Foot: Lyon repêché en Ligue 1

Septuple champion de France, l’Olympique lyonnais s’est fait très peur mais a finalement sauvé sa place mercredi dans l’élite devant la commission d’appel de la DNCG, grâce à des apports de liquidités et la promesse de “respecter toutes les règles” du gendarme du foot français.Evitant une humiliante rétrogradation en Ligue 2, ce club historique est aussi parvenu à garder son billet pour la Ligue Europa. Mais il devra très nettement réduire son budget la saison prochaine.Les nouveaux dirigeants du club, la présidente Michele Kang et son directeur général Michael Gerlinger, en première ligne après la mise en retrait de John Textor, ont convaincu une commission d’appel d’infirmer la décision de rétrograder l’OL prise par la Direction nationale de contrôle et de gestion (DNCG) le 24 juin.Le duo a passé quelques heures devant une commission d’appel au siège de la Fédération française de football (FFF) à Paris mercredi, conduisant une délégation de neuf personnes.Il fallait montrer “que nous avions suffisamment de liquidités pour faire fonctionner le club sur toute la saison”, a expliqué la femme d’affaires américaine lors d’une conférence de presse organisée au stade de Décines-Charpieu, dans la banlieue de Lyon. “Certains créanciers ont mis de l’argent (…), moi aussi, tout comme d’autres actionnaires”, a-t-elle poursuivi sans communiquer de montants. – “Enfant difficile” -Michele Kang a aussi promis un changement de style à la tête du club, en s’engageant à respecter “toutes les règles”, “en toute transparence”. “Nous tous, dans l’équipe de direction, ferons de notre mieux pour être non pas un enfant difficile, mais une valeur ajoutée”, a-t-elle déclaré.Jamais elle n’a cité son prédecesseur, John Textor, qui avait racheté l’OL à Jean-Michel Aulas fin 2022 et qui est également actionnaire majoritaire des clubs de Molenbeek en Belgique et Botafogo au Brésil.L’homme d’affaires américain n’a jamais convaincu la DNCG de la pertinence de son modèle économique basé sur la multi-propriété. Inquiet de l’endettement de l’OL, l’instance de contrôle financier du football français avait prononcé la rétrogradation à titre conservatoire le 15 novembre, avant de la confirmer le 24 juin.Sous la pression des administrateurs, des créanciers et des supporters, John Textor a quitté la présidence de l’Olympique lyonnais, tout en restant à la tête de la maison-mère Eagle Football Holding (EFH). Michele Kang, déjà présidente de l’équipe féminine (OL Lyonnes) et actionnaire de l’OL, l’a remplacé le 30 juin, tandis que l’Allemand Michael Gerlinger, un ancien du Bayern Munich, était nommé directeur général.Avec leur intervention, l’OL, troisième budget de L1, a échappé au pire, lui qui risquait la faillite pure et simple en cas de rétrogradation, son train de vie, son stade et son effectif étant nettement surdimensionnés pour la Ligue 2.- “Discipline” -La décision a été accueillie avec un “immense soulagement” par le maire écologiste de Lyon, Grégory Doucet, au diapason de ses administrés. “Franchement, j’ai eu peur”, a confié à l’AFP Ayoub Attar, un supporter de 25 ans qui, à l’annonce du maintien, a acheté un maillot de l’OL pour fêter “la délivrance”.”Le plus difficile reste à faire”, a toutefois mis en garde Jean-Michel Aulas sur X. “Le club, a-t-il ajouté, doit désormais retrouver sur le terrain ce qu’il a sauvé sur le plan institutionnel.”Depuis le coup de semonce de novembre, l’OL avait enregistré plusieurs rentrées d’argent, notamment 83 millions d’euros apportés par les actionnaires.Sur le plan des économies, un accord a été conclu fin janvier avec les créanciers d’Eagle permettant un report de paiements et une centaine de salariés sont partis dans le cadre d’un plan de départs volontaires. Les fins de contrats ou transferts de joueurs onéreux (Alexandre Lacazette, Nicolas Tagliafico, Anthony Lopes, Maxence Caqueret ou tout récemment Rayan Cherki) ont allégé la masse salariale d’une trentaine de millions d’euros. Mais le club doit encore ramener la masse salariale autour de 75 millions d’euros, contre 160 millions avant le plan de départs.Dans cette optique, Michael Gerlinger a évoqué un plan “de discipline financière” en restant évasif sur le mercato, à l’arrêt jusqu’à présent dans le sens des arrivées et qui va pouvoir enfin commencer pour Lyon. Qui reprendra en L1 le week-end du 16-17 août par un déplacement à Lens.eba-fjt-cto-chp/dfa

Haute couture: Demna fait ses adieux à Demna, Glenn Martens ses premiers pas chez Maison Margiela

L’un part, l’autre arrive: Demna a présenté mercredi à Paris sa dernière collection haute couture pour Balenciaga, tandis que Glenn Martens a fait ses premiers chez Maison Margiela, tous deux revisitant l’héritage des fondateurs de leur maison.Pour son ultime défilé au sein de la maison française, avant de rejoindre Gucci, Demna s’est offert un casting 5 étoiles. Tandis qu’Aya Nakamura, Naomi Watts, Nicole Kidman ou encore son successeur Pierpaolo Piccioli ont pris place aux côtés de François-Henri Pinault, PDG de Kering — propriétaire de Balenciaga et Gucci — et de son épouse Salma Hayek, Isabelle Huppert, Kim Kardashian – des fidèles du créateur – ou encore les mannequins Naomi Campbell et Eva Herzigova ont foulé le podium.Le créateur géorgien de 44 ans a rendu hommage aux coupes classiques et à l’austérité élégante du fondateur Cristóbal Balenciaga… avec irrévérence.Le noir dominait avec des tailleurs très cintrés et aux épaules démesurées, d’immenses manteaux, des pulls à col montant jusqu’aux oreilles, des robes droites à manches longues ou encore des costumes oversize chez les hommes.Une austérité ponctuées de touches de couleur et de glamour, comme des robes bustiers jaune et rose pâle, un ample manteau blanc en plumes, un ensemble veste et jupe longue ornées de grosses roses scintillantes et un autre rouge vif. Après dix ans à la tête de Balenciaga, Demna Gvasalia va prendre dès jeudi la direction artistique de Gucci, dont les contre-performances plombent le groupe Kering.Avec son style iconoclaste, Demna a fait ses preuves chez Balenciaga. Depuis 2015, le créateur s’est fait connaître par sa capacité à habiller aussi bien la rappeuse Cardi B qu’Isabelle Huppert, à faire des T-shirts et de la haute couture et rendre désirable le “moche”, comme des Crocs à semelles compensées ou des sacs “poubelle”.- Artisanat hétéroclite -Une page se tourne chez Balenciaga mais également chez Maison Margiela, qui a dévoilé en soirée la première collection de Glenn Martens, très inspirée du fondateur Martin Margiela.Nommé en janvier pour remplacer le créateur star John Galliano, le Belge, passé chez Diesel et au sein de la marque expérimentale Y/Project, a dévoilé un premier vestiaire mixte baptisé “Artisanal” où se côtoient la douceur et un côté brutal, l’opulence et le minimalisme, le tout dans un mélange de matières très hétéroclite.Des robes fluides rebrodées de fleurs en tissu succèdent à des jupes en plastique rigide froissé et à des manteaux en cuir rapiécé à des robes comme faites de métal en fusion ou encore à des tenues intégralement recouvertes de perles et de bijoux.Comme Martin Margiela, Glenn Martens a décidé de cacher le visage de ses mannequins avec des masques en plastique, métal ou bijoux, assortis à leurs tenues. – Les deux font la paire  -Avant ça, le créateur hongkongais Robert Wun a dévoilé sur la scène du Théâtre du Châtelet une collection aux silhouettes sculpturales et surréalistes.Le Libanais Elie Saab a présenté une nouvelle collection de robes de princesses dignes des plus beaux contes de fées, avec de nombreuses robes bustier aux longues traînes, en mousseline de soie ou satin et rebrodées de perles. Son compatriote Zuhair Murad a dévoilé un vestiaire encore plus flamboyant, avec des robes-bijoux ornées de perles, de strass et pampilles.Enfin, le duo néerlandais Viktor&Rolf a une nouvelle fois fait preuve d’ironie avec un vestiaire de 15 paires de robes noires dans un style rappelant les robes austères du XIXe siècle. Chaque paire de vêtements était identique, mais l’un des deux était gonflé de (fausses) plumes. “Nous voulions montrer qu’une chose peut être la même et différente à la fois. Et nous aimons l’idée d’une plume, car elle est très liée à la haute couture. En même temps, c’est un symbole de liberté”, a expliqué Viktor Horsting à l’AFP.

Haute couture: Demna fait ses adieux à Demna, Glenn Martens ses premiers pas chez Maison Margiela

L’un part, l’autre arrive: Demna a présenté mercredi à Paris sa dernière collection haute couture pour Balenciaga, tandis que Glenn Martens a fait ses premiers chez Maison Margiela, tous deux revisitant l’héritage des fondateurs de leur maison.Pour son ultime défilé au sein de la maison française, avant de rejoindre Gucci, Demna s’est offert un casting 5 étoiles. Tandis qu’Aya Nakamura, Naomi Watts, Nicole Kidman ou encore son successeur Pierpaolo Piccioli ont pris place aux côtés de François-Henri Pinault, PDG de Kering — propriétaire de Balenciaga et Gucci — et de son épouse Salma Hayek, Isabelle Huppert, Kim Kardashian – des fidèles du créateur – ou encore les mannequins Naomi Campbell et Eva Herzigova ont foulé le podium.Le créateur géorgien de 44 ans a rendu hommage aux coupes classiques et à l’austérité élégante du fondateur Cristóbal Balenciaga… avec irrévérence.Le noir dominait avec des tailleurs très cintrés et aux épaules démesurées, d’immenses manteaux, des pulls à col montant jusqu’aux oreilles, des robes droites à manches longues ou encore des costumes oversize chez les hommes.Une austérité ponctuées de touches de couleur et de glamour, comme des robes bustiers jaune et rose pâle, un ample manteau blanc en plumes, un ensemble veste et jupe longue ornées de grosses roses scintillantes et un autre rouge vif. Après dix ans à la tête de Balenciaga, Demna Gvasalia va prendre dès jeudi la direction artistique de Gucci, dont les contre-performances plombent le groupe Kering.Avec son style iconoclaste, Demna a fait ses preuves chez Balenciaga. Depuis 2015, le créateur s’est fait connaître par sa capacité à habiller aussi bien la rappeuse Cardi B qu’Isabelle Huppert, à faire des T-shirts et de la haute couture et rendre désirable le “moche”, comme des Crocs à semelles compensées ou des sacs “poubelle”.- Artisanat hétéroclite -Une page se tourne chez Balenciaga mais également chez Maison Margiela, qui a dévoilé en soirée la première collection de Glenn Martens, très inspirée du fondateur Martin Margiela.Nommé en janvier pour remplacer le créateur star John Galliano, le Belge, passé chez Diesel et au sein de la marque expérimentale Y/Project, a dévoilé un premier vestiaire mixte baptisé “Artisanal” où se côtoient la douceur et un côté brutal, l’opulence et le minimalisme, le tout dans un mélange de matières très hétéroclite.Des robes fluides rebrodées de fleurs en tissu succèdent à des jupes en plastique rigide froissé et à des manteaux en cuir rapiécé à des robes comme faites de métal en fusion ou encore à des tenues intégralement recouvertes de perles et de bijoux.Comme Martin Margiela, Glenn Martens a décidé de cacher le visage de ses mannequins avec des masques en plastique, métal ou bijoux, assortis à leurs tenues. – Les deux font la paire  -Avant ça, le créateur hongkongais Robert Wun a dévoilé sur la scène du Théâtre du Châtelet une collection aux silhouettes sculpturales et surréalistes.Le Libanais Elie Saab a présenté une nouvelle collection de robes de princesses dignes des plus beaux contes de fées, avec de nombreuses robes bustier aux longues traînes, en mousseline de soie ou satin et rebrodées de perles. Son compatriote Zuhair Murad a dévoilé un vestiaire encore plus flamboyant, avec des robes-bijoux ornées de perles, de strass et pampilles.Enfin, le duo néerlandais Viktor&Rolf a une nouvelle fois fait preuve d’ironie avec un vestiaire de 15 paires de robes noires dans un style rappelant les robes austères du XIXe siècle. Chaque paire de vêtements était identique, mais l’un des deux était gonflé de (fausses) plumes. “Nous voulions montrer qu’une chose peut être la même et différente à la fois. Et nous aimons l’idée d’une plume, car elle est très liée à la haute couture. En même temps, c’est un symbole de liberté”, a expliqué Viktor Horsting à l’AFP.

US sanctions UN rights expert for Palestinian territories

US Secretary of State Marco Rubio on Wednesday announced Washington was sanctioning the United Nations special expert on the Palestinian territories, following her criticism of Washington policy on Gaza.”Today I am imposing sanctions on UN Human Rights Council Special Rapporteur Francesca Albanese for her illegitimate and shameful efforts to prompt (International Criminal Court) action against US and Israeli officials, companies, and executives,” Rubio said on social media.In a subsequent statement he slammed the UN expert’s strident criticism of the United States and said she recommended to the ICC that arrest warrants be issued targeting Israel’s Prime Minister Benjamin Netanyahu.Rubio also attacked her for “biased and malicious activities,” and accused her of having “spewed unabashed antisemitism (and) support for terrorism.”He said she escalated her contempt for the United States by writing “threatening letters” to several US companies, making what Rubio called unfounded accusations and recommending the ICC pursue prosecutions of the companies and their executives.”We will not tolerate these campaigns of political and economic warfare, which threaten our national interests and sovereignty,” Rubio said.While Albanese was appointed by the UN Human Rights Council, she does not speak on behalf of the United Nations itself.The Italy-born expert released a damning report earlier this month denouncing companies she said “profited from the Israeli economy of illegal occupation, apartheid, and now genocide” in the occupied Palestinian territories.The report provoked a furious response from Israel, while some of the named companies also raised objections.Albanese has leveled broadsides against the policies of Israel in Gaza, and of US President Donald Trump, particularly the plan he announced in February to take over the Gaza Strip and resettle its residents elsewhere.That proposal faced a rejection from Palestinians, Middle East leaders and the United Nations.Albanese dismissed it as “utter nonsense” and an “international crime” that will sow panic.”It’s unlawful, immoral and… completely irresponsible because it will make the regional crisis even worse,” she said on February 5 during a visit to Copenhagen.US ally Israel on Wednesday commended Rubio’s action against the rapporteur.”Albanese has consistently undermined the credibility of the UN Human Rights Council by promoting false narratives and pushing for illegitimate legal actions that ignore the realities on the ground,” Israel’s UN Ambassador Danny Danon said.

Brazil summons US envoy over criticism of Bolsonaro trial

Brazil said Wednesday it had summoned the US charge d’affaires in a diplomatic row following President Donald Trump’s criticism of the coup trial of his right-wing ally, ex-leader Jair Bolsonaro.The foreign ministry in Brasilia told AFP that envoy Gabriel Escobar will be called to explain an embassy statement describing Bolsonaro as a victim of “political persecution” — echoing Trump’s claims of a “witch hunt” against the 70-year-old Brazilian firebrand.Trump on Monday urged Brazilian authorities to “LEAVE BOLSONARO ALONE,” in a post on social media.”They have done nothing but come after him, day after day, night after night, month after month, year after year!” the US president wrote.Leftist President Luiz Inacio Lula da Silva, who narrowly beat Bolsonaro in a divisive election in 2022, has hit back at Trump’s “interference,” insisting that “no one is above the law.” Bolsonaro denies he was involved in an attempt to wrest power back from Lula in an alleged coup plot prosecutors say failed only for a lack of military backing.After the plot fizzled, rioting supporters known as “Bolsonaristas” raided government buildings in 2023 as they urged the military to oust Lula. Bolsonaro was abroad at the time.- No ’emperor’ -The case against Bolsonaro carries echoes of Trump’s prosecution over the January 6, 2021 attacks by his supporters, who overran the US Congress to try and reverse his election loss.Trump pleaded not guilty, and the case was abandoned when he was reelected president.The cases have drawn the Trump and Bolsonaro families together, with the Brazilian ex-leader’s sons lobbying for US sanctions against a Supreme Court judge sitting on the ex-president’s trial.In his post Monday, Trump suggested Bolsonaro was the favorite in presidential elections next year, despite being banned from running for spreading disinformation about Brazil’s voting system. Bolsonaro senior thanked Trump for his defense of “peace, justice and liberty” in a social media post.On Wednesday, the US embassy in Brasilia issued a statement to “reinforce” Trump’s support for Bolsonaro.”Jair Bolsonaro and his family have been strong partners of the United States,” read the note.”The political persecution against him, his family, and his followers is shameful and disrespects Brazil’s democratic traditions.”The showdown between the two countries extended to the economic sphere this week, when members of the BRICS grouping, meeting in Brazil under host Lula, criticized Trump’s imposition of import tariffs and his bombing of Iran.This drew the US president’s ire and a threat of 10 percent additional tariffs on each BRICS-aligned country.Lula insisted BRICS members were sovereign and did not want an “emperor.”

Ukraine says Russia launched largest drone attack of war

Russia pummelled Ukraine Wednesday with its largest missile and drone attack in more than three years of war, hours after US President Donald Trump launched an expletive-filled attack on Russian leader Vladimir Putin.AFP journalists in Kyiv heard explosions ringing out and drones buzzing over the capital during the barrage after air raid sirens sounded.The air force said Russia fired 728 drones and 13 missiles, specifying that its air defence systems intercepted 711 drones and destroyed seven missiles.The strike, which officials said killed one civilian in the Khmelnytsky region, beat a previous Russian record of 550 drones and missiles fired at Ukraine on one day last week.”This is a telling attack — and it comes precisely at a time when so many efforts have been made to achieve peace, to establish a ceasefire, and yet only Russia continues to rebuff them all,” President Volodymyr Zelensky wrote on social media.Zelensky, who met Pope Leo XIV and US special envoy Keith Kellogg on a visit to Rome, called for Ukraine’s allies to step up sanctions on Russia, particularly on its key energy sector.Following his meeting with Kellogg, the Ukrainian leader urged US lawmakers to pass a bill targeting Russia with tougher sanctions.- Russia advances-Kyiv has repeatedly accused China of supplying parts and technologies central to the Russian drone and missile programme, and urged the West to step up secondary penalties.Kyiv’s security services announced they had detained two Chinese nationals accused of attempting to smuggle missile technology out of the country.The air force and regional authorities said Wednesday’s attack had primarily targeted Lutsk, a town in western Ukraine.The Russian defence ministry said its “long-range” and “precision” strike had targeted military airfield infrastructure, claiming that “all designated targets were destroyed”. There was no response to that claim in Kyiv.Russia’s latest record barrage points to a trend of escalating attacks, that have piled pressure on Ukraine’s thinly stretched air defence capabilities and exhausted civilian population.”We are adapting to this rhythm of life. Of course, it’s difficult, but what can you do?” Sergiy Skrypka, a student, told AFP in Kyiv.”It’s not easy, but I think it’s hard for everyone now. We’re dealing with it,” the 22-year-old added.A Ukraine air force representative said that new Ukrainian drones had played an important role in thwarting the Russian attack. Another official said that most of the Russian drones launched were decoys.Two rounds of direct talks between Russian and Ukrainian delegations since Trump returned to the White House have resulted in an increase in prisoner exchanges but no progress on securing a ceasefire, proposed by the United States and Ukraine.- Civilians burnt alive -The Kremlin has since said that it sees no diplomatic path out of the conflict, launched by Moscow in February 2022, and vowed to pursue its war aims — effectively seeking to conquer Ukraine and remove its political leadership.The Kremlin said on Wednesday that it was unfazed by Trump’s sweary comments about President Vladimir Putin. Trump said Tuesday that the Russian leader was spouting “bullshit”. He has also announced that the United States will send more weapons to Ukraine.”Let’s just say that Trump in general has quite a harsh rhetorical style in terms of the phrases he uses,” Kremlin spokesman Dmitry Peskov said.Ukraine has also sought to increase its attacks, with Russia’s defence ministry saying on Wednesday that its air defence had downed 86 unmanned aerial vehicles, mainly over western regions.The exchanges came with Russian forces steadily gaining ground at key sectors of the front line in eastern Ukraine.Russia announced the capture of another village, Tolstoy, on Wednesday in the eastern Donetsk region, which the Kremlin has claimed as part of Russia since 2022, despite not fully controlling it.Ukrainian prosecutors in the region said Russian drone and bombing attacks in two towns in Donetsk killed eight civilians on Wednesday.Officials published images showing the remains of two people burnt to death in their car, which officials said was hit by a Russian drone.A one-year-old boy was killed in another Russian attack on the village of Pravdyne in the southern Kherson region, local officials announced.burs/sbk/tw

Trump says former FBI, CIA directors may have to ‘pay a price’

President Donald Trump on Wednesday accused former FBI director James Comey and ex-CIA chief John Brennan, two prominent critics under criminal investigation, of being “crooked” and said they may have to “pay a price.”Asked on Wednesday about the FBI’s opening of a probe into Comey and Brennan, Trump said he knows “nothing about it other than what I read today.””But I will tell you I think they’re very dishonest people,” the president told reporters at the White House. “I think they’re crooked as hell and maybe they have to pay a price for that.”Fox News Digital first reported the probe into Comey and Brennan, saying it involved “potential wrongdoing” related to the investigation into claims of Russian interference in the 2016 election won by Trump, and alleged false statements made to Congress.CIA director John Ratcliffe, a Trump appointee, had referred “evidence of wrongdoing by Brennan” to FBI director Kash Patel, another Trump appointee, for potential prosecution, Fox News Digital said, citing Justice Department sources.A Justice Department spokeswoman said the agency does “not comment on ongoing investigations.”Comey and Brennan were named to their respective positions as head of the FBI and CIA by Democratic president Barack Obama, and they have a contentious history with Trump dating back to his first term in the White House.Trump fired Comey in 2017 as the FBI chief was leading a probe into whether any members of the Trump campaign had colluded with Moscow to sway the 2016 presidential vote between Trump and Democratic candidate Hillary Clinton.That investigation, which Trump has denounced for years as the “Russia hoax,” was taken over by special counsel Robert Mueller, who found there had been interference by Russia in the 2016 election in favor of Trump.But Mueller said the probe “did not establish that members of the Trump Campaign conspired or coordinated with the Russian government in its election interference activities.”Trump revoked Brennan’s security clearance in 2018, accusing the former CIA chief of making “unfounded and outrageous allegations” about his administration.Since taking office in January, Trump has taken a number of punitive measures against his perceived enemies, stripping former officials of their security clearances and protective details, targeting law firms involved in past cases against him and pulling federal funding from universities.

Yemen’s Huthis claim deadly Red Sea attack on merchant ship

Yemen’s Iran-backed Huthi rebels claimed responsibility Wednesday for the deadly sinking of a merchant vessel earlier this week, their second attack in 24 hours as they resumed their campaign against Red Sea shipping.The Eternity C, a Liberian-flagged bulk carrier, was badly damaged in the attack that started on Monday and continued into Tuesday, when the ship sank.Yemen’s rebels claimed responsibility for the attack, which came a day after they boarded and sank the Magic Seas — their first attack on merchant shipping this year.Their resumed attacks mark the end of a months-long lull and threaten a May ceasefire with the United States that ended weeks of strikes on Huthi targets.”The naval force of the Yemeni Armed Forces targeted the ship Eternity C,” Huthi military spokesman Yahya Saree said, claiming that the vessel was headed for the Israeli port of Eilat and was attacked in support of Palestinians in Gaza.- 19 missing -Saree said the attack was carried out with an unmanned vessel and six cruise and ballistic missiles.He said the Huthis had “moved to rescue a number of the ship’s crew, provide them with medical care and transport them to a safe location”.But the US embassy accused the rebels of kidnapping those crew members who had not been rescued by Western navies.”After killing their shipmates, sinking their ship and hampering rescue efforts, the Huthi terrorists have kidnapped many surviving crew members of the Eternity C,” said the mission, which operates out of a temporary base in neighbouring Saudi Arabia.”We call for their immediate and unconditional safe release,” it added in a post on X.Operation Aspides — the EU naval task force in the Red Sea — told AFP that five Filipinos and one Indian had been rescued, while 19 others were still missing.The UN envoy for Yemen, Hans Grundberg, expressed “grave concern” over attacks that resulted in “civilian loss of life and casualties as well as the potential for environmental damage”.”Yemen must not be drawn deeper into regional crises that threaten to unravel the already extremely fragile situation in the country,” he said.On Tuesday, Aspides said three people were killed in the attack on the Eternity C and at least two wounded — including a Russian electrician who lost a leg.- ‘Cease aggression’ -Saree warned “all companies dealing with the ports of occupied Palestine (Israel) that their ships and crews will be targeted” until Israel has been forced to “lift the siege on our brothers in Gaza, cease the aggression against them and end the ongoing war”.The Huthis began their attacks on Red Sea shipping in late 2023, saying they were in support of Palestinians in Gaza.On Monday, they said they hit the Magic Seas because its owner had done business with Israel and used its ports.The rebels released a video showing masked gunmen storming the Magic Seas and simultaneous explosions that scuttled the bulk carrier.Both ships had likely been attacked “due to prior Israeli port calls or ownership/ship manager affiliations”, according to the Joint Maritime Information Centre, run by Western navies.Huthi attacks have prompted many shipping firms to make the time-consuming detour around the southern tip of Africa to avoid the Red Sea, which normally carries about 12 percent of global trade.The Huthis had threatened to renew their attacks after the Gaza ceasefire collapsed in March, prompting a deadly US bombing campaign against the rebels that ended with the May ceasefire.However, the rebels said they would continue to target “Israeli ships”.In a statement on Tuesday, the US embassy blamed the Huthis for the Eternity C attack, calling it “the most violent” yet.Israel, which has also come under direct missile and drone attack by the Huthis, has carried out multiple strikes on rebel targets in Yemen, most recently on Sunday.

Netanyahu optimiste sur un accord de trêve à Gaza et une libération d’otages

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé mercredi qu’il existait “de bonnes chances” de parvenir à un accord sur une trêve à Gaza avec le Hamas et une libération d’otages, partageant l’optimisme de Donald Trump, après 21 mois de guerre dévastatrice.De leur côté, des sources palestiniennes proches des pourparlers indirects entre Israël et le mouvement islamiste à Doha, ont accusé le gouvernement Netanyahu de bloquer ces discussions, l’une d’elles affirmant qu'”il n’y a aucune avancée”.Dans la bande de Gaza, affamée, assiégée et dévastée par 21 mois de guerre, l’armée israélienne a poursuivi ses bombardements qui ont tué 22 Palestiniens dont six enfants selon la Défense civile locale.La guerre a été déclenchée par une attaque sans précédent du Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, à laquelle l’armée israélienne a riposté en lançant une offensive d’envergure à Gaza qui a fait des dizaines de milliers de morts et provoqué un désastre humanitaire.”Nous parlons d’un cessez-le-feu de 60 jours, au cours duquel la moitié des otages vivants et l’autre moitié des otages morts seraient remis à Israël par ces monstres du Hamas”, a déclaré M. Netanyahu à FOX Business Network. Les otages ont été enlevés durant l’attaque du Hamas et emmenés à Gaza. “Oui, je pense que nous nous rapprochons d’un accord. Je pense qu’il y a de bonnes chances que nous l’obtenions”, a-t-il ajouté après avoir rencontré lundi et mardi à Washington le président américain.Ce dernier presse M. Netanyahu, qui se trouve toujours aux Etats-Unis, de parvenir à un accord pour mettre fin à la guerre.Le chef de la diplomatie israélienne Gideon Saar a lui aussi jugé “possible” un accord.Pour le chef d’état-major israélien, Eyal Zamir, ce sont les opérations de l’armée qui ont “fait avancer un accord”.- “Fin de semaine” ? -“(…) Nous avons sérieusement affaibli les capacités militaires et gouvernementales du Hamas”, a-t-il dit. “Grâce à la puissance opérationnelle, les conditions ont été créées pour avancer vers un accord de libération des otages.”M. Netanyahu a juré de détruire le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, et proclamé sa volonté de prendre le contrôle du territoire palestinien limitrophe du sud d’Israël.Ces derniers jours, il a répété, qu’outre le retour de tous les otages, il voulait “éliminer” le Hamas et conserver pour “toujours” le contrôle de la sécurité à Gaza.Mais le Hamas insiste publiquement sur un retrait des troupes israéliennes de Gaza, des garanties sur un cessez-le-feu permanent et une reprise en main de l’aide humanitaire par l’ONU et des organisations internationales reconnues. Des exigences rejetées jusque-là par Israël.A Doha, où les nouvelles discussions indirectes entre Israël et le Hamas ont été lancées dimanche via les médiateurs -Etats-Unis, Qatar, Egypte-aucune annonce de progrès n’a été faite.Au contraire, un responsable palestinien s’exprimant sous couvert de l’anonymat a affirmé que la délégation israélienne refusait “d’accepter la libre circulation de l’aide à Gaza” et le retrait des soldats du territoire.”Il y a eu un échange de vues mais aucune avancée”, a dit une autre source palestinienne.Et le Qatar a dit que les discussions “prendraient du temps”.Mardi, l’envoyé spécial de M. Trump pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, a dit espérer un accord “d’ici la fin de la semaine” sur une trêve de 60 jours et une libération d’otages.Le projet d’accord prévoit, selon lui, le retour de 10 otages vivants et des corps de neuf autres.Sur 251 personnes enlevées durant l’attaque du 7-Octobre, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.- “Les massacres continuent” -A Gaza, où plus de deux millions de Palestiniens assiégés vivent dans des conditions terribles selon l’ONU, les frappes israéliennes ont continué, tuant notamment dix Palestiniens à Chati (nord) y compris six enfants, d’après la Défense civile.Des tentes de déplacés à Al-Mawassi (sud) ont été aussi touchées. “Nous sommes extrêmement fatigués. Chaque jour, ils parlent d’un cessez-le-feu, mais les massacres continuent”, se lamente Oum Ahmed.Sollicitée par l’AFP, l’armée israélienne a dit examiner les informations de M. Bassal.Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël à Gaza et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et affirmations des différentes parties.L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles israéliennes.A Gaza, au moins 57.680 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans l’offensive de représailles israélienne, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

Netanyahu optimiste sur un accord de trêve à Gaza et une libération d’otages

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé mercredi qu’il existait “de bonnes chances” de parvenir à un accord sur une trêve à Gaza avec le Hamas et une libération d’otages, partageant l’optimisme de Donald Trump, après 21 mois de guerre dévastatrice.De leur côté, des sources palestiniennes proches des pourparlers indirects entre Israël et le mouvement islamiste à Doha, ont accusé le gouvernement Netanyahu de bloquer ces discussions, l’une d’elles affirmant qu'”il n’y a aucune avancée”.Dans la bande de Gaza, affamée, assiégée et dévastée par 21 mois de guerre, l’armée israélienne a poursuivi ses bombardements qui ont tué 22 Palestiniens dont six enfants selon la Défense civile locale.La guerre a été déclenchée par une attaque sans précédent du Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, à laquelle l’armée israélienne a riposté en lançant une offensive d’envergure à Gaza qui a fait des dizaines de milliers de morts et provoqué un désastre humanitaire.”Nous parlons d’un cessez-le-feu de 60 jours, au cours duquel la moitié des otages vivants et l’autre moitié des otages morts seraient remis à Israël par ces monstres du Hamas”, a déclaré M. Netanyahu à FOX Business Network. Les otages ont été enlevés durant l’attaque du Hamas et emmenés à Gaza. “Oui, je pense que nous nous rapprochons d’un accord. Je pense qu’il y a de bonnes chances que nous l’obtenions”, a-t-il ajouté après avoir rencontré lundi et mardi à Washington le président américain.Ce dernier presse M. Netanyahu, qui se trouve toujours aux Etats-Unis, de parvenir à un accord pour mettre fin à la guerre.Le chef de la diplomatie israélienne Gideon Saar a lui aussi jugé “possible” un accord.Pour le chef d’état-major israélien, Eyal Zamir, ce sont les opérations de l’armée qui ont “fait avancer un accord”.- “Fin de semaine” ? -“(…) Nous avons sérieusement affaibli les capacités militaires et gouvernementales du Hamas”, a-t-il dit. “Grâce à la puissance opérationnelle, les conditions ont été créées pour avancer vers un accord de libération des otages.”M. Netanyahu a juré de détruire le Hamas, qui a pris le pouvoir à Gaza en 2007, et proclamé sa volonté de prendre le contrôle du territoire palestinien limitrophe du sud d’Israël.Ces derniers jours, il a répété, qu’outre le retour de tous les otages, il voulait “éliminer” le Hamas et conserver pour “toujours” le contrôle de la sécurité à Gaza.Mais le Hamas insiste publiquement sur un retrait des troupes israéliennes de Gaza, des garanties sur un cessez-le-feu permanent et une reprise en main de l’aide humanitaire par l’ONU et des organisations internationales reconnues. Des exigences rejetées jusque-là par Israël.A Doha, où les nouvelles discussions indirectes entre Israël et le Hamas ont été lancées dimanche via les médiateurs -Etats-Unis, Qatar, Egypte-aucune annonce de progrès n’a été faite.Au contraire, un responsable palestinien s’exprimant sous couvert de l’anonymat a affirmé que la délégation israélienne refusait “d’accepter la libre circulation de l’aide à Gaza” et le retrait des soldats du territoire.”Il y a eu un échange de vues mais aucune avancée”, a dit une autre source palestinienne.Et le Qatar a dit que les discussions “prendraient du temps”.Mardi, l’envoyé spécial de M. Trump pour le Moyen-Orient, Steve Witkoff, a dit espérer un accord “d’ici la fin de la semaine” sur une trêve de 60 jours et une libération d’otages.Le projet d’accord prévoit, selon lui, le retour de 10 otages vivants et des corps de neuf autres.Sur 251 personnes enlevées durant l’attaque du 7-Octobre, 49 sont toujours retenues à Gaza, dont 27 ont été déclarées mortes par l’armée israélienne.- “Les massacres continuent” -A Gaza, où plus de deux millions de Palestiniens assiégés vivent dans des conditions terribles selon l’ONU, les frappes israéliennes ont continué, tuant notamment dix Palestiniens à Chati (nord) y compris six enfants, d’après la Défense civile.Des tentes de déplacés à Al-Mawassi (sud) ont été aussi touchées. “Nous sommes extrêmement fatigués. Chaque jour, ils parlent d’un cessez-le-feu, mais les massacres continuent”, se lamente Oum Ahmed.Sollicitée par l’AFP, l’armée israélienne a dit examiner les informations de M. Bassal.Compte tenu des restrictions imposées aux médias par Israël à Gaza et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les bilans et affirmations des différentes parties.L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP réalisé à partir de données officielles israéliennes.A Gaza, au moins 57.680 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans l’offensive de représailles israélienne, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.