Ligue des nations: Ronaldo propulse le Portugal en finale

Grâce à l’inusable Cristiano Ronaldo, encore une fois buteur décisif à 40 ans, le Portugal a renversé l’Allemagne en l’espace de cinq minutes mercredi soir à Munich en demi-finales de la Ligue des nations, et visera dimanche un deuxième sacre.En finale, les coéquipiers de Cristiano Ronaldo affronteront l’Espagne, championne d’Europe en titre et tenante du titre en Ligue des nations (2023), ou la France, demi-finaliste de l’Euro l’an passée et lauréate de la compétition en 2021.Les Lusitaniens avaient remporté en juin 2019 à domicile la première édition de la compétition créée en 2018 par l’UEFA et disputée tous les deux ans pour rythmer les fenêtres internationales en cours de saison.Mercredi soir, le Portugal faisait face à sa bête noire, l’Allemagne qui restait sur cinq victoires consécutives contre la Seleçao, la dernière en date à l’Euro-2021 à Munich déjà dans l’Allianz Arena.La dernière victoire portugaise sur la Mannschaft remontait à l’Euro-2000 en Belgique et aux Pays-Bas, quand l’Allemagne d’Erich Ribbeck sortait dès le premier tour.Et le champion d’Europe 2016 a failli retomber dans ses travers, mais a su montrer le caractère nécessaire, emmené par sa start Cristiano Ronaldo et ses vainqueurs de la Ligue des champions avec le Paris SG (Vitinha, Nuno Mendes et Joao Neves, Gonçalo Ramis n’est pas rentré), pour vaincre la malédiction.Dominateurs dans le premier quart d’heure de jeu en profitant des nombreuses erreurs de relance allemandes, les hommes de Roberto Martinez ont vu les coéquipiers de Joshua Kimmich reprendre le dessus et s’offrir l’occasion la plus franche de la première période, grâce à Leon Goretzka, servi par Leroy Sané, mais dont la frappe instantanée a été repoussée par le bras ferme de Diogo Costa.- Entrée décisive de Vitinha -Au retour des vestiaire, ce sont les Allemands qui ont ouvert le score grâce à leur joyau Florian Wirtz, à la conclusion d’un superbe mouvement avec le capitaine Kimmich, qui célébrait mercredi sa 100e cape sous le maillot de la sélection allemande.D’une tête décroisée, Wirtz a mis la balle hors de portée de Diogo Costa pour marquer son 7e but avec l’Allemagne, validé avec l’assistance de la vidéo après une demande très insistante de Ronaldo, alors que l’attaquant allemand était très nettement couvert.C’est alors que Roberto Martinez a fait entrer Vitinha et Francisco Conceiçao peu avant l’heure de jeu, qui ont fait tourner la partie en faveur du Portugal. Les rouges et verts ont alors effectué un pressing de plus en plus fort sur le milieu de terrain et la défense allemande, qui a payé à la 63e minute.Conceiçao a pris le meilleur sur Robin Gosens et d’une magnifique frappe enroulée, a trompé Marc-André ter Stegen pour égaliser logiquement.Cinq minutes plus tard, sur une percussion de Nuno Mendes avec Bruno Fernandes en appui, le Parisien a pu trouver Cristiano Ronaldo tout seul dans la surface pour donner l’avantage à son Portugal.A deux minutes de la fin de la rencontre, ter Stegen a entretenu le mince espoir côté allemand, avec une double parade exceptionnelle face à Diogo Jota et Conceiçao. Mais les Allemands, mis à part une occasion pour Serge Gnabry qui a trouvé le poteau de Diogo Costa, avaient déjà déposé les armes.Le sélectionneur allemand faisait face à de trop nombreux blessés (une grosse dizaine dont Jamal Musiala, Kai Havertz, Antonio Rüdiger, Tim Kleindienst, pour ne citer qu’eux) pour espérer reprendre le dessus sur un Portugal bien en place.La rencontre avait débuté avec une dizaine de minutes de retard, en raison d’un orage de grêle qui a décalé l’échauffement des deux équipes.

Reddit sues AI giant Anthropic over content use

Social media outlet Reddit filed a lawsuit Wednesday against artificial intelligence company Anthropic, accusing the startup of illegally scraping millions of user comments to train its Claude chatbot without permission or compensation.The lawsuit in a California state court represents the latest front in the growing battle between content providers and AI companies over the use of data to train increasingly sophisticated language models that power the generative AI revolution.Anthropic, valued at $61.5 billion and heavily backed by Amazon, was founded in 2021 by former executives from OpenAI, the creator of ChatGPT. The company, known for its Claude chatbot and AI models, positions itself as focused on AI safety and responsible development.”This case is about the two faces of Anthropic: the public face that attempts to ingratiate itself into the consumer’s consciousness with claims of righteousness and respect for boundaries and the law, and the private face that ignores any rules that interfere with its attempts to further line its pockets,” the suit said.According to the complaint, Anthropic has been training its models on Reddit content since at least December 2021, with CEO Dario Amodei co-authoring research papers that specifically identified high-quality content for data training.The lawsuit alleges that despite Anthropic’s public claims that it had blocked its bots from accessing Reddit, the company’s automated systems continued to harvest Reddit’s servers more than 100,000 times in subsequent months.Reddit is seeking monetary damages and a court injunction to force Anthropic to comply with its user agreement terms. The company has requested a jury trial.In an email to AFP, Anthropic said “We disagree with Reddit’s claims and will defend ourselves vigorously.”Reddit has entered into licensing agreements with other AI giants including Google and OpenAI, which allow those companies to use Reddit content under terms that protect user privacy and provide compensation to the platform.Those deals have helped lift Reddit’s share price since it went public in 2024. Reddit shares closed up more than six percent on Wednesday following news of the lawsuit.Musicians, book authors, visual artists and news publications  have sued the various AI companies that used their data without permission or payment.AI companies generally defend their practices by claiming fair use, arguing that training AI on large datasets fundamentally changes the original content and is necessary for innovation.Though most of these lawsuits are still in early stages, their outcomes could have a profound effect on the shape of the AI industry.

Trump prévient que Poutine va riposter aux attaques ukrainiennes contre des bases russes

Donald Trump a prévenu mercredi que Vladimir Poutine allait riposter à la spectaculaire attaque ukrainienne contre des bombardiers russes après une conversation avec son homologue russe, assurant aussi qu’il n’y aurait pas de “paix immédiate” entre Kiev et Moscou.C’est peut-être une escalade militaire qui s’annonce en Ukraine, loin de la promesse faite par Donald Trump, celle d’une paix rapide, grâce à son intervention, dans le conflit déclenché en février 2022 par l’invasion russe.Dans un message sur son réseau Truth Social, Donald Trump a dit avoir eu avec son homologue russe une “bonne conversation, mais pas une conversation qui va mener à une paix immédiate” en Ukraine.”Le président Poutine a dit, très fermement, qu’il allait devoir riposter aux récentes attaques” ukrainiennes sur plusieurs aérodromes russes, a ajouté le président américain, précisant que l’entretien avait duré “une heure et quinze minutes”.Rien ne perce dans son message de la frustration qu’il avait manifestée récemment contre Vladimir Poutine. Donald Trump avait jugé le 26 mai que son homologue russe, avec qui il se targue d’avoir une relation privilégiée, était devenu “complètement fou”, à la suite d’attaques russes meurtrières contre l’Ukraine.Pour sa part, le Kremlin a qualifié de “positive” et “productive” la conversation téléphonique, ajoutant que les deux dirigeants avaient décidé de “rester en contact permanent”.Quelques heures après ce coup de fil, Volodymyr Zelensky a appelé sur X à ne pas se montrer “faible” face au président russe. “Lorsqu’il (Poutine) ne ressent ni force ni pression, mais plutôt de la faiblesse, il commet toujours de nouveaux crimes”, a estimé le président ukrainien.- “Actions de sabotage” -Vladimir Poutine s’est également entretenu mercredi par téléphone avec Léon XIV, pour la première fois depuis l’intronisation du nouveau pape.Selon le Kremlin, il a affirmé vouloir atteindre la paix par des moyens “diplomatiques” alors que, selon lui, Kiev “mène des actions de sabotage contre des infrastructures civiles sur le territoire russe”.D’après le Vatican, Léon XIV lui a demandé de “faire un geste en faveur de la paix”.Deux cycles de négociations menées à Istanbul entre Kiev et Moscou sur une trêve, encouragées par Washington, n’ont pas permis de rapprocher les positions.Au cours de la deuxième réunion, lundi sous médiation turque, la délégation russe a remis à Kiev une liste de demandes comprenant notamment le retrait de ses forces de quatre régions dont Moscou revendique l’annexion, la renonciation de l’Ukraine à intégrer l’Otan et la limitation de la taille de son armée.Des conditions maximalistes que Volodymyr Zelensky a qualifiées mercredi d'”ultimatums” inacceptables.Tandis que l’Ukraine est en difficulté sur le front, le président américain, de concert avec ses alliés européens, réclame depuis des semaines un cessez-le-feu inconditionnel, que refuse la Russie.Le Kremlin considère qu’une telle initiative permettrait aux Ukrainiens de se réarmer avec l’aide des Occidentaux.Dans ce contexte, Vladimir Poutine a accusé mercredi l’Ukraine d’avoir été à l’origine des explosions ayant fait dérailler trois trains le week-end dernier, dans deux régions russes frontalières, avec un bilan de sept morts et 113 blessés, dont des enfants.- Discussions “utiles” -Le message de Donald Trump mercredi ne fait aucune mention de possibles sanctions supplémentaires contre la Russie, réclamées par l’Ukraine, et récemment évoquées par le président américain lui-même.Contrairement à l’Ukraine, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a insisté mercredi sur le fait que les discussions d’Istanbul étaient “utiles” et avaient conduit à des “résultats concrets”.Russes et Ukrainiens doivent procéder ce week-end à un nouvel échange de 500 prisonniers de guerre de chaque camp, après un précédent échange de 1.000 personnes de chaque côté en mai. Kiev et Moscou sont en outre convenus de remettre les corps de milliers de militaires tués.L’Ukraine a lancé le week-end dernier une attaque audacieuse de drones sur plusieurs aérodromes russes, détruisant ou endommageant de nombreux avions militaires.D’après le Kremlin, Donald Trump a affirmé à Vladimir Poutine lors de leur appel qu’il n’en avait pas été “informé à l’avance” par Kiev.

Trump prévient que Poutine va riposter aux attaques ukrainiennes contre des bases russes

Donald Trump a prévenu mercredi que Vladimir Poutine allait riposter à la spectaculaire attaque ukrainienne contre des bombardiers russes après une conversation avec son homologue russe, assurant aussi qu’il n’y aurait pas de “paix immédiate” entre Kiev et Moscou.C’est peut-être une escalade militaire qui s’annonce en Ukraine, loin de la promesse faite par Donald Trump, celle d’une paix rapide, grâce à son intervention, dans le conflit déclenché en février 2022 par l’invasion russe.Dans un message sur son réseau Truth Social, Donald Trump a dit avoir eu avec son homologue russe une “bonne conversation, mais pas une conversation qui va mener à une paix immédiate” en Ukraine.”Le président Poutine a dit, très fermement, qu’il allait devoir riposter aux récentes attaques” ukrainiennes sur plusieurs aérodromes russes, a ajouté le président américain, précisant que l’entretien avait duré “une heure et quinze minutes”.Rien ne perce dans son message de la frustration qu’il avait manifestée récemment contre Vladimir Poutine. Donald Trump avait jugé le 26 mai que son homologue russe, avec qui il se targue d’avoir une relation privilégiée, était devenu “complètement fou”, à la suite d’attaques russes meurtrières contre l’Ukraine.Pour sa part, le Kremlin a qualifié de “positive” et “productive” la conversation téléphonique, ajoutant que les deux dirigeants avaient décidé de “rester en contact permanent”.Quelques heures après ce coup de fil, Volodymyr Zelensky a appelé sur X à ne pas se montrer “faible” face au président russe. “Lorsqu’il (Poutine) ne ressent ni force ni pression, mais plutôt de la faiblesse, il commet toujours de nouveaux crimes”, a estimé le président ukrainien.- “Actions de sabotage” -Vladimir Poutine s’est également entretenu mercredi par téléphone avec Léon XIV, pour la première fois depuis l’intronisation du nouveau pape.Selon le Kremlin, il a affirmé vouloir atteindre la paix par des moyens “diplomatiques” alors que, selon lui, Kiev “mène des actions de sabotage contre des infrastructures civiles sur le territoire russe”.D’après le Vatican, Léon XIV lui a demandé de “faire un geste en faveur de la paix”.Deux cycles de négociations menées à Istanbul entre Kiev et Moscou sur une trêve, encouragées par Washington, n’ont pas permis de rapprocher les positions.Au cours de la deuxième réunion, lundi sous médiation turque, la délégation russe a remis à Kiev une liste de demandes comprenant notamment le retrait de ses forces de quatre régions dont Moscou revendique l’annexion, la renonciation de l’Ukraine à intégrer l’Otan et la limitation de la taille de son armée.Des conditions maximalistes que Volodymyr Zelensky a qualifiées mercredi d'”ultimatums” inacceptables.Tandis que l’Ukraine est en difficulté sur le front, le président américain, de concert avec ses alliés européens, réclame depuis des semaines un cessez-le-feu inconditionnel, que refuse la Russie.Le Kremlin considère qu’une telle initiative permettrait aux Ukrainiens de se réarmer avec l’aide des Occidentaux.Dans ce contexte, Vladimir Poutine a accusé mercredi l’Ukraine d’avoir été à l’origine des explosions ayant fait dérailler trois trains le week-end dernier, dans deux régions russes frontalières, avec un bilan de sept morts et 113 blessés, dont des enfants.- Discussions “utiles” -Le message de Donald Trump mercredi ne fait aucune mention de possibles sanctions supplémentaires contre la Russie, réclamées par l’Ukraine, et récemment évoquées par le président américain lui-même.Contrairement à l’Ukraine, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov a insisté mercredi sur le fait que les discussions d’Istanbul étaient “utiles” et avaient conduit à des “résultats concrets”.Russes et Ukrainiens doivent procéder ce week-end à un nouvel échange de 500 prisonniers de guerre de chaque camp, après un précédent échange de 1.000 personnes de chaque côté en mai. Kiev et Moscou sont en outre convenus de remettre les corps de milliers de militaires tués.L’Ukraine a lancé le week-end dernier une attaque audacieuse de drones sur plusieurs aérodromes russes, détruisant ou endommageant de nombreux avions militaires.D’après le Kremlin, Donald Trump a affirmé à Vladimir Poutine lors de leur appel qu’il n’en avait pas été “informé à l’avance” par Kiev.

US judge stays deportation of family of Jewish fire attack suspect

A US judge on Wednesday ordered a temporary stay on any efforts to deport the family of a man suspected of carrying out a Molotov cocktail attack on Jewish protesters at the weekend.The move is the latest in a growing list of confrontations between President Donald Trump’s administration and the independent court system.The wife and five children of Mohamed Sabry Soliman were detained by immigration officials as law enforcement probed the fiery assault on a peaceful march in Boulder, Colorado on Sunday.Twelve people were hurt when an assailant lobbed homemade incendiary devices and shouted “Free Palestine,” calling those present “killers.”Soliman — who authorities said had entered the United States on a tourist visa and had subsequently applied for asylum — was arrested at the scene.Trump’s administration was quick to pledge to deport his family, who are reportedly from Egypt.On Tuesday the White House appeared to taunt the suspect’s family, writing on social media: “Six One-Way Tickets for Mohamed’s Wife and Five Kids.” “Final Boarding Call Coming Soon.” That came after Secretary of State Marco Rubio on Monday pledged to rid the US of “terrorists” who were in the United States temporarily on visas.Judge Gordon Gallagher on Wednesday granted a temporary restraining order against Homeland Security Secretary Kristi Noem, ICE Acting Director Todd Lyons and the local ICE chief.”Defendants SHALL NOT REMOVE Hayem El Gamal and her five children from the District of Colorado or the United States unless or until this court or the Court of Appeals for the Tenth Circuit vacates this order,” the edict says.The legal ruling is the latest in a long line of stays and restraining orders the courts have issued in response to increasingly aggressive moves by the administration to remove non-citizens, including to foreign prisons.The Trump administration systematically accuses judges who oppose his immigration decisions of usurping his presidential national security powers.Soliman is due to appear in court in Colorado on Thursday. He is expected to formally face federal hate crime charges, as well as state charges of attempted murder.

US-backed group suspends Gaza aid operations

A US- and Israeli-backed group operating aid sites in Gaza shut its facilities on Wednesday, as the Israeli army warned that roads leading to distribution centres were “considered combat zones”.The move by the Gaza Humanitarian Foundation (GHF) followed a string of deadly incidents near distribution sites it operates that drew sharp condemnation from the United Nations.Israeli bombardment on Wednesday killed at least 48 people across the Gaza Strip, including 14 in a single strike on a tent sheltering displaced people, the civil defence agency said.A day earlier, the civil defence and the International Committee of the Red Cross said 27 people were killed when Israeli troops opened fire near a GHF site in southern Gaza. The military said the incident was under investigation.Britain called for an “immediate and independent investigation”, echoing a demand from UN Secretary-General Antonio Guterres.UK Middle East Minister Hamish Falconer said the deaths of Palestinians as they sought food were “deeply disturbing”, calling Israel’s new measures for aid delivery “inhumane”.Israel recently eased its blockade of Gaza, but the United Nations says the territory’s entire population remains at risk of famine.- UN vote -The GHF said its “distribution centres will be closed for renovation, reorganisation and efficiency improvement work” on Wednesday and would resume operations on Thursday.The Israeli army warned against travelling “on roads leading to the distribution centres, which are considered combat zones”.The GHF, officially a private effort with opaque funding, began operations a week ago. The UN and major aid groups have declined to work with it, citing concerns it serves Israeli military goals.Israeli authorities and the GHF, which uses contracted US security, have denied allegations the army shot at civilians rushing to pick up aid packages.Food shortages in Gaza have propelled fresh international calls for an end to the war, but a truce between Israel and Hamas remains elusive.The United States, Israel’s key ally, used its veto power at the UN Security Council on Wednesday to block a resolution calling for a ceasefire and unrestricted humanitarian access in Gaza.- ‘A trap’ -At a hospital in southern Gaza, the family of Reem al-Akhras, killed in Tuesday’s shooting, mourned her death.”She went to bring us some food, and this is what happened to her,” her son Zain Zidan said through tears.Her husband, Mohamed Zidan, said: “This is not humanitarian aid — it’s a trap.”The Israeli military maintains that its forces do not prevent Gazans from collecting aid.Army spokesperson Effie Defrin said the Israeli soldiers had fired towards suspects who “were approaching in a way that endangered” the troops.UN human rights chief Volker Turk called attacks against civilians “unconscionable”, and said they “constitute a grave breach of international law and a war crime”.The International Committee of the Red Cross meanwhile said Gazans face an “unprecedented scale and frequency of recent mass casualty incidents”.- Activists’ boat -Scenes of hunger in Gaza have also sparked fresh solidarity with Palestinians, and a boat organised by an international activist coalition was sailing toward Gaza, aiming to deliver aid.The boat from the Freedom Flotilla Coalition departed Sicily on Sunday carrying a dozen people, including environmental activist Greta Thunberg, along with fruit juices, milk, tinned food and protein bars.Israel’s military said it stood ready to “protect” the country’s maritime space, with army spokesman Defrin saying “we are prepared” to handle the flotilla, without elaborating.In response, the Freedom Flotilla Coalition said it “strongly condemns Israel’s declared intent to attack” the boat, calling it a “threat”.Israel has stepped up its offensive in Gaza in what it says is a renewed push to defeat the Palestinian group Hamas, whose October 2023 attack sparked the war.The health ministry in Hamas-run Gaza said at least 4,335 people have been killed since Israel resumed its offensive on March 18, taking the war’s overall toll to 54,607, mostly civilians.Hamas’s 2023 attack on Israel resulted in the deaths of 1,218 people, also mostly civilians, according to an AFP tally based on official figures.The army said three of its soldiers had been killed in northern Gaza, bringing the number of Israeli troops killed in the territory since the start of the war to 424.burs-lba/acc/ami/jhb/rlp

Gaza: les centres d’aide soutenus par Washington fermés temporairement

Les centres d’aide de la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), soutenue par les Etats-Unis et Israël, sont fermés mercredi dans le territoire palestinien, où les routes menant aux sites de distribution sont devenues des “zones de combats”, a averti l’armée israélienne.Après bientôt 20 mois d’une guerre dévastatrice, déclenchée par l’attaque du Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, la Défense civile de la bande de Gaza a annoncé la mort d’au moins 48 personnes mercredi dans des bombardements israéliens. Parmi les victimes, 14 sont mortes dans une frappe israélienne à l’aube dans l’ouest de Khan Younès (sud).De son côté, l’armée israélienne a annoncé mercredi la mort au combat d’un de ses soldats dans le nord du territoire palestinien. Après une série d’événements chaotiques meurtriers ces derniers jours à proximité de ses sites, la GHF en a justifié la fermeture d’une journée par “des travaux de rénovation, réorganisation et amélioration de l’efficacité”. – Véto américain à l’ONU -Les Etats-Unis, principal fournisseur d’armes d’Israël, ont une nouvelle fois empêché mercredi le Conseil de sécurité de l’ONU de réclamer un cessez-le-feu et l’accès humanitaire à Gaza en s’opposant à un projet de résolution réclamant “un cessez-le-feu immédiat et permanent”, ainsi que “la levée de toutes les restrictions à l’entrée d’aide humanitaire à Gaza et sa distribution sûre et sans entrave à grande échelle”, y compris par l’ONU, selon le texte.Il s’agit du premier véto de la nouvelle administration Trump au moment où son allié israélien fait face à une pression internationale croissante pour mettre fin à la guerre dans le territoire palestinien dévasté par les bombardements, où les quelque 2,4 millions d’habitants sont menacés de famine, selon l’ONU.Ce texte, “inacceptable pour ce qu’il dit et inacceptable pour ce qu’il ne dit pas”, “saperait les efforts diplomatiques pour parvenir à un cessez-le-feu qui reflète la réalité sur le terrain, et encouragerait le Hamas”, a justifié l’ambassadrice américaine à l’ONU par intérim Dorothy Shea juste avant le vote.- “Faire toute la lumière” -Après la levée très partielle d’un blocus total imposé par Israël pendant plus de deux mois, privant les Gazaouis de toute aide humanitaire, la GHF a commencé la distribution de colis-repas le 27 mai.Mais son déploiement a été marqué par des scènes chaotiques accompagnées de violences meurtrières à proximité de ses centres.L’ONU refuse de travailler avec cette organisation en raison de préoccupations concernant ses procédés et sa neutralité.Mardi, 27 personnes en route vers le centre de GHF de Rafah (sud) ont été tuées quand des soldats israéliens ont ouvert le feu “sur des milliers de civils” rassemblés à plusieurs centaines de mètres, selon la Défense civile.L’armée israélienne, qui accuse le Hamas de tout faire pour empêcher les distributions de GHF, a indiqué que “des soldats avaient procédé à des tirs de semonce (…) en direction de suspects qui s’approchaient d’une manière qui mettait en danger leur sécurité”. Elle a dit avoir ouvert une enquête pour faire “toute la lumière” sur les faits. Londres a appelé mercredi à une “enquête immédiate et indépendante”, faisant écho à une demande du secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres.Le chef des affaires humanitaires de l’ONU, Tom Fletcher, a lui estimé que ces drames étaient “le résultat d’une série de choix délibérés” d’Israël. L’armée israélienne a intensifié à la mi-mai son offensive dans la bande de Gaza, dans le but affiché de libérer les derniers otages du 7-Octobre, prendre le contrôle de tout le petit territoire coincé entre Israël, l’Egypte et la Méditerranée, et anéantir le Hamas qui y a pris le pouvoir en 2007.- Voilier pour Gaza -Pour apporter de l’aide humanitaire, un voilier de la Coalition de la flottille pour la liberté, avec la militante écologiste suédoise Greta Thunberg et la député française de gauche Rima Hassan à son bord, est parti dimanche d’Italie en direction de Gaza. “La Marine est mobilisée jour et nuit pour protéger l’espace maritime d’Israël et les frontières maritimes”, a averti mardi le général de brigade Effie Defrin, porte-parole de l’armée israélienne.L’organisation militante a “condamné fermement l’intention déclarée d’Israël d’attaquer le Madleen”, le qualifiant de “menace”, dans un communiqué diffusé mercredi. “Le Madleen transporte de l’aide humanitaire et des défenseurs internationaux des droits humains, ce qui constitue un défi direct au blocus illégal d’Israël, qui dure depuis des décennies, et au génocide en cours”, a fait valoir la Coalition.L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 57 sont toujours retenues à Gaza, dont au moins 34 mortes, selon les autorités israéliennes.Plus de 54.607 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne militaire israélienne de représailles, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

Gaza: les centres d’aide soutenus par Washington fermés temporairement

Les centres d’aide de la Fondation humanitaire de Gaza (GHF), soutenue par les Etats-Unis et Israël, sont fermés mercredi dans le territoire palestinien, où les routes menant aux sites de distribution sont devenues des “zones de combats”, a averti l’armée israélienne.Après bientôt 20 mois d’une guerre dévastatrice, déclenchée par l’attaque du Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, la Défense civile de la bande de Gaza a annoncé la mort d’au moins 48 personnes mercredi dans des bombardements israéliens. Parmi les victimes, 14 sont mortes dans une frappe israélienne à l’aube dans l’ouest de Khan Younès (sud).De son côté, l’armée israélienne a annoncé mercredi la mort au combat d’un de ses soldats dans le nord du territoire palestinien. Après une série d’événements chaotiques meurtriers ces derniers jours à proximité de ses sites, la GHF en a justifié la fermeture d’une journée par “des travaux de rénovation, réorganisation et amélioration de l’efficacité”. – Véto américain à l’ONU -Les Etats-Unis, principal fournisseur d’armes d’Israël, ont une nouvelle fois empêché mercredi le Conseil de sécurité de l’ONU de réclamer un cessez-le-feu et l’accès humanitaire à Gaza en s’opposant à un projet de résolution réclamant “un cessez-le-feu immédiat et permanent”, ainsi que “la levée de toutes les restrictions à l’entrée d’aide humanitaire à Gaza et sa distribution sûre et sans entrave à grande échelle”, y compris par l’ONU, selon le texte.Il s’agit du premier véto de la nouvelle administration Trump au moment où son allié israélien fait face à une pression internationale croissante pour mettre fin à la guerre dans le territoire palestinien dévasté par les bombardements, où les quelque 2,4 millions d’habitants sont menacés de famine, selon l’ONU.Ce texte, “inacceptable pour ce qu’il dit et inacceptable pour ce qu’il ne dit pas”, “saperait les efforts diplomatiques pour parvenir à un cessez-le-feu qui reflète la réalité sur le terrain, et encouragerait le Hamas”, a justifié l’ambassadrice américaine à l’ONU par intérim Dorothy Shea juste avant le vote.- “Faire toute la lumière” -Après la levée très partielle d’un blocus total imposé par Israël pendant plus de deux mois, privant les Gazaouis de toute aide humanitaire, la GHF a commencé la distribution de colis-repas le 27 mai.Mais son déploiement a été marqué par des scènes chaotiques accompagnées de violences meurtrières à proximité de ses centres.L’ONU refuse de travailler avec cette organisation en raison de préoccupations concernant ses procédés et sa neutralité.Mardi, 27 personnes en route vers le centre de GHF de Rafah (sud) ont été tuées quand des soldats israéliens ont ouvert le feu “sur des milliers de civils” rassemblés à plusieurs centaines de mètres, selon la Défense civile.L’armée israélienne, qui accuse le Hamas de tout faire pour empêcher les distributions de GHF, a indiqué que “des soldats avaient procédé à des tirs de semonce (…) en direction de suspects qui s’approchaient d’une manière qui mettait en danger leur sécurité”. Elle a dit avoir ouvert une enquête pour faire “toute la lumière” sur les faits. Londres a appelé mercredi à une “enquête immédiate et indépendante”, faisant écho à une demande du secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres.Le chef des affaires humanitaires de l’ONU, Tom Fletcher, a lui estimé que ces drames étaient “le résultat d’une série de choix délibérés” d’Israël. L’armée israélienne a intensifié à la mi-mai son offensive dans la bande de Gaza, dans le but affiché de libérer les derniers otages du 7-Octobre, prendre le contrôle de tout le petit territoire coincé entre Israël, l’Egypte et la Méditerranée, et anéantir le Hamas qui y a pris le pouvoir en 2007.- Voilier pour Gaza -Pour apporter de l’aide humanitaire, un voilier de la Coalition de la flottille pour la liberté, avec la militante écologiste suédoise Greta Thunberg et la député française de gauche Rima Hassan à son bord, est parti dimanche d’Italie en direction de Gaza. “La Marine est mobilisée jour et nuit pour protéger l’espace maritime d’Israël et les frontières maritimes”, a averti mardi le général de brigade Effie Defrin, porte-parole de l’armée israélienne.L’organisation militante a “condamné fermement l’intention déclarée d’Israël d’attaquer le Madleen”, le qualifiant de “menace”, dans un communiqué diffusé mercredi. “Le Madleen transporte de l’aide humanitaire et des défenseurs internationaux des droits humains, ce qui constitue un défi direct au blocus illégal d’Israël, qui dure depuis des décennies, et au génocide en cours”, a fait valoir la Coalition.L’attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 57 sont toujours retenues à Gaza, dont au moins 34 mortes, selon les autorités israéliennes.Plus de 54.607 Palestiniens, majoritairement des civils, ont été tués dans la campagne militaire israélienne de représailles, selon des données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.

Stocks rise despite weak US jobs data

Stock markets advanced Wednesday despite data showing US private sector job growth slowing last month, reviving fears about the economy.Investors also shrugged off US President Donald Trump’s tough words on China and his doubling of tariffs on imports of steel and aluminum.Separate figures on Tuesday showed that US job openings unexpectedly rose in April, somewhat calming worries about the impact of Trump’s tariff blitz on the world’s number one economy.But a Wednesday report by payroll firm ADP showed private sector employment rose by just 37,000 jobs last month, slowing from the 60,000 figure in April.The figure was also sharply below a Briefing.com consensus of 115,000.Wall Street’s major indexes closed mixed, as investors were careful not to overreact to the hiring numbers while awaiting government payroll figures due Friday.”The report… stirred some growth concerns that led to some knee-jerk selling interest in the equity futures market and some impulse buying in the Treasury market,” said Briefing.com analyst Patrick O’Hare.Comments by Trump that US Federal Reserve Chair Jerome Powell has been “too late” to cut US interest rates also rattled sentiment, he added.But O’Hare said that concerns about slowing growth could raise expectations that the Fed will cut rates “and few things calm the market’s nerves more than the idea of rate cuts.”The jobs data came ahead of crucial non-farm payrolls figures Friday, which could have a bearing on the Fed’s upcoming monetary policy decision in light of weaker growth and fears of tariff-fueled inflation.They also came as the OECD cut its growth forecast for the United States and the rest of the world, pointing to fallout from tariffs.- Talks advancing? – With Trump possibly speaking with Chinese President Xi Jinping this week, the US leader said on his Truth Social platform that it was “extremely hard to make a deal” with his counterpart.US-China tensions have ratcheted back up after Trump accused Beijing of violating an agreement that led to a dialing down of tit-for-tat tariffs between the world’s two biggest economies.Also on Wednesday, Trump doubled US tariffs on steel and aluminum imports to 50 percent, ramping up his trade war with foes and allies alike.EU trade commissioner Maros Sefcovic and US Trade Representative Jamieson Greer held talks on the sidelines of an OECD ministerial meeting in Paris.Sefcovic said that the EU “strongly” regrets the tariff increase, adding that it “doesn’t help the ongoing negotiations, especially as we are making progress.”But Greer noted in a statement that negotiations were “advancing quickly.”Elsewhere, Seoul’s stock market rallied more than two percent — pushing into a bull market after rising more than 20 percent from its recent low in April — as Lee Jae-myung won South Korea’s snap presidential election. The won gained against the dollar.Germany’s stock market added 0.8 percent after the government unveiled a sweeping package of corporate tax breaks aimed at boosting investment and pulling Europe’s largest economy out of the doldrums.- Key figures at around 2025 GMT -New York – Dow: DOWN 0.2 percent at 42,427.74 points (close)New York – S&P 500: FLAT at 5,970.81 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 0.3 percent at 19,460.49 (close)London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 8,801.29 (close)Paris – CAC 40: UP 0.5 percent at 7,804.67 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.8 percent at 24,276.48 (close)Tokyo – Nikkei 225: UP 0.8 percent at 37,747.45 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.6 percent at 23,654.03 (close)Shanghai – Composite: UP 0.4 percent at 3,376.20 (close)Euro/dollar: UP at $1.1417 from $1.1371 on TuesdayPound/dollar: UP at $1.3548 from $1.3518Dollar/yen: DOWN at 142.86 yen from 144.03 yenEuro/pound: UP at 84.26 pence from 84.11 penceBrent North Sea Crude: DOWN 1.2 percent at $64.86 per barrelWest Texas Intermediate: DOWN 0.9 percent at $62.85 per barrelburs-rl-bys/sla

Wall Street termine sans direction claire, veut croire en une baisse de taux de la Fed

La Bourse de New York a terminé en ordre dispersé mercredi, quelque peu minée par la publication d’un indicateur sur l’emploi privé bien pire qu’attendu, les investisseurs espérant toutefois voir la banque centrale américaine (Fed) baisser ses taux en raison de ces données. Le Dow Jones a perdu 0,22%, l’indice Nasdaq a pris 0,32% et l’indice élargi S&P 500 a terminé proche de l’équilibre (+0,01%).Le marché “continue de fonctionner avec un air de résilience malgré la pression à la vente”, ont résumé les analystes de Briefing.com.En début de séance, la place américaine a accueilli des chiffres nettement moins bons qu’attendu sur les créations d’emplois dans le secteur privé aux Etats-Unis. Elles ont atteint en mai leur plus faible niveau depuis mars 2023, selon l’enquête mensuelle ADP/Stanford Lab.Le mois dernier, 37.000 emplois ont été créés dans ce secteur, contre 60.000 en avril, alors que les analystes attendaient au contraire 110.000 créations d’emplois, d’après le consensus publié par MarketWatch.Mais “l’idée que la Fed réagisse rapidement aux signes d’affaiblissement de l’économie a joué un rôle de soutien” sur une partie du marché boursier, estiment les analystes de Briefing.com.Le président américain Donald Trump a en effet appelé le président de la Réserve fédérale (Fed) Jerome Powell à baisser les taux de l’institution “maintenant”, tout en jugeant “incompréhensible” le statu quo de la Fed alors que d’autres banques centrales tendent à diminuer les leurs.Par ailleurs, l’activité économique a “légèrement reculé” dans l’ensemble aux Etats-Unis, le trouble autour des droits de douane poussant entreprises et ménages à faire plus attention à leurs finances, selon une enquête de la Fed publiée mercredi.”Les perspectives sont légèrement pessimistes, les entreprises étant dans l’expectative (…) la croissance dans les mois à venir sera probablement modérée”, a souligné Jeffrey Roach, analyste de LPL Financial.D’autres données sur le marché du travail aux Etats-Unis doivent être publiées dans les prochains jours, en particulier vendredi, avec le rapport sur l’emploi non agricole.Dans ce contexte, sur le marché obligataire, le rendement des emprunts d’État américains à 10 ans se détendait nettement à 4,35% vers 20H15 GMT, contre 4,45% mardi en clôture.Selon Peter Cardillo, analyste de Spartan Capital Securities, le marché a aussi profité des derniers commentaires de Donald Trump, qui a décrit le président chinois Xi Jiping comme “TRÈS DUR” en affaires.”Le marché a peut-être interprété cela comme étant positif dans le sens où il y aurait probablement un accord à l’horizon, (…) si cela se produit, cela pourrait signifier que nous approchons de la fin de la guerre commerciale”, a commenté Peter Cardillo.Au tableau des valeurs, le secteur de l’énergie a pâti de la baisse des prix du pétrole, à l’image d’Exxon Mobil (-1,45%), de Chevron (-1,54%) ou ConocoPhilips (-2,23%).La chaîne de magasins d’articles à bas prix Dollar Tree a chuté de 8,37%, à 88,62 dollars, après avoir annoncé que son bénéfice net par action du deuxième trimestre pourrait plonger de près de 50%, notamment à cause des hausses de prix liées aux droits de douane. Le spécialiste de la cybersécurité CrowdStrike a perdu 5,77%, à 460,56 dollars, l’entreprise ayant prévenu que son chiffre d’affaires pour le trimestre en cours devrait être compris entre 1,14 et 1,15 milliard de dollars, en deçà des attentes.Le constructeur automobile américain Ford a terminé dans le vert (+0,49% à 10,24 dollars) après une hausse en mai de plus de 16% sur un an de ses ventes aux Etats-Unis, profitant de ses remises.Le groupe a décidé en avril d’accorder les prix remisés destinés à ses employés à l’ensemble de ses clients, en réaction aux droits de douane imposés sur les importations automobiles aux Etats-Unis.