Trump scuppers idea of calling Musk after row, may ditch Tesla

US President Donald Trump has no plans to speak to billionaire Elon Musk and may even ditch his red Tesla car, the White House said Friday after a stunning public divorce fraught with risk for both men.Trump’s camp insisted that he wanted to move on from the row with the South African-born Musk, with officials telling AFP that the tech tycoon had requested a call but that the president was not interested.The Republican instead intended to focus on getting the US Congress to pass his “big, beautiful” spending bill — Musk’s harsh criticisms of which had triggered the astonishing meltdown on Thursday.Fallout from the blow up between the world’s richest person and its most powerful could be significant, as Trump risks political damage and Musk faces the loss of huge US government contracts.Trump phoned reporters at several US broadcast networks to insist that he was looking past the row. He called Musk “the man who has lost his mind” in a call to ABC and told CBS he was “totally” focused on the presidency.The White House meanwhile squashed earlier reports that they would talk.”The president does not intend to speak to Musk today,” a senior White House official told AFP on condition of anonymity. A second official said it was “true” that Musk had requested a call. – Tesla giveaway? -Tesla stocks tanked more than 14 percent on Thursday amid the row, losing some $100 billion of the company’s market value, but recovering partly Friday.Trump was considering either selling or giving away the cherry red Tesla S that he announced he had bought from Musk’s firm at the height of their relationship. The electric vehicle was still parked on the White House grounds on Friday.”He’s thinking about it, yes,” a senior White House official told AFP when asked if Trump would sell or give away the Tesla.Trump and Musk had posed inside the car at a bizarre event in March, when the president turned the White House into a pop-up Tesla showroom after viral protests against Musk’s role as head of the cost-cutting Department of Government Efficiency (DOGE).- ‘Expiration date’ -The move came despite apparent efforts by Musk to de-escalate.On Thursday, the SpaceX boss briefly threatened to scrap his company’s Dragon spacecraft — vital for ferrying NASA astronauts to and from the International Space Station — after Trump suggested he could end Musk’s giant government contracts.But later in the day, Musk sought to deescalate, writing on his X social media platform:  “OK, we won’t decommission Dragon.”The tech magnate also kept a low profile early Friday.But there is no clarity on how the two big egos will repair the relationship, which had already been fraying badly, causing tensions in the White House.Trade Advisor Peter Navarro, whom Musk once called “dumber than a sack of bricks” in an argument over Trump’s tariffs, refused to gloat but said the tycoon had an “expiration date.””No, I’m not glad or whatever,” he told reporters. “People come and go from the White House.”Vice President JD Vance also stuck by Trump amid the blazing row — blasting what he called “lies” that his boss was “impulsive or short-tempered” — but notably avoided criticizing Musk. The tensions burst into the open this week when Musk called Trump’s flagship spending bill an “abomination” because it raises the US deficit. Then in a televised Oval Office diatribe on Thursday, Trump said he was “very disappointed” with Musk.The pair traded insults for hours on social media, with Musk at one point suggesting impeachment of Trump and signalling interest in forming a new political party.

La Bourse de Paris termine la semaine rassurée sur l’économie américaine

La Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,19% vendredi, soutenue par le rapport sur l’emploi aux Etats-Unis qui reflète une économie américaine en meilleure santé qu’anticipé, ce qui toutefois pourrait retarder l’arrivée de la prochaine baisse des taux de la banque centrale américaine (Fed).L’indice vedette CAC 40 a gagné 14,60 points pour s’établir à 7.804,87 points à la clôture. Sur le semaine, le CAC 40 affiche une petite progression de 0,68%. En comparaison, l’indice paneuropéen Euro Stoxx 50 a avancé de 1,18%.Avant la publication du rapport sur l’emploi aux Etats-Unis pour le mois de mai, une partie des investisseurs craignaient “que le marché du travail ne plie sous la pression des droits de douane et du ralentissement économique”, mais les données ont finalement montré que “le marché du travail se modère, mais ne s’effondre pas”, a commenté Kathleen Brooks, directrice de recherche pour XTB.En mai, les Etats-Unis sont restés proches du plein emploi, avec un chômage à 4,2%, même si le marché du travail s’est montré un peu moins vigoureux, selon des données officielles. La première économie mondiale a créé 139.000 emplois le mois dernier, moins qu’en avril (147.000, chiffre nettement révisé à la baisse), mais plus que ce qui était envisagé par les acteurs de la finance (autour de 125.000, selon le consensus publié par MarketWatch).”Le rapport sur l’emploi a aussi déclenché un ajustement des attentes concernant les baisses de taux de la Fed. En début de semaine, le marché anticipait pleinement deux baisses de taux pour 2025″, contre une seulement désormais, a poursuivi Kathleen Brooks.Vers 15H55 GMT, le taux d’intérêt de l’emprunt américain à 10 ans bondissait à 4,48%, contre 4,39% à la clôture du marché jeudi. A échéance deux ans, l’emprunt américain flambait à 4,02%, contre 3,92% la veille.L’équivalent allemand à 10 ans, qui fait référence pour l’Europe, est quant à lui stable, à 2,57%, soutenu par la révision à la hausse de la croissance économique de la zone euro au premier trimestre. Le rendement du taux d’emprunt de la France à 10 ans est quant à lui à 3,24%, contre 3,25% à la clôture jeudi.Dans le détail, la croissance économique de la zone euro au premier trimestre a été sensiblement révisée en hausse, à 0,6% contre 0,3% précédemment annoncé en mai, a indiqué l’office statistique de l’Union européenne.La croissance européenne reste toutefois menacée par la politique commerciale du président américain Donald Trump, qui a annoncé vouloir imposer à l’Union européenne des droits de douane de 50% sur l’acier et l’aluminium et de 25% sur les ventes d’automobiles. Washington a également menacé en avril d’imposer des droits de douane de 20% sur tous les autres produits européens. Cette dernière surtaxe a été suspendue jusqu’au 9 juillet par l’administration Trump pour engager une négociation.Waga s’est envoléLe spécialiste français du biogaz Waga s’est envolé de 35,59% à 23,05 euros après que le fonds d’investissement EQT a annoncé entrer en “négociations exclusives” pour devenir l’actionnaire majoritaire de l’entreprise. L’objectif est d'”accélérer la croissance de Waga Energy et de renforcer son positionnement” pour devenir “un leader mondial”, selon un communiqué commun. EQT prévoit d’acquérir 54,1% de Waga Energy à un prix de 21,55 euros par action.

Foot: Tottenham licencie Postecoglou malgré le sacre en Ligue Europa

Le club anglais de Tottenham a annoncé “relever de ses fonctions” l’entraîneur australien Ange Postecoglou, vendredi, deux ans jour pour jour après sa nomination, et plus de deux semaines après le triomphe de son équipe en Ligue Europa.”A la suite d’un examen des performances et après une réflexion approfondie, le club est en mesure d’annoncer qu’Ange Postecoglou a été relevé de ses fonctions”, a indiqué la formation du nord de Londres dans un communiqué.Le premier trophée remporté par les Spurs en dix-sept ans, contre Manchester United en finale (1-0), n’a pas suffi à sauver le technicien de 59 ans qui fait les frais d’une saison catastrophique en Premier League, terminée à la dix-septième place.Le président de Tottenham Daniel Levy, grand consommateur d’entraîneurs, a décidé de montrer la porte à l’Australien, dont le contrat courait jusqu’en 2027, malgré l’indemnité élevée qu’il faudra une nouvelle fois payer.”Ange”, comme il est appelé en Angleterre, est le cinquième entraîneur limogé par Levy dans les six dernières années.Les noms de Thomas Frank et Marco Silva, entraîneurs respectifs de Brentford et Fulham, circulent dans la presse britannique pour lui succéder.Cinquième de Premier League en 2024, Postecoglou a terminé l’exercice 2024-2025 à la dix-septième place, celle qui précède la zone de relégation. Il s’agit du pire classement de Tottenham depuis que la naissance de la Premier League en 1992.Il a été touché par une cascade de blessures affectant des joueurs majeurs de son effectif et laissé filer la fin de championnat pour se concentrer sur la finale de la Ligue Europa.Les Spurs, vainqueurs de Manchester United (1-0) en finale, n’avaient plus rien gagné depuis la Coupe de la Ligue en 2008.”Bien que la victoire en Ligue Europa cette saison soit l’un des plus grands moments du club, nous ne pouvons pas fonder notre décision sur les émotions liées à ce triomphe”, s’est justifié le club, rappelant que l’équipe avait obtenu seulement “78 points lors des 66 derniers matches” de championnat.”Le conseil d’administration a conclu à l’unanimité qu’il était dans l’intérêt du club de procéder à un changement”, a-t-il ajouté.Tottenham disputera la Ligue des champions la saison prochaine en vertu de son titre en Ligue Europa.

‘Clash of the Titans:’ allies fear fallout in Trump-Musk split

He is almost certainly off the guest list for White House galas, but Elon Musk’s astonishing spat with Donald Trump could inflict damage for both men that goes far beyond catchy headlines and an incinerated friendship.On one side, there’s the US president — a man who has already shown unprecedented appetite for using the levers of power to go after opponents.On the other: the world’s richest man, with a business empire entwined deep into the heart of the US economy and space industry.”Get your popcorn,” Chaim Siegel, an analyst at financial services company Elazar Advisors told AFP.”I’ve never seen two people this big go at it this nasty in all my time in the business. Can’t be good for either side.”Trump allies worry that the messy breakup could have ramifications for his legacy and Republicans’ election prospects, as well as damaging the administration’s ties with Silicon Valley donors.Musk is also in jeopardy. Trump has threatened to scrap the tech mogul’s lucrative subsidies and federal contracts, potentially devastating Tesla and risking some $22 billion of SpaceX’s government income — even if it remains unclear how the US government itself would manage the fallout.- From policy to insults -The catalyst for the split was Trump’s sprawling domestic policy bill, a package that Musk has complained in increasingly apocalyptic terms will swell the budget deficit, undermining the president’s agenda.But the issue quickly has become extraordinarily bitter.Musk called Thursday for Trump’s impeachment, implying that the Republican was linked to the crimes of financier Jeffrey Epstein, who died by suicide after being charged with sex-trafficking to elite, international clients.The dust-up has rocked to the core the fragile coalition between the populists in Trump’s “MAGA” movement and the Musk-friendly “tech bros” whose podcasts and cash helped secure the Republican’s second term.Influential figures on the populist side hit back with calls for investigations into South African-born Musk’s immigration status, security clearance and alleged drug use.Meanwhile in Congress, Republicans are calling for a ceasefire, worried that the world’s richest man will use his deep pockets to exact revenge in the 2026 midterm congressional election.- Two big beasts -Trump and Musk were never obvious allies, but the flamboyant entrepreneur turned into the Republican’s surprise wingman — and mega-donor — during the 2024 election.Musk ended up spending $290 million to help the campaigns of Trump and other Republicans. He was then rewarded with overseeing the so-called Department of Government Efficiency, which embarked on ruthless and, critics say, ideologically driven slashing of the State Department and other bodies.”Without me, Trump would have lost the election,” Musk posted on his social platform X at the height of a dust-up that US media labeled the “Clash of the Titans.”As president, Trump is arguably the most powerful person in the world.But Musk’s megaphone — X — is much bigger than Trump’s Truth Social and he is a prolific trash talker, instantly reaching many millions of people.Musk’s portfolio of almost 100 contracts with 17 government agencies also gives him enormous power over the federal bureaucracy, including the US space program.Trump, on the other hand, has ultimate say over those contracts. If Trump heeds his supporters’ calls for investigations he could tie Musk down for years, revoking his security clearances and issuing executive orders to gum up his business.- Congress in balance -Trump, 78, may need to walk a delicate line given the risk that Musk will lobby Congress to scuttle his budget plans.Republican lawmakers — most of whom are fighting elections next year — have welcomed Musk with open arms, nodding approvingly at his calls for federal cuts and grateful for his campaign cash.But when it comes to picking sides, most Republicans who have spoken out on the spat are sticking with Trump. The president has a long history of forcing wavering lawmakers to step back into line.”Every tweet that goes out, people are more in lockstep behind President Trump, and (Musk’s) losing favor,” Congressman Kevin Hern told political website NOTUS.Musk, who dreams of colonizing Mars, responded with a longer view of the situation.”Some food for thought as they ponder this question: Trump has 3.5 years left as President,” Musk posted, “but I will be around for 40+ years.”

Des fissures sur le marché du travail aux Etats-Unis, encore loin de l’effondrement

Le marché du travail aux Etats-Unis commence à se montrer un peu moins vigoureux mais est encore loin d’atteindre la cote d’alerte, selon des chiffres officiels publiés vendredi qui ont ravi l’exécutif américain.Le mois dernier, la première économie mondiale a créé 139.000 emplois.C’est moins qu’en avril (147.000, chiffre nettement révisé à la baisse), mais plus que ce qui était envisagé par les acteurs de la finance (autour de 125.000, selon le consensus publié par MarketWatch).Le taux de chômage est resté inchangé, à un niveau considéré proche du plein emploi (4,2%).Quant aux salaires, ils ont progressé un peu plus que ce qui était anticipé par les analystes, de +0,4% sur un mois (contre des projections à +0,3%).”Des supers chiffres de l’emploi, la Bourse monte ! Et en même temps, des milliards arrivent grâce aux droits de douane !” s’est réjoui, en lettres majuscules, le président américain Donald Trump sur sa plateforme Truth Social, qualifiant l’économie de “bouillante”.Il a une nouvelle fois appelé la Réserve fédérale (Fed) à baisser ses taux d’intérêt qui guident les coûts d’emprunt, y compris pour rembourser la gigantesque dette publique américaine.Il a précisé vouloir une réduction significative et rapide, d’un point. Les taux sont dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50% depuis décembre. Une baisse d’un point les porterait entre 3,25% et 4,50%.”Cela réduirait beaucoup les taux d’intérêt à long et court terme sur la dette” américaine, a poursuivi le chef de l’Etat, en s’en prenant une nouvelle fois au président de la Fed Jerome Powell dont la politique coûte selon lui “une fortune à notre pays”.Les responsables de la banque centrale des Etats-Unis ont toutefois montré ces derniers temps qu’ils étaient avant tout concentrés sur le risque de déraillement des prix, en raison des droits de douane massifs que le président a lui même mis en place.- “Ne s’écroule pas” -Les données officielles, qui rendent compte de l’état de l’économie avec un temps de retard, n’ont pas commencé à montrer ce que la plupart des experts anticipent du fait du chambardement douanier: moins de croissance, plus d’inflation et de chômage.L’économiste de Nationwide Kathy Bostjancic repère toutefois un “ralentissement du marché du travail qui devrait s’accentuer dans les mois à venir”.”Les entreprises sont vraiment dans une posture attentiste. Elles n’arrivent pas encore à mesurer l’impact des droits de douane sur l’économie et leur activité. Donc elles n’embauchent pas beaucoup. Mais elles ne licencient pas beaucoup non plus”, a-t-elle décrit à l’AFP. Pour l’heure, Kathy Kostjancic ne voit donc pas de raison qui pousserait la Fed à sortir du statu quo sur les taux: “Les créations d’emploi ne sont pas en train de s’effondrer et le chômage reste bas.”Samuel Tombs, de Pantheon Macroeconomics, résume dans une note: le marché du travail “se fissure mais ne s’écroule pas”.Le ministère du Travail rapporte vendredi que “l’emploi a continué à progresser dans les secteurs de la santé, des loisirs et de l’hôtellerie-restauration, ainsi que dans celui de l’action sociale”.A l’inverse, “l’Etat fédéral a continué à perdre des emplois”.Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump s’emploie à réduire la taille de l’administration. Celle-ci compte 22.000 emplois en moins en mai, et 59.000 depuis janvier, sur une masse salariale de près de trois millions incluant les services postaux.Samuel Tombs considère que c’est “dû au gel des embauches” décidé par l’exécutif, qui fait que des départs ne sont pas remplacés, “plutôt que le résultat de coupes actives dans les effectifs”.Nombre d’employés fédéraux ont opté pour une offre de départ différé, leur permettant de rester payés jusqu’à l’automne, période à partir de laquelle les experts s’attendent à voir un impact plus significatif.L’industrie, érigée au sommet des priorités du gouvernement et que Donald veut revigorer avec ses droits de douane, a aussi perdu des emplois en mai (-8.000).

Corse: rare naissance en captivité de deux tortues en danger d’extinction

Deux bébés tortues “Melanochelys tricarinata”, en danger d’extinction et originaires des contreforts de l’Himalaya, sont nés en captivité à la cité des tortues “A Cupulatta” à Véro (Corse-du-Sud), “une rareté”, s’est félicité vendredi auprès de l’AFP le directeur de ce parc animalier.Cette espèce est sur la liste rouge mondiale des espèces menacées de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), a détaillé Pierre Moisson, le directeur-vétérinaire d’A Cupulatta, située à une trentaine de kilomètres d’Ajaccio, qui se présente comme le plus grand parc européen de tortues d’eau douce et terrestres.Temporairement baptisés “Tric” et “Trac”, ces deux bébés dont on ne connaîtra le sexe que dans “cinq ou six ans”, sont nés le 19 mai et le 1er juin et pesaient vendredi 9,64 et 8,89 grammes. “Ils raffolent des vers de terre!”, a-t-il détaillé, précisant attendre des propositions pour les rebaptiser ().Dotées d’une carapace sombre marquée de trois lignes jaunes, ces tortues terrestres omnivores font une vingtaine de centimètres et près d’un kilogramme à la taille adulte.”En 2017, il y a eu une saisie de 98 individus de cette espèce provenant d’Inde par les douanes à Hong Kong et le gouvernement de Hong Kong a voulu sécuriser une partie de sa population captive dans des parcs de confiance en Europe, au cas où elle disparaisse par une maladie”, a-t-il expliqué.Fin 2021, le Kadoorie Farm and Botanic Garden de Hong Kong qui s’en occupait depuis 2017 a ainsi choisi, grâce au Turtle Survival Alliance (TSA) Europe, le centre Emys en Suisse pour envoyer cinq mâles et cinq femelles, et “nous avons reçu deux femelles non gestantes et deux mâles”, a-t-il détaillé. “Nous avons réussi à les faire se reproduire et à obtenir trois oeufs et donc deux bébés, Tric et Trac, qui sont les premiers obtenus en captivité en Europe”, s’est félicité M. Moisson qui précise que “ces bébés ont vocation à grandir ici” et qu’en dehors de ces individus en Suisse et en Corse, il n’y en a qu’une centaine en captivité dans le monde, dans cinq parcs en Asie et trois en Europe (Hongrie, Autriche et Angleterre). En mai 2024, une tortue géante des Galapagos, en danger d’extinction, était déjà née à Véro. Baptisé “Darwin”, il vient de fêter son premier anniversaire.

Un incendie dans une tour HLM fait quatre morts à Reims

Un incendie, survenu dans la nuit de jeudi à vendredi dans un immeuble HLM à Reims et dont une origine accidentelle est “très probable”, a causé la mort de quatre personnes et fait deux blessés graves.Parmi les victimes figurent “vraisemblablement deux frères adolescents habitant l’appartement avec leur beau-père”, selon le procureur de Reims François Schneider. L’un serait “décédé de brûlures”, l’autre de “défenestration”, a poursuivi le procureur, tout en soulignant qu’il n’y avait pas encore “de certitude absolue sur leur identité”.Il y a aussi “deux morts par asphyxie dans les étages supérieurs” et deux blessés en urgence absolue, “possiblement le beau-père atteint de brûlures graves” et une autre personne asphyxiée, toujours selon M. Schneider.Une conférence de presse aura lieu samedi à 10H au tribunal judiciaire de Reims, a prévenu le procureur. Selon les premiers éléments de l’enquête, “l’origine accidentelle” de cet incendie est “très probable”, a-t-il dit.- “Les flammes étaient énormes” -Un enfant était considéré comme disparu vendredi matin, selon le préfet de la Marne, Henri Prévost, mais à 13H00 le procureur a assuré qu’il n’y avait plus d’enfant recherché.Douze autres personnes, enfants et adultes, ont été plus légèrement touchées, selon la préfecture. L’incendie, qui est terminé, s’est déclaré vers 00H30 au quatrième étage de cette tour HLM et s’est rapidement propagé aux étages supérieurs, notamment par la façade, selon la préfecture. “On voyait tout le monde qui criait, qui était sur les fenêtres de l’immeuble en train d’appeler à l’aide, jusqu’au dernier étage, il y avait des personnes en danger, c’était assez impressionnant”, raconte un lycéen témoin des débuts de l’incendie, Yael Coché. “Au bout d’un moment, il y avait des explosions, je suppose de gaz, qui ont retenti et là, les flammes étaient énormes, ça montait jusqu’en haut des arbres, c’était impressionnant”.Le quartier Croix-Rouge, mêlant hauts immeubles et maisons dans le sud-ouest de Reims, était entièrement bouclé en tout début de matinée, l’accès à la tour sinistrée interdit par de la rubalise, a constaté une journaliste de l’AFP sur place. Des fenêtres étaient entièrement noircies sur trois niveaux, et plus légèrement sur deux autres au-dessus.- “Énorme courage” -L’immeuble où le drame s’est produit compte 11 niveaux, comportant quatre appartements chacun. Selon le maire de Reims, Arnaud Robinet, il ne posait pas de problème de salubrité et avait fait l’objet d’un programme de rénovation thermique. L’immeuble voisin avait été touché par un incendie en février, causé par un “feu de cuisine”, selon le maire.Des policiers nationaux patrouillant dans ce quartier populaire pendant la nuit sont intervenus les premiers après le départ de feu et ont évacué des personnes qui se trouvaient dans les escaliers “avec un énorme courage”, a rapporté M. Robinet. Les pompiers sont ensuite arrivés rapidement sur les lieux.Sur place, l’intervention s’est révélée “difficile”, a précisé le préfet, en raison de la taille de l’immeuble, mais aussi des conditions météorologiques.”Il y avait beaucoup de vent sur Reims dans la nuit, et les fumées avaient tendance à se rabattre vers l’intérieur”, ce qui compliquait l’évacuation, a-t-il expliqué.Quinze véhicules de pompiers et 62 sapeurs-pompiers ont été mobilisés, ainsi que 20 policiers nationaux, 20 policiers municipaux et neuf soignants du Smur.Une quarantaine de personnes sinistrées ont été prises en charge par la Croix-Rouge dans un gymnase mis à disposition par la municipalité.Un résident de l’immeuble voisin, Cyril Gasnier, a raconté à l’AFP qu’il était au téléphone avec sa mère, vers minuit, quand il a entendu des gens hurler. Il est descendu dans la rue et a confié avoir eu peur pour son logement mais a ensuite pu rentrer chez lui.Des agents de sécurité “sont présents à l’entrée de l’immeuble pour sécuriser les accès et orienter les locataires qui souhaiteraient accéder à leurs logements pour récupérer leurs biens personnels, lorsque les conditions de sécurité seront remplies”, a déclaré le bailleur social Plurial Novilia, gestionnaire de la tour sinistrée.cor-bj-bbr-zl/etb/vk

Un incendie dans une tour HLM fait quatre morts à Reims

Un incendie, survenu dans la nuit de jeudi à vendredi dans un immeuble HLM à Reims et dont une origine accidentelle est “très probable”, a causé la mort de quatre personnes et fait deux blessés graves.Parmi les victimes figurent “vraisemblablement deux frères adolescents habitant l’appartement avec leur beau-père”, selon le procureur de Reims François Schneider. L’un serait “décédé de brûlures”, l’autre de “défenestration”, a poursuivi le procureur, tout en soulignant qu’il n’y avait pas encore “de certitude absolue sur leur identité”.Il y a aussi “deux morts par asphyxie dans les étages supérieurs” et deux blessés en urgence absolue, “possiblement le beau-père atteint de brûlures graves” et une autre personne asphyxiée, toujours selon M. Schneider.Une conférence de presse aura lieu samedi à 10H au tribunal judiciaire de Reims, a prévenu le procureur. Selon les premiers éléments de l’enquête, “l’origine accidentelle” de cet incendie est “très probable”, a-t-il dit.- “Les flammes étaient énormes” -Un enfant était considéré comme disparu vendredi matin, selon le préfet de la Marne, Henri Prévost, mais à 13H00 le procureur a assuré qu’il n’y avait plus d’enfant recherché.Douze autres personnes, enfants et adultes, ont été plus légèrement touchées, selon la préfecture. L’incendie, qui est terminé, s’est déclaré vers 00H30 au quatrième étage de cette tour HLM et s’est rapidement propagé aux étages supérieurs, notamment par la façade, selon la préfecture. “On voyait tout le monde qui criait, qui était sur les fenêtres de l’immeuble en train d’appeler à l’aide, jusqu’au dernier étage, il y avait des personnes en danger, c’était assez impressionnant”, raconte un lycéen témoin des débuts de l’incendie, Yael Coché. “Au bout d’un moment, il y avait des explosions, je suppose de gaz, qui ont retenti et là, les flammes étaient énormes, ça montait jusqu’en haut des arbres, c’était impressionnant”.Le quartier Croix-Rouge, mêlant hauts immeubles et maisons dans le sud-ouest de Reims, était entièrement bouclé en tout début de matinée, l’accès à la tour sinistrée interdit par de la rubalise, a constaté une journaliste de l’AFP sur place. Des fenêtres étaient entièrement noircies sur trois niveaux, et plus légèrement sur deux autres au-dessus.- “Énorme courage” -L’immeuble où le drame s’est produit compte 11 niveaux, comportant quatre appartements chacun. Selon le maire de Reims, Arnaud Robinet, il ne posait pas de problème de salubrité et avait fait l’objet d’un programme de rénovation thermique. L’immeuble voisin avait été touché par un incendie en février, causé par un “feu de cuisine”, selon le maire.Des policiers nationaux patrouillant dans ce quartier populaire pendant la nuit sont intervenus les premiers après le départ de feu et ont évacué des personnes qui se trouvaient dans les escaliers “avec un énorme courage”, a rapporté M. Robinet. Les pompiers sont ensuite arrivés rapidement sur les lieux.Sur place, l’intervention s’est révélée “difficile”, a précisé le préfet, en raison de la taille de l’immeuble, mais aussi des conditions météorologiques.”Il y avait beaucoup de vent sur Reims dans la nuit, et les fumées avaient tendance à se rabattre vers l’intérieur”, ce qui compliquait l’évacuation, a-t-il expliqué.Quinze véhicules de pompiers et 62 sapeurs-pompiers ont été mobilisés, ainsi que 20 policiers nationaux, 20 policiers municipaux et neuf soignants du Smur.Une quarantaine de personnes sinistrées ont été prises en charge par la Croix-Rouge dans un gymnase mis à disposition par la municipalité.Un résident de l’immeuble voisin, Cyril Gasnier, a raconté à l’AFP qu’il était au téléphone avec sa mère, vers minuit, quand il a entendu des gens hurler. Il est descendu dans la rue et a confié avoir eu peur pour son logement mais a ensuite pu rentrer chez lui.Des agents de sécurité “sont présents à l’entrée de l’immeuble pour sécuriser les accès et orienter les locataires qui souhaiteraient accéder à leurs logements pour récupérer leurs biens personnels, lorsque les conditions de sécurité seront remplies”, a déclaré le bailleur social Plurial Novilia, gestionnaire de la tour sinistrée.cor-bj-bbr-zl/etb/vk

Stocks and dollar climb on reassuring US jobs data

Major stock markets and the dollar pushed higher Friday as key jobs data showed the US labour market is resilient in the face of uncertainty over President Donald Trump’s tariffs.Tesla stocks recovered after plunging Thursday due to a stunning public row between the company’s billionaire boss Elon Musk and Trump.A below-par reading on private hiring this week raised worries about the labour market and the outlook for the US economy ahead of the non-farm payrolls report, a key piece of data used by the Federal Reserve as it decides whether to move on interest rates.The data showed hiring in the world’s largest economy came in at 139,000 last month, just above market expectations.The figure indicates that the US employment market is relatively healthy despite the jolts to financial markets, supply chains and consumer sentiment this year as Trump announced successive waves of tariffs.”There was concern that the labour market was buckling under the pressure of tariffs and weaker economic growth. However, the May report suggests that the labour market is softening, not falling off a cliff,” said Kathleen Brooks, research director at trading platform XTB, in a note.”The price action suggests that the market is not taking these risks too seriously, that they do not see a recession in the future and that investors still think that corporate earnings growth will be strong.”The state of the jobs market is critical given how important consumer spending is to the overall economy, said eToro US investment analyst Bret Kenwell.”While it may not be firing on all cylinders, it’s far from showing signs of a major breakdown.”Wall Street mounted a strong comeback, and Paris and London stocks closed higher.Frankfurt closed flat after sentiment was knocked by the Bundesbank warning Germany could face two more years of recession if a trade war with the United States escalates sharply.For now, however, the eurozone economy is showing signs of resilience, with official data Friday showing it expanded at a significantly faster pace than previously estimated in the first three months of the year.The EU’s data agency said the 20-country single currency area recorded growth of 0.6 percent over the January-March period from the previous quarter, up from the 0.3-percent figure published last month.- US-China talks -Equity markets had been buoyed this week by hopes that talks between US President Donald Trump and Chinese counterpart Xi Jinping could lead to an easing of tensions following Trump’s “Liberation Day” global tariff blitz that targeted Beijing particularly hard.However optimism in markets from what Trump called the “very positive” talks Thursday was largely wiped out by a stunning public row between the US leader and his former adviser Musk that sent Wall Street into the red Thursday.The president threatened Musk’s multibillion-dollar government contracts and shares in his Tesla electric-vehicle manufacturer plummeted about 15 percent as the astonishing row escalated — wiping more than $100 billion from the company’s value.On Friday, Tesla shares bounced in early trading on Wall Street, back up more than five percent.Oil prices rose on Friday, driven by the jobs data and nevertheless by prospects for a trade detente after the Trump-Xi call, said Mark Bowman, an analyst at ADM Investors Services.- Key figures at around 1540 GMT -New York – Dow: UP 0.8 percent at 42,652.67 pointsNew York – S&P 500: UP 0.9 percent at 5,991.79New York – Nasdaq Composite: UP 1.1 percent at 19,512.92 London – FTSE 100: UP 0.3 percent at 8,837.91 (close)Paris – CAC 40: UP 0.2 percent at 7,804.87 (close)Frankfurt – DAX: FLAT at 24,304.46 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.5 percent at 37,741.61 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.5 percent at 23,792.54 (close)Shanghai – Composite: FLAT at 3,385.36 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1400 from $1.1444 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.3530 from $1.3571Dollar/yen: UP at 144.79 yen from 143.58 yenEuro/pound: DOWN at 84.25 pence from 84.31 penceBrent North Sea Crude: UP 1.45 percent at $66.29 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.7 percent at $64.45 per barrelburs-rl/rlp/rmb