Le divorce entre Trump et Musk étalé en place publique

Les Américains s’interrogent vendredi sur les conséquences de la rupture publique spectaculaire entre Donald Trump et Elon Musk, le président des Etats-Unis ayant notamment menacé de rompre les contrats publics conclus avec les entreprises de l’homme le plus riche du monde.Les sites américains Politico et Axios ont cru percevoir un signal d’apaisement dans la nuit de jeudi à vendredi, après un court entretien accordé par le président républicain au premier média.”Oh, ce n’est pas grave”, a déclaré Donald Trump à Politico qui l’a interrogé sur la dispute. Toujours selon le site, un appel est prévu vendredi entre les deux anciens amis pour tenter de faire la paix.Les échanges acrimonieux entre les deux anciens amis se sont emballés jeudi. Le président américain a assuré sur son réseau Truth Social qu’Elon Musk était “devenu fou” à cause d’une décision défavorable aux véhicules électriques.”Le plus simple pour économiser des milliards et des milliards de dollars dans notre budget serait d’annuler les subventions et contrats gouvernementaux” du patron de Tesla et SpaceX, a menacé le président, en difficultés sur un projet de vaste loi budgétaire. Sur son réseau X, Elon Musk a déclaré en réponse que SpaceX “commencera immédiatement à mettre hors service son vaisseau spatial Dragon”, utilisé notamment par la Nasa pour acheminer des astronautes vers la Station spatiale internationale (ISS).Il a semblé, quelques heures plus tard, faire marche arrière, écrivant: “Bon, nous n’allons pas mettre Dragon hors service.”Entre-temps, la capitalisation de Tesla a fondu de dizaines de milliards de dollars de capitalisation à Wall Street, l’action clôturant jeudi à -14,26%.Depuis qu’Elon Musk a lancé la semaine dernière un tir de barrage contre le projet de loi budgétaire au coeur du début de mandat de Donald Trump, ce n’était sans doute qu’une question de temps avant que le divorce ne soit consommé.C’est pendant une réunion dans le Bureau ovale avec le chancelier allemand Friedrich Merz, réduit au rôle de figurant muet, que le président a acté jeudi la rupture.Pendant un échange avec les journalistes, retransmis en direct, Donald Trump s’est dit “très déçu”. “Elon et moi avions une bonne relation. Je ne sais pas si c’est encore le cas”, a-t-il lancé à propos de son ancien “conseiller spécial”, qui a quitté vendredi dernier la mission de réduction des dépenses publiques qu’il menait à la Maison Blanche.- “N’importe quoi” -“N’importe quoi”, écrit Elon Musk en commentaire d’une vidéo de Donald Trump affirmant, déjà, que sa colère était due à la perte de subventions pour les véhicules électriques.”Faux”, poste-t-il ensuite au-dessus d’un extrait dans lequel le président américain assure que l’entrepreneur connaissait par avance le contenu du texte. Une “grande et belle loi” selon Donald Trump, une “abomination” pour les finances publiques selon Elon Musk, dont l’adoption n’est pas garantie au Congrès. Le multimilliardaire, qui a très généreusement financé la campagne du républicain en 2024, assure que “Trump aurait perdu l’élection” sans lui et l’accuse d'”ingratitude”.Il a aussi affirmé, sans apporter de preuve, que le nom du président se trouvait dans le dossier Jeffrey Epstein, ce financier américain au coeur d’un vaste scandale de crimes et d’exploitation sexuels qui s’est suicidé en prison avant d’être jugé; des accusations “regrettables” pour la Maison Blanche.Dans le Bureau ovale, Donald Trump a dépeint son ancien allié en amoureux éconduit: “Il disait les choses les plus belles à mon propos”.  – “Nouveau parti politique” -Dès l’entrée tonitruante d’Elon Musk dans la campagne de Donald Trump l’an dernier, les doutes ont surgi sur la longévité de leur relation. Donald Trump avait défendu son allié face aux critiques et a même organisé une opération de promotion pour la marque Tesla à la Maison Blanche. Elon Musk avait lui qualifié le président de “roi” le jour de son investiture. Mais les tensions ont grandi entre le multimilliardaire et l’entourage du président. “Il faudrait lancer une enquête formelle sur son statut migratoire, car je crois fortement que c’est un étranger illégal et qu’il devrait être expulsé immédiatement”, a déclaré jeudi soir au New York Times l’ex-conseiller de Donald Trump et idéologue d’extrême droite Steve Bannon. Elon Musk est né en Afrique du Sud et a été naturalisé américain. Pour certains experts, ce qui pourrait avoir scellé le sort d’Elon Musk ne s’est pas passé à Washington, mais dans le Wisconsin, où il s’est fortement engagé, financièrement et personnellement, en faveur d’un juge conservateur candidat à la Cour suprême locale, qui a été battu.Donald Trump, qui déteste être associé à la défaite, aurait suivi avec attention cette première aventure politique en solo d’Elon Musk.Lequel n’a visiblement pas été dégoûté. Celui qui ne peut devenir président puisqu’il a été naturalisé, a demandé jeudi sur X s’il n’était pas “temps de créer un nouveau parti politique” aux Etats-Unis.

Le divorce entre Trump et Musk étalé en place publique

Les Américains s’interrogent vendredi sur les conséquences de la rupture publique spectaculaire entre Donald Trump et Elon Musk, le président des Etats-Unis ayant notamment menacé de rompre les contrats publics conclus avec les entreprises de l’homme le plus riche du monde.Les sites américains Politico et Axios ont cru percevoir un signal d’apaisement dans la nuit de jeudi à vendredi, après un court entretien accordé par le président républicain au premier média.”Oh, ce n’est pas grave”, a déclaré Donald Trump à Politico qui l’a interrogé sur la dispute. Toujours selon le site, un appel est prévu vendredi entre les deux anciens amis pour tenter de faire la paix.Les échanges acrimonieux entre les deux anciens amis se sont emballés jeudi. Le président américain a assuré sur son réseau Truth Social qu’Elon Musk était “devenu fou” à cause d’une décision défavorable aux véhicules électriques.”Le plus simple pour économiser des milliards et des milliards de dollars dans notre budget serait d’annuler les subventions et contrats gouvernementaux” du patron de Tesla et SpaceX, a menacé le président, en difficultés sur un projet de vaste loi budgétaire. Sur son réseau X, Elon Musk a déclaré en réponse que SpaceX “commencera immédiatement à mettre hors service son vaisseau spatial Dragon”, utilisé notamment par la Nasa pour acheminer des astronautes vers la Station spatiale internationale (ISS).Il a semblé, quelques heures plus tard, faire marche arrière, écrivant: “Bon, nous n’allons pas mettre Dragon hors service.”Entre-temps, la capitalisation de Tesla a fondu de dizaines de milliards de dollars de capitalisation à Wall Street, l’action clôturant jeudi à -14,26%.Depuis qu’Elon Musk a lancé la semaine dernière un tir de barrage contre le projet de loi budgétaire au coeur du début de mandat de Donald Trump, ce n’était sans doute qu’une question de temps avant que le divorce ne soit consommé.C’est pendant une réunion dans le Bureau ovale avec le chancelier allemand Friedrich Merz, réduit au rôle de figurant muet, que le président a acté jeudi la rupture.Pendant un échange avec les journalistes, retransmis en direct, Donald Trump s’est dit “très déçu”. “Elon et moi avions une bonne relation. Je ne sais pas si c’est encore le cas”, a-t-il lancé à propos de son ancien “conseiller spécial”, qui a quitté vendredi dernier la mission de réduction des dépenses publiques qu’il menait à la Maison Blanche.- “N’importe quoi” -“N’importe quoi”, écrit Elon Musk en commentaire d’une vidéo de Donald Trump affirmant, déjà, que sa colère était due à la perte de subventions pour les véhicules électriques.”Faux”, poste-t-il ensuite au-dessus d’un extrait dans lequel le président américain assure que l’entrepreneur connaissait par avance le contenu du texte. Une “grande et belle loi” selon Donald Trump, une “abomination” pour les finances publiques selon Elon Musk, dont l’adoption n’est pas garantie au Congrès. Le multimilliardaire, qui a très généreusement financé la campagne du républicain en 2024, assure que “Trump aurait perdu l’élection” sans lui et l’accuse d'”ingratitude”.Il a aussi affirmé, sans apporter de preuve, que le nom du président se trouvait dans le dossier Jeffrey Epstein, ce financier américain au coeur d’un vaste scandale de crimes et d’exploitation sexuels qui s’est suicidé en prison avant d’être jugé; des accusations “regrettables” pour la Maison Blanche.Dans le Bureau ovale, Donald Trump a dépeint son ancien allié en amoureux éconduit: “Il disait les choses les plus belles à mon propos”.  – “Nouveau parti politique” -Dès l’entrée tonitruante d’Elon Musk dans la campagne de Donald Trump l’an dernier, les doutes ont surgi sur la longévité de leur relation. Donald Trump avait défendu son allié face aux critiques et a même organisé une opération de promotion pour la marque Tesla à la Maison Blanche. Elon Musk avait lui qualifié le président de “roi” le jour de son investiture. Mais les tensions ont grandi entre le multimilliardaire et l’entourage du président. “Il faudrait lancer une enquête formelle sur son statut migratoire, car je crois fortement que c’est un étranger illégal et qu’il devrait être expulsé immédiatement”, a déclaré jeudi soir au New York Times l’ex-conseiller de Donald Trump et idéologue d’extrême droite Steve Bannon. Elon Musk est né en Afrique du Sud et a été naturalisé américain. Pour certains experts, ce qui pourrait avoir scellé le sort d’Elon Musk ne s’est pas passé à Washington, mais dans le Wisconsin, où il s’est fortement engagé, financièrement et personnellement, en faveur d’un juge conservateur candidat à la Cour suprême locale, qui a été battu.Donald Trump, qui déteste être associé à la défaite, aurait suivi avec attention cette première aventure politique en solo d’Elon Musk.Lequel n’a visiblement pas été dégoûté. Celui qui ne peut devenir président puisqu’il a été naturalisé, a demandé jeudi sur X s’il n’était pas “temps de créer un nouveau parti politique” aux Etats-Unis.

Le divorce entre Trump et Musk étalé en place publique

Les Américains s’interrogent vendredi sur les conséquences de la rupture publique spectaculaire entre Donald Trump et Elon Musk, le président des Etats-Unis ayant notamment menacé de rompre les contrats publics conclus avec les entreprises de l’homme le plus riche du monde.Les sites américains Politico et Axios ont cru percevoir un signal d’apaisement dans la nuit de jeudi à vendredi, après un court entretien accordé par le président républicain au premier média.”Oh, ce n’est pas grave”, a déclaré Donald Trump à Politico qui l’a interrogé sur la dispute. Toujours selon le site, un appel est prévu vendredi entre les deux anciens amis pour tenter de faire la paix.Les échanges acrimonieux entre les deux anciens amis se sont emballés jeudi. Le président américain a assuré sur son réseau Truth Social qu’Elon Musk était “devenu fou” à cause d’une décision défavorable aux véhicules électriques.”Le plus simple pour économiser des milliards et des milliards de dollars dans notre budget serait d’annuler les subventions et contrats gouvernementaux” du patron de Tesla et SpaceX, a menacé le président, en difficultés sur un projet de vaste loi budgétaire. Sur son réseau X, Elon Musk a déclaré en réponse que SpaceX “commencera immédiatement à mettre hors service son vaisseau spatial Dragon”, utilisé notamment par la Nasa pour acheminer des astronautes vers la Station spatiale internationale (ISS).Il a semblé, quelques heures plus tard, faire marche arrière, écrivant: “Bon, nous n’allons pas mettre Dragon hors service.”Entre-temps, la capitalisation de Tesla a fondu de dizaines de milliards de dollars de capitalisation à Wall Street, l’action clôturant jeudi à -14,26%.Depuis qu’Elon Musk a lancé la semaine dernière un tir de barrage contre le projet de loi budgétaire au coeur du début de mandat de Donald Trump, ce n’était sans doute qu’une question de temps avant que le divorce ne soit consommé.C’est pendant une réunion dans le Bureau ovale avec le chancelier allemand Friedrich Merz, réduit au rôle de figurant muet, que le président a acté jeudi la rupture.Pendant un échange avec les journalistes, retransmis en direct, Donald Trump s’est dit “très déçu”. “Elon et moi avions une bonne relation. Je ne sais pas si c’est encore le cas”, a-t-il lancé à propos de son ancien “conseiller spécial”, qui a quitté vendredi dernier la mission de réduction des dépenses publiques qu’il menait à la Maison Blanche.- “N’importe quoi” -“N’importe quoi”, écrit Elon Musk en commentaire d’une vidéo de Donald Trump affirmant, déjà, que sa colère était due à la perte de subventions pour les véhicules électriques.”Faux”, poste-t-il ensuite au-dessus d’un extrait dans lequel le président américain assure que l’entrepreneur connaissait par avance le contenu du texte. Une “grande et belle loi” selon Donald Trump, une “abomination” pour les finances publiques selon Elon Musk, dont l’adoption n’est pas garantie au Congrès. Le multimilliardaire, qui a très généreusement financé la campagne du républicain en 2024, assure que “Trump aurait perdu l’élection” sans lui et l’accuse d'”ingratitude”.Il a aussi affirmé, sans apporter de preuve, que le nom du président se trouvait dans le dossier Jeffrey Epstein, ce financier américain au coeur d’un vaste scandale de crimes et d’exploitation sexuels qui s’est suicidé en prison avant d’être jugé; des accusations “regrettables” pour la Maison Blanche.Dans le Bureau ovale, Donald Trump a dépeint son ancien allié en amoureux éconduit: “Il disait les choses les plus belles à mon propos”.  – “Nouveau parti politique” -Dès l’entrée tonitruante d’Elon Musk dans la campagne de Donald Trump l’an dernier, les doutes ont surgi sur la longévité de leur relation. Donald Trump avait défendu son allié face aux critiques et a même organisé une opération de promotion pour la marque Tesla à la Maison Blanche. Elon Musk avait lui qualifié le président de “roi” le jour de son investiture. Mais les tensions ont grandi entre le multimilliardaire et l’entourage du président. “Il faudrait lancer une enquête formelle sur son statut migratoire, car je crois fortement que c’est un étranger illégal et qu’il devrait être expulsé immédiatement”, a déclaré jeudi soir au New York Times l’ex-conseiller de Donald Trump et idéologue d’extrême droite Steve Bannon. Elon Musk est né en Afrique du Sud et a été naturalisé américain. Pour certains experts, ce qui pourrait avoir scellé le sort d’Elon Musk ne s’est pas passé à Washington, mais dans le Wisconsin, où il s’est fortement engagé, financièrement et personnellement, en faveur d’un juge conservateur candidat à la Cour suprême locale, qui a été battu.Donald Trump, qui déteste être associé à la défaite, aurait suivi avec attention cette première aventure politique en solo d’Elon Musk.Lequel n’a visiblement pas été dégoûté. Celui qui ne peut devenir président puisqu’il a été naturalisé, a demandé jeudi sur X s’il n’était pas “temps de créer un nouveau parti politique” aux Etats-Unis.

Le divorce entre Trump et Musk étalé en place publique

Les Américains s’interrogent vendredi sur les conséquences de la rupture publique spectaculaire entre Donald Trump et Elon Musk, le président des Etats-Unis ayant notamment menacé de rompre les contrats publics conclus avec les entreprises de l’homme le plus riche du monde.Les sites américains Politico et Axios ont cru percevoir un signal d’apaisement dans la nuit de jeudi à vendredi, après un court entretien accordé par le président républicain au premier média.”Oh, ce n’est pas grave”, a déclaré Donald Trump à Politico qui l’a interrogé sur la dispute. Toujours selon le site, un appel est prévu vendredi entre les deux anciens amis pour tenter de faire la paix.Les échanges acrimonieux entre les deux anciens amis se sont emballés jeudi. Le président américain a assuré sur son réseau Truth Social qu’Elon Musk était “devenu fou” à cause d’une décision défavorable aux véhicules électriques.”Le plus simple pour économiser des milliards et des milliards de dollars dans notre budget serait d’annuler les subventions et contrats gouvernementaux” du patron de Tesla et SpaceX, a menacé le président, en difficultés sur un projet de vaste loi budgétaire. Sur son réseau X, Elon Musk a déclaré en réponse que SpaceX “commencera immédiatement à mettre hors service son vaisseau spatial Dragon”, utilisé notamment par la Nasa pour acheminer des astronautes vers la Station spatiale internationale (ISS).Il a semblé, quelques heures plus tard, faire marche arrière, écrivant: “Bon, nous n’allons pas mettre Dragon hors service.”Entre-temps, la capitalisation de Tesla a fondu de dizaines de milliards de dollars de capitalisation à Wall Street, l’action clôturant jeudi à -14,26%.Depuis qu’Elon Musk a lancé la semaine dernière un tir de barrage contre le projet de loi budgétaire au coeur du début de mandat de Donald Trump, ce n’était sans doute qu’une question de temps avant que le divorce ne soit consommé.C’est pendant une réunion dans le Bureau ovale avec le chancelier allemand Friedrich Merz, réduit au rôle de figurant muet, que le président a acté jeudi la rupture.Pendant un échange avec les journalistes, retransmis en direct, Donald Trump s’est dit “très déçu”. “Elon et moi avions une bonne relation. Je ne sais pas si c’est encore le cas”, a-t-il lancé à propos de son ancien “conseiller spécial”, qui a quitté vendredi dernier la mission de réduction des dépenses publiques qu’il menait à la Maison Blanche.- “N’importe quoi” -“N’importe quoi”, écrit Elon Musk en commentaire d’une vidéo de Donald Trump affirmant, déjà, que sa colère était due à la perte de subventions pour les véhicules électriques.”Faux”, poste-t-il ensuite au-dessus d’un extrait dans lequel le président américain assure que l’entrepreneur connaissait par avance le contenu du texte. Une “grande et belle loi” selon Donald Trump, une “abomination” pour les finances publiques selon Elon Musk, dont l’adoption n’est pas garantie au Congrès. Le multimilliardaire, qui a très généreusement financé la campagne du républicain en 2024, assure que “Trump aurait perdu l’élection” sans lui et l’accuse d'”ingratitude”.Il a aussi affirmé, sans apporter de preuve, que le nom du président se trouvait dans le dossier Jeffrey Epstein, ce financier américain au coeur d’un vaste scandale de crimes et d’exploitation sexuels qui s’est suicidé en prison avant d’être jugé; des accusations “regrettables” pour la Maison Blanche.Dans le Bureau ovale, Donald Trump a dépeint son ancien allié en amoureux éconduit: “Il disait les choses les plus belles à mon propos”.  – “Nouveau parti politique” -Dès l’entrée tonitruante d’Elon Musk dans la campagne de Donald Trump l’an dernier, les doutes ont surgi sur la longévité de leur relation. Donald Trump avait défendu son allié face aux critiques et a même organisé une opération de promotion pour la marque Tesla à la Maison Blanche. Elon Musk avait lui qualifié le président de “roi” le jour de son investiture. Mais les tensions ont grandi entre le multimilliardaire et l’entourage du président. “Il faudrait lancer une enquête formelle sur son statut migratoire, car je crois fortement que c’est un étranger illégal et qu’il devrait être expulsé immédiatement”, a déclaré jeudi soir au New York Times l’ex-conseiller de Donald Trump et idéologue d’extrême droite Steve Bannon. Elon Musk est né en Afrique du Sud et a été naturalisé américain. Pour certains experts, ce qui pourrait avoir scellé le sort d’Elon Musk ne s’est pas passé à Washington, mais dans le Wisconsin, où il s’est fortement engagé, financièrement et personnellement, en faveur d’un juge conservateur candidat à la Cour suprême locale, qui a été battu.Donald Trump, qui déteste être associé à la défaite, aurait suivi avec attention cette première aventure politique en solo d’Elon Musk.Lequel n’a visiblement pas été dégoûté. Celui qui ne peut devenir président puisqu’il a été naturalisé, a demandé jeudi sur X s’il n’était pas “temps de créer un nouveau parti politique” aux Etats-Unis.

Stocks steady, dollar up before US jobs data

Major stock markets largely steadied and the dollar rose Friday awaiting key US jobs data in the face of uncertainty over the impact of President Donald Trump’s tariffs on the economy.Ahead of the employment figures due before Wall Street’s reopening, optimism from “very positive” talks Thursday between Trump and Chinese counterpart Xi Jinping was wiped out by the stunning public row between the US leader and Elon Musk.The much-anticipated discussions between the heads of the world’s biggest economies fuelled hopes for an easing of tensions following Trump’s “Liberation Day” global tariff blitz that targeted Beijing particularly hard.However, investors remained wary after an extraordinary social media row between Trump and billionaire former aide Musk that saw the two trade insults and threats and sent Wall Street into the red Thursday.Musk’s electric vehicle company Tesla tanked more than 14 percent and the president threatened his multibillion-dollar government contracts.Asian and European stock markets mostly steadied awaiting the US jobs figures, as oil prices flatlined.”Attention now turns to the non-farm payrolls report, which is often described as the most important individual economic release of any given month,” noted Richard Hunter, head of markets at Interactive Investor.A below-par reading on private hiring this week raised worries about the labour market and the outlook for the US economy.It came amid bets that the Federal Reserve is preparing to resume cutting interest rates from September, even as economists warn that Trump’s tariffs could reignite inflation.”There remains a huge amount of uncertainty caused by the US trade tariffs,” noted Kathleen Brooks, research director at trading group XTB.”If the US economy can generate decent jobs growth in this environment it would suggest an underlying resilience, which could boost stock markets, the dollar and overall risk sentiment,” she added. A day after cutting eurozone interest rates, the European Central Bank warned that Germany could face two more years of recession should a trade war with the United States escalate sharply.For now, however, the eurozone economy is showing signs of resilience, with official data Friday showing it expanded at a significantly faster pace than previously estimated in the first three months of the year.The EU’s data agency said the 20-country single currency area recorded growth of 0.6 percent over the January-March period from the previous quarter, up from the 0.3-percent figure published last month.Elsewhere, focus remained on the implosion of the Trump-Musk relationship.Trump said in a televised Oval Office diatribe Thursday that he was “very disappointed” with criticisms from his top donor of a “big, beautiful” spending bill before Congress, before threatening to tear up the tycoon’s multi-billion-dollar government contracts.Hitting back, South African-born Musk slammed Trump on his X social media platform for “ingratitude”, insisting that the Republican would not have won the 2024 election without him.Shares in Musk’s Tesla electric-vehicle manufacturer plummeted about 15 percent as the astonishing row escalated — wiping more than $100 billion from the company’s value.- Key figures at around 1030 GMT -London – FTSE 100: FLAT at 8,812.56 pointsParis – CAC 40: DOWN 0.1 percent at 7,783.81 Frankfurt – DAX: DOWN 0.2 percent at 24,277.35Tokyo – Nikkei 225: UP 0.5 percent at 37,741.61 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.5 percent at 23,792.54 (close)Shanghai – Composite: FLAT at 3,385.36 (close)New York – Dow: DOWN 0.3 percent at 42,319.74 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1421 from $1.1444 on ThursdayPound/dollar: DOWN at $1.3544 from $1.3571Dollar/yen: UP at 144.08 yen from 143.58 yenEuro/pound: UP at 84.32 pence from 84.31 penceBrent North Sea Crude: UP 0.1 percent at $65.38 per barrelWest Texas Intermediate: FLAT at $63.36 per barrelburs-bcp/rl

Mort de deux enfants français à Gaza fin 2023: Israël visé à Paris par une plainte pour génocide

Une plainte contre X pour meurtre et génocide a été déposée vendredi en France par une grand-mère accusant les autorités israéliennes d’être responsables de la mort de ses deux petits-enfants français à Gaza en octobre 2023.Cette plainte avec constitution de partie civile, annoncée vendredi à l’AFP par l’avocat Arié Alimi et déposée le matin-même au pôle crimes contre l’humanité du tribunal judiciaire de Paris, vise à obtenir la désignation d’un juge d’instruction. La Ligue des droits de l’Homme compte se constituer partie civile.Cette plainte pourrait avoir “des conséquences judiciaires, politiques et peut-être diplomatiques importantes”, en déclenchant des “mandats d’arrêts internationaux avec un effet dissuasif important sur les auteurs et complices de ces faits”, a dit espérer Me Alimi, lors d’une conférence de presse vendredi matin.”Ce n’est pas cette plainte qui va arrêter les chars”, a-t-il toutefois concédé, mais en déclenchant “la compétence directe de la juridiction française car il s’agit de victimes françaises”, elle pourrait amener la justice française à se prononcer sur ces accusations de “génocide”, catégoriquement rejetées par Israël comme “scandaleuses”.La plainte de 48 pages dénonce la mort de Janna et Abderrahim Abudaher, alors âgés de 6 et 9 ans, dans un bombardement israélien le 24 octobre 2023, 17 jours après l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sol israélien.Elle est déposée par Jacqueline Rivault, la grand-mère maternelle des enfants.Selon la plainte, les “bombardements réguliers” de l’armée israélienne ont amené la famille à se réfugier dans une maison “au nord de la bande de Gaza”, touchée par deux missiles, dont l’un est entré “directement dans la chambre où se trouvait la famille”.Abderrahim est mort “sur le coup”, et Janna peu après. “On ne leur a pas laissé le choix, si ce n’est d’être tués dans des circonstances atroces” a dit leur grand-mère Jacqueline Rivault. Leur petit frère, Omar, qui vient d’avoir cinq ans, également blessé, “ne comprend pas qu’il ne reverra plus jamais son frère et sa soeur”, selon la plaignante.Il vit toujours à Gaza, comme sa mère, Yasmine Z., également blessée et condamnée en 2019 en son absence à Paris pour financement du terrorisme pour avoir distribué de l’argent à Gaza à des membres du Jihad islamique et du Hamas entre 2012 et 2013. Elle est visée par un mandat d’arrêt.Déjà sollicité par l’AFP sur le cas de ces deux enfants, le parquet antiterroriste avait répondu pour la dernière fois fin 2024 n’avoir pas ouvert d’enquête.”Je ne suis pas sûr que ça aurait été le cas s’ils étaient morts ailleurs”, a lancé Me Alimi, tandis que son confrère Emmanuel Daoud, conseil de la LDH, a évoqué une décision “indigne” prise “pour ne pas embarrasser un allié indéfectible, l’Etat d’Israël”.- “Scandaleux” -“Nous estimons que ces enfants sont morts dans le cadre d’une politique délibérée, organisée, visant l’intégralité de la population de Gaza avec peut-être une intention génocidaire”, selon Me Alimi.La plainte contre X vise “les militaires qui ont tiré sur la maison en question” mais aussi, au titre de la “complicité”, le Premier ministre Benjamin Netanyahu, le gouvernement israélien ainsi que Tsahal (armée israélienne), soit “toutes celles et tous ceux qui ont donné des instructions”, a ajouté Me Daoud.Contactée vendredi par l’AFP, l’ambassade d’Israël n’a pas réagi à l’annonce de cette plainte dans l’immédiat.L’attaque déclenchée le 7 octobre 2023 par le Hamas a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils.En retour, Israël a lancé une campagne militaire de représailles qui a tué plus de 54.600 Palestiniens, majoritairement des civils, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.Israël fait face à une pression internationale croissante. M. Netanyahu et l’ex-ministre de la Défense Yoav Gallant sont visés par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité et crimes de guerre.En janvier 2024, la Cour internationale de justice a appelé Israël à prévenir tout acte de génocide. Le chef des opérations humanitaires de l’ONU a aussi a exhorté mi-mai les dirigeants mondiaux à “agir pour empêcher un génocide”.Un certain nombre d’actions judiciaires ont été entreprises en lien avec ce “génocide” imputé à Israël, par exemple en Suisse, aux Pays-Bas ou encore en Allemagne.Trois plaintes ont été déposées en France ces derniers mois contre des membres d’associations franco-israéliens ou un soldat de Tsahal, accusés de génocide ou de complicité.

Mort de deux enfants français à Gaza fin 2023: Israël visé à Paris par une plainte pour génocide

Une plainte contre X pour meurtre et génocide a été déposée vendredi en France par une grand-mère accusant les autorités israéliennes d’être responsables de la mort de ses deux petits-enfants français à Gaza en octobre 2023.Cette plainte avec constitution de partie civile, annoncée vendredi à l’AFP par l’avocat Arié Alimi et déposée le matin-même au pôle crimes contre l’humanité du tribunal judiciaire de Paris, vise à obtenir la désignation d’un juge d’instruction. La Ligue des droits de l’Homme compte se constituer partie civile.Cette plainte pourrait avoir “des conséquences judiciaires, politiques et peut-être diplomatiques importantes”, en déclenchant des “mandats d’arrêts internationaux avec un effet dissuasif important sur les auteurs et complices de ces faits”, a dit espérer Me Alimi, lors d’une conférence de presse vendredi matin.”Ce n’est pas cette plainte qui va arrêter les chars”, a-t-il toutefois concédé, mais en déclenchant “la compétence directe de la juridiction française car il s’agit de victimes françaises”, elle pourrait amener la justice française à se prononcer sur ces accusations de “génocide”, catégoriquement rejetées par Israël comme “scandaleuses”.La plainte de 48 pages dénonce la mort de Janna et Abderrahim Abudaher, alors âgés de 6 et 9 ans, dans un bombardement israélien le 24 octobre 2023, 17 jours après l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sol israélien.Elle est déposée par Jacqueline Rivault, la grand-mère maternelle des enfants.Selon la plainte, les “bombardements réguliers” de l’armée israélienne ont amené la famille à se réfugier dans une maison “au nord de la bande de Gaza”, touchée par deux missiles, dont l’un est entré “directement dans la chambre où se trouvait la famille”.Abderrahim est mort “sur le coup”, et Janna peu après. “On ne leur a pas laissé le choix, si ce n’est d’être tués dans des circonstances atroces” a dit leur grand-mère Jacqueline Rivault. Leur petit frère, Omar, qui vient d’avoir cinq ans, également blessé, “ne comprend pas qu’il ne reverra plus jamais son frère et sa soeur”, selon la plaignante.Il vit toujours à Gaza, comme sa mère, Yasmine Z., également blessée et condamnée en 2019 en son absence à Paris pour financement du terrorisme pour avoir distribué de l’argent à Gaza à des membres du Jihad islamique et du Hamas entre 2012 et 2013. Elle est visée par un mandat d’arrêt.Déjà sollicité par l’AFP sur le cas de ces deux enfants, le parquet antiterroriste avait répondu pour la dernière fois fin 2024 n’avoir pas ouvert d’enquête.”Je ne suis pas sûr que ça aurait été le cas s’ils étaient morts ailleurs”, a lancé Me Alimi, tandis que son confrère Emmanuel Daoud, conseil de la LDH, a évoqué une décision “indigne” prise “pour ne pas embarrasser un allié indéfectible, l’Etat d’Israël”.- “Scandaleux” -“Nous estimons que ces enfants sont morts dans le cadre d’une politique délibérée, organisée, visant l’intégralité de la population de Gaza avec peut-être une intention génocidaire”, selon Me Alimi.La plainte contre X vise “les militaires qui ont tiré sur la maison en question” mais aussi, au titre de la “complicité”, le Premier ministre Benjamin Netanyahu, le gouvernement israélien ainsi que Tsahal (armée israélienne), soit “toutes celles et tous ceux qui ont donné des instructions”, a ajouté Me Daoud.Contactée vendredi par l’AFP, l’ambassade d’Israël n’a pas réagi à l’annonce de cette plainte dans l’immédiat.L’attaque déclenchée le 7 octobre 2023 par le Hamas a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils.En retour, Israël a lancé une campagne militaire de représailles qui a tué plus de 54.600 Palestiniens, majoritairement des civils, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.Israël fait face à une pression internationale croissante. M. Netanyahu et l’ex-ministre de la Défense Yoav Gallant sont visés par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité et crimes de guerre.En janvier 2024, la Cour internationale de justice a appelé Israël à prévenir tout acte de génocide. Le chef des opérations humanitaires de l’ONU a aussi a exhorté mi-mai les dirigeants mondiaux à “agir pour empêcher un génocide”.Un certain nombre d’actions judiciaires ont été entreprises en lien avec ce “génocide” imputé à Israël, par exemple en Suisse, aux Pays-Bas ou encore en Allemagne.Trois plaintes ont été déposées en France ces derniers mois contre des membres d’associations franco-israéliens ou un soldat de Tsahal, accusés de génocide ou de complicité.

Mort de deux enfants français à Gaza fin 2023: Israël visé à Paris par une plainte pour génocide

Une plainte contre X pour meurtre et génocide a été déposée vendredi en France par une grand-mère accusant les autorités israéliennes d’être responsables de la mort de ses deux petits-enfants français à Gaza en octobre 2023.Cette plainte avec constitution de partie civile, annoncée vendredi à l’AFP par l’avocat Arié Alimi et déposée le matin-même au pôle crimes contre l’humanité du tribunal judiciaire de Paris, vise à obtenir la désignation d’un juge d’instruction. La Ligue des droits de l’Homme compte se constituer partie civile.Cette plainte pourrait avoir “des conséquences judiciaires, politiques et peut-être diplomatiques importantes”, en déclenchant des “mandats d’arrêts internationaux avec un effet dissuasif important sur les auteurs et complices de ces faits”, a dit espérer Me Alimi, lors d’une conférence de presse vendredi matin.”Ce n’est pas cette plainte qui va arrêter les chars”, a-t-il toutefois concédé, mais en déclenchant “la compétence directe de la juridiction française car il s’agit de victimes françaises”, elle pourrait amener la justice française à se prononcer sur ces accusations de “génocide”, catégoriquement rejetées par Israël comme “scandaleuses”.La plainte de 48 pages dénonce la mort de Janna et Abderrahim Abudaher, alors âgés de 6 et 9 ans, dans un bombardement israélien le 24 octobre 2023, 17 jours après l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sol israélien.Elle est déposée par Jacqueline Rivault, la grand-mère maternelle des enfants.Selon la plainte, les “bombardements réguliers” de l’armée israélienne ont amené la famille à se réfugier dans une maison “au nord de la bande de Gaza”, touchée par deux missiles, dont l’un est entré “directement dans la chambre où se trouvait la famille”.Abderrahim est mort “sur le coup”, et Janna peu après. “On ne leur a pas laissé le choix, si ce n’est d’être tués dans des circonstances atroces” a dit leur grand-mère Jacqueline Rivault. Leur petit frère, Omar, qui vient d’avoir cinq ans, également blessé, “ne comprend pas qu’il ne reverra plus jamais son frère et sa soeur”, selon la plaignante.Il vit toujours à Gaza, comme sa mère, Yasmine Z., également blessée et condamnée en 2019 en son absence à Paris pour financement du terrorisme pour avoir distribué de l’argent à Gaza à des membres du Jihad islamique et du Hamas entre 2012 et 2013. Elle est visée par un mandat d’arrêt.Déjà sollicité par l’AFP sur le cas de ces deux enfants, le parquet antiterroriste avait répondu pour la dernière fois fin 2024 n’avoir pas ouvert d’enquête.”Je ne suis pas sûr que ça aurait été le cas s’ils étaient morts ailleurs”, a lancé Me Alimi, tandis que son confrère Emmanuel Daoud, conseil de la LDH, a évoqué une décision “indigne” prise “pour ne pas embarrasser un allié indéfectible, l’Etat d’Israël”.- “Scandaleux” -“Nous estimons que ces enfants sont morts dans le cadre d’une politique délibérée, organisée, visant l’intégralité de la population de Gaza avec peut-être une intention génocidaire”, selon Me Alimi.La plainte contre X vise “les militaires qui ont tiré sur la maison en question” mais aussi, au titre de la “complicité”, le Premier ministre Benjamin Netanyahu, le gouvernement israélien ainsi que Tsahal (armée israélienne), soit “toutes celles et tous ceux qui ont donné des instructions”, a ajouté Me Daoud.Contactée vendredi par l’AFP, l’ambassade d’Israël n’a pas réagi à l’annonce de cette plainte dans l’immédiat.L’attaque déclenchée le 7 octobre 2023 par le Hamas a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils.En retour, Israël a lancé une campagne militaire de représailles qui a tué plus de 54.600 Palestiniens, majoritairement des civils, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas pour Gaza, jugées fiables par l’ONU.Israël fait face à une pression internationale croissante. M. Netanyahu et l’ex-ministre de la Défense Yoav Gallant sont visés par un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité et crimes de guerre.En janvier 2024, la Cour internationale de justice a appelé Israël à prévenir tout acte de génocide. Le chef des opérations humanitaires de l’ONU a aussi a exhorté mi-mai les dirigeants mondiaux à “agir pour empêcher un génocide”.Un certain nombre d’actions judiciaires ont été entreprises en lien avec ce “génocide” imputé à Israël, par exemple en Suisse, aux Pays-Bas ou encore en Allemagne.Trois plaintes ont été déposées en France ces derniers mois contre des membres d’associations franco-israéliens ou un soldat de Tsahal, accusés de génocide ou de complicité.

Ukraine: Moscou juge le conflit “existentiel” après avoir mené de nouvelles frappes mortelles

La Russie a qualifié vendredi sa guerre contre l’Ukraine de conflit “existentiel” après y avoir mené pendant la nuit de nouveaux bombardements massifs ayant fait au moins 3 morts, “une riposte” selon Moscou à de récentes attaques ukrainiennes d’ampleur.”Pour nous, c’est une question existentielle, une question de nos intérêts nationaux, de la sécurité, de notre avenir et de celui de nos enfants”, a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien.Alors que les pourparlers de paix relancés ces derniers mois par le président américain Donald Trump semblent désormais dans l’impasse, les frappes et les combats meurtriers se poursuivent inexorablement.Pendant la nuit, des alertes aériennes ont été déclenchées sur tout le territoire ukrainien et plusieurs régions ont signalé des frappes, notamment dans l’ouest, loin du front.”On a entendu un drone s’approcher très près et puis une explosion”, a raconté à l’AFP Ksennia, une habitante de Kiev, devant un immeuble résidentiel défiguré par un trou béant après l’attaque.”Nos fenêtres et nos vitres ont été soufflées, mais on s’en est sortis seulement avec un petit choc”, poursuit-elle, s’exprimant depuis une cour couverte de débris et de bouts de verre.A Kiev, selon un bilan actualisé des services d’urgence ukrainien, trois secouristes ont été tués lors des frappes, et 23 personnes blessées, dont 14 secouristes.En tout, au moins 49 personnes ont été blessées à travers le pays, avait affirmé plus tôt le président ukrainien Volodymyr Zelensky.- “Arrêter cette guerre” -“La Russie doit être tenue responsable. Dès les premières minutes de cette guerre, ils ont bombardé des villes et villages pour détruire des vies”, a fustigé Volodymyr Zelensky.”Maintenant, c’est le moment où l’Amérique, l’Europe et le monde peuvent arrêter ensemble cette guerre en faisant pression sur la Russie”, a-t-il ajouté, dans un message sur les réseaux sociaux.Depuis le début de l’invasion à grande échelle contre l’Ukraine, lancée en février 2022, des bombardements russes tuent des civils quasiment chaque jour.Hors de la capitale, plusieurs régions ont fait état vendredi d’importantes frappes russes.Selon M. Zelensky, elles ont touché neuf régions à travers tout le pays (Volyn, Lviv, Ternopil, Kiev, Soumy, Poltava, Tcherkassy, Tcherniguiv, Khmelnytsky).Selon l’armée de l’air ukrainienne, le pays a été attaqué par 407 drones d’attaque et drones leurres visant à saturer les défenses antiaériennes, ainsi que par 45 missiles russes.Les défenses ukrainiennes ont neutralisé 199 de ces drones, et 36 missiles, poursuit cette source, précisant que 13 endroits en Ukraine avaient été atteints par les bombardements, et 19 autres touchés par des chutes de débris de cibles abattues.Dans un communiqué, le ministère russe de la Défense a dit avoir ciblé des sites militaires ukrainiens, “en riposte” aux récentes attaques “terroristes” de Kiev en territoire russe.- Attaques contre des aérodromes russes -Ces derniers jours, la Russie avait fait savoir qu’elle comptait riposter à l’attaque audacieuse lancée le week-end dernier par l’Ukraine contre des bombardiers russes, jusqu’à des milliers de kilomètres de ses frontières.Moins d’une semaine après cette attaque, l’armée ukrainienne a affirmé vendredi avoir bombardé pendant la nuit “avec succès” deux autres bases aériennes en Russie, dans les régions de Saratov et Riazan, assurant avoir touché des dépôts de carburant.Moscou a également accusé mardi Kiev d’être à l’origine des explosions ayant provoqué le week-end dernier l’effondrement de deux ponts et des accidents de trains qui ont fait sept morts et plus de cent blessés, dont des enfants, dans les régions russes de Koursk et de Briansk, frontalières de l’Ukraine.En riposte aux frappes russes qui endeuillent l’Ukraine depuis 2022, Kiev mène également, quasiment chaque jour, des attaques aériennes en Russie.Pendant la nuit, l’armée russe a dit avoir neutralisé 174 drones ukrainiens lancés contre son territoire. Trois aéroports desservant Moscou ont été fermés provisoirement, selon l’agence chargée du transport aérien, qui a ensuite levé les restrictions.Les appels de l’Ukraine et des Occidentaux au cessez-le-feu immédiat et la pression exercée par le président américain Donald Trump pour engager des pourparlers et mettre fin au conflit n’ont pour l’heure pas apporté de résultats, alors que Moscou contrôle toujours environ 20% de ce pays voisin.Les deux cycles de négociations menées à Istanbul entre Kiev et Moscou sur une trêve, encouragée par Washington, n’ont pas permis de rapprocher les positions.Au cours de la deuxième réunion, lundi sous médiation turque, la délégation russe a remis à Kiev des demandes comprenant notamment le retrait de ses forces de quatre régions dont Moscou revendique l’annexion, la renonciation de l’Ukraine à intégrer l’Otan et la limitation de la taille de son armée.Des conditions qualifiées mercredi par Volodymyr Zelensky d'”ultimatums” inacceptables.

Ukraine: Moscou juge le conflit “existentiel” après avoir mené de nouvelles frappes mortelles

La Russie a qualifié vendredi sa guerre contre l’Ukraine de conflit “existentiel” après y avoir mené pendant la nuit de nouveaux bombardements massifs ayant fait au moins 3 morts, “une riposte” selon Moscou à de récentes attaques ukrainiennes d’ampleur.”Pour nous, c’est une question existentielle, une question de nos intérêts nationaux, de la sécurité, de notre avenir et de celui de nos enfants”, a déclaré à la presse le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, lors de son briefing quotidien.Alors que les pourparlers de paix relancés ces derniers mois par le président américain Donald Trump semblent désormais dans l’impasse, les frappes et les combats meurtriers se poursuivent inexorablement.Pendant la nuit, des alertes aériennes ont été déclenchées sur tout le territoire ukrainien et plusieurs régions ont signalé des frappes, notamment dans l’ouest, loin du front.”On a entendu un drone s’approcher très près et puis une explosion”, a raconté à l’AFP Ksennia, une habitante de Kiev, devant un immeuble résidentiel défiguré par un trou béant après l’attaque.”Nos fenêtres et nos vitres ont été soufflées, mais on s’en est sortis seulement avec un petit choc”, poursuit-elle, s’exprimant depuis une cour couverte de débris et de bouts de verre.A Kiev, selon un bilan actualisé des services d’urgence ukrainien, trois secouristes ont été tués lors des frappes, et 23 personnes blessées, dont 14 secouristes.En tout, au moins 49 personnes ont été blessées à travers le pays, avait affirmé plus tôt le président ukrainien Volodymyr Zelensky.- “Arrêter cette guerre” -“La Russie doit être tenue responsable. Dès les premières minutes de cette guerre, ils ont bombardé des villes et villages pour détruire des vies”, a fustigé Volodymyr Zelensky.”Maintenant, c’est le moment où l’Amérique, l’Europe et le monde peuvent arrêter ensemble cette guerre en faisant pression sur la Russie”, a-t-il ajouté, dans un message sur les réseaux sociaux.Depuis le début de l’invasion à grande échelle contre l’Ukraine, lancée en février 2022, des bombardements russes tuent des civils quasiment chaque jour.Hors de la capitale, plusieurs régions ont fait état vendredi d’importantes frappes russes.Selon M. Zelensky, elles ont touché neuf régions à travers tout le pays (Volyn, Lviv, Ternopil, Kiev, Soumy, Poltava, Tcherkassy, Tcherniguiv, Khmelnytsky).Selon l’armée de l’air ukrainienne, le pays a été attaqué par 407 drones d’attaque et drones leurres visant à saturer les défenses antiaériennes, ainsi que par 45 missiles russes.Les défenses ukrainiennes ont neutralisé 199 de ces drones, et 36 missiles, poursuit cette source, précisant que 13 endroits en Ukraine avaient été atteints par les bombardements, et 19 autres touchés par des chutes de débris de cibles abattues.Dans un communiqué, le ministère russe de la Défense a dit avoir ciblé des sites militaires ukrainiens, “en riposte” aux récentes attaques “terroristes” de Kiev en territoire russe.- Attaques contre des aérodromes russes -Ces derniers jours, la Russie avait fait savoir qu’elle comptait riposter à l’attaque audacieuse lancée le week-end dernier par l’Ukraine contre des bombardiers russes, jusqu’à des milliers de kilomètres de ses frontières.Moins d’une semaine après cette attaque, l’armée ukrainienne a affirmé vendredi avoir bombardé pendant la nuit “avec succès” deux autres bases aériennes en Russie, dans les régions de Saratov et Riazan, assurant avoir touché des dépôts de carburant.Moscou a également accusé mardi Kiev d’être à l’origine des explosions ayant provoqué le week-end dernier l’effondrement de deux ponts et des accidents de trains qui ont fait sept morts et plus de cent blessés, dont des enfants, dans les régions russes de Koursk et de Briansk, frontalières de l’Ukraine.En riposte aux frappes russes qui endeuillent l’Ukraine depuis 2022, Kiev mène également, quasiment chaque jour, des attaques aériennes en Russie.Pendant la nuit, l’armée russe a dit avoir neutralisé 174 drones ukrainiens lancés contre son territoire. Trois aéroports desservant Moscou ont été fermés provisoirement, selon l’agence chargée du transport aérien, qui a ensuite levé les restrictions.Les appels de l’Ukraine et des Occidentaux au cessez-le-feu immédiat et la pression exercée par le président américain Donald Trump pour engager des pourparlers et mettre fin au conflit n’ont pour l’heure pas apporté de résultats, alors que Moscou contrôle toujours environ 20% de ce pays voisin.Les deux cycles de négociations menées à Istanbul entre Kiev et Moscou sur une trêve, encouragée par Washington, n’ont pas permis de rapprocher les positions.Au cours de la deuxième réunion, lundi sous médiation turque, la délégation russe a remis à Kiev des demandes comprenant notamment le retrait de ses forces de quatre régions dont Moscou revendique l’annexion, la renonciation de l’Ukraine à intégrer l’Otan et la limitation de la taille de son armée.Des conditions qualifiées mercredi par Volodymyr Zelensky d'”ultimatums” inacceptables.