Iyer powers Punjab past Mumbai and into IPL final against Bengaluru

Shreyas Iyer led from the front with an unbeaten 87 as Punjab Kings beat Mumbai Indians by five wickets on Sunday to set up an IPL final against Royal Challengers Bengaluru.Chasing 204 for victory in a rain-delayed last playoff, Punjab rode Iyer’s 41-ball knock, laced with five fours and eight sixes, to achieve their target with six balls to spare in Ahmedabad.Iyer hit the winning six as Punjab reached their second IPL final. It will be played at the same venue —  the world’s biggest cricket stadium — on Tuesday.The final will produce a new IPL winner with both Bengaluru, with star batter Virat Kohli, and Punjab in hunt for their first title in the T20 tournament.Punjab lost opener Prabhsimran Singh for six but England’s Josh Inglis set up the chase with quick scoring as he and left-handed opener Priyansh Arya put together 42 runs in 18 balls.Arya fell for 20 and Inglis for 38 after three fours and two sixes.Iyer and left-handed Nehal Wadhera, who hit 48, turned the tide in overs 13 and 14 as the captain smashed England left-arm quick Reece Topley for three straight sixes.Wadhera departed in the 16th over to raise Mumbai’s hopes, but Iyer stood firm as he finished with a masterclass.The second qualifier began two hours and 15 minutes late  due to persistent drizzle after the toss.Punjab elected to field first before rain forced the players indoors for more than two hours. Officials did not cut any overs when play resumed.Five-time champions Mumbai, who posted 203-6, lost veteran opener Rohit Sharma for eight off Marcus Stoinis in the third over but England’s Jonny Bairstow took on the opposition bowlers with regular boundaries.Bairstow, who joined Mumbai ahead of the playoffs and played a key role in their win in the eliminator against Gujarat Titans, made 38 in a 51-run stand with the left-handed Varma.Medium-pace bowler Vijaykumar Vyshak dismissed Baristow, who attempted to play a scoop shot but fell caught behind.Tilak Varma kept up pace with Suryakumar Yadav as the pair put on 72 runs. Both made 44 each.The two fell in the space of three deliveries, but number six Naman Dhir hit an 18-ball 37 to boost the total, which in the end proved insufficient.The league was extended by nine days after being paused due to a military conflict between India and Pakistan and some overseas players including Mumbai imports Will Jacks (England) and Ryan Rickelton (South Africa) left before the playoffs.

Le Mexique aux urnes pour élire tous ses juges, à l’ombre du crime

Une première mondiale. Les Mexicains votaient dimanche pour désigner tous les juges jusqu’aux neuf membres de la Cour suprême, une réforme poussée par la gauche au pouvoir sous la menace du crime organisé.Cette élection est la colonne vertébrale d’une réforme constitutionnelle pour lutter contre “la corruption et les privilèges” du personnel judiciaire, comme le disent la présidente Claudia Sheinbaum et son prédécesseur et mentor politique Andres Manuel Lopez Obrador, très populaires dans le pays.”C’est la première fois dans l’histoire. C’est pour cela que j’ai voulu participer à cette élection historique”, a déclaré l’ex-président pour sa première réapparition publique depuis qu’il a transmis le pouvoir à Mme Sheinbaum le 1er octobre, après avoir promulgué la réforme.”Nous avons la meilleure présidente du monde. Je le répète: la meilleure présidente du monde”, a ajouté AMLO en sortant de sa retraite de Palenque, dans le Chiapas (sud). Il a confié au passage qu’il était en train d’écrire un livre sur “la grandeur culturel” du Mexique à paraître à la fin de l’année.La présidente a elle voté en passant onze minutes et dix secondes à remplir les bulletins, a calculé la chaîne d’information Milenio TV, qui a mentionné la “complexité” de la procédure d’élection des juges à plusieurs échelons du pouvoir judiciaire.Un électeur doit choisir les juges parmi des centaines de candidats, ce qui peut nécessiter des heures de recherches pour qui veut voter de façon avisée, explique David Shirk, professeur à l’Université de San Diego, aux Etats-Unis. Au total, 881 postes sont en jeu au niveau fédéral, dont les neuf membres de la Cour suprême. Quelque 1.700 juges vont être élus dans 19 des 32 Etats. Des élections complémentaires auront lieu en 2027.Le taux de participation risque d’être assez faible, de l’ordre de 13 à 20% d’après l’autorité électorale.Claudia Sheinbaum avait d’ailleurs lancé un dernier appel à voter samedi, en parlant aussi d’un “jour historique” et en balayant les arguments de ses adversaires.”Ceux qui souhaitent le maintien du régime de corruption et de privilèges au sein du pouvoir judiciaire disent que cette élection est truquée. Ils disent aussi que c’est pour qu’un parti politique s’approprie la Cour suprême”: “rien de plus faux”, a déclaré la présidente, en assurant que cette élection inédite allait permettre l’avènement “d’un pouvoir judiciaire honnête, proche du peuple”.L’argument semble avoir convaincu Arturo Giesemann, 57 ans, qui vote dans le centre de la capitale par “dégoût” envers l’actuel pouvoir judiciaire dirigé par des “corrompus”. “C’est une opportunité pour changer”, selon lui.Les adversaires de la réforme dénoncent eux un risque de mainmise du pouvoir actuel, très populaire, sur le système judiciaire. Quelques centaines de personnes ont participé à Mexico à une “marche nationale” contre la présidente et la “farce” de l’élection. “Non à la dictature” ou “Non à la fraude judiciaire. Moi je ne vote pas”, pouvait-on lire sur certaines affiches.- Candidats controversés -La lutte contre l’impunité est également un enjeu de la réforme du système judiciaire. Le Mexique, qui compte près de 130 millions d’habitants, enregistre chaque année 30.000 homicides. La plupart restent impunis. Le pays compte six des huit bandes criminelles d’Amérique latine qualifiées d'”organisations terroristes” par le président américain Donald Trump.L’ONG Defensorxs a identifié près de 20 candidats à risque pour leurs liens présents ou passés avec des figures du crime. Parmi eux, Silvia Delgado, ex-avocate de Joaquín “Chapo” Guzmán, cofondateur du cartel de Sinaloa, condamné à la perpétuité aux Etats-Unis.Mme Delgado est candidate à un poste de juge pénal à Ciudad Juarez, ville-frontière avec les Etats-Unis. Autre exemple: Leopoldo Chávez, en campagne dans l’Etat du Durango (nord), a passé six ans en prison aux Etats-Unis pour trafic de méthamphétamines. “Je ne me suis jamais vendu auprès de vous comme le candidat parfait”, a-t-il affirmé dans une vidéo sur Facebook.Les candidats doivent être diplômés en droit, avoir de l’expérience et “une bonne réputation”.La corruption se joue encore davantage au niveau des parquets que des juges, rappelle le chercheur de l’Université de San Diego. “Il est beaucoup plus facile d’acheter un procureur” que “d’influencer le juge”, explique M. Shirk, directeur d’un projet de recherche sur la justice au Mexique.

Le Mexique aux urnes pour élire tous ses juges, à l’ombre du crime

Une première mondiale. Les Mexicains votaient dimanche pour désigner tous les juges jusqu’aux neuf membres de la Cour suprême, une réforme poussée par la gauche au pouvoir sous la menace du crime organisé.Cette élection est la colonne vertébrale d’une réforme constitutionnelle pour lutter contre “la corruption et les privilèges” du personnel judiciaire, comme le disent la présidente Claudia Sheinbaum et son prédécesseur et mentor politique Andres Manuel Lopez Obrador, très populaires dans le pays.”C’est la première fois dans l’histoire. C’est pour cela que j’ai voulu participer à cette élection historique”, a déclaré l’ex-président pour sa première réapparition publique depuis qu’il a transmis le pouvoir à Mme Sheinbaum le 1er octobre, après avoir promulgué la réforme.”Nous avons la meilleure présidente du monde. Je le répète: la meilleure présidente du monde”, a ajouté AMLO en sortant de sa retraite de Palenque, dans le Chiapas (sud). Il a confié au passage qu’il était en train d’écrire un livre sur “la grandeur culturel” du Mexique à paraître à la fin de l’année.La présidente a elle voté en passant onze minutes et dix secondes à remplir les bulletins, a calculé la chaîne d’information Milenio TV, qui a mentionné la “complexité” de la procédure d’élection des juges à plusieurs échelons du pouvoir judiciaire.Un électeur doit choisir les juges parmi des centaines de candidats, ce qui peut nécessiter des heures de recherches pour qui veut voter de façon avisée, explique David Shirk, professeur à l’Université de San Diego, aux Etats-Unis. Au total, 881 postes sont en jeu au niveau fédéral, dont les neuf membres de la Cour suprême. Quelque 1.700 juges vont être élus dans 19 des 32 Etats. Des élections complémentaires auront lieu en 2027.Le taux de participation risque d’être assez faible, de l’ordre de 13 à 20% d’après l’autorité électorale.Claudia Sheinbaum avait d’ailleurs lancé un dernier appel à voter samedi, en parlant aussi d’un “jour historique” et en balayant les arguments de ses adversaires.”Ceux qui souhaitent le maintien du régime de corruption et de privilèges au sein du pouvoir judiciaire disent que cette élection est truquée. Ils disent aussi que c’est pour qu’un parti politique s’approprie la Cour suprême”: “rien de plus faux”, a déclaré la présidente, en assurant que cette élection inédite allait permettre l’avènement “d’un pouvoir judiciaire honnête, proche du peuple”.L’argument semble avoir convaincu Arturo Giesemann, 57 ans, qui vote dans le centre de la capitale par “dégoût” envers l’actuel pouvoir judiciaire dirigé par des “corrompus”. “C’est une opportunité pour changer”, selon lui.Les adversaires de la réforme dénoncent eux un risque de mainmise du pouvoir actuel, très populaire, sur le système judiciaire. Quelques centaines de personnes ont participé à Mexico à une “marche nationale” contre la présidente et la “farce” de l’élection. “Non à la dictature” ou “Non à la fraude judiciaire. Moi je ne vote pas”, pouvait-on lire sur certaines affiches.- Candidats controversés -La lutte contre l’impunité est également un enjeu de la réforme du système judiciaire. Le Mexique, qui compte près de 130 millions d’habitants, enregistre chaque année 30.000 homicides. La plupart restent impunis. Le pays compte six des huit bandes criminelles d’Amérique latine qualifiées d'”organisations terroristes” par le président américain Donald Trump.L’ONG Defensorxs a identifié près de 20 candidats à risque pour leurs liens présents ou passés avec des figures du crime. Parmi eux, Silvia Delgado, ex-avocate de Joaquín “Chapo” Guzmán, cofondateur du cartel de Sinaloa, condamné à la perpétuité aux Etats-Unis.Mme Delgado est candidate à un poste de juge pénal à Ciudad Juarez, ville-frontière avec les Etats-Unis. Autre exemple: Leopoldo Chávez, en campagne dans l’Etat du Durango (nord), a passé six ans en prison aux Etats-Unis pour trafic de méthamphétamines. “Je ne me suis jamais vendu auprès de vous comme le candidat parfait”, a-t-il affirmé dans une vidéo sur Facebook.Les candidats doivent être diplômés en droit, avoir de l’expérience et “une bonne réputation”.La corruption se joue encore davantage au niveau des parquets que des juges, rappelle le chercheur de l’Université de San Diego. “Il est beaucoup plus facile d’acheter un procureur” que “d’influencer le juge”, explique M. Shirk, directeur d’un projet de recherche sur la justice au Mexique.

Gaza rescuers say 31 killed near aid site, Israel denies involvement

Gaza’s civil defence agency said Israeli gunfire killed at least 31 Palestinians near a US-backed aid distribution site on Sunday, with both the group in charge of the site and the military denying any such incident took place.Israel has faced growing condemnation over the humanitarian crisis in the war-ravaged Gaza Strip, where the United Nations has warned the entire population faces the risk of famine after no aid was allowed to enter for more than two months.Israel recently eased its blockade and introduced a revamped aid mechanism in cooperation with a newly formed US-backed organisation, bypassing the longstanding UN-led system.The organisation, the Gaza Humanitarian Foundation (GHF), says it has distributed millions of meals since operations began last week, but the rollout has been marked by chaotic scenes at the limited number of distribution centres.Civil defence spokesman Mahmud Bassal told AFP that “31 people were killed and more than 176 injured… after Israeli gunfire targeted thousands of civilians near the American aid centre in Rafah”, in southern Gaza.AFP images showed Palestinians transporting bodies on donkey carts near the aid point as others carried away boxes and bags of supplies under the early-morning sun.Abdullah Barbakh, a 58-year-old Palestinian man, described “chaos” at the site.”The army opened fire from drones and tanks,” he said. “I don’t understand why they call people to the aid centres and then open fire on them.”Near another GHF aid centre in central Gaza, AFP images showed rescuers evacuating injured people. Bassal reported one dead and dozens wounded there, again blaming Israeli fire.The Israeli military said an initial inquiry found its troops “did not fire at civilians while they were near or within the humanitarian aid distribution site and that reports to this effect are false”.”Hamas does everything in its power to undermine food distribution efforts in the Gaza Strip,” it added, urging the media to “be cautious with information published” by the group.A GHF spokesperson also denied any deaths or injuries took place, adding that “these fake reports have been actively fomented by Hamas”.- ‘Death follows you’ -Sameh Hamuda, a displaced 33-year-old from northern Gaza, told AFP he had walked from Gaza City and spent the night with relatives near Rafah before heading to the aid centre around 5:00 am to wait among a crowd of people.”Suddenly quadcopter drones opened fire on the people, and tanks started shooting heavily. Several people were killed right in front of me,” he said.”I ran and survived. Death follows you as long as you’re in Gaza.”At Al-Awda hospital in central Gaza, Umm Muhammad Abu Khousa told AFP her son was among those wounded near the other aid centre in Bureij.”You feed me and then you kill me?” she said from her son’s bedside.Victoria Rose — a British surgeon visiting Nasser Hospital where many of the patients from Rafah were taken — described in a video message from the facility a scene of “absolute carnage”, saying “all the bays are full, and they’re all gunshot wounds”.Speaking about the reported deaths to US broadcaster ABC, World Food Programme Executive Director Cindy McCain said “our people are reporting the same thing on the ground”.”It’s a tragedy. And what we need right now is an immediate ceasefire, complete, unfettered access… to feed people and stop this catastrophe from happening,” she added.Only limited amounts of aid have entered Gaza since Israel eased its total blockade that began in March.The UN and the WFP have recently reported looting of some supplies, including by gunmen.On Friday a spokesman for the UN humanitarian agency called Gaza “the hungriest place on earth”.GHF, which uses contracted US security, said on Sunday that it had distributed more than 4.7 million meals’ worth of food so far.The United Nations and major aid groups have refused to cooperate with the organisation, saying it contravened basic humanitarian principles and appeared designed to cater to Israeli military objectives.Philippe Lazzarini, head of the UN’s agency for Palestinian refugees, said on Sunday that Gaza “aid distribution has become a death trap”.”Aid deliveries and distribution must be at scale and safe,” he added in a post on X. “In Gaza, this can be done only through the United Nations including UNRWA.”- Truce offer -Nearly 20 months into the war, negotiations for a ceasefire and hostage release deal have failed to produce a breakthrough.Since the last brief truce collapsed in March, Israel has intensified its operations to destroy Hamas, the Palestinian group whose October 7, 2023 attack triggered the war.Hamas said it had responded positively — albeit with requested amendments — to the latest US-backed truce proposal on Saturday, but US envoy Steve Witkoff criticised the reply as “totally unacceptable”, an assessment echoed by Israel.Witkoff urged the group to “accept the framework proposal we put forward”.Qatar and Egypt, which have served as mediators in ceasefire talks throughout the war, emphasised in a joint statement the “importance of intensifying efforts to overcome the obstacles facing the negotiations”.Hamas said it was ready to “immediately begin a round of indirect negotiations to reach an agreement on the points of contention”.Defence Minister Israel Katz, meanwhile, said he had told the army “to continue forward in Gaza against all targets, regardless of any negotiations”.The health ministry in Hamas-run Gaza says at least 4,149 people have been killed in the territory since Israel resumed its offensive on March 18, taking the war’s overall toll to 54,418, mostly civilians.Hamas’s 2023 attack on Israel resulted in the deaths of 1,218 people, mostly civilians, according to an AFP tally based on official figures.

Pyramids survive tense finish to be crowned African championsSun, 01 Jun 2025 19:33:26 GMT

Pyramids of Egypt survived late pressure to beat Mamelodi Sundowns of South Africa 2-1 in Cairo on Sunday and win the CAF Champions League for the first time.   Competing in the premier African club competition for only the second time, Pyramids triumphed 3-2 on aggregate after the first leg was drawn 1-1 in Pretoria last weekend.Fiston …

Pyramids survive tense finish to be crowned African championsSun, 01 Jun 2025 19:33:26 GMT Read More »