Not dead. Trump dismisses health rumors as ‘fake news’

US President Donald Trump on Tuesday dismissed social media rumors that have swirled about his health — including that he had died — as “fake news” during a press conference at the White House.Trump did not schedule any public appearances or hold any press conferences for several days last week, a noticeable absence from the cameras for the publicity-loving 79-year-old.Combined with his age — he is the oldest person ever to be elected US president — and recent images of his bruised hand and swollen ankles, the quiet from the Oval Office ignited widespread speculation that something was seriously wrong with Trump’s health.Many users even suggested that the 45th and 47th US president may have passed away, and that the White House was covering it up.”Really? I didn’t see that,” the Republican said when a reporter on Tuesday asked him jokingly, “How did you find out over the weekend that you were dead?””That’s fake news,” he added as the reporter, Fox News’ Peter Doocy, told him of the speculation.Trump complained that he had done several news conferences last week “then I didn’t do any for two days and they said ‘there must be something wrong with him.'””It’s so fake. ‘Is he ok, how’s he feeling, what’s wrong?'”Trump, who began his second term in office in January, actually had no public events for six consecutive days before Tuesday’s press conference.But he was heard playing music in the Rose Garden on one of those days, and was then seen heading to play golf on three of them over the long US Labor Day weekend.”I was very active over the weekend,” Trump insisted.- Hand make-up -Trump’s right hand however appeared on Tuesday to be heavily made up, as it has on a number of recent occasions.The topic “#trumpdead” continued to trend on Tuesday on the X social network, owned by Trump’s former political ally Elon Musk.In July the White House said that discoloration on Trump’s right hand was “tissue irritation from frequent handshaking” and the use of aspirin as part of a standard cardiovascular treatment.It said his legs were swollen by chronic venous insufficiency, a common, benign vein condition.The condition involves damaged leg veins that fail to keep blood flowing properly.Presidential physician Sean Barbabella said Trump “remains in excellent health” despite the condition, in a letter released by the White House at the time.The billionaire frequently boasts of his good health and energy levels while the administration even posted an image depicting him as Superman.The health of US presidents has always been closely watched, but with the White House seeing its two oldest ever occupants since 2017 the scrutiny is now heavier than ever.Trump has alleged that Democrats covered up the mental and physical decline of his predecessor, Joe Biden, who was 82 when he left office in January.Biden’s health was a key issue in the 2024 election, and the then-president was forced to drop his campaign for a second term after a disastrous debate performance against Trump.

Macron demande au camp gouvernemental de “travailler” avec le PS

Le président Emmanuel Macron a réuni mardi les chefs de la coalition gouvernementale pour leur enjoindre de “travailler avec les socialistes”, à six jours du vote de confiance au Parlement qui semble perdu d’avance pour le Premier ministre François Bayrou. A l’occasion d’un déjeuner à l’Elysée, le chef de l’Etat a réuni le Premier ministre, Gabriel Attal (Renaissance), Edouard Philippe (Horizons) et Bruno Retailleau (Les Républicains), soit les chefs des partis qui soutiennent le gouvernement.Il les a invités à “travailler avec les socialistes” et d’autres partis à l’exclusion de LFI et du RN, “pour élargir” son assise dans la perspective du vote de confiance demandé par François Bayrou “et le cas échéant après”, a rapporté un participant à l’AFP.Les socialistes se retrouvent ainsi au centre du jeu, même s’ils ont réitéré à plusieurs reprises qu’ils ne voteraient pas la confiance. Comme l’ensemble de la classe politique, ils se projettent déjà dans l’après-Bayrou. Après avoir offert samedi les services du PS pour prendre la relève à Matignon, son premier secrétaire Olivier Faure a redit sur LCI “être à la disposition évidemment du chef de l’Etat à tout moment pour discuter des conditions dans lesquelles nous pourrions effectivement occuper les places gouvernementales”.De l’autre côté de l’échiquier, l’idée d’ouvrir la coalition gouvernementale au PS passe mal: “Non, on ne peut pas avoir d’accord de gouvernement avec le PS”, a affirmé le président LR du Sénat Gérard Larcher au Parisien.- “Pas de miracle” -En attendant, François Bayrou a repris mardi ses rencontres avec les partis politiques pour tenter d’arracher la confiance lundi. Place publique, le petit parti de gauche de Raphaël Glucksmann puis le Rassemblement national ont été reçus mais “le miracle n’a pas eu lieu”, a résumé le patron du parti à la flamme Jordan Bardella, rendant la chute du gouvernement quasi-inéluctable.Dans l’esprit de beaucoup au sein du camp présidentiel, des discussions avec les socialistes doivent surtout permettre l’élaboration d’un budget pour 2026.A sa sortie de Matignon, Edouard Philippe (Horizons) a appelé les responsables politiques à essayer “ensemble de construire la solution qui leur permettra de construire un budget qui, à défaut d’être parfait (…)permettra d’éviter que la situation financière de la France ne se dégrade”.La gauche et l’extrême droite, voire certains LR, rejettent en bloc le plan budgétaire avancé mi-juillet par François Bayrou qui prévoit un effort de 44 milliards d’euros en 2026.Cette nouvelle situation de crise politique a poussé à la hausse le taux d’intérêt de la dette française à 30 ans, qui a dépassé 4,5% pour la première fois depuis 2011.- Cacophonie -A gauche, si La France insoumise plaide sans relâche pour le départ d’Emmanuel Macron, Ecologistes et socialistes tentent d’organiser une nouvelle alliance.Lors du déjeuner à l’Elysée, tous les participants du bloc central se sont prononcés “contre la dissolution” si le gouvernement venait à tomber lundi prochain à l’issue du vote de confiance. Le président de la République l’a répété à plusieurs reprises: législatives ou présidentielle anticipées ne sont pas à son ordre du jour. Mais plus l’échéance approche, plus la question est sur toutes les lèvres.L’ancien président Nicolas Sarkozy a appelé à une nouvelle “dissolution”, dans un entretien au Figaro, où il a révélé avoir rencontré cet été Emmanuel Macron et lui avoir dit être “persuadé qu’il n’y aura pas d’autre solution” pour sortir la France de la crise politique. Qualifiant de “suicide politique” la décision de François Bayrou de se soumettre à un vote de confiance du Parlement, Nicolas Sarkozy n’a pas appelé son parti à la voter, prenant ses distances avec le patron de LR Bruno Retailleau qui demande le contraire à ses députés, très divisés. Le ministre de l’Intérieur avance donc sur une ligne de crête et met en garde contre “les incendiaires qui voudraient allumer la mèche de ce qui pourrait être demain une explosion financière et budgétaire”. Reçus dans l’après-midi à Matignon, les dirigeants LR ont laissé entendre que François Bayrou était prêt à revenir sur la suppression très impopulaire de deux jours fériés, prévue dans son plan de redressement des finances publiques. Dans cette cacophonie semblant précéder un épilogue aux airs de déjà-vu lors de la chute du gouvernement de Michel Barnier en décembre, le Premier ministre doit de nouveau s’exprimer mercredi matin sur BFMTV.- “Petits arrangements” -Pour sa part, le RN met en scène ses préparatifs pour des législatives anticipées. Marine Le Pen et Jordan Bardella ont réclamé mardi une “dissolution ultra-rapide”. “Plus tôt on retournera aux urnes, plus tôt la France aura un budget”, a déclaré le président du RN. Comme LFI, le RN appelle aussi de ses voeux une démission du chef de l’Etat pour débloquer la crise.L’idée trouve un certain écho chez LR, où elle est soutenue par l’ex-ministre Jean-François Copé ou la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse. Mais pour Bruno Retailleau et Nicolas Sarkozy, le président de la République doit aller au bout de son mandat.bur-lum-fff-arz/hr/vk

Macron demande au camp gouvernemental de “travailler” avec le PS

Le président Emmanuel Macron a réuni mardi les chefs de la coalition gouvernementale pour leur enjoindre de “travailler avec les socialistes”, à six jours du vote de confiance au Parlement qui semble perdu d’avance pour le Premier ministre François Bayrou. A l’occasion d’un déjeuner à l’Elysée, le chef de l’Etat a réuni le Premier ministre, Gabriel Attal (Renaissance), Edouard Philippe (Horizons) et Bruno Retailleau (Les Républicains), soit les chefs des partis qui soutiennent le gouvernement.Il les a invités à “travailler avec les socialistes” et d’autres partis à l’exclusion de LFI et du RN, “pour élargir” son assise dans la perspective du vote de confiance demandé par François Bayrou “et le cas échéant après”, a rapporté un participant à l’AFP.Les socialistes se retrouvent ainsi au centre du jeu, même s’ils ont réitéré à plusieurs reprises qu’ils ne voteraient pas la confiance. Comme l’ensemble de la classe politique, ils se projettent déjà dans l’après-Bayrou. Après avoir offert samedi les services du PS pour prendre la relève à Matignon, son premier secrétaire Olivier Faure a redit sur LCI “être à la disposition évidemment du chef de l’Etat à tout moment pour discuter des conditions dans lesquelles nous pourrions effectivement occuper les places gouvernementales”.De l’autre côté de l’échiquier, l’idée d’ouvrir la coalition gouvernementale au PS passe mal: “Non, on ne peut pas avoir d’accord de gouvernement avec le PS”, a affirmé le président LR du Sénat Gérard Larcher au Parisien.- “Pas de miracle” -En attendant, François Bayrou a repris mardi ses rencontres avec les partis politiques pour tenter d’arracher la confiance lundi. Place publique, le petit parti de gauche de Raphaël Glucksmann puis le Rassemblement national ont été reçus mais “le miracle n’a pas eu lieu”, a résumé le patron du parti à la flamme Jordan Bardella, rendant la chute du gouvernement quasi-inéluctable.Dans l’esprit de beaucoup au sein du camp présidentiel, des discussions avec les socialistes doivent surtout permettre l’élaboration d’un budget pour 2026.A sa sortie de Matignon, Edouard Philippe (Horizons) a appelé les responsables politiques à essayer “ensemble de construire la solution qui leur permettra de construire un budget qui, à défaut d’être parfait (…)permettra d’éviter que la situation financière de la France ne se dégrade”.La gauche et l’extrême droite, voire certains LR, rejettent en bloc le plan budgétaire avancé mi-juillet par François Bayrou qui prévoit un effort de 44 milliards d’euros en 2026.Cette nouvelle situation de crise politique a poussé à la hausse le taux d’intérêt de la dette française à 30 ans, qui a dépassé 4,5% pour la première fois depuis 2011.- Cacophonie -A gauche, si La France insoumise plaide sans relâche pour le départ d’Emmanuel Macron, Ecologistes et socialistes tentent d’organiser une nouvelle alliance.Lors du déjeuner à l’Elysée, tous les participants du bloc central se sont prononcés “contre la dissolution” si le gouvernement venait à tomber lundi prochain à l’issue du vote de confiance. Le président de la République l’a répété à plusieurs reprises: législatives ou présidentielle anticipées ne sont pas à son ordre du jour. Mais plus l’échéance approche, plus la question est sur toutes les lèvres.L’ancien président Nicolas Sarkozy a appelé à une nouvelle “dissolution”, dans un entretien au Figaro, où il a révélé avoir rencontré cet été Emmanuel Macron et lui avoir dit être “persuadé qu’il n’y aura pas d’autre solution” pour sortir la France de la crise politique. Qualifiant de “suicide politique” la décision de François Bayrou de se soumettre à un vote de confiance du Parlement, Nicolas Sarkozy n’a pas appelé son parti à la voter, prenant ses distances avec le patron de LR Bruno Retailleau qui demande le contraire à ses députés, très divisés. Le ministre de l’Intérieur avance donc sur une ligne de crête et met en garde contre “les incendiaires qui voudraient allumer la mèche de ce qui pourrait être demain une explosion financière et budgétaire”. Reçus dans l’après-midi à Matignon, les dirigeants LR ont laissé entendre que François Bayrou était prêt à revenir sur la suppression très impopulaire de deux jours fériés, prévue dans son plan de redressement des finances publiques. Dans cette cacophonie semblant précéder un épilogue aux airs de déjà-vu lors de la chute du gouvernement de Michel Barnier en décembre, le Premier ministre doit de nouveau s’exprimer mercredi matin sur BFMTV.- “Petits arrangements” -Pour sa part, le RN met en scène ses préparatifs pour des législatives anticipées. Marine Le Pen et Jordan Bardella ont réclamé mardi une “dissolution ultra-rapide”. “Plus tôt on retournera aux urnes, plus tôt la France aura un budget”, a déclaré le président du RN. Comme LFI, le RN appelle aussi de ses voeux une démission du chef de l’Etat pour débloquer la crise.L’idée trouve un certain écho chez LR, où elle est soutenue par l’ex-ministre Jean-François Copé ou la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse. Mais pour Bruno Retailleau et Nicolas Sarkozy, le président de la République doit aller au bout de son mandat.bur-lum-fff-arz/hr/vk

Macron demande au camp gouvernemental de “travailler” avec le PS

Le président Emmanuel Macron a réuni mardi les chefs de la coalition gouvernementale pour leur enjoindre de “travailler avec les socialistes”, à six jours du vote de confiance au Parlement qui semble perdu d’avance pour le Premier ministre François Bayrou. A l’occasion d’un déjeuner à l’Elysée, le chef de l’Etat a réuni le Premier ministre, Gabriel Attal (Renaissance), Edouard Philippe (Horizons) et Bruno Retailleau (Les Républicains), soit les chefs des partis qui soutiennent le gouvernement.Il les a invités à “travailler avec les socialistes” et d’autres partis à l’exclusion de LFI et du RN, “pour élargir” son assise dans la perspective du vote de confiance demandé par François Bayrou “et le cas échéant après”, a rapporté un participant à l’AFP.Les socialistes se retrouvent ainsi au centre du jeu, même s’ils ont réitéré à plusieurs reprises qu’ils ne voteraient pas la confiance. Comme l’ensemble de la classe politique, ils se projettent déjà dans l’après-Bayrou. Après avoir offert samedi les services du PS pour prendre la relève à Matignon, son premier secrétaire Olivier Faure a redit sur LCI “être à la disposition évidemment du chef de l’Etat à tout moment pour discuter des conditions dans lesquelles nous pourrions effectivement occuper les places gouvernementales”.De l’autre côté de l’échiquier, l’idée d’ouvrir la coalition gouvernementale au PS passe mal: “Non, on ne peut pas avoir d’accord de gouvernement avec le PS”, a affirmé le président LR du Sénat Gérard Larcher au Parisien.- “Pas de miracle” -En attendant, François Bayrou a repris mardi ses rencontres avec les partis politiques pour tenter d’arracher la confiance lundi. Place publique, le petit parti de gauche de Raphaël Glucksmann puis le Rassemblement national ont été reçus mais “le miracle n’a pas eu lieu”, a résumé le patron du parti à la flamme Jordan Bardella, rendant la chute du gouvernement quasi-inéluctable.Dans l’esprit de beaucoup au sein du camp présidentiel, des discussions avec les socialistes doivent surtout permettre l’élaboration d’un budget pour 2026.A sa sortie de Matignon, Edouard Philippe (Horizons) a appelé les responsables politiques à essayer “ensemble de construire la solution qui leur permettra de construire un budget qui, à défaut d’être parfait (…)permettra d’éviter que la situation financière de la France ne se dégrade”.La gauche et l’extrême droite, voire certains LR, rejettent en bloc le plan budgétaire avancé mi-juillet par François Bayrou qui prévoit un effort de 44 milliards d’euros en 2026.Cette nouvelle situation de crise politique a poussé à la hausse le taux d’intérêt de la dette française à 30 ans, qui a dépassé 4,5% pour la première fois depuis 2011.- Cacophonie -A gauche, si La France insoumise plaide sans relâche pour le départ d’Emmanuel Macron, Ecologistes et socialistes tentent d’organiser une nouvelle alliance.Lors du déjeuner à l’Elysée, tous les participants du bloc central se sont prononcés “contre la dissolution” si le gouvernement venait à tomber lundi prochain à l’issue du vote de confiance. Le président de la République l’a répété à plusieurs reprises: législatives ou présidentielle anticipées ne sont pas à son ordre du jour. Mais plus l’échéance approche, plus la question est sur toutes les lèvres.L’ancien président Nicolas Sarkozy a appelé à une nouvelle “dissolution”, dans un entretien au Figaro, où il a révélé avoir rencontré cet été Emmanuel Macron et lui avoir dit être “persuadé qu’il n’y aura pas d’autre solution” pour sortir la France de la crise politique. Qualifiant de “suicide politique” la décision de François Bayrou de se soumettre à un vote de confiance du Parlement, Nicolas Sarkozy n’a pas appelé son parti à la voter, prenant ses distances avec le patron de LR Bruno Retailleau qui demande le contraire à ses députés, très divisés. Le ministre de l’Intérieur avance donc sur une ligne de crête et met en garde contre “les incendiaires qui voudraient allumer la mèche de ce qui pourrait être demain une explosion financière et budgétaire”. Reçus dans l’après-midi à Matignon, les dirigeants LR ont laissé entendre que François Bayrou était prêt à revenir sur la suppression très impopulaire de deux jours fériés, prévue dans son plan de redressement des finances publiques. Dans cette cacophonie semblant précéder un épilogue aux airs de déjà-vu lors de la chute du gouvernement de Michel Barnier en décembre, le Premier ministre doit de nouveau s’exprimer mercredi matin sur BFMTV.- “Petits arrangements” -Pour sa part, le RN met en scène ses préparatifs pour des législatives anticipées. Marine Le Pen et Jordan Bardella ont réclamé mardi une “dissolution ultra-rapide”. “Plus tôt on retournera aux urnes, plus tôt la France aura un budget”, a déclaré le président du RN. Comme LFI, le RN appelle aussi de ses voeux une démission du chef de l’Etat pour débloquer la crise.L’idée trouve un certain écho chez LR, où elle est soutenue par l’ex-ministre Jean-François Copé ou la présidente de la région Ile-de-France Valérie Pécresse. Mais pour Bruno Retailleau et Nicolas Sarkozy, le président de la République doit aller au bout de son mandat.bur-lum-fff-arz/hr/vk

Attaque au couteau à Marseille: cinq blessés dont un dans un état “critique”, l’assaillant tué

Cinq personnes ont été blessées dont une gravement en plein centre de Marseille mardi par un homme muni de deux couteaux et d’une matraque, qui venait d’être expulsé de son hôtel et a été tué par des policiers.”Un homme de nationalité tunisienne, en situation régulière, s’était fait expulser de l’hôtel dans lequel il logeait dans le quartier de Belsunce, parce qu’il ne payait pas son loyer”, a expliqué le procureur Nicolas Bessone, lors d’un point presse.”Il aurait, selon des témoins, prononcé diverses paroles religieuses et confuses lors de son périple”, selon une source judiciaire. “Les éléments recueillis lors des premiers éléments de l’enquête ne sont pas de nature à fonder la compétence du parquet national antiterroriste (Pnat)”, a ajouté cette source.A 14H45, ce Tunisien de 35 ans en situation régulière, revient dans cet hôtel, monte au premier étage dans la chambre qu’il a occupée et porte alors un coup de couteau au flanc d’un occupant. Touchée au thorax, il se trouvait en fin d’après-midi “dans un état critique”, selon le procureur.Il porte ensuite plusieurs coups de couteau au gérant de l’hôtel, avant de le poursuivre dans la rue où il s’enfuyait avec son fils. Il poignarde alors ce dernier “au niveau du dos”. Le gérant de l’hôtel et son fils, “en urgence relative” selon le procureur, sont très certainement “définitivement sauvés”, a assuré dans la soirée le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, venu sur place.L’homme se rend ensuite cours Belsunce, une artère très fréquentée et commerçante du centre-ville, “dans un snack situé à proximité où il y a le patron et un certain nombre d’employés” de l’hôtel, situé quelques rues plus loin. Dans ce restaurant, il essaie alors de blesser d’autres personnes. Chassé du snack, il va ensuite poursuivre son “périple criminel” et “il semblerait qu’à l’aveugle, gratuitement il tente de porter des coups à des personnes présentes et notamment deux personnes vont être blessées au niveau facial en recevant des coups de matraque puisqu’il était porteur de deux couteaux mais également d’une matraque”, détaille Nicolas Bessone.- “patrouille au bon endroit” -Une patrouille de police circulant à Belsunce intervient ensuite : les policiers “vont lui demander de jeter ses armes, il n’obtempère pas et ils vont faire usage de leurs armes, que ce soit du taser ou de leur pistolet automatique et ils vont le neutraliser”, détaille le procureur. Selon Bruno Retailleau, il s’agissait précisément d’une patrouille de la police aux frontières (Paf) qui était “là dans le cadre de patrouille pour lutter contre l’immigration irrégulière, ça fait partie des consignes que j’ai donné aux préfets (…) et sans eux je peux vous assurer qu’il y aurait eu d’autres victimes”. “C’était la bonne patrouille au bon moment et au bon endroit”, a salué le ministre.L’homme décèdera avant 15H30 malgré les tentatives de réanimation.L’enquête est en cours et la police des polices, l’IGPN, a aussi été saisie.L’assaillant, porteur d’une carte de séjour expirant en 2032, avait des antécédents judiciaires et fin août il avait été visé par un article 40 du préfet de l’Hérault pour des propos antisémites, selon le ministre.Dans une vidéo publiée sur TikTok par une utilisatrice anonyme, on peut voir un individu muni de deux couteaux qui recule, tenu en joue par quatre policiers en civil avec des pistolets. Après une vingtaine de secondes, il saute dans la direction des forces de l’ordre et est alors neutralisé par les tirs des policiers. On entend sept coups de feu.Un habitant du quartier a raconté aux journalistes de l’AFP que la police était arrivée “très vite”. “Ils ont essayé de l’arrêter devant un fast food et là l’homme a essayé d’attaquer un policier au couteau. Le policier a crié +arrête-toi, arrête-toi+”, a-t-il ajouté. “Quand parfois j’ai créé la polémique, pour indiquer que parfois l’immigration n’était pas dans toutes les conditions nécessairement une chance, il y a des parcours qui sont des bons parcours, mais on doit faire très attention à ceux et celles qu’on accueille”, a ajouté Bruno Retailleau (LR), fidèle à sa ligne.Le maire divers gauche Benoît Payan a de son côté redit qu’il “manque toujours des effectifs de police” dans la 2e ville de France.   alc-pca-jp-mca-sm/san/vk

Attaque au couteau à Marseille: cinq blessés dont un dans un état “critique”, l’assaillant tué

Cinq personnes ont été blessées dont une gravement en plein centre de Marseille mardi par un homme muni de deux couteaux et d’une matraque, qui venait d’être expulsé de son hôtel et a été tué par des policiers.”Un homme de nationalité tunisienne, en situation régulière, s’était fait expulser de l’hôtel dans lequel il logeait dans le quartier de Belsunce, parce qu’il ne payait pas son loyer”, a expliqué le procureur Nicolas Bessone, lors d’un point presse.”Il aurait, selon des témoins, prononcé diverses paroles religieuses et confuses lors de son périple”, selon une source judiciaire. “Les éléments recueillis lors des premiers éléments de l’enquête ne sont pas de nature à fonder la compétence du parquet national antiterroriste (Pnat)”, a ajouté cette source.A 14H45, ce Tunisien de 35 ans en situation régulière, revient dans cet hôtel, monte au premier étage dans la chambre qu’il a occupée et porte alors un coup de couteau au flanc d’un occupant. Touchée au thorax, il se trouvait en fin d’après-midi “dans un état critique”, selon le procureur.Il porte ensuite plusieurs coups de couteau au gérant de l’hôtel, avant de le poursuivre dans la rue où il s’enfuyait avec son fils. Il poignarde alors ce dernier “au niveau du dos”. Le gérant de l’hôtel et son fils, “en urgence relative” selon le procureur, sont très certainement “définitivement sauvés”, a assuré dans la soirée le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, venu sur place.L’homme se rend ensuite cours Belsunce, une artère très fréquentée et commerçante du centre-ville, “dans un snack situé à proximité où il y a le patron et un certain nombre d’employés” de l’hôtel, situé quelques rues plus loin. Dans ce restaurant, il essaie alors de blesser d’autres personnes. Chassé du snack, il va ensuite poursuivre son “périple criminel” et “il semblerait qu’à l’aveugle, gratuitement il tente de porter des coups à des personnes présentes et notamment deux personnes vont être blessées au niveau facial en recevant des coups de matraque puisqu’il était porteur de deux couteaux mais également d’une matraque”, détaille Nicolas Bessone.- “patrouille au bon endroit” -Une patrouille de police circulant à Belsunce intervient ensuite : les policiers “vont lui demander de jeter ses armes, il n’obtempère pas et ils vont faire usage de leurs armes, que ce soit du taser ou de leur pistolet automatique et ils vont le neutraliser”, détaille le procureur. Selon Bruno Retailleau, il s’agissait précisément d’une patrouille de la police aux frontières (Paf) qui était “là dans le cadre de patrouille pour lutter contre l’immigration irrégulière, ça fait partie des consignes que j’ai donné aux préfets (…) et sans eux je peux vous assurer qu’il y aurait eu d’autres victimes”. “C’était la bonne patrouille au bon moment et au bon endroit”, a salué le ministre.L’homme décèdera avant 15H30 malgré les tentatives de réanimation.L’enquête est en cours et la police des polices, l’IGPN, a aussi été saisie.L’assaillant, porteur d’une carte de séjour expirant en 2032, avait des antécédents judiciaires et fin août il avait été visé par un article 40 du préfet de l’Hérault pour des propos antisémites, selon le ministre.Dans une vidéo publiée sur TikTok par une utilisatrice anonyme, on peut voir un individu muni de deux couteaux qui recule, tenu en joue par quatre policiers en civil avec des pistolets. Après une vingtaine de secondes, il saute dans la direction des forces de l’ordre et est alors neutralisé par les tirs des policiers. On entend sept coups de feu.Un habitant du quartier a raconté aux journalistes de l’AFP que la police était arrivée “très vite”. “Ils ont essayé de l’arrêter devant un fast food et là l’homme a essayé d’attaquer un policier au couteau. Le policier a crié +arrête-toi, arrête-toi+”, a-t-il ajouté. “Quand parfois j’ai créé la polémique, pour indiquer que parfois l’immigration n’était pas dans toutes les conditions nécessairement une chance, il y a des parcours qui sont des bons parcours, mais on doit faire très attention à ceux et celles qu’on accueille”, a ajouté Bruno Retailleau (LR), fidèle à sa ligne.Le maire divers gauche Benoît Payan a de son côté redit qu’il “manque toujours des effectifs de police” dans la 2e ville de France.   alc-pca-jp-mca-sm/san/vk

Fin de la rave party dans l’Aude, les participants ont quitté les lieux

L’ensemble des participants à la rave party organisée depuis vendredi dans une zone de l’Aude frappée par un vaste incendie, “a quitté les lieux”, a indiqué mardi soir la préfecture, les forces de l’ordre ayant saisi du matériel technique et effectué “1.500 verbalisations”.”A 20h et grâce à un dispositif renforcé, l’ensemble des participants à la rave party a quitté les lieux”, a souligné le préfet de l’Aude dans un communiqué.L’opération “menée par les gendarmes de l’Aude, les gendarmes mobiles et les CRS a abouti à la saisie de l’ensemble du matériel composant le mur de son et les deux groupes électrogènes utilisés par les participants”, a-t-il précisé.Selon la même source, quelque “1.250 véhicules et 2.500 personnes, soit la quasi-totalité des participants à ce rassemblement musical interdit” ont été contrôlés.Les fêtards avaient commencé à accélérer leur départ dans l’après-midi, selon Christophe Tena, maire de Fontjoncouse, la commune sur laquelle la rave s’était installée.”Ils sont en train de partir. Ils avaient jusqu’à 14h00 (ultimatum du ministre de l’Intérieur, ndlr) mais ils ont commencé à partir vers 13h00″, a-t-il déclaré à l’AFP.Lors d’un point-presse aux alentours de 16h00, le préfet Alain Bucquet a indiqué qu’il s’agissait d’une “évacuation sous contrainte sans recours à la force”.La fête techno a débuté vendredi soir dans une petite plaine agricole, cernée de collines calcinées, entre les villages de Fontjoncouse et de Coustouge, au cœur d’une zone sinistrée par le gigantesque incendie qui a parcouru 16.000 hectares dans l’Aude du 5 au 10 août, et a notamment détruit 36 habitations et tué une personne.Mardi matin, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau avait “donné quelques heures à ces individus pour quitter les lieux”.- Scène de violence -Lundi en fin de journée, CRS et gendarmes ont dû s’interposer entre des participants à la “Free Party From Dusk Till Dawn” et un groupe d’agriculteurs et de villageois, venus avec tracteurs et bulldozer, pour les déloger. Il n’y a pas eu d’interpellations ni de blessés, selon les autorités.Sur une vidéo diffusée par le quotidien local L’Indépendant, on voit, au milieu de cris, un groupe d’hommes avec des bâtons casser des vitres de voitures, puis l’un d’entre eux frapper avec son bâton l’un des fêtards. Ces derniers ripostent avec des projectiles qu’ils ramassent par terre.Dans la nuit de lundi à mardi, la rave party s’est poursuivie dans le calme, puis la musique a été éteinte dans la matinée.Mardi matin, la préfecture de l’Aude avait dénombré 900 personnes, après un pic de 2.500 participants au cours du week-end.”Ils sont en file indienne sur le chemin de la sortie. ils passent un point de contrôle des gendarmes, où ils vont leur dresser une contravention. Il y en a pour plusieurs heures”, a raconté le maire de Fontjoncouse, qui avait dénoncé dans un premier temps l’inaction des forces de l’ordre face au rassemblement illégal.Le préfet lui a indirectement répondu lors de son point-presse à Fontjoncouse en expliquant que “les individus (étaient) arrivés massivement, ce qui ne nous a pas permis de nous opposer à leur arrivée”, rappelant également que dans les opérations de maintien de l’ordre un principe prévaut: “ne pas créer un trouble supérieur à celui qu’on fait cesser”.- “Indécence” -Une habitante de Cascastel, village voisin de Fontjoncouse, est soulagée que la rave soit terminée. “J’en ai fait des raves, témoigne-t-elle, je n’ai pas de problème avec le bruit, mais il faut faire preuve de compréhension, ce n’était pas le moment, ni l’endroit, il y a une indécence par rapport aux gens qui ont souffert” de l’incendie.Un tel rassemblement “ça abîme encore plus le sol, la faune et la flore, les gens ici sont épuisés, ils ont plus besoin d’aide pour enlever ce qui a brûlé”, poursuivait-elle, en mentionnant aussi “les déjections” de 2.500 personnes.”C’est déplacé. On est dans le désespoir complet. C’est lamentable”, a regretté pour sa part Fabien Vergnes, viticulteur à Tournissan, un autre village affecté par l’incendie géant.Dans ce contexte, M. Retailleau avait estimé lundi soir sur TF1 que l’organisation de rave parties devait devenir “un délit et non pas seulement une contravention”, précisant vouloir s’inspirer de la “législation très dure” adoptée il y a trois ans par l’Italie.

Electriciens et gaziers en grève, donnent le coup d’envoi de la rentrée sociale

“Plus de 250 piquets de grève” mais une mobilisation perfectible: électriciens et gaziers ont fait grève mardi à l’appel de la CGT dans toute la France, un mouvement reconductible pour leurs salaires et la fiscalité de l’énergie, sans lien direct avec les mobilisations annoncées contre l’exécutif, mais susceptible de donner un premier signal de la colère sociale en cette rentrée.Chez les deux principaux employeurs du secteur, les taux de participation étaient en recul par rapport aux précédents conflits : 9,45% de grévistes parmi l’ensemble des effectifs électriciens et gaziers du groupe Engie à la fin de journée, “sans impact” sur les opérations du groupe, c’est très loin des quelque 25% de grévistes relevés en décembre 2024, mais à l’appel de l’ensemble des syndicats du secteur.Chez EDF SA (c’est-à-dire le groupe sans ses filiales), où la mobilisation avait été du même ordre, la direction a fait état en fin de journée de 10,14% de grévistes sur l’effectif total.Sur l’ensemble du secteur, la CGT a assuré avoir comptabilisé “au moins 30.000 salariés grévistes” sur les 138.000, soit un peu plus de 21% de grévistes.Le syndicat a réfuté toute déception: “notre but, n’était pas de sortir des scores incroyables dès la première journée”, a assuré Fabrice Coudour, secrétaire général de la FNME-CGT, premier syndicat du secteur, qui a assuré à l’AFP vouloir “construire les choses petit à petit et s’organiser pour tenir dans la durée”.Dans les métiers opérationnels, “on est souvent au-delà de 30%”, notamment dans les centrales nucléaires, a indiqué M. Coudour, tout comme dans la production hydraulique.”Ça représente quand même des milliers de salariés. Et on espère bien que les employeurs vont répondre à leurs revendications”, a-t-il indiqué.En milieu de soirée, le syndicat a annoncé que “la quasi totalité des assemblées générales de grévistes a(vait) décidé la reconduction du mouvement pour les jours à venir (…) sous différentes formes”.Il réclame l’abrogation de la dernière réforme des retraites, une baisse de la TVA de 20% à 5,5% sur les factures d’énergie et des mesures salariales comme l’alignement sur le Smic du premier échelon de la grille des salaires, actuellement inférieur de 9% au salaire minimum et une revalorisation des indemnités d’astreintes, notamment.- Une jonction avec le 10 septembre ? -“Plusieurs piquets de grève” ont indiqué “avoir voté la reconduction du mouvement” pour mercredi, a indiqué Gaël Farou, secrétaire général adjoint, mais le syndicat n’avait pas encore de remontées pour l’ensemble des piquets de grève et tablait sur un point complet pour mercredi matin.A la centrale nucléaire de Penly (Seine-Maritime), où travaillent 1.300 personnes, la CGT a procédé des filtrages, ralentissant l’entrée des salariés pour affecter l’activité et comptabilisé “90% de grévistes” dans les personnels de quart, a affirmé à l’AFP Nicolas Vincent, délégué syndical CGT.”Les salariés ont voté la grève et un filtrage +soft+ (ralentissement de l’entrée des salariés pour ralentir l’activité, NDLR) pour une seule journée (mardi NDLR) pour commencer, ensuite on laissera la place aux négociations et si on n’obtient pas gain de cause, on durcira le mouvement” avec un blocage “total” de la centrale, a-t-il ajouté. La CGT est seule à ce stade, à appeler à la grève. Certains syndicats, comme la CFDT, partagent une part de ses préoccupations, mais souhaitent “discuter avec les employeurs”, avant d’envisager d’autres actions.S’ils ne sont pas liés au départ, l’appel dit “citoyen” à “tout bloquer” le 10 septembre “et notre préavis reconductible à compter du 2 ne s’opposent pas, bien au contraire”, a indiqué à l’AFP Fabrice Coudour. Il estime que l’appel à bloquer pourrait s’inscrire “dans la reconductibilité du mouvement” des électriciens et gaziers, si celui-ci venait à se prolonger.A la centrale nucléaire de Paluel (Seine-Maritime), Sylvain Chevalier, militant CGT, donne d’ailleurs déjà rendez-vous, le 10 septembre, “pour du filtrage et des assemblées citoyennes où les gens se parlent”.EDF a fait état mardi sur son site internet, d’une “perte de puissance disponible” sur son parc hydraulique en raison du mouvement.Mardi soir, la CGT a indiqué n’avoir pas reçu “de sollicitation des employeurs de la branche”. Le syndicat prévoit un point sur les avancées obtenues pour le jeudi 4 septembre au matin. Le syndicat décidera alors de la suite à donner au mouvement.ngu-mac-cln-tq/nth