Thousands of ultra-Orthodox Jews protest Israeli military service

Thousands of ultra-Orthodox Jewish men, dressed in black, rallied in Jerusalem on Thursday to protest against military conscription, an issue that has caused major strain in Israel’s right-wing ruling coalition.The vast crowd were protesting against the absence of a law guaranteeing their right to avoid Israel’s mandatory military service — a pledge long promised by Prime Minister Benjamin Netanyahu.Crowds of men, many wearing black hats, set fire to pieces of tarpaulin as hundreds of police officers cordoned off several roads across the city, AFP correspondents reported.Carrying placards denouncing conscription, demonstrators marched along main roads leading into Jerusalem.The mass demonstration follows a recent crackdown on ultra-Orthodox draft dodgers, with thousands of call-up notices sent in recent months and several deserters imprisoned.Under a ruling established at the time of Israel’s creation in 1948, when the ultra-Orthodox were a very small community, men who devote themselves full-time to the study of sacred Jewish texts are given a de facto pass.This exemption has come under mounting pressure since war erupted in Gaza in October 2023, as the military struggles to fill its ranks.Whether the exemption should be scrapped has been a long-running point of contention in Israeli society, with Netanyahu pledging that his government would pass a law enshrining the waiver.But he has so far failed to deliver.Responding to the call of two ultra-Orthodox parties — one of which forms a key part of the ruling coalition — men travelled from all over Israel on Thursday to demand the continuation of their exemptions.The police closed roads to Jerusalem and announced the mobilisation of 2,000 officers in the city.In June 2024, the supreme court ruled that the state must draft ultra-Orthodox men, declaring their exemption had expired.- Vital support for coalition -A parliamentary committee is now discussing a bill expected to end the exemptions and encourage young ultra-Orthodox men who are not studying full-time to enlist.The issue has placed Netanyahu’s coalition — one of the most right-wing in the country’s history — under severe strain.In July, ministers from the ultra-Orthodox Shas party resigned from the cabinet over the issue, though the party has not formally left the coalition.The other ultra-Orthodox party, United Torah Judaism, has already quit both the government and the coalition.The Sephardic Shas, which holds 11 seats in the 120-member Knesset, has warned that it will withdraw support unless military service exemptions are anchored in law —– move that could topple Netanyahu’s fragile coalition, now down to 60 seats.Some ultra-Orthodox rabbis fear that conscription will make young people less religious, but others accept that those who do not study holy texts full-time can enlist. Ultra-Orthodox Jews make up 14 percent of Israel’s Jewish population, or about 1.3 million people, and roughly 66,000 men of military age currently benefit from the exemption.According to an army report presented to parliament in September, there has been a sharp increase in the number of ultra-Orthodox Jews enlisting despite opposition from their leaders, but the numbers still remain low, at a few hundred over the past two years.

Coup de tonnerre à l’Assemblée: le RN obtient une victoire “historique” contre l’accord franco-algérien de 1968

Les députés ont adopté jeudi une proposition de résolution du Rassemblement national visant à “dénoncer” l’accord franco-algérien de 1968. Une première “historique” pour le parti d’extrême droite, obtenu à une voix près avec l’appui des groupes LR et Horizons.Le piège a fonctionné, jusqu’à semer le trouble jusque dans les rangs macronistes. Maître de l’ordre du jour dans l’hémicycle toute la journée, dans le cadre de sa “niche” parlementaire, le RN a engrangé une victoire inédite dès son premier texte. Et sur un sujet hautement symbolique: la dénonciation de la convention de 1968, qui offre aux Algériens des clauses spécifiques en matière d’immigration et de séjour en France.Un scrutin emporté de justesse, par 185 voix contre 184, avec la totalité des troupes de Marine Le Pen et de son allié UDR Éric Ciotti, mais aussi de la moitié des groupes LR et Horizons.”Quand le RN porte des projets ou des convictions que nous partageons, il n’y a aucune raison (…) de ne pas voter ce que nous voulons pour notre pays”, a justifié le chef des élus de droite, Laurent Wauquiez, rappelant que sa formation avait “porté” la même résolution il y a deux ans.Du côté du parti d’Édouard Philippe également, “nous demandons cette dénonciation”, a souligné le député Sylvain Berrios, soutenant un texte présenté comme “un mandat donné au gouvernement pour qu’il fasse son travail”.L’exécutif entend pourtant “privilégier la voie de la renégociation dans le cadre d’un dialogue exigeant avec l’Algérie”, a expliqué le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous, assurant que Paris n’aurait “rien à gagner à une aggravation de la crise” déjà prégnante avec Alger.Mais désormais, “il faut que le gouvernement tienne compte du vote de l’Assemblée nationale”, a appuyé une Marine Le Pen triomphante, se félicitant d’une “journée que l’on peut qualifier d’historique” pour son parti, dont les initiatives ont toujours fait l’objet d’une opposition de principe au Palais Bourbon.- Attal absent et critiqué -Un barrage qu’a de nouveau tenté d’ériger la gauche, en dénonçant à l’instar de l’Insoumis Bastien Lachaud les “lubies racistes” et “l’obsession morbide” d’un RN qui “rejoue à l’infini la guerre d’Algérie”.”Votre histoire, c’est celle d’un parti qui ne prospère que sur la haine de l’autre (…) Hier les juifs, aujourd’hui les Arabes, et demain à qui le tour?”, a renchéri le socialiste Laurent Lhardit, quand l’écologiste Sabrina Sebaihi – elle-même franco-algérienne – a accusé “le RN et ses alliés (d’être) la dernière survivance politique de la haine coloniale”.Mais les quatre groupes de gauche (avec les communistes) n’ont pas fait le plein, avec 143 voix contre le texte sur un total de 195.Les critiques se sont toutefois concentrées sur Gabriel Attal et son groupe Ensemble pour le République, dont seulement 40 députés (sur 92) étaient présents, dont 30 ont voté contre le texte. Le leader du parti Renaissance, qui avait lui-même appelé à dénoncer l’accord de 1968, était d’ailleurs absent lors du débat et du vote.”Ils étaient où les macronistes?” a réagi le patron du PS Olivier Faure. “Cette voix qui nous a manqué pour faire face au RN, c’est celle de Gabriel Attal”, a même affirmé la cheffe du groupe écologiste Cyrielle Chatelain.La députée LR Laure Miller avait pourtant fustigé “l’amateurisme” et le “populisme poussé à son paroxysme” du “parti lepéniste” et de cette résolution “brouillonne et inopérante”.Dans la foulée de ce coup de théâtre, le RN espère décrocher une deuxième victoire sur sa proposition de loi pour rétablir le délit de séjour irrégulier, idée également “majoritaire au sein de l’Assemblée”, selon Marine Le Pen.Si le temps le permet, le RN tendra d’autres pièges à la gauche, avec un texte pour “limiter les frais bancaires”, inspiré d’une initiative communiste, et un autre pour la “gratuité des parkings d’hôpitaux” réclamée aussi par LFI. Preuve de l’embarras suscité, le député LFI Éric Coquerel explique que son groupe a pour “règle de ne jamais voter un texte du RN” mais pourrait décider “de ne pas participer au vote”.gbh-parl/lum/ale

Coup de tonnerre à l’Assemblée: le RN obtient une victoire “historique” contre l’accord franco-algérien de 1968

Les députés ont adopté jeudi une proposition de résolution du Rassemblement national visant à “dénoncer” l’accord franco-algérien de 1968. Une première “historique” pour le parti d’extrême droite, obtenu à une voix près avec l’appui des groupes LR et Horizons.Le piège a fonctionné, jusqu’à semer le trouble jusque dans les rangs macronistes. Maître de l’ordre du jour dans l’hémicycle toute la journée, dans le cadre de sa “niche” parlementaire, le RN a engrangé une victoire inédite dès son premier texte. Et sur un sujet hautement symbolique: la dénonciation de la convention de 1968, qui offre aux Algériens des clauses spécifiques en matière d’immigration et de séjour en France.Un scrutin emporté de justesse, par 185 voix contre 184, avec la totalité des troupes de Marine Le Pen et de son allié UDR Éric Ciotti, mais aussi de la moitié des groupes LR et Horizons.”Quand le RN porte des projets ou des convictions que nous partageons, il n’y a aucune raison (…) de ne pas voter ce que nous voulons pour notre pays”, a justifié le chef des élus de droite, Laurent Wauquiez, rappelant que sa formation avait “porté” la même résolution il y a deux ans.Du côté du parti d’Édouard Philippe également, “nous demandons cette dénonciation”, a souligné le député Sylvain Berrios, soutenant un texte présenté comme “un mandat donné au gouvernement pour qu’il fasse son travail”.L’exécutif entend pourtant “privilégier la voie de la renégociation dans le cadre d’un dialogue exigeant avec l’Algérie”, a expliqué le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous, assurant que Paris n’aurait “rien à gagner à une aggravation de la crise” déjà prégnante avec Alger.Mais désormais, “il faut que le gouvernement tienne compte du vote de l’Assemblée nationale”, a appuyé une Marine Le Pen triomphante, se félicitant d’une “journée que l’on peut qualifier d’historique” pour son parti, dont les initiatives ont toujours fait l’objet d’une opposition de principe au Palais Bourbon.- Attal absent et critiqué -Un barrage qu’a de nouveau tenté d’ériger la gauche, en dénonçant à l’instar de l’Insoumis Bastien Lachaud les “lubies racistes” et “l’obsession morbide” d’un RN qui “rejoue à l’infini la guerre d’Algérie”.”Votre histoire, c’est celle d’un parti qui ne prospère que sur la haine de l’autre (…) Hier les juifs, aujourd’hui les Arabes, et demain à qui le tour?”, a renchéri le socialiste Laurent Lhardit, quand l’écologiste Sabrina Sebaihi – elle-même franco-algérienne – a accusé “le RN et ses alliés (d’être) la dernière survivance politique de la haine coloniale”.Mais les quatre groupes de gauche (avec les communistes) n’ont pas fait le plein, avec 143 voix contre le texte sur un total de 195.Les critiques se sont toutefois concentrées sur Gabriel Attal et son groupe Ensemble pour le République, dont seulement 40 députés (sur 92) étaient présents, dont 30 ont voté contre le texte. Le leader du parti Renaissance, qui avait lui-même appelé à dénoncer l’accord de 1968, était d’ailleurs absent lors du débat et du vote.”Ils étaient où les macronistes?” a réagi le patron du PS Olivier Faure. “Cette voix qui nous a manqué pour faire face au RN, c’est celle de Gabriel Attal”, a même affirmé la cheffe du groupe écologiste Cyrielle Chatelain.La députée LR Laure Miller avait pourtant fustigé “l’amateurisme” et le “populisme poussé à son paroxysme” du “parti lepéniste” et de cette résolution “brouillonne et inopérante”.Dans la foulée de ce coup de théâtre, le RN espère décrocher une deuxième victoire sur sa proposition de loi pour rétablir le délit de séjour irrégulier, idée également “majoritaire au sein de l’Assemblée”, selon Marine Le Pen.Si le temps le permet, le RN tendra d’autres pièges à la gauche, avec un texte pour “limiter les frais bancaires”, inspiré d’une initiative communiste, et un autre pour la “gratuité des parkings d’hôpitaux” réclamée aussi par LFI. Preuve de l’embarras suscité, le député LFI Éric Coquerel explique que son groupe a pour “règle de ne jamais voter un texte du RN” mais pourrait décider “de ne pas participer au vote”.gbh-parl/lum/ale

Élections aux Pays-Bas: duel très serré entre l’extrême droite et le centre

L’issue des élections législatives aux Pays-Bas était encore très incertaine jeudi, quelques milliers de voix seulement séparant le parti d’extrême droite de Geert Wilders et un parti centriste pro-européen.Après le décompte de 99,7 % des votes, le Parti de la liberté (PVV) de M. Wilders devançait de peu le D66, formation progressiste et libérale menée par Rob Jetten, 38 ans.Quel que soit le résultat définitif, le dirigeant d’extrême droite ne sera a priori pas Premier ministre, dans la mesure où les principaux autres partis ont exclu à ce stade toute nouvelle collaboration avec lui, le jugeant peu fiable ou considérant ses opinions trop peu acceptables.Ceci place M. Jetten en pole position pour devenir le plus jeune Premier ministre néerlandais, et le premier ouvertement homosexuel.L’écart est si faible que les votes par correspondance des Néerlandais habitants à l’étranger pourraient décider de l’issue du scrutin, ce qui signifie que le résultat final pourrait se faire attendre encore plusieurs jours.Les élections aux Pays-Bas étaient suivies de près en Europe car elles devaient permettre d’évaluer l’ampleur de la poussée de l’extrême droite partout dans le continent, notamment au Royaume-Uni, en France et en Allemagne.M. Wilders devrait remporter 26 sièges sur les 150 que compte le parlement, ce qui représenterait une perte de 11 sièges par rapport à sa victoire électorale retentissante de 2023.Mais le soutien au Forum pour la démocratie (FvD), autre parti d’extrême droite, a doublé, passant de trois à sept sièges.La droite radicale JA21 a également enregistré une forte progression, passant d’un siège à potentiellement neuf.”La droite radicale dans son ensemble n’a pas vraiment perdu de terrain, grâce aux gains de JA21 et du FvD”, a déclaré à l’AFP Sarah de Lange, professeure de sciences politiques à l’université de Leiden.Une fois le résultat définitif confirmé, un long processus de formation d’une coalition débutera, la majorité absolue étant fixée à 76 sièges au Parlement.L’option la plus probable semble être une coalition regroupant le D66 (26 sièges), le parti libéral VVD (22), le CDA (18, centre-droit) et l’alliance de gauche Verts/Travaillistes (20).”Il faudra certainement du temps aux Pays-Bas pour retrouver la stabilité et former une nouvelle coalition”, observe Mme De Lange auprès de l’AFP.”Les partis sont idéologiquement très différents, ce qui rendra les compromis très difficiles”, estime-t-elle.Dans les rues d’Amsterdam, Sanne-Louisa de Bruin a confié à l’AFP se sentir “optimiste, et c’est agréable après deux ans de scepticisme et d’impasse”.”Je suis soulagée par ce résultat. Je pense que nous avons maintenant les bases d’une coalition capable de résoudre les grands problèmes des Pays-Bas”, a ajouté cette femme de 31 ans, qui travaille dans le secteur de la transition énergétique.”J’espère que le reste de l’Europe suivra”, a-t-elle poursuivi.- “On l’a fait” -Les partisans du D66 ont laissé éclater leur joie lors de leur soirée électorale, brandissant des drapeaux néerlandais et européens.”On l’a fait!” s’est exclamé M. Jetten dans un discours.”Il s’agit d’un résultat électoral historique car nous avons montré non seulement aux Pays-Bas mais aussi au monde entier qu’il était possible de vaincre les mouvements populistes et d’extrême droite”, a-t-il déclaré à des journalistes.M. Wilders, parfois appelé le “Trump néerlandais”, a lui-même déclenché les élections anticipées en torpillant le gouvernement sortant après un différend sur l’immigration.”Les électeurs se sont exprimés. Nous espérions un autre résultat mais nous sommes restés fidèles à nous-mêmes”, a-t-il déclaré sur X.La campagne s’est principalement jouée autour de l’immigration et de la crise du logement, qui touche surtout les jeunes dans ce pays densément peuplé.Frans Timmermans, 64 ans, ancien vice-président de la Commission européenne, a jeté l’éponge après le résultat décevant de son alliance écologiste de gauche.”Ce soir, je quitte mes fonctions de chef de parti. Le coeur lourd”, a-t-il déclaré.M. Jetten était monté en flèche ces derniers jours dans les sondages grâce à un message optimiste et une forte présence médiatique.”Je veux ramener les Pays-Bas au coeur de l’Europe, car sans coopération européenne, nous ne sommes nulle part”, a-t-il dit à l’AFP après avoir voté.

Ligue 1: le Marseillais Bilal Nadir victime d’un “malaise” mais en bonne santé selon l’OM

Le milieu de terrain de l’OM Bilal Nadir est en bonne santé mais poursuit un “bilan médical complet”, a annoncé jeudi le club marseillais, au lendemain de son “malaise” ayant nécessité son évacuation lors du match face à Angers (2-2).Mercredi soir peu après son entrée sur le terrain, Nadir s’est allongé au sol à la 86e du match visiblement sans avoir eu de contact avec un adversaire, alors que le ballon n’était pas en jeu. Il a été rapidement entouré par des joueurs des deux équipes avant d’être évacué sur une civière.”Le joueur n’a pas perdu connaissance au moment de l’incident”, a précisé l’OM sur le site du club, soulignant que “l’ensemble de ses constantes vitales se sont révélées normales.””Son état de santé est bon”, a encore indiqué le club, précisant qu’il avait été hospitalisé pour un “bilan médical complet.””Il demeure actuellement en observation pour la poursuite de ce bilan”, souligne l’OM, promettant de communiquer de nouvelles informations dès que possible.

Plus de 900 sans domicile fixe morts en 2024, selon un collectif

En 2024, 912 personnes sans domicile fixe sont décédées en France, un chiffre d’une ampleur inédite, a indiqué jeudi le collectif Les Morts de la Rue, qui recense surtout des décès de jeunes hommes mais aussi de plus en plus de femmes et d’enfants.En 2023, 735 personnes sans domicile fixe sont décédées en France, avait annoncé le collectif l’an dernier.Le collectif, qui mène ce recensement depuis 2012 dénonce “un nouveau record effroyable” et appelle à “agir face à la précarité qui tue”.”Face à cette tragédie, l’urgence est double: protéger les plus vulnérables et réformer en profondeur les politiques publiques pour que le droit au logement convenable devienne enfin une réalité”, souligne Les Morts de la Rue dans un communiqué.Ces personnes SDF sont décédées de manière “prématurée”: à 47,7 ans en moyenne, soit un écart d’espérance de vie de 32 ans avec la population générale.Il s’agit en majorité d’hommes (82%) mais la part des femmes décédées (13%) est “en hausse, reflétant une féminisation du sans-abrisme”, souligne le collectif.A noter, 4% des décès concernent des moins de 15 ans, soit “un doublement par rapport à la période 2012-2023”.Parmi les personnes décédées en 2024, 304 personnes vivaient dans la rue au moment de leur mort et 243 étaient hébergées. Pour 365 personnes, le collectif n’a pu déterminer quelle était la situation prédominante.Dans de nombreux cas, la cause du décès reste inconnue (40%). Pour 17%, il s’agit d’une mort violente (noyade, agression, suicide).L’Ile-de-France concentre 37% des décès et la région Hauts-de-France enregistre un doublement (163 décès), “notamment survenus lors de traversées de la Manche”.Il est difficile de connaître précisément le nombre de personnes sans domicile fixe en France: elles seraient environ 350.000 selon la Fondation Abbé Pierre, quand la dernière évaluation officielle de l’Institut national de la statistique, en 2012, estimait leur nombre à 143.000. L’Insee mène actuellement une nouvelle étude pour mettre ce chiffre à jour.

Stocks fall as investors eye Trump-Xi talks, earnings

Stock markets fell Thursday as traders digested a high-stakes meeting between the US and Chinese presidents, mixed company earnings and uncertainty over further US interest rate cuts.US President Donald Trump described his meeting in South Korea with Chinese counterpart Xi Jinping — their first since 2019, during Trump’s first term — as “amazing”.The two leaders agreed to calm the US-China trade war that has roiled global markets, with Washington cutting some tariffs and Beijing committing to keep supplies of critical rare earths flowing.Stock market reactions were subdued, with Asian and European markets lower on Thursday. “Looking ahead, the main events today will be Apple and Amazon earnings, along with the ECB’s policy decision,” said Jim Reid, managing director at Deutsche Bank.The European Central Bank is expected to stand pat on interest rates, as inflation hovers around its target and the eurozone economy holds up. Data on Thursday showed the eurozone economy grew faster than expected in the third quarter of 2025. The Bank of Japan held interest rates steady on Thursday, after the US Federal Reserve delivered a second quarter-point rate cut. Fed chair Jerome Powell’s announcement, however, cast doubt on an additional cut in December, jolting US markets and lifting the value of the dollar on Wednesday.The Nasdaq later recovered, finishing at a fourth straight record after another gain by artificial intelligence giant Nvidia, which became the first company to reach a $5 trillion market value.US big tech companies were in focus again Thursday, following a mixed reaction to earnings reports from Alphabet, Meta and Microsoft after the Wall Street close.”These latest results highlight the business models of the big technology firms are becoming more capital intensive, as they build out their AI capabilities,” said AJ Bell investment director Russ Mould. He added, however, that if AI fails to deliver revenue streams “the effect on share prices could be brutal.”Seoul’s stock market got a lift from tech giant Samsung Electronics posting a 32 percent rise in on-year third quarter profits, driven by AI-fuelled market demand for memory chips.In London, shares in energy giant Shell were flat after its net profit jumped in the third quarter. Advertising giant WPP led losses in London, dropping nearly 14 percent after it cut its annual outlook.Volkswagen shares fell more than one percent after its first quarterly loss for five years, topping one billion euros.Shares in auto giant Stellantis, whose brands include Jeep, Fiat and Peugeot, sank six percent despite rising sales as the group said it expects to incur charges in the second half of the year.Danish weight-loss drugmaker Novo Nordisk, owner of treatments Wegovy and Ozempic, saw its shares fall three percent after it launched a bidding war with US rival Pfizer for obesity treatment maker Metsera.- Key figures at around 1145 GMT -London – FTSE 100: DOWN 0.6 percent at 9,700.08 pointsParis – CAC 40: DOWN 0.8 percent at 8,134.32Frankfurt – DAX: DOWN 0.2 at 24,084.19Tokyo – Nikkei 225: FLAT at 51,325.61 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.2 percent at 26,282.69 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.7 percent at 3,986.90 (close)New York – Dow: DOWN 0.2 percent at 47,632.00 (close)Euro/dollar: UP at $1.1601 from $1.1595 on WednesdayPound/dollar: DOWN at $1.3176 from $1.3187Dollar/yen: UP at 154.04 yen from 152.82 yenEuro/pound: UP at 88.06 from 87.94 penceBrent North Sea Crude: DOWN 0.5 percent at $63.97 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 0.5 percent at $60.16 per barrel