RMC Life, l’ex-Chérie 25, recrute Salhia Brakhlia et relance “Ça se discute”
La nouvelle chaîne RMC Life, qui succèdera début octobre à Chérie 25 après le rachat de celle-ci par CMA CGM, a annoncé mercredi l’arrivée de la journaliste Salhia Brakhlia et la relance de l’émission “Ça se discute” de Jean-Luc Delarue, qu’animera Estelle Denis.Autres gros recrutements, celui de l’animatrice et styliste Cristina Cordula, ex de M6, et de la podcasteuse à succès Clémentine Galey, spécialiste des questions de maternité.Ces nouveautés ont été dévoilées quelques heures après le feu vert du régulateur de l’audiovisuel, l’Arcom, au rachat de Chérie 25 par CMA CGM et à son changement de nom.La filiale médias de CMA CGM, CMA Media, détient déjà BFMTV, la radio RMC, les chaînes télé RMC Découverte et RMC Story, les journaux La Tribune/La Tribune Dimanche, La Provence et Corse Matin et le média vidéo en ligne Brut.RMC Life débutera ses programmes le mercredi 1er octobre à 06H00, sur le canal 25 de la télévision numérique terrestre (TNT).”C’est une excitation incroyable de lancer une nouvelle chaîne, c’est un saut dans le vide, mais avec la force de CMA CGM, on ne va pas jouer petits bras”, a déclaré Stéphane Sallé de Chou, directeur général du divertissement du groupe RMC BFM, lors d’une conférence de presse.Transfuge de la matinale de la radio publique franceinfo, Salhia Brakhlia prend les rênes d’une nouvelle collection de documentaires.Elle souhaite “raconter des parcours qui marquent l’époque à travers des femmes qui se sont battues pour leurs idées, d’Aya Nakamura en passant par Gisèle Pelicot ou Amélie Mauresmo”, a-t-elle expliqué.Seize ans après l’arrêt de “Ça se discute” sur France 2 en 2009, RMC Life va relancer cet emblématique talk show sociétal, créé en 1994 par Jean-Luc Delarue (décédé en 2012). A l’antenne mi-octobre, cette nouvelle version sera présentée par Estelle Denis, figure du groupe RMC BFM. “C’est pas facile de passer après lui, a-t-elle assuré. Il y a beaucoup de pression. On est allé chercher les équipes de Jean-Luc, même un caméraman devenu plombier entre temps !”Cristina Cordula, elle, arrive pour le retour de son émission “Cousu main”, qui veut mettre l’accent sur le recyclage de vêtements pour cette nouvelle saison.Clémentine Galey, entrepreneuse et créatrice de podcasts à succès sur la maternité, dont Bliss Stories, fait ses débuts à la télé. “On va suivre des familles avec comme fil rouge les moments de l’échographie, avant pendant et après la naissance. Je serai là pour accueillir leurs doutes, leurs émotions”, dit celle à qui se sont confiées sans filtre des centaines de mères depuis sept ans.Enfin, Karine Ferri, recrutée cet été par les chaînes RMC après son départ de TF1, dit vouloir produire sur RMC Life “des contenus qui (lui) ressemblent”, pour “sensibiliser les enfants à la cause animale”.
Flou sur ses intentions, Lecornu laisse les oppositions sur leur faim
A la veille d’une journée de manifestations, Sébastien Lecornu est resté évasif mercredi sur ses intentions en recevant les oppositions, qui sont restées sur leur faim et agitent toujours la menace d’une censure, à commencer par les socialistes, indispensables pour la survie du futur gouvernement.Les représentants de la gauche et du Rassemblement national ont été reçus tour à tour, longuement, par le nouveau Premier ministre macroniste. La France insoumise est le seul parti à avoir refusé l’invitation.”Nous sommes restés sur notre faim et nous verrons bien ce qu’il a à nous dire dans les prochains jours”, a déclaré le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, à sa sortie de Matignon, jugeant M. Lecornu “très flou sur ses intentions”.”On n’a pas eu de réponses très claires”, a renchéri la patronne des Ecologistes Marine Tondelier, tout en reconnaissant “une grosse rupture” sur “la forme et sur la qualité des rendez-vous” avec son prédécesseur François Bayrou, renversé début septembre par l’Assemblée nationale après avoir présenté un plan de réduction du déficit budgétaire décrié par tous les opposants. Donc “soit Sébastien Lecornu renverse la table, soit il sera renversé”, a complété la cheffe de file des députés verts Cyrielle Chatelain.- Quelles “ruptures”? -Au Premier ministre de “prouver qu’il est véritablement dans une rupture” avec “la politique macroniste”, a déclaré ensuite Marine Le Pen, cheffe des députés du RN, pour qui “ce soir, on n’est nulle part”. “S’il poursuit la politique qui est menée jusqu’à présent, alors il tombera”, a mis en garde à ses côtés le président du parti d’extrême droite Jordan Bardella.Chacun à sa manière, les partis d’opposition disent vouloir prendre au mot le chef de gouvernement qui a promis à son arrivée des “ruptures” sur le fond et sur la forme, mais n’en a pas encore défini le contenu. Tous le menacent ouvertement de censure s’il ne répond pas à leurs demandes.Sébastien Lecornu, qui a déjà rencontré syndicats et patronat, ne s’est pas montré plus précis dans la lettre adressée mercredi aux maires de France: il s’est borné à promettre d'”inscrire” dans le budget 2026 “une plus juste reconnaissance” de leur “engagement comme agents de l’État”.Ce très proche du président Emmanuel Macron doit à présent réunir jeudi, pour la deuxième fois, les chefs des partis du “socle commun”, cette fragile coalition gouvernementale entre le centre et la droite née il y a un an et qu’il ambitionne de mieux coordonner.Il n’est pas clair dans l’immédiat s’il envisage un nouveau round de consultations avec les opposants pour tenter de conclure un pacte de non-censure avec, au moins, le PS. Il doit ensuite former son gouvernement, avant de prononcer sa déclaration de politique générale devant le Parlement — a priori “début octobre”, selon Marine Tondelier.- Pression de la rue -“Nous ne cherchons pas la censure, nous ne cherchons pas la dissolution, nous ne cherchons pas la destitution” d’Emmanuel Macron, “nous cherchons à ce que les Français soient entendus”, a plaidé Olivier Faure. Mais s’il s’agissait de reprendre le plan Bayrou, “nous censurerions dès la (déclaration) de politique générale”, a-t-il prévenu.Ces rencontres se font sous la pression de la rue, syndicats et partis de gauche promettant un jeudi “noir” de grèves et manifestations. A l’unisson des autres chefs de la gauche, le communiste Fabien Roussel a exhorté les Français à “sortir massivement” pour que leurs revendications viennent jusqu’aux “oreilles” de Sébastien Lecornu.Le Premier ministre a déjà fait des gestes: retrait de la proposition impopulaire de supprimer deux jours fériés et suppression, très symbolique, des derniers avantages “à vie” octroyés aux ex-Premiers ministres.Les socialistes comme les écologistes ont mis en avant un sondage Ifop montrant que les Français, quelle que soit leur sensibilité, plébiscitent les mesures poussées par le PS (commanditaire de l’étude).Parmi elles, la création d’une taxe de 2% sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, la taxe Zucman qui enflamme le débat budgétaire.”Si on veut la stabilité, eh bien il faut que les multimilliardaires payent leur juste part à l’effort commun”, a martelé Raphaël Glucksmann, pour Place publique, tout en relevant qu’il ne semblait pas y avoir, chez Sébastien Lecornu, “un refus absolu de discuter de l’objectif” porté par la taxe Zucman.Marine Le Pen a pour sa part aussi mis en avant la nécessité d’agir contre l’immigration.
Flou sur ses intentions, Lecornu laisse les oppositions sur leur faim
A la veille d’une journée de manifestations, Sébastien Lecornu est resté évasif mercredi sur ses intentions en recevant les oppositions, qui sont restées sur leur faim et agitent toujours la menace d’une censure, à commencer par les socialistes, indispensables pour la survie du futur gouvernement.Les représentants de la gauche et du Rassemblement national ont été reçus tour à tour, longuement, par le nouveau Premier ministre macroniste. La France insoumise est le seul parti à avoir refusé l’invitation.”Nous sommes restés sur notre faim et nous verrons bien ce qu’il a à nous dire dans les prochains jours”, a déclaré le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, à sa sortie de Matignon, jugeant M. Lecornu “très flou sur ses intentions”.”On n’a pas eu de réponses très claires”, a renchéri la patronne des Ecologistes Marine Tondelier, tout en reconnaissant “une grosse rupture” sur “la forme et sur la qualité des rendez-vous” avec son prédécesseur François Bayrou, renversé début septembre par l’Assemblée nationale après avoir présenté un plan de réduction du déficit budgétaire décrié par tous les opposants. Donc “soit Sébastien Lecornu renverse la table, soit il sera renversé”, a complété la cheffe de file des députés verts Cyrielle Chatelain.- Quelles “ruptures”? -Au Premier ministre de “prouver qu’il est véritablement dans une rupture” avec “la politique macroniste”, a déclaré ensuite Marine Le Pen, cheffe des députés du RN, pour qui “ce soir, on n’est nulle part”. “S’il poursuit la politique qui est menée jusqu’à présent, alors il tombera”, a mis en garde à ses côtés le président du parti d’extrême droite Jordan Bardella.Chacun à sa manière, les partis d’opposition disent vouloir prendre au mot le chef de gouvernement qui a promis à son arrivée des “ruptures” sur le fond et sur la forme, mais n’en a pas encore défini le contenu. Tous le menacent ouvertement de censure s’il ne répond pas à leurs demandes.Sébastien Lecornu, qui a déjà rencontré syndicats et patronat, ne s’est pas montré plus précis dans la lettre adressée mercredi aux maires de France: il s’est borné à promettre d'”inscrire” dans le budget 2026 “une plus juste reconnaissance” de leur “engagement comme agents de l’État”.Ce très proche du président Emmanuel Macron doit à présent réunir jeudi, pour la deuxième fois, les chefs des partis du “socle commun”, cette fragile coalition gouvernementale entre le centre et la droite née il y a un an et qu’il ambitionne de mieux coordonner.Il n’est pas clair dans l’immédiat s’il envisage un nouveau round de consultations avec les opposants pour tenter de conclure un pacte de non-censure avec, au moins, le PS. Il doit ensuite former son gouvernement, avant de prononcer sa déclaration de politique générale devant le Parlement — a priori “début octobre”, selon Marine Tondelier.- Pression de la rue -“Nous ne cherchons pas la censure, nous ne cherchons pas la dissolution, nous ne cherchons pas la destitution” d’Emmanuel Macron, “nous cherchons à ce que les Français soient entendus”, a plaidé Olivier Faure. Mais s’il s’agissait de reprendre le plan Bayrou, “nous censurerions dès la (déclaration) de politique générale”, a-t-il prévenu.Ces rencontres se font sous la pression de la rue, syndicats et partis de gauche promettant un jeudi “noir” de grèves et manifestations. A l’unisson des autres chefs de la gauche, le communiste Fabien Roussel a exhorté les Français à “sortir massivement” pour que leurs revendications viennent jusqu’aux “oreilles” de Sébastien Lecornu.Le Premier ministre a déjà fait des gestes: retrait de la proposition impopulaire de supprimer deux jours fériés et suppression, très symbolique, des derniers avantages “à vie” octroyés aux ex-Premiers ministres.Les socialistes comme les écologistes ont mis en avant un sondage Ifop montrant que les Français, quelle que soit leur sensibilité, plébiscitent les mesures poussées par le PS (commanditaire de l’étude).Parmi elles, la création d’une taxe de 2% sur les patrimoines supérieurs à 100 millions d’euros, la taxe Zucman qui enflamme le débat budgétaire.”Si on veut la stabilité, eh bien il faut que les multimilliardaires payent leur juste part à l’effort commun”, a martelé Raphaël Glucksmann, pour Place publique, tout en relevant qu’il ne semblait pas y avoir, chez Sébastien Lecornu, “un refus absolu de discuter de l’objectif” porté par la taxe Zucman.Marine Le Pen a pour sa part aussi mis en avant la nécessité d’agir contre l’immigration.
Louboutin taps Jaden Smith to lead well-heeled shoemaker’s men’s line
Christian Louboutin of scarlet-stiletto fame on Wednesday named Jaden Smith, who has followed in his superstar father Will’s footsteps as an actor and rapper, as artistic director of the French shoemaker’s men’s collection.”Jaden Smith will unveil four collections per year, including shoes, leather goods, and accessories,” the brand said in a statement.Louboutin, the head of his eponymous brand since its founding in 1991, will be handing over the reins of his menswear line for the first time. “One morning, I was swimming and I asked myself: ‘Why not Jaden?’,” the 62-year-old told Le Figaro newspaper.He is banking on Smith, 35 years his junior at 27, to inject “visibility” into the line, which has grown to account for a quarter of Louboutin’s revenue since launching in 2008. “I am convinced by his creativity, but I am also happy to have an intelligent voice from a different generation at my side,” Louboutin added.Smith said his elevation represented “one of the biggest honours” of his life.”I feel a lot of pressure to be able to live up to everything that Christian has done for the house, and also stepping into such a serious role,” he told American media outlet WWD.Jaden Smith, son of Will and Jada Pinkett Smith, was in the spotlight from a young age, acting in “The Pursuit of Happyness” in 2006 and 2010’s “The Karate Kid” before turning towards music and fashion.While Smith the younger has already made a name for himself in with his brand MSFTSrep and a collaboration with sneaker-maker New Balance, he has never before headed a luxury fashion house’s entire line. “Today he lacks technique but he’s starting to learn,” Louboutin said, explaining that Smith had already made several visits to Italian factories.”What you cannot learn is enthusiasm and taste and passion. All that, he has,” the stylist added.Smith’s first collection will be unveiled at Paris Fashion Week for men in January 2026.
Decaying body found in US rapper’s Tesla identified as teen girl
A dismembered corpse found rotting in an impounded Tesla registered to rising American rap star D4vd was that of a teenage girl, a US medical examiner has said.Los Angeles police discovered the body in the car’s trunk last week when they were called to a Hollywood tow yard by workers and neighbors who complained of a foul smell.When officers arrived, they found a badly decomposed body that multiple reports said was in pieces, wrapped in a plastic sheet in the electric vehicle’s front luggage compartment.The Los Angeles County medical examiner said the body was that of Celeste Rivas, who would be 15 years old if she were still alive.Entertainment outlet TMZ said Wednesday that its reporters had spoken to Celeste’s mother, who said her daughter had a boyfriend named David.The outlet carried a missing person poster published by Riverside County Sheriff seeking the whereabouts of Celeste, who was 13 when she went missing in Lake Elsinore, southeast of Los Angeles, in April last year.The medical examiner’s office had earlier described the dead person as a woman of unknown age with wavy black hair.”The decedent was found severely decomposed inside a vehicle,” the statement said.”She appears to have been deceased inside the vehicle for an extended period of time before being found.”Los Angeles Police Department investigators said the Tesla had been parked in the tony Hollywood Hills area for nearly a month before being towed.TMZ reported that the car, registered in Texas, to David Anthony Burke — D4vd’s real name — had never been reported stolen.A representative for the singer said he had been informed of the discovery and was fully cooperating with investigators.The 20-year-old has continued a world tour since the grisly discovery, and is due to play at the Greek Theatre in Los Angeles at the weekend.The young star shot to internet fame in 2022 when his “Romantic Homicide” became a breakout hit on TikTok.The tow yard where the car with the body was found sits a stone’s throw from Elon Musk’s new Tesla Diner, which opened to great fanfare in Hollywood in July.
Doctor warns children face heightened risks in US climate trial
Children are “uniquely and disproportionately” harmed by climate change, a medical expert told a US federal court Wednesday in a landmark constitutional case brought by young Americans challenging President Donald Trump’s fossil-fuel agenda.On the second and final day of a hearing in Missoula, Montana, the plaintiffs’ attorneys called Lori Byron — a former pediatric hospitalist with more than four decades of experience — to explain how a warming planet is impacting young people.The case, Lighthiser v. Trump, is emblematic of a growing global trend of using the courts to push climate action amid political inertia or outright hostility. At issue are three executive orders from the president that together seek to “unleash” fossil fuel development at the expense of renewable energy.Twenty-two plaintiffs represented by the nonprofit Our Children’s Trust are also contesting actions they say undermine federal climate science in the United States — from firing experts to scrubbing reports and reversing the scientific foundation for regulating greenhouse gases.They are seeking a preliminary injunction that could pave the way for a full trial, while lawyers for the Trump administration and conservative-leaning states want the case thrown out, arguing it is undemocratic.Byron, who co-authored the state’s climate assessment and has served on an Environmental Protection Agency committee, testified that the state faces more extreme heat days by mid-century, longer and more severe wildfire smoke seasons, and an increase in “climate surprises” such as catastrophic floods.”They breathe more air, they drink more water, they eat more food per pound of body weight compared to adults,” Byron said, adding that children are especially vulnerable to illness and injury from heat and extreme weather because of their developing bodies and reliance on adults.The toll is not only physical but also psychological: “Their brains are still developing, and stability in their life is very important. When you get displaced or lose your home, those experiences can have mental health impacts that last for decades.”Byron’s testimony was followed by Isaiah H., a 17-year-old from Missoula, an aspiring athlete who spoke of his love for his home but said it was becoming harder to spend time outdoors and connect with nature as a result of worsening wildfires and declining snowfall.”When my brother was really little, we had to actually evacuate our house because the smoke was too bad… for his lungs,” he said.”As a 17-year-old, I shouldn’t be having to step in like this, and shouldn’t have to miss school and make up tests and assignments just to advocate for my health and safety.”Michael Gerrard, an environmental law professor, told AFP: “The plaintiffs are building a strong factual case about the causes and dangers of climate change.”He added: “It would be plowing new ground for a court to say that there is a substantive due process right under the US Constitution to a stable climate system.”






