Ligue des champions: à 10, l’OM craque à Lisbonne

Pourtant bien lancé par un joli but d’Igor Paixao, l’OM, affaibli par l’expulsion d’Emerson Palmieri avant la pause, s’est incliné 2-1 mercredi sur la pelouse du Sporting Lisbonne, ce qui fragilise à nouveau sa position en Ligue des Champions.Marseille restait sur une belle série de cinq victoires d’affilée toutes compétitions confondues, et l’idée était d’entretenir la dynamique et d’essayer de montrer à l’extérieur les mêmes qualités que celles exposées régulièrement depuis près de deux mois au Stade Vélodrome.Mais mercredi, l’OM a été moins bon que ces dernières semaines et n’a pas su résister à 10 contre 11 pendant toute la deuxième période, victime aussi d’un sort contraire avec l’arbitrage, la vidéo venant trois fois annuler des décisions initialement favorables.La première, et la plus pesante, est venue à la 45e minute, alors que l’OM menait 1-0, quand ce que l’on a cru être le penalty du 2-0 s’est transformé en désastre: aidé par la VAR, l’arbitre a en effet finalement jugé qu’Emerson, déjà averti, avait simulé et l’OM s’est retrouvé à dix.Avant ce coup de théâtre, la première période de l’OM avait balancé entre maîtrise et étourderies. Quand le Sporting a été dangereux, c’est en effet presque à chaque fois parce que Marseille lui a donné les munitions.- Paixao brille encore -Dès la 3e minute, Leonardo Balerdi a ainsi été averti pour une faute très en retard sur Luis Suarez, très éphémère ex-Marseillais. Une passe ratée du défenseur argentin a offert une autre chance à Suarez (38e), quelques instants après un dangereux raté de Geronimo Rulli.Pour le reste, les hommes de Roberto De Zerbi, certes moins brillants que lors de certains matches récents, avaient globalement contrôlé les débats.Deux premières tentatives d’Igor Paixao (8e et 11e) avaient donné le ton mais le petit ailier Brésilien était en fait simplement en train de régler la mire: trois minutes plus tard, c’était la bonne.Au bout d’une belle action construite par Timothy Weah et Mason Greenwood, Pierre-Emerick Aubameyang a lancé Paixao d’une belle transversale et le tonitruant pied droit du Brésilien a fait le reste pour une superbe frappe enroulée en lucarne (1-0, 14e).Mais le match a donc vraiment basculé avec le carton rouge d’Emerson. En infériorité numérique, les Marseillais ont alors vraiment subi et ont trouvé très peu d’espaces ou d’occasions de respirer, pas aidés non plus par les entrées sans saveur de Matt O’Riley ou Amir Murillo.A la 58e minute, Rulli a d’abord repoussé sur son poteau un tir en angle fermé de Geovany Quenda, avant une nouvelle opportunité pour Joao Simoes (62e). Le Sporting poussait alors fort, au point d’enfin réveiller le placide stade José Alvalade.- Pavard malheureux -Et c’est alors qu’est arrivée une deuxième mauvaise nouvelle venue du VAR: alors que le but de Geny Catamo avait initialement été annulé pour hors-jeu, la vidéo a montré que le Mozambicain était en fait couvert par un demi-pied de Benjamin Pavard (1-1, 70e).Et alors qu’elle essayait de sauver un point, l’équipe de De Zerbi a au contraire été malheureuse une fois de plus à la 86e minute, quand la frappe d’Alisson Santos a été déviée par Benjamin Pavard, ne laissant aucune chance à Rulli.En toute fin de match, la VAR est encore intervenue pour transformer – assez logiquement – le carton rouge de Maximiliano Araujo en simple avertissement, confirmant que ça n’était décidément pas la soirée de l’OM.La victoire obtenue face à l’Ajax Amsterdam n’a pas été bonifiée à Lisbonne. Les Marseillais n’ont que trois points après trois matches et les deux réceptions à venir de l’Atalanta Bergame et Newcastle vaudront cher.Mais d’ici-là, il faut encore aller samedi à Lens et ça ne sera pas une mince affaire.

Ligue des champions: Bellingham offre la victoire au Real Madrid face à la Juve

Le Real Madrid, longtemps en échec face à une défense italienne solidaire, a fini par faire craquer la Juventus (1-0) mercredi grâce un but opportuniste de l’Anglais Jude Bellingham, enchaînant une troisième victoire en trois journées de Ligue des champions.C’est un refrain que l’on n’avait plus entendu depuis des lustres, au stade Santiago Bernabéu. Depuis plus de six mois, pour être exact.Mais les supporters merengue n’ont évidemment pas oublié le tube des Beatles “Hey Jude”, et l’ont entonné à l’unisson, pour célébrer le but de l’un de leurs chouchous, bien placé dans la surface pour reprendre une frappe du Brésilien Vinicius Junior, auteur avant cela d’un festival qui a fini sur le poteau gauche turinois (57e, 1-0).Une réalisation doublement salvatrice: pour le Real, d’abord, qui suit le rythme des autres cadors, le PSG, Arsenal ou le Bayern Munich, avec un troisième succès en trois journées, et pour le Golden Boy de Birmingham, aussi, après des mois de doutes, et un statut remis en cause depuis l’arrivée de Kylian Mbappé à l’été 2024.L’entraîneur madrilène Xabi Alonso, qui avait réaffirmé à plusieurs reprises sa confiance envers le milieu anglais, avait eu raison de se méfier, en annonçant en conférence de presse qu’une équipe italienne en difficulté peut être “doublement dangereuse”.La Vieille Dame, sans victoire depuis plus d’un mois, était venue dans la capitale espagnole avec ses armes du moment: un système en 3-4-3 sur le papier, qui s’est rapidement transformé en 5-3-2 resserré autour de sa surface de réparation, pour réduire au maximum les espaces donnés à Mbappé et Vinicius Junior.- La Juve a raté le coche -Cette approche minimaliste a permis aux hommes d’Igor Tudor, ex-entraîneur de l’OM déjà sur la sellette, de résister aux assauts de l’armada de stars madrilène, et de rentrer au vestiaires à 0-0, malgré une nette domination merengue, avec plus de 70% de possession.Les Bianconeri se sont même montrés les plus dangereux en début de partie, poussant le gardien belge Thibaut Courtois, qui fêtait sa 300e sous le maillot de la Maison Blanche, à deux parades sur des frappes du milieu amériain Weston McKennie (10e) et du défenseur italien Federico Gatti (14e).Ils n’ont, par la suite, fait que subir jusqu’à la pause, sans pour autant prendre l’eau, grâce à une enorme solidarité défensive digne des années Allegri, avec les Buffon, Chiellini ou Bonucci.Le milieu français Aurélien Tchouaméni fut le premier à alerter le gardien italien Michele Di Gregorio, à deux reprises de la tête (16e, 20e) sur corner, puis une troisième fois d’une demi-volée contrée par son compatriote Pierre Kalulu (26e).Le portier turinois, vigilant sur sa ligne, a ensuite eu la main ferme pour mettre en échec Mbappé, trouvé par Brahim Diaz en trébuchant (40e), et vu le festival du N.10 merengue côté droit terminer par une frappe un peu trop enlevée d’Eder Militao (43e).Le géant italien a eu deux opportunités de réaliser un joli braquage en début de deuxième période mais l’attaquant serbe Dusan Vlahovic, puis le prodige turc Kenan Yildiz, ont tous les deux buté sur un Courtois encore impérial (50e, 56e).La défense bianconera elle, a, assez cruellement, plié quelques secondes plus tard, à la suite du numéro de soliste de Vinicius, conclu par Bellingham (57e, 1-0), avant se s’en remettre à nouveau à Di Gregorio pour empêcher Valverde (67e), Mbappé, puis Brahim Diaz (70e) de creuser l’écart. L’essentiel est néanmoins assuré, pour le Roi d’Europe, encore poussif, mais encore vainqueur, pour la onzième fois en douze rencontres cette saison, à quatre jours du Clasico face au Barça.

US announces heavy Russia sanctions, says Putin wasn’t ‘honest’

President Donald Trump has slapped major sanctions on Russia’s two largest oil companies after concluding that Vladimir Putin was not being “honest and forthright” in Ukraine talks, the US treasury chief said Wednesday.The sanctions came a day after a planned Trump-Putin summit in Budapest was shelved, with Washington expressing its disappointment at the lack of progress in ceasefire negotiations with Moscow.”Given President Putin’s refusal to end this senseless war, Treasury is sanctioning Russia’s two largest oil companies that fund the Kremlin’s war machine,” US Treasury Secretary Scott Bessent said in a statement announcing the sanctions against Rosneft and Lukoil.He warned that Treasury was prepared “to take further action if necessary” to support President Donald Trump’s efforts to end the war. Speaking to Fox Business ahead of the official announcement, Bessent said the move was “one of the largest sanctions that we have done against the Russian Federation.” Trump has held off on new sanctions for months, saying he hoped to persuade Russian President Putin to make peace despite growing frustration with the Kremlin leader.But the 79-year-old Republican’s patience apparently ran out in the space of the six days since he spoke to Putin by telephone last Thursday.”President Putin has not come to the table in an honest and forthright manner, as we’d hoped,” Bessent told Fox Business.Bessent said that when the two leaders met in Alaska in August, “President Trump walked away when he realized that things were not moving forward.” “There have been behind-the-scenes talks, but I believe that the president is disappointed at where we are in these talks,” he added.The European Union said Wednesday it was also imposing new sanctions on Russia.They include a ban on importing liquefied natural gas from Russia by 2027, the blacklisting of oil tankers used by Moscow and travel curbs on Russian diplomats.Since returning to office in January, Trump has repeatedly dangled the threat of sanctions against Russia without pulling the trigger as he seeks an elusive end to Russia’s three-and-a-half-year war.Trump had held out hope of a ceasefire deal last week after speaking to Putin, saying that the two leaders had agreed to meet in Budapest within two weeks.Repeating a pattern of pivoting between Moscow and Kyiv, the US president at the same time stepped up the pressure on Ukrainian President Volodymyr Zelensky. Trump pushed Zelensky to give up territory, a Kyiv official told AFP, and turned down his plea for long-range Tomahawk missiles to strike deep into Russia.But Trump shifted once again on Tuesday, saying that he did not want to have a “wasted meeting,” ending the immediate prospect of a Putin summit.News of the sanctions drove oil prices higher in after-hours trading, with the benchmark WTI and Brent both gaining more than one percent. 

US says two dead in strike on alleged drug-smuggling boat in Pacific

A new US strike on an alleged drug-smuggling boat killed two people, Defense Secretary Pete Hegseth said Wednesday, announcing Washington’s first such attack on a vessel in the Pacific Ocean.The strike — which Hegseth announced in a post on X alongside a video of a boat being engulfed in flames — brings the total number to at least eight, with at least 34 people dead.”There were two narco-terrorists aboard the vessel during the strike, which was conducted in international waters. Both terrorists were killed and no US forces were harmed in this strike,” Hegseth said of Tuesday’s action in the eastern Pacific.”Just as Al-Qaeda waged war on our homeland, these cartels are waging war on our border and our people. There will be no refuge or forgiveness — only justice,” he wrote.President Donald Trump’s administration has said in a notice to Congress that the United States is engaged in “armed conflict” with Latin American drug cartels, describing them as terrorist groups as part of its justification for the strikes.”The president determined these cartels are non-state armed groups, designated them as terrorist organizations, and determined that their actions constitute an armed attack against the United States,” said the notice from the Pentagon, which also described suspected smugglers as “unlawful combatants.”But Washington has not released evidence to support its assertion that the targets of its strikes are drug smugglers, and experts say the summary killings are illegal even if they target confirmed narcotics traffickers.- Regional tensions -There were survivors of a US strike for the first time last week, but Washington chose to repatriate them rather than put them on trial for their alleged crimes.Ecuador released one after finding no evidence that he had committed a crime, while authorities in Colombia said the other — who “arrived with brain trauma, sedated, drugged, breathing with a ventilator” — would face prosecution.The US military campaign — which has seen Washington deploy stealth warplanes and Navy ships as part of what it says are counter-narcotics efforts — has fueled tensions with countries in the region.This is especially the case with Venezuela, where the buildup of US forces has sparked fears that the ultimate goal is the overthrow of President Nicolas Maduro, whom Washington accuses of heading a drug cartel.The United States has not specified the origin of the vessels it has targeted — seven boats and one semi-submersible — but has said that some were destroyed off the coast of Venezuela in international waters.Meanwhile, a public feud between Trump and Colombia’s leftist leader Gustavo Petro intensified in recent weeks over the Republican president’s deadly anti-drug campaign.Trump on Sunday vowed to end all aid to the South American nation — a historically close US partner and the world’s leading cocaine producer — and branded Petro, who has accused the US president of murder, as an “illegal drug dealer.”Colombia on Monday recalled its ambassador to the United States, but Petro met with the top US diplomat in his country the following day to discuss counter-narcotics efforts, with Bogota’s foreign ministry saying the two sides “reaffirmed the commitment of both parties to improve drug fighting strategies.”

Wall Street pâtit des résultats décevants de Netflix

La Bourse de New York a terminé en baisse mercredi, plombée par les résultats trimestriels bien en dessous des attentes du géant du streaming Netflix, sur fond d’incertitudes persistantes sur le plan commercial.Le Dow Jones a perdu 0,71%, l’indice Nasdaq a reculé de 0,93% et l’indice élargi S&P 500 a lâché 0,53%.Le début de la saison des résultats d’entreprises a été “globalement solide”, mais “les performances de Netflix ont été mal accueillies (…) et pèsent sur le moral” des investisseurs, souligne Jose Torres, d’Interactive Brokers.De par sa valorisation, Netflix “reflète des attentes élevées, et si le groupe ne répond pas à ces attentes, le marché va avoir du mal à l’accepter”, commente auprès de l’AFP Dave Grecsek, d’Aspirant.Le géant du streaming a dégagé au troisième trimestre un bénéfice de 2,5 milliards de dollars, soit nettement moins qu’anticipé, en raison d’un litige fiscal au Brésil.Ce coup de frein à sa rentabilité insolente a fait dégringoler son titre de 10,07% à 1.116 dollar, au plus bas depuis le mois de mai.La place américaine attend désormais les résultats d’autres grandes entreprises de la tech, dont le spécialiste des véhicules électriques Tesla après la clôture, puis l’entreprise de semi-conducteurs et processeurs Intel, jeudi. “La question est de savoir si le marché ne s’est pas trop emballé concernant les valeurs liées à l’intelligence artificielle” (IA), note M. Grecsek.En parallèle, Wall Street surveille les derniers développements sur le front commercial, alors que Donald Trump a affirmé mardi s’attendre à conclure un “bon” accord avec Pékin.Le président américain a toutefois averti que la rencontre prévue la semaine prochaine avec son homologue chinois Xi Jinping pourrait ne pas se produire.”Il faudra du temps aux deux pays pour négocier, (…) une partie de la volatilité liée aux droits de douane pourrait revenir sur le devant de la scène”, prévient Dave Grecsek.Côté indicateurs, la place américaine attend la publication vendredi de l’indice des prix à la consommation (CPI) pour septembre, initialement repoussée en raison de la paralysie budgétaire (“shutdown”) qui frappe le pays.”Si le chiffre est supérieur aux prévisions, cela peut bouleverser les attentes d’une politique monétaire accommodante auxquelles les marchés s’accrochent fermement”, avance M. Grecsek.Les investisseurs anticipent une baisse d’un demi-point d’ici à la fin de l’année.Dans ce contexte d’incertitudes, sur le marché obligataire, le rendement à échéance dix ans des emprunts de l’Etat américain se détendait légèrement vers 20H10 GMT, à 3,95% contre 3,96% mardi en clôture.Il évolue à des niveaux plus vus depuis avril, après l’annonce de droits de douane tous azimuts par Donald Trump.Au tableau des valeurs, le spécialiste des composants électroniques Texas  Instruments a chuté (-5,60% à 170,71 dollars) après avoir une nouvelle fois fait état de prévisions bien en deçà des attentes du marché.Le géant américain du jouet Mattel (-2,76% à 18,30 dollars) a souffert de résultats trimestriels en baisse et inférieurs aux attentes, affectés par un décalage des commandes du commerce de détail. L’entreprise a toutefois confirmé ses prévisions annuelles.Le constructeur automobile américain General Motors a terminé dans le vert (+1,05% à 67,32 dollars) après avoir dévoilé mercredi ses ambitions pour son véhicule du futur, annonçant notamment un partenariat avec l’assistant IA Gemini de Google.

Ligue des champions: Liverpool se fait peur puis déroule à Francfort (5-1)

Mené au score à la demi-heure de jeu, Liverpool a retrouvé le chemin de la victoire mercredi soir à Francfort (5-1), notamment grâce à ses Français Hugo Ekitiké et Ibrahima Konaté, mettant fin à une série de quatre revers consécutifsBattu il y a trois semaines par Galatasaray à Istanbul (1-0), Liverpool se devait de s’imposer à Francfort, pour ne pas être distancé en Ligue des champions, alors que le choc à Anfield contre le Real Madrid est programmé dans deux semaines.Grâce à cette deuxième victoire en trois matches de Ligue des champions cette saison (après celle contre l’Atlético Madrid 3-2), les coéquipiers de Virgil van Dijk se replacent dans la course au top 8, directement qualificatif pour les huitièmes de finale.Arne Slot a décidé en début de rencontre de laisser son attaquant égyptien Mohamed Salah sur le banc (il est entré en jeu pour le dernier quart d’heure), alignant en attaque le Suédois Alexander Isak et Hugo Ekitiké, avec Cody Gapko et Florian Wirtz pour compléter l’animation offensive.Symbole d’une équipe en plein doute, les Reds ont concédé l’ouverture du score à la 26e minute, contre le cours du jeu, alors que Liverpool avait pris le contrôle de la partie depuis un gros quart d’heure.Sur une contre-attaque initiée par une récupération de la balle de Nathaniel Brown à proximité de sa surface de réparation, Francfort s’est retrouvé en quelque secondes devant le but du champion d’Angleterre. L’action limpide a été conclue par Rasmus Kristensen, idéalement servi par Mario Götze.- Passe décisive pour Wirtz -Le salut des hommes d’Arne Slot st venue d’un ancien de l’Eintracht, Hugo Ekitiké. Alors que Francfort était en position offensive, Andy Robertson a profité d’une défense de l’Eintracht montée pour lancer Ekitiké dans la profondeur sur une ouverture lumineuse de 50 mètres. L’international français a alors redressé sa course pour croiser Robin Koch, puis tromper Michael Zetterer et égaliser pour Francfort à la 35e minute.Ekitiké, qui a évolué de janvier 2024 à juillet 2025 à Francfort avant de rejoindre Liverpool, n’a pas célébré son but.Liverpool s’en est ensuite remis à ses coups de pieds arrêtés pour regagner les vestiaires avec deux buts d’avance. C’est le capitaine van Dijk qui a pris le meilleur entre deux défenseurs de Francfort, trouvé parfaitement par Dominik Szoboszlai (39e).Et juste avant le temps additionnel de la première période, sur un corner cédé par l’Eintracht à la suite d’une mésentente entre Hugo Larsson et Zetterer, c’est Ibrahima Konaté qui a été trouvé par Szoboszlai (44e).En seconde période, alors que Zetterer a repoussé plusieurs tentatives, Cody Gakpo (66e) et Szoboszlai (70e) ont alourdi l’addition pour Francfort, dont la défense est trop friable en ce début de saison.Un peu plus en vue mercredi soir, Florian Wirtz a délivré sa première passe décisive en Ligue des champions sous le maillot des Reds, pour Gakpo.

US troops train in Panama jungle, as tensions simmer with Venezuela

The US military carried out small-scale survival and jungle combat drills on Panama’s Caribbean coast Wednesday, as Washington amassed a vast naval presence off Venezuela.Under a scorching sun, about a dozen US Marines armed with assault rifles simulated storming a bunker at the former US Fort Sherman base near the Atlantic entrance to the Panama Canal. The facilities now serve as a training ground for US Marines and Panamanian police under a cooperation program launched in August.Panama said about 50 US Marines would train from October 9 to 29 in its jungle to improve their skills “in one of the most demanding environments.””This training is purely aimed at our defense and protection” to fight “organized crime and drug trafficking,” Panamanian Major Didier Santamaria told AFP.A similar course in August “focused only on survival; this one adds some tactics and jungle tracking,” said US Colonel Ada Cotto.The mission is to “create knowledge and mutual relationships” that can be shared “for both countries,” she said.The drills come amid tension between the United States and Venezuela, whose president Nicolas Maduro accuses Washington of plotting to overthrow him.Washington has sent several warships and thousands of troops to Caribbean region.But Cotto denied any link between the US exercises and plans to intervene in Venezuela.”We are not preparing for anything,” she said when asked if the training was related to the Venezuelan crisis.“Everything is transparent and by invitation of the Panamanian government,” she added.The agreement was signed amid pressure from US President Donald Trump, who threatened to take control of the Panama Canal, refusing to rule out the use of force.