Flavie Flament ressuscite “Le Schmilblic” sur France 3

L’animatrice Flavie Flament a ressuscité “Le Schmilblic”, jeu télé de la fin des années 1960 rendu célèbre par un sketch de Coluche, lundi dans le cadre de sa nouvelle émission sur France 3, “Flavie en France”.”On l’attendait tellement ce moment! Il nous obsède, ce +Schmilblic+ depuis qu’on sait qu’on va le faire”, a lancé l’animatrice …

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Stock markets rise as tech sector buoyed by fresh AI deal

Global stock markets mostly rose Monday as a fresh major AI deal fuelled a rally in the tech sector.Investors began November on the front foot after an upbeat end to October that saw easing China-US tensions, a cut to US interest rates and healthy earnings from market darlings including technology giant Amazon. “Tech and AI remain a huge theme for investors as we move into the final months of the year,” said Kathleen Brooks, research director at trading group XTB.Last week’s positive momentum carried into the new week, with fresh news driving AI stocks higher.Wall Street rose, with the tech-heavy Nasdaq Composite adding one percent.Shares in Amazon jumped 4.9 percent after ChatGPT-maker OpenAI signed a $38 billion deal with Amazon’s AWS cloud computing arm.The deal will give OpenAI, which is partly owned by AWS’s arch-rival Microsoft, access to computing resources including hundreds of thousands of state-of-the-art Nvidia GPUs, the crucial component of the generative artificial intelligence revolution.Shares in Nvidia — whose chips are key for many companies’ AI growth and became the first $5-trillion firm last week — rose three percent.Briefing.com analyst Patrick O’Hare said Nvidia’s performance was due to a Financial Times report that the United States will allow Microsoft to ship Nvidia semiconductors to the United Arab Emirates for the first time.Shares in Nvidia are up just over 50 percent since the start of the year.Frankfurt led gains in Europe, rising 0.9 percent in afternoon deals.Shares in European carmakers raced higher after China said on Saturday it will exempt some Nexperia chips from an export ban that was imposed over a row with Dutch authorities.Anxiety over chip shortages began when the Netherlands invoked a Cold War-era law in late September to effectively take control of Nexperia, whose parent company Wingtech is backed by the Chinese government.Shares in German automakers Mercedes-Benz and Volkswagen gained 2.1 percent in afternoon trading. Shares in global automaker Stellantis, which has European brands Peugeot, Fiat and Citroen in its stable of brands, rose by 1.5 percent in Paris.Shares in Ryanair climbed 3.2 percent after the no-frills airline announced a 20-percent gain in quarterly profit on the back of increased ticket prices.In Asia, Seoul piled on 2.8 percent, reaching a fresh record-high, as investors cheered a thawing of ties between South Korea and China.Tokyo was closed for a holiday.Investors were keeping tabs on any new trade developments after US President Donald Trump and Chinese President Xi Jinping met last week and agreed a deal to ease China’s rare earth curbs and lower US tariffs.Still, US Treasury Secretary Scott Bessent on Sunday warned that the White House could again hike levies on China should it block rare earth exports.Oil prices edged higher after the OPEC+ alliance announced at the weekend that it would lift output again in December, but then hold production steady in the first quarter of 2026. – Key figures at around 1430 GMT -New York – Dow: UP less than 0.1 percent at 47,599.69 pointsNew York – S&P 500: UP 0.5 percent at 6,874.62New York – Nasdaq Composite: UP 1.0 percent at 23,956.99London – FTSE 100: UP less than 0.1 percent at 9,721.53 Paris – CAC 40: DOWN 0.2 percent at 8,108.13Frankfurt – DAX: UP 0.9 percent at 24,179.04Hong Kong – Hang Seng Index: UP 1.0 percent at 26,158.36 (close)Shanghai – Composite: UP 0.6 percent at 3,976.52 (close)Tokyo – Nikkei 225: Closed for a holidayEuro/dollar: DOWN at $1.1509 from $1.1527 on FridayPound/dollar: DOWN at $1.3117 from $1.3139Dollar/yen: UP at 154.23 yen from 154.11 yenEuro/pound: UNCHANGED at 87.74 penceBrent North Sea Crude: UP less than 0.1 percent at $64.83 per barrelWest Texas Intermediate: UP less than 0.1 percent at $61.01 per barrelburs-rl/lth

Procès Le Scouarnec: une nouvelle audience pour l’indemnisation des victimes

La cour criminelle du Morbihan analyse lundi l’impact des violences sexuelles pour les centaines de victimes du pédocriminel Joël Le Scouarnec et pour leurs proches afin de les indemniser.L’audience a débuté un peu avant 14H30 à Vannes par une minute de silence en hommage à Maxime Tessier, avocat de Joël Le Scouarnec lors du procès pénal. L’avocat âgé de 34 ans s’est suicidé début juillet. Les sommes cumulées des dommages et intérêts devraient atteindre plusieurs centaines de milliers d’euros.Une cinquantaine de dossiers devraient être examinés et moins d’une dizaine d’avocats ont prévu de plaider.Une nouvelle audience doit se tenir le 4 décembre et d’autres suivront, “autant qu’il en faudra”, a précisé à l’AFP Marie-Line Pichon, secrétaire générale de la première présidence de la cour d’appel de Rennes. La cour a renvoyé lundi l’examen de certains dossiers au 4 mai 2026.Il s’agit “d’une nouvelle étape pour les victimes et covictimes dont elles entendent faire valoir toutes les conséquences engendrées sur leurs vies par les actes commis par le condamné”, notamment des parents et des proches qui “doivent être reconnus dans les souffrances qu’ils ont endurées en raison des conséquences des agissements du condamné sur leurs enfants”, indique le Collectif de victimes de Joël Le Scouarnec dans un communiqué.L’ex-chirurgien de 74 ans n’est pas présent devant la cour criminelle, la même qui l’a jugé pour des viols et agressions sexuelles de 1989 à 2014 sur près de 300 victimes, en majorité des patients mineurs au moment des faits. Elle l’a condamné fin mai à la peine maximale de 20 ans de réclusion.Il est représenté par deux avocats commis d’office, Corentin La Selve et Esther Prouzet, après le suicide de Maxime Tessier, 34 ans et le retrait de son avocat historique, Thibaut Kurzawa.Ils n’ont pas demandé le renvoi de l’audience, a indiqué Esther Prouzet à l’AFP, pour “ne pas retarder davantage ce lourd procès”, après plus de trois mois d’un procès pénal très éprouvant.- Suivi psychologique -Avec ces indemnisations, “la justice reconnaît symboliquement que quelqu’un est victime et que la personne a subi un préjudice”, explique Cécile de Oliveira, avocate de parties civiles.Les sommes permettront à des victimes de “suivre des thérapies qu’elles n’ont pas les moyens de payer”, souligne une autre avocate, Francesca Satta. Pour certaines victimes, agressées enfant et qui n’en avaient pas gardé de souvenir, ce besoin de suivi psychologique est apparu avec le procès, précise-t-elle.Certaines parties civiles seront présentes à Vannes car “c’est une occasion assez unique de voir ce qui s’y passe et de retrouver quelques visages familiers”, relève Gabriel Trouvé, une des victimes de l’ancien médecin. Certaines “peuvent voir dans cette audience la possibilité de passer à autre chose”, estime-t-il. Les décisions de la cour criminelle concernant ces intérêts seront rendues le 20 janvier 2026, a fait savoir lundi la présidente de la cour criminelle, Aude Buresi, sauf en cas de demande d’une expertise psychologique ou psychiatrique pour déterminer plus précisément le préjudice des parties civiles.Les demandes d’indemnisation cumulées devraient s’élever “à plusieurs centaines de milliers d’euros”, or M. Le Scouarnec peut difficilement “disposer d’une capacité financière aussi importante”, relève son avocate Me Prouzet.Dans ce cas, les parties civiles peuvent demander au Fonds de garantie des victimes (FGTI) de les indemniser. Elles doivent alors passer par la Commission d’indemnisation des victimes d’infractions (Civi), qui évaluera le montant du préjudice de manière autonome par rapport aux juges.Leur prise en charge “demeure à ce jour très inégalitaire et dépend trop du niveau d’informations accessibles”, déplore le Collectif de victimes de Joël Le Scouarnec, qui précise que les expertises par la Civi ont débuté début juin.

Procès Le Scouarnec: une nouvelle audience pour l’indemnisation des victimes

La cour criminelle du Morbihan analyse lundi l’impact des violences sexuelles pour les centaines de victimes du pédocriminel Joël Le Scouarnec et pour leurs proches afin de les indemniser.L’audience a débuté un peu avant 14H30 à Vannes par une minute de silence en hommage à Maxime Tessier, avocat de Joël Le Scouarnec lors du procès pénal. L’avocat âgé de 34 ans s’est suicidé début juillet. Les sommes cumulées des dommages et intérêts devraient atteindre plusieurs centaines de milliers d’euros.Une cinquantaine de dossiers devraient être examinés et moins d’une dizaine d’avocats ont prévu de plaider.Une nouvelle audience doit se tenir le 4 décembre et d’autres suivront, “autant qu’il en faudra”, a précisé à l’AFP Marie-Line Pichon, secrétaire générale de la première présidence de la cour d’appel de Rennes. La cour a renvoyé lundi l’examen de certains dossiers au 4 mai 2026.Il s’agit “d’une nouvelle étape pour les victimes et covictimes dont elles entendent faire valoir toutes les conséquences engendrées sur leurs vies par les actes commis par le condamné”, notamment des parents et des proches qui “doivent être reconnus dans les souffrances qu’ils ont endurées en raison des conséquences des agissements du condamné sur leurs enfants”, indique le Collectif de victimes de Joël Le Scouarnec dans un communiqué.L’ex-chirurgien de 74 ans n’est pas présent devant la cour criminelle, la même qui l’a jugé pour des viols et agressions sexuelles de 1989 à 2014 sur près de 300 victimes, en majorité des patients mineurs au moment des faits. Elle l’a condamné fin mai à la peine maximale de 20 ans de réclusion.Il est représenté par deux avocats commis d’office, Corentin La Selve et Esther Prouzet, après le suicide de Maxime Tessier, 34 ans et le retrait de son avocat historique, Thibaut Kurzawa.Ils n’ont pas demandé le renvoi de l’audience, a indiqué Esther Prouzet à l’AFP, pour “ne pas retarder davantage ce lourd procès”, après plus de trois mois d’un procès pénal très éprouvant.- Suivi psychologique -Avec ces indemnisations, “la justice reconnaît symboliquement que quelqu’un est victime et que la personne a subi un préjudice”, explique Cécile de Oliveira, avocate de parties civiles.Les sommes permettront à des victimes de “suivre des thérapies qu’elles n’ont pas les moyens de payer”, souligne une autre avocate, Francesca Satta. Pour certaines victimes, agressées enfant et qui n’en avaient pas gardé de souvenir, ce besoin de suivi psychologique est apparu avec le procès, précise-t-elle.Certaines parties civiles seront présentes à Vannes car “c’est une occasion assez unique de voir ce qui s’y passe et de retrouver quelques visages familiers”, relève Gabriel Trouvé, une des victimes de l’ancien médecin. Certaines “peuvent voir dans cette audience la possibilité de passer à autre chose”, estime-t-il. Les décisions de la cour criminelle concernant ces intérêts seront rendues le 20 janvier 2026, a fait savoir lundi la présidente de la cour criminelle, Aude Buresi, sauf en cas de demande d’une expertise psychologique ou psychiatrique pour déterminer plus précisément le préjudice des parties civiles.Les demandes d’indemnisation cumulées devraient s’élever “à plusieurs centaines de milliers d’euros”, or M. Le Scouarnec peut difficilement “disposer d’une capacité financière aussi importante”, relève son avocate Me Prouzet.Dans ce cas, les parties civiles peuvent demander au Fonds de garantie des victimes (FGTI) de les indemniser. Elles doivent alors passer par la Commission d’indemnisation des victimes d’infractions (Civi), qui évaluera le montant du préjudice de manière autonome par rapport aux juges.Leur prise en charge “demeure à ce jour très inégalitaire et dépend trop du niveau d’informations accessibles”, déplore le Collectif de victimes de Joël Le Scouarnec, qui précise que les expertises par la Civi ont débuté début juin.

Thousands evacuated as typhoon bears down on Philippines

Thousands were evacuated in coastal provinces of the Philippines on Monday, ahead of a typhoon due to make landfall in a region hit by some of the country’s deadliest storms.Typhoon Kalmaegi is on a collision course with Leyte island, bringing 120-kilometre (75-mile) per hour winds and gusts of up to 150 kph, according to the national weather service.”Evacuations are ongoing in Palo and Tanauan,” said Leyte disaster official Roel Montesa, naming two of the towns hardest hit by storm surges in 2013, when Super Typhoon Haiyan killed more than 6,000 people.Thousands of residents have also been evacuated since Sunday on neighbouring Samar island, where three-metre (10-foot) surges are predicted, according to civil defence official Randy Nicart.”Some local governments are resorting to forced evacuations, including Guiuan town, where the storm is likely to make landfall,” he said.The Philippines is hit by an average of 20 storms and typhoons each year, routinely striking disaster-prone areas where millions live in poverty.With Kalmaegi, the archipelago country has already reached that average, state weather service specialist Charmaine Varilla told AFP, adding that at least “three to five more” storms could be expected by December’s end.Just south of Leyte, in Dinagat Islands province, governor Nilo Demerey said 10,000 to 15,000 people had been pre-emptively moved to safer areas.”We have been implementing preemptive evacuations for the past two days, while there is time,” he told AFP.Disaster official Joy Conales said residents of Dinagat’s Loreto town were told to evacuate to higher ground.The town has a one-storey-tall “wave breaker” dike intended to protect its centre from big waves.Scientists warn that storms are becoming more powerful due to human-driven climate change.Varilla said Monday that higher numbers of cyclones typically accompany La Nina, a naturally occurring climate pattern that cools surface temperatures in the central and eastern equatorial Pacific Ocean.The Philippines was hit by two major storms in September, including Super Typhoon Ragasa, which toppled trees and tore the roofs off buildings, and killed 14 people in neighbouring Taiwan. 

Afghan govt says quake kills 20, injures over 500

A strong earthquake killed at least 20 people in northern Afghanistan, authorities said Monday, just months after another deadly tremor that left the country reeling.The 6.3-magnitude quake struck overnight at a depth of 28 kilometres (17 miles) with the epicentre near the city of Mazar-i-Sharif, according to the US Geological Survey.”All the houses were struck and people were hurt,” resident Ahmad Khan told AFP in Tashqurghan village as people searched through the rubble.”We’re asking the government to help with reconstruction.”Across Samangan and Balkh provinces “534 people have been injured and more than 20 fatalities have been taken to hospitals”, health ministry spokesman Sharafat Zaman told journalists.In Mazar-i-Sharif, one of Afghanistan’s largest northern cities, an AFP correspondent saw residents scrambling out into the streets.The city’s famed Blue Mosque, a 15th-century landmark known for its vibrant tiles, was also damaged.Pieces of the structure, particularly from one of its minarets, broke off and lay scattered across the mosque’s grounds, one of the country’s few remaining tourist spots.The culture ministry pledged to immediately take “the necessary measures to assess and repair the damage”.Correspondents in the capital Kabul, around 420 kilometres by road to the south, also felt shaking.Poor communication networks and infrastructure in mountainous Afghanistan have hampered disaster responses in the past, preventing authorities for hours or even days from reaching far-flung villages to assess the extent of the damage.- ‘Fear and uncertainty’ -The defence ministry said it had cleared and reopened the main road between Mazar-i-Sharif and the town of Kholm, and that it had rescued people who had been stranded there overnight.”Numerous homes have been destroyed, and significant material losses have been incurred,” Hamdullah Fitrat, deputy spokesman for the Taliban authorities, wrote on X, without specifying a number.It is the latest natural disaster for the Taliban government, which has faced three major deadly earthquakes since taking over Afghanistan in 2021, even as the foreign aid that formed the backbone of the country’s economy has dramatically dropped.In August, a shallow 6.0-magnitude quake in the country’s east wiped out mountainside villages and killed more than 2,200 people.According to the World Bank, the August earthquake caused an estimated $183 million worth of damage to buildings and infrastructure.The UN’s humanitarian agency, OCHA, estimates 221,000 people are still in “acute need” of assistance in the east.Save the Children, which is dispatching a team to Samangan, warned “thousands of children in the earthquake-devastated east of the country are facing the winter with only tents for protection”.”Now, families in the north are also experiencing fear and uncertainty,” said Samira Sayed Rahman, the charity’s programme development and advocacy director for Afghanistan.Earthquakes are common in Afghanistan, particularly along the Hindu Kush mountain range, near where the Eurasian and Indian tectonic plates meet.Large tremors in western Herat, near the Iranian border, in 2023, and in eastern Nangarhar province in 2022 killed hundreds and destroyed thousands of homes.Many homes in the predominantly rural country — devastated by decades of war — are shoddily built.Afghanistan is suffering from a humanitarian crisis compounded by drought, economic restrictions on the banking sector, and the pushback of millions of Afghan citizens from neighbouring Iran and Pakistan.The United Nations and aid agencies have warned that hunger is rising.

Angleterre : le suspect de l’attaque au couteau dans un train inculpé de tentatives de meurtre

Le suspect de l’attaque au couteau qui a fait dix blessés samedi dans un train en Angleterre a été inculpé lundi matin pour tentatives de meurtre, et accusé également d’une agression dans le métro londonien.Cinq des dix personnes blessées samedi soir sont toujours hospitalisées, dont un employé de la compagnie ferroviaire LNER qui a essayé d’arrêter l’assaillant et que la ministre des Transports, Heidi Alexander, a qualifié de “héros”.L’attaque a eu lieu dans un train parti de Doncaster (nord) vers la gare londonienne de King’s Cross. Le conducteur a changé d’itinéraire pour permettre à la police et aux secours d’intervenir en gare de Huntingdon (est), près de Cambridge, peu avant 20H00 locales et GMT.Anthony Williams, un Britannique de 32 ans né au Royaume-Uni, a comparu lundi devant un tribunal de Peterborough (est). Il a été placé en détention provisoire. Cet homme, qui est monté dans le train à grande vitesse à Peterborough, selon la police, a été inculpé de tentatives de meurtre à l’arme blanche contre dix personnes, et contre une onzième plus tôt dans la même journée dans l’est de Londres, à une station du réseau de métro automatique Docklands Light Rail (DLR).La police des transports “examine également d’autres infractions potentiellement liées” à cet homme, a déclaré son chef adjoint Stuart Cundy, cité dans le communiqué.- Huit minutes -Selon la ministre des transports, Anthony Williams n’était “pas connu des services de police antiterroriste, des services de sécurité” ou du programme britannique de prévention de la radicalisation.Interrogée sur Times Radio, la ministre n’a pas été en mesure de dire s’il était connu des services psychiatriques.Le responsable de la police des transports, John Loveless, avait indiqué dimanche que les services antiterroristes collaborent à l’enquête, mais qu'”à ce stade, rien ne suggère qu’il s’agit d’un incident terroriste”.Plusieurs témoins ont raconté aux médias la panique au sein du wagon, le “sang partout” et les cris pour prévenir les passagers qu’un homme “poignarde tout le monde”. Il s’est écoulé huit minutes entre le moment où le signal d’alarme a été tiré dans le train et l’arrestation du suspect.La ministre Heidi Alexander a rendu hommage à l’employé de la compagnie LNER qui s’est interposé, et qui se trouve toujours hospitalisé dans un état “critique” mais “stable”.”Cet homme est simplement arrivé pour faire son travail, et il est reparti en héros. De nombreuses personnes sont en vie aujourd’hui grâce à son action et son courage”, a-t-elle souligné sur la chaîne Sky News.Outre le suspect, la police locale avait arrêté samedi un autre homme âgé de 35 ans, qui a finalement été relâché, n’étant “pas impliqué” dans l’attaque.- Forte présence policière dans les gares -Dimanche, elle avait indiqué qu’Anthony Williams – dont le nom n’était pas encore connu – était un homme noir britannique, ajoutant que le deuxième homme était un Britannique d’origine caribéenne.Les forces de l’ordre ont donné ces précisions sur la nationalité et l’ethnicité des deux hommes dans le but d’empêcher les rumeurs et spéculations. De fausses informations avaient circulé à l’été 2024 sur le profil du meurtrier de trois fillettes à Southport (ouest), un Britannique d’origine rwandaise décrit à tort comme un demandeur d’asile, dont les crimes avaient suscité des émeutes anti-immigration. Une forte présence policière a été déployée dans les gares du pays et sera maintenue pendant plusieurs jours. La ministre des Transports a également promis de réévaluer les mesures de sécurité en vigueur.En Angleterre et au Pays de Galles, où la législation sur les armes à feu est très stricte, les violences à l’arme blanche ont fortement augmenté ces 15 dernières années, selon des chiffres officiels. Le Premier ministre a qualifié par le passé la situation de “crise nationale” et son gouvernement a durci l’accès à ces armes.