulaire à la place d’Antoine Griezmann, d’ouvrir le score (3e). Profitant des espaces laissés par l’arrière-garde madrilène, Sorloth, systématiquement recherché par ses coéquipiers, a ensuite sollicité une première fois le gardien belge Thibaut Courtois de la tête (11e), sans danger.C’est sur un coup franc mal repoussé par la défense madrilène que le Franco-espagnol Robin Le Normand a ouvert le score de la tête en s’imposant dans les airs devant Aurélien Tchouaméni (14e, 1-0), récompensant la bonne entame de match des siens.Kylian Mbappé, transparent depuis le début de la rencontre, a relancé son équipe sur un joli une-deux avec Arda Güler (25e, 1-1) – son 12e but de la saison toutes compétitions confondues, en dix rencontres disputées en club et en sélection.Le capitaine des Bleus, attentif après un ballon mal négocié par Le Normand, a également été à l’origine du deuxième but madrilène inscrit par Güler, après un débordement de Vinicius Junior (36e, 2-1) sur le côté gauche.- Alvarez pique deux fois -Mais les hommes de Xabi Alonso n’ont conservé cet avantage que pendant une dizaine de minutes, le temps pour l’Argentin Julian Alvarez de trouver le poteau de Courtois (39e) et le défenseur français Clément Lenglet de marquer un but de la main, logiquement refusé (43e).Sur un centre du capitaine rojiblanco Koke, le colosse scandinave Alexander Sorloth s’est imposé dans son duel avec le jeune Dean Huijsen pour égaliser juste avant la mi-temps (45e+3, 2-2).Toujours aussi agressifs, les Colchoneros ne se sont pas contentés du nul et sont allés chercher un troisième but sur un pénalty accordé à Nico Gonzalez pour un pied très haut de Güler dans la surface, et transformé sans trembler par Julian Alvarez (52e, 3-2).Surnommé “l’araignée” pour sa célébration rendant hommage à Spiderman, l’ex-joueur de Manchester City a piqué une deuxième fois sur un coup franc du droit et fait rugir le public du Metropolitano (64e, 4-2), qui a sombré dans l’euphorie après le coup de grâce porté par Antoine Griezmann au bout du temps additionnel (90e+4, 5-2). 

Ligue 1: Monaco logiquement puni par Lorient

Accablé par les absences et réduit à dix avant la pause, mais aussi bien trop apathique, Monaco s’est incliné (3-1) logiquement chez Lorient, relégable au coup d’envoi mais porté par un magnifique doublé de Pablo Pagis, lors de la 6e jounée de Ligue 1, samedi.Avec ses 12 points, l’ASM reste provisoirement dans le quintette de tête et 3e à la différence de buts, alors que Lorient bondit de la 17e à la 9e place avec ce succès, mais avec encore sept rencontres à disputer dans cette journée.Les hommes d’Adi Hütter ne pouvaient pas plus mal préparer la réception de Manchester City en Ligue des champions la semaine prochaine qu’avec cette prestation sans tonus et sans envie.Certes, l’exclusion du capitaine Thilo Kehrer pour un second avertissement un peu sévère (38e), suivie de l’ouverture du score sur le coup-franc consécutif par Mohamed Bamba, cristallisera sans doute beaucoup les commentaires d’après-match.Mais la vérité est que Monaco a été incapable de mettre en danger la pire défense de Ligue 1 tout en concédant beaucoup d’occasions, à tel point que 1-0 n’était même pas si cher payé.Certes, l’infirmerie bien pleine complique sérieusement la tâche de Hütter, mais beaucoup trop de joueurs ont péché dans les attitudes et la justesse. On pense notamment à ce lob largement raté par Takumi Minamino après un dégagement raté d’Yvon Mvogo à la 37e minute, alors que le score était encore de 0-0, alors que le Japonais avait eu tout le temps d’ajuster son geste.- Pagis, digne fils de son père -On serait bien en peine de citer une autre occasion digne de ce nom côté visiteurs mais, quand on ne peut pas gagner un match, il faut au moins savoir ne pas le perdre.Or, défensivement aussi, ni le 3-4-3 utilisé pour la première fois cette saison au coup d’envoi, ni la défense à quatre après l’exclusion de Kehrer, n’ont contenu les assauts volontaires mais souvent maladroits de Merlus.Dès la 19e minute, Lorient aurait pu prendre les devants si Théo Le Bris, n’avait pas oublié Ayegun Tosin, le meilleur buteur du championnat, seul face au but grand ouvert.Après le but de Bamba, qui avait devancé Eric Dier au premier poteau pour reprendre et tromper un Philipp Köhn toujours aussi peu rassurant (1-0, 38e), Lorient a laissé filer pléthore d’occasions de doubler la mise par Bamba (42e, 57e), Tosin (43e, 58e) ou Sambou Soumano.C’est finalement l’entrée de Pablo Pagis à la 72e qui a constitué l’estocade pour des Monégasques incapables de réagir malgré les entrées en jeu d’Ansu Fati ou Folarin Balogun.Mickaël Pagis, attaquant à la technique délicieuse et qui avait fait le bonheur de Strasbourg, Marseille ou Rennes au début des années 2000, a dû apprécier les deux chefs d’oeuvres de son fils dans le plus pur style familial.”PP” s’est d’abord offert un slalom spécial dans une défense adverse spectatrice pour tromper Köhn de près (2-0, 76e) avant d’adresser une frappe sans contrôle et enroulée à l’entrée de la surface qui est venue effleurer le bas de la transversale avant de rentrer dans la but (3-0, 82e). Deux merveilles !En toute fin de match, un pénalty assez généreux a permis tout de même à Fati de réduire le score (3-1, 90+8).Piètre consolation d’autant qu’entre la réception de City puis le derby contre Nice avant la prochaine trêve internationale, Monaco va devoir vraiment se creuser les méninges pour trouver des remèdes à ses manques.