Ecuador apologizes to farm workers deemed to live like slaves

Ecuador’s government apologized Saturday to some 300 people who worked as farmers for a Japanese textile firm in conditions which a court likened to modern-day slavery.These people worked on plantations that produced abaca, a fiber used in textiles and the auto industry.As of 2021, Furukawa’s plantations for abaca covered almost 23,000 hectares spread over three provinces on the Pacific coast, where the majority of the population is Black.Some workers gave birth to children in unsanitary and overcrowded camps, while others were denied proper medical attention after work-related injuries, according to testimony given at a news conference in Quito back in December.That month the Constitutional Court ordered Furukawa to pay $120,000 to each of 342 victims — a total of around $41 million. The company was also ordered to make a public apology to them. It has not complied with either order. The court said that over the course of five years Furukawa had people living in conditions of modern-day slavery in its abaca fields.It also ordered the government to apologize to the workers, and that is what happened Saturday.The company violated “national and international regulations that affected, in essence, human dignity,” Labor Minister Ivonne Nunez said.She said “the state, through the various ministries, as the sentence explains, turned a deaf ear” to the plight of the abused workers.Nunez spoke at a ceremony with other government ministers at Quito’s Independence Plaza, as ex-Furukawa workers chanted slogans such as “reparations, reparations” and “modern slavery, never again.”After the court ruling, Furukawa said it does not have the money to pay the damages ordered by the tribunal and called them disproportionate.Back in December, at a meeting at a human rights group’s headquarters, plantation workers told horror stories of their lives raising abaca.”We have been confronting the monster that is Furukawa,” Segundo Ordonez, a 59-year-old farmer, said at the meeting.

Trois synagogues et le Mémorial de la Shoah à Paris aspergés de peinture verte

Le Mémorial de la Shoah, trois synagogues et un restaurant ont été aspergés de peinture verte dans la nuit de vendredi à samedi à Paris, suscitant l'”indignation” et la condamnation de personnalités politiques de tous bords.Au pied de la façade du restaurant de la communauté juive “Chez Marianne”, un pot de peinture entamé a été retrouvé. Des jets de peinture ont également été constatés sur la synagogue des Tournelles, sur celle d’Agoudas Hakehilos, ainsi que sur le Mémorial de la Shoah, tous dans le 4e arrondissement de la capitale. Aucun message, ni revendication n’a été découvert à ce stade.Les faits ont été constatés par les policiers lors de leurs patrouilles vers 05h15. Les images de vidéosurveillance du Mémorial ont montré une personne vêtue de noir en train de taguer vers 4H30.La préfecture de police de Paris (PP) a précisé à l’AFP qu’une autre synagogue, cette fois dans le 20e arrondissement, avait “fait également l’objet de dégradations par jets de peinture de couleur verte”.Sollicité par l’AFP, le parquet de Paris a confirmé avoir chargé la Sûreté territoriale d’une enquête pour “dégradations commises en raison de la religion” à la suite de la découverte de jets de peinture verte sur ces cinq lieux.- “Tristesse” et “indignation” -“Beaucoup de tristesse et d’indignation en voyant ce matin ces images de lieux juifs qui ont été dégradés”, a réagi auprès de l’AFP le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), Yonathan Arfi. L’ancien président socialiste François Hollande a jugé cet acte “inacceptable, insupportable”. “L’antisémitisme n’a pas sa place dans notre République”, a-t-il asséné. La ville de Paris va porter plainte, a assuré la maire PS Anne Hidalgo, en “(condamnant) avec la plus grande force ces intimidations”.Sur le réseau social X, le ministre de l’Intérieur et président des LR Bruno Retailleau a dit son “immense dégoût devant ces actes odieux qui visent la communauté juive”. La députée européenne de La France insoumise Manon Aubry a fait part aussi de son “dégoût face à ces actes antisémites”. “Le racisme est un poison. L’unité du peuple son antidote”, a-t-elle ajouté.Ces dégradations “sont de toute évidence la signature de l’antisémitisme qui se déchaîne dans notre pays”, a estimé le président du Rassemblement national Jordan Bardella.Le président israélien, Isaac Herzog, s’est dit samedi soir “consterné” par “l’attaque contre des institutions juives” à Paris, soulignant que son arrière-grand-père avait été le premier rabbin de l’une des synagogues concernées.”Horrifiée” par cette “attaque antisémite coordonnée”, l’ambassade d’Israël en France a relevé les tensions entre les deux pays actuellement à propos de la situation à Gaza. “Nous ne pouvons ignorer la discorde problématique observée ces deux dernières semaines chez certains dirigeants et élus”, a-t-elle écrit dans un communiqué. – “Plus de 60% des actes antireligieux” -Le député PS Emmanuel Grégoire, qui brigue la mairie de Paris, a proposé pour sa part la création dans la capitale “d’une instance municipale dédiée à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme, l’homophobie et toutes les discriminations”, dans une tribune publiée dans La Tribune Dimanche.”Je pense aux Justes” et “à ceux qui ont sauvé les juifs pendant la guerre et j’ai honte pour notre temps. Je ne veux pas de ce que devient la France. Nous valons mieux que cela”, a considéré le chef des députés LR Laurent Wauquiez.”Ingérence ou pas, manipulation ou pas, le geste est antisémite et cherche à désigner les Français juifs”, a estimé le premier secrétaire du PS Olivier Faure.SOS Racisme a également jugé “intolérable” cette “action aux relents antisémites qui cite explicitement les Justes”.Il y a un an, en mai 2024, des “mains rouges” avaient été peintes sur le Mur des Justes, au Mémorial de la Shoah. Trois Bulgares ont été écroués dans cette affaire. Les tags représentant des “mains rouges”, symbole pouvant être lié au lynchage de soldats israéliens à Ramallah en 2000, ont été analysés par les services de sécurité comme une opération d’ingérence de la part de Russophones.Dans un télégramme adressé aux préfets vendredi et consulté par l’AFP, Bruno Retailleau avait demandé un renforcement des mesures de sécurisation de la communauté juive à l’occasion de la fête de Chavouot du dimanche 1er juin au soir au mardi 3 juin au soir.Il avait expliqué ces mesures par la “persistance des tensions au plan international, en particulier au Proche-Orient”. Le ministre avait relevé en outre que “les actes antisémites représentant plus de 60% des actes antireligieux, la communauté juive était particulièrement exposée”.sm-juc-clw-chl-are/asl/dch   

Trois synagogues et le Mémorial de la Shoah à Paris aspergés de peinture verte

Le Mémorial de la Shoah, trois synagogues et un restaurant ont été aspergés de peinture verte dans la nuit de vendredi à samedi à Paris, suscitant l'”indignation” et la condamnation de personnalités politiques de tous bords.Au pied de la façade du restaurant de la communauté juive “Chez Marianne”, un pot de peinture entamé a été retrouvé. Des jets de peinture ont également été constatés sur la synagogue des Tournelles, sur celle d’Agoudas Hakehilos, ainsi que sur le Mémorial de la Shoah, tous dans le 4e arrondissement de la capitale. Aucun message, ni revendication n’a été découvert à ce stade.Les faits ont été constatés par les policiers lors de leurs patrouilles vers 05h15. Les images de vidéosurveillance du Mémorial ont montré une personne vêtue de noir en train de taguer vers 4H30.La préfecture de police de Paris (PP) a précisé à l’AFP qu’une autre synagogue, cette fois dans le 20e arrondissement, avait “fait également l’objet de dégradations par jets de peinture de couleur verte”.Sollicité par l’AFP, le parquet de Paris a confirmé avoir chargé la Sûreté territoriale d’une enquête pour “dégradations commises en raison de la religion” à la suite de la découverte de jets de peinture verte sur ces cinq lieux.- “Tristesse” et “indignation” -“Beaucoup de tristesse et d’indignation en voyant ce matin ces images de lieux juifs qui ont été dégradés”, a réagi auprès de l’AFP le président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), Yonathan Arfi. L’ancien président socialiste François Hollande a jugé cet acte “inacceptable, insupportable”. “L’antisémitisme n’a pas sa place dans notre République”, a-t-il asséné. La ville de Paris va porter plainte, a assuré la maire PS Anne Hidalgo, en “(condamnant) avec la plus grande force ces intimidations”.Sur le réseau social X, le ministre de l’Intérieur et président des LR Bruno Retailleau a dit son “immense dégoût devant ces actes odieux qui visent la communauté juive”. La députée européenne de La France insoumise Manon Aubry a fait part aussi de son “dégoût face à ces actes antisémites”. “Le racisme est un poison. L’unité du peuple son antidote”, a-t-elle ajouté.Ces dégradations “sont de toute évidence la signature de l’antisémitisme qui se déchaîne dans notre pays”, a estimé le président du Rassemblement national Jordan Bardella.Le président israélien, Isaac Herzog, s’est dit samedi soir “consterné” par “l’attaque contre des institutions juives” à Paris, soulignant que son arrière-grand-père avait été le premier rabbin de l’une des synagogues concernées.”Horrifiée” par cette “attaque antisémite coordonnée”, l’ambassade d’Israël en France a relevé les tensions entre les deux pays actuellement à propos de la situation à Gaza. “Nous ne pouvons ignorer la discorde problématique observée ces deux dernières semaines chez certains dirigeants et élus”, a-t-elle écrit dans un communiqué. – “Plus de 60% des actes antireligieux” -Le député PS Emmanuel Grégoire, qui brigue la mairie de Paris, a proposé pour sa part la création dans la capitale “d’une instance municipale dédiée à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme, l’homophobie et toutes les discriminations”, dans une tribune publiée dans La Tribune Dimanche.”Je pense aux Justes” et “à ceux qui ont sauvé les juifs pendant la guerre et j’ai honte pour notre temps. Je ne veux pas de ce que devient la France. Nous valons mieux que cela”, a considéré le chef des députés LR Laurent Wauquiez.”Ingérence ou pas, manipulation ou pas, le geste est antisémite et cherche à désigner les Français juifs”, a estimé le premier secrétaire du PS Olivier Faure.SOS Racisme a également jugé “intolérable” cette “action aux relents antisémites qui cite explicitement les Justes”.Il y a un an, en mai 2024, des “mains rouges” avaient été peintes sur le Mur des Justes, au Mémorial de la Shoah. Trois Bulgares ont été écroués dans cette affaire. Les tags représentant des “mains rouges”, symbole pouvant être lié au lynchage de soldats israéliens à Ramallah en 2000, ont été analysés par les services de sécurité comme une opération d’ingérence de la part de Russophones.Dans un télégramme adressé aux préfets vendredi et consulté par l’AFP, Bruno Retailleau avait demandé un renforcement des mesures de sécurisation de la communauté juive à l’occasion de la fête de Chavouot du dimanche 1er juin au soir au mardi 3 juin au soir.Il avait expliqué ces mesures par la “persistance des tensions au plan international, en particulier au Proche-Orient”. Le ministre avait relevé en outre que “les actes antisémites représentant plus de 60% des actes antireligieux, la communauté juive était particulièrement exposée”.sm-juc-clw-chl-are/asl/dch   

Google says to appeal online search antitrust ruling

Google said Saturday it will appeal a ruling against it for anti-competitive practices in online search, a day after urging a US judge to reject the suggestion it spin off its Chrome browser.”We will wait for the Court’s opinion. And we still strongly believe the Court’s original decision was wrong, and look forward to our eventual appeal,” the tech giant wrote on X.Google was found guilty in the summer of 2024 of illegal practices to establish and maintain its monopoly in online search by a federal judge in Washington.The Justice Department is now demanding remedies that could transform the digital landscape: Google’s divestiture from its Chrome browser and a ban on entering exclusivity agreements with smartphone manufacturers to install the search engine by default.It is also asking that the California-based company be forced to share the data used to produce search results on Chrome.The department’s proposal “reserves the right for the government to decide who gets Google users’ data. Not the Court,” Google said Saturday.”While we heard a lot about how the remedies would help various well-funded competitors (w/ repeated references to Bing), we heard very little about how all this helps consumers,” Google added, referring to the Microsoft-owned search engine.The firm has proposed much more limited measures, including giving phone manufacturers the possibility to pre-install its Google Play app store but not Chrome or the search engine.The Friday hearing devoted to arguments marked the end of the trial to determine Google’s penalty. The judge’s decision is expected by August. 

Arab ministers condemn Israel ‘ban’ on planned West Bank visit

The foreign ministers of several Arab countries, who had planned to visit the occupied West Bank this weekend, condemned on Saturday Israel’s decision to block their trip.The ministers condemned “Israel’s decision to ban the delegation’s visit to Ramallah (on Sunday) to meet with the president of the State of Palestine, Mahmud Abbas”, the Jordanian foreign ministry said.Ministers from Saudi Arabia, Egypt, Jordan and Bahrain had been expected to take part alongside the secretary-general of the Arab League, according to the statement.Israel had announced late Friday that it would not cooperate, effectively blocking the visit as it controls the territory’s borders and airspace.Abbas “intended to host in Ramallah a provocative meeting of foreign ministers from Arab countries to discuss the promotion of the establishment of a Palestinian state”, an Israeli official said.”Such a state would undoubtedly become a terrorist state in the heart of the Land of Israel. Israel will not cooperate with such moves aimed at harming it and its security.”The Palestinian Authority’s foreign ministry expressed “grave concern” and called Israel’s decision a “blatant violation of its obligations under international law as an occupying power”.Had the visit gone ahead, the delegation’s head, Prince Faisal bin Farhan, would have become the first Saudi foreign minister to visit the West Bank.- ‘Diplomatic confrontation’ -Israel this week announced the creation of 22 new Jewish settlements in the West Bank, considered illegal under international law and one of the main obstacles to a lasting peace between Israelis and Palestinians.During a visit to one of the new settlement sites on Friday, Defence Minister Israel Katz vowed to build a “Jewish Israeli state” in the Palestinian territory.Taking aim at foreign countries that would “recognise a Palestinian state on paper”, he added: “The paper will be thrown into the trash bin of history, and the State of Israel will flourish and prosper.”In June, Saudi Arabia and France are to co-chair an international conference at UN headquarters meant to resurrect the two-state solution to the Israeli-Palestinian conflict.Saudi Arabia was said to have been close to recognising Israel before the start of the Gaza war, and US President Donald Trump, during a recent visit to Riyadh, called normalisation between the countries “my fervent hope and wish”.But de facto ruler Crown Prince Mohammed bin Salman has repeatedly said Saudi Arabia will not recognise Israel without an independent Palestinian state.Firas Maksad, managing director for the Middle East and North Africa at Eurasia Group, said Israel’s rejection of the visit indicated “how far Saudi and Israel have moved from normalisation to diplomatic confrontation”.He added that the planned visit “underscores just how much the Saudi position has shifted away from creating a credible pathway towards a Palestinian state through conditional normalisation with Israel, to one that aims to create such a path via an international coalition in support of Palestinian aspirations”.

La délégation arabe devant visiter la Cisjordanie dénonce l'”interdiction” israélienne

Une délégation ministérielle arabe qui devait se rendre dimanche en Cisjordanie occupée a dénoncé samedi l'”interdiction” par Israël de cette visite, après qu’un responsable israélien a dit que son pays “ne coopérera pas” à cette initiative.Israël contrôle les frontières et l’espace aérien de ce territoire palestinien qu’il occupe depuis 1967, ce qui signifie que son approbation est nécessaire pour que les diplomates étrangers puissent y entrer.Dans une déclaration commune, la délégation a condamné “la décision d’Israël d’interdire la visite du comité à Ramallah et la rencontre avec le président de l’Etat de Palestine, Mahmoud Abbas”, a indiqué le ministère jordanien des Affaires étrangères.Ce comité est dirigé par Fayçal ben Farhane, ministre saoudien des Affaires étrangères, et comprend notamment ses homologues de Jordanie, de Bahreïn, d’Egypte ainsi que le secrétaire général de la Ligue arabe, Ahmed Aboul Gheit.Ce groupe a décidé de reporter la visite à Ramallah car Israël “a refusé son rentrée en Cisjordanie occupée par voie aérienne, un espace contrôlé par Israël”.La délégation a affirmé que cette décision reflétait le “mépris du droit international” par Israël.A Ramallah, le ministère des Affaires étrangères de l’Autorité palestinienne a exprimé sa “profonde inquiétude” et qualifié la décision d’Israël de “violation flagrante de ses obligations en vertu du droit international en tant que puissance occupante”. – “Réunion provocatrice” -Un responsable israélien avait annoncé auparavant que son pays “ne coopérera pas” à cette visite.”L’Autorité palestinienne qui, à ce jour, refuse de condamner le massacre du 7 octobre, comptait accueillir à Ramallah une réunion provocatrice (…) pour discuter de la promotion de l’établissement d’un Etat palestinien”, a déclaré le responsable.”Un tel Etat deviendrait sans aucun doute un Etat terroriste au cÅ“ur de la Terre d’Israël. Israël ne coopérera pas avec de telles initiatives (…)”, a-t-il ajouté.Avant la guerre à Gaza, déclenchée par l’attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, l’Arabie saoudite avait entamé des discussions avec Washington incluant une normalisation avec Israël, en échange d’un accord de sécurité et un soutien à son programme nucléaire civil. Mais elle a conditionné depuis une telle démarche à l’établissement d’un Etat palestinien, éloignant la perspective d’un accord dans le contexte actuel.- “Confrontation” -Selon Firas Maksad du centre de réflexion Eurasia Group, l’interdiction de la visite par Israël montre “à quel point l’Arabie saoudite et Israël sont passés de la normalisation à la confrontation diplomatique”.”L’Arabie saoudite a fait évoluer sa position: de la création d’une voie crédible vers un État palestinien par une normalisation conditionnelle avec Israël, elle cherche désormais à ouvrir cette voie par le biais d’une coalition internationale soutenant les aspirations palestiniennes”, ajoute-t-il. L’Arabie saoudite et la France doivent coprésider en juin une conférence internationale à New York, au siège des Nations unies, visant à relancer la solution à deux Etats, israélien et palestinien.Israël a annoncé cette semaine la construction de “l’Etat juif israélien” en Cisjordanie et la création de 22 nouvelles colonies israéliennes dans ce territoire, considérées comme illégales au regard du droit international.L’armée israélienne a par ailleurs récemment intensifié ses opérations militaires dans la bande de Gaza, dans le but affiché de prendre le contrôle de la totalité de ce territoire palestinien et de libérer les derniers otages qui y sont toujours retenus.L’attaque du 7 octobre a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées par le Hamas, 57 sont toujours retenues à Gaza, dont au moins 34 sont mortes, selon les autorités israéliennes.Plus de 54.381 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne militaire israélienne de représailles, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, jugées fiables par l’ONU.Israël a sommé vendredi le Hamas d’accepter la dernière proposition américaine de trêve et de libération des otages ou alors d'”être anéanti”.Le président américain Donald Trump a lui assuré qu’un cessez-le-feu était “tout proche”.