Les centres communaux d’action sociale ne seront pas facultatifs, annonce Rebsamen

Les communes de plus de 1.500 habitants auront toujours l’obligation d’avoir un centre communal d’action sociale (CCAS), a annoncé mardi le ministre de l’Aménagement du territoire François Rebsamen.Interrogé à l’Assemblée nationale sur les velléités du gouvernement de supprimer cette obligation faite aux communes de plus de 1.500 habitants afin de moderniser l’action publique, François Rebsamen a annoncé que le gouvernement renonçait finalement à cette mesure.”Devant les craintes exprimées (…), je vous annonce qu’aucun amendement du gouvernement ne sera déposé à propos des PPL (propositions de loi, ndlr) de simplification qui sont en cours de navette en ce moment. Cette liberté ne sera pas confiée aux collectivités et nous ne supprimerons pas les CCAS”, a déclaré le ministre.Lors du “Roquelaure de la simplification” organisé fin avril, le ministère de l’Aménagement du territoire, également chargé des collectivités, avait annoncé la possibilité pour les maires de choisir “librement s’ils doivent mettre en place, ou non, un CCAS”.”Ce qui avait été envisagé (…) c’est de donner aux élus locaux un maximum de liberté dans leur mode de gestion, donc de renforcer en quelque sorte la libre administration des collectivités locales”, a reconnu François Rebsamen, indiquant qu’il n’a “jamais été question de supprimer” les CCAS. “Le social, c’est le cÅ“ur des compétences des communes (…) Les pauvres sont en difficulté en France. Il appartient aux communes de les aider avec le soutien de l’État”, a-t-il ajouté.Cette annonce intervient alors que le Sénat examine une proposition de loi visant à “renforcer et sécuriser le pouvoir préfectoral de dérogation afin d’adapter les normes aux territoires”.Un amendement gouvernemental à l’article 4 bis prévoyait initialement de permettre aux préfets d’autoriser les communes à ne pas créer de CCAS.Une “ligne rouge” pour l’Union nationale des centres communaux d’action sociale (Unccas), qui représente 9.600 communes. L’organisation avait appelé à une “mobilisation massive” ce mardi, dénonçant “une attaque directe contre un pilier bicentenaire du service public de proximité (…) souvent le seul rempart contre l’isolement et la précarité”.”Avec 14 % de pauvres en France, dont 20 % des mères isolées et 10 % des seniors, c’est d’un renforcement des moyens dont les CCAS ont besoin”, avaient expliqué samedi les principales associations du bloc communal dans une tribune publiée dans Ouest-France.Selon l’Unccas, la France compte quelque 15.000 CCAS et CIAS (centre intercommunal d’action sociale) dont le rôle est de lutter contre l’exclusion et soutenir les plus fragiles.

La Banque mondiale revoit en baisse ses prévisions de croissance pour 2025

La Banque mondiale (BM) a revu à son tour en baisse ses prévisions de croissance économique pour l’année en cours, sur fond de tensions commerciales persistantes, et alerte sur le fait que les années 2020 pourraient connaître la croissance la plus faible depuis 60 ans.Selon son rapport sur les perspectives économiques mondiales publié mardi, la croissance mondiale devrait atteindre 2,3% cette année, soit une baisse de 0,4 point de pourcentage (pp) par rapport à ce que l’institution anticipait en début d’année.Cette tendance s’inscrit dans le sens des perspectives publiées ces derniers mois par le Fonds monétaire international (FMI) et l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), confirmant le ralentissement en cours de l’économie mondiale.”Il y a tout juste six mois, un atterrissage en douceur paraissait en vue (…). Désormais, il semble que nous courons vers de nouvelles turbulences. Sans correction de la trajectoire, les conséquences sur les conditions de vie pourraient être profondes”, a alerté le chef économiste de la BM, Indermit Gill, lors d’une conférence de presse en ligne.En cause, les effets de la hausse des droits de douane aux Etats-Unis voulus par Donald Trump et la guerre commerciale qu’elle a entraînée entre Washington et Pékin, avec à la clé un ralentissement du commerce mondial.Et ces effets pourraient être encore pire: si les surtaxes américaines devaient augmenter de 10pp, avec par exemple le retour des droits de douane dits “réciproques”, l’économie mondiale ralentirait à 1,8% de croissance cette année et 2% en 2026.”A cause du haut niveau d’incertitude politique et de l’augmentation de la fragmentation du commerce, nos perspectives pour 2025 et 2026 se sont détériorées”, a insisté M. Gill.Certes, la BM écarte le risque de récession pour cette année, mais elle estime que “si les prévisions sur les deux prochaines années se matérialisent”, l’économie mondiale connaîtra sur les sept premières années de la décennie 2020 sa plus faible croissance moyenne depuis les années 1960.- “Zones sans développement” -Le ralentissement se concentre en particulier dans les principales économies, et tout spécialement les plus avancées.Les perspectives pour l’économie américaine sont ainsi revues à la baisse de quasiment 1pp par rapport à janvier, à 1,4% désormais attendu cette année, avant une légère reprise à 1,6% en 2026.L’économie de la zone euro perd 0,3pp par rapport au précédent rapport, avec une croissance anticipée à 0,7% cette année puis à peine mieux en 2026, à 0,8%.Les conséquences sont aussi très concrètes pour les pays émergents et en développement, qui sont, “en dehors de l’Asie, des zones sans développement”, actuellement, s’est inquiété M. Gill.”La croissance dans les économies en développement a ralenti au cours des trois dernières décennies. Il en va de même du commerce mondial et de la croissance des investissements. Alors que dans le même temps, la dette a grimpé à des niveaux records”, a-t-il détaillé.Pour ces pays, la croissance moyenne devrait atteindre 3,8% cette année, avant de remonter légèrement à 3,9% en 2026 et 2027, soit en moyenne 1pp de moins que durant la décennie 2010, alors que, dans le même temps, l’inflation devrait se maintenir à des niveaux supérieurs à ceux connus avant la pandémie de Covid-19.- “Travailler de bonne foi” -Le ralentissement est marqué pour les principaux pays émergents. La croissance chinoise est désormais attendue à 4,5% cette année et en ralentissement les deux suivantes, quand l’Inde résiste mieux, à 6,3% en 2025.Le reste du monde pourrait cependant rebondir en cas de réduction des tensions commerciales entre principales économies mondiales, ce qui aurait un effet positif en réduisant les incertitudes politiques et la volatilité financière observées ces derniers mois.En particulier si “tout le monde travaille de bonne foi”, notamment pour “réduire les barrières tarifaires et non tarifaires avec les Etats-Unis”, a souligné M. Gill.Mais la BM invite également les pays en développement à nouer d’autres partenariats commerciaux, en diversifiant leurs débouchés. Elle appelle notamment à renforcer les liens intrarégionaux, idée aussi avancée par le FMI.En parallèle, elle appelle à poursuivre les réformes visant à améliorer le climat des affaires, l’efficacité du marché de l’emploi et à renforcer les ressources financières des Etats.

Death Row inmates to be executed in Alabama, Florida

An Alabama man who murdered his girlfriend is to be put to death by nitrogen gas on Tuesday, one of at least three executions to be carried out in the United States this week.Gregory Hunt, 65, was convicted of the 1988 rape and murder of 32-year-old Karen Lane, whom he had been dating for a month.Hunt is to be executed by nitrogen hypoxia, which involves pumping nitrogen gas into a facemask, causing the prisoner to suffocate.The execution is to be carried out at 6:00 pm Central Time (2300 GMT) at the Alabama state prison in Atmore.It will be the fifth execution in the southern US state using nitrogen gas, which has been denounced by UN experts as cruel and inhumane.Only one other US state, Louisiana, has used this method.Hunt’s execution is one of two scheduled for Tuesday.Anthony Wainwright, 54, is to be put to death by lethal injection at 6:00 pm Eastern Time (2200 GMT) at the Florida state prison in Raiford.Wainwright was convicted of the 1994 rape and murder of Carmen Gayheart, a 23-year-old nursing student and mother of two young children.Wainwright and an accomplice, Richard Hamilton, abducted Gayheart three days after escaping from a prison in North Carolina.Hamilton was also sentenced to death for Gayheart’s murder but died in prison.A third execution this week is scheduled to take place on Thursday in Oklahoma, where John Hanson, 61, is to be put to death for the 1999 kidnapping and murder of Mary Bowles, 77.Hanson’s execution has been temporarily put on hold by a judge amid claims his rights were violated during a clemency hearing.Oklahoma Attorney General Gentner Drummond has asked an appeals court to lift the stay to allow the execution to go ahead.The fourth execution this week is to be carried out in South Carolina, where Stephen Stanko, 57, is to be put to death by lethal injection.Stanko was convicted of the 2005 murders of his girlfriend, 43-year-old Laura Ling, and Henry Turner, a 74-year-old friend.There have been 19 executions in the United States this year: 15 by lethal injection, two by firing squad and two using nitrogen gas.The death penalty has been abolished in 23 of the 50 US states, while three others — California, Oregon and Pennsylvania — have moratoriums in place.President Donald Trump is a proponent of capital punishment and called on his first day in office for an expansion of its use “for the vilest crimes.”

Foot: Massy et Poissy derniers candidats pour le grand stade du PSG

Massy et Poissy, seuls en course: le PSG a retenu mardi les candidatures des deux villes franciliennes pour la construction de son grand stade, effectuant un pas de plus en dehors du Parc des Princes, son enceinte historique.Avec la constitution de cette “short-list”, le PSG franchit une étape supplémentaire dans sa volonté de quitter son stade fétiche depuis 1974, dont la capacité (48.000 places) est jugée insuffisante par ses dirigeants mais que la Mairie de Paris refuse de lui vendre pour y mener des travaux d’agrandissement.Le club est “désormais prêt à approfondir ses études sur les communes de Massy (Essonne) et de Poissy (Yvelines), en lien étroit avec les partenaires locaux”, a ainsi indiqué le PSG dans un communiqué.Le président du conseil départemental de l’Essonne, François Durovray, a souligné la “formidable opportunité” pour le département si le choix se porte sur Massy.Poissy a pour lui “sa proximité immédiate avec le Campus Paris Saint-Germain (le centre d’entraînement du PSG, ndlr), l’ancrage local du club et la qualité d’un partenariat de longue date”.”Cette sélection est le fruit d’un travail collectif exemplaire, comme celui qui nous avait permis d’accueillir le centre d’entraînement en 2016″, a également réagi Karl Olive, député des Yvelines et ancien maire de Poissy.- Positions irréconciliables -Le club, qui vise la construction d’une enceinte de “60.000 à 90.000 places”, prévoit de trancher définitivement “fin 2026”, a-t-on appris auprès d’une source proche du club.  D’ici là, le PSG, détenu par le fonds qatari QSI (Qatar Sports Investments), va opérer des études poussées sur les deux sites, selon la même source. Le club accroit ainsi la fracture, déjà béante, avec la mairie de Paris avec qui les relations sont glaciales depuis plus de deux ans en raison de l’opposition farouche d’Anne Hidalgo à la vente du Parc des Princes. Signe des tensions, l’édile n’a pas été invitée à assister à la finale de la Ligue des champions remportée contre l’Inter Milan (5-0) à Munich, le 31 mai, ni aux festivités du lendemain dans la capitale.  Le PSG a longtemps caressé l’espoir de devenir acquéreur du Parc des Princes, où il dispose d’un bail emphytéotique jusqu’en 2044, et d’augmenter sa jauge. Un montant de 38 millions d’euros avait été évoqué dans les discussions “avant qu’elles ne soient rompues par les dirigeants du club”, selon Pierre Rabadan, adjoint d’Anne Hidalgo en charge des sports. Un montant jugé “largement insuffisant si le Parc était à vendre”.- “Pas près de partir” -Face au refus de la Mairie de Paris, le club a fait part l’an dernier de son intention de déménager sur un site dont il serait le propriétaire.Les positions semblent pour l’heure irréconciliables puisque Anne Hidalgo a réitéré le 2 juin son veto à toute cession du Parc des Princes mais s’est dite “ouverte” à des discussions avec le PSG pour l’agrandir.”Tout le monde veut” que les joueurs du PSG “restent au Parc des Princes et nous les premiers”, a pourtant commenté Pierre Rabadan après l’annonce des deux sites choisis par le PSG.Le club a lui martelé que la construction d’un grand stade dont il serait propriétaire était “une condition essentielle pour accompagner durablement sa croissance”.”Pour rester compétitif, nous devons disposer d’un stade à la hauteur de nos ambitions, capable d’accueillir un plus grand nombre de supporters dans les meilleures conditions”, a déclaré, le directeur général du PSG. Les supporteurs, angoissés à l’idée de voir leur équipe quitter le cÅ“ur de la capitale pour des communes situées à 30 (Poissy) ou 25 km (Massy), peuvent toutefois se rassurer: ce projet mettra de nombreuses années avant de voir éventuellement le jour. “Le club est toujours très attaché au Parc des Princes et il n’est pas près d’en partir. Et si jamais il redevient vendable, il pourra être une option qui sera réétudiée”, a expliqué à l’AFP une source proche du PSG. 

Foot: Massy et Poissy derniers candidats pour le grand stade du PSG

Massy et Poissy, seuls en course: le PSG a retenu mardi les candidatures des deux villes franciliennes pour la construction de son grand stade, effectuant un pas de plus en dehors du Parc des Princes, son enceinte historique.Avec la constitution de cette “short-list”, le PSG franchit une étape supplémentaire dans sa volonté de quitter son stade fétiche depuis 1974, dont la capacité (48.000 places) est jugée insuffisante par ses dirigeants mais que la Mairie de Paris refuse de lui vendre pour y mener des travaux d’agrandissement.Le club est “désormais prêt à approfondir ses études sur les communes de Massy (Essonne) et de Poissy (Yvelines), en lien étroit avec les partenaires locaux”, a ainsi indiqué le PSG dans un communiqué.Le président du conseil départemental de l’Essonne, François Durovray, a souligné la “formidable opportunité” pour le département si le choix se porte sur Massy.Poissy a pour lui “sa proximité immédiate avec le Campus Paris Saint-Germain (le centre d’entraînement du PSG, ndlr), l’ancrage local du club et la qualité d’un partenariat de longue date”.”Cette sélection est le fruit d’un travail collectif exemplaire, comme celui qui nous avait permis d’accueillir le centre d’entraînement en 2016″, a également réagi Karl Olive, député des Yvelines et ancien maire de Poissy.- Positions irréconciliables -Le club, qui vise la construction d’une enceinte de “60.000 à 90.000 places”, prévoit de trancher définitivement “fin 2026”, a-t-on appris auprès d’une source proche du club.  D’ici là, le PSG, détenu par le fonds qatari QSI (Qatar Sports Investments), va opérer des études poussées sur les deux sites, selon la même source. Le club accroit ainsi la fracture, déjà béante, avec la mairie de Paris avec qui les relations sont glaciales depuis plus de deux ans en raison de l’opposition farouche d’Anne Hidalgo à la vente du Parc des Princes. Signe des tensions, l’édile n’a pas été invitée à assister à la finale de la Ligue des champions remportée contre l’Inter Milan (5-0) à Munich, le 31 mai, ni aux festivités du lendemain dans la capitale.  Le PSG a longtemps caressé l’espoir de devenir acquéreur du Parc des Princes, où il dispose d’un bail emphytéotique jusqu’en 2044, et d’augmenter sa jauge. Un montant de 38 millions d’euros avait été évoqué dans les discussions “avant qu’elles ne soient rompues par les dirigeants du club”, selon Pierre Rabadan, adjoint d’Anne Hidalgo en charge des sports. Un montant jugé “largement insuffisant si le Parc était à vendre”.- “Pas près de partir” -Face au refus de la Mairie de Paris, le club a fait part l’an dernier de son intention de déménager sur un site dont il serait le propriétaire.Les positions semblent pour l’heure irréconciliables puisque Anne Hidalgo a réitéré le 2 juin son veto à toute cession du Parc des Princes mais s’est dite “ouverte” à des discussions avec le PSG pour l’agrandir.”Tout le monde veut” que les joueurs du PSG “restent au Parc des Princes et nous les premiers”, a pourtant commenté Pierre Rabadan après l’annonce des deux sites choisis par le PSG.Le club a lui martelé que la construction d’un grand stade dont il serait propriétaire était “une condition essentielle pour accompagner durablement sa croissance”.”Pour rester compétitif, nous devons disposer d’un stade à la hauteur de nos ambitions, capable d’accueillir un plus grand nombre de supporters dans les meilleures conditions”, a déclaré, le directeur général du PSG. Les supporteurs, angoissés à l’idée de voir leur équipe quitter le cÅ“ur de la capitale pour des communes situées à 30 (Poissy) ou 25 km (Massy), peuvent toutefois se rassurer: ce projet mettra de nombreuses années avant de voir éventuellement le jour. “Le club est toujours très attaché au Parc des Princes et il n’est pas près d’en partir. Et si jamais il redevient vendable, il pourra être une option qui sera réétudiée”, a expliqué à l’AFP une source proche du PSG. 

UK and four nations sanction two far-right Israeli ministers

Britain and four allies joined forces Tuesday to sanction two Israeli ministers for “repeated incitements of violence” against Palestinians, upping their condemnation of Israel’s actions around the war in Gaza.Finance Minister Bezalel Smotrich and National Security Minister Itamar Ben Gvir will be banned from entering the UK and will have any assets in the country frozen, Britain’s foreign ministry said in a statement.The announcement was a rare joint action alongside Australia, Canada, New Zealand and Norway and comes as the Israeli government faces growing international criticism over its conduct of the conflict with Hamas.The sanction sees the five countries break from Israel’s closest ally, the United States.Ben Gvir and Smotrich “have incited extremist violence and serious abuses of Palestinian human rights”, the foreign ministers of the five countries said in a joint statement.”These actions are not acceptable. This is why we have taken action now –- to hold those responsible to account,” they added.Smotrich and Ben Gvir are part of Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu’s fragile ruling coalition.Both have drawn criticism for their hard-line stance on the war in Gaza and comments about settlements in the occupied West Bank, the other Palestinian territory.Smotrich, who lives in a West Bank settlement, has supported the expansion of settlements and has increasingly called for the territory’s annexation.Last month, he said Gaza would be “entirely destroyed” and that civilians would “start to leave in great numbers to third countries”.Ben Gvir has also called for Gazans to be resettled from the besieged territory.UK Foreign Secretary David Lammy said the pair have used “horrendous extremist language” and that he would “encourage the Israeli government to disavow and condemn that language”.Earlier, Israeli Foreign Minister Gideon Saar said Israel had been informed by Britain of its sanctions decision, describing the move as “outrageous”.The UK foreign ministry said in its statement that “extremist settlers have carried out over 1,900 attacks against Palestinian civilians since January last year”.- ‘Personal capacity’ -It said the five countries were “clear that the rising violence and intimidation by Israeli settlers against Palestinian communities in the West Bank must stop”.”Measures today cannot be seen in isolation from events in Gaza where Israel must uphold international humanitarian law,” the foreign ministry said. It added that the UK and its partners “support Israel’s security and will continue to work with the Israeli government to strive to achieve an immediate ceasefire in Gaza”.”Hamas must release the hostages immediately, and there must be a path to a two-state solution with Hamas having no role in future governance,” it added.The action comes after the British government suspended free-trade negotiations with Israel last month and summoned its ambassador over the conduct of the war.It also announced financial restrictions and travel bans on several prominent settlers, as well as two illegal outposts and two organisations accused of backing violence against Palestinian communities.

Journaliste tuée à Malte en 2017: deux complices condamnés à la perpétuité

Deux hommes ont été condamnés mardi à la réclusion à perpétuité à Malte pour avoir fourni l’explosif utilisé dans le meurtre en 2017 de la journaliste Daphne Caruana Galizia, qui avait secoué le pays et l’opinion internationale.Robert Agius, 41 ans, et Jamie Vella, 42 ans, ont été reconnus coupables la semaine dernière de complicité dans l’homicide de la journaliste d’investigation de 53 ans pour avoir fourni l’explosif de catégorie militaire qui avait fait détoner sa voiture près de son domicile.Les procureurs avaient requis, à l’issue d’un procès de six semaines, la réclusion à perpétuité, qui a été prononcée mardi.”Nous espérons que le verdict d’aujourd’hui représentera un pas en avant vers un monde plus sûr pour les journalistes en faisant voir aux tueurs potentiels qu’il y a de lourdes peines quand un journaliste est tué”, a réagi mardi sa famille dans un communiqué.Daphne Caruana Galizia, une des journalistes les plus renommées de Malte, avait été assassinée dans un attentat à la voiture piégée près de son domicile le 16 octobre 2017. Deux tueurs avaient été reconnus coupables du meurtre et condamnés à 40 ans de réclusion, tandis qu’un troisième avait reçu une peine réduite à 15 ans d’emprisonnement en échange de son témoignage. Le meurtre de la journaliste, qui décrivait dans ses articles le copinage et les scandales de l’élite politique et économique maltaise, avait suscité une indignation internationale. De grandes manifestations avaient eu lieu à Malte contre l’ex-Premier ministre Joseph Muscat, accusé de protéger ses amis et ses alliés lors de l’enquête, jusqu’à être poussé à la démission en décembre 2019. Une enquête publique parue en 2021 n’avait trouvé aucune preuve d’implication de l’Etat dans l’assassinat de Daphne Caruana Galizia, mais avait conclu que le gouvernement avait entretenu un “climat d’impunité” pour ceux qui voulaient la réduire au silence. Le procès de l’homme d’affaires Yorgen Fenech, ancien proche du gouvernement de Joseph Muscat, soupçonné d’avoir mandaté le meurtre, est toujours attendu.Il a été arrêté en novembre 2019 à bord de son yacht alors qu’il tentait de quitter Malte. Il a ensuite été libéré sous caution en janvier 2025, et aucune date n’a encore été fixée pour son procès.

Journaliste tuée à Malte en 2017: deux complices condamnés à la perpétuité

Deux hommes ont été condamnés mardi à la réclusion à perpétuité à Malte pour avoir fourni l’explosif utilisé dans le meurtre en 2017 de la journaliste Daphne Caruana Galizia, qui avait secoué le pays et l’opinion internationale.Robert Agius, 41 ans, et Jamie Vella, 42 ans, ont été reconnus coupables la semaine dernière de complicité dans l’homicide de la journaliste d’investigation de 53 ans pour avoir fourni l’explosif de catégorie militaire qui avait fait détoner sa voiture près de son domicile.Les procureurs avaient requis, à l’issue d’un procès de six semaines, la réclusion à perpétuité, qui a été prononcée mardi.”Nous espérons que le verdict d’aujourd’hui représentera un pas en avant vers un monde plus sûr pour les journalistes en faisant voir aux tueurs potentiels qu’il y a de lourdes peines quand un journaliste est tué”, a réagi mardi sa famille dans un communiqué.Daphne Caruana Galizia, une des journalistes les plus renommées de Malte, avait été assassinée dans un attentat à la voiture piégée près de son domicile le 16 octobre 2017. Deux tueurs avaient été reconnus coupables du meurtre et condamnés à 40 ans de réclusion, tandis qu’un troisième avait reçu une peine réduite à 15 ans d’emprisonnement en échange de son témoignage. Le meurtre de la journaliste, qui décrivait dans ses articles le copinage et les scandales de l’élite politique et économique maltaise, avait suscité une indignation internationale. De grandes manifestations avaient eu lieu à Malte contre l’ex-Premier ministre Joseph Muscat, accusé de protéger ses amis et ses alliés lors de l’enquête, jusqu’à être poussé à la démission en décembre 2019. Une enquête publique parue en 2021 n’avait trouvé aucune preuve d’implication de l’Etat dans l’assassinat de Daphne Caruana Galizia, mais avait conclu que le gouvernement avait entretenu un “climat d’impunité” pour ceux qui voulaient la réduire au silence. Le procès de l’homme d’affaires Yorgen Fenech, ancien proche du gouvernement de Joseph Muscat, soupçonné d’avoir mandaté le meurtre, est toujours attendu.Il a été arrêté en novembre 2019 à bord de son yacht alors qu’il tentait de quitter Malte. Il a ensuite été libéré sous caution en janvier 2025, et aucune date n’a encore été fixée pour son procès.