Dans le ciel, la mer, l’Australie à l’affût des attaques de requins

Au-dessus des plages de Sydney, des drones surveillent l’un des prédateurs les plus meurtriers de l’océan, guettant le moindre mouvement de queue, de nageoire ou d’ombre glissant à travers les vagues.Les eaux australiennes abritent de nombreux requins, qui effraient sans dissuader les passionnés de nage, surf et autres sports aquatiques. En 2024, près des deux …

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Pluies record dans le centre du Vietnam: des milliers de personnes évacuées

Des milliers de personnes ont été évacuées au Vietnam après des pluies diluviennes record de plus d’un mètre en 24 heures qui ont submergé la ville de Hué, dans le centre du pays, a annoncé mardi le ministère de l’Environnement.Tandis que des habitants portant des capes de pluies pataugent dans des eaux allant parfois jusqu’à …

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Cyberharcèlement de Brigitte Macron: à la barre, Zoé Sagan défend le droit à “la satire”

Aurélien Poirson-Atlan, connu sous le pseudonyme de Zoé Sagan, l’un des principaux prévenus accusés d’avoir cyberharcelé Brigitte Macron, cible d’une infox l’accusant d’être une femme trans, a revendiqué mardi au deuxième jour du procès le droit à “la satire”, qu’il considère comme “l’ADN du pays”.Les réquisitions contre les dix prévenus, âgés de 41 à 65 ans, jugés depuis lundi devant le tribunal correctionnel de Paris, sont attendues en fin de journée. Le jugement devrait ensuite être mis en délibéré.Cette riposte judiciaire en France, doublée d’une plainte aux États-Unis, intervient après quatre ans de polémiques et de rumeurs qui n’ont cessé d’enfler, largement relayées par les réseaux complotistes et d’extrême droite.Le compte X de M. Poirson-Atlan, 41 ans, supprimé depuis, a fait l’objet de plusieurs plaintes et est souvent présenté comme lié aux sphères complotistes d’extrême droite, ce qu’il a réfuté avec force à la barre.Zoé Sagan est un “personnage de fiction”, a expliqué le publicitaire, costume bleu cintré, une “intelligence artificielle féminine” “instigatrice d’un nouveau genre littéraire.”L’écart d’âge entre les époux Macron est considéré comme un “crime sexuel” par Zoé Sagan, une “pédophilie cautionnée par l’Etat” sur la plateforme d’Elon Musk.Outre ses propos visant Brigitte Macron, le publicitaire est connu pour avoir diffusé les vidéos à caractère sexuel du macroniste Benjamin Griveaux, qui avait dû renoncer en février 2020 à briguer la mairie de Paris.Toujours selon lui, Candace Owens est un “phénomène de société”, “une dinguerie” qui sera “étudiée dans les écoles de journalisme”.Le couple présidentiel a engagé cet été des poursuites contre la podcasteuse d’extrême droite, auteure d’une série de vidéos vue plusieurs millions de fois, intitulée “Becoming Brigitte” (“Devenir Brigitte”).Plusieurs personnes jugées à Paris ont relayé les publications virales de l’Américaine, se réjouissant de voir “l’affaire Brigitte” s’internationaliser.Absente du procès, l’épouse du chef de l’Etat a indiqué aux enquêteurs que la rumeur avait eu “un très fort retentissement” sur son entourage et sur elle-même, rapportant que ses petits-enfants entendaient dire que “leur grand-mère est un homme”. Sa fille est attendue mardi à la barre.M. Poirson-Atlan a été applaudi à la fin de son passage à la barre.Lundi, plusieurs prévenus – courtier, professeur de sport ou informaticien – ont exprimé leur surprise d’avoir à répondre de publications “satiriques”, relevant selon eux de la liberté d’expression. La médium, Delphine J., connue sous le pseudo d’Amandine Roy, a souhaité exercer son droit au silence à la barre, expliquant qu’elle s’était déjà longuement “exprimée”.La Bretonne de 51 ans est l’autrice d’une vidéo virale publiée en 2021 affirmant que Brigitte Macron n’aurait jamais existé et que son frère Jean-Michel aurait pris son identité après une transition de genre.Vue plus de quatre millions de fois et depuis retirée de la plateforme, elle a largement contribué à amplifier la rumeur, selon les dires de Brigitte Macron rapportés par le président du tribunal.   

Cyberharcèlement de Brigitte Macron: à la barre, Zoé Sagan défend le droit à “la satire”

Aurélien Poirson-Atlan, connu sous le pseudonyme de Zoé Sagan, l’un des principaux prévenus accusés d’avoir cyberharcelé Brigitte Macron, cible d’une infox l’accusant d’être une femme trans, a revendiqué mardi au deuxième jour du procès le droit à “la satire”, qu’il considère comme “l’ADN du pays”.Les réquisitions contre les dix prévenus, âgés de 41 à 65 ans, jugés depuis lundi devant le tribunal correctionnel de Paris, sont attendues en fin de journée. Le jugement devrait ensuite être mis en délibéré.Cette riposte judiciaire en France, doublée d’une plainte aux États-Unis, intervient après quatre ans de polémiques et de rumeurs qui n’ont cessé d’enfler, largement relayées par les réseaux complotistes et d’extrême droite.Le compte X de M. Poirson-Atlan, 41 ans, supprimé depuis, a fait l’objet de plusieurs plaintes et est souvent présenté comme lié aux sphères complotistes d’extrême droite, ce qu’il a réfuté avec force à la barre.Zoé Sagan est un “personnage de fiction”, a expliqué le publicitaire, costume bleu cintré, une “intelligence artificielle féminine” “instigatrice d’un nouveau genre littéraire.”L’écart d’âge entre les époux Macron est considéré comme un “crime sexuel” par Zoé Sagan, une “pédophilie cautionnée par l’Etat” sur la plateforme d’Elon Musk.Outre ses propos visant Brigitte Macron, le publicitaire est connu pour avoir diffusé les vidéos à caractère sexuel du macroniste Benjamin Griveaux, qui avait dû renoncer en février 2020 à briguer la mairie de Paris.Toujours selon lui, Candace Owens est un “phénomène de société”, “une dinguerie” qui sera “étudiée dans les écoles de journalisme”.Le couple présidentiel a engagé cet été des poursuites contre la podcasteuse d’extrême droite, auteure d’une série de vidéos vue plusieurs millions de fois, intitulée “Becoming Brigitte” (“Devenir Brigitte”).Plusieurs personnes jugées à Paris ont relayé les publications virales de l’Américaine, se réjouissant de voir “l’affaire Brigitte” s’internationaliser.Absente du procès, l’épouse du chef de l’Etat a indiqué aux enquêteurs que la rumeur avait eu “un très fort retentissement” sur son entourage et sur elle-même, rapportant que ses petits-enfants entendaient dire que “leur grand-mère est un homme”. Sa fille est attendue mardi à la barre.M. Poirson-Atlan a été applaudi à la fin de son passage à la barre.Lundi, plusieurs prévenus – courtier, professeur de sport ou informaticien – ont exprimé leur surprise d’avoir à répondre de publications “satiriques”, relevant selon eux de la liberté d’expression. La médium, Delphine J., connue sous le pseudo d’Amandine Roy, a souhaité exercer son droit au silence à la barre, expliquant qu’elle s’était déjà longuement “exprimée”.La Bretonne de 51 ans est l’autrice d’une vidéo virale publiée en 2021 affirmant que Brigitte Macron n’aurait jamais existé et que son frère Jean-Michel aurait pris son identité après une transition de genre.Vue plus de quatre millions de fois et depuis retirée de la plateforme, elle a largement contribué à amplifier la rumeur, selon les dires de Brigitte Macron rapportés par le président du tribunal.   

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Climat: des plans très loin de la bonne trajectoire pour respecter l’accord de Paris

Les plans climatiques élaborés par les pays du monde devraient réduire les émissions de gaz à effet de serre de seulement “environ 10% d’ici 2035” selon un calcul de l’ONU publié mardi, qui reste très partiel en raison du retard d’une centaine de pays à publier leurs feuilles de route.Le Giec – les scientifiques mandatés par les Nations unies sur le climat – estime que les émissions doivent baisser de 60% à cet horizon, par rapport à 2019, pour avoir une bonne chance de limiter le réchauffement à 1,5°C par rapport à la période préindustrielle, le but le plus ambitieux de l’accord de Paris de 2015.Mais le rapport de synthèse des engagements climatiques des pays à l’horizon 2035, publié à neuf jours du sommet de dirigeants du monde les 6 et 7 novembre à Belem au Brésil avant la COP30, montre que le monde n’est pas du tout sur la bonne trajectoire.Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a anticipé la semaine dernière en soulignant que “nous ne parviendrons pas à contenir le réchauffement climatique en dessous de 1,5°C dans les prochaines années”.L’ONU a évalué les plans nationaux déposés à l’heure, à fin septembre, qui fixent un objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre et détaillent les moyens d’y parvenir. Mais plus d’une centaine manquent à l’appel, dont celui de l’Union européenne (UE), qui n’a fourni qu’une fourchette indicative, ou de la Chine, qui ne l’a pas formalisé à temps.L’ONU n’a donc pu inclure que les données de 64 pays dans sa synthèse et est incapable d’actualiser la trajectoire de réchauffement du monde, estimée l’an dernier à 2,1-2,8°C d’ici à la fin du siècle.Les données compilées, qui reflètent les engagements de pays représentant moins d’un tiers des émissions mondiales, “donnent une image assez limitée”, reconnaît Simon Stiell, le secrétaire exécutif de l’ONU Climat.- “Loin d’être suffisant” -Pour avoir une image plus complète, l’ONU a fait des calculs incluant les lettres d’intention de la Chine ou de l’UE. Mais aussi l’engagement américain dévoilé par Joe Biden, avant le retour de Donald Trump, qui est complètement caduc… ce qui rend le calcul mondial très fragile.”Cette image plus large, bien qu’encore incomplète, montre que les émissions mondiales devraient baisser d’environ 10% d’ici 2035″, indique Simon Stiell.”L’humanité est clairement en train d’infléchir la courbe des émissions à la baisse pour la première fois, même si cela reste encore loin d’être suffisant”, a-t-il souligné.Ces conclusions nourriront les vifs débats de la COP30, la grande conférence annuelle de l’ONU pour laquelle des pays européens et petites îles exposées aux ravages climatiques exigent que la question de la baisse des émissions, et donc des énergies fossiles, soit débattue.Le groupe des petits Etats insulaires (Aosis) a qualifié mardi d'”alarmante” l’absence de nouvelles cibles de la part de certains grands pays et estimé que la lenteur des progrès devrait représenter une “onde de choc pour chaque citoyen”. Avec un climat déjà en moyenne 1,4°C plus chaud aujourd’hui, de nombreux scientifiques estiment désormais que le seuil de 1,5°C sera très probablement atteint avant la fin de cette décennie, l’humanité continuant à brûler toujours plus de pétrole, de gaz fossile et de charbon.”La science est tout aussi claire: les températures peuvent et doivent absolument être ramenées à 1,5°C le plus rapidement possible après tout dépassement temporaire, en accélérant considérablement le rythme sur tous les fronts”, a insisté Simon Stiell.  Il est en effet théoriquement possible de dépasser de quelques dixièmes le seuil de 1,5°C puis d’y redescendre plus tard en absorbant des quantités industrielles de CO2 dans l’atmosphère, de manière naturelle (forêts) ou en ayant recours à des technologies de captage, aujourd’hui marginales et peu matures.Une solution risquée et dangereuse: un dépassement même temporaire entraînerait des “conséquences irréversibles”, ont mis en garde des scientifiques dans une vaste étude publiée l’an dernier dans Nature.

Climat: des plans très loin de la bonne trajectoire pour respecter l’accord de Paris

Les plans climatiques élaborés par les pays du monde devraient réduire les émissions de gaz à effet de serre de seulement “environ 10% d’ici 2035” selon un calcul de l’ONU publié mardi, qui reste très partiel en raison du retard d’une centaine de pays à publier leurs feuilles de route.Le Giec – les scientifiques mandatés par les Nations unies sur le climat – estime que les émissions doivent baisser de 60% à cet horizon, par rapport à 2019, pour avoir une bonne chance de limiter le réchauffement à 1,5°C par rapport à la période préindustrielle, le but le plus ambitieux de l’accord de Paris de 2015.Mais le rapport de synthèse des engagements climatiques des pays à l’horizon 2035, publié à neuf jours du sommet de dirigeants du monde les 6 et 7 novembre à Belem au Brésil avant la COP30, montre que le monde n’est pas du tout sur la bonne trajectoire.Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a anticipé la semaine dernière en soulignant que “nous ne parviendrons pas à contenir le réchauffement climatique en dessous de 1,5°C dans les prochaines années”.L’ONU a évalué les plans nationaux déposés à l’heure, à fin septembre, qui fixent un objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre et détaillent les moyens d’y parvenir. Mais plus d’une centaine manquent à l’appel, dont celui de l’Union européenne (UE), qui n’a fourni qu’une fourchette indicative, ou de la Chine, qui ne l’a pas formalisé à temps.L’ONU n’a donc pu inclure que les données de 64 pays dans sa synthèse et est incapable d’actualiser la trajectoire de réchauffement du monde, estimée l’an dernier à 2,1-2,8°C d’ici à la fin du siècle.Les données compilées, qui reflètent les engagements de pays représentant moins d’un tiers des émissions mondiales, “donnent une image assez limitée”, reconnaît Simon Stiell, le secrétaire exécutif de l’ONU Climat.- “Loin d’être suffisant” -Pour avoir une image plus complète, l’ONU a fait des calculs incluant les lettres d’intention de la Chine ou de l’UE. Mais aussi l’engagement américain dévoilé par Joe Biden, avant le retour de Donald Trump, qui est complètement caduc… ce qui rend le calcul mondial très fragile.”Cette image plus large, bien qu’encore incomplète, montre que les émissions mondiales devraient baisser d’environ 10% d’ici 2035″, indique Simon Stiell.”L’humanité est clairement en train d’infléchir la courbe des émissions à la baisse pour la première fois, même si cela reste encore loin d’être suffisant”, a-t-il souligné.Ces conclusions nourriront les vifs débats de la COP30, la grande conférence annuelle de l’ONU pour laquelle des pays européens et petites îles exposées aux ravages climatiques exigent que la question de la baisse des émissions, et donc des énergies fossiles, soit débattue.Le groupe des petits Etats insulaires (Aosis) a qualifié mardi d'”alarmante” l’absence de nouvelles cibles de la part de certains grands pays et estimé que la lenteur des progrès devrait représenter une “onde de choc pour chaque citoyen”. Avec un climat déjà en moyenne 1,4°C plus chaud aujourd’hui, de nombreux scientifiques estiment désormais que le seuil de 1,5°C sera très probablement atteint avant la fin de cette décennie, l’humanité continuant à brûler toujours plus de pétrole, de gaz fossile et de charbon.”La science est tout aussi claire: les températures peuvent et doivent absolument être ramenées à 1,5°C le plus rapidement possible après tout dépassement temporaire, en accélérant considérablement le rythme sur tous les fronts”, a insisté Simon Stiell.  Il est en effet théoriquement possible de dépasser de quelques dixièmes le seuil de 1,5°C puis d’y redescendre plus tard en absorbant des quantités industrielles de CO2 dans l’atmosphère, de manière naturelle (forêts) ou en ayant recours à des technologies de captage, aujourd’hui marginales et peu matures.Une solution risquée et dangereuse: un dépassement même temporaire entraînerait des “conséquences irréversibles”, ont mis en garde des scientifiques dans une vaste étude publiée l’an dernier dans Nature.

Warnings grow of executions, ethnic cleansing in Sudan’s El-Fasher

Reports were mounting on Tuesday of ethnically motivated atrocities in the western Sudanese city of El-Fasher since its capture by paramilitaries, with allies of the army accusing fighters of executing “more than 2,000” civilians.El-Fasher fell to the Rapid Support Forces (RSF) after more than 18 months of brutal siege warfare, giving the group control over every state capital in the vast Darfur region.Allies of the army, the Joint Forces, said on Tuesday that the RSF “committed heinous crimes against innocent civilians in the city of El-Fasher, where more than 2,000 unarmed citizens were executed and killed on October 26 and 27, most of them women, children and the elderly”.Local groups and international NGOs had warned that El-Fasher’s fall could trigger mass atrocities, fears that Yale University’s Humanitarian Research Lab said were coming true.The monitor, which relies on open source intelligence and satellite imagery, said the city “appears to be in a systematic and intentional process of ethnic cleansing of Fur, Zaghawa, and Berti indigenous non-Arab communities through forced displacement and summary execution”.This included what appeared to be “door-to-door clearance operations” in the city.In a report published on Monday, it said the actions of the RSF “may be consistent with war crimes and crimes against humanity and may rise to the level of genocide”.The same day, UN rights chief Volker Turk spoke of a growing risk of “ethnically motivated violations and atrocities” in El-Fasher.His office said it was “receiving multiple, alarming reports that the Rapid Support Forces are carrying out atrocities, including summary executions”.Pro-democracy activists, meanwhile, said El-Fasher residents had endured “the worst forms of violence and ethnic cleansing” since the RSF claimed control.A video released by local activists and authenticated by AFP shows a fighter known for executing civilians in RSF-controlled areas shooting a group of unarmed civilians sitting on the ground at point-blank range.The paramilitaries have a track record of atrocities, having killed as many as 15,000 civilians from non-Arab groups in the West Darfur capital of El-Geneina.The army, which has been fighting the RSF since April 2023, has also been accused of war crimes.- ‘Harder to unwind’ -More than a year and a half of siege warfare made El-Fasher one of the grimmest places in a war that the UN has labelled among the world’s worst humanitarian crises.Displacement camps outside the city were officially declared to be in famine, while inside it, people turned to animal fodder for food.The UN warned before the city’s fall that 260,000 people remained trapped there without aid, half of them children.The African Union’s chairman Mahmoud Ali Youssouf on Tuesday expressed “deep concern over the escalating violence and reported atrocities”, and condemned “alleged war crimes and ethnically targeted killings of civilians”. The Sudanese army chief, General Abdel Fattah al-Burhan, said on Monday that his forces had withdrawn from El-Fasher “to a safer location”, acknowledging the loss of the strategic city.He pledged to fight “until this land is purified”, but analysts said that Sudan was now effectively partitioned along an east-west axis, with the RSF having already set up a parallel government.Alan Boswell, project director for the Horn of Africa at the International Crisis Group, told AFP: “The longer this war drags on, this division will likely only grow more concrete and harder to unwind.”- Foreign backers -Anwar Gargash, an adviser to the president of the United Arab Emirates, called the city’s capture a “turning point” that showed “the political path is the only option to end the civil war”.The UAE has been accused by the UN of supplying the RSF with weapons, a charge it denies. It is also a member of the so-called Quad — alongside the United States, Saudi Arabia and Egypt — which is working for a negotiated peace.The group has proposed a ceasefire and a transitional civilian government that excludes both the army and the RSF from power.Talks last week in Washington involving the Quad made no progress.The army has its own foreign backers in Egypt, Saudi Arabia, Iran and Turkey, observers have reported. They too have denied the claims.In March, the army retook full control of the Sudanese capital Khartoum, but with both sides now having achieved significant gains neither appears willing to compromise in negotiations.

Warnings grow of executions, ethnic cleansing in Sudan’s El-FasherTue, 28 Oct 2025 11:09:59 GMT

Reports were mounting on Tuesday of ethnically motivated atrocities in the western Sudanese city of El-Fasher since its capture by paramilitaries, with allies of the army accusing fighters of executing “more than 2,000” civilians.El-Fasher fell to the Rapid Support Forces (RSF) after more than 18 months of brutal siege warfare, giving the group control over …

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