Au Kenya, des milliers de déplacés par la montée des eaux du célèbre lac Naivasha

Généralement occupés par les touristes, des bateaux du célèbre lac Naivasha, dans le centre du Kenya, voguent cette fois entre des maisons englouties, remplis de mobilier sauvé des inondations qui ont ces dernières semaines déplacé des milliers d’habitants de ses rives.Pourtant au fait des humeurs de cette vaste étendue d’eau située dans la vallée du …

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L’Irlande, pilier européen de l’informatique, face au coût énergétique de l’IA

Avec ses vastes fermes de serveurs, l’Irlande est devenue un pôle mondial de l’informatique en nuage, aujourd’hui en plein boom avec l’intelligence artificielle. Mais cette position-phare en Europe la place aussi au coeur du débat sur les coûts énergétiques et environnementaux du secteur.L’Irlande accueille aujourd’hui plus de 80 centres de données, essentiellement dans de grands …

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Stocks struggle as Nvidia takes centre stage amid AI bubble fears

Stocks struggled Wednesday to kickstart a recovery following the latest stagger across world markets that has been caused by worries over an AI-fuelled bubble and uncertainty over US interest rates.Rising tensions between China and Japan linked to a spat over Taiwan added to the dour mood on trading floors.Investors have endured a tough November as speculation has grown that the tech-led rally this year may have gone too far, and valuations have become frothy enough to warrant a stiff correction.With the Magnificent Seven, including Amazon, Meta, Alphabet and Apple, accounting for the majority of the rally to record highs for Wall Street’s three main indexes, there are worries that any problems with them could have huge ripple effects on markets.And so the spotlight Wednesday turns on the earnings report from the biggest of the bunch: chip giant Nvidia, which this month became the first $5 trillion company. Investors are nervous that any sign of weakness could be the pin that pops the AI bubble, having spent months fearing that the hundreds of billions invested may have been excessive.”The AI complex, once the undisputed locomotive of 2025’s rally, now sounds like an engine with sand in the gears,” said Stephen Innes at SPI Asset Management.”This isn’t a crash, or a panic, or even a proper correction; it’s the unmistakable sensation of a market trading at altitude with borrowed oxygen, suddenly aware of how thin the air has become.”He added that four days of losses in Wall Street’s S&P 500, the VIX “fear index” hitting 25 — a level that causes traders concern — and a tone shift were “all signs that investors are finally blinking at the speed and scale of the AI capex boom”.Meanwhile, a Bank of America survey of fund managers found that more than half thought AI stocks were already in a bubble and 45 percent thought that that was the biggest “tail risk” to markets, more so than inflation.That came after the BBC released an interview with the head of Google’s parent company Alphabet — Sundar Pichai — who warned every company would be impacted if the AI bubble were to burst.After a mixed start to the day, Asia mostly fell into negative territory.Tokyo was weighed down by simmering China tensions after Japanese Prime Minister Sanae Takaichi’s comments on Taiwan, which have seen the two sides warn citizens about travel to the other.The row escalated Wednesday as media reports said China will suspend imports of Japanese seafood.Japanese investors are also concerned about the country’s fiscal state ahead of an economic stimulus package that has pushed government bond yields to record highs. Soft demand for the Bank of Japan’s latest bond sale added to unease among investors.Hong Kong, Sydney, Seoul, Singapore, Taipei, Wellington, Bangkok and Jakarta also fell but there were gains in Shanghai, Manila and Mumbai.London edged up as data showed UK inflation eased slightly in October.Frankfurt also rose but Paris slipped.Also in sight this week is the planned release of key US data, particularly on jobs creation, which will be closely read over for an idea about the Fed’s plans for interest rates.Investors have scaled back their bets on a third successive cut next month — weighing on markets of late — after a string of decision makers, including bank boss Jerome Powell, questioned the need for another as inflation remains stubbornly high.Bitcoin, which on Tuesday fell below $90,000 for the first time in seven months, remained under pressure from the risk-aversion on markets. The cryptocurrency has taken a hefty hit since hitting a record high above $126,000 at the start of October.- Key figures at around 0815 GMT -Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.3 percent at 48,537.70 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 0.4 percent at 25,830.65 (close)Shanghai – Composite: UP 0.2 percent at 3,946.74 (close)London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 9,559.62Dollar/yen: DOWN at 155.50 yen from 155.53 yen on TuesdayEuro/dollar: UP at $1.1581 from $1.1580Pound/dollar: DOWN at $1.3141 from $1.3146Euro/pound: UP at 88.13 from 88.09 penceWest Texas Intermediate: DOWN 0.5 percent at $60.44 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 0.5 percent at $64.56 per barrelNew York – Dow: DOWN 1.1 percent at 46,091.74 (close)

Négociations nocturnes à la COP30 avant le retour de Lula à Belem

Le Brésil veut que sa COP, la première en Amazonie, soit un succès, et ses diplomates font désormais travailler les négociateurs nuit et jour dans l’espoir – jugé optimiste – d’un premier consensus dès mercredi en présence du président Lula.Il est rare que les chefs d’Etat, après avoir ouvert les COP, reviennent dans la dernière ligne droite de la conférence. François Hollande en 2015 pour l’accord de Paris et Boris Johnson en 2021 à Glasgow étaient revenus ajouter de la pression sur les délégués dans les derniers jours. La COP30 est censée se terminer vendredi soir après deux semaines.Mais Luiz Inacio Lula da Silva a investi un capital politique important pour la réussite de cette 30e conférence de l’ONU sur le changement climatique, avec un objectif: “infliger une nouvelle défaite aux négationnistes” du climat, et démontrer en Amazonie que le monde n’a pas abandonné la coopération climatique, malgré les turbulences géopolitiques et économiques.Il rencontrera les groupes de négociation mercredi, a confirmé le diplomate brésilien qui préside la conférence, André Correa do Lago.Les pays, aussi désireux soit-ils de lui offrir un succès, n’en ont cependant pas abandonné leurs lignes rouges. Les portes ne claquent pas encore, mais les ministres restent loin du consensus.Une tentative assez avancée de compromis par la présidence brésilienne de la COP30 a été publiée à la surprise générale dès mardi matin. Elle ne tranche pas entre des options extrêmes sur les engagements financiers des pays développés, les “mesures commerciales unilatérales” et la sortie des énergies fossiles.Un front de dizaines de pays européens, latino-américains et insulaires réclament une décision qui engagerait les pays à réellement mettre en place la sortie progressive des énergies fossiles adoptée sur le principe à Dubaï en 2023. Il s’oppose aux pays producteurs de pétrole, largement silencieux à Belem.Une nouvelle version du texte est attendue mercredi et le diplomate brésilien qui préside la conférence, André Correa do Lago, a prévenu dans un sourire qu’en cas de séance plénière mercredi, “cela pourrait finir tard”.- L’UE se fait entendre -“Comme toujours à ce stade des négociations, c’est mitigé”, a déclaré à l’AFP le commissaire européen au Climat, Wopke Hoekstra.”Ce n’est pas particulièrement équilibré mais c’est une première ébauche”, a dit à des journalistes l’émissaire pour le climat du Royaume-Uni, Rachel Kyte. “Les Brésiliens ont un calendrier très ambitieux. Je pense que ça met beaucoup de pression aux délégués mais il y a une alchimie propre à chaque COP”, a-t-elle ajouté.Wopke Hoekstra a prévenu qu’il n’était pas question de “rouvrir les compromis atteints difficilement l’an dernier en termes de financement” des pays riches en direction des pays en développement, et a aussi dénoncé tout entraînement “dans une conversation artificielle sur les mesures commerciales”.M. Hoekstra réagissait à l’inclusion d’options, dans le projet de texte, faisant allusion aux mesures commerciales unilatérales, ce qui vise implicitement la taxe carbone aux frontières que l’UE va mettre en place en janvier et qui est critiquée comme protectionniste par la Chine et d’autres pays exportateurs.- “Mutirão” -Le texte brésilien est baptisé “Mutirão mondiale”, en référence à un mot autochtone désignant une communauté qui se rassemble pour travailler ensemble sur une tâche commune.Selon les règles de la convention de l’ONU sur le climat, le consensus entre les 194 pays membres de l’accord de Paris, et l’Union européenne, est nécessaire pour l’adoption de toute décision.Le texte suggère aussi de tripler les financements des pays riches vers les plus pauvres pour leur adaptation au changement climatique, d’ici 2030 ou 2035, ce qui correspond à une demande des pays du Sud – un objectif totalement irréaliste, répondent les Européens en privé.Sans décision financière sur l’adaptation “tout ce dont on discute ici n’est que symbolique”, juge Lina Yassin, chercheuse et déléguée du Soudan. “On repartira à la maison et demain rien n’aura changé.”L’habileté brésilienne permettra-t-elle de dégager un point d’équilibre entre les demandes de la Chine, de l’Inde, des Occidentaux, des pays africains…?”Nous devons montrer au monde que le multilatéralisme est vivant”, a déclaré Josephine Moote, représentante de l’archipel de Kiribati dans le Pacifique.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Négociations nocturnes à la COP30 avant le retour de Lula à Belem

Le Brésil veut que sa COP, la première en Amazonie, soit un succès, et ses diplomates font désormais travailler les négociateurs nuit et jour dans l’espoir – jugé optimiste – d’un premier consensus dès mercredi en présence du président Lula.Il est rare que les chefs d’Etat, après avoir ouvert les COP, reviennent dans la dernière ligne droite de la conférence. François Hollande en 2015 pour l’accord de Paris et Boris Johnson en 2021 à Glasgow étaient revenus ajouter de la pression sur les délégués dans les derniers jours. La COP30 est censée se terminer vendredi soir après deux semaines.Mais Luiz Inacio Lula da Silva a investi un capital politique important pour la réussite de cette 30e conférence de l’ONU sur le changement climatique, avec un objectif: “infliger une nouvelle défaite aux négationnistes” du climat, et démontrer en Amazonie que le monde n’a pas abandonné la coopération climatique, malgré les turbulences géopolitiques et économiques.Il rencontrera les groupes de négociation mercredi, a confirmé le diplomate brésilien qui préside la conférence, André Correa do Lago.Les pays, aussi désireux soit-ils de lui offrir un succès, n’en ont cependant pas abandonné leurs lignes rouges. Les portes ne claquent pas encore, mais les ministres restent loin du consensus.Une tentative assez avancée de compromis par la présidence brésilienne de la COP30 a été publiée à la surprise générale dès mardi matin. Elle ne tranche pas entre des options extrêmes sur les engagements financiers des pays développés, les “mesures commerciales unilatérales” et la sortie des énergies fossiles.Un front de dizaines de pays européens, latino-américains et insulaires réclament une décision qui engagerait les pays à réellement mettre en place la sortie progressive des énergies fossiles adoptée sur le principe à Dubaï en 2023. Il s’oppose aux pays producteurs de pétrole, largement silencieux à Belem.Une nouvelle version du texte est attendue mercredi et le diplomate brésilien qui préside la conférence, André Correa do Lago, a prévenu dans un sourire qu’en cas de séance plénière mercredi, “cela pourrait finir tard”.- L’UE se fait entendre -“Comme toujours à ce stade des négociations, c’est mitigé”, a déclaré à l’AFP le commissaire européen au Climat, Wopke Hoekstra.”Ce n’est pas particulièrement équilibré mais c’est une première ébauche”, a dit à des journalistes l’émissaire pour le climat du Royaume-Uni, Rachel Kyte. “Les Brésiliens ont un calendrier très ambitieux. Je pense que ça met beaucoup de pression aux délégués mais il y a une alchimie propre à chaque COP”, a-t-elle ajouté.Wopke Hoekstra a prévenu qu’il n’était pas question de “rouvrir les compromis atteints difficilement l’an dernier en termes de financement” des pays riches en direction des pays en développement, et a aussi dénoncé tout entraînement “dans une conversation artificielle sur les mesures commerciales”.M. Hoekstra réagissait à l’inclusion d’options, dans le projet de texte, faisant allusion aux mesures commerciales unilatérales, ce qui vise implicitement la taxe carbone aux frontières que l’UE va mettre en place en janvier et qui est critiquée comme protectionniste par la Chine et d’autres pays exportateurs.- “Mutirão” -Le texte brésilien est baptisé “Mutirão mondiale”, en référence à un mot autochtone désignant une communauté qui se rassemble pour travailler ensemble sur une tâche commune.Selon les règles de la convention de l’ONU sur le climat, le consensus entre les 194 pays membres de l’accord de Paris, et l’Union européenne, est nécessaire pour l’adoption de toute décision.Le texte suggère aussi de tripler les financements des pays riches vers les plus pauvres pour leur adaptation au changement climatique, d’ici 2030 ou 2035, ce qui correspond à une demande des pays du Sud – un objectif totalement irréaliste, répondent les Européens en privé.Sans décision financière sur l’adaptation “tout ce dont on discute ici n’est que symbolique”, juge Lina Yassin, chercheuse et déléguée du Soudan. “On repartira à la maison et demain rien n’aura changé.”L’habileté brésilienne permettra-t-elle de dégager un point d’équilibre entre les demandes de la Chine, de l’Inde, des Occidentaux, des pays africains…?”Nous devons montrer au monde que le multilatéralisme est vivant”, a déclaré Josephine Moote, représentante de l’archipel de Kiribati dans le Pacifique.

India yet to decide on captain Gill after neck injury

India captain Shubman Gill has responded well to treatment for a neck injury, the BCCI said Wednesday, but it remains to be seen if he plays the second Test against South Africa in Guwahati.Gill suffered the injury on the second day of the first Test in Kolkata and spent one night in hospital, taking no further part in the match, which South Africa won by 30 runs.Ahead of the second Test on Saturday, the Board of Control for Cricket in India said: “Shubman has been responding well to the medical treatment provided and will travel to Guwahati with the team (on Wednesday).”He will continue to be monitored by the BCCI medical team and a decision on his participation in the 2nd Test will be taken accordingly.”Top-order batsman Gill retired hurt on four and did not return to resume his innings and nor did he field, with vice-captain Rishabh Pant leading the hosts for the remainder of the first Test.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

L’Irlande, pilier européen de l’informatique, face au coût énergétique de l’IA

Avec ses vastes fermes de serveurs, l’Irlande est devenue un pôle mondial de l’informatique en nuage, aujourd’hui en plein boom avec l’intelligence artificielle. Mais cette position-phare en Europe la place aussi au coeur du débat sur les coûts énergétiques et environnementaux du secteur.L’Irlande accueille aujourd’hui plus de 80 centres de données, essentiellement dans de grands entrepôts autour de Dublin, une des plus fortes concentrations au monde, selon le cabinet spécialisé américain Synergy.Au service de géants de la tech dont Meta, Amazon, Google et Microsoft, ils consomment déjà un cinquième de la production électrique nationale, alimentant les craintes pour la stabilité du réseau et pour le respect des objectifs environnementaux du pays, faute d’énergies renouvelables en quantité suffisante.Ces centres, et les investissements et emplois hautement qualifiés qu’ils attirent, contribuent certes à l’économie irlandaise: le secteur numérique dans son ensemble représente 13% du PIB du pays, selon l’organisation patronale irlandaise IBEC. Mais certains se demandent si leur coût environnemental en vaut vraiment la chandelle.Pour Rosi Leonard, porte-parole irlandaise de l’organisation écologiste Friends of the Earth spécialiste de ces centres, ils sont “complètement insoutenables pour nos vies, nos écosystèmes et nos budgets carbone”.Selon les statistiques officielles, la part des centres de données dans la consommation totale d’électricité du pays atteignait 22% en 2024, contre seulement 2 à 3% en moyenne dans l’UE. – Des signes de faiblesse – L’opérateur national du réseau électrique, EirGrid, prévoit qu’elle atteindra 30% d’ici 2030, soit la consommation annuelle des 2 millions de foyers irlandais, indiquait en juillet la société d’analyse énergétique Wood Mackenzie. Le réseau montre déjà des signes de faiblesse, poussant certains centres à recourir en complément à des générateurs — qui fonctionnent habituellement au pétrole ou au gaz. Rosi Leonard accuse les géants de la tech d'”utiliser leur influence pour demander des connexions au réseau gazier et pour augmenter la pollution et les émissions”. Si les données manquent pour évaluer l’impact précis des centres de données sur les émissions, elle prône “un moratoire sur l’extension des centres de données, tant qu’il ne sera pas prouvé qu’ils ne menacent pas le climat et les budgets carbone”. Alors que “nous peinons déjà à réduire les émissions à un rythme correspondant à nos engagements et aux lois que nous avons adoptées, développer un secteur qui va encore substantiellement augmenter nos émissions n’a pas de sens”, souligne aussi Barry McMullin, expert en réduction d’émissions à l’université de Dublin City. La compatibilité des centres de données avec les objectifs d’émissions “est peu probable avant dix ans,” selon lui.Certains responsables locaux ont déjà mis le holà.L’an dernier, un conseil municipal de Dublin a bloqué l’extension d’un centre de Google, invoquant “une capacité insuffisante” du réseau et “le manque de (production) d’énergie renouvelable substantielle sur le site”.  Dès 2022, le gouvernement appelait les centres de données à montrer “la voie vers la décarbonisation” et à concevoir à l’avenir des centres avec “un bilan net zéro” en matière d’émissions. – “Frustrations” –   Pour les industriels et investisseurs, en revanche, la priorité est d’augmenter la capacité du réseau, dont les problèmes créent des “frustrations”, déplore Maurice Mortell, responsable de Digital Infrastructure Ireland (DII), groupement professionnel qui défend les entreprises du secteur numérique.L'”avance irlandaise” dans l’informatique en nuage “est en danger, les investissements se dirigent ailleurs”, avertit-il.  Le réseau national EirGrid prévoit des mises à niveau de capacité et une diversification régionale pour mieux répartir la demande des centres de données à l’échelle nationale. Mais les experts doutent que ces plans soient réalisés à temps pour répondre à la demande des investisseurs. En attendant, quelques solutions ponctuelles pour limiter l’impact négatif des centres de données ont vu le jour. Ainsi, un projet pilote lancé en 2023 en partenariat avec les autorités de Dublin permet d’utiliser la chaleur résiduelle générée par un centre de données d’Amazon pour chauffer et fournir en eau chaude des bureaux et une bibliothèque. Des centaines de foyers et un hôpital pourraient suivre. “D’autres centres de données pourraient faire de même, c’est une situation gagnant-gagnant”, affirme Admir Shala, l’ingénieur qui coordonne le projet. Le professeur McMullin est plus sceptique: “le projet reste limité, nous n’avons pas de réseaux de chauffage auxquels raccorder cette chaleur perdue et les centres tournent toute l’année, alors qu’on a besoin de chauffage que six mois par an”, dit-il.  

Thousands of Kenyans displaced by Lake Naivasha floodingWed, 19 Nov 2025 07:24:40 GMT

The tourist boats that normally ply Kenya’s famed Lake Naivasha have had a different task in recent weeks: evacuating hundreds of flooded homes. Although the lake’s level has been rising for more than a decade and has repeatedly breached its banks, locals in the modest district of Kihoto are still astonished by the scale this year.”It …

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