Polls close in army-run Guinea’s vote on new constitutionSun, 21 Sep 2025 20:56:24 GMT

Guineans flocked on Sunday to vote on a draft constitution that would pave the way for elections but also allow the junta leader who seized power four years ago to run for president.After a day’s voting watched over by a hefty security presence, the west African nation’s polling stations shut on Sunday evening, drawing a …

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‘I don’t recognise my country,’ says Angelina Jolie

American actress Angelina Jolie said Sunday she no longer recognises her country, voicing concern over threats to free expression while presenting her latest film at Spain’s San Sebastián film festival.Her comments come as worries grow over free speech in the United States, after President Donald Trump’s crackdown on critical media and the recent suspension of late-night host Jimmy Kimmel’s show over comments on the killing of conservative influencer Charlie Kirk.”I love my country, but I don’t at this time recognise my country,” Jolie said when asked if she feared for freedom of speech in the United States.”Anything, anywhere, that divides or, of course, limits personal expressions and freedoms and, from anyone, I think is very dangerous,” she added.”These are very, very heavy times we’re all living in together.”Jolie, 50, was in San Sebastian to promote “Couture”, directed by French filmmaker Alice Winocour, which is competing for the festival’s top prize, the Golden Shell.She plays Maxine Walker, an American film director facing divorce and a serious illness while navigating Paris Fashion Week and embarking on a romance with a colleague, played by French actor Louis Garrel.The Oscar-winning actress — honoured in 1999 for her role in “Girl, Interrupted” —  said she related personally to the struggles of her latest character.Jolie underwent a double mastectomy in 2013 and later had her ovaries and fallopian tubes removed to reduce her high genetic risk of cancer, which claimed the lives of her mother and grandmother.Visibly moved, she said she thought often of her mother while making the film.”I wish she was able to speak more as openly as I have been, and have people respond as graciously as you have, and not feel as alone,” Jolie said.”There’s something very particular to women’s cancers, because obviously it affects us, you know, how we feel as women,” she added.

Drapeaux palestiniens sur les mairies : les politiques s’affrontent, Faure en appelle à Macron

La classe politique française s’est encore fracturée dimanche sur le pavoisement ou non des mairies avec des drapeaux palestiniens, le dirigeant socialiste Olivier Faure appelant Emmanuel Macron à “autoriser” l’initiative.”Il s’agirait non seulement d’un acte fort envers tous ceux qui sont attachés à la résolution du conflit israélo-palestinien, mais cohérent avec la position de la France que vous proclamerez devant la communauté internationale”, a plaidé dans une lettre le patron du PS, à la veille de la reconnaissance attendue de l’Etat palestinien par Emmanuel Macron à l’Onu à New York.Interrogé, l’entourage d’Emmanuel Macron n’a pas souhaité faire de commentaires à ce stade.Dans le viseur d’Olivier Faure: le ministre de l’Intérieur démissionnaire Bruno Retailleau (LR) qui a enjoint les préfets de saisir la justice administrative si des mairies font flotter les couleurs palestiniennes, à défaut de pouvoir demander aux forces de l’ordre de retirer le drapeau.Il fait valoir que “la justice administrative a ordonné (…) le retrait de drapeaux palestiniens du fronton de mairies, au motif qu’ils portaient gravement atteinte au principe de neutralité des services publics”. Et d’exhorter à “ne pas importer le conflit du Proche-Orient”.”Ce n’est pas le drapeau qu’il conteste (…) c’est la décision prise par le chef de l’État” de reconnaître un Etat palestinien, a estimé dimanche soir sur BFMTV M. Faure.Un maire a “l’interdiction (…) d’afficher un parti pris politique, philosophique ou religieux” sur le fronton de son hôtel de ville, affirme-t-on à Beauvau.Pour le patron des députés PS, Boris Vallaud, Bruno Retailleau “se trompe d’interprétation juridique”. Il rappelle qu’après les attaques meurtrières du mouvement islamiste palestinien Hamas le 7 octobre 2023, “des mairies ont hissé à juste raison le drapeau israélien”, et “qu’il y a aussi des drapeaux ukrainiens” sur certains édifices.”Un drapeau sur le fronton d’une mairie n’a jamais tué personne alors qu’à l’inverse, à Gaza, l’armée israélienne tue tous les jours”, a martelé la patronne des Ecologistes Marine Tondelier dimanche lors d’un rassemblement à Paris, dénonçant des polémiques “indécentes”.A gauche toujours, le député LFI Eric Coquerel a aussi apporté son soutien à ce pavoisement aux couleurs palestiniennes : “On est pour”, a-t-il dit sur France 3.- Les drapeaux sur l’écran de la tour Eiffel -A contrario, le député d’extrême droite de l’Oise Philippe Ballard (RN) a accusé sur France 3 les municipalités ayant prévu d’arborer le drapeau palestinien de “communautarisme de bas étage”. “C’est illégal”, a sobrement commenté son collègue député Jean-Philippe Tanguy sur le plateau de Questions politiques (France inter/francetv/Le Monde).François-Xavier Bellamy, vice-président des Républicains a aussi demandé dimanche sur BFMTV que les maires qui hissent le drapeau palestinien “soient condamnés”.Samedi en région parisienne, la maire communiste de Malakoff (Hauts-de-Seine) Jacqueline Belhomme a fait savoir qu’elle ne comptait ni interjeter appel ni retirer le drapeau avant mardi, malgré une décision de justice contraire.Les mairies devraient agir en ordre dispersé, y compris les socialistes.A Paris, la tour Eiffel a affiché sur son écran au premier étage les drapeaux palestinien et israélien, encadrant un colombe. “Paris soutient” la reconnaissance de l’Etat palestinien et “réaffirme son engagement pour la paix”, a commenté la maire Anne Hidalgo (PS), sur le réseau social Bluesky.A Créteil, le socialiste Laurent Cathala (Val-de-Marne) estime que “la première de ses responsabilités doit être de préserver la cohésion sociale au sein de la commune”, et ne suivra pas l’appel d’Olivier Faure. Son homologue PS Mathieu Hanotin (Saint-Denis) hissera le drapeau pour la journée, arguant qu’il “ne s’agit pas d’un acte militant de longue durée”. Et Olivier Faure se rendra sur place à 9H30.A Nantes, la maire Johanna Roland (PS) “installera le drapeau de la Palestine dans la Cour de l’Hôtel de Ville”, a-t-elle fait savoir dans un communiqué, et à Brest, la mairie illuminera le bâtiment aux couleurs palestiniennes. Quant à Renaud Muselier, président du parti macroniste Renaissance de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, il a prévenu dans le Figaro qu’il déploierait une vingtaine de drapeaux français, en réponse à ce qu’il qualifie de “calculs politiques”.

Ligue 1: le “classique” OM-PSG reporté à lundi pour cause d’intempéries à Marseille

Partie remise pour le “classique”: initialement programmé dimanche à 20h45, le choc OM-PSG a été reporté à lundi soir en raison du mauvais temps à Marseille et se tiendra donc au même moment que la cérémonie du Ballon d’or, où plusieurs Parisiens devraient être récompensés.”En raison des fortes intempéries prévues sur la région marseillaise, la rencontre Olympique de Marseille-Paris Saint-Germain, comptant pour la 5e journée de Ligue 1 et prévue ce soir, a été reportée sur décision du préfet des Bouches-du-Rhône, a écrit la Ligue de football professionnel (LFP) sur son compte X, ajoutant qu’elle avait été reprogrammée à lundi 20h00.Et dimanche, à partir de 19h00, des trombes d’eau se sont effectivement abattues sur Marseille avec de nombreux éclairs, provoquant l’inondation de plusieurs rues du centre-ville et des abords du Vélodrome.Dans le département voisin du Var, où le match de Top 14 Toulon-La Rochelle avait initialement été maintenu, avec un coup d’envoi à 21h05, les intempéries ont finalement abouti au même résultat: si les deux équipes ont pu s’échauffer, foudre et pluies diluviennes ont entraîné le report à une date ultérieure.Quelques heures plus tôt, le préfet des Bouches-du-Rhône avait lui décidé préventivement de reporter OM-PSG, évoquant un certain nombre de risques: que des spectateurs “prennent leurs voitures au mauvais moment”, qu’il y ait “un mouvement de foule avant le match” et que, pendant le match, il y ait “un risque orageux pour les spectateurs et les joueurs”. Traditionnel sommet du championnat de France, le duel entre le PSG, champion de France et d’Europe, et son vieux rival marseillais, se tiendra donc lundi soir, un choix conforme au règlement.- Les Parisiens sont repartis -La question des matches reportés du fait des intempéries est en effet abordée à l’article 548 du règlement des compétitions de la LFP: “Lorsqu’en raison d’intempéries, le match n’a pas pu débuter, il est remis, ou lorsqu’il a été définitivement interrompu, il reprend à compter de la minute à laquelle il a été interrompu, le lendemain (hors conditions extrêmes), à un horaire fixé par les services de la LFP”, est-il écrit.Les prévisions météo pour lundi à Marseille sont bonnes, les orages devant s’arrêter dans la nuit.Mais le “classique” aura donc lieu au même moment que la cérémonie du Ballon d’or, dont le favori est le Parisien Ousmane Dembélé, blessé et qui n’avait pas pris part au voyage à Marseille. D’autres joueurs du club de la capitale pourraient aussi être honorés, tout comme l’entraîneur Luis Enrique, qui lui devrait être sur le banc du Vélodrome et donc absent de la cérémonie, prévue de 21h00 à 23h00.Contacté par l’AFP, le PSG n’a pas répondu sur son organisation pour cette soirée. Les joueurs et le staff parisiens, arrivés à Marseille dimanche en milieu de journée, sont repartis à Paris, avant de revenir lundi.- “Dépité” -La décision de la LFP répond à ce qu’espérait l’OM, qui demandait “simplement l’application du règlement”. Le club marseillais ne souhaitait pas jouer mardi, autre date envisagée, car il doit aller à Strasbourg dès vendredi puis recevoir l’Ajax Amsterdam mardi prochain en Ligue des Champions.L’OM et ses supporters savent en outre que le PSG est actuellement handicapé par de nombreuses absences d’importance avec les blessures de Dembélé, Joao Neves, Bradley Barcola et Désiré Doué, quatre titulaires réguliers.Mais, devant le Stade Vélodrome, et sous la pluie qui commençait à tomber, c’est tout de même la déception qui primait dimanche. “On a fait cinq heures de route à peu près, donc là on est dans un logement, on doit partir demain (lundi), donc ça fait ch…”, a regretté Merwan Alexandrine, 23 ans.Arrivé de Lyon dimanche midi, Vincent Lorival, 37 ans, supporter de l’OM et abonné au Vélodrome, a de son côté “réussi à s’arranger” pour “décaler” ses trains afin d’assister au classique lundi. “J’avais déjà assisté il y a deux ans au Marseille-Lyon qui avait aussi été annulé, donc les aller-retours, je connais”, a-t-il raconté à l’AFP.Le 1er septembre, le préfet des Bouches-du-Rhône avait déjà, en raison d’un fort épisode pluvieux, décalé la rentrée dans le département en la repoussant d’un jour. Par précaution, écoles et crèches étaient restées fermées ce jour-là.svu-we-stt-ali/dar/gk/alh

Allemagne: Dortmund aux trousses du Bayern, Leverkusen et Francfort au ralenti

Le Borussia Dortmund, vainqueur au forceps de Wolfsburg dimanche (1-0), a pris seul la place de premier poursuivant du Bayern Munich au soir de la 4e journée de Bundesliga, alors que Leverkusen et Francfort ont encore cédé du terrain.Le Bayern, qui réalise un début de saison très solide avec quatre victoires en autant de rencontres et 18 buts inscrits pour 3 encaissés, est installé dans le fauteuil de leader avec deux points d’avance sur le Borussia Dortmund (12 contre 10).Le “Klassiker” de la Bundesliga, entre les deux mastodontes du football allemand, est prévu samedi 18 octobre, juste après la trêve internationale, pour le compte de la 7e journée du championnat à l’Allianz Arena munichoise.L’écart de deux points remonte à la fin août et le match nul concédé par le BVB en fin de rencontre à St. Pauli lors de la première journée du championnat (3-3 après avoir mené 3-1 à cinq minutes de la fin).Depuis Dortmund s’est imposé contre l’Union Berlin (3-0), à Heidenheim (2-0) et contre Wolfsburg (1-0).Dimanche, les hommes de Niko Kovac ont dominé leur sujet, ouvrant le score par Karim Adeyemi à la 20e minute, d’une frappe en force à l’entrée de la surface de réparation. Ils ont ensuite tenu le résultat, non sans se faire de frayeur.Le défenseur central Nico Schlotterbeck a effectué son retour, titularisé pour son premier match depuis fin mars et une déchirure du ménisque gauche de l’international allemand.- Sept points perdus pour Leverkusen -En revanche, deux autres concurrents du Bayern ont cédé du terrain à l’ussue de cette journée: l’Eintracht Francfort a subi sa deuxième défaite consécutive, battu par l’Union Berlin (4-3), alors que le Bayer Leverkusen a laissé échapper dans le temps additionnel une victoire qui lui tendait les bras contre le Borussia Mönchengladbach (1-1).Neuf jours après être tombé à Leverkusen (2-1) malgré une supériorité numérique pendant plus d’une demi-heure, les joueurs de Dino Toppmöller ont été menés de trois buts (4-1) dans le dernier quart d’heure, puis ont tenté une remontée inachevée (4-3) dans les dix dernières minutes.”Quand on encaisse quatre buts à domicile, peu importe l’adversaire, ça sera très très dur. L’Union a été terriblement efficace”, a estimé l’attaquant Jonathan Burkardt, auteur du troisième but de Francfort, au micro du diffuseur DAZN.Dans sa BayArena, le Bayer Leverkusen de Kasper Hjulmand n’est une nouvelle fois pas parvenu à conserver un avantage au score, cédant le match nul dans le temps additionnel.Grâce à un but de Malick Tillman, le Werkself (le “onze de l’usine”, surnom de l’équipe du club fondé en 1904 par le chimiste Bayer) avait pourtant pris les commandes en milieu de seconde période (70e).Le champion d’Allemagne 2024 a ainsi cédé ses sixième et septième points (l’actuel écart avec le Bayern Munich, 5 points contre 12) après avoir mené au score, après la défaite contre Hoffenheim (2-1) et le match nul concédé à Brême (3-2), deux résultats qui avaient abouti à la mise à l’écart de l’entraîneur Erik ten Hag, remplacé par Hjumand.

Abhishek fires India to win over Pakistan but no handshakes again

Opener Abhishek Sharma hit a blazing 74 as India beat Pakistan by six wickets and again refused to shake hands with their opponents in the Super Four clash of the Asia Cup on Sunday.Chasing 172 for victory, India rode on a 105-run opening stand between the left-handed Abhishek and Shubman Gill, who made 47, to achieve their target with seven balls to spare in Dubai.The rivals came into the contest of the regional tournament with tensions high after India angered Pakistan by also refusing to shake hands when the pair met in the group stage.Tempers flared on the field when Gill and Shaheen Afridi exchanged simmering glances after the batter hit the pace bowler for a boundary.Both Abhishek and Gill came out roaring with a flurry of boundaries to unsettle the Pakistan attack as they raced to 101-0 in 9 overs. Abhishek and Haris Rauf kept up the spice with a fiery exchange.”Today was pretty simple, the way they were coming out to us without any reason, I did not like it at all,” Abhishek said after being named player of the match.”That’s why I went after them. I wanted to deliver for the team.”Medium-pace bowler Faheen Ashraf bowled Gill, and Rauf in the next over took down skipper Suryakumar Yadav for a duck to check India’s surge.Abhishek fell to Abrar Ahmed’s leg spin after his 35-ball blitz laced with six fours and five sixes.Rauf took one more wicket but Tilak Varma, with his unbeaten 30 off 19 balls, steered the team home off a six and a four.The Indian batters quickly left the field while Pakistan players shook hands amongst themselves.”We are yet to play a perfect game, but we are getting there,” said Pakistan captain Salman Agha. “A great game but in the powerplay (first six overs) they took the game away from us.”- Gun celebration -India won the toss and fielded first, but Pakistan came out attacking as Sahibzada Farhan, who hit 58, and Saim Ayub, who made 21, put on 72 runs for the second wicket, to help their team reach 171-5.Fakhar Zaman opened with Farhan and started aggressively in his nine-ball 15 before being caught behind.Farhan kept up the charge as he hit five fours and three sixes in his 45-ball knock as he reached his fifty with a six and celebrated by using his bat to mimmick a gun.India hit back with three wickets, including Farhan who was dismissed by medium-pace bowler Shivam Dube, as Pakistan slipped to 115-4.Mohammad Nawaz made 21 before he was run out.Agha, on 17, and Faheem Ashraf, with 20 off eight balls, struck 22 between them to boost the total.Dube stood out with figures of 2-33, but Indian fielders had a day to forget as they dropped four catches. India beat Pakistan in their group match, which was the first cricketing clash between the rival nations since a four-day cross-border conflict in May left more than 70 people dead.Andy Pycroft turned out as match referee for the Super Four match in spite of Pakistan lodging a protest with the International Cricket Council, alleging that the Zimbabwean had told Agha not to approach Suryakumar for a handshake.The Pakistan Cricket Board demanded that Pycroft be removed from their matches and threatened to withdraw from the eight-team T20 competition.Because of fraught political ties, nuclear-armed neighbours India and Pakistan only meet at neutral venues during multi-team tournaments.Sri Lanka and Bangladesh are the other teams in the Super Four. The top two will move into the final on September 28.