Kenya’s plus-size fashion show says ‘big is beautiful’Mon, 09 Jun 2025 18:47:46 GMT

In African wax print dresses and tight-fitting evening wear, the “plus-size” models strutted up the runway in Kisumu, western Kenya, in a special event designed to celebrate the beauty of larger women.Started nine years ago, the East Africa Plus Size Fashion Affair is, according to founder Winnie Wenga Walcott, the only event of its kind …

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Tensions flare among jurors in Weinstein sex crimes retrial

Fresh strains emerged Monday among jurors in the sex crimes retrial of disgraced Hollywood mogul Harvey Weinstein, raising the risk of a deadlocked jury and a mistrial.As court proceedings resumed in the New York courtroom, Judge Curtis Farber read aloud two notes sent to him by the 12-member jury deliberating behind closed doors.In the first note, a juror expressed a desire to talk to Farber “about the situation that isn’t very good.”In the second, jurors wrote they “request the entire definition of reasonable doubt and rules of the jury especially to avoid a hung jury.”A hung jury occurs when a judge acknowledges that jurors have been unable to reach a unanimous decision after several days of deliberations. In that case, a mistrial is declared and a new trial may be held.On Monday morning, Weinstein, whose downfall in 2017 sparked the global #MeToo movement, looked on impassively from his wheelchair, as the judge, prosecutors and his lawyers engaged in tense discussions.The jury must decide whether Weinstein — accused by dozens of women of being a sexual predator — is guilty of sexual assaults in 2006 on Miriam Haley and former model Kaja Sokola, and of rape in 2013 of then-aspiring actress Jessica Mann.Weinstein is on trial again after a New York state appeals court threw out his 2020 convictions, citing irregularities in the original proceedings. The former movie industry titan’s 23-year prison sentence for the initial conviction was thrown out, but he remains imprisoned for separate offenses.On Friday, one juror came forward to report tensions between his fellow panelists, alleging “people are being shunned. It’s playground stuff.”He asked to resign as a juror, but Farber denied his request.Responding to the situation, Weinstein’s lawyer Arthur Aidala called for a mistrial, but the judge refused his request.At midday Monday, another juror sought to deliver a message of reassurance that matters had calmed down.”Things are going well, the tone is very different today, we are finding headways,” she told the judge, who appeared to breathe a sigh of relief. During the trial, the three alleged victims testified for several days, recounting how the powerful movie producer had forced them into sexual relations after luring them to his apartment or a hotel room in New York.On Wednesday, prosecutor Nicole Blumberg summarized the evidence of the three alleged victims by saying simply: “He raped three women, they all said no.”The Hollywood figure had “all the power” and “all the control” over the alleged victims, which is why jurors should find him guilty, she said.”The defendant thought the rules did not apply to him, now it is the time to let him know that the rules apply to him.”Weinstein did not take the stand but conceded in an interview with FOX5 television on Friday that he had acted “immorally.” He insisted he did nothing criminal, however.Weinstein’s defense team has suggested the women accused him to score a payday from a legal settlement or criminal damages. 

L'”ultra fast fashion” et sa déferlante de tenues

L'”ultra fast fashion”, que le Sénat tente de freiner en votant mardi une proposition de loi pour “réduire l’impact environnemental de l’industrie textile”, s’impose avec des prix très concurrentiels et un changement incessant des collections.Peu coûteux et constamment renouvelés, ces produits textiles grignotent le marché et concurrencent les acteurs historiques du secteur. L’AFP a analysé et comparé leurs prix et leurs nouveautés.Ils sont accusés d’être souvent très polluants et fabriqués dans des conditions de travail généralement déplorables, ce que conteste l’un des acteurs émergents du secteur, Shein. La plateforme “s’engage à garantir le traitement équitable et digne des travailleurs et interdit le travail forcé au sein de sa chaîne d’approvisionnement”, affirme son porte-parole en France, Quentin Ruffat.- 7.220 nouvelles références par jour -Initiée dès les années 1990 en France avec l’arrivée de Zara, la fast fashion “est un mode de fonctionnement” notamment basé sur “la multiplication du nombre de collections”, indique à l’AFP Gildas Minvielle, directeur de l’Observatoire économique de l’Institut Français de la Mode (IFM).Pendant deux semaines, du 22 mai au 5 juin, l’AFP a analysé les sites d’un acteur émergent, Shein, et d’un acteur historique, H&M, afin d’estimer le nombre de nouveaux arrivages par jour et par segment.  Il en ressort que, dans la catégorie “vêtements pour femmes”, Shein a mis en ligne près de 2.960 nouvelles références par jour, en moyenne, sur la période analysée. Cette estimation descend à 1.330 pour les hommes et atteint 2.930 pour les chaussures. Soit un total de plus de 7.220 nouvelles références par jour, qui s’approche du chiffre trouvé par l’ONG les Amis de la terre en mai 2023. De son côté, le site H&M, qui vend également d’autres marques comme Cos, Arket, ou & Other Stories, proposait environ 290 nouvelles références quotidiennes dans la catégorie “vêtements femmes”, et 50 dans celle “vêtements hommes”.Contactées par l’AFP, aucune des deux marques n’a souhaité faire de commentaire sur ces chiffres.”Nous fabriquons uniquement ce que nos clients achètent, nous alignons la production sur la demande”, ce qui permet “d’avoir peu de stocks” et un taux d’invendus inférieur au reste de l’industrie, dit Quentin Ruffat.- L’intelligence artificielle, leur ADN -Outre la grande variété des articles proposés, l’accent est également mis sur la rapidité: un vêtement de l'”ultra fast fashion” est conçu, produit et expédié en moins de 7 jours (3 semaines pour la fast fashion), selon le secrétariat général à la Planification écologique.Si les plateformes d’origine chinoise, tels Temu ou Shein, “sont aussi agiles et aussi rapides, c’est parce que ce sont des puissances technologiques”, explique Laëtitia Lamari, spécialiste du commerce en ligne. “Pour eux, l’intelligence artificielle n’est pas née avec ChatGPT. C’est leur ADN”, ajoute-t-elle. Pilotées par la tech, elles peuvent développer des produits en petite quantité, parfois sur un simple prototype créé par IA. S’il y a des clics, l’algorithme se met en branle et donne des indicateurs pour de la fabrication, selon l’experte. À grand renfort d’avions, les pièces arrivent en France, un de leur marché phare, souvent exemptées de droits de douane. Mais avec des contrats publicitaires “colossaux avec les plateformes comme Meta”, note Laëtitia Lamari.Selon son porte-parole en France, “Shein n’utilise pas l’IA pour le design des vêtements”, qui sont livrés “entre 8 et 15 jours”.- 2€ le tee-shirt -“Avec l’arrivée de l’ultra fast fashion, les écarts de prix par rapport au milieu de gamme se sont beaucoup accentués”, détaille Gildas Minvielle. Allant parfois du simple au triple. Un tee-shirt, par exemple, coûte aujourd’hui en moyenne 14 euros, selon l’IFM.Zara et H&M sont au-dessus, tandis que Primark, Kiabi et Shein sont en dessous, selon une analyse par l’AFP des sites de ces groupes le 4 juin. Parmi ces cinq acteurs, c’est Shein qui proposait le tee-shirt le moins cher: 2,16 euros pour un “tee-shirt pour femmes décontracté avec col rond à motif minimaliste” vendu en lot de quatre à 8,62 euros. Venaient ensuite Kiabi avec un tee-shirt à 2,40 euros (en promotion), Primark à 3 euros, H&M à 4,99 euros et Zara à 6,95 euros.Outre “prendre des parts de marché aux autres acteurs”, “ce nouveau marché de tout petits prix (…) perturbe la perception que les consommateurs ont des prix”, note Gildas Minvielle. “Le juste prix ou le prix légitime pour un vêtement aujourd’hui n’est plus le même qu’avant”.

L'”ultra fast fashion” et sa déferlante de tenues

L'”ultra fast fashion”, que le Sénat tente de freiner en votant mardi une proposition de loi pour “réduire l’impact environnemental de l’industrie textile”, s’impose avec des prix très concurrentiels et un changement incessant des collections.Peu coûteux et constamment renouvelés, ces produits textiles grignotent le marché et concurrencent les acteurs historiques du secteur. L’AFP a analysé et comparé leurs prix et leurs nouveautés.Ils sont accusés d’être souvent très polluants et fabriqués dans des conditions de travail généralement déplorables, ce que conteste l’un des acteurs émergents du secteur, Shein. La plateforme “s’engage à garantir le traitement équitable et digne des travailleurs et interdit le travail forcé au sein de sa chaîne d’approvisionnement”, affirme son porte-parole en France, Quentin Ruffat.- 7.220 nouvelles références par jour -Initiée dès les années 1990 en France avec l’arrivée de Zara, la fast fashion “est un mode de fonctionnement” notamment basé sur “la multiplication du nombre de collections”, indique à l’AFP Gildas Minvielle, directeur de l’Observatoire économique de l’Institut Français de la Mode (IFM).Pendant deux semaines, du 22 mai au 5 juin, l’AFP a analysé les sites d’un acteur émergent, Shein, et d’un acteur historique, H&M, afin d’estimer le nombre de nouveaux arrivages par jour et par segment.  Il en ressort que, dans la catégorie “vêtements pour femmes”, Shein a mis en ligne près de 2.960 nouvelles références par jour, en moyenne, sur la période analysée. Cette estimation descend à 1.330 pour les hommes et atteint 2.930 pour les chaussures. Soit un total de plus de 7.220 nouvelles références par jour, qui s’approche du chiffre trouvé par l’ONG les Amis de la terre en mai 2023. De son côté, le site H&M, qui vend également d’autres marques comme Cos, Arket, ou & Other Stories, proposait environ 290 nouvelles références quotidiennes dans la catégorie “vêtements femmes”, et 50 dans celle “vêtements hommes”.Contactées par l’AFP, aucune des deux marques n’a souhaité faire de commentaire sur ces chiffres.”Nous fabriquons uniquement ce que nos clients achètent, nous alignons la production sur la demande”, ce qui permet “d’avoir peu de stocks” et un taux d’invendus inférieur au reste de l’industrie, dit Quentin Ruffat.- L’intelligence artificielle, leur ADN -Outre la grande variété des articles proposés, l’accent est également mis sur la rapidité: un vêtement de l'”ultra fast fashion” est conçu, produit et expédié en moins de 7 jours (3 semaines pour la fast fashion), selon le secrétariat général à la Planification écologique.Si les plateformes d’origine chinoise, tels Temu ou Shein, “sont aussi agiles et aussi rapides, c’est parce que ce sont des puissances technologiques”, explique Laëtitia Lamari, spécialiste du commerce en ligne. “Pour eux, l’intelligence artificielle n’est pas née avec ChatGPT. C’est leur ADN”, ajoute-t-elle. Pilotées par la tech, elles peuvent développer des produits en petite quantité, parfois sur un simple prototype créé par IA. S’il y a des clics, l’algorithme se met en branle et donne des indicateurs pour de la fabrication, selon l’experte. À grand renfort d’avions, les pièces arrivent en France, un de leur marché phare, souvent exemptées de droits de douane. Mais avec des contrats publicitaires “colossaux avec les plateformes comme Meta”, note Laëtitia Lamari.Selon son porte-parole en France, “Shein n’utilise pas l’IA pour le design des vêtements”, qui sont livrés “entre 8 et 15 jours”.- 2€ le tee-shirt -“Avec l’arrivée de l’ultra fast fashion, les écarts de prix par rapport au milieu de gamme se sont beaucoup accentués”, détaille Gildas Minvielle. Allant parfois du simple au triple. Un tee-shirt, par exemple, coûte aujourd’hui en moyenne 14 euros, selon l’IFM.Zara et H&M sont au-dessus, tandis que Primark, Kiabi et Shein sont en dessous, selon une analyse par l’AFP des sites de ces groupes le 4 juin. Parmi ces cinq acteurs, c’est Shein qui proposait le tee-shirt le moins cher: 2,16 euros pour un “tee-shirt pour femmes décontracté avec col rond à motif minimaliste” vendu en lot de quatre à 8,62 euros. Venaient ensuite Kiabi avec un tee-shirt à 2,40 euros (en promotion), Primark à 3 euros, H&M à 4,99 euros et Zara à 6,95 euros.Outre “prendre des parts de marché aux autres acteurs”, “ce nouveau marché de tout petits prix (…) perturbe la perception que les consommateurs ont des prix”, note Gildas Minvielle. “Le juste prix ou le prix légitime pour un vêtement aujourd’hui n’est plus le même qu’avant”.

L'”ultra fast fashion” et sa déferlante de tenues

L'”ultra fast fashion”, que le Sénat tente de freiner en votant mardi une proposition de loi pour “réduire l’impact environnemental de l’industrie textile”, s’impose avec des prix très concurrentiels et un changement incessant des collections.Peu coûteux et constamment renouvelés, ces produits textiles grignotent le marché et concurrencent les acteurs historiques du secteur. L’AFP a analysé et comparé leurs prix et leurs nouveautés.Ils sont accusés d’être souvent très polluants et fabriqués dans des conditions de travail généralement déplorables, ce que conteste l’un des acteurs émergents du secteur, Shein. La plateforme “s’engage à garantir le traitement équitable et digne des travailleurs et interdit le travail forcé au sein de sa chaîne d’approvisionnement”, affirme son porte-parole en France, Quentin Ruffat.- 7.220 nouvelles références par jour -Initiée dès les années 1990 en France avec l’arrivée de Zara, la fast fashion “est un mode de fonctionnement” notamment basé sur “la multiplication du nombre de collections”, indique à l’AFP Gildas Minvielle, directeur de l’Observatoire économique de l’Institut Français de la Mode (IFM).Pendant deux semaines, du 22 mai au 5 juin, l’AFP a analysé les sites d’un acteur émergent, Shein, et d’un acteur historique, H&M, afin d’estimer le nombre de nouveaux arrivages par jour et par segment.  Il en ressort que, dans la catégorie “vêtements pour femmes”, Shein a mis en ligne près de 2.960 nouvelles références par jour, en moyenne, sur la période analysée. Cette estimation descend à 1.330 pour les hommes et atteint 2.930 pour les chaussures. Soit un total de plus de 7.220 nouvelles références par jour, qui s’approche du chiffre trouvé par l’ONG les Amis de la terre en mai 2023. De son côté, le site H&M, qui vend également d’autres marques comme Cos, Arket, ou & Other Stories, proposait environ 290 nouvelles références quotidiennes dans la catégorie “vêtements femmes”, et 50 dans celle “vêtements hommes”.Contactées par l’AFP, aucune des deux marques n’a souhaité faire de commentaire sur ces chiffres.”Nous fabriquons uniquement ce que nos clients achètent, nous alignons la production sur la demande”, ce qui permet “d’avoir peu de stocks” et un taux d’invendus inférieur au reste de l’industrie, dit Quentin Ruffat.- L’intelligence artificielle, leur ADN -Outre la grande variété des articles proposés, l’accent est également mis sur la rapidité: un vêtement de l'”ultra fast fashion” est conçu, produit et expédié en moins de 7 jours (3 semaines pour la fast fashion), selon le secrétariat général à la Planification écologique.Si les plateformes d’origine chinoise, tels Temu ou Shein, “sont aussi agiles et aussi rapides, c’est parce que ce sont des puissances technologiques”, explique Laëtitia Lamari, spécialiste du commerce en ligne. “Pour eux, l’intelligence artificielle n’est pas née avec ChatGPT. C’est leur ADN”, ajoute-t-elle. Pilotées par la tech, elles peuvent développer des produits en petite quantité, parfois sur un simple prototype créé par IA. S’il y a des clics, l’algorithme se met en branle et donne des indicateurs pour de la fabrication, selon l’experte. À grand renfort d’avions, les pièces arrivent en France, un de leur marché phare, souvent exemptées de droits de douane. Mais avec des contrats publicitaires “colossaux avec les plateformes comme Meta”, note Laëtitia Lamari.Selon son porte-parole en France, “Shein n’utilise pas l’IA pour le design des vêtements”, qui sont livrés “entre 8 et 15 jours”.- 2€ le tee-shirt -“Avec l’arrivée de l’ultra fast fashion, les écarts de prix par rapport au milieu de gamme se sont beaucoup accentués”, détaille Gildas Minvielle. Allant parfois du simple au triple. Un tee-shirt, par exemple, coûte aujourd’hui en moyenne 14 euros, selon l’IFM.Zara et H&M sont au-dessus, tandis que Primark, Kiabi et Shein sont en dessous, selon une analyse par l’AFP des sites de ces groupes le 4 juin. Parmi ces cinq acteurs, c’est Shein qui proposait le tee-shirt le moins cher: 2,16 euros pour un “tee-shirt pour femmes décontracté avec col rond à motif minimaliste” vendu en lot de quatre à 8,62 euros. Venaient ensuite Kiabi avec un tee-shirt à 2,40 euros (en promotion), Primark à 3 euros, H&M à 4,99 euros et Zara à 6,95 euros.Outre “prendre des parts de marché aux autres acteurs”, “ce nouveau marché de tout petits prix (…) perturbe la perception que les consommateurs ont des prix”, note Gildas Minvielle. “Le juste prix ou le prix légitime pour un vêtement aujourd’hui n’est plus le même qu’avant”.

La Bourse de Paris termine en légère baisse

La Bourse de Paris a terminé en léger recul lundi, sans entrain en attendant l’issue de la nouvelle série de discussions commerciales entre les deux premières puissances économiques du monde, les États-Unis et la Chine.Le CAC 40 a perdu 0,17%, en recul de 13,40 points, à 7.791,47 points. Vendredi, le CAC 40 avait gagné 14,60 points (+0,19%) pour s’établir à 7.804,87 points à la clôture.Les marchés sont “sans tendance, en attendant les résultats des négociations commerciales entre les États-Unis et la Chine, dans l’espoir que la situation s’apaise entre les deux pays”, explique à l’AFP Vincent Juvyns, stratégiste chez ING.Washington et Pékin ont entamé à Londres ce lundi une nouvelle série de négociations, dont l’un des principaux enjeux portera sur les exportations chinoises de terres rares, éléments essentiels à de nombreux produits, notamment les batteries de véhicules électriques. Elles constituent depuis longtemps un sujet de tension.”La semaine dernière, un appel entre les présidentes américain Donald Trump et chinois Xi Jinping a permis d’annoncer que la Chine allait assouplir ses contrôles à l’exportation de terres rares vers les États-Unis, ce qui suggère que ceux-ci pourraient également alléger les restrictions sur certaines exportations technologiques”, a estimé Ipek Ozkardeskaya, analyste de Swissquote Bank.Il y a donc “une humeur attentiste mais globalement positive”, estime Vincent Juvyns.Les titres des spiritueux Rémy Cointreau (+5,02% à 49,36 euros) et Pernod Ricard (+3,16% à 90,78 euros), très dépendants du commerce international, ont d’ailleurs fini en hausse.Cette deuxième rencontre intervient après un brusque accès de tension la semaine dernière, Donald Trump ayant accusé Pékin de ne pas respecter les termes de l’accord de désescalade signé à Genève.Un premier échange téléphonique a ensuite eu lieu jeudi entre les présidents américain et chinois, conversation qualifiée de “très positive” par Donald Trump alors que Xi Jinping a demandé à son homologue de “redresser la trajectoire du grand navire des relations sino-américaines”, selon la presse chinoise.Lors de précédentes négociations en Suisse, Washington avait accepté de ramener les droits de douane sur les produits chinois de 145% à 30%, en échange d’un mouvement similaire par Pékin, de 125% à 10% sur les produits américains, pour une durée de 90 jours.Côté obligataire, l’emprunt à dix ans français a atteint 3,25%, contre 3,24% la veille.L’Oréal majoritaire dans Medik8Le géant français de la beauté L’Oréal (-0,64% à 378,90 euros) a annoncé lundi qu’il allait prendre une participation majoritaire dans la marque britannique de soins de la peau Medik8, pour un montant non précisé.