Trump broadens push for tariff deals, unveils 50% Brazil levy

US President Donald Trump announced a 50 percent tariff Wednesday targeting Brazil as he blasted the trial of the country’s ex-leader, while widening a push to secure more bilateral trade deals with other partners.In a letter addressed to President Luiz Inacio Lula da Silva, Trump criticized the treatment of Jair Bolsonaro as an “international disgrace,” adding that the trial “should not be taking place.”In response, Brazil threatened Wednesday to reciprocate, with Lula writing on X “any unilateral tariff increases will be addressed in light of the Brazilian Law of Economic Reciprocity.”Trump also said Washington would launch an investigation into Brazil’s trade practices.The latest tariff threat came after Brazil said it had summoned the US charge d’affaires in a diplomatic row over Trump’s earlier criticism of the coup trial of Bolsonaro.Bolsonaro denies he was involved in an attempt to wrest power back from Lula, with prosecutors saying the alleged coup plot failed only for a lack of military backing.The 50 percent US tariff on Brazilian goods will take effect August 1, Trump said in his letter, mirroring a deadline that dozens of other economies face.While Trump has started to issue letters to trading partners this week as he ramps up pressure towards more deals, he has focused on partners with which his country runs significant deficits.Brazil had not been among those threatened with these higher duties previously. The United States runs a goods trade surplus instead with Brazil.- Escalation threats -Trump’s message to Lula was the latest in more than 20 such letters the US president has released since Monday, setting out tariff rates as Washington tries to bring about more trade pacts.On Wednesday, Trump had addressed letters to leaders of the Philippines, Sri Lanka, Brunei, Algeria, Libya, Iraq and Moldova, spelling out duties ranging from 20 percent to 30 percent that would also take effect on August 1.Similar to a first batch of documents published Monday, the levels were not too far from those originally threatened in April, although some partners received notably lower rates this time.While Trump in April imposed a 10 percent levy on almost all trading partners, he unveiled — and then withheld — higher rates for dozens of economies.The deadline for those steeper levels to take effect was meant to be Wednesday, before Trump postponed it further to August 1.Countries that faced the threats of elevated duties began receiving letters spelling out US tariff rates on their products.In the messages, Trump justified his tariffs as a response to trade ties that he says are “far from Reciprocal.”The letters urged countries to manufacture products in the United States to avoid duties, while threatening further escalation if leaders retaliated.Other countries that have received Trump’s letters include key US allies Japan and South Korea, as well as Indonesia, Bangladesh and Thailand.- EU deal in ‘coming days’? -Analysts have noted that Asian countries have been a key target so far.But all eyes are on the state of negotiations with major partners who have yet to receive such letters, including the European Union.The Trump administration is under pressure to unveil more trade pacts. So far, Washington has only reached agreements with Britain and Vietnam, alongside a deal to temporarily lower tit-for-tat levies with China.Trump on Tuesday said his government was “probably two days off” from sending the EU a letter with an updated tariff rate.An EU spokesman said Wednesday the bloc wants to strike a deal with the United States “in the coming days,” and has shown readiness to reach an agreement in principle.Apart from tariffs targeting goods from different countries, Trump has rolled out sector-specific duties on steel, aluminum and autos since returning to the White House in January.On Tuesday, Trump said levies were incoming on copper and pharmaceuticals. The planned rate for copper is 50 percent, he added, while pharmaceutical products face a levy as high as 200 percent — but manufacturers would be given time to relocate operations to the United States.

Un bilan encore plus lourd redouté après les inondations aux Texas

Un bilan encore plus lourd est redouté mercredi après les inondations qui ont déjà fait une centaine de morts au Texas où les chances sont désormais minces de retrouver vivants quelque 170 disparus. Plusieurs jours après la tragédie, les recherches se sont poursuivies toute la journée dans cet Etat du sud des Etats-Unis, frappé par des pluies diluviennes et des crues meurtrières, le 4 juillet, jour de la fête nationale américaine. Les sauveteurs ont continué leurs fouilles pour tenter de localiser 173 personnes qui manquent toujours à l’appel et dont la liste “pourrait très probablement s’allonger”, selon le gouverneur du Texas, Greg Abbott. Mardi, il avait indiqué que dans le seul comté de Kerr, 161 personnes étaient “considérées comme disparues”, un chiffre fondé sur le nombre de personnes signalées comme disparues par des amis, des proches et des voisins. Des responsables du comté ont confirmé ce chiffre mercredi, tandis que douze personnes restent introuvables dans le reste de l’Etat.”Notre tâche numéro 1 est de retrouver toutes les personnes disparues”, a insisté le gouverneur sur X. – “Bien pire” -Au total, au moins 119 décès liés aux inondations ont été recensés dans le centre du Texas, selon les autorités locales.Le comté de Kerr, le plus durement touché, déplore 95 morts, dont 36 enfants, selon le shérif Larry Leitha. Parmi ces victimes figurent 27 enfants et moniteurs du camp de vacances chrétien pour filles de Camp Mystic, sur les rives du fleuve Guadalupe, qui accueillait quelque 750 personnes.Cinq campeurs et un moniteur du camp étaient toujours portés disparus mercredi, selon le shérif Leitha, qui a confirmé qu’un autre enfant, qui n’était pas dans ce centre de vacances, restait introuvable. Plus de 2.000 sauveteurs, policiers et spécialistes ont convergé vers le lieu de la catastrophe, a-t-il précisé. Des hélicoptères, des drones et des équipes cynophiles sont mobilisés depuis plusieurs jours.Tout en soulignant les conditions difficiles dans lesquelles travaillent les sauveteurs, au milieu de la boue et des amas de végétation, le responsable de la police de Kerrville, Jonathan Lamb, a raconté comment des centaines de personnes avaient été secourues.Les policiers ont fait “du porte-à-porte, réveillant les gens” vendredi et, parfois, les “ont sorti par les fenêtres” de leurs habitations ou de leurs caravanes inondées, a-t-il dit aux journalistes. La tragédie, “aussi horrible qu’elle soit, aurait pu être bien pire”, a-t-il ajouté.- “Retour d’expérience” -Le président Donald Trump doit se rendre au Texas vendredi, une semaine tout juste après la tragédie, accompagné de son épouse Melania.Lundi, la Maison Blanche a fustigé les critiques selon lesquelles les coupes budgétaires dans les services météorologiques nationaux ont porté atteinte à la fiabilité des prévisions et des alertes.Lors des conférences de presse, mardi et mercredi, les responsables locaux ont esquivé les questions sur la rapidité des alertes. “Il y aura un retour d’expérience” après l’examen de ce qui s’est passé, a déclaré le shérif Leitha, tout en reconnaissant que “ces questions doivent avoir une réponse”.Les crues subites qui ont frappé la région ont été provoquées par des pluies diluviennes très tôt vendredi, qui ont fait monter les eaux du Guadalupe de huit mètres en seulement 45 minutes, pendant lesquelles il est tombé 225 millimètres de pluie, soit plus d’un quart des précipitations annuelles moyennes.Les crues soudaines, provoquées par des pluies torrentielles que le sol asséché ne peut absorber, ne sont pas rares. Mais selon la communauté scientifique, le changement climatique provoqué par l’activité humaine a rendu plus fréquents et plus intenses les événements météorologiques comme les crues ou les sécheresses.”C’est une zone du Texas qui subit les deux extrêmes du spectre du changement climatique (…) Les sécheresses deviennent plus extrêmes” et “lorsque la pluie arrive, elle provoque ces précipitations plus lourdes, avec une probabilité accrue d’inondations subites”, a expliqué Shel Winkley, météorologue.Dans l’Etat voisin du Nouveau-Mexique, des pluies torrentielles ont provoqué mardi une crue dans la station montagneuse de Ruidoso, causant la mort d’au moins trois personnes.

Un bilan encore plus lourd redouté après les inondations aux Texas

Un bilan encore plus lourd est redouté mercredi après les inondations qui ont déjà fait une centaine de morts au Texas où les chances sont désormais minces de retrouver vivants quelque 170 disparus. Plusieurs jours après la tragédie, les recherches se sont poursuivies toute la journée dans cet Etat du sud des Etats-Unis, frappé par des pluies diluviennes et des crues meurtrières, le 4 juillet, jour de la fête nationale américaine. Les sauveteurs ont continué leurs fouilles pour tenter de localiser 173 personnes qui manquent toujours à l’appel et dont la liste “pourrait très probablement s’allonger”, selon le gouverneur du Texas, Greg Abbott. Mardi, il avait indiqué que dans le seul comté de Kerr, 161 personnes étaient “considérées comme disparues”, un chiffre fondé sur le nombre de personnes signalées comme disparues par des amis, des proches et des voisins. Des responsables du comté ont confirmé ce chiffre mercredi, tandis que douze personnes restent introuvables dans le reste de l’Etat.”Notre tâche numéro 1 est de retrouver toutes les personnes disparues”, a insisté le gouverneur sur X. – “Bien pire” -Au total, au moins 119 décès liés aux inondations ont été recensés dans le centre du Texas, selon les autorités locales.Le comté de Kerr, le plus durement touché, déplore 95 morts, dont 36 enfants, selon le shérif Larry Leitha. Parmi ces victimes figurent 27 enfants et moniteurs du camp de vacances chrétien pour filles de Camp Mystic, sur les rives du fleuve Guadalupe, qui accueillait quelque 750 personnes.Cinq campeurs et un moniteur du camp étaient toujours portés disparus mercredi, selon le shérif Leitha, qui a confirmé qu’un autre enfant, qui n’était pas dans ce centre de vacances, restait introuvable. Plus de 2.000 sauveteurs, policiers et spécialistes ont convergé vers le lieu de la catastrophe, a-t-il précisé. Des hélicoptères, des drones et des équipes cynophiles sont mobilisés depuis plusieurs jours.Tout en soulignant les conditions difficiles dans lesquelles travaillent les sauveteurs, au milieu de la boue et des amas de végétation, le responsable de la police de Kerrville, Jonathan Lamb, a raconté comment des centaines de personnes avaient été secourues.Les policiers ont fait “du porte-à-porte, réveillant les gens” vendredi et, parfois, les “ont sorti par les fenêtres” de leurs habitations ou de leurs caravanes inondées, a-t-il dit aux journalistes. La tragédie, “aussi horrible qu’elle soit, aurait pu être bien pire”, a-t-il ajouté.- “Retour d’expérience” -Le président Donald Trump doit se rendre au Texas vendredi, une semaine tout juste après la tragédie, accompagné de son épouse Melania.Lundi, la Maison Blanche a fustigé les critiques selon lesquelles les coupes budgétaires dans les services météorologiques nationaux ont porté atteinte à la fiabilité des prévisions et des alertes.Lors des conférences de presse, mardi et mercredi, les responsables locaux ont esquivé les questions sur la rapidité des alertes. “Il y aura un retour d’expérience” après l’examen de ce qui s’est passé, a déclaré le shérif Leitha, tout en reconnaissant que “ces questions doivent avoir une réponse”.Les crues subites qui ont frappé la région ont été provoquées par des pluies diluviennes très tôt vendredi, qui ont fait monter les eaux du Guadalupe de huit mètres en seulement 45 minutes, pendant lesquelles il est tombé 225 millimètres de pluie, soit plus d’un quart des précipitations annuelles moyennes.Les crues soudaines, provoquées par des pluies torrentielles que le sol asséché ne peut absorber, ne sont pas rares. Mais selon la communauté scientifique, le changement climatique provoqué par l’activité humaine a rendu plus fréquents et plus intenses les événements météorologiques comme les crues ou les sécheresses.”C’est une zone du Texas qui subit les deux extrêmes du spectre du changement climatique (…) Les sécheresses deviennent plus extrêmes” et “lorsque la pluie arrive, elle provoque ces précipitations plus lourdes, avec une probabilité accrue d’inondations subites”, a expliqué Shel Winkley, météorologue.Dans l’Etat voisin du Nouveau-Mexique, des pluies torrentielles ont provoqué mardi une crue dans la station montagneuse de Ruidoso, causant la mort d’au moins trois personnes.

Trump a reçu cinq présidents africains, le regard tourné vers les minerais

Donald Trump a réuni mercredi à la Maison Blanche cinq présidents d’Etats d’Afrique riches en minerais, pour un mini-sommet destiné notamment pour les Etats-Unis à contrer l’influence grandissante sur le continent de la Chine et de la Russie.Les présidents du Liberia, du Sénégal, de Mauritanie, de Guinée-Bissau et du Gabon ont été invités pour cette rencontre centrée officiellement sur des questions commerciales, d’investissement, et de sécurité, selon des responsables interrogés par l’AFP.Au moment d’ouvrir ce déjeuner de travail, Donald Trump a cependant donné la couleur d’emblée sur la raison principale de ces invitations, qualifiant devant la presse les cinq pays d’endroits “dynamiques avec des terres de très grande valeur, de super minerais, des grandes réserves de pétrole, et des gens merveilleux”.”Il y a un grand potentiel économique en Afrique, comme peu d’autres endroits, à bien des égards”, a-t-il déclaré, disant vouloir accroître l’implication des Etats-Unis sur le continent.Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump prône une diplomatie basée sur des principes transactionnels, et a mis la question des minerais au centre des négociations avec de nombreux Etats étrangers, comme avec l’Ukraine ou dans le cadre de l’accord de paix entre le Rwanda et la RDC.Les cinq présidents africains invités sont ainsi à la tête de pays riches en minerais, notamment en or ou en terres rares, des composants critiques pour l’économie mondiale, particulièrement les appareils électroniques ou véhicules électriques.- Or, pétrole, manganèse -Lors d’un tour de table préliminaire, les dirigeants ont pour beaucoup vanté à la fois leurs pays respectifs et Donald Trump.”Nous avons des minerais, des terres rares, des minerais rares. Nous avons du manganèse, nous avons de l’uranium, et nous avons de bonnes raisons de penser que nous avons du lithium et d’autres minerais”, a déclaré le président mauritanien Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani.Le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a lui “tenu à rassurer tous les investisseurs américains sur la stabilité politique” de son pays et sur “son environnement réglementaire favorable”, avant de souligner ses riches ressources en pétrole et gaz naturel.Encensant les qualités de golfeur du président américain, il lui a aussi suggéré d’investir dans la création d’un club au Sénégal.”Le Gabon est un pays riche”, a déclaré de son côté le président Brice Clotaire Oligui Nguema, avant d’ajouter “nous avons plus de deux millions d’habitants et une grande diversité de matériaux bruts, des réserves de pétrole et de gaz, et nous voudrions que ces ressources soient exploitées”.Selon l’Institut géologique américain (USGS), le Gabon était en 2023 le deuxième plus gros producteur mondial de manganèse, un minerai essentiel pour la fabrication de batteries, derrière l’Afrique du Sud.- “Surpasser” Chine et Russie -En parallèle de ces discussions commerciales, rapporte le Wall Street Journal, Washington a tenté de convaincre les cinq chefs d’Etat d’accueillir chez eux des personnes faisant l’objet d’un ordre d’expulsion des Etats-Unis mais que leur pays d’origine ont refusé de reprendre. Le Soudan du Sud a déjà accepté une telle demande, et a accueilli début juillet huit migrants irréguliers renvoyés par Washington.Fin juin, des entreprises américaines se sont engagées à investir dans plusieurs projets d’infrastructures en Afrique, lors d’un sommet en Angola qui a été l’occasion pour Washington de défendre les investissements privés plutôt que l’aide internationale.La rencontre intervient ainsi quelques jours après le démantèlement officiel de l’USAID, l’agence de développement international, qui apportait son soutien à de nombreux pays d’Afrique et au moment où l’administration Trump a décidé de fortement réduire sa contribution à l’aide internationale.Interrogée par l’AFP mardi, la porte-parole du président libérien, Kula Fofana, avait fait savoir que Joseph Boakai avait accepté l’invitation à Washington dans l’optique que son pays ne soit plus “seulement un récipiendaire” d’aide.

Agression d’un médecin à Lille: deux hommes condamnés à un an de prison ferme

Deux hommes de 22 et 29 ans, ont été condamnés à un an de prison ferme, pour avoir agressé un médecin de SOS Médecins à Lille, après que la soeur de l’un d’eux est rentrée en pleurs d’une consultation.Les deux prévenus, un oncle et son neveu vêtus de t-shirts noir et blanc ont été reconnus coupables de “violence aggravée” en réunion, suivie d’incapacité n’excédant pas huit jours.Le tribunal a suivi les réquisitions du parquet et les a condamnés à 12 mois d’emprisonnement ferme, peine avec  bracelet. Ils sont également condamnés à 1.000 euros de dommages pour préjudice moral et interdiction de paraître à l’antenne de SOS Médecins.L’agression commise le 2 juillet en fin de journée à l’antenne lilloise de SOS Médecins, à Lille-Moulins (sud de la ville) avait entraîné une grève de SOS médecins, qui avait évoqué une “expédition punitive”.A l’audience, ils ont reconnu partiellement les faits, et exprimé des regrets. Selon des témoins, plusieurs fois, ils auraient traité le médecin de “pédophile”. A la barre, le plus jeune a reconnu qu'”il n’y a aucune logique à dire pédophile, ma soeur est majeure”.Sans antécédents judiciaires, les deux hommes, le plus âgé travaillant dans l’hôtellerie, le plus jeune étudiant et ambulancier, ont expliqué être venus pour des explications avec le médecin après que le plus jeune eut appris que sa soeur, 21 ans, était rentrée d’une consultation en pleurs.La jeune femme avait été reçue pour des maux de ventre en début d’après-midi par ce médecin, exerçant depuis 26 ans à l’antenne lilloise de SOS Médecins.Elle aurait dit à sa mère au téléphone que le médecin l’avait questionnée, lui avait posé la main sur le ventre, et suggéré de perdre du poids.Elle a depuis porté plainte pour agression sexuelle, a indiqué la présidente du tribunal.”Je reconnais que ce qui a été fait n’est pas à faire, s’introduire dans un cabinet médical, c’est quelque chose qu’on regrette” a déclaré le plus jeune, fines lunettes et cheveux mi-longs.Ayant entendu la conversation téléphonique entre sa soeur et sa mère, il s’est rendu chez SOS Médecins avec son oncle, faisant irruption dans le cabinet du médecin en obligeant des patients présents à partir.Le médecin, insulté, reçoit du plus jeune, boxeur confirmé, trois coups au front, et un coup de la paume du plus âgé, avant qu’un autre médecin fasse fuir le duo.”On est dans un dossier où il n’y a que la connerie humaine” a déclaré à la barre la victime, chemise claire et cheveux gris. “Le simple fait de dire non, c’est quelque chose qui est extrêmement pénible”, a-t-il ajouté.Pour l’avocat du conseil de l’ordre des médecins du Nord et l’ordre national, Florian Munga et sa consoeur Julien Paternoster cette audience a été “très éprouvante pour tous les médecins. Les médecins ont un message a faire passer: plus jamais ça”.Dans ses réquisitions, la procureure a estimé que les prevenus avaient présenté des “des excuses de façade”. “Ils débarquent à SOS médecins, utilisent un faux prétexte” sont “décrits avec un ton agressif”, insultent le médecin, disent “on va te tuer” au standardiste. Selon la procureure, ils voulaient “régler leurs comptes pour des prérogatives qu’ils se sont arrogées de justiciers”.

Global stocks mostly up despite new Trump tariffs, Nasdaq at record

The Nasdaq powered to a fresh record and major European markets closed in the green Wednesday, brushing off US President Donald Trump’s growing array of tariff targets.After releasing tariff warning letters to seven additional countries early Wednesday afternoon, Trump followed up late in the afternoon with a threatened 50 percent levy on Brazil.Trump tied the levy — which is more severe than those facing dozens of other countries — to Brazil’s prosecution of former president Jair Bolsonaro over an alleged attempted coup following the 2022 election, when Bolsonaro was defeated by President Luiz Inacio Lula da Silva.Trump, who spent last week successfully lobbying Congress for his sweeping fiscal legislation, has returned to tariffs with a vengeance this week. On Monday, Trump sent letters to Japan and South Korea, among other countries. On Tuesday, the US president announced a potential 50 percent toll on copper imports, and said he was looking at 200 percent tariffs on pharmaceuticals.The news sent the price of copper — with a wide range of uses including in cars, construction and telecoms — to a record high Tuesday.But Kathleen Brooks, research director at XTB, said Wednesday “the market is not taking Trump at his word when it comes to tariffs, and the market impact has been limited so far.”The tech-rich Nasdaq Composite Index vaulted nearly one percent higher to a fresh all-time high, while artificial intelligence giant Nvidia touched $4 trillion in market value before falling back slightly.”The market is certainly not acting as if it’s fearing the tariffs,” said Briefing.com analyst Patrick O’Hare. “Obviously, there’s been a lot of attention on the tariff letters that have gone out this week, but the market is operating on the assumption that they are just negotiating tools and that, ultimately, better terms will be reached.”European markets were also shrugging off risks of a trade war. Germany’s Dax hit a new high as it posted a 1.4 percent gain, matched by the CAC 40 in Paris. London could only manage a gain of just under 0.2 percent. But Chris Beauchamp, chief market analyst at online trading platform IG, urged caution as “reports suggesting that Trump relishes the actual dealmaking process more than an actual resolution seem to suggest that a further delay to tariffs will be forthcoming, although this is an approach fraught with risk.”Earlier in Asia, Tokyo gains were tempered by losses in Hong Kong and Shanghai.- Key figures at around 2130 GMT -New York – Dow: UP 0.5 percent at 44,458.30 (close)New York – S&P 500: UP 0.6 percent at 6,263.26 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 0.9 percent at 20,611.34 (close)London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 8,867.02 points (close)Paris – CAC 40: UP 1.4 percent at 7,878.46 (close)Frankfurt – DAX: UP 1.4 percent at 24,549.56 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.3 percent at 39,821.28 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.1 percent at 23,892.32 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 3,493.05 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1719 from $1.1725 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.3590 from $1.3659Dollar/yen: DOWN at 146.30 yen from 146.58 yenEuro/pound: DOWN at 86.21 pence from 86.26 penceBrent North Sea Crude: UP 0.1 percent at $70.41 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.1 percent at $68.38 per barrel

Euro-2025: les Bleues toutes proches des quarts en s’offrant facilement les Galloises

Remaniées avec une défense très jeune, les Bleues portées par Clara Mateo sont tout proches des quarts de finale de l’Euro-2025 après avoir écrasé le pays de Galles (4-1) mercredi soir. Avec 6 points, en tête de leur groupe D, il suffira d’un match nul aux joueuses de Laurent Bonadei dimanche soir face aux Pays-Bas pour assurer leur ticket. Mercredi soir à Saint-Gall (devant 15.900 personnes), et avec une équipe bis alignée contre les Galloises, qui vivent la première grande compétition de leur histoire, tout n’a pas été simple ni très fluide pour les Bleues avec des erreurs de transmissions et des manques d’automatisme en défense surtout en première période.”On sait que c’est une équipe qui procède beaucoup en contre et qui ne lâche rien. On s’est fait un petit peur au début du match mais on avait confiance en nous, on savait que ce match, c’est 90 minutes, et du coup on est revenue dans le match assez rapidement et on a repris les devants assez rapidement”, a confié Clara Matéo au micro de France 2.Avec un but, un pénalty et une passe décisive, l’attaquante du PFC, élue meilleure joueuse du championnat de France cette saison, a été la plus en vue et a permis aux Bleues de ne pas vraiment douter, sans pour autant impressionner.La N.14 a été impliquée sur les trois premiers buts français et était dans tous les bons coups: servie par Selma Bacha sur un corner, l’attaquante positionnée dans l’axe par le sélectionneur a ouvert le score d’un contrôle de la poitrine suivie d’une demi-volée (1-0, 8e). C’était elle qui avait provoqué le corner en faisant un bel appel en profondeur. En fin de première période, elle a obtenu un pénalty en faisant la différence dans la surface avant d’être déséquilibrée par une Galloise. Kadidiatou Diani s’est chargée de le transformer (2-1, 45+1). A la reprise, c’est encore Clara Mateo qui a été décisive en récupérant le ballon dans les pieds de la gardienne galloise Safia Middleton-Patel avant de servir en retrait la milieu lyonnaise Amel Majri, qui disputait à 32 ans son premier match dans un Euro (3-1, 53e). Le dernier but a été l’oeuvre de Grace Geyoro, servie par Diani (4-1, 63e). – Six buts, six buteuses différentes -En début de match (14e), le Pays de Galles a réussi à marquer le premier but de son histoire dans une grande compétition par une de ses joueuses emblématiques, Jess Fishlock. Et sur ce but, la jeune défense française n’a pas été de tout reproche ne communiquant pas assez pour stopper l’attaque galloise.Pour ce second match de poule, le sélectionneur avait décidé de procéder à un large renouvellement tout en composant avec les blessures. Privé de Griedge Mbock (mollet) et de Maëlle Lakrar (cuisse), ses titulaires habituelles en défense centrale, Bonadei avait misé sur la charnière Alice Sombath et Thiniba Samoura (21 ans toutes les deux) et sur la latérale droite Melween N’Dongala à la place d’Elisa de Almeida. En cours de seconde période, avec la rentrée de Lou Bogaert à la place de Selma Bacha, la ligne des quatre défenseuses n’avait pas plus de 21 ans. Répétant qu’il n’y a pas d’équipe-type et qu’il procéderait à un large turn-over pour tenir le rythme du tournoi, le coach a déjà fait jouer 20 joueuses de champ au bout de la deuxième journée. Seules les deux gardiennes remplaçantes, Constance Picaud et Justine Lerond, et la capitaine Griedge Mbock, blessée à son arrivée, n’ont pas joué en Suisse. Avec la victoire inaugurale samedi (2-1) contre l’Angleterre, tenante du titre, les Bleues en sont à six buts inscrits par six joueuses différentes (Marie-Antoinette Katoto et Sandy Baltimore avaient marqué contre les Anglaises). “C’est tout un groupe, avec six buteuses différentes depuis le début de la compétition, cela veut dire que le danger peut venir de partout”, s’est réjoui Bonadei en conférence de presse d’après-match.Dimanche soir à Bâle, il faudra retrouver un peu plus de rythme et d’impact physique pour ne pas se faire de frayeur inutile contre les Pays-Bas, vainqueurs de l’Euro en 2017 mais surclassés par l’Angleterre (4-0) mercredi en fin d’après-midi.