A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Afrique du Sud: audience à la Cour constitutionnelle dans une affaire visant Shell

La plus haute cour d’Afrique du Sud a tenu une audience mardi dans une affaire historique opposant des écologistes et des communautés côtières au géant de l’énergie Shell, concernant l’exploration de pétrole et de gaz au large de la côte de l’océan Indien.L’audience devant la Cour constitutionnelle marque les dernières étapes d’une bataille juridique qui dure depuis des années contre les projets de Shell visant à effectuer des relevés sismiques au large de la côte sud-est du pays, ce qui selon les militants affecterait les baleines et autres formes de vie marine.En 2022, une juridiction inférieure avait a estimé que l’autorisation d’exploration accordée par le gouvernement de l’Afrique du Sud en 2014 était illégale, dans un jugement salué comme une grande victoire pour la société civile.Mais l’an dernier, une cour d’appel avait donné au géant britannique du pétrole une nouvelle chance de renouveler son permis.Carmen Mannarino, responsable de programme au sein de l’organisation de défense des droits des pêcheurs Masifundise, a dit à l’AFP que l’audience de mardi marquait la “première fois qu’une affaire juridique concernant les communautés de pêcheurs allait jusqu’à la Cour constitutionnelle.”La dignité des communautés est en cause”, a-t-elle dit, avant d’ajouter: “La question fondamentale est la suivante: les droits des communautés sont-ils plus ou moins importants que ceux des entreprises?”La “Wild Coast”, aux paysages sauvages spectaculaires, s’étend sur quelque 300 km au bord de l’océan Indien et compte plusieurs réserves naturelles ainsi que des zones marines protégées.Le projet d’exploration impliquait l’envoi d’une puissante onde de choc toutes les dix secondes, dans une zone de 6.000 km2, par des bateaux équipés de canons à air. Le géant de l’énergie indique sur son site internet que les impacts de telles études sont “bien compris” et qu’il “adopte les mesures d’atténuation les plus strictes”.Mais le pêcheur Ntsindiso Nongcavu, un requérant dans l’affaire, a déclaré à l’AFP qu’il était “prêt à combattre toute entreprise qui souhaite effectuer des études sismiques dans notre océan”. Le pêcheur de 48 ans de la ville côtière de Port St Johns, qui a commencé à pêcher à l’âge de huit ans, faisait partie des 200 personnes manifestant devant le tribunal suprême à Johannesburg pendant l’audience.

Intoxications et “odeurs nauséabondes”: un Burger King fermé en Franche-Comté

Les services de l’Etat ont ordonné la fermeture d’un restaurant rapide Burger King à Lure, en Haute-Saône, à la suite de “plusieurs cas d’intoxication alimentaire chez des convives”, et d’inspections ayant révélé des problèmes d’hygiène et des “odeurs nauséabondes”, a annoncé mardi la préfecture. Cette mesure est justifiée par des “faits graves, susceptibles de présenter un risque pour la santé des consommateurs” fréquentant ce restaurant situé dans une zone commerciale, en périphérie de cette ville de 8.000 habitants, a expliqué dans un communiqué le préfet de Haute-Saône, Serge Jacob.Les inspecteurs qui se sont rendus sur place lundi “ont constaté plusieurs manquements graves”, tels qu’une “absence d’hygiène des locaux, des équipements et des enceintes réfrigérées”, des “odeurs nauséabondes dans les locaux de préparation” et une “incapacité du personnel à assurer la salubrité des denrées alimentaires”, détaille la préfecture.L’établissement ne pourra rouvrir que lorsque les inspecteurs de la direction départementale de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations (DDETSPP) auront constaté que toutes les “mesures correctives” nécessaires auront été mises en oeuvre, ont encore indiqué les services de l’Etat.”Nous suivons avec la plus grande attention la situation du restaurant de notre franchisé de Lure”, a réagi Burger King France qui compte quelque 580 restaurants dans le pays. “Nous réaffirmons notre volonté de collaborer avec les services de l’État pour résoudre cette situation au plus vite et proposer à nos clients une expérience conforme à nos exigences élevées en termes de qualité et de sécurité”, a-t-il indiqué dans un communiqué.Une “enquête interne” est également en cours “sur le respect des règles d’hygiène et de sécurité dans ce restaurant”.Le groupe a par ailleurs engagé un plan d’action complémentaire, prévoyant un “nettoyage complet des cuisines et du restaurant, (une) remise en conformité des installations et (un) accompagnement renforcé de l’équipe sur place sur les aspects de formation”.

Au procès Péchier, un cluedo au bloc opératoire, et les sanglots d’une infirmière

Un “cluedo” au bloc opératoire, et une infirmière hantée par le souvenir d’un drame évité de justesse: la cour d’assises du Doubs s’est penchée mardi sur les mystères d’un arrêt cardiaque dû à un empoisonnement, que l’accusation impute à l’ex-anesthésiste Frédéric Péchier.Sur les 30 empoisonnements de patients, dont 12 mortels, reprochés à l’ancien médecin de 53 ans, survenu dans deux cliniques privées de Besançon entre 2008 et 2017, celui de Jean-Claude Gandon, en janvier 2017, est le dernier dans l’ordre chronologique. C’est aussi le premier et unique cas où l’arrêt cardiaque survient alors que c’est le Dr Péchier lui-même qui prend en charge l’anesthésie: pour l’accusé, c’est la preuve qu’il a été visé par un acte malveillant, mais les enquêteurs le soupçonnent au contraire d’avoir sciemment empoisonné son propre patient pour se forger un “alibi” alors qu’une enquête venait d’être ouverte sur un cas suspect antérieur.Mardi, la cour a disséqué l’enchainement des événements, ce 20 janvier 2017, lorsque M. Gandon, alors âgé de 70 ans, est au bloc pour être opéré d’un cancer de la prostate, par un urologue.A la barre, Ludivine Gladoux, alors élève infirmière anesthésiste, se souvient que le Dr Péchier lui demande ce jour-là d’administrer des antalgiques au patient. Elle en est étonnée car “c’était très tôt dans l’intervention”.Elle se saisit d’une poche injectable de paracétamol, constate qu’elle est étrangement humide, “ce qui n’est pas habituel”, et en installe donc une autre. Le Dr Péchier, à qui elle signale sa découverte, lui “propose de prendre une pause café”, ce qu’elle fait, durant une vingtaine de minutes, pendant que lui-même “reste au bloc”.Lorsqu’elle revient, le patient est en train de faire un arrêt cardiaque, se souvient la jeune femme. Pour le réanimer, le Dr Péchier lui prescrit des intralipides, antidote aux anesthésiques locaux. Le patient survit – il assiste aujourd’hui à l’audience.- “J’ai été piégée” -L’enquête révèlera que le septuagénaire a été empoisonné à la mépivacaïne, un anesthésique local, injecté dans la poche de paracétamol.”Quelle a été votre réaction en apprenant que la poche que vous aviez passée avait été polluée?”, demande à l’infirmière l’avocate générale Christine de Curraize. La jeune femme fond en larmes. “Je ne fais pas ce métier pour ça, j’étais étudiante. J’ai été piégée, j’ai cru que j’avais fait une connerie”, balbutie-t-elle en sanglots, confiant que cette expérience la hantait encore.”On sait maintenant que la poche a été polluée après que vous l’avez posée”, la réconforte la magistrate.Pour Stéphane Giuranna, avocat d’une partie de la famille du patient, “le cluedo est terminé”. “Quand Frédéric Péchier voit que vous avez posé une poche qui n’est pas percée, il vous dit de sortir en pause. Et quand vous revenez…” l’arrêt cardiaque se produit, souligne le conseil, qui avance l’hypothèse que l’anesthésiste a ainsi eu le temps de polluer la poche de paracétamol.Dans la matinée, une autre témoin, également infirmière, avait raconté à la cour avoir fourni à l’accusé, à sa demande, du potassium. Un élément qui interpelle l’accusation, car ce produit a notamment provoqué l’arrêt cardiaque d’une autre patiente, Sandra Simard, alors âgée de 36 ans. Questionnée par l’avocat de la défense, Me Randall Schwerdorffer, cette témoin a toutefois reconnu que son bureau, où se trouvait l’armoire à médicaments, n’était pas fermé à clé, et que “tout le monde pouvait y accéder”. Alors “pourquoi un médecin qui voudrait voler du potassium viendrait voir une infirmière à visage découvert?”, au lieu de subtiliser discrètement le produit, pointe le défenseur. “Ce serait étonnant”, concède l’infirmière.Me Schwerdorffer est désormais le seul avocat de l’ancien médecin. Son confrère Lee Takhedmit s’est retiré du dossier à cause de “divergences de vue sur la conduite de l’audience”, a-t-il confié à France Info. Me Schwerdorffer, lui, évoque des “difficultés organisationnelles” et dément tout différend d’ordre stratégique. Frédéric Péchier, qui clame son innocence et comparaît libre, encourt la réclusion criminelle à perpétuité. Le verdict est attendu le 19 décembre.

Colombia halts US arms purchases in row over drug fight delisting

Colombia on Tuesday halted arms purchases from the United States, its biggest military partner, after Washington decertified the South American country as an anti-drugs ally for failing to halt cocaine trafficking.On Monday, President Donald Trump denounced his leftist Colombian counterpart Gustavo Petro for not only failing to curb cocaine production, but overseeing its surge to “all-time records.”Trump added that as a result he had “designated Colombia as having failed demonstrably to meet its drug control obligations.”Reacting to the news, Colombian Interior Minister Armando Benedetti told Blu Radio that “from this moment on…weapons will not be purchased from the United States.”Trump’s decertification of longtime ally Colombia, the first in three decades, was seen as mainly symbolic.It was not expected to significantly affect the millions of dollars provided by Washington each year to Bogota to bolster its fight against drug cartels and left-wing guerrillas funded by cocaine trafficking.But it was seen as a stinging rebuke of Petro’s anti-drug efforts nonetheless.The former left-wing guerrilla hit back, saying that the Colombian military would end its dependence on “handouts” from the United States.- An ‘erratic’ president -Since coming to power in 2022, Petro, a former guerrilla himself, has championed a paradigm shift in the US-led war on drugs, away from forced eradication to focus on the social problems that fuel drug trafficking.Under his watch, cultivation of coca, the main ingredient in cocaine, has increased by about 70 percent, according to Colombian government and United Nations estimates.Writing on X, Petro blamed the figures on “the increase in (cocaine) consumption worldwide, especially in Europe.””The world needs to change its anti-drug policy because it has failed,” he said, adding that cocaine consumption in the United States had only stabilized “because they switched en masse to fentanyl consumption, which is 30 times more deadly.”Washington has conducted assessments annually since 1986 on the anti-narcotics efforts of some 20 drug-producing and distributing countries. In the case of Colombia, US assistance for anti-narcotics efforts reached some $380 million a year.”Colombia has been a great partner historically. Unfortunately, they have a president now that, in addition to being erratic, has not been a very good partner when it comes to taking on the drug cartels,” Secretary of State Marco Rubio, a harsh critic of leftist leaders in Latin America, said on a visit to Israel.The decertification comes amid a major drive by Trump against Latin American drug cartels.On Tuesday he claimed that the United States had “knocked off” three suspected Venezuelan drug boats, up from a previous tally of two.It is a major blow for Colombia, coming as the military and police reel from a string of deadly attacks by the guerrillas.On August 21, 12 police officers were killed when breakaway members of the defunct FARC rebel group shot down a police helicopter during a coca eradication operation in the country’s northwest.

“Nous avons un accord” pour TikTok, assure Donald Trump

Un accord a été trouvé entre les États-Unis et la Chine concernant TikTok, la version américaine de la plateforme devant selon Washington passer sous contrôle national, a déclaré mardi Donald Trump.”Nous avons un accord pour TikTok. J’ai conclu un accord avec la Chine. Je vais parler vendredi au président (chinois) Xi (Jinping) pour tout confirmer”, a dit le président américain à des journalistes avant de partir pour une visite d’État au Royaume-Uni.Le chef de l’État américain avait déjà fait état lundi d’une résolution du dossier TikTok, à formaliser avec son homologue chinois.Selon le secrétaire au Trésor des États-Unis Scott Bessent, le protocole prévoit que la plateforme de partage de courtes vidéos passe sous contrôle américain avec l’entrée ou la montée au capital d’un ou plusieurs investisseurs basés aux États-Unis.Lundi, l’adjoint au responsable de l’Administration chinoise du cyberespace (CAC), Wang Jingtao, a indiqué que les parties s’étaient entendues sur “l’utilisation sous licence de l’algorithme” et d’autres fonctionnalités protégées par la propriété intellectuelle.L’accord implique également que la maison mère de la plateforme, ByteDance, “confie la gestion des données et de la sécurité des contenus des utilisateurs américains” à un tiers, selon le dirigeant chinois.Cette question de la propriété de l’algorithme et du contrôle des données des utilisateurs est au cœur des préoccupations des élus américains.Le Congrès a adopté, au printemps 2024, une loi imposant à ByteDance de céder le contrôle de TikTok aux États-Unis sous peine d’interdiction.Ce texte visait à empêcher que les autorités chinoises ne puissent mettre la main sur des données personnelles d’utilisateurs de TikTok aux États-Unis ou ne soient en mesure d’influencer l’opinion américaine via le puissant algorithme du réseau social.TikTok a admis que des employés basés en Chine avaient eu accès à des données d’utilisateurs américains, mais a assuré que rien n’avait été communiqué au gouvernement chinois.La possibilité pour TikTok US d’utiliser l’algorithme, qui resterait propriété de ByteDance, et non une séparation pure et simple, ne résoudrait pas totalement les questions soulevées par le Congrès.La date limite, initialement fixée au 19 janvier, a déjà été repoussée à trois reprises par le président Trump.Selon plusieurs médias américains, un protocole avait été trouvé en avril, avant que les relations commerciales et diplomatiques entre Chine et Etats-Unis ne se tendent brutalement, sur fonds de nouveaux droits de douane.Il prévoyait la participation du groupe informatique Oracle, qui héberge déjà les données de TikTok US sur ses serveurs américains, ainsi que du gestionnaire d’actifs Blackstone et de l’entrepreneur Michael Dell.D’autres candidats à un rachat de la plateforme s’étaient positionnés, en particulier le “Project Liberty” de l’entrepreneur Frank McCourt et la start-up d’intelligence artificielle (IA) générative Perplexity AI, chacun voulant intégrer l’application à un modèle plus large.

US Fed opens key meeting after Trump aide sworn in as governor

The US Federal Reserve started a key interest rate meeting Tuesday, hours after Donald Trump’s new appointee narrowly won confirmation to join the central bank — while another top official fights her removal by the president.Stephen Miran, the chair of Trump’s Council of Economic Advisers, took the oath of office as a Fed governor early Tuesday, the bank said, as its rate-setting Federal Open Market Committee (FOMC) began a two-day policy gathering.Miran narrowly won a Senate vote on Monday night, making him one of the FOMC’s 12 voting members. Economists expect he will not radically shift this week’s outcome.There is little doubt that the Fed will make its first interest rate cut of 2025 after the latest gathering, as policymakers pivot towards shoring up a deteriorating jobs market.But concerns about political influence targeting the independent central bank will loom over the gathering, as Trump repeatedly bashes Fed Chair Jerome Powell over his rate decisions, and after he moved to fire governor Lisa Cook, sparking a legal battle.On Tuesday, Trump told reporters that the Fed should “listen to smart people like me.”The last-minute addition of Miran is unlikely to drastically alter the meeting’s result, said Oxford Economics’ chief US economist Ryan Sweet.Sweet also cast doubt on whether Miran would have joined in time to submit an economic projection and path for monetary policy.Miran has come under fire from Democratic lawmakers over his plan to take only a leave of absence from his White House role, rather than resign.He is serving out a Fed term which expires in just over four months, filling governor Adriana Kugler’s term after she stepped down.- Court appeal -Trump has separately sought to oust Fed Governor Cook, claiming that mortgage fraud allegations are sufficient “cause” for her removal.So far, Cook, who was appointed by former president Joe Biden, has managed to remain in place for the FOMC meeting.Trump announced in August that he was removing her, and she has been in a legal battle with the president since — a fight that could have broader implications for the Fed moving forward.While a federal appeals court ruled late Monday that she could remain in position while her legal challenge proceeds, the Trump administration is likely to take the case to the Supreme Court.”The administration will appeal this decision and looks forward to ultimate victory on the issue,” White House spokesman Kush Desai told AFP.Although Trump pointed to a criminal referral in announcing Cook’s removal, she has not been charged with a crime and the alleged incidents took place before she was a Fed governor.Since its last cut in December, the Fed has held the benchmark lending rate at a range between 4.25 percent and 4.50 percent as policymakers monitor the effects of Trump’s tariffs on the economy.But markets widely expect a 25 basis points cut at the end of discussions on Wednesday. Investors will also be watching for signals on the number and pace of future rate reductions.Nationwide chief economist Kathy Bostjancic does not anticipate a strong consensus to cut rates by a bolder 50 basis points.But Fed governors Christopher Waller and Michelle Bowman, who voted against the FOMC’s last decision to hold rates steady — instead favoring a rate cut — could now dissent in favor of a larger reduction.They could also be joined by Miran this time, Bostjancic said. 

Création de vidéos, édition, YouTube accélère sur l’IA

YouTube a présenté mardi de nouveaux outils de création de contenu sur sa plateforme grâce à l’intelligence artificielle (IA), notamment la génération ou l’édition de vidéos.Pour le patron de la plateforme, Neal Mohan, ces “nouveaux produits bâtis sur l’IA vont façonner nos 20 prochaines années”.La filiale de Google s’appuie sur le nouveau modèle d’IA générative Veo 3, lancé en mai et considéré comme l’un des plus performants du secteur pour la vidéo.Veo 3 Fast, déclinaison du modèle mis au point spécifiquement pour YouTube Shorts, l’espace dédié aux courtes vidéos de trois minutes ou moins, va être disponible gratuitement aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, au Canada, en Australie et en Nouvelle-Zélande.Outre la génération de vidéos IA, YouTube Shorts propose aussi d’animer une photo sur la base de mouvements réalisés dans une autre vidéo.Il est ainsi possible de créer, par exemple, un petit film de soi-même en train de faire un enchaînement de breakdance en utilisant une photo du sujet et une vidéo d’un danseur hip-hop.Autre fonctionnalité nouvelle, l’intégration d’un objet ou d’un personnage IA dans une vidéo tournée avec les moyens traditionnels.Dans l’exemple présenté mardi par YouTube lors d’un événement organisé à New York, une jeune femme allongée sur le canapé de son appartement se retrouve face à face avec une créature étrange de plusieurs mètres de haut.Le géant de la vidéo en ligne entend mettre l’IA au service de tous les aspects de la création de contenu sur sa plateforme.Il s’est notamment penché sur les podcasts, un format traditionnellement limité au contenu audio mais devenu populaire en version filmée et omniprésent aujourd’hui sur YouTube.Les producteurs de podcasts peuvent désormais générer une vidéo IA sur la base de la bande audio de leur programme, afin d’illustrer leur émission sur YouTube.Concernant les vidéos traditionnelles de la plateforme, Google a présenté une nouvelle fonctionnalité de traduction.Depuis 2024, YouTube a élargi son offre de doublage, grâce à l’IA, pour rendre accessibles des vidéos dans de nombreuses langues sans passer par un traducteur humain.Mardi, la plateforme a dévoilé un service IA qui synchronise le mouvement des lèvres du YouTubeur sur le son de la version traduite.L’intelligence artificielle donne, dans l’exemple de YouTube, l’impression qu’un créateur italien parle anglais dans sa vidéo.”Ce sont des outils, pas plus”, a insisté Neal Mohan, en réponse à une question sur l’impact de l’IA sur l’écosystème de la plateforme. Ils “sont conçus pour favoriser la créativité humaine”.

Malawi votes in economic gloom as two presidents battle for powerTue, 16 Sep 2025 16:21:13 GMT

Malawians voted Tuesday in elections overshadowed by soaring prices and crippling fuel shortages, with the economic gloom a challenge to President Lazarus Chakwera’s bid for a second term.In a crowded field of 17 candidates, observers said Chakwera’s closest rival was his predecessor, 85-year-old Peter Mutharika, a law professor who has spent decades living outside of …

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Trump says US has ‘knocked off’ three boats off Venezuela

US President Donald Trump on Tuesday said his country had “knocked off” three boats in total from Venezuela, a day after he confirmed a second deadly US strike on alleged drug traffickers in the Caribbean.”We knocked off actually three boats not two, but you saw two,” he told reporters at the White House before heading to the United Kingdom for a state visit.He did not elaborate on what had happened with the third boat, or if any more people had been killed.On Monday evening, he announced that US forces had struck a second boat in international waters, killing three people he described as “narco-terrorists.”Trump’s administration has faced questions over the legality of such strikes since its first attack earlier this month, which killed 11 people.The US government has released videos of the two previously known strikes and claims it has irrefutable evidence the people killed were traffickers seeking to ship deadly drugs to the United States.It has not, however, provided details to back up those claims, while drug trafficking itself is not a capital offense under US law.The attacks also comes amid spiraling tensions in the Caribbean as a large US naval build-up sparks speculation that Washington may be seeking regime change in Caracas.The United States accuses Venezuelan leader Nicolas Maduro of heading a cocaine trafficking cartel and recently doubled its bounty for his capture to $50 million. Much of the international community rejected Maduro’s July 2024 re-election, with the opposition claiming widespread fraud.”Stop sending drugs into the United States,” Trump said, in response to a reporter who asked him what message he wanted to send to Venezuelan President Maduro.