Trump blasts governor for backing Mamdani in New York race

Donald Trump criticized New York’s Democratic governor Monday for endorsing New York City mayoral candidate Zohran Mamdani, whom he branded a “Liddle’ communist” in a social media post.Mamdani, a 33-year-old New York state assemblyman and self-declared socialist, rocked American politics and the Democratic Party establishment in June by winning the party’s mayoral primary.He remains the front-runner in polls ahead of the November 4 election to decide who will be the next mayor of America’s most populous city.”Governor Kathy Hochul of New York has Endorsed the ‘Liddle’ Communist,” the US president wrote.”This is a rather shocking development, and a very bad one for New York City. How can such a thing happen? Washington will be watching this situation very closely.”Mamdani has campaigned on a platform of narrowing the wealth gap between rich and poor New Yorkers and providing affordable housing to low-income residents.On Sunday, Hochul gave her backing to Mamdani over Andrew Cuomo, the longtime former governor and member of one of New York’s most politically influential families. Mayor Eric Adams, the incumbent, is running as an independent.         “Affordability has long been my top priority as governor, and it is the No. 1 concern I share with Mr. Mamdani,” Hochul said in issuing her endorsement.”As governor, I’ve taken actions to realize this goal, including lowering middle-class income taxes and making school meals free for all students. But there is more work ahead of us.”She also took a shot at the president.”And in light of the abhorrent and destructive policies coming out of Washington every day, I needed to know the next mayor will not be someone who would surrender one inch to President Trump,” she said.

Une aristocrate britannique et son compagnon emprisonnés pour la mort de leur bébé

Une aristocrate britannique, issue d’une famille proche de la famille royale, et son compagnon ont été condamnés lundi à 14 et 18 ans de détention pour la mort de leur bébé survenue au cours d’une cavale de plusieurs semaines.Cette affaire hors norme, qui a débuté par la fuite du couple début 2023 pour se cacher de la police et des services sociaux, a passionné les Britanniques et nécessité deux procès après l’échec d’un premier jury à se prononcer.En prononçant la peine de Constance Marten, 38 ans, et Mark Gordon, 51 ans, le juge a insisté sur leur “conduite négligente” et leur “mépris flagrant” pour les risques qu’ils faisaient courir à la petite Victoria, qui dormait avec eux sous une tente en plein hiver.Après le retrait de quatre de leurs enfants par les services sociaux, inquiets de leur capacité à s’en occuper, Constance Marten et Mark Gordon avaient tout fait pour garder avec eux le nourrisson, né fin décembre hors de toute structure médicale. Mais la police s’était lancée à leurs trousses après la découverte de leur voiture en feu dans le nord de l’Angleterre en janvier 2023.Le couple a finalement été arrêté fin février à Brighton, dans le sud de l’Angleterre, après près de deux mois à se déplacer en taxis, à dormir dans des hôtels ou dans une tente, et à tout payer en liquide.Le corps du nourrisson a été retrouvé quelques jours plus tard dans un sac de supermarché dans un hangar.Leur premier procès en 2024 s’était achevé sur une absence de verdict au sujet de leur responsabilité dans la mort de la petite Victoria. Ils avaient en revanche été condamnés pour cruauté infantile et pour avoir dissimulé la naissance de l’enfant.Lors du second procès, ils ont finalement été reconnus coupables d’homicide involontaire. Mark Gordon s’est vu condamné à une peine de 14 ans de prison rallongée de quatre ans supplémentaires en raison de sa “dangerosité”.  L’autopsie n’a pas permis de déterminer la cause de la mort du bébé, et le juge a décidé de condamner le couple, qui a toujours défendu la thèse de l'”accident tragique”, sur la base d’un décès par “hypothermie” dans le froid glacial.Jusqu’au bout, Constance Marten et Mark Gordon sont restés solidaires, évoquant leur “méfiance” vis-à-vis des autorités et perturbant à plusieurs reprises le déroulement des audiences. Plusieurs fois, ils ont refusé de se rendre au tribunal, ont épuisé chacun un certain nombre d’avocats, et Mark Gordon avait finalement décidé d’assurer seul sa défense.Encore lundi, le juge a dû interrompre les plaidoiries pour rappeler à l’ordre le couple, qui se faisait passer des mots dans le box.- Page d’Elizabeth II -L’intérêt des Britanniques pour cette affaire tient sans nul doute beaucoup au parcours de Constance Marten, que tout oppose à celui de Mark Gordon, fils d’une infirmière originaire des Caraïbes et qui a passé 20 ans en prison aux Etats-Unis pour un viol qu’il a commis à 14 ans.Constance, elle, est l’héritière d’une riche famille aristocrate. Son père, Napier Marten, a été page d’Elizabeth II, avant d’abandonner sa fortune et de partir vivre en Australie. Et la mère de la reine était la marraine de sa grand-mère paternelle.Éduquée dans des écoles privées, puis étudiante en arabe et en philosophie, Constance Marten a travaillé un temps pour la chaîne Al Jazeera, avant de se tourner vers une carrière d’actrice.En 2014, elle rencontre Mark Gordon dans une boutique à Londres et le couple se marie deux ans plus tard au Pérou, une union non reconnue au Royaume-Uni.Durant les deux procès, elle a raconté les relations difficiles qu’elle entretenait avec sa famille, qui l’ont conduite à rompre tout lien dans les années 2010.”Ils avaient honte du fait que j’ai eu des enfants avec Mark, qu’ils ne soient pas issus de la haute société”, a-t-elle dit.Elle les a accusés de lui avoir coupé les vivres, alors qu’elle était enceinte de son premier enfant, mais l’enquête a montré qu’elle a ensuite perçu des versements mensuels d’un trust hérité de sa grand-mère.Selon son avocat Tom Godfrey, Constance Marten ressent “tristesse et remords” pour la mort de Victoria.Durant le premier procès, sa mère et son frère ont régulièrement assisté aux audiences, sans que Constance Marten ne leur jette un regard. Cette dernière a déjà demandé à faire appel de sa condamnation.

L’ADN retrouvé sur la scène du meurtre de Charlie Kirk est celui du suspect, annonce le FBI

Des traces d’ADN prélevées sur deux objets retrouvés près du lieu de l’assassinat de l’influenceur conservateur Charlie Kirk correspondent à l’ADN du suspect détenu par les autorités, a annoncé lundi le directeur du FBI Kash Patel.Cinq jours après ce drame qui a frappé l’Amérique et souligné ses fractures politiques, l’enquête se resserre autour de Tyler Robinson, l’homme de 22 ans arrêté jeudi soir et qui ne coopère pas avec les enquêteurs.De nombreuses pièces à conviction ont été collectées par la police, “dont un tournevis, qui a été retrouvé sur le toit” du campus universitaire de l’Utah (ouest), d’où le tireur était positionné.Une serviette “enroulée autour” du fusil à lunette a aussi été retrouvée sur les lieux, a déclaré lundi sur Fox News le patron du FBI, la police fédérale en charge de l’enquête.”Je peux annoncer aujourd’hui que les traces d’ADN de la serviette enroulée autour de l’arme à feu et l’ADN sur le tournevis correspondent avec le suspect actuellement détenu”, a déclaré Kash Patel.Critiqué pour son action depuis le début de l’affaire, le chef du FBI mentionne aussi un mot laissé par le suspect avant de passer à l’acte.”Le suspect a écrit, en gros, +j’ai l’opportunité d’éliminer Charlie Kirk, et je vais m’en saisir+”, a-t-il dit, ajoutant que le FBI avait des “preuves” de cette note, détruite depuis.Si Tyler Robinson avait “une idéologie de gauche”, selon le gouverneur de l’Utah, aucun mobile précis n’a été avancé pour cet assassinat.Le meurtrier présumé, un élève brillant au lycée, élevé dans la foi mormone par des parents républicains, doit être formellement inculpé mardi.L’assassinat de Charlie Kirk, un des jeunes influenceurs les plus populaires de la droite américaine, marque un regain de la violence politique aux Etats-Unis.Donald Trump, proche de l’influenceur, a confirmé qu’il assisterait dimanche à une cérémonie d’hommage organisée en Arizona dans un stade de plus de 63.000 places.

L’ADN retrouvé sur la scène du meurtre de Charlie Kirk est celui du suspect, annonce le FBI

Des traces d’ADN prélevées sur deux objets retrouvés près du lieu de l’assassinat de l’influenceur conservateur Charlie Kirk correspondent à l’ADN du suspect détenu par les autorités, a annoncé lundi le directeur du FBI Kash Patel.Cinq jours après ce drame qui a frappé l’Amérique et souligné ses fractures politiques, l’enquête se resserre autour de Tyler Robinson, l’homme de 22 ans arrêté jeudi soir et qui ne coopère pas avec les enquêteurs.De nombreuses pièces à conviction ont été collectées par la police, “dont un tournevis, qui a été retrouvé sur le toit” du campus universitaire de l’Utah (ouest), d’où le tireur était positionné.Une serviette “enroulée autour” du fusil à lunette a aussi été retrouvée sur les lieux, a déclaré lundi sur Fox News le patron du FBI, la police fédérale en charge de l’enquête.”Je peux annoncer aujourd’hui que les traces d’ADN de la serviette enroulée autour de l’arme à feu et l’ADN sur le tournevis correspondent avec le suspect actuellement détenu”, a déclaré Kash Patel.Critiqué pour son action depuis le début de l’affaire, le chef du FBI mentionne aussi un mot laissé par le suspect avant de passer à l’acte.”Le suspect a écrit, en gros, +j’ai l’opportunité d’éliminer Charlie Kirk, et je vais m’en saisir+”, a-t-il dit, ajoutant que le FBI avait des “preuves” de cette note, détruite depuis.Si Tyler Robinson avait “une idéologie de gauche”, selon le gouverneur de l’Utah, aucun mobile précis n’a été avancé pour cet assassinat.Le meurtrier présumé, un élève brillant au lycée, élevé dans la foi mormone par des parents républicains, doit être formellement inculpé mardi.L’assassinat de Charlie Kirk, un des jeunes influenceurs les plus populaires de la droite américaine, marque un regain de la violence politique aux Etats-Unis.Donald Trump, proche de l’influenceur, a confirmé qu’il assisterait dimanche à une cérémonie d’hommage organisée en Arizona dans un stade de plus de 63.000 places.

Rubio promet le soutien “indéfectible” des Etats-Unis à Israël

Le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio a promis lundi le “soutien indéfectible” de son pays à Israël pour éliminer le Hamas palestinien, près de deux ans après une guerre dévastatrice dans la bande de Gaza.Durant la visite de M. Rubio, l’armée israélienne a poursuivi son offensive dans la bande de Gaza assiégée et affamée, la Défense civile locale y faisant état d’au moins 42 Palestiniens tués, dont des enfants.Lancée en riposte à une attaque sans précédent du Hamas en Israël le 7 octobre 2023, cette offensive a fait des dizaines de milliers de morts et détruit une grande partie du territoire palestinien, où le mouvement islamiste a pris le pouvoir en 2007. Le déplacement de M. Rubio coïncide avec un sommet arabo-islamique à Doha durant lequel l’émir du Qatar s’en est pris de nouveau à Israël après son attaque inédite le 9 septembre dans la capitale qatarie contre des chefs du Hamas.”Les habitants de Gaza méritent un avenir meilleur, mais cet avenir meilleur ne pourra commencer que lorsque le Hamas sera éliminé”, a déclaré M. Rubio après une rencontre à Jérusalem avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.”Vous pouvez compter sur notre soutien indéfectible et notre engagement à voir cela se concrétiser”, a ajouté le secrétaire d’Etat qui doit se rendre mardi au Qatar, en route pour Londres.Les frappes israéliennes au Qatar, un médiateur entre Israël et le Hamas et un allié des Etats-Unis, ont contrarié le président Donald Trump.”Le Qatar a été un très grand allié. Israël et tous les autres, nous devons faire attention. Quand nous attaquons des gens, nous devons être prudents”, a-t-il dit dimanche.Mais M. Netanyahu a estimé que M. Trump était “le plus grand ami” qu’Israël ait jamais eu à la Maison Blanche. Il a de nouveau défendu les frappes à Doha, en disant “que les terroristes ne doivent pas bénéficier d’un refuge”.- “Enhardi le Hamas” -Au sommet de Doha, l’émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, a dit: “celui qui oeuvre avec persistance et méthodologie à assassiner la partie avec laquelle il négocie, entend faire échouer les négociations” en vue d’une trêve à Gaza et une libération des otages enlevés durant l’attaque du 7-Octobre. M. Rubio a dit à Jérusalem vouloir “encourager le Qatar” à poursuivre sa médiation.Le déplacement du secrétaire d’Etat vise aussi à afficher la solidarité des Etats-Unis avec Israël à une semaine d’un sommet coprésidé par la France et l’Arabie saoudite à l’ONU et destiné à promouvoir la reconnaissance internationale d’un Etat de Palestine, au côté d’Israël.Une initiative largement symbolique dans la mesure où Israël s’oppose fermement à la création d’un tel Etat auquel aspirent les Palestiniens.Les Etats-Unis sont également hostiles à cette démarche, qui selon M. Rubio, a “enhardi” le Hamas. Le secrétaire d’Etat avait indiqué qu’il comptait parler à Jérusalem de l’intention d’Israël d’annexer des secteurs en Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967, dans le but d’empêcher la création d’un tel Etat.Sur la guerre à Gaza, le secrétaire d’Etat a indiqué que Donald Trump souhaitait qu’elle soit “terminée”. Une telle issue doit passer selon lui par la libération de tous les otages et des garanties que le Hamas “ne sera plus une menace” pour Israël.- “Un corps sans âme” -Dans le territoire palestinien, la Défense civile a fait état d’au moins 42 morts, dont plus de la moitié à Gaza-ville où l’armée a intensifié ses bombardements avec l’objectif de s’en emparer.Compte-tenu des restrictions imposées aux médias à Gaza et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les informations des différentes parties.L’armée israélienne, qui présente Gaza-ville comme l’un des derniers bastions du Hamas dans le territoire palestinien, y a détruit plusieurs tours d’habitation en accusant le Hamas de s’y cacher.Les Palestiniens continuent de fuir, en grand nombre, la ville et ses environs, qui comptaient un million d’habitants avant les dernières opérations israéliennes selon l’ONU.  “Je me sens comme un corps sans âme”, dit Susan Annan, une Palestinienne qui a perdu sa maison après la destruction d’une tour. “Nous avons quitté notre maison avec seulement nos vêtements. Nous n’avons rien pu emporter.”L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées, 47 sont encore retenues à Gaza dont 25 décédées selon l’armée.Les représailles israéliennes ont fait au moins 64.905 morts à Gaza, selon le ministère de la Santé du territoire. L’ONU y a déclaré la famine, ce que Israël dément.

Rubio promet le soutien “indéfectible” des Etats-Unis à Israël

Le secrétaire d’Etat américain Marco Rubio a promis lundi le “soutien indéfectible” de son pays à Israël pour éliminer le Hamas palestinien, près de deux ans après une guerre dévastatrice dans la bande de Gaza.Durant la visite de M. Rubio, l’armée israélienne a poursuivi son offensive dans la bande de Gaza assiégée et affamée, la Défense civile locale y faisant état d’au moins 42 Palestiniens tués, dont des enfants.Lancée en riposte à une attaque sans précédent du Hamas en Israël le 7 octobre 2023, cette offensive a fait des dizaines de milliers de morts et détruit une grande partie du territoire palestinien, où le mouvement islamiste a pris le pouvoir en 2007. Le déplacement de M. Rubio coïncide avec un sommet arabo-islamique à Doha durant lequel l’émir du Qatar s’en est pris de nouveau à Israël après son attaque inédite le 9 septembre dans la capitale qatarie contre des chefs du Hamas.”Les habitants de Gaza méritent un avenir meilleur, mais cet avenir meilleur ne pourra commencer que lorsque le Hamas sera éliminé”, a déclaré M. Rubio après une rencontre à Jérusalem avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.”Vous pouvez compter sur notre soutien indéfectible et notre engagement à voir cela se concrétiser”, a ajouté le secrétaire d’Etat qui doit se rendre mardi au Qatar, en route pour Londres.Les frappes israéliennes au Qatar, un médiateur entre Israël et le Hamas et un allié des Etats-Unis, ont contrarié le président Donald Trump.”Le Qatar a été un très grand allié. Israël et tous les autres, nous devons faire attention. Quand nous attaquons des gens, nous devons être prudents”, a-t-il dit dimanche.Mais M. Netanyahu a estimé que M. Trump était “le plus grand ami” qu’Israël ait jamais eu à la Maison Blanche. Il a de nouveau défendu les frappes à Doha, en disant “que les terroristes ne doivent pas bénéficier d’un refuge”.- “Enhardi le Hamas” -Au sommet de Doha, l’émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, a dit: “celui qui oeuvre avec persistance et méthodologie à assassiner la partie avec laquelle il négocie, entend faire échouer les négociations” en vue d’une trêve à Gaza et une libération des otages enlevés durant l’attaque du 7-Octobre. M. Rubio a dit à Jérusalem vouloir “encourager le Qatar” à poursuivre sa médiation.Le déplacement du secrétaire d’Etat vise aussi à afficher la solidarité des Etats-Unis avec Israël à une semaine d’un sommet coprésidé par la France et l’Arabie saoudite à l’ONU et destiné à promouvoir la reconnaissance internationale d’un Etat de Palestine, au côté d’Israël.Une initiative largement symbolique dans la mesure où Israël s’oppose fermement à la création d’un tel Etat auquel aspirent les Palestiniens.Les Etats-Unis sont également hostiles à cette démarche, qui selon M. Rubio, a “enhardi” le Hamas. Le secrétaire d’Etat avait indiqué qu’il comptait parler à Jérusalem de l’intention d’Israël d’annexer des secteurs en Cisjordanie, territoire palestinien occupé par Israël depuis 1967, dans le but d’empêcher la création d’un tel Etat.Sur la guerre à Gaza, le secrétaire d’Etat a indiqué que Donald Trump souhaitait qu’elle soit “terminée”. Une telle issue doit passer selon lui par la libération de tous les otages et des garanties que le Hamas “ne sera plus une menace” pour Israël.- “Un corps sans âme” -Dans le territoire palestinien, la Défense civile a fait état d’au moins 42 morts, dont plus de la moitié à Gaza-ville où l’armée a intensifié ses bombardements avec l’objectif de s’en emparer.Compte-tenu des restrictions imposées aux médias à Gaza et des difficultés d’accès sur le terrain, l’AFP n’est pas en mesure de vérifier de manière indépendante les informations des différentes parties.L’armée israélienne, qui présente Gaza-ville comme l’un des derniers bastions du Hamas dans le territoire palestinien, y a détruit plusieurs tours d’habitation en accusant le Hamas de s’y cacher.Les Palestiniens continuent de fuir, en grand nombre, la ville et ses environs, qui comptaient un million d’habitants avant les dernières opérations israéliennes selon l’ONU.  “Je me sens comme un corps sans âme”, dit Susan Annan, une Palestinienne qui a perdu sa maison après la destruction d’une tour. “Nous avons quitté notre maison avec seulement nos vêtements. Nous n’avons rien pu emporter.”L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.219 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées, 47 sont encore retenues à Gaza dont 25 décédées selon l’armée.Les représailles israéliennes ont fait au moins 64.905 morts à Gaza, selon le ministère de la Santé du territoire. L’ONU y a déclaré la famine, ce que Israël dément.

Les Bourses européennes terminent majoritairement en hausse

Les Bourses européennes ont majoritairement terminé en hausse lundi, à l’issue d’une séance sans rendez-vous économique majeur, surtout alimentée par la perspective de la première baisse des taux de l’année de la banque centrale américaine mercredi.La Bourse de Paris a terminé en hausse de 0,92%, Francfort a gagné 0,21%, tandis que Londres a terminé stable (-0,07%).

Appels de Cédric Jubillar à son ex-petite amie: l’enquête classée

L’enquête pour “subornation de témoin et appels malveillants réitérés” ouverte après que Cédric Jubillar a appelé son ex-petite amie, témoin lors de son prochain procès pour le meurtre de son épouse, a été classée sans suite, a indiqué lundi le parquet de Toulouse.Le parquet a décidé “de classer sans suite cette affaire, considérant que les infractions visées n’étaient pas suffisamment caractérisées”, écrit dans un communiqué le procureur de la République de Toulouse, David Charmatz.Cédric Jubillar a tenté d’appeler à plusieurs reprises le 4 septembre son ex-petite amie qui avait auparavant affirmé que le peintre plaquiste lui avait avoué le meurtre de son épouse Delphine, disparue fin 2020 à Cagnac-les-Mines (Tarn). Lorsqu’elle a constaté l’existence de ces appels, l’administration pénitentiaire a mis au courant la justice. Le parquet de Toulouse a ensuite ouvert une enquête le 6 septembre, avant d’entendre cette femme de 31 ans le 7 septembre, puis Cédric Jubillar le 11 septembre.Le parquet a alors promis de faire “le nécessaire pour trancher rapidement” et pour ne pas “perturber le procès” qui s’ouvre le 22 septembre à Albi, avait souligné le parquet de Toulouse, peu après l’audition de l’accusé.La jeune femme n’a pas répondu lorsque Cédric Jubillar a tenté de la joindre mais il lui a laissé le message suivant: “Réponds quand je t’appelle. Tu as peur de quoi ?”, selon l’avocat de l’ex-petite amie.”Ce n’est pas une phrase d’une personne qui veut avoir une conversation cordiale, mais plutôt une personne qui veut intimider, et dans le cas d’espèce menacer”, a dit à l’AFP Me Joaquinito Maria Alogo de Obono.”Nous pouvons légitimement nous demander, si ce n’est pas pour faire qu’elle se rétracte ou, au contraire, savoir s’il est possible pour elle de modifier sa version”, a-t-il ajouté.Cédric Jubillar nie avoir avoué à son ex-compagne qu’il avait tué sa femme, selon sa défense.L’accusé, qui clame son innocence dans cette affaire sans corps, ni aveux, ni témoin, ni scène de crime, ni preuve irréfutable, aurait, selon des documents judiciaires, déjà affirmé à un codétenu ainsi qu’à une autre ex-compagne avoir tué Delphine.