S. Korean workers arrive home after US detention

A specially chartered flight carrying hundreds of South Korean workers detained in a US immigration raid last week landed at Incheon International Airport on Friday, AFP reporters saw. South Koreans made up the majority of the 475 people arrested at a Hyundai-LG battery factory site in the state of Georgia, triggering a delicate effort to resolve the thorny situation between close allies.The Korean Air Boeing 747-8I, with more than 310 South Koreans on board, departed from Atlanta and touched down on the runway at South Korea’s main gateway in Incheon.”Everything at Atlanta went smoothly,” a foreign ministry official told AFP on Friday, ahead of the workers’ arrival at around 3:25 pm (0625 GMT).”The plane departed as scheduled with the planned number of passengers.”Asia’s fourth-largest economy maintains multiple plants in the United States, and has heeded Washington’s push to onshore manufacturing and boost investment in America. The Georgia raid was the largest single-site operation conducted since US President Donald Trump launched a sweeping immigration crackdown, a top political priority since he returned to office in January.Experts say most of the detained South Korean workers were likely on visas that do not permit hands-on construction work.At the Incheon airport, people were seen holding a satirical placard depicting President Trump in an ICE uniform, wearing a gun, alongside the words, “We’re friends, aren’t we?”One older man, who was not related to the workers, also staged a protest against the raid, holding a picket that read: “You told us to invest, only to arrest us! Is this how you treat an ally?”President Lee Jae Myung called the raid “bewildering” and noted it could have a chilling effect on future investment. He added that Seoul was negotiating with Washington “to ensure that visa issuance for investment-related purposes operates normally”. At the Hyundai factory site, construction will now be set back due to labour shortages, Chief Executive Officer Jose Munoz said.”This is going to give us minimum two to three months delay, because now all these people want to get back,” he said.”Then you need to see how can you fill those positions. And, for the most part, those people are not in the US.”The Korean Confederation of Trade Unions (KCTU), one of the country’s largest umbrella union groups, called for an apology from Trump and for Seoul to halt US investment plans.”The Trump administration’s excessive mass arrests and detentions were a clear violation of human rights,” it said in a statement sent to AFP.”The KCTU stands in full solidarity with the workers returning today and strongly urges President Trump to issue an official apology and calls for (South Korea’s) suspension of investments in the US.”- Minimise impact -LG Energy Solution — which said 47 of its employees were arrested, along with about 250 people working for its contractor — thanked the Seoul government for its support.Seoul sent a task force and flew in top officials to negotiate, with a focus on ensuring that workers would not suffer repercussions should they seek to re-enter the United States.”We are especially grateful for their exceptional efforts… for their meticulous attention to addressing various concerns, including ensuring no disadvantages upon re-entry,” the firm said in a statement sent to AFP.Images of the workers being chained and handcuffed during the raid caused widespread alarm in South Korea, and Seoul said the government had negotiated to make sure the workers were not handcuffed again as they were repatriated.The raid came less than a month after Trump welcomed Lee to the White House.The site of the raid is a $4.3 billion venture to build a battery cell manufacturing facility in Georgia.Many South Korean companies bring their own workforce during project development periods, with industry sources telling AFP it is common practice to use visa workarounds to avoid project delays.LG said it remained committed to its US projects, adding that it was also working to minimise “any business impact resulting from this incident”.

La Chine annonce que son porte-avions dernier cri a transité par le détroit de Taïwan

La Chine a annoncé vendredi que le dernier né de ses porte-avions, le Fujian, avait transité par le détroit de Taïwan pour aller mener des tests en vue d’une future mise en service, qui renforcera considérablement ses capacités dans une zone ultra-sensible.Le Fujian “a transité récemment par le détroit de Taïwan en direction des eaux de la mer de Chine méridionale pour (aller) procéder à des tests de recherche scientifique et des missions d’entraînement”, a déclaré un porte-parole de la marine chinoise, le capitaine Leng Guowei, dans un communiqué publié sur le réseau social WeChat.C’est “une part normale du processus de construction d’un porte-avions et ne vise aucune cible spécifique”, a-t-il assuré.Pour Collin Koh, spécialiste des questions navales à la S. Rajaratnam School of International Studies (RSIS) à Singapour, il n’y a rien d’étonnant à ce que le Fujian franchisse le détroit, comme l’ont fait avant lui les autres porte-avions chinois.Cela “semble relever de la symbolique visant à montrer l’ascension de la Chine en tant que puissance militaire forte et, de surcroît, grande puissance maritime”, dit-il.Les autorités taïwanaises ont indiqué avoir surveillé les mouvements du bateau “pour apprécier pleinement la situation”, et avoir “réagi en conséquence”.Tous les mouvements à caractère militaire dans le détroit de Taïwan sont sensibles. La Chine considère Taïwan comme une de ses provinces. Elle soumet l’île, sous gouvernement démocratique, à une pression militaire, économique et diplomatique forte et refuse d’exclure le recours à la force pour en prendre le contrôle.La question taïwanaise est une des sources majeures de tension dans la région, théâtre de multiples querelles territoriales et d’une lutte d’influence entre grandes puissances.La marine japonaise a répéré jeudi le Fujian accompagné de deux destroyers et progressant en direction du sud-ouest à environ 200 km au nord-ouest des îles Senkaku, a indiqué le ministère japonais de la Défense dans un communiqué.Au nord-est de Taïwan, les îles Senkaku, Diaoyu pour la Chine, sont administrées par Tokyo mais revendiquées par Pékin.Les garde-côtes chinois ont rapporté avoir patrouillé vendredi dans les eaux de l’archipel, inhabité. – Calendrier toujours inconnu -La Chine dispose de deux porte-avions en service actif: le Liaoning, acheté à l’Ukraine en 2000, et le Shandong, premier porte-avions à avoir été construit en Chine, mis en service en 2019.Le Shandong a participé en avril à des manoeuvres militaires dans le détroit de Taïwan avec simulation de “blocus”, selon le Commandement du Théâtre oriental de l’armée chinoise.Le Fujian, qui tient son nom de la province chinoise située en face de Taïwan, est le plus grand navire jamais construit par la Chine. Il participe au renforcement des capacités chinoises de dissuasion et de projection en Asie-Pacifique, et plus globalement à la montée en puissance de l’armée chinoise dans un contexte de rivalité avec le système d’alliances régionales des Etats-Unis. La Chine assure que ses intentions sont pacifiques.Le Fujian a effectué ses premiers essais en mer en 2024.Il devrait être doté de systèmes de décollage plus avancés, permettant de déployer des avions transportant des charges utiles plus importantes et davantage de carburant, selon les analystes du groupe de réflexion CSIS à Washington.La Chine garde le secret sur la mise en service du Fujian. Les experts spéculent sur une date qui coïnciderait symboliquement avec un évènement historique pour le pays.Song Zhongping, un commentateur militaire chinois, pense que les principaux tests sont achevés et que “l’heure de la mise en service officielle approche”. Il en veut pour preuve qu’après avoir été testé en mer de Chine orientale et en mer Jaune, le bâtiment l’est à présent en mer de Chine méridionale, où “l’environnement est plus hostile et les conditions d’essai, par conséquent, plus exigeantes”.Un autre expert, Alex Luck, spécialiste du matériel naval, tempère cependant. Il peut s’agir aussi bien d’un essai que d’une préparation à la mise en service, dit-il. “Les deux options sont possibles, en fonction des étapes suivantes. Mais il est trop tôt pour se prononcer. On doit se contenter de ce qu’on voit pour l’instant”, insiste-t-il.

La Chine annonce que son porte-avions dernier cri a transité par le détroit de Taïwan

La Chine a annoncé vendredi que le dernier né de ses porte-avions, le Fujian, avait transité par le détroit de Taïwan pour aller mener des tests en vue d’une future mise en service, qui renforcera considérablement ses capacités dans une zone ultra-sensible.Le Fujian “a transité récemment par le détroit de Taïwan en direction des eaux de la mer de Chine méridionale pour (aller) procéder à des tests de recherche scientifique et des missions d’entraînement”, a déclaré un porte-parole de la marine chinoise, le capitaine Leng Guowei, dans un communiqué publié sur le réseau social WeChat.C’est “une part normale du processus de construction d’un porte-avions et ne vise aucune cible spécifique”, a-t-il assuré.Pour Collin Koh, spécialiste des questions navales à la S. Rajaratnam School of International Studies (RSIS) à Singapour, il n’y a rien d’étonnant à ce que le Fujian franchisse le détroit, comme l’ont fait avant lui les autres porte-avions chinois.Cela “semble relever de la symbolique visant à montrer l’ascension de la Chine en tant que puissance militaire forte et, de surcroît, grande puissance maritime”, dit-il.Les autorités taïwanaises ont indiqué avoir surveillé les mouvements du bateau “pour apprécier pleinement la situation”, et avoir “réagi en conséquence”.Tous les mouvements à caractère militaire dans le détroit de Taïwan sont sensibles. La Chine considère Taïwan comme une de ses provinces. Elle soumet l’île, sous gouvernement démocratique, à une pression militaire, économique et diplomatique forte et refuse d’exclure le recours à la force pour en prendre le contrôle.La question taïwanaise est une des sources majeures de tension dans la région, théâtre de multiples querelles territoriales et d’une lutte d’influence entre grandes puissances.La marine japonaise a répéré jeudi le Fujian accompagné de deux destroyers et progressant en direction du sud-ouest à environ 200 km au nord-ouest des îles Senkaku, a indiqué le ministère japonais de la Défense dans un communiqué.Au nord-est de Taïwan, les îles Senkaku, Diaoyu pour la Chine, sont administrées par Tokyo mais revendiquées par Pékin.Les garde-côtes chinois ont rapporté avoir patrouillé vendredi dans les eaux de l’archipel, inhabité. – Calendrier toujours inconnu -La Chine dispose de deux porte-avions en service actif: le Liaoning, acheté à l’Ukraine en 2000, et le Shandong, premier porte-avions à avoir été construit en Chine, mis en service en 2019.Le Shandong a participé en avril à des manoeuvres militaires dans le détroit de Taïwan avec simulation de “blocus”, selon le Commandement du Théâtre oriental de l’armée chinoise.Le Fujian, qui tient son nom de la province chinoise située en face de Taïwan, est le plus grand navire jamais construit par la Chine. Il participe au renforcement des capacités chinoises de dissuasion et de projection en Asie-Pacifique, et plus globalement à la montée en puissance de l’armée chinoise dans un contexte de rivalité avec le système d’alliances régionales des Etats-Unis. La Chine assure que ses intentions sont pacifiques.Le Fujian a effectué ses premiers essais en mer en 2024.Il devrait être doté de systèmes de décollage plus avancés, permettant de déployer des avions transportant des charges utiles plus importantes et davantage de carburant, selon les analystes du groupe de réflexion CSIS à Washington.La Chine garde le secret sur la mise en service du Fujian. Les experts spéculent sur une date qui coïnciderait symboliquement avec un évènement historique pour le pays.Song Zhongping, un commentateur militaire chinois, pense que les principaux tests sont achevés et que “l’heure de la mise en service officielle approche”. Il en veut pour preuve qu’après avoir été testé en mer de Chine orientale et en mer Jaune, le bâtiment l’est à présent en mer de Chine méridionale, où “l’environnement est plus hostile et les conditions d’essai, par conséquent, plus exigeantes”.Un autre expert, Alex Luck, spécialiste du matériel naval, tempère cependant. Il peut s’agir aussi bien d’un essai que d’une préparation à la mise en service, dit-il. “Les deux options sont possibles, en fonction des étapes suivantes. Mais il est trop tôt pour se prononcer. On doit se contenter de ce qu’on voit pour l’instant”, insiste-t-il.

Togo: un Français détenu pour atteinte à la sûreté de l’Etat, ses proches “très inquiets”

Que faisait Steeve Rouyar le 6 juin à Lomé ? Plus de trois mois après l’arrestation de ce Français expatrié au Togo, où il risque une lourde condamnation, ses proches dénoncent des zones d’ombre et appellent à sa libération.Ce jour-là, une rare mobilisation secoue le pays d’Afrique de l’Ouest tenu d’une main de fer par Faure Gnassingbé, au pouvoir depuis 20 ans. La jeunesse descend dans la rue pour protester contre l’arrestation de voix critiques, la hausse du prix de l’électricité et surtout la nouvelle Constitution, qui permet au dirigeant togolais de se maintenir au pouvoir sans limite de mandats.Trois jours plus tard, le parquet de Lomé annonce qu’un Français figure parmi la cinquantaine de “manifestants” arrêtés le 6 juin.Sa famille, sans nouvelles, apprend qu’il s’agit de Steeve Rouyar sur les réseaux sociaux.”Ca nous a fait un gros choc”, confie son frère Mickaël. “On sait très peu de choses sur la manière dont il a été arrêté et les motifs d’inculpation”.Comment cet expert-comptable sans histoire de 44 ans, père de deux enfants, originaire de Guadeloupe et installé au Togo depuis novembre 2024, s’est-il retrouvé mêlé aux soubresauts de la politique locale?Selon une source ayant accès au dossier, Steeve Rouyar est poursuivi pour troubles à l’ordre public aggravés, faits qu’il a reconnus devant un juge d’instruction, pour lesquels il risque un à cinq ans d’emprisonnement. Mais aussi pour le chef d'”atteinte à la sûreté de l’Etat”, ce qu’il nie, puni de 20 à 30 ans d’emprisonnement.Il aurait notamment participé à la fabrication de tracts, avant d’être arrêté lors d’un rassemblement et détenu au Service central de recherche et d’investigation criminelle (Scric), affirme la même source.- “Libération des peuples” -Son frère assure ne pas savoir “dans quelle mesure (Steeve) a pris part au mouvement”, même s'”il devait avoir une sensibilité pour ce qui se passait” au Togo.Car l’expert-comptable est aussi un militant engagé. En Guadeloupe, d’abord, où il a démarré son activité il y a 20 ans, après avoir grandi en région parisienne. Il se présente aux législatives de 2017, 2022 et 2024, notamment sous la bannière du Nouveau front populaire (gauche) – et récolte chaque fois moins de 1% des voix.Sur son compte Facebook, dont le dernier post remonte au 6 juin, il fustige régulièrement la politique d’Emmanuel Macron, la vaccination anti-Covid, et affiche son soutien à la cause palestinienne. Ces derniers mois, il partage des publications à la gloire des juntes qui ont pris le pouvoir par la force au pouvoir au Mali et au Burkina Faso voisins, dont ils ont chassé la France.Il relaie aussi les messages d’influenceurs panafricanistes, pourfendeurs de l’ancienne puissance coloniale, avec laquelle le Togo continue d’entretenir des relations plutôt cordiales.Les Rouyar assurent que cet aîné d’une fratrie de cinq est venu au Togo pour ouvrir un nouveau cabinet d’expertise-comptable sur un marché africain porteur, avant de se heurter à des démarches administratives plus complexes que prévues.”Il était optimiste par rapport à la situation en Afrique, il voyait une libération des peuples et voulait s’y impliquer”, affirme Astrid Michée, membre du comité pour sa libération.- “Très amaigri” -“Il m’a dit: +je ne suis pas avec l’opposition, je suis avec le peuple+”, ajoute son père, Dominique Rouyar, joint au téléphone. M. Rouyar est “très inquiet” pour son fils, “détenu dans des conditions inhumaines et assis dans le noir toute la journée” avec 11 codétenus. “On ne lui donne pas à manger, on ne l’emmène pas se promener, il dort à même le sol”, assure-t-il.Lors de leur dernier échange téléphonique fin août, le Guadeloupéen à la stature imposante (1,95m, 90kg) lui a confié être “très amaigri”. “Je n’ai pas reconnu sa voix”, dit Dominique Rouyar.Contacté par l’AFP, le Quai d’Orsay n’a pas commenté sa situation.Selon l’opposition, la violente répression des manifestations de juin a fait sept morts – le parquet a fait état de 5 morts “par noyade”.Une source gouvernementale togolaise a assuré à la presse que “l’état de droit est bien respecté”, demandant de “laisser la justice faire son travail” en attendant la fin de l’instruction.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

UN General Assembly to vote on a Hamas-free Palestinian state

The UN General Assembly will vote on Friday whether to back the “New York Declaration,” a resolution which seeks to breathe new life into the two-state solution between Israel and Palestine — without the involvement of Hamas.Although Israel has criticized UN bodies for nearly two years over their failure to condemn Hamas’s attack on October 7, 2023, the declaration, presented by France and Saudi Arabia, leaves no ambiguity.Formally called the New York Declaration on the Peaceful Settlement of the Question of Palestine and the Implementation of the Two-State Solution, the text states “Hamas must free all hostages” and that the UN General Assembly condemns “the attacks committed by Hamas against civilians on the 7th of October.”It also calls for “collective action to end the war in Gaza, to achieve a just, peaceful and lasting settlement of the Israeli-Palestinian conflict based on the effective implementation of the Two-State solution.”The declaration, which was already endorsed by the Arab League and co-signed in July by 17 UN member states, including several Arab countries, also goes further than condemning Hamas, seeking to fully excise them from leadership in Gaza.”In the context of ending the war in Gaza, Hamas must end its rule in Gaza and hand over its weapons to the Palestinian Authority, with international engagement and support, in line with the objective of a sovereign and independent Palestinian State,” the declaration states.The vote precedes an upcoming UN summit co-chaired by Riyadh and Paris on September 22 in New York, in which French President Emmanuel Macron has promised to formally recognize the Palestinian state.- ‘Shield’ against criticism -“The fact that the General Assembly is finally backing a text that condemns Hamas directly is significant,” even if “Israelis will say it is far too little, far too late,” Richard Gowan, UN Director at the International Crisis Group, told AFP.”Now at least states supporting the Palestinians can rebuff Israeli accusations that they implicitly condone Hamas,” he said, adding that it “offers a shield against Israeli criticism.” In addition to Macron, several other leaders have announced their intent to formally recognize the Palestinian state during the UN summit.The gestures are seen as a means of increasing pressure on Israel to end the war in Gaza, which was triggered by the October 7, 2023 attacks by Hamas.The New York Declaration includes discussion of a “deployment of a temporary international stabilization mission” to the battered region under the mandate of the UN Security Council, aiming to support the Palestinian civilian population and facilitate security responsibilities to the Palestinian Authority.Around three-quarters of the 193 UN member states recognize the Palestinian state proclaimed in 1988 by the exiled Palestinian leadership.However, after two years of war have ravaged the Gaza Strip, in addition to expanded Israeli settlements in the West Bank and the stated desire by Israeli officials to annex the territory, fears have been growing that the existence of an independent Palestinian state will soon become impossible.”We are going to fulfill our promise that there will be no Palestinian state,” Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu vowed Thursday.Palestinian President Mahmoud Abbas, meanwhile, may be prevented from visiting New York for the UN summit after US authorities said they would deny him a visa.

For theatre legend John Kani, art must ‘speak truth to power’Fri, 12 Sep 2025 05:57:13 GMT

South African stage legend John Kani shuffled between rows of red chairs in the 450-seat theatre named after him, searching for one in particular.”I think it’s this one,” he exclaimed, pointing at 15E near the stairs leading to the stage. “This used to be Nelson Mandela’s seat!”The actor laughed as he recalled how South Africa’s …

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Guinea’s Tierno Monenembo: stolen words and diehard critic of military ruleFri, 12 Sep 2025 05:50:04 GMT

Guinean writer Tierno Monenembo will boycott his country’s upcoming constitutional referendum, calling the vote a “farce”. Unwaveringly critical of the authoritarian junta in power, he said he is ready to “die for his ideas”.In the lush garden of a Conakry bar he frequents, Monenembo — one of Africa’s most highly regarded Francophone writers — spoke …

Guinea’s Tierno Monenembo: stolen words and diehard critic of military ruleFri, 12 Sep 2025 05:50:04 GMT Read More »

ICJ to rule on France-Equatorial Guinea mansion rowFri, 12 Sep 2025 05:47:36 GMT

The top UN court will rule Friday in a long-running dispute between France and Equatorial Guinea over a multi-million-euro Paris mansion seized during a corruption probe into the country’s vice-president.Equatorial Guinea has asked the International Court of Justice to issue emergency orders to prevent France selling the luxury building, also seized in 2012, which boasts …

ICJ to rule on France-Equatorial Guinea mansion rowFri, 12 Sep 2025 05:47:36 GMT Read More »