Four political activists abducted in Burkina Faso: NGOSun, 23 Mar 2025 13:35:45 GMT
Four political activists in Burkina Faso, belonging to a political movement denouncing civilian massacres blamed on the army and allied militias, have been kidnapped, their group said on Sunday.Their abduction follows that of another member of the same Servir et Non Se Servir (SENS) movement on Tuesday, and added to numerous other kidnappings of people …
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De retour au pays, l’ambassadeur sud-africain expulsé des Etats-Unis défie Trump
L’ambassadeur d’Afrique du Sud expulsé des Etats-Unis est rentré dimanche au pays en disant n’avoir “aucun regret” d’avoir défendu ses “valeurs” en critiquant Donald Trump, qui ne cesse de s’en prendre à Pretoria depuis son retour au pouvoir.Les Etats-Unis avaient ordonné le 14 mars à Ebrahim Rasool de quitter leur territoire après avoir été déclaré “persona non grata” par le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, qui l’a accusé d’être un “homme politique raciste qui déteste l’Amérique” et le président américain Donald Trump. L’ambassadeur sud-africain à Washington avait ce jour-là accusé Donald Trump de “mobiliser un suprémacisme contre le pouvoir en place”.Donald Trump a multiplié les critiques envers l’Afrique du Sud depuis son retour au pouvoir en janvier. En février, il a annoncé couper les aides américaines à Pretoria en l’accusant de vouloir exproprier les fermiers blancs, par le biais d’une loi selon lui discriminatoire envers cette minorité, descendante de colons européens.Il a également attaqué l’Afrique du Sud pour sa plainte pour génocide à Gaza visant Israël, dont M. Trump est un indéfectible soutien, devant la Cour internationale de justice.”Nous n’avons pas choisi de rentrer chez nous, mais nous rentrons sans regrets”, a déclaré dimanche M. Rasool devant plusieurs centaines de personnes venues l’accueillir à son arrivée à l’aéroport du Cap après un voyage de plus de 30 heures via Doha, la capitale qatarie.”Nous aurions aimé revenir et avoir un accueil comme celui-ci en ayant détourné les mensonges d’un génocide blanc en Afrique du Sud, mais nous n’avons pas réussi en Amérique sur ce point”, a-t-il déclaré avec un mégaphone.Cet ancien militant anti-apartheid a défendu ses propos sur Donald Trump, affirmant qu’il analysait un phénomène politique et avertissant les Sud-Africains que “l’ancienne façon de faire des affaires avec les États-Unis n’allait pas fonctionner”.”Ces Etats-Unis ne sont pas les États-Unis d’Obama ou de Clinton, ce sont des Etats-Unis différents, et par conséquent notre langage doit changer, non seulement en matière transactionnelle, mais aussi face à un groupe qui a clairement identifié une communauté blanche marginale en Afrique du Sud comme membre de son corps électoral”, a-t-il ajouté.- “Un insigne de dignité” -L’expulsion de l’ambassadeur Rasool est une mesure “sans précédent” et un “développement regrettable”, avait souligné le ministère des Affaires étrangères à Pretoria après l’annonce de cette décision.L’Afrique du Sud, qui préside actuellement le Groupe des 20 principales économies mondiales (G20), a déclaré cette semaine qu’elle considérait l’amélioration de ses relations avec les États-Unis comme une “priorité”. “Ils sont notre deuxième partenaire commercial après la Chine”, a souligné le président Cyril Ramaphosa.Au niveau économique, l’Afrique du Sud craint notamment d’être exclue des accords AGOA qui donnent accès à certains produits africains au marché américain sans droits de douane, et dont elle est un des principaux bénéficiaires. Selon M. Rasool, qui doit remettre un rapport au président Ramaphosa lundi, Pretoria ne devrait pas essayer de rétablir ses liens avec Washington “sans sacrifier nos valeurs”.”La déclaration de persona non grata est destinée à vous humilier (…) mais je (la) porterai comme un insigne de dignité, de nos valeurs et du fait que nous avons fait ce qu’il fallait”, a-t-il encore déclaré dimanche.Son expulsion a suscité énormément de réactions dans la première économie d’Afrique. Le parti de gauche radical EFF, arrivé quatrième aux élections de l’an passé avec un peu moins de 10% des voix, a accusé Donald Trump d’être le “grand sorcier d’un Ku Klux Klan mondial”.Le président américain n’a pas fourni les preuves de ses accusations de politique discriminatoire de Pretoria envers la minorité blanche, également formulées par son allié Elon Musk, natif d’Afrique du Sud. M. Trump a également invité ces fermiers à s’installer aux Etats-Unis.Pretoria a dénoncé une “campagne de désinformation et de propagande”. Selon divers experts et analystes, aucune terre n’a été confisquée et la loi dénoncée par M. Trump précise que le gouvernement doit payer une compensation “équitable” pour toute expropriation.
England’s Archer hammered for record 76 runs in IPL
England fast bowler Jofra Archer returned the most expensive bowling figures in the Indian Premier League on Sunday when he was hammered for 76 runs in his four overs as Rajasthan Royals were put to the sword by the Sunrisers Hyderabad batsmen.Hyderabad were invited to bat first and posted a mammoth 286-6, falling one short of their best of 287, which remains the T20 tournament’s highest ever total.Archer’s analysis eclipsed that of Gujarat Titans’ seam bowler Mohit Sharma who went for 73 in a match last year. Archer had a bad start when he gave away 23 runs in his first over as Hyderabad’s Travis Head smashed him for four fours and a six.Head went on to make 67 from 31 balls, setting the stage for Ishan Kishan who clubbed an unbeaten 106 off 47 balls with 11 fours and six sixes. The Hyderabad total included a remarkable 34 fours and 12 sixes.Last year, Hyderabad, led by Pat Cummins and runners-up in the previous edition, posted the highest-ever innings total of 287-3 against Royal Challengers Bengaluru in 2024.
Ukraine: le Kremlin s’attend à des négociations “difficiles” lundi avec les Américains
Le Kremlin a dit dimanche s’attendre à des négociations “difficiles” lundi avec les Américains sur l’Ukraine en Arabie saoudite, estimant que les discussions visant à régler le conflit n’en étaient qu’à leur “début”, au moment où Washington et Kiev poussent, au minimum, pour une trêve des frappes contre les sites énergétiques.Initialement prévues concomitamment lundi entre Ukrainiens et Américains d’un côté, et Russes et Américains de l’autre, ces discussions pourraient avoir lieu l’une après l’autre, M. Zelensky ayant évoqué samedi, sans donner de détails, “une rencontre” dès dimanche entre les délégations venues de Kiev et de Washington.Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a d’ores et déjà tempéré les attentes autour de ces discussions: “Il s’agit d’un sujet très complexe et il y a beaucoup de travail à faire”, a-t-il fait valoir à la télévision russe, estimant que ces négociations seraient “difficiles”.”Nous n’en sommes qu’au début”, a-t-il encore dit en vue d’un règlement du conflit, déclenché par l’offensive russe de l’Ukraine en février 2022.De son côté, l’Ukraine pousse, sous la pression de l’administration de Donald Trump, pour un cessez-le-feu complet.Mais Vladimir Poutine, dont l’armée avance sur le terrain malgré de lourdes pertes, semble jouer la montre. A ce stade, le Kremlin assure s’être uniquement mis d’accord avec Washington sur le principe d’un moratoire sur les frappes visant les sites énergétiques des deux belligérants.Symbole de ces divergences, la délégation ukrainienne sera menée par le ministre de la Défense Roustem Oumerov, tandis que Vladimir Poutine a décidé d’envoyer un sénateur ex-diplomate de carrière et un cadre du FSB, des profils moins élevés.- Accord céréalier au programme -Autre différence notable, Dmitri Peskov a affirmé dimanche que “le principal” sujet de discussions entre Russes et Américains seraient “la reprise” de l’accord céréalier en mer Noire, omettant complètement de mentionner un éventuel accord d’arrêt des combats, limité ou sans conditions.L’accord céréalier, en vigueur entre l’été 2022 et 2023, avait permis à l’Ukraine d’exporter ses céréales, vitales pour l’alimentation mondiale, malgré la présence de la flotte russe dans la zone.La Russie s’en était retirée après un an, déplorant que les Occidentaux ne respectent pas à ses yeux leurs engagements censés assouplir les sanctions sur les exportations russes de produits agricoles et d’engrais.”Nos négociateurs seront prêts à discuter des nuances autour de ce problème”, a poursuivi M. Peskov, qualifiant les questions de Moscou sur le sujet de “nombreuses”.De son côté, un haut responsable ukrainien au fait des discussions, avait assuré vendredi à l’AFP que les discussions entre Ukrainiens et Américains allaient, elles, se concentrer sur les aspects “techniques” d’un arrêt provisoire partiel des combats.Le calendrier exact des réunions reste, par ailleurs, imprécis et était encore susceptible de changer dimanche, selon une source ukrainienne à l’AFP.”Le plan était de commencer avec (nous), les Ukrainiens aujourd’hui, puis avec les Russes demain, et ensuite peut-être à nouveau avec nous, s’ils acceptent le cessez-le-feu”, a précisé ce haut responsable, sous couvert de l’anonymat.- Trois morts à Kiev -En parallèle de ces discussions diplomatiques, l’armée ukrainienne a annoncé dimanche avoir repris le petit village de Nadia, dans la région orientale de Lougansk, un succès rare sur le terrain pour les forces de Kiev dans cette zone presqu’entièrement contrôlée par la Russie.Dans la nuit, l’armée russe a de son côté attaqué “massivement” Kiev, à l’aide de drones, selon les autorités locales.Trois personnes ont trouvé la mort, dont son père et sa fille, et dix autres ont été blessées, dont un enfant de moins d’un an, selon l’administration militaire de Kiev.L’administration régionale a, de son côté, fait état de deux blessés à Boutcha, près de la capitale et deux autres personnes ont été blessées à Kherson, dans le sud, selon son chef local Roman Mrotchko.Dans la foulée, Volodymyr Zelensky a appelé ses alliés à faire “pression” sur Moscou pour “mettre fin” au conflit, son ministre des Affaires étrangères, Andriï Sybiga, dénonçant lui “la terreur systématique” russe qui “sape les efforts de paix”.Pour répondre aux bombardements russes, l’Ukraine tente, elle, de dérégler la logistique des forces de Moscou en attaquant des cibles militaires ou énergétiques directement sur le sol russe.Dans la région de Rostov (sud), un homme est décédé dans une attaque de drone sur sa voiture, selon le gouverneur russe régional, Iouri Slioussar.Sur le front, l’armée russe a dit dimanche avoir repris la localité de Sribné dans l’Est ukrainien.
Ukraine: le Kremlin s’attend à des négociations “difficiles” lundi avec les Américains
Le Kremlin a dit dimanche s’attendre à des négociations “difficiles” lundi avec les Américains sur l’Ukraine en Arabie saoudite, estimant que les discussions visant à régler le conflit n’en étaient qu’à leur “début”, au moment où Washington et Kiev poussent, au minimum, pour une trêve des frappes contre les sites énergétiques.Initialement prévues concomitamment lundi entre Ukrainiens et Américains d’un côté, et Russes et Américains de l’autre, ces discussions pourraient avoir lieu l’une après l’autre, M. Zelensky ayant évoqué samedi, sans donner de détails, “une rencontre” dès dimanche entre les délégations venues de Kiev et de Washington.Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a d’ores et déjà tempéré les attentes autour de ces discussions: “Il s’agit d’un sujet très complexe et il y a beaucoup de travail à faire”, a-t-il fait valoir à la télévision russe, estimant que ces négociations seraient “difficiles”.”Nous n’en sommes qu’au début”, a-t-il encore dit en vue d’un règlement du conflit, déclenché par l’offensive russe de l’Ukraine en février 2022.De son côté, l’Ukraine pousse, sous la pression de l’administration de Donald Trump, pour un cessez-le-feu complet.Mais Vladimir Poutine, dont l’armée avance sur le terrain malgré de lourdes pertes, semble jouer la montre. A ce stade, le Kremlin assure s’être uniquement mis d’accord avec Washington sur le principe d’un moratoire sur les frappes visant les sites énergétiques des deux belligérants.Symbole de ces divergences, la délégation ukrainienne sera menée par le ministre de la Défense Roustem Oumerov, tandis que Vladimir Poutine a décidé d’envoyer un sénateur ex-diplomate de carrière et un cadre du FSB, des profils moins élevés.- Accord céréalier au programme -Autre différence notable, Dmitri Peskov a affirmé dimanche que “le principal” sujet de discussions entre Russes et Américains seraient “la reprise” de l’accord céréalier en mer Noire, omettant complètement de mentionner un éventuel accord d’arrêt des combats, limité ou sans conditions.L’accord céréalier, en vigueur entre l’été 2022 et 2023, avait permis à l’Ukraine d’exporter ses céréales, vitales pour l’alimentation mondiale, malgré la présence de la flotte russe dans la zone.La Russie s’en était retirée après un an, déplorant que les Occidentaux ne respectent pas à ses yeux leurs engagements censés assouplir les sanctions sur les exportations russes de produits agricoles et d’engrais.”Nos négociateurs seront prêts à discuter des nuances autour de ce problème”, a poursuivi M. Peskov, qualifiant les questions de Moscou sur le sujet de “nombreuses”.De son côté, un haut responsable ukrainien au fait des discussions, avait assuré vendredi à l’AFP que les discussions entre Ukrainiens et Américains allaient, elles, se concentrer sur les aspects “techniques” d’un arrêt provisoire partiel des combats.Le calendrier exact des réunions reste, par ailleurs, imprécis et était encore susceptible de changer dimanche, selon une source ukrainienne à l’AFP.”Le plan était de commencer avec (nous), les Ukrainiens aujourd’hui, puis avec les Russes demain, et ensuite peut-être à nouveau avec nous, s’ils acceptent le cessez-le-feu”, a précisé ce haut responsable, sous couvert de l’anonymat.- Trois morts à Kiev -En parallèle de ces discussions diplomatiques, l’armée ukrainienne a annoncé dimanche avoir repris le petit village de Nadia, dans la région orientale de Lougansk, un succès rare sur le terrain pour les forces de Kiev dans cette zone presqu’entièrement contrôlée par la Russie.Dans la nuit, l’armée russe a de son côté attaqué “massivement” Kiev, à l’aide de drones, selon les autorités locales.Trois personnes ont trouvé la mort, dont son père et sa fille, et dix autres ont été blessées, dont un enfant de moins d’un an, selon l’administration militaire de Kiev.L’administration régionale a, de son côté, fait état de deux blessés à Boutcha, près de la capitale et deux autres personnes ont été blessées à Kherson, dans le sud, selon son chef local Roman Mrotchko.Dans la foulée, Volodymyr Zelensky a appelé ses alliés à faire “pression” sur Moscou pour “mettre fin” au conflit, son ministre des Affaires étrangères, Andriï Sybiga, dénonçant lui “la terreur systématique” russe qui “sape les efforts de paix”.Pour répondre aux bombardements russes, l’Ukraine tente, elle, de dérégler la logistique des forces de Moscou en attaquant des cibles militaires ou énergétiques directement sur le sol russe.Dans la région de Rostov (sud), un homme est décédé dans une attaque de drone sur sa voiture, selon le gouverneur russe régional, Iouri Slioussar.Sur le front, l’armée russe a dit dimanche avoir repris la localité de Sribné dans l’Est ukrainien.