Nouvelle ruée vers l’or en Californie, face à l’envolée des cours

Matt James collectionne des pépites d’or et d’autres trésors depuis des années en explorant les montagnes et les rivières de Californie. Mais avec l’envolée actuelle des cours de l’or, ce prospecteur amateur exploite désormais un autre filon: ses réseaux sociaux.”Mes comptes enregistrent définitivement une augmentation de trafic”, sourit ce passionné.Dans une époque incertaine, où Donald …

Nouvelle ruée vers l’or en Californie, face à l’envolée des cours Read More »

“Je ne peux pas manger”: des millions d’Américains privés d’aide alimentaire à cause de la paralysie budgétaire

Eric Dunham, père de famille et porteur de handicap, dépend du programme public d’aide alimentaire pour vivre et se nourrir, comme 42 millions d’Américains. Mais la paralysie budgétaire aux Etats-Unis a causé la récente suspension de ces aides. “Si je ne reçois pas mes bons alimentaires, je ne peux pas manger”, témoigne cet homme de 36 ans, qui navigue entre plusieurs petits boulots. Il explique qu’après avoir déduit la pension alimentaire mensuelle de son salaire pour ses deux enfants, il ne lui reste “que 24 dollars” pour vivre.Ce midi, il a pu déjeuner grâce aux dons d’un restaurant de Houston, au Texas, dans le sud des Etats-Unis.Les effets du blocage budgétaire, débuté il y a plus d’un mois, se sont étendus samedi aux Américains qui dépendent du programme Snap, que l’Etat fédéral a arrêté de financer malgré une décision de justice ordonnant son maintien. Donald Trump a affirmé sa volonté de continuer à financer l’aide alimentaire, mais pendant que l’administration américaine s’adapte, des millions d’Américains se retrouvent privés de ce programme essentiel.- Solidarité -Par ailleurs, des centaines de milliers de fonctionnaires ont été mis au chômage technique, causant des perturbations dans le trafic aérien ou la fermeture de parcs nationaux. “Il y a beaucoup de licenciements et, en plus, les gens n’ont plus droit aux bons alimentaires. Personne ne sait ce qu’il va se passer, alors j’ai préparé des sandwichs pour les bénéficiaires du programme Snap, afin qu’ils aient au moins un repas garanti”, affirme Nhan Ngo, le propriétaire du restaurant où Eric Dunham a pu déjeuner.Dans le sud de cette ville de plus de 2 millions d’habitants, des milliers d’automobilistes qui n’ont pas reçu leurs bons alimentaires – ou craignent de ne pas les recevoir cette semaine – font la queue devant un stade où la banque alimentaire de Houston remplit les coffres de voitures de fruits et de denrées non périssables.”Aujourd’hui, le programme d’aide Snap a été suspendu, ce qui est sans précédent dans l’histoire. Cela touche environ 425.000 foyers rien que dans la région de Houston. Tout le monde fait son possible pour aider ces familles à s’en sortir en attendant”, affirme Brian Greene, président de la banque alimentaire de Houston.Car bien qu’un juge fédéral ait ordonné vendredi le maintien du programme, “il faudra plusieurs jours pour que ça redémarre”, dit-il.- “Déclencher une guerre” -Cette suspension de Snap a touché Sandra Guzmán, 36 ans, mère de deux enfants, qui a demandé la semaine dernière ses bons alimentaires, sans succès.”J’ai appelé il y a deux jours pour demander mes bons et on m’a dit qu’on ne savait pas ce qui allait se passer (…) On ne parle pas de quelque chose de luxueux, mais de quelque chose de basique : de la nourriture pour mes enfants. Les bons alimentaires représentent 40 % de mes dépenses, cela a donc un très gros impact sur ma famille” , explique-t-elle.May Willoughby, 72 ans, est venue au stade avec sa petite-fille pour récupérer des vivres. Elle pense que si Snap n’est pas rétabli, cela pourrait semer le chaos à travers le pays.”Nous avons besoin de nos bons alimentaires, de notre sécurité sociale, de notre assurance maladie, et nous en avons besoin maintenant. Si vous les supprimez, cela va déclencher une guerre et les gens vont commencer à voler, à se battre entre eux pour obtenir ce dont ils ont besoin pour nourrir leurs familles”, insiste-t-elle.Un peu plus loin, Carolyn Guy, 51 ans, mère de quatre enfants et actuellement sans emploi, a jugé absurde que l’administration investisse dans d’autres choses, comme la nouvelle salle de bal à 300 millions de dollars voulue par Donald Trump à la Maison Blanche, plutôt que dans l’aide alimentaire.”Ils nous enlèvent nos bons alimentaires, mais ils vont construire une salle de bal. Ca n’a aucun sens”, regrette-t-elle. 

South Africa opt to bowl against India in Women’s World Cup final

South Africa skipper Laura Wolvaardt elected to field first against India in a rain-delayed Women’s World Cup final with both teams seeking to win their first title on Sunday.Thousands of fans In Indian jerseys waited patiently ahead of the start on a wet afternoon with a full house expected at Mumbai’s 45,000-capacity DY Patil stadium.Rain delayed the toss by two hours but no overs have been lost in the 50-over contest.South Africa’s women are into their first ODI World Cup final after they beat four-time winners England in the first semi-final and come in unchanged.”Bit of rain around and there might be dew later on, hoping for a bit of slippiness early on with all the rain around,” said Wolvaardt, who hit 169 in the first semi-final.India have been runners-up twice, in 2005 and 2017, and reached their third final by beating seven-time champions Australia in a thriller.Captain Harmanpreet Kaur said she would have also bowled first had she won the toss.The hosts come in unchanged from their record chase of 339 against Australia.”We will try to bat well and put up a decent score,” said Kaur. “I don’t think there will be much on the pitch after five, six overs.”TeamsIndia women: Smriti Mandhana, Shafali Verma, Amanjot Kaur, Harmanpreet Kaur (capt), Jemimah Rodrigues, Richa Ghosh (wk), Deepti Sharma, Radha Yadav, Kranti Gaud, N Shree Charani, Renuka Singh.South Africa women: Laura Wolvaardt (capt), Tazmin Brits, Sune Luus, Annerie Dercksen, Anneke Bosch, Marizanne Kapp, Sinalo Jafta (wk), Chloe Tryon, Nadine de Klerk, Ayabonga Khaka, Nonkululeko Mlaba.Umpires: Eloise Sheridan (AUS), Jacqueline Williams (WIS)TV Umpire: Sue Redfern (ENG)Match Referee: Michell Pereira (SRI)

Au moins dix blessés dont neuf graves dans une attaque à l’arme blanche dans un train en Angleterre

La police britannique cherche à identifier dimanche les motifs de l’attaque à l’arme blanche qui a fait au moins 10 blessés dont neuf graves dans un train en direction de Londres, dans l’est de l’Angleterre. Deux personnes ont été interpellées. Voici les principaux éléments connus à ce stade.- Le déroulement de l’attaque -L’attaque s’est produite dans un train parti à 18h25 (locales et GMT) de Doncaster dans le nord de l’Angleterre vers la gare londonienne de King’s Cross. La police a été alertée d’un incident à bord vers 19H40, et est intervenue en gare de Huntingdon, située près de la ville universitaire de Cambridge, à environ 120 kilomètres au nord de la capitale.La British Transport Police a indiqué que des agents de la police locale sont alors “montés à bord du train et ont arrêté deux personnes qui ont été placées en détention”.Dix personnes ont été transportées à l’hôpital, dont neuf dans un état très grave, a-t-elle précisé.Un passager cité par Sky News a rapporté avoir vu, une fois le train arrêté, des policiers faire usage de leur pistolet à impulsion électrique sur le quai pour maîtriser un homme armé d’un grand couteau. Le Premier ministre Keir Starmer a rapidement qualifié sur X l’incident d'”extrêmement préoccupant”. “Mes pensées vont à toutes les personnes touchées, et je remercie les services d’urgence pour leur réaction”, a-t-il indiqué.- “Du sang partout!” -Les témoignages de passagers du train décrivent la violence de l’attaque.Un témoin cité par plusieurs médias a indiqué avoir vu un homme courir dans le wagon, le bras ensanglanté, en criant: “Ils ont un couteau!”. Un autre a rapporté avoir vu “du sang partout”.Olly Foster, cité par la BBC, a raconté avoir d’abord cru à une plaisanterie liée à Halloween lorsqu’il a entendu des passagers crier “Fuyez! Il y a un type qui poignarde tout le monde”.Il a décrit des sièges couverts de sang et un passager tentant de protéger une fillette lors de l’incident qui “semblait ne jamais devoir se terminer”.- Deux personnes interpellées -La police n’a donné aucune information sur l’identité ou les motivations des deux personnes arrêtées.”Nous menons actuellement des vérifications urgentes afin de déterminer ce qui s’est passé et il faudra peut-être un certain temps avant que nous soyons en mesure de confirmer quoi que ce soit”, a averti le commissaire Chris Casey, cité dans un communiqué de la police des transports, appelant à ne pas “spéculer sur les causes de l’incident”.Les services antiterroristes ont été saisis pour collaborer à l’enquête.”Les premières constatations indiquent qu’il s’agit d’une attaque isolée”, a affirmé dimanche matin sur Sky News le ministre de la Défense John Healy.Dimanche, le train dans lequel l’attaque s’est produite se trouvait toujours immobilisés dans la gare et des agents de la police scientifique travaillaient sur place.Le directeur général de la compagnie ferroviaire LNER, David Horne, s’est dit “profondément choqué” par le drame. Et la compagnie a appelé à ne pas voyager dimanche sur ses lignes en raisons des perturbations toujours prévues.- Hausse des violences à l’arme blanche -Dans un pays où la législation sur les armes à feu est très stricte, les violences à l’arme blanche ont fortement augmenté ces quinze dernières années en Angleterre et au Pays de Galles, selon des chiffres officiels. Le Premier ministre a qualifié par le passé la situation de “crise nationale”.Le gouvernement Starmer a pris plusieurs mesures pour durcir l’accès aux armes blanches depuis son arrivée au pouvoir en juillet 2024.Cette attaque intervient un mois après l’attaque contre une synagogue au nord de Manchester, où un homme avait attaqué des fidèles armé d’un couteau. Deux personnes avaient été tuées, l’une d’entre elles d’une balle tirée par la police intervenue sur les lieux.A l’été 2024, un jeune Britannique d’origine rwandaise avait tué trois fillettes à l’arme blanche dans un cours de danse à Southport dans le nord de l’Angleterre. Dix autres personnes, dont huit enfants, avaient été blessées.Et un réfugié afghan de 22 ans a été inculpé cette semaine après une attaque au couteau qui a fait un mort et deux blessés lundi près de Londres.En novembre 2019, deux personnes avait été tuées dans une attaque jihadiste au couteau dans le centre de Londres.

En Corée du Sud, des morts solitaires et tout un business derrière

Devant un alignement de cercueils, des étudiants s’entraînent à la mise en bière, prêts à devenir la future génération d’agents des pompes funèbres d’une société sud-coréenne qui vit, vieillit et meurt de plus en plus seule.Ils sont nombreux à se lancer, conscients du glissement démographique vertigineux de leur pays, où près de la moitié de la population a 50 ans ou plus, avec un taux de natalité parmi les plus faibles au monde.Dans une salle de classe de l’Institut des sciences et technologies de Busan (sud-est), les élèves enveloppent délicatement un mannequin de tissus traditionnels, veillant à aplanir les plis comme si le mort était un vrai, avant de le déposer doucement dans un cercueil.”Avec notre société qui vieillit, je me suis dit que la demande pour ce type de travail ne ferait qu’augmenter”, résume Jang Jin-yeong, étudiant en administration de pompes funèbres de 27 ans.Im Sae-jin, un camarade de 23 ans, a embrassé cette voie après le décès de sa grand-mère.”A ses funérailles, j’ai vu à quel point elle avait été magnifiquement préparée pour ses derniers adieux”, dit-il. “Je me suis senti profondément reconnaissant”.- L’odeur “partout” -De plus en plus de Sud-Coréens vivent et meurent seuls, sans personne pour s’occuper de leur corps ou de leurs affaires. Ils représentent quelque 42% des foyers de la quatrième économie d’Asie.A tel point qu’un nouveau métier a vu le jour: des nettoyeurs appelés pour mettre de l’ordre dans les logements après le décès de leurs habitants.Cho Eun-seok, ancien musicien classique de 47 ans, s’est occupé d’innombrables maisons dont le résident était décédé, parfois des mois après.Bouteilles de soju par centaines soigneusement rebouchées, boîtes de cadeaux poussiéreuses jamais ouvertes… Leurs logements sont “comme des portraits d’eux”, raconte M. Cho à l’AFP.Les données sur ces morts solitaires incluent aussi les suicides, dont la Corée du Sud présente le taux le plus élevé parmi les pays développés.Et qui ne surviennent pas qu’à domicile: le professionnel a commencé à recevoir des appels de sociétés de location de voitures, pour nettoyer des véhicules où certains se sont donnés la mort.Il explique que ces morts solitaires obligent à jeter tous les biens d’un lieu, car elles entraînent des invasions de nuisibles et en été, l’odeur putride se diffuse rapidement.”En trois jours, elle se dépose partout, le frigo, la télé, et rien ne peut être sauvé”, affirme-t-il.- Faire vivre ce(ux) qui reste -Mais cette mission ne se résume pas au nettoyage.Kim Seok-jung, un autre de ces travailleurs, s’est un jour occupé de la maison d’une parolière et a trouvé plusieurs chansons dont elle n’avait pas parlé à ses proches. Il en a fait une musique.Cho Eun-sok se souvient, lui, d’une lycéenne qui vivait dans un “goshiwon”, un appartement minuscule de souvent moins de 5m2, pour fuir des violences domestiques.Il faisait le ménage chez elle une fois par mois, car l’adolescente, dépressive, en était incapable et vivait au milieu de monceaux d’objets et de nourriture en décomposition recouvrant son lit.Mais elle tenait absolument à ce que M. Cho ne jette pas une petite boîte.Un an plus tard, la jeune fille s’est suicidée. A l’intérieur de la boîte, se trouvait un hamster.”Dès que je l’ai vu, je n’ai pensé qu’à une chose: le sauver et le garder en vie”, se remémore Cho Eun-seok.Kim Doo-nyeon, un vétéran du secteur, dit qu’il recrute de plus en plus de jeunes dans la vingtaine pour ces opérations de nettoyage.”Quand des personnes vivent ensemble, elles partagent des choses (…) même si l’une meurt, ces objets restent”, raconte M. Kim. “Mais quand quelqu’un meurt seul, tout doit être enlevé”.A Busan, dans la classe des apprentis agents funèbres, Im Sae-jin confie qu’il appréhende ses débuts.”Peu importe à quel point on se prépare, être face à une personne décédée est effrayant”.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Pollution de l’air: à New Delhi, ces douteux tests de pluie artificielle

Un “coûteux spectacle”… Dernier d’une longue série d’initiatives parfois baroques, le recours aux pluies artificielles pour tenter de dissiper le brouillard de pollution qui flotte sur la capitale indienne New Delhi est loin de convaincre experts et écologistes.Longtemps retardés, les premiers essais de ce que les spécialistes désignent comme “l’ensemencement des nuages” ont débuté la semaine dernière au-dessus de la mégapole de 30 millions d’habitants, à partir d’un modeste avion de tourisme.La technique consiste à injecter une substance chimique comme l’iodure d’argent dans les nuages pour générer des précipitations qui viendront ensuite laver l’air de ses particules toxiques.A en croire les autorités de la capitale, les premiers tests, réalisés sous la houlette des scientifiques de l’Institut indien de technologie (IIT) de Kanpur (nord), sont loin d’avoir répondu aux attentes.La couverture nuageuse était insuffisante et le taux d’humidité trop faible pour générer des pluies significatives, ont-elles argué.Un échec qui n’a pas découragé Virendra Sachdeva, un responsable du parti du Premier ministre Narendra Modi, qui dirige aussi New Delhi. “Le succès n’est pas toujours au rendez-vous à la première tentative”, a-t-il fait valoir devant la presse.Selon des médias locaux, la municipalité a dépensé plus de 310.000 euros pour ces essais.- “A la source” -Ces dernières années, elle a fait preuve d’une imagination débordante pour faire baisser la pollution atmosphérique, multipliant en vain les mesures aussi coûteuses qu’inefficaces, des drones “arroseurs” aux tours qui diffusent de l’air filtré…La plus grande ville d’Inde baigne en permanence dans un épais brouillard toxique généré par les usines et la circulation automobile, auquel s’ajoutent chaque hiver les fumées des brûlis agricoles des régions environnantes.Ce jeudi encore, la concentration en microparticules PM2.5 — les plus dangereuses car elles se diffusent directement dans le sang — atteignait plus de 20 fois le niveau maximum quotidien recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).Une étude publiée l’an dernier dans la revue médicale The Lancet a estimé à 3,8 millions le nombre d’Indiens morts à cause de la pollution atmosphérique entre 2009 et 2019.Pour la militante écologiste Bhavreen Kandhari, quelques vols de Cessna n’y changeront rien: “Ce n’est qu’en éliminant les sources de la pollution de l’air que nous pourrons la contrôler”.Et même si l’ensemencement des nuages finissait par déclencher des précipitations significatives, ses effets ne seraient que de courte durée.”Les niveaux de pollution remontent presque immédiatement après l’arrêt de la pluie. Nous observons déjà ce phénomène pendant la mousson”, explique Mohan George, du Centre pour la science et l’environnement basé à Delhi.- “Mauvaise application” -“Cette technique ne permet pas de faire pleuvoir là où il n’y a pas d’humidité dans l’air, juste de forcer l’eau à se condenser à un endroit plutôt qu’à un autre”, explique pour sa part le climatologue Daniele Visioni, de l’université Cornell (Etats-Unis).”Il est difficile de savoir si cela serait efficace en cas de forte pollution”, souligne-t-il.Inventé dans les années 1940, l’ensemencement des nuages a été employé dans différents pays pour faire pleuvoir, dissiper le brouillard ou lutter contre la sécheresse, avec un succès très inégal. En 2008, la Chine y a ainsi eu recours pour empêcher la pluie de tomber sur les infrastructures des Jeux olympiques de Pékin.Péremptoires, deux scientifiques de l’IIT de Delhi ne voient dans cette technique qu’un “nouveau gadget”. “C’est un cas d’école de mauvaise application de la science et de mépris de l’éthique”, ont écrit Shahzad Gani et Krishna Achutarao dans le journal The Hindu.Pour eux, les origines de la pollution à New Delhi sont connues, de même que les solutions pour la réduire: le recours à des carburants plus propres, une meilleure gestion des déchets et une application plus stricte des lois antipollution.”Pourtant, au lieu d’insister sur ces priorités, certaines parties de l’écosystème scientifique — chercheurs, conseillers et institutions — prêtent leur crédibilité à un spectacle coûteux qui fera peu pour s’attaquer à l’origine du mal”, déplorent-ils.