MaPrimeRénov’ redémarrera le 15 septembre, selon la ministre des Comptes publics

Le dispositif d’aide à la rénovation énergétique MaPrimeRénov’ redémarrera le 15 septembre après une suspension cet été pour permettre d’identifier les dossiers frauduleux, a indiqué mardi la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin. Le président Emmanuel Macron avait exhorté samedi le gouvernement à “maintenir” le cap sur l’écologie, épinglant dans une interview à la presse quotidienne régionale les “incertitudes sur les dispositifs mis en place” après l’annonce de la suspension de MaPrimeRenov’.”Le président de la République a cent fois raison de dire que c’est une politique nécessaire. Mais il a tellement raison que c’est aussi cent fois plus intolérable” d’avoir de la “fraude massive”, a déclaré Amélie de Montchalin sur RTL. Les propriétaires de logements pourront déposer leur dossier de demande d’aide “jusqu’à la fin du mois de juin”, a-t-elle poursuivi, avant la suspension de MaPrimeRénov’ prévue au 1er juillet.”En juillet, août et début septembre, nous allons faire une revue totale: tous les dossiers des honnêtes gens qui ont été déposés seront payés, tous les dossiers des fraudeurs seront exclus”, a-t-elle expliqué, soulignant qu’il ne s’agissait pas d'”économies de bouts de chandelle”. “Cela nous permettra au 15 septembre de rouvrir le guichet et d’allouer 100% des fonds qui sont dans cette politique publique à l’usage des personnes honnêtes”, a-t-elle précisé. Le gouvernement avait annoncé la semaine dernière la fermeture temporaire du guichet de dépôt des dossiers de demande d’aide MaPrimeRénov’ pour les rénovations énergétiques globales et les travaux d’isolation et de remplacement de chaudière ponctuels.La ministre du Logement, Valérie Létard, avait également indiqué vouloir “changer les règles” du dispositif applicable, prévoyant alors sa réouverture “d’ici à la fin du mois de septembre”. Dimanche, le ministre de l’Economie, Eric Lombard, avait affirmé que l’écologie demeurait “une priorité absolue” pour le gouvernement et que la suspension de MaPrimeRénov’ n’était pas motivée par des “arrière-pensées budgétaires”. Le dispositif est doté d’un budget de 3,6 milliards d’euros et “si jamais la demande est supérieure, on adaptera”, avait-il ajouté, soulignant par ailleurs qu’actuellement, “un dossier sur dix est un dossier frauduleux”. 

MaPrimeRénov’ redémarrera le 15 septembre, selon la ministre des Comptes publics

Le dispositif d’aide à la rénovation énergétique MaPrimeRénov’ redémarrera le 15 septembre après une suspension cet été pour permettre d’identifier les dossiers frauduleux, a indiqué mardi la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin. Le président Emmanuel Macron avait exhorté samedi le gouvernement à “maintenir” le cap sur l’écologie, épinglant dans une interview à la presse quotidienne régionale les “incertitudes sur les dispositifs mis en place” après l’annonce de la suspension de MaPrimeRenov’.”Le président de la République a cent fois raison de dire que c’est une politique nécessaire. Mais il a tellement raison que c’est aussi cent fois plus intolérable” d’avoir de la “fraude massive”, a déclaré Amélie de Montchalin sur RTL. Les propriétaires de logements pourront déposer leur dossier de demande d’aide “jusqu’à la fin du mois de juin”, a-t-elle poursuivi, avant la suspension de MaPrimeRénov’ prévue au 1er juillet.”En juillet, août et début septembre, nous allons faire une revue totale: tous les dossiers des honnêtes gens qui ont été déposés seront payés, tous les dossiers des fraudeurs seront exclus”, a-t-elle expliqué, soulignant qu’il ne s’agissait pas d'”économies de bouts de chandelle”. “Cela nous permettra au 15 septembre de rouvrir le guichet et d’allouer 100% des fonds qui sont dans cette politique publique à l’usage des personnes honnêtes”, a-t-elle précisé. Le gouvernement avait annoncé la semaine dernière la fermeture temporaire du guichet de dépôt des dossiers de demande d’aide MaPrimeRénov’ pour les rénovations énergétiques globales et les travaux d’isolation et de remplacement de chaudière ponctuels.La ministre du Logement, Valérie Létard, avait également indiqué vouloir “changer les règles” du dispositif applicable, prévoyant alors sa réouverture “d’ici à la fin du mois de septembre”. Dimanche, le ministre de l’Economie, Eric Lombard, avait affirmé que l’écologie demeurait “une priorité absolue” pour le gouvernement et que la suspension de MaPrimeRénov’ n’était pas motivée par des “arrière-pensées budgétaires”. Le dispositif est doté d’un budget de 3,6 milliards d’euros et “si jamais la demande est supérieure, on adaptera”, avait-il ajouté, soulignant par ailleurs qu’actuellement, “un dossier sur dix est un dossier frauduleux”. 

MaPrimeRénov’ redémarrera le 15 septembre, selon la ministre des Comptes publics

Le dispositif d’aide à la rénovation énergétique MaPrimeRénov’ redémarrera le 15 septembre après une suspension cet été pour permettre d’identifier les dossiers frauduleux, a indiqué mardi la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin. Le président Emmanuel Macron avait exhorté samedi le gouvernement à “maintenir” le cap sur l’écologie, épinglant dans une interview à la presse quotidienne régionale les “incertitudes sur les dispositifs mis en place” après l’annonce de la suspension de MaPrimeRenov’.”Le président de la République a cent fois raison de dire que c’est une politique nécessaire. Mais il a tellement raison que c’est aussi cent fois plus intolérable” d’avoir de la “fraude massive”, a déclaré Amélie de Montchalin sur RTL. Les propriétaires de logements pourront déposer leur dossier de demande d’aide “jusqu’à la fin du mois de juin”, a-t-elle poursuivi, avant la suspension de MaPrimeRénov’ prévue au 1er juillet.”En juillet, août et début septembre, nous allons faire une revue totale: tous les dossiers des honnêtes gens qui ont été déposés seront payés, tous les dossiers des fraudeurs seront exclus”, a-t-elle expliqué, soulignant qu’il ne s’agissait pas d'”économies de bouts de chandelle”. “Cela nous permettra au 15 septembre de rouvrir le guichet et d’allouer 100% des fonds qui sont dans cette politique publique à l’usage des personnes honnêtes”, a-t-elle précisé. Le gouvernement avait annoncé la semaine dernière la fermeture temporaire du guichet de dépôt des dossiers de demande d’aide MaPrimeRénov’ pour les rénovations énergétiques globales et les travaux d’isolation et de remplacement de chaudière ponctuels.La ministre du Logement, Valérie Létard, avait également indiqué vouloir “changer les règles” du dispositif applicable, prévoyant alors sa réouverture “d’ici à la fin du mois de septembre”. Dimanche, le ministre de l’Economie, Eric Lombard, avait affirmé que l’écologie demeurait “une priorité absolue” pour le gouvernement et que la suspension de MaPrimeRénov’ n’était pas motivée par des “arrière-pensées budgétaires”. Le dispositif est doté d’un budget de 3,6 milliards d’euros et “si jamais la demande est supérieure, on adaptera”, avait-il ajouté, soulignant par ailleurs qu’actuellement, “un dossier sur dix est un dossier frauduleux”. 

Bateau pour Gaza: un des six Français a accepté son expulsion, les autres seront présentés à un juge israélien

Les six militants français arrêtés par les autorités israéliennes à bord d’un bateau dont le but était de briser le blocus de Gaza ont reçu la visite de diplomates français, et l’un d’eux a accepté d’être expulsé dès ce mardi, a annoncé le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot.”Un de nos compatriotes a choisi de signer le formulaire israélien acceptant son expulsion accompagnée sans attendre la décision de justice. Il devrait regagner la France dès aujourd’hui. Les cinq autres ont décliné et leur éventuelle expulsion aura lieu après décision du juge israélien dans les prochains jours”, a dit le ministre dans une déclaration écrite diffusée en marge d’un sommet sur les océans à Nice.Le ministre n’a pas donné de précision sur l’identité du Français qui sera immédiatement expulsé. L’eurodéputée LFI Rima Hassan fait partie des personnalités qui étaient à bord du navire, comme l’activiste suédoise Greta Thunberg.La Coalition de la flottille pour la liberté, dont le bateau a été arraisonné par Israël lundi matin, est un mouvement international non violent de soutien aux Palestiniens, combinant aide humanitaire et protestation politique contre le blocus de Gaza.La France a “passé tous les messages” à Israël pour que “la protection” de ses ressortissants “soit assurée” et qu’ils “puissent retrouver le sol français”, avait assuré lundi le président Emmanuel Macron, dénonçant comme un “scandale” le blocus humanitaire à Gaza.Des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées lundi soir à travers la France à l’appel de la gauche en soutien à ces militants. “L’équipe diplomatique et consulaire française à Tel Aviv restera au contact de nos ressortissants, comme le lui permet la protection consulaire, pour s’assurer de leur état jusqu’à leur retour en France”, a assuré mardi le chef de la diplomatie française, en précisant que “les appels d’information aux proches ont été passés à cinq d’entre eux sitôt après les visites consulaires, soit après 03H00 du matin”.Le leader du parti de gauche radicale française Les Insoumis, Jean-Luc Mélenchon, avait fustigé quelques heures plus tôt sur X la “nullité des services français” en affirmant que les familles des ressortissants retenus en Israël n’avaient “aucune nouvelle”.

Bateau pour Gaza: un des six Français a accepté son expulsion, les autres seront présentés à un juge israélien

Les six militants français arrêtés par les autorités israéliennes à bord d’un bateau dont le but était de briser le blocus de Gaza ont reçu la visite de diplomates français, et l’un d’eux a accepté d’être expulsé dès ce mardi, a annoncé le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot.”Un de nos compatriotes a choisi de signer le formulaire israélien acceptant son expulsion accompagnée sans attendre la décision de justice. Il devrait regagner la France dès aujourd’hui. Les cinq autres ont décliné et leur éventuelle expulsion aura lieu après décision du juge israélien dans les prochains jours”, a dit le ministre dans une déclaration écrite diffusée en marge d’un sommet sur les océans à Nice.Le ministre n’a pas donné de précision sur l’identité du Français qui sera immédiatement expulsé. L’eurodéputée LFI Rima Hassan fait partie des personnalités qui étaient à bord du navire, comme l’activiste suédoise Greta Thunberg.La Coalition de la flottille pour la liberté, dont le bateau a été arraisonné par Israël lundi matin, est un mouvement international non violent de soutien aux Palestiniens, combinant aide humanitaire et protestation politique contre le blocus de Gaza.La France a “passé tous les messages” à Israël pour que “la protection” de ses ressortissants “soit assurée” et qu’ils “puissent retrouver le sol français”, avait assuré lundi le président Emmanuel Macron, dénonçant comme un “scandale” le blocus humanitaire à Gaza.Des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées lundi soir à travers la France à l’appel de la gauche en soutien à ces militants. “L’équipe diplomatique et consulaire française à Tel Aviv restera au contact de nos ressortissants, comme le lui permet la protection consulaire, pour s’assurer de leur état jusqu’à leur retour en France”, a assuré mardi le chef de la diplomatie française, en précisant que “les appels d’information aux proches ont été passés à cinq d’entre eux sitôt après les visites consulaires, soit après 03H00 du matin”.Le leader du parti de gauche radicale française Les Insoumis, Jean-Luc Mélenchon, avait fustigé quelques heures plus tôt sur X la “nullité des services français” en affirmant que les familles des ressortissants retenus en Israël n’avaient “aucune nouvelle”.

Bateau pour Gaza: un des six Français a accepté son expulsion, les autres seront présentés à un juge israélien

Les six militants français arrêtés par les autorités israéliennes à bord d’un bateau dont le but était de briser le blocus de Gaza ont reçu la visite de diplomates français, et l’un d’eux a accepté d’être expulsé dès ce mardi, a annoncé le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot.”Un de nos compatriotes a choisi de signer le formulaire israélien acceptant son expulsion accompagnée sans attendre la décision de justice. Il devrait regagner la France dès aujourd’hui. Les cinq autres ont décliné et leur éventuelle expulsion aura lieu après décision du juge israélien dans les prochains jours”, a dit le ministre dans une déclaration écrite diffusée en marge d’un sommet sur les océans à Nice.Le ministre n’a pas donné de précision sur l’identité du Français qui sera immédiatement expulsé. L’eurodéputée LFI Rima Hassan fait partie des personnalités qui étaient à bord du navire, comme l’activiste suédoise Greta Thunberg.La Coalition de la flottille pour la liberté, dont le bateau a été arraisonné par Israël lundi matin, est un mouvement international non violent de soutien aux Palestiniens, combinant aide humanitaire et protestation politique contre le blocus de Gaza.La France a “passé tous les messages” à Israël pour que “la protection” de ses ressortissants “soit assurée” et qu’ils “puissent retrouver le sol français”, avait assuré lundi le président Emmanuel Macron, dénonçant comme un “scandale” le blocus humanitaire à Gaza.Des dizaines de milliers de personnes se sont rassemblées lundi soir à travers la France à l’appel de la gauche en soutien à ces militants. “L’équipe diplomatique et consulaire française à Tel Aviv restera au contact de nos ressortissants, comme le lui permet la protection consulaire, pour s’assurer de leur état jusqu’à leur retour en France”, a assuré mardi le chef de la diplomatie française, en précisant que “les appels d’information aux proches ont été passés à cinq d’entre eux sitôt après les visites consulaires, soit après 03H00 du matin”.Le leader du parti de gauche radicale française Les Insoumis, Jean-Luc Mélenchon, avait fustigé quelques heures plus tôt sur X la “nullité des services français” en affirmant que les familles des ressortissants retenus en Israël n’avaient “aucune nouvelle”.

Parcoursup: ouverture de la phase d’admission complémentaire mercredi

La phase d’admission complémentaire de la plateforme Parcoursup, qui permet aux candidats de formuler jusqu’à dix nouveaux vÅ“ux dans les formations disposant encore de places, ouvre mercredi pour les lycéens de terminale et les étudiants en réorientation.Cette phase d’admission complémentaire, qui débute mercredi à 14H00, durera jusqu’au 11 septembre. Elle s’adresse en particulier aux candidats qui n’auraient eu que des réponses négatives au cours de la phase principale. L’idée est de leur permettre si possible de retrouver des perspectives avant les épreuves écrites du baccalauréat, qui commenceront par la philo le 16 juin.Sont aussi concernés les candidats dont tous les vÅ“ux sont en liste d’attente, ceux qui ont déjà accepté une proposition mais veulent postuler pour des formations qui les intéresseraient plus, ou ceux qui n’avaient pas confirmé de vÅ“ux au 2 avril. Ceux qui ne se sont jamais inscrits sur la plateforme peuvent aussi participer.Les candidats pourront formuler de nouveaux vÅ“ux jusqu’au 9 septembre. Les formations répondront au fur et à mesure des candidatures, et pourront envoyer des propositions d’admission jusqu’au 11 septembre inclus.En 2024, 80.000 candidats avaient reçu une proposition d’admission en participant à la phase complémentaire, précise le ministère de l’Enseignement supérieur.Cette phase s’ajoute à la phase d’admission principale de la plateforme qui, elle, se termine le 10 juillet.Cette année, il a été demandé aux candidats ayant des vÅ“ux en attente de classer par ordre de préférence ceux qu’ils souhaitent conserver entre le 6 et le 10 juin inclus. Cela doit permettre de prendre en compte ces préférences dès mercredi dans l’envoi des propositions d’admission et de faire évoluer plus vite les listes d’attente.Tout ce processus reste conditionné à l’obtention du bac, dont les résultats seront communiqués le 4 juillet.Pendant les épreuves écrites (philo le 16 juin, épreuves de spécialité entre le 17 et le 19 juin, Grand oral du 23 juin au 2 juillet), les délais de réponse aux propositions d’admission de Parcoursup seront suspendus (du 13 au 20 juin pour le bac général et technologique).Cette année, les lycéens et étudiants en réorientation ont commencé à recevoir leur réponse le 2 juin sur Parcoursup.Quelque 66% des lycéens ont reçu “au moins une proposition d’admission” dès le premier jour, et “2,67 millions de propositions ont été envoyées aux candidats”, selon les ministères de l’Education et de l’Enseignement supérieur. 

Wilders isolé aux Pays-Bas avant les élections anticipées

Les chances du leader d’extrême droite Geert Wilders de devenir Premier ministre aux Pays-Bas ont baissé mardi, après qu’un parti-clé pour une potentielle coalition a exclu toute collaboration avec lui, le qualifiant de “partenaire incroyablement peu fiable”.La semaine dernière, M. Wilders avait stupéfié la classe politique néerlandaise en provoquant la chute d’une fragile coalition à quatre partis, sur fond de désaccords concernant l’immigration.De nouvelles élections sont désormais prévues pour le 29 octobre, et le dirigeant d’extrême droite espère rééditer son succès surprise de novembre 2023, lorsque son Parti, le PVV, était arrivé en tête. Compte tenu de la fragmentation du paysage politique, il pourrait s’avérer nécessaire de trouver deux, voire trois partenaires de coalition pour former un gouvernement. Or le principal partenaire de coalition de M. Wilders après le scrutin de novembre était le parti libéral VVD, mais sa cheffe, Dilan Yesilgöz, a vivement critiqué son ancien collègue.”Ce pays a besoin d’un leadership mature. Nous ne travaillerons plus avec lui”, a déclaré Yesilgöz dans une interview accordée au quotidien De Telegraaf. “Il place son intérêt personnel au-dessus de l’intérêt national. Il ne prendra jamais ses responsabilités pour diriger le pays”, a-t-elle ajouté.Geert Wilders a vivement réagi sur X, accusant Yesilgöz de vouloir “détruire les Pays-Bas avec la gauche”. “Cela signifie encore plus de demandeurs d’asile et d’islam”, a-t-il affirmé.Les sondages placent le PVV au coude-à-coude avec l’alliance entre les Verts et les sociaux-démocrates de l’ancien vice-président de la Commission européenne Frans Timmermans, suivi de près par le parti libéral VVD.

Un Indien arrêté avec une centaine d’animaux sauvages à l’aéroport de Bombay

Les douaniers ont arrêté à Bombay un passager en provenance de Thaïlande qui transportait une centaine d’animaux, notamment des lézards, des oiseaux-mouches et des petits marsupiaux, ont annoncé lundi soir les autorités indiennes, qualifiant cette saisie de “considérable”.  A son arrivée à l’aéroport de la capitale financière de l’Inde, le trafiquant, qui transportait également deux araignées tarentules et des tortues, “montrait des signes de nervosité”, selon le communiqué des douanes.Parmi les animaux saisis, figuraient un kinkajou – un petit mammifère ressemblant à un raton laveur vivant en Amérique centrale -, et six opossums volants, des marsupiaux endémiques d’Australie. Les douanes de l’aéroport de Bombay ont publié des photographies des animaux saisis, notamment des opossums volants ainsi qu’une boîte remplie de lézards.”Les douaniers ont intercepté un ressortissant indien (…) conduisant à la saisie de plusieurs espèces animales vivantes et mortes, dont certaines sont protégées par les lois de protection de la faune”, a déclaré le ministère des Finances dans un communiqué lundi soir. Cette saisie intervient après l’arrestation d’un passager, également en provenance de Thaïlande, début juin dans ce même aéroport, en possession d’une quarantaine de serpents venimeux et de tortues. Selon Traffic, une ONG qui surveille le commerce de la faune et de la flore sauvages, plus de 7.000 animaux, morts et vivants, ont été saisis sur les lignes aériennes entre la Thaïlande et l’Inde depuis trois ans et demi. Les douanes l’aéroport de Bombay sont plus habituées à saisir de l’or, de l’argent liquide ou du cannabis mais les saisies d’animaux ont récemment augmenté. Traffic a indiqué que plus de 80% des interceptions des espèces animales transportées en contrebande depuis la Thaïlande, ont lieu en Inde. “Les découvertes presque hebdomadaires et la diversité de la faune en route vers l’Inde sont très inquiétantes”, a souligné Kanitha Krishnasamy, directrice de Traffic pour l’Asie du Sud-Est.Beaucoup des créatures saisies étaient vivantes, ce qui “montre que la demande pour les animaux exotiques alimente le commerce”, a-t-elle ajouté. En février, les douanes de Bombay avaient interpellé un passager en possession de cinq gibbons de Siamang, des petits singes originaires des forêts d’Indonésie, de Malaisie et de Thaïlande. Ces petites créatures, classées parmi les espèces menacées par l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN), étaient “ingénieusement dissimulées” dans une caisse en plastique placée à l’intérieur du sac à roulettes de l’intéressé, avaient-elles précisé.Entre septembre et novembre, les douanes de Bombay ont saisi douze tortues vivantes, quatre calaos (des oiseaux colorés au long bec) et cinq caïmans juvéniles.

Combs’s ex to face scrutiny on the stand from music mogul’s defense

Sean Combs’s defense lawyers on Tuesday will question a woman who dated the music mogul up until his arrest, and who has testified in agonizing detail that he pressured her into drug-fueled sex with escorts.After three days on the stand the woman speaking under the pseudonym Jane will face intense scrutiny from defense lawyers who have insisted that what prosecutors deem sex trafficking was in fact consensual.Jane told jurors how the final year of her relationship with the artist known as “Diddy” exploded into violence in June 2024.At the time Combs was already under investigation by federal authorities; his homes had been raided, and the now-infamous security footage of him assaulting his ex-girlfriend Casandra Ventura in a hotel was public.Throughout her testimony Jane, who began seeing Combs in early 2021, detailed how she had longed for a more traditional romantic relationship with him.But she said 90 percent of their time together resulted in sometimes days-long sex parties that saw Combs direct her to have sex with male escorts while he watched, even as she told him the encounters made her feel “sleazy” and “disgusted.”The June 2024 date at home was meant to be a chill night in, she said, but she and Combs got into a fight over his relationship with another woman.The argument escalated when Jane said she pushed Combs’s head onto a marble countertop and began hurling candles.”I was angry with him,” Jane said. “It was a built-up mix of everything… I just kept saying that I hated him.”Combs was livid: Jane told jurors he kicked down doors and ultimately put her in a chokehold. She managed to run out of the house barefoot but upon returning hours later he was still there. He kicked and punched her until she had a black eye and “golf-ball” sized welts, she said.Combs instructed her to ice the injuries and “put an outfit on.”Jane told jurors that she put on the requisite heels and lingerie for a so-called “hotel night” with Combs and a man he had invited.Through tears Jane said Combs gave her ecstasy and demanded she have sex with the man, and when she protested he said “you’re not going to ruin my fucking night.”When she said again she didn’t want to participate, he stood closely to her face as he asked in a “forceful” tone: “Then is this coercion?” Jane ultimately complied, and gave the escort oral sex: “I just felt like I wasn’t even in my own body,” she said.Jane told jurors Combs paid for her rent at the time and still does. He also continues to fund her legal costs.- ‘Sexual trauma’ -When Ventura — who last month testified of physical and psychological abuse in similarily excruciating detail — filed her 2023 civil lawsuit that opened the door for a federal investigation, Jane said she “almost fainted.””There was a whole other woman feeling the same thing,” Jane said.”I feel like I’m reading my own sexual trauma. It makes me sick how three solid pages, word for word, is exactly my experiences and my anguish,” she messaged Combs, in text records read in court.After weeks of back-and-forth, Jane said Combs called her a “con artist,” and threatened to show sexually explicit videos to the father of her child.She had previously testified at length that she felt “obligated” to participate in hotel nights for “fear of losing the roof over my head” that Combs was bankrolling.Jane said that following their physical fight in the summer of 2024, they saw each other twice more before his arrest last September.The 55-year-old faces life in prison if convicted of racketeering and sex trafficking.Jane’s story was not in the original indictment against Combs, but she was added after receiving a subpoena requiring she testify in November 2024 before a grand jury.She began speaking to prosecutors in January of this year.Jane testified that she told Combs’s defense team about the brawl last summer before she told prosecutors.She said she felt “obligated” to meet the defense team “due to my relationship.”Jane has not filed any civil suit against Combs, and said in court Monday she has no plans to.”I just pray for his continued healing,” she told jurors, “and I pray for peace for him.”The Manhattan federal trial is expected to last several more weeks.