Roland-Garros: Inarrêtable, Boisson rejoint Gauff avant le choc Djokovic-Zverev

Sensation de ce Roland-Garros, la Française Loïs Boisson (361e) a écarté la N.6 mondiale Mirra Andreeva pour rejoindre l’Américaine Coco Gauff (2e) en demies, avant le choc de la soirée qui opposera Novak Djokovic et Alexander Zverev en quarts de finale.. Boisson écoeure Andreeva et rejoint GauffTombeuse de Jessica Pegula (3e) en huitièmes de finale, Loïs Boisson a accroché une nouvelle joueuse du Top 10 à son tableau de chasse en éliminant en quart de finale la Russe Mirra Andreeva, N.6 mondiale .Sur un court Philippe-Chatrier acquis à sa cause, la Française de 22 ans l’a emporté 7-6 (8/6), 6-3 en un peu plus de deux heures contre sa cadette de 18 ans pour devenir la première Française depuis Marion Bartoli en 2011 à se hisser en demi-finales sur la terre battue parisienne.”Jouer devant tout ce monde aujourd’hui, se sentir soutenue, c’était incroyable”, s’est régalée Loïs Boisson dès l’interview d’après-match.Après une première manche arrachée au tie-break au terme d’1h21 de combat intense, Boisson a connu une baisse de régime. Menée 3 à 0, elle a ensuite infligé un 6-0 à Andreeva, coupable de trop nombreuses fautes directes dans le deuxième set (21 contre 9). “Le premier set était hyper intense et du coup le début du deuxième a été plus compliqué. Mais j’ai su me reprendre”, s’est satisfaite Loïs Boisson.Assurée de devenir lundi la première Française au classement WTA, elle affrontera dès demain la N.2 mondiale Coco Gauff pour une place en finale.”Elle fait un excellent tournoi. J’espère que tout le monde sera respectueux. Et si ce n’est pas le cas, c’est cool. Je pense que cela rend le sport enthousiasmant, et je ne peux pas m’agacer du fait que quelqu’un soutienne son héroïne, parce que je ferais la même chose”, a déclaré l’Américaine en conférence de presse. Plus tôt dans la journée, la lauréate de l’US Open 2023 est parvenue à renverser sa compatriote Madison Keys pour s’imposer 6-7 (6/8), 6-4, 6-1 et rallier le dernier carré de Roland-Garros pour la troisième fois à 21 ans.La partie avait pourtant mal débuté pour Gauff. Menée 4-1, elle est parvenue à revenir à hauteur avant de concéder le tie-break de la première manche.Mais la cadette des deux Américaines, finaliste aux WTA 1000 de Madrid et Rome (terre battue) juste avant Roland-Garros, s’est ressaisie pour remporter les deux manches suivantes, malgré quelques trous d’air et de nombreuses fautes directes.. Djokovic-Zverev, un air de déjà vuDéjà opposés en demi-finale de l’Open d’Australie il y a quatre mois, Novak Djokovic et Alexander Zverev se retrouvent en quart de finale à Roland-Garros, pour un quatorzième duel entre les deux hommes (8-5 pour Djokovic).A Melbourne, l’affiche avait tourné court pour le Serbe de 38 ans. Après un premier set perdu au bout d’un long combat d’1h20, il était venu serrer la main de l’Allemand pour lui signifier qu’il abandonnait, en raison d’une déchirure musculaire à la cuisse gauche.Mais à Paris, seules des ampoules persistantes aux pieds, soignées lors de ses victoires contre le Français Corentin Moutet au 2e tour et le Britannique Cameron Norrie en huitièmes de finale, sont venues jusqu’à présent le contrarier.L’ex-N.1 mondial n’a pas perdu un set en quatre rencontres, Zverev n’en lâchant pour sa part qu’un seul, au deuxième tour contre le Néerlandais Jesper de Jong (88e). Le dernier match de l’Allemand, en huitièmes de finale, a tourné court après l’abandon du Néerlandais Tallon Griekspoor (35e) au milieu du deuxième set.Le vainqueur du choc Zverev-Djokovic croisera le fer pour une place en finale avec le N.1 mondial Jannik Sinner ou l’imprévisible Kazakh Alexander Bublik (62e). 

La ville de Paris veut doter la Seine d’une personnalité juridique

La ville de Paris souhaite doter la Seine d’une personnalité juridique pour pouvoir défendre les intérêts du fleuve et mieux protéger son écosystème, dans le cadre d’un mouvement mondial de reconnaissance de la nature qui a déjà permis d’attribuer ce type de droit à plusieurs sites.Dans un voeu adopté mercredi, le Conseil de Paris demande au Parlement d’adopter une loi donnant à la Seine une personnalité juridique “sous la forme d’une personne morale de droit public, permettant à une autorité gardienne indépendante de défendre en justice ses droits”.”La Seine doit pouvoir se défendre elle-même, comme un sujet de droit et non comme un objet, parce qu’elle sera toujours attaquée”, a plaidé la maire socialiste Anne Hidalgo.Cette reconnaissance s’est déjà concrétisée pour le fleuve Whanganui en Nouvelle-Zélande, la lagune de Mar Menor en Espagne et la forêt de Los Cedros en Equateur qui “ont montré l’exemple”, a-t-elle développé.Le Conseil de Paris s’est appuyé sur les conclusions d’une convention citoyenne sur l’avenir de la Seine réunie entre mars et mai dernier, dans la même veine que les initiatives engagées autour de la Loire et du Rhône. Cinquante citoyens tirés au sort proposent d’accorder à la Seine des droits fondamentaux comme “le droit à exister, à couler, à se régénérer”. Un “parlement” du fleuve permettrait de “penser des décisions de long terme et contenir le poids des différents lobbys”, a expliqué devant les élus Aurélie Huguet, rapporteure citoyenne.La Seine doit être considérée comme un écosystème dont “personne ne peut revendiquer la propriété” où la sauvegarde du vivant doit “primer sur tout”, selon les conclusions de la convention. Elle note qu’une dynamique “positive” de protection de la biodiversité a été entreprise depuis plusieurs années, avec la piétonnisation des quais et la dépollution de l’eau, qui permettent aujourd’hui au fleuve d’héberger 39 espèces de poissons, contre seulement quatre en 1970.Mais l’écosystème reste menacé par sa pollution, l’augmentation de la température de l’eau, l’utilisation de pesticides dans l’agriculture… L’ouverture de la baignade au public prévue cet été, avec les installations qu’elle implique, pourrait présenter “des risques supplémentaires”, avertissent les citoyens.Pour l’élu communiste Jean-Philippe Gilet, la convention citoyenne “sous-estime la portée actuelle du Code de l’environnement et la possibilité pour les associations de bénéficier d’un droit d’action en justice”. Il a également regretté une réflexion cantonnée à Paris “alors que la Seine traverse quatre régions”.Les droits de la Seine ont fait l’objet cet hiver d’un procès fictif joué au théâtre de la Concorde à Paris, réunissant notamment sur scène l’ancien procureur général de la Cour de cassation François Molins et l’avocate Corinne Lepage, ex-ministre de l’Environnement.

La Réunion: cinq nouveaux décès imputés au chikungunya malgré une épidémie en décrue

Les décès de cinq personnes ont été imputés au chikungunya à La Réunion, portant à 20 le nombre de morts liées à l’épidémie qui est pourtant “en phase de décroissance”, a annoncé mercredi Santé publique France (SPF).”Suite à la dernière réunion du comité d’imputabilité (…), cinq dossiers ont été classés” comme des décès liés au chikungunya, a précisé SPF dans son bulletin épidémiologique, tout en précisant que “La Réunion est en phase de décroissance épidémique” depuis la fin du mois d’avril.Dans un communiqué, la préfecture de La Réunion a pour sa part annoncé un retour au “stade d’épidémie de faible intensité”, évoquant la “forte diminution” du nombre de consultations pour des cas cliniquement évocateurs de chikungunya et des passages aux urgences.”L’impact sur les établissements de santé a également diminué”, a précisé la préfecture.Les cinq décès survenus entre le 31 mars et le 11 mai faisaient l’objet d’une investigation dans le cadre de l’épidémie qui a démarré en août 2024 à La Réunion, où les cas ont explosé à partir de mars 2025.Ils concernent tous des personnes âgées de 68 à 95 ans porteuses de comorbidités (pathologies chroniques essentiellement), selon l’agence, qui précise que 37 autres décès sont en cours d’investigation quant à l’imputabilité du chikungunya.Le département de l’océan Indien est en phase de “décroissance épidémique” pour la cinquième semaine consécutive, assure toutefois l’agence sanitaire, ajoutant que “bien qu’en forte diminution, la circulation du chikungunya sur l’île reste encore importante avec des disparités selon les secteurs géographiques”.L’activité en médecine de ville concernant l’épidémie a baissé de 55% sur une semaine, passant d’environ 3.800 consultations à 1.800.Les passages aux urgences pour cause de chikungunya ont pour leur part baissé de 15% sur une semaine.Depuis le début de l’année 2025, près de 53.000 cas “confirmés biologiquement de chikungunya autochtones” ont été signalés à La Réunion, qui compte environ 900.000 habitants.Le nombre total de cas est toutefois considéré comme bien plus élevé, nombre de malades ne s’étant pas fait dépister. L’Agence régionale de santé (ARS) de La Réunion estime ainsi que 200.000 personnes auraient été contaminées par le virus.L’hiver austral qui s’annonce devrait marquer un déclin durable de la propagation de la maladie, a indiqué l’ARS en début de semaine, estimant en outre peu probable un rebond de l’épidémie l’an prochain en raison du nombre de personnes désormais immunisées.Mayotte, autre département français de l’océan Indien, est en revanche passé en phase d’épidémie cette semaine, avec une “transmission intense et généralisée” de cette maladie virale transmise par le moustique tigre. Depuis le début de l’année, 560 cas confirmés de chikungunya y ont été signalés.

Saudis use AI, drones and thousands of cameras to keep hajj pilgrims safe

Working day and night in front of maps, screens and seemingly endless data, Saudi officials have harnessed artificial intelligence to help manage the million-strong sea of pilgrims during the hajj.The technology has proven pivotal to track the overwhelming amount of footage from more than 15,000 cameras in and around the holy city of Mecca.The systems are tuned to spot abnormal crowd movements or predict bottlenecks in foot traffic — a potential life-saver at a packed event with a history of deadly stampedes.Software is also used to help guide more than 20,000 buses deployed to transport pilgrims between holy sites during one of the world’s biggest annual religious gatherings.It is all part of the tech arsenal that Saudi Arabia is deploying as 1.4 million faithful from across the globe descend on Mecca and its surrounds.”In our traffic control room, we use specialised cameras that have AI layers to analyse movements, crowded areas” and predict behaviours, said Mohamed Nazier, chief executive officer for the General Transport Centre at the Royal Commission for Mecca.The centre has a main control room in Mecca filled with screens and maps, where staff use high-tech tools including AI for round-the-clock monitoring.About a dozen staff members sit in rows before desktop computers with a large display at the front, zooming in on crowd movements around the holy sites.On hillsides nearby, cameras that resemble little white robots film buildings, roads and pathways along the hajj route, which winds more than 20 kilometres (12 miles) between Mecca and Mount Arafat.Nazier said the constant monitoring is aimed at averting traffic collisions with pedestrians on crowded routes while also making sure there are buses available to minimise walking time in the desert heat.- ‘Our eye on the ground’ -It is a decade since the hajj suffered its worst disaster, a stampede that killed up to 2,300 people during the “stoning of the devil” ritual.Hundreds also died in stampedes in 2006, 1998 and 1994.In 1990, 1,426 pilgrims were trampled to death or asphyxiated when a tunnel ventilation system failed.With its cutting-edge technology, “the control room is our eye on the ground,” said Mohammed al-Qarni, who oversees the hajj and the year-round umrah pilgrimage at the transport centre.Artificial intelligence helps to determine “the flow on the (roads to the holy sites), and detects emergency situations even before they occur”, he told AFP, adding that the technology can help assess the number of people in a single place.Cameras and AI can estimate if a site has reached maximum capacity, allowing authorities to divert the flow of pilgrims, Qarni said.During the holy month of Ramadan this year, the system spotted when the Grand Mosque had reached full capacity.”The flow to the Haram (Grand Mosque) was stopped and the process controlled,” he said.- Thermal imaging -The use of advanced technology extends beyond logistics, also tracking unregistered pilgrims, who accounted for most of the 1,301 deaths in sweltering conditions last year.As temperatures soared to 51.8 degrees Celsius (125.2 Fahrenheit) last year, unauthorised worshippers who lack access to air-conditioned tents and buses bore the brunt. Temperatures are forecast to top 40C this week.The hajj, one of the five pillars of Islam, must be completed by all Muslims with the means at least once.Yet not everyone is able to secure or afford one of the official permits, which are allocated to countries by quota and awarded to individuals by lottery.To try to stop anyone sneaking in this year, a fleet of camera-equipped drones is monitoring entrances into Mecca.”We use artificial intelligence and other tools like drones and thermal imaging cameras,” the director general of public security, Lieutenant General Mohammed bin Abdullah Al-Bassami, told reporters.Meanwhile, the Saudi Special Forces for Roads Security said it was using “smart thermal imaging” to monitor the perimeter of Mecca and the holy sites.

Wall Street en petite hausse après de nouvelles données sur l’emploi aux Etats-Unis

La Bourse de New York a ouvert en petite hausse mercredi, quelque peu retenue par un indicateur sur les créations d’emplois aux Etats-Unis nettement inférieur aux anticipations, et toujours en attente d’un accord commercial entre Washington et Pékin.Vers 13H45 GMT, le Dow Jones avançait de 0,21%, l’indice Nasdaq prenait 0,39% et l’indice élargi S&P 500 gagnait 0,29%.La place américaine se trouve prise “entre deux dynamiques” après la publication d’un nouvel indicateur sur l’emploi américain, estime auprès de l’AFP Steve Sosnick Interactive Brokers.Les entreprises privées aux Etats-Unis ont créé nettement moins d’emplois en mai qu’attendu par les analystes, selon une enquête publiée mercredi qui a fait sortir de ses gonds le président Donald Trump.Le mois dernier, 37.000 emplois ont été créés dans le secteur privé, contre 60.000 en avril (chiffre révisé légèrement à la baisse), d’après l’enquête mensuelle ADP/Stanford Lab.Les analystes s’attendaient au contraire à un rebond, avec autour de 110.000 créations d’emplois, selon le consensus publié par MarketWatch. “Le marché considère qu’il s’agit d’un chiffre négatif d’un point de vue économique, mais pas d’un chiffre important”, estime Steve Sosnick. “Par conséquent, personne ne se précipite vraiment pour vendre”, ajoute l’analyste.De plus, les investisseurs sont “dans une psychologie tellement positive en ce moment (qu’ils) disposent d’un scénario gagnant-gagnant pour tout ce qui se présente”, assure M. Sosnick.En l’occurrence, ce recul surprise peut être interprété comme un argument en faveur d’une baisse des taux de la Réserve fédérale (Fed), selon l’analyste.Le président Donald Trump – qui a juré de rendre l’Amérique plus riche et plus prospère que jamais – a lui-même appelé mercredi le président de la Fed Jerome Powell à baisser les taux d’intérêt “maintenant”. Dans ce contexte, sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’État américains à 10 ans se détendait à 4,41% contre 4,45% mardi en clôture.D’autres données sur le marché du travail aux Etats-Unis doivent être publiées dans les prochains jours, en particulier vendredi, avec le rapport sur l’emploi non agricole.Les investisseurs continuent aussi de scruter les derniers développements sur le plan commercial.Donald Trump a fait pression sur la Chine mercredi pour avancer dans le dossier des droits de douane, tandis que l’Europe s’est montrée “optimiste” sur les négociations avec Washington tout en critiquant le doublement des surtaxes américaines sur l’acier et l’aluminium imposées mercredi.Ailleurs à la cote, la chaîne de magasins d’articles à bas prix Dollar Tree glissait de 8,55% à 88,46 dollars après avoir annoncé que son bénéfice net par action pour le deuxième trimestre pourrait baisser de près de 50%, notamment à cause des hausses de prix liées aux droits de douane. Pour les trois premiers mois de l’année, l’entreprise a cependant dépassé les attentes, réalisant entre autres un chiffre d’affaires de 4,6 milliards de dollars.Le spécialiste de la cybersécurité CrowdStrike reculait de 7,98% à 449,78 dollars, l’entreprise ayant prévenu que son chiffre d’affaires pour le trimestre en cours devrait être compris entre 1,14 et 1,15 milliard de dollars, en deçà des attentes.La banque américaine Wells Fargo (+3,21%, à 78,08 dollars) bénéficiait de l’autorisation reçue par la Réserve fédérale (Fed) pour développer son activité à nouveau, plus de sept ans après avoir été sanctionnée à la suite d’un scandale de comptes fictifs.La société informatique américaine Hewlett Packard Enterprise (HPE) était recherchée (+2,58% à 18,13 dollars) après avoir annoncé des résultats supérieurs aux attentes au premier trimestre ainsi qu’un relèvement de ses prévisions pour l’exercice en cours.

Deadly stampede at India cricket celebrations

A stampede broke out Wednesday as a tightly packed crowd celebrated the victory of their home cricket team in the Indian city of Bengaluru, resulting in deaths, a senior government official said.India media reported as many as 11 people had been crushed to death, but Karnataka state’s Deputy Chief Minister DK Shivakumar said he was not able to immediately confirm the exact number who had been killed.”The tragedy and death have brought deep pain and shock”, Shivakumar said in a statement. “My condolences to the deceased. My condolences to their family.”An AFP photographer saw vast crowds as a sea of people crammed the streets and police waved sticks.Shivakumar said “hundreds of thousands of people” had flocked onto the streets.”I have spoken to the police commissioner and everyone, I will also go to the hospital later — I do not want to disturb the doctors who are taking care of the patients”, he told reporters.”The exact number cannot be told now. We appeal to the people to remain calm.”Broadcasters showed police rushing away from crowds carrying young children in their arms, who had seemingly fainted.One unattended young man was sitting in an ambulance struggling to breathe.India’s NDTV broadcaster said at least 11 people were killed, while The Times of India newspaper reported seven dead.”This is not a controllable crowd,” Shivakumar said, speaking to reporters. “The police were finding it very difficult.””I apologise to the people of Karnataka and Bengaluru,” he said. “We wanted to take a procession, but the crowd was very uncontrollable… the crowd was so much.”- ‘Heartfelt condolences -Cricket fans had come out to celebrate and welcome home their heroes, Royal Challengers Bengaluru, after they beat Punjab Kings in a roller-coaster Indian Premier League cricket final on Tuesday night.Organisers pressed ahead with the ceremony, with the team’s social media account posting a video of cheering crowds as the bus full of the players — including batting legend Virat Kohli — waved back.”This welcome is what pure love looks like”, the club’s social media posted on X.But IPL chairman Arun Dhumal, speaking to NDTV, said organisers in the stadium had not been told about the stampede.”At the time of the celebrations inside the stadium officials there did not know what had happened… I would like to send my heartfelt condolences”, Dhumal said. Shivakumar said cricket organisers had “shortened the programme”.”This is a very sad incident,” Rajeev Shukla, vice president of the Board of Control for Cricket in India (BCCI), the national governing body, told India Today news outlet.”No one imagined that such a huge crowd would turn up.”Deadly crowd incidents are a frequent occurrence at Indian mass events such as religious festivals due to poor crowd management and safety lapses.In July last year, 121 people were killed in northern Uttar Pradesh state during a Hindu religious gathering.