Stocks mixed as investors track US-China trade talks
Global stock markets diverged on Tuesday as investors waited for the outcome of US-China talks aimed at cementing a fragile trade war truce between the world’s two biggest economies.US and European indices were mixed, and Asia mostly closed down, with analysts saying much was riding on the talks in London, which were in their second day.US Commerce Secretary Howard Lutnick told Bloomberg Television that the talks were “going well” and that he expected Tuesday’s discussions to last “all day”.With talks dragging on, “the lack of positive headlines weighed on stocks and the dollar,” said Kathleen Brooks, research director at XTB trading platform.Analysts said that any positive sign of agreement would fuel a rise in equities — but that could be restrained.”We wouldn’t bank on a big turnaround thanks to any potential trade breakthroughs,” said Thomas Mathews, head analyst of Asia Pacific markets for Capital Economics.”We doubt that the US will back off completely. That’s likely to restrain any relief rally,” he said.The talks were expected to be dominated by Chinese exports of rare earth minerals used in a wide range of things including smartphones, electric vehicle batteries and green technology.In New York, the broad S&P 500 index and the tech-heavy Nasdaq were both trading higher, but the blue-chip Dow was struggling.In Europe, Paris’s CAC 40 was barely higher, and Frankfurt’s Dax slipped.European shares could be weakened by the conspicuous lack of any deal between Washington and Brussels before a July 9 deadline for 50-percent US tariffs to take effect.Brooks said the upside for the dollar — which was weaker on Tuesday — was limited, depending on the scope of any US-China agreement.”For the dollar to meaningfully retrace some recent losses, we do not think that positive headlines will be enough,” she said.”A trade agreement with an actionable plan to get trade between the US and China flowing freely for the long term is the only way to stop the slide in the buck, in our view.”While other markets sputtered, London’s FTSE 100 index was on course to close at a record high after weak UK unemployment data raised the chances of the Bank of England cutting interest rates into next year, which often propels stock prices.Investors are also awaiting key US inflation data this week, which could impact the Federal Reserve’s monetary policy.Analysts warn Trump’s tariffs will refuel inflation, strengthening the argument to keep interest rates on hold instead of lowering them when the Fed meets next week.The Fed faces pressure from the president to cut rates.Oil prices ticked up, partly from continued uncertainty about the direction of US-Iran talks on Tehran’s nuclear programme. Iran said a new round of talks was planned for Sunday, in the Omani capital Muscat — but Trump had earlier said the meeting was expected on Thursday. Each side has drawn up proposals for the other to consider.- Key figures at around 1335 GMT -New York – Dow: FLAT at 42,752.41 pointsNew York – S&P 500: UP 0.1 percent at 6,012.73New York – Nasdaq Composite: UP 0.1 percent at 19,608.41London – FTSE 100: UP 0.5 percent at 8,873.85Paris – CAC 40: FLAT at 7,793.72Frankfurt – DAX: DOWN 0.4 percent at 24,076.70Tokyo – Nikkei 225: UP 0.3 percent at 38,211.51 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.1 percent at 24,162.87 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.4 percent at 3,384.82 (close)Euro/dollar: UP at $1.1445 from $1.1420 on MondayPound/dollar: DOWN at $1.3531 from $1.3552Dollar/yen: DOWN at 144.49 yen 144.60 yenEuro/pound: UP 84.58 pence from 84.27 penceBrent North Sea Crude: UP 0.4 percent at $67.33 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.4 percent at $65.53 per barrel
Wall Street en petite hausse, attend des nouvelles des pourparlers sino-américains
La Bourse de New York évolue en petite hausse mardi, les investisseurs restant attentifs à l’évolution des négociations commerciales entre Pékin et Washington, au deuxième jour de leur rencontre à Londres.Vers 13H40 GMT, le Dow Jones était à l’équilibre (+0,02%), l’indice Nasdaq avançait de 0,27% et l’indice élargi S&P 500 de 0,19%.”Le marché fait preuve d’attentisme”, résume auprès de l’AFP Art Hogan, de B. Riley Wealth Management.Il y a “peu de conviction en ce début de journée, les acteurs du marché attendant les détails des négociations commerciales entre les États-Unis et la Chine”, commentent pour leur part les analystes de Briefing.com.Les deux puissances ont repris mardi à Londres leurs discussions, dans la plus grande discrétion, avec l’objectif de consolider la fragile trêve arrachée il y a un mois à Genève malgré leurs différends.La deuxième journée de pourparlers dans la capitale britannique a débuté dans la matinée, a indiqué à l’AFP un porte-parole du Trésor américain. “J’ai de bons échos. Tout se passe bien avec la Chine. Mais la Chine n’est pas facile”, avait déclaré le président américain Donald Trump à la presse lundi en fin de journée.”Ce qui ressortira de ces conversations” sera “le prochain catalyseur” pour la place américaine, note M. Hogan.Les marchés espèrent des progrès aussi significatifs que lors des négociations suisses: Pékin et Washington étaient alors parvenus à un accord sur une réduction substantielle de leurs tarifs douaniers respectifs pendant 90 jours.Côté indicateurs, là aussi, les investisseurs sont dans l’expectative: plusieurs données seront publiés dans les prochains jours, dont l’inflation mercredi (indice CPI), l’indice des prix à la production jeudi (indice PPI) et une première estimation de la confiance des consommateurs vendredi.”Le CPI et le PPI du mois dernier ont été relativement conformes aux attentes et nous n’avons pas observé de flambée”, rappelle M. Hogan. “Il sera intéressant de voir si les droits de douane ont eu un impact inflationniste, en particulier sur les biens”, ajoute l’analyste.Sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’État américains à 10 ans se détendait encore, à 4,44%, contre 4,47% la veille en clôture.Ailleurs, à la cote, Apple avançait très légèrement (+0,15% à 201,75 dollars), certains investisseurs s’étant montré quelque peu déçus des premières annonces du groupe lors de sa grande conférence des développeurs (WWDC) qui a débuté lundi. Déjà en retard sur ses concurrents dans le déploiement de l’intelligence artificielle (IA) générative, Apple continue d’avancer très prudemment, laissant de nombreux analystes sur leur faim.Le géant américain de la restauration rapide McDonald’s perdait du terrain (-1,24% à 300,94 dollars) après que les analystes de Redburn Atlantic ont révisé à la baisse leur recommandation, inquiets de l’évolution des habitudes de consommation due aux médicaments amaigrissants et à l’inflation.Paramount perdait de son côté 0,46% à 11,94 dollars après des informations de presse selon lesquelles le groupe va limoger 3,5% de ses effectifs. Le spécialiste des véhicules électriques Tesla était recherché (+1,50% à 313,21 dollars) alors que ses robotaxis autonomes doivent être déployés dans les prochains jours à  Austin (Texas).La semaine dernière, l’entreprise avait connu une lourde chute provoquée par la passe d’armes entre son patron Elon Musk et Donald Trump.
South Africa gamble on Mulder at number three in WTC final against AustraliaTue, 10 Jun 2025 13:56:22 GMT
South Africa captain Temba Bavuma admitted all-rounder Wiaan Mulder lacks experience at the top of the batting order after picking him to bat at number three against Australia in the World Test Championship final at Lord’s.Mulder has only batted twice in Test matches at number three, making 15 against Sri Lanka in November and five …
Bateau pour Gaza: Greta Thunberg renvoyée par Israël en avion, d’autres militants en attente d’expulsion
Israël a annoncé mardi que la Suédoise Greta Thunberg avait été renvoyée par avion en Suède via la France, après avoir été arrêtée à bord d’un bateau d’aide pour Gaza avec d’autres militants pro-palestiniens qui ont été emmenés à l’aéroport Ben Gourion en vue de leur expulsion.A son arrivée à l’aéroport parisien de Roissy, Greta Thunberg a déclaré à des journalistes que les 12 personnes qui se trouvaient à bord du voilier Madleen avaient été “kidnappées” par Israël lors de l’interception du bateau en mer.”Nous avons été kidnappés dans les eaux internationales et emmenés contre notre gré en Israël”, a-t-elle dit, affirmant n’avoir “enfreint aucune loi” avec l’équipage du voilier parti d’Italie le 1er juin pour “briser le siège” de Gaza.C’est la première fois depuis plusieurs années que Greta Thunberg, une icône de la lutte contre le changement climatique et soucieuse de réduire son propre impact carbone, prend l’avion. Selon une source aéroportuaire, elle doit s’envoler à destination de Stockholm dans la soirée.Parmi les 12 personnes qui se trouvaient à bord du voilier, le Madleen, un Français a accepté d’être expulsé dès mardi tandis que cinq autres ont décliné dans l’attente d’une décision de justice, a annoncé le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot.Le bateau avec des militants français, allemand, brésilien, turc, suédois, espagnol et néerlandais, voulait “briser le blocus israélien” de Gaza, en proie à une situation humanitaire désastreuse après plus de 20 mois d’une guerre déclenchée par l’attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien Hamas le 7 octobre 2023 sur Israël.- Vus par des diplomates -La marine israélienne a arraisonné le bateau lundi matin à environ 185 kilomètres à l’ouest de la côte de Gaza. Il a été affrété par la Coalition de la flottille pour la liberté, un mouvement international non violent de soutien aux Palestiniens lancé en 2010, combinant aide humanitaire et protestation politique contre le blocus du territoire palestinien.Les passagers du bateau ont été conduits mardi à l’aéroport Ben Gourion en vue de leur rapatriement, selon le ministère israélien des Affaires étrangères.”Ceux qui refusent de signer les documents d’expulsion et de quitter Israël seront traduits devant une autorité judiciaire, conformément à la loi israélienne, pour autoriser leur expulsion”, a indiqué le ministère sur son compte X, ajoutant que les militants avaient rencontré à l’aéroport les consuls de leurs pays respectifs.Les six militants français ont reçu la visite de diplomates français, a indiqué Jean-Noël Barrot.Outre Greta Thunberg, l’eurodéputée franco-palestinienne de gauche Rima Hassan figure dans le groupe, ainsi que deux journalistes.Le ministre français a indiqué qu’un Français avait choisi de signer le formulaire acceptant son expulsion et qu’il devrait regagner la France dès aujourd’hui. “Les cinq autres ont décliné et leur éventuelle expulsion aura lieu après décision du juge israélien dans les prochains jours”, a-t-il précisé dans une déclaration écrite, sans mentionner l’identité du Français qui sera immédiatement expulsé.- “Provocation” -Après avoir atteint la côte égyptienne, le Madleen s’était approché de Gaza en dépit des mises en garde d’Israël contre toute tentative de “briser le blocus maritime” imposé au territoire, “dont l’objectif principal est d’empêcher le transfert d’armes au Hamas”, considéré comme un organisation terroriste par Israël, les Etats-Unis et l’Union européenne notamment.Le gouvernement du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a accusé lundi “Greta Thunberg et les autres (d’avoir) essayé de mettre en scène une provocation médiatique dans le seul but de se faire de la publicité”.Voulant également “briser le blocus israélien” de Gaza, une caravane de solidarité, composée de centaines de Tunisiens, est par ailleurs passée mardi en Libye, selon les organisateurs.Israël fait face à une forte pression internationale pour mettre fin à la guerre. Les bombardements quotidiens de son armée ont dévasté la bande de Gaza, où la population est menacée de famine du fait du siège et des fortes limitations sur l’aide humanitaire, selon l’ONU.L’attaque du Hamas le 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1.219 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles. Sur les 251 personnes alors enlevées, 54 restent retenues à Gaza, dont au moins sont 32 mortes, selon les autorités israéliennes.Plus de 54.880 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans l’offensive israélienne de représailles à Gaza, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.
Bateau pour Gaza: Greta Thunberg renvoyée par Israël en avion, d’autres militants en attente d’expulsion
Israël a annoncé mardi que la Suédoise Greta Thunberg avait été renvoyée par avion en Suède via la France, après avoir été arrêtée à bord d’un bateau d’aide pour Gaza avec d’autres militants pro-palestiniens qui ont été emmenés à l’aéroport Ben Gourion en vue de leur expulsion.A son arrivée à l’aéroport parisien de Roissy, Greta Thunberg a déclaré à des journalistes que les 12 personnes qui se trouvaient à bord du voilier Madleen avaient été “kidnappées” par Israël lors de l’interception du bateau en mer.”Nous avons été kidnappés dans les eaux internationales et emmenés contre notre gré en Israël”, a-t-elle dit, affirmant n’avoir “enfreint aucune loi” avec l’équipage du voilier parti d’Italie le 1er juin pour “briser le siège” de Gaza.C’est la première fois depuis plusieurs années que Greta Thunberg, une icône de la lutte contre le changement climatique et soucieuse de réduire son propre impact carbone, prend l’avion. Selon une source aéroportuaire, elle doit s’envoler à destination de Stockholm dans la soirée.Parmi les 12 personnes qui se trouvaient à bord du voilier, le Madleen, un Français a accepté d’être expulsé dès mardi tandis que cinq autres ont décliné dans l’attente d’une décision de justice, a annoncé le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot.Le bateau avec des militants français, allemand, brésilien, turc, suédois, espagnol et néerlandais, voulait “briser le blocus israélien” de Gaza, en proie à une situation humanitaire désastreuse après plus de 20 mois d’une guerre déclenchée par l’attaque sanglante du mouvement islamiste palestinien Hamas le 7 octobre 2023 sur Israël.- Vus par des diplomates -La marine israélienne a arraisonné le bateau lundi matin à environ 185 kilomètres à l’ouest de la côte de Gaza. Il a été affrété par la Coalition de la flottille pour la liberté, un mouvement international non violent de soutien aux Palestiniens lancé en 2010, combinant aide humanitaire et protestation politique contre le blocus du territoire palestinien.Les passagers du bateau ont été conduits mardi à l’aéroport Ben Gourion en vue de leur rapatriement, selon le ministère israélien des Affaires étrangères.”Ceux qui refusent de signer les documents d’expulsion et de quitter Israël seront traduits devant une autorité judiciaire, conformément à la loi israélienne, pour autoriser leur expulsion”, a indiqué le ministère sur son compte X, ajoutant que les militants avaient rencontré à l’aéroport les consuls de leurs pays respectifs.Les six militants français ont reçu la visite de diplomates français, a indiqué Jean-Noël Barrot.Outre Greta Thunberg, l’eurodéputée franco-palestinienne de gauche Rima Hassan figure dans le groupe, ainsi que deux journalistes.Le ministre français a indiqué qu’un Français avait choisi de signer le formulaire acceptant son expulsion et qu’il devrait regagner la France dès aujourd’hui. “Les cinq autres ont décliné et leur éventuelle expulsion aura lieu après décision du juge israélien dans les prochains jours”, a-t-il précisé dans une déclaration écrite, sans mentionner l’identité du Français qui sera immédiatement expulsé.- “Provocation” -Après avoir atteint la côte égyptienne, le Madleen s’était approché de Gaza en dépit des mises en garde d’Israël contre toute tentative de “briser le blocus maritime” imposé au territoire, “dont l’objectif principal est d’empêcher le transfert d’armes au Hamas”, considéré comme un organisation terroriste par Israël, les Etats-Unis et l’Union européenne notamment.Le gouvernement du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a accusé lundi “Greta Thunberg et les autres (d’avoir) essayé de mettre en scène une provocation médiatique dans le seul but de se faire de la publicité”.Voulant également “briser le blocus israélien” de Gaza, une caravane de solidarité, composée de centaines de Tunisiens, est par ailleurs passée mardi en Libye, selon les organisateurs.Israël fait face à une forte pression internationale pour mettre fin à la guerre. Les bombardements quotidiens de son armée ont dévasté la bande de Gaza, où la population est menacée de famine du fait du siège et des fortes limitations sur l’aide humanitaire, selon l’ONU.L’attaque du Hamas le 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1.219 personnes du côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles. Sur les 251 personnes alors enlevées, 54 restent retenues à Gaza, dont au moins sont 32 mortes, selon les autorités israéliennes.Plus de 54.880 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans l’offensive israélienne de représailles à Gaza, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.
Le ton monte autour des orques de Marineland, toujours dans l’impasse
Le ton est monté ces derniers jours entre le Marineland d’Antibes et le gouvernement, formalisant l’impasse dans laquelle se trouvent Wikie (24 ans) et son fils Keijo (11 ans), les deux orques du parc fermé depuis six mois.”Il est urgent que vous preniez vos responsabilités pour régler cette situation que vous avez vous-même provoquée (… et) dont vous serez tenue responsable le moment venu”, a dénoncé la direction du parc la semaine dernière dans un courrier adressé à la ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher.”Il me semble que le parc a une responsabilité de prendre en charge les animaux qui leur ont permis de faire des profits pendant des années. C’est maintenant au parc de nous faire des propositions”, a répliqué la ministre, interrogée à Nice en marge du sommet de l’ONU sur l’océan. Fermé en raison du désamour du public pour ce modèle de parc et de la loi de 2021 sur le bien-être animal qui interdira à partir de fin 2026 les spectacles de cétacés, sa principale attraction, Marineland a vu Mme Pannier-Runacher lui refuser en novembre d’envoyer les orques dans un parc au Japon, puis Madrid mettre son veto mi-avril à un transfert à Tenerife, dans le seul parc européen équipé. Dans son courrier, que l’AFP a pu consulter, Marineland enjoint la ministre à insister auprès des autorités espagnoles ou à donner son feu vert pour le Japon: “Vous savez parfaitement qu’il n’existe aucune autre solution”.”Aujourd’hui, il n’y en a aucune au plan mondial pour des orques”, a reconnu Mme Pannier-Runacher.Seule l’ONG Sea Shepherd y croit encore: “On a des lieux pressentis en Grèce”, explique Lamya Essemlali, présidente de Sea Shepherd France, qui a proposé de mettre cinq millions d’euros sur la table et se dit confiante de trouver les dons et mécénats nécessaires pour faire tourner un sanctuaire offrant à la fois une issue décente à la crise et “des perspectives de recherche absolument passionnantes” sur les orques.En attendant, Sea Shepherd a obtenu du tribunal administratif de Nice une expertise sur l’état des bassins de Marineland pour s’assurer qu’ils puissent garder les orques le temps qu’un sanctuaire soit prêt.Une option inadmissible pour le parc, qui évoque “des bassins en fin de vie” et “une situation intenable” pour les orques comme pour les soigneurs, qui ne peuvent se projeter et qui sont aussi victimes de harcèlement.Plutôt discrets, ces derniers ont diffusé une vidéo lundi sur Facebook: “Nous sommes présents à Marineland sept jours sur sept, avec les animaux, pour s’occuper d’eux”, ont-ils insisté, en déclinant chacun son prénom et le nombre d’années passées à Marineland: 5, 10, 18, 26… jusqu’à 38.