Stock markets fall as traders trim US rate cut bets

Global markets slid Monday after traders trimmed bets on US Federal Reserve rate cuts and oil extended a rally sparked by new sanctions on Russia’s energy sector.An outsized US jobs report Friday dealt another blow to hopes for more interest rate cuts in 2025, and was followed by hefty losses on Wall Street. Wall Street’s main three indices fell further at the start of trading on Monday, with the tech-heavy Nasdaq dropping 1.4 percent after the United States announced additional export restrictions on AI chip exports.Shares in tech giant Nvidia, whose chips are prized by firms developing AI applications, fell by 3.6 percent as trading got underway in New York.Shares in Dutch firm ASML, which makes the machines that create the most advanced chips, slid by 2.5 percent in Amsterdam.In Europe, London, Paris and Frankfurt were down in afternoon trading.In Asia on Monday, Hong Kong and Shanghai stocks fell but pared initial losses as data showed Chinese exports and imports topped forecasts in December.Tokyo’s stock market was closed for a holiday.Keenly awaited data on Friday showed the US economy created 256,000 jobs last month, a jump from November’s revised 212,000 and smashing forecasts of 150,000-160,000.”Given a resilient labour market, we now think the Fed cutting cycle is over,” said Bank of America’s Aditya Bhave and other economists.It follows data last week that pointed to a rise in inflation expectations, and adds to concerns that President-elect Donald Trump’s plans to slash taxes, regulations and immigration will reignite prices.”The robust labour market, along with the recent pickup in inflation, are both making it difficult for the Federal Reserve to justify further rate cuts,” said David Morrison, senior market analyst at Trade Nation.”In fact, some analysts now believe the Fed’s next move may be a hike,” he added.Those inflation concerns have seen US bond yields climb higher. Higher borrowing costs tend to weigh on equities as it implies tighter margins and a more difficult sales environment.”It is evident now that the stock market isn’t liking what it is seeing in the Treasury market,” said Briefing.com analyst Patrick O’Hare.He said the release the producer and consumer inflation figures this week “will either soothe or exacerbate the market’s inflation concerns”.O’Hare said the earnings of big banks, which begin reporting on Wednesday, will likewise influence concerns about the impact of rising rates on lenders and the economy.Surging oil prices added to unease, with both main contracts extending Friday’s gains — after the United States and Britain announced new sanctions against Russia’s energy sector, including oil giant Gazprom Neft.”The spike in oil prices could pose additional challenges for central banks, particularly the Federal Reserve, if it leads to higher inflation,” said Patrick Munnelly, partner at broker Tickmill Group.  However, analysts do not expect prices to spike too much in the longer term as global oil production is expected to meet demand. On currency markets, the pound was wallowing around lows not seen since the end of 2023 owing to fading hopes for US rate cuts as well as worries about the British economy. The euro struggled at its weakest level since November 2022.- Key figures around 1430 GMT -New York – Dow: DOWN 0.2 percent at 41,874.71 pointsNew York – S&P 500: DOWN 0.9 percent at 5,777.79New York – Dow: DOWN 1.4 percent at 18,895.64London – FTSE 100: DOWN 0.7 percent at 8,194.89 Paris – CAC 40: DOWN 0.6 percent at 7,387.64Frankfurt – DAX: DOWN 0.7 percent at 20,077.13Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.0 percent at 18,874.14 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.3 percent at 3,160.76 (close)Tokyo – Nikkei 225: Closed for a holidayEuro/dollar: DOWN at $1.0212 from $1.0244 on FridayPound/dollar: DOWN at $1.2140 from $1.2210Dollar/yen: DOWN at 157.18 yen from 157.74 yenEuro/pound: UP at 84.10 pence from 83.90 penceBrent North Sea Crude: UP 1.0 percent at $80.56 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.3 percent at $77.59 per barrelburs-rl/lth

Jeu vidéo: le report du prochain “Assassin’s Creed”, un mal pour un bien pour Ubisoft ?

L’éditeur français Ubisoft vient de reporter pour la deuxième fois son jeu vidéo “Assassin’s Creed Shadows”. Si le groupe a abaissé au passage ses prévisions financières, une telle décision reste courante pour assurer la qualité d’une production et préserver l’image de l’entreprise, selon des spécialistes interrogés par l’AFP.Initialement prévu pour le 15 novembre 2024, le prochain épisode de la principale série d’Ubisoft avait été repoussé une première fois au 14 février 2025. Sa sortie est désormais fixée au 20 mars, quelques jours avant la fin de son exercice fiscal.”Bien qu’un mois supplémentaire puisse sembler peu, il permettra à nos équipes de mieux intégrer les commentaires des joueurs recueillis au cours des trois derniers mois”, a fait valoir le PDG du groupe, Yves Guillemot en annonçant ce report.De premières vidéos avaient fait naître des doutes chez certains joueurs quant à la qualité finale du titre, notamment au niveau de l’animation des personnages. Mais, depuis l’annonce du premier report, de nouvelles images ont été plus rassurantes.”Nous souhaitons continuer sur cette lancée et (…) peaufiner les mécanismes de jeu et l’équilibre de la progression”, a expliqué le directeur financier d’Ubisoft, Frédérick Duguet.- “Un jeu nul l’est pour toujours” -Repousser une sortie “n’est pas rare” et peut être “clairement bénéfique”, assure à l’AFP le consultant et créateur de contenu Benoit Reinier, connu sous le pseudonyme Ex Serv sur internet, pour qui “les derniers moments de développement sont les plus importants”.”Les développeurs vont pouvoir supprimer des bugs ou affiner des petites animations”, détaille cet ancien journaliste qui conseille désormais des studios. “Ça n’a l’air de rien mais, répercuté sur des dizaines d’heures de jeu, ça fait la différence entre un bon et un grand jeu”.”Un retard n’est que temporaire, (un jeu) nul l’est pour toujours”, prévenait de son côté le président du studio américain Valve, Gabe Newell, dans un documentaire sur les 25 ans du jeu “Half-Life” en 2023, reprenant un adage bien connu dans l’industrie.Une telle décision est toutefois rarement prise à la légère puisqu’elle peut avoir d’importantes conséquences, notamment financières.Le premier report de trois mois de “Assassin’s Creed Shadows” a par exemple coûté quelque 20 millions d’euros à Ubisoft, selon Yves Guillemot.Et, si les développeurs bénéficient d’un peu plus de temps pour peaufiner leur titre, ils peuvent aussi connaître un “crunch” plus long, comme on appelle cette période de travail intense précédant la sortie d’un jeu.”Tout le monde préfère sortir un bon jeu”, souligne David Rabineau, à la tête du studio français indépendant Homo Ludens mais, “pour les équipes, ça dépend énormément de la qualité de l’environnement de travail de base”.- Question d’image -Pour Ubisoft, il s’agit également d’une question d’image: l’éditeur est régulièrement accusé de sortir des titres mal peaufinés et, ce, malgré la publication de mises à jour corrigeant certains bugs dès le jour de commercialisation du jeu, une pratique désormais généralisée dans toute l’industrie.Ce fut l’une des critiques adressées à “Star Wars: Outlaws”, sorti fin août, dont les ventes ont été décevantes. “Les joueurs sont extrêmement exigeants et c’est ça qui les a poussé à retarder +Assassin’s Creed Shadows+”, souligne Benoit Reinier.Pour lui, l’enjeu est de taille: “c’est le jeu de la dernière chance” pour Ubisoft.En pleine tourmente boursière et alors qu’un risque de rachat a émergé, un succès commercial pour “Assassin’s Creed Shadows” est en effet indispensable pour redonner un peu d’air à l’entreprise et lui permettre de négocier plus sereinement son avenir.

African players in Europe: Ouattara stars in Bournemouth rompMon, 13 Jan 2025 14:10:29 GMT

Burkina Faso forward Dango Ouattara scored twice for Bournemouth in a 5-1 FA Cup third-round rout of second-tier West Bromwich Albion at the weekend. Ghana star Antoine Semenyo also netted for the Cherries, who will be away to Everton in the next round.Everton sealed a 2-0 home win over Peterborough United through a stoppage-time penalty converted …

African players in Europe: Ouattara stars in Bournemouth rompMon, 13 Jan 2025 14:10:29 GMT Read More »

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Foot: Nottingham est un prétendant au titre, assure Arne Slot (Liverpool)

Nottingham Forest “mérite” d’être considéré comme un prétendant au titre de champion d’Angleterre, a soutenu lundi Arne Slot, l’entraîneur de Liverpool, à la veille d’un déplacement délicat au City Ground.”J’ai toujours dit que c’est à la mi-saison qu’on peut tirer les meilleurs conclusions du classement, donc si Nottingham est en haut avec nous, Arsenal, Chelsea, (Manchester) City et touts les autres, c’est qu’ils sont en compétition avec nous et les autres. Ils méritent d’être traités comme tel si vous regardez comment ils jouent et leur résultats”, a expliqué le Néerlandais en conférence de presse. Forest, surprenant troisième du championnat anglais et seule équipe à avoir battu Liverpool cette saison en Premier League, reviendra en cas de victoire à trois points des Reds. Vainqueurs de la Coupe d’Europe en 1979 et 1980,  Nottingham, remonté en Premier League en 2022 après plus de vingt ans à l’étage inférieur, reste sur six victoires consécutives en championnat et n’a plus encaissé de but depuis mi-décembre.  Arne Slot a également souligné le travail de l’entraîneur de Forest, le Portugais Nuno Espirito Santo, tout en se disant pas surpris de voir l’équipe à ce niveau.”Ils font des choses vraiment belles et Nuno fait un travail incroyable. Mais si vous regardez la somme d’argent qu’ils ont dépensée, ce n’est pas une totale surprise qu’ils se portent bien cette saison”, a-t-il dit.Premier non relégable l’année dernière, le club du centre de l’Angleterre a déboursé plus de 100 millions d’euros lors du mercato l’été dernier. 

Reçus par Bayrou, les syndicats agricoles attendent du “concret”

Un an de mobilisation, quatre Premiers ministres, des promesses… “maintenant place aux actes!”: les principaux syndicats agricoles sont reçus lundi matin à Matignon par François Bayrou, particulièrement remontés en pleine campagne pour les chambres d’agriculture.”Nous avons dit au Premier ministre que nous sommes dans une course contre la montre pour apporter des solutions”, a déclaré le président de la FNSEA, Arnaud Rousseau, à l’issue du rendez-vous en présence de la ministre de l’Agriculture Annie Genevard.Après une année 2024 marquée par de forts aléas climatiques, de piètres récoltes et une flambée des maladies animales, les agriculteurs ont relancé cet automne leur mouvement de protestation, en ordre dispersé.L’alliance syndicale majoritaire, FNSEA-JA, attend un calendrier de tenue des promesses obtenues à la suite de leur mobilisation en début d’année mais retardées par la dissolution puis la censure: suites du projet de loi d’orientation agricole, aides d’urgence, mesures fiscales, de “simplification”…”Nous avons dit que cette course contre-la-montre avait aussi un rendez-vous d’étape qui est le Salon de l’agriculture qui aura lieu à partir du 22 février”, a ajouté Arnaud Rousseau.Une rhétorique reprise par les Jeunes Agriculteurs (JA), reçus à la suite de la FNSEA, avant la Coordination rurale et la Confédération paysanne.”On estime que la fin du premier trimestre sera un bon temps d’évaluation”, a déclaré dans la cour de Matignon son président Pierrick Horel, pour qui la présentation du budget à l’Assemblée devrait aussi permettre une première mesure de l’action du gouvernement pour les agriculteurs.”L’absence d’annonces concrètes pourrait remettre le feu aux poudres”, avait-il prévenu la veille dans Les Echos. “On a envie de passer un meilleur Salon de l’agriculture que celui de l’année dernière.””Il n’est pas question de revenir sur les promesses faites en 2024″, indiquait-on à Matignon en amont des rencontres en évoquant notamment les mesures de simplification ou la réponse à l’urgence sanitaire et économique.”Si nous avons mesuré sa volonté d’apporter des réponses, nous le ferons comme depuis le début, avec des choses concrètes”, a ajouté M. Rousseau lundi.A la veille de sa déclaration de politique générale, François Bayrou, qui a souvent mis en avant ses racines paysannes, rencontre des syndicats en pleine campagne pour les élections au sein des chambres d’agriculture qui auront lieu du 15 au 31 janvier.- Prudence -La Coordination rurale, dont la délégation est actuellement reçue par François Bayrou, compte réclamer deux mesures immédiates, selon son secrétaire général Christian Convers: “un engagement précis pour une égalité des normes au niveau européen, et aussi arrêter les contrôles des exploitations au profit des contrôles des produits d’importation”.Ces mesures, le Premier ministre peut les prendre tout de suite et “lui-même”, pour “montrer sa volonté de garder l’agriculture en France”, assure l’éleveur, qui se dit “dubitatif” quant aux autres réponses à attendre.La présidente du syndicat, Véronique Le Floc’h, a également réclamé dimanche une “année blanche en termes de remboursements de prêts ou de paiement des charges sociales”, au micro d’Europe 1.La Confédération paysanne, pour sa part, montre la même prudence que les autres syndicats, mais pour des raisons différentes: elle est opposée aux modèles proposés par les textes de loi en attente.Parmi ses priorités, des prix rémunérateurs et un accompagnement dans la transition agroécologique. Elle demandera aussi le renforcement des aides aux agriculteurs sinistrés de Mayotte, seule chambre d’agriculture contrôlée par l’organisation.A ce sujet, “sur les élections professionnelles agricoles, on redira, car c’est encore possible, combien il est indispensable et urgent de faire évoluer le mode de scrutin” vers plus de proportionnel, ajoute sa porte-parole Laurence Marandola.Le mode de scrutin actuel favorise la liste arrivée en tête, qui obtient d’office la moitié des sièges aux chambres. A ce jour, l’alliance entre les JA et le syndicat historique FNSEA détient 97 chambres sur 101.Mais sur le terrain, le duo voit son hégémonie contestée, notamment par la CR, depuis le mouvement de colère agricole de l’hiver dernier.Lundi soir, ces quatre syndicats se retrouveront pour un débat télévisé, sur LCP, une première selon eux.