Allemagne: Dortmund aux trousses du Bayern, Leverkusen et Francfort au ralenti

Le Borussia Dortmund, vainqueur au forceps de Wolfsburg dimanche (1-0), a pris seul la place de premier poursuivant du Bayern Munich au soir de la 4e journée de Bundesliga, alors que Leverkusen et Francfort ont encore cédé du terrain.Le Bayern, qui réalise un début de saison très solide avec quatre victoires en autant de rencontres et 18 buts inscrits pour 3 encaissés, est installé dans le fauteuil de leader avec deux points d’avance sur le Borussia Dortmund (12 contre 10).Le “Klassiker” de la Bundesliga, entre les deux mastodontes du football allemand, est prévu samedi 18 octobre, juste après la trêve internationale, pour le compte de la 7e journée du championnat à l’Allianz Arena munichoise.L’écart de deux points remonte à la fin août et le match nul concédé par le BVB en fin de rencontre à St. Pauli lors de la première journée du championnat (3-3 après avoir mené 3-1 à cinq minutes de la fin).Depuis Dortmund s’est imposé contre l’Union Berlin (3-0), à Heidenheim (2-0) et contre Wolfsburg (1-0).Dimanche, les hommes de Niko Kovac ont dominé leur sujet, ouvrant le score par Karim Adeyemi à la 20e minute, d’une frappe en force à l’entrée de la surface de réparation. Ils ont ensuite tenu le résultat, non sans se faire de frayeur.Le défenseur central Nico Schlotterbeck a effectué son retour, titularisé pour son premier match depuis fin mars et une déchirure du ménisque gauche de l’international allemand.- Sept points perdus pour Leverkusen -En revanche, deux autres concurrents du Bayern ont cédé du terrain à l’ussue de cette journée: l’Eintracht Francfort a subi sa deuxième défaite consécutive, battu par l’Union Berlin (4-3), alors que le Bayer Leverkusen a laissé échapper dans le temps additionnel une victoire qui lui tendait les bras contre le Borussia Mönchengladbach (1-1).Neuf jours après être tombé à Leverkusen (2-1) malgré une supériorité numérique pendant plus d’une demi-heure, les joueurs de Dino Toppmöller ont été menés de trois buts (4-1) dans le dernier quart d’heure, puis ont tenté une remontée inachevée (4-3) dans les dix dernières minutes.”Quand on encaisse quatre buts à domicile, peu importe l’adversaire, ça sera très très dur. L’Union a été terriblement efficace”, a estimé l’attaquant Jonathan Burkardt, auteur du troisième but de Francfort, au micro du diffuseur DAZN.Dans sa BayArena, le Bayer Leverkusen de Kasper Hjulmand n’est une nouvelle fois pas parvenu à conserver un avantage au score, cédant le match nul dans le temps additionnel.Grâce à un but de Malick Tillman, le Werkself (le “onze de l’usine”, surnom de l’équipe du club fondé en 1904 par le chimiste Bayer) avait pourtant pris les commandes en milieu de seconde période (70e).Le champion d’Allemagne 2024 a ainsi cédé ses sixième et septième points (l’actuel écart avec le Bayern Munich, 5 points contre 12) après avoir mené au score, après la défaite contre Hoffenheim (2-1) et le match nul concédé à Brême (3-2), deux résultats qui avaient abouti à la mise à l’écart de l’entraîneur Erik ten Hag, remplacé par Hjumand.

Abhishek fires India to win over Pakistan but no handshakes again

Opener Abhishek Sharma hit a blazing 74 as India beat Pakistan by six wickets and again refused to shake hands with their opponents in the Super Four clash of the Asia Cup on Sunday.Chasing 172 for victory, India rode on a 105-run opening stand between the left-handed Abhishek and Shubman Gill, who made 47, to achieve their target with seven balls to spare in Dubai.The rivals came into the contest of the regional tournament with tensions high after India angered Pakistan by also refusing to shake hands when the pair met in the group stage.Tempers flared on the field when Gill and Shaheen Afridi exchanged simmering glances after the batter hit the pace bowler for a boundary.Both Abhishek and Gill came out roaring with a flurry of boundaries to unsettle the Pakistan attack as they raced to 101-0 in 9 overs. Abhishek and Haris Rauf kept up the spice with a fiery exchange.”Today was pretty simple, the way they were coming out to us without any reason, I did not like it at all,” Abhishek said after being named player of the match.”That’s why I went after them. I wanted to deliver for the team.”Medium-pace bowler Faheen Ashraf bowled Gill, and Rauf in the next over took down skipper Suryakumar Yadav for a duck to check India’s surge.Abhishek fell to Abrar Ahmed’s leg spin after his 35-ball blitz laced with six fours and five sixes.Rauf took one more wicket but Tilak Varma, with his unbeaten 30 off 19 balls, steered the team home off a six and a four.The Indian batters quickly left the field while Pakistan players shook hands amongst themselves.”We are yet to play a perfect game, but we are getting there,” said Pakistan captain Salman Agha. “A great game but in the powerplay (first six overs) they took the game away from us.”- Gun celebration -India won the toss and fielded first, but Pakistan came out attacking as Sahibzada Farhan, who hit 58, and Saim Ayub, who made 21, put on 72 runs for the second wicket, to help their team reach 171-5.Fakhar Zaman opened with Farhan and started aggressively in his nine-ball 15 before being caught behind.Farhan kept up the charge as he hit five fours and three sixes in his 45-ball knock as he reached his fifty with a six and celebrated by using his bat to mimmick a gun.India hit back with three wickets, including Farhan who was dismissed by medium-pace bowler Shivam Dube, as Pakistan slipped to 115-4.Mohammad Nawaz made 21 before he was run out.Agha, on 17, and Faheem Ashraf, with 20 off eight balls, struck 22 between them to boost the total.Dube stood out with figures of 2-33, but Indian fielders had a day to forget as they dropped four catches. India beat Pakistan in their group match, which was the first cricketing clash between the rival nations since a four-day cross-border conflict in May left more than 70 people dead.Andy Pycroft turned out as match referee for the Super Four match in spite of Pakistan lodging a protest with the International Cricket Council, alleging that the Zimbabwean had told Agha not to approach Suryakumar for a handshake.The Pakistan Cricket Board demanded that Pycroft be removed from their matches and threatened to withdraw from the eight-team T20 competition.Because of fraught political ties, nuclear-armed neighbours India and Pakistan only meet at neutral venues during multi-team tournaments.Sri Lanka and Bangladesh are the other teams in the Super Four. The top two will move into the final on September 28.

Foot: Arsenal et Manchester City se neutralisent, bonne affaire pour Liverpool

Manchester City a frappé très tôt, Arsenal a répliqué très tard, et le choc entre les deux candidats au titre s’est achevé dimanche sans vainqueur (1-1), si ce n’est Liverpool qui accroît son avance.Le choc de la cinquième journée à Londres s’est lancé sur un nouveau but d’Erling Haaland (9e, 0-1) et il s’est conclu par un lob sompteux de Gabriel Martinelli (90e+3, 1-1), le “super-sub” du moment.L’ailier brésilien, entré un quart d’heure plus tôt, a sorti les siens de l’ornière, cinq jours après un but et une passe décisive en sortie de banc contre l’Athlétic Bilbao (2-0) en Ligue des champions.Il a exploité une belle passe en cloche d’Eberechi Eze, un autre entrant, et profité d’un placement trop avancé de Gianluigi Donnarumma, pourtant impeccable jusque-là.L’ancien gardien du PSG s’était montré autoritaire, aux poings ou à la main, de part et d’autre de la mi-temps, face à une équipe d’Arsenal qui a confisque le cuir.- Arteta “fier” et “déçu” -Le dénouement récompense les efforts des Gunners en même temps qu’il punit les manoeuvres dilatoires de Manchester City, plus habile pour ralentir le jeu à chaque touche ou six-mètres, que pour créer du jeu.Grâce à ses “finishers”, comme Mikel Arteta appelle ses remplaçants, Arsenal a évité une deuxième défaite cette saison, trois semaines après celle subie à Liverpool (1-0).”Je suis extrêmement fier des joueurs et de l’équipe mais vraiment déçu par le résultat”, a résumé l’entraîneur en conférence de presse.Pour Manchester City, la possession du ballon s’est limitée à 32,8%. Selon le statisticien Opta, c’est le plus faible taux jamais enregistré par une équipe entraînée par Pep Guardiola dans un match de championnat.”Je tire mon chapeau à Arsenal”, cela montre que c’était la “meilleure” équipe dimanche, a reconnu l’Espagnol, beau perdant: “parfois cela arrive, il faut défendre parce que l’adversaire est meilleur”.Liverpool a dû lui se réjouir de voir deux concurrents se neutraliser.Au classement et après cinq journées, le champion d’Angleterre et actuel leader compte déjà cinq points de plus qu’Arsenal (2e, 10 pts) et huit de plus que Manchester City (9e, 7 pts).- Aston Villa n’y arrive pas -Dans l’après-midi, Sunderland a joué un vilain tour à Aston Villa (1-1), qu’il a tenu en échec malgré une très longue infériorité numérique.Le promu dirigé par Régis Le Bris s’est retrouvé à dix après le carton rouge de Reinildo (34e), il a craqué sur un but venu d’ailleurs (67e) mais s’est battu jusqu’à l’égalisation du Français Wilson Isidor (76e).Ce coup d’éclat permet aux “Black Cats” de prolonger leur excellent début de saison et de grimper au septième rang avec huit points, le même total que Chelsea (6e) et Fulham (8e).A l’inverse, la soupe à la grimace se poursuit pour les “Villans” d’Unai Emery, toujours sevrés de victoire (3 nuls, 2 défaites) et coincés dans la zone de relégation, à la dix-huitième place.”Je suis un peu frustré et déçu, mais pas par le résultat, (…) nous n’avons pas joué selon notre identité, selon les idées que nous avons développées au cours des trois dernières années”, a réagi l’entraîneur espagnol auprès de la BBC.L’issue du match fait passer au second plan un petit événement: Villa a enfin marqué cette saison en championnat, sur un tir lointain du défenseur Matty Cash (67e, 0-1).Sans Alexander Isak parti à Liverpool, Newcastle aussi marque très peu depuis le début du championnat (3 buts). Mais le club du nord-est encaisse tout aussi peu de buts (3), et ces deux facettes sont apparues en grand dimanche à Bournemouth (0-0).

Trump to lead tributes at memorial for conservative leader Kirk

US President Donald Trump will lead tributes to Charlie Kirk on Sunday at a huge stadium gathering to honor the young right-wing influencer slain in the country’s latest spasm of political violence.The service has drawn an extraordinary level of attention and security, with some US media likening it to a state funeral.The highest echelons of the Trump administration and orbit, topped by the president himself, waited their turn to address the crowd as the memorial ceremony got underway in the early afternoon.As he left the White House to fly out west and pay his respects, Trump said the service aimed “to celebrate the life of a great man.”Thousands of people had lined up in the pre-dawn dark, hoping to get into the 63,000-seat American football stadium hosting the service and honor the young Republican star — a close ally of the president whose voter outreach is credited with helping Trump get reelected last year.”I look at him as a Christ martyr, definitely,” Monica Mirelez, a 44-year-old Texan who drove 12 hours to get there, said of Kirk.Jeremy Schlotman, a 21-year-old biology student, said Kirk gave him the courage to express his beliefs on campus.”For example, I think that biological men shouldn’t be in women’s sports. But I was too afraid to talk about stuff like that out loud,” Schlotman said as Christian bands played on stage and the stadium steadily filled up.- ‘Hatred’ -Kirk, 31, was shot in the neck on September 10 while speaking at a Utah university as part of his popular public debate series.Authorities arrested a suspect after a 33-hour manhunt and prosecutors said they would seek the death penalty.The killing of the founder of Turning Point USA, a right-wing youth action campaign, has inflamed often acrimonious and sometimes violent political divisions in the United States.Authorities say the suspected 22-year-old gunman cited the “hatred” he believed was stoked by Kirk — who was a vitriolic critic of transgender people, Muslims and others.Kirk used his millions of social media followers, the massive audience of his podcast and appearances at universities to bolster Trump with young voters and fight for a nationalist, Christian-centric political ideology.Even before the alleged killer was identified or arrested, Trump called Kirk “a martyr for truth and freedom” and blamed the rhetoric of the “radical left.”- Crackdown on liberal ‘terrorism’ -Trump, Vice President JD Vance, Secretary of State Marco Rubio and Defense Secretary Pete Hegseth will all speak at the memorial.Also speaking will be Director of National Intelligence Tulsi Gabbard, Health Secretary Robert F. Kennedy Jr., conservative commentator Tucker Carlson and other prominent Trump administration officials.Kirk’s widow, Erika Kirk, who is taking over the reins of Turning Point USA, will also address the audience. In response to the killing, the White House last week declared it would crack down on what it terms “domestic terrorism” by the political left. Trump said he would designate “Antifa” — a shorthand term for “anti-fascist” used to describe diffuse far-left groups — as “a major terrorist organization,” a move he threatened in his first term.Prominent late-night talk show host Jimmy Kimmel was yanked off the air Wednesday, hours after the government threatened to cancel broadcasting licenses because of comments he made about Kirk’s killing.The moves have sparked alarm among Trump’s critics who warn of possible steps to silence dissent of his divisive right-wing White House tenure, marked by a rolling back of social justice policies and an immigration crackdown that has seen widespread complaints of rights abuses.

Italie: Pellegrini offre le derby à la Roma

L’AS Rome s’est adjugé dimanche le derby de Rome contre la Lazio (1-0) grâce à un but de Lorenzo Pellegrini, son ex-capitaine déchu.La 186e édition du “derby de la capitale” s’est trouvée un improbable héros. En inscrivant le seul but de la rencontre, sur une reprise instantanée à la 38e minute, Pellegrini a fait sensation pour sa première titularisation depuis début mai.Il a permis à la Roma d’enchaîner une troisième victoire et a propulsé son équipe à la quatrième place (9 pts) à une longueur du leader, la Juventus Turin, tenue en échec à Vérone samedi (1-1).Comme il l’a reconnu lui-même, l’international italien revient de loin: “Les dernières semaines ont été compliquées, mais je n’ai jamais douté grâce au soutien des tifosi et de mes coéquipiers”, a-t-il expliqué.Le milieu de terrain de 29 ans qui a fait quasiment toute sa carrière sous le maillot de la Roma, à l’exception de deux saisons à Sassuolo (2015-17), a perdu son brassard de capitaine et du temps de jeu.Souvent critiqué la saison dernière, Pellegrini ne semblait plus entrer dans le projet mis en place par le nouvel entraîneur de la Roma Gian Piero Gasperini, qui lui reprochait son manque d’engagement physique.- Guendouzi exclu -Mais à la surprise générale, “Gasp” a titularisé Pellegrini pour le choc romain: “Sur ce que j’ai vu à l’entraînement cette semaine, je n’ai pas longtemps hésité avant de le titulariser, je suis content pour lui”.Sa Roma aurait pu s’imposer plus largement sans des arrêts décisifs du gardien de la Lazio Ivan Provedel, devant Devyne Rensch (45e+3), Angelino (49e) et Tommaso Baldanzi (82e).La Lazio, réduite à neuf avec les exclusions de Reda Belahyane (85e) et de Mattéo Guendouzi (90e), a bien failli réussir un hold-up: dans le temps additionnel, Danilo Cataldi a frappé le montant gauche de Mile Svilar, battu.L’équipe de Maurizio Sarri, battue pour la troisième fois cette saison, a reculé à la 14e place (3 pts).Alors que le précédent derby, en avril, avait été marqué par de violents affrontements entre ultras et policiers, faisant six blessés, ce duel, avec son coup d’envoi avancé à la mi-journée pour réduire les risques, n’a donné lieu à aucun incident notable. Quatre jours après avoir été corrigé par le Paris SG (4-0), l’Atalanta a passé ses nerfs sur le Torino 3 à 0 et a bondi à la 5e place (8 pts).Ivan Juric en a profité pour donner trois minutes de jeu à l’attaquant nigérian Ademola Lookman, de retour dans le groupe depuis jeudi après en avoir été écarté pour avoir tenté de forcer son transfert vers l’Inter Milan.Côme a renversé la Fiorentina pour s’imposer 2 à 1 et se replacer au 8ème rang (7 pts). La “Viola” qui n’a toujours pas gagné sous la conduite de Stefano Pioli, est 17e (2 pts).

Ligue 1: Monaco s’en sort contre Metz grâce à doublé d’Ansu Fati

Monaco s’est sorti du piège tendu par un bon Metz (5-2) dimanche lors de la 5e journée de L1, grâce à un doublé du revenant, l’international espagnol Ansu Fati, auteur de son troisième but en trois jours.Jeudi soir, il avait déjà été le seul rayon de soleil lors de la débâcle à Bruges en inscrivant l’unique but de son équipe (1-4) en Ligue des champions. Et cette fois, Fati, entré à la pause, a par deux fois (2-1, 46e et 3-2, 83e) sauvé Monaco en souffrance.Au final, cette victoire arrachée après un match bien plus compliqué que ne le laisse croire le score permet à Adi Hütter et ses joueurs de pointer à la 2e place en L1, à égalité de points (12) avec le Paris SG, qui jouera lundi le classique à Marseille.Encore tuméfiés par la gifle belge, les Monégasques ont débuté la rencontre de la plus mauvaise manière. Les Messins, au plan de jeu clair et à l’implication parfaite, ont logiquement marqué. Parti de loin, Cheikh Sabaly a accéléré, pris de vitesse Jordan Teze et donné plein axe pour Habib Diallo. L’avant-centre sénégalais a remporté son face-à-face avec Philipp Köhn (0-1, 13e).Puis, bien servi par son capitaine Gauthier Hein, Koffi Kouao a vu sa bonne frappe excentrée sortie du bout du gant par un Köhn très vigilant (28e)Monaco a alors su réagir. Comme la saison dernière Thilo Kehrer a ouvert dans le demi-espace pour Takumi Minamino. Le Japonais a déposé son vis-à-vis, et centré à ras-de-terre pour Mika Biereth, seul au deuxième poteau (1-1, 28e).-Faute inexplicable de Minamino-Dans la foulée, Hütter a sorti Aladji Bamba, qui se plaignait d’une cuisse mais également encore en difficulté, pour le remplacer par le revenant Krepin Diatta, auteur d’un très bon match (33e). Teze est passé milieu défensif.Le deuxième changement effectué à la pause a eu un impact plus important: Fati a remplacé Paris Brunner. Il a marqué après 46 secondes passées sur la pelouse. Maghnès Akliouche, peu en vu, a lancé Lamine Camara, dont le centre en retrait a trouvé l’Espagnol, buteur pour la deuxième fois en trois jours alors que sa dernière réalisation remontait au 9 novembre 2023, avec Brighton contre l’Ajax Amsterdam en Ligue Europa (2-1, 46e).Les Rouge et Blanc pensaient alors avoir enfin la main sur la partie. Mais Metz, qui n’a jamais fermé le jeu, a continué à attaquer. En voulant sortir sur un adversaire, Minamino a inexplicablement commis une faute sur Kouao dans sa propre surface.Appelé par l’assistance vidéo, l’arbitre Stéphanie Frappart a visionné les images et accordé pénalty (65e). Hein, du gauche, a pris Köhn à contrepied (2-2, 67e).Mais Fati n’avait pas dit son dernier mot. Sur un centre de Diatta, il a encore donné l’avantage aux siens de la tête (3-2, 83e). Metz a lâché. Sur un corner de Camara, Kouao a marqué contre son camp (4-2, 86e). Puis, dans les arrêts de jeu, George Ilenikhena a parachevé la victoire (5-2, 90e+3).