South Korean workers head home after US raid stunned ally

Hundreds of South Koreans detained in a US immigration raid flew out on Thursday, after a stunned Seoul warned that the “bewildering” episode could have a chilling effect on future investment. South Koreans made up the majority of the 475 people arrested last week at a Hyundai-LG battery factory site in the state of Georgia, triggering a delicate effort to resolve the thorny situation between close allies.A specially chartered Korean Air Boeing 747-8I plane was seen flying out of Atlanta after South Korea said it resolved the standoff. President Donald Trump’s administration remained tight-lipped.Photographs run by the Yonhap news agency showed the workers smiling and waving as they boarded buses after days in US detention.South Korea is a staunch security ally and major investor for the United States, with its top companies pouring billions into developing factories and plants in America.South Korean President Lee Jae Myung called the raid “bewildering” and noted it could have a chilling effect on future investment.Lee blamed the raid on “cultural differences” saying that in South Korea, American nationals teaching English while on a tourist visa was not seen as “a serious issue”.After the detentions, South Korean companies “can’t help but question whether setting up a plant in the US is worth the potential risks,” Lee said.”This could have a significant impact on future investment decisions, particularly when evaluating the feasibility of direct operations in the US,” he added.Many South Korean companies have relied on bringing in their own workforce during project development periods, with industry sources telling AFP it is common practice to use visa workarounds to bring in skilled labour and avoid project delays.Lee said that for South Korean companies “when setting up facilities, equipment and factories, skilled technicians are essential.””Someone has to install the machinery, and the necessary workforce simply doesn’t exist locally in the US,” he said, adding that the companies had long relied on bringing in their engineers for short-term periods to train local workers.”But now, even that basic request is being rejected,” he said.Secretary of State Marco Rubio, meeting South Korea’s Foreign Minister Cho Hyun on Wednesday, told him that the United States welcomed investment from Asia’s fourth largest economy, according to the State Department.The State Department also announced Thursday that Rubio’s deputy, Christopher Landau, would travel shortly to Seoul to speak both with the government and businesses.- Handcuff shock -Lee said Seoul was negotiating with Washington “to ensure that visa issuance for investment-related purposes operates normally.” This could include “securing additional quotas” or even creating a new visa category, he said, adding that he trusted the “US side will find a solution”.”But under the current circumstances, Korean companies will have little choice but to hesitate about making direct investments in the US,” he added.The operation was the largest single-site raid conducted since US President Donald Trump launched a sweeping immigration crackdown, a top political priority since he returned to office in January.The raid came less than a month after Trump welcomed Lee to the White House.Images of the South Korean workers being chained and handcuffed have caused widespread alarm, and Seoul has said it negotiated to make sure the workers were not handcuffed again as they were repatriated.The raid highlights lopsided priorities in the Trump administration, which is “actively bringing in large-scale production facilities while neglecting to train local workers,” said Kim Dae-jong, professor of business at Sejong University.”As a result, South Koreans are having to train the local workforce. Logically, the two sides’ workers should be allowed to work together, not be hindered from doing so,” he told AFP.But Cho Dong-geun, professor emeritus of economics at Myongji University warned that South Korean companies had long been aware of the visa problems. “It is regrettable that there was no earlier intervention to address these matters in response to President Trump’s anti-immigration agenda, as it should have been acted on more swiftly.”

Les travailleurs sud-coréens arrêtés aux Etats-Unis en route vers leur pays

Des centaines de Sud-Coréens employés dans une usine de batteries Hyundai-LG, qui avaient été arrêtés par la police américaine de l’immigration, sont repartis jeudi vers leur pays, Séoul ayant prévenu que cet épisode “déstabilisant” et pourrait avoir un impact sur les futurs investissements aux Etats-Unis.Le Boeing 747-8I de Korean Air envoyé mercredi par la Corée du Sud pour les rapatrier a décollé en fin de matinée d’Atlanta, capitale de l’Etat américain de Géorgie (sud-est), a constaté un correspondant de l’AFP.Le 4 septembre, 475 personnes, essentiellement des Sud-Coréens, avaient été arrêtées par la police de l’immigration (ICE) sur le chantier de construction d’une usine de batteries Hyundai-LG en Géorgie.S’exprimant lors d’une conférence de presse jeudi, le président sud-coréen Lee Jae Myung s’est dit “perplexe” face à ces arrestations. Il les a attribuées à des “différences culturelles”, expliquant qu’en Corée du Sud, les infractions mineures semblables touchant des ressortissants américains ne sont pas considérées comme “un problème sérieux”.Cette affaire pourrait avoir un “impact significatif sur les décisions d’investissement futures, en particulier lors de l’évaluation de la faisabilité d’opérations directes aux Etats-Unis”, a-t-il prévenu.M. Lee a expliqué que pour les entreprises sud-coréennes, les techniciens qualifiés étaient “essentiels”, lors de l’installation des infrastructures, des équipements et des usines.”Quelqu’un doit installer les machines, et la main-d’oeuvre nécessaire n’existe tout simplement pas localement aux Etats-Unis,” a-t-il souligné.Le président américain Donald Trump a finalement renoncé jeudi à expulser ces professionnels mais Séoul a décidé de les rapatrier car ils sont “en état de choc”, a précisé le ministre sud-coréen des Affaires étrangères Cho Hyun.”Le président Trump a demandé si les travailleurs sud-coréens détenus, tous des professionnels qualifiés, devaient rester aux Etats-Unis pour continuer à travailler et à former le personnel américain, ou s’ils devaient rentrer chez eux”, a détaillé le ministère des Affaires étrangères sud-coréen dans un communiqué à l’AFP.Mais Séoul a répondu que “compte tenu de l’état de choc et de l’épuisement des travailleurs, il serait préférable qu’ils rentrent d’abord chez eux, puis qu’ils reviennent aux Etats-Unis pour travailler plus tard. La partie américaine a accepté cette position”, a-t-il été ajouté.- Enchaînés et menottés -La descente de la police de l’immigration, au cours de laquelle ces employés sud-coréens avaient été enchaînés et menottés, est “déstabilisante”, a souligné le président sud-coréen.Elle a fait la Une des médias en Corée du Sud, un pays qui a promis d’investir 350 milliards de dollars aux Etats-Unis, après des menaces américaines sur les droits de douane. Séoul a indiqué avoir obtenu que ses ressortissants ne soient plus menottés lors de leur rapatriement.Ces arrestations mettent en évidence les contradictions de l’administration Trump, qui “fait venir des usines de production à grande échelle tout en négligeant de former les travailleurs locaux”, estime Kim Dae-jong, professeur de commerce à l’université de Sejong.”En conséquence, les Sud-Coréens doivent former la main-d’œuvre locale”. Sud-Coréens et Américains devraient “travailler ensemble, et être non entravés dans leurs efforts”, a-t-il déclaré à l’AFP.Ces problèmes liés à la politique migratoire américaine “auraient dû être traités plus rapidement”, estime à l’inverse Cho Dong-geun, professeur émérite d’économie à l’université de Myongji, soulignant que les entreprises sud-coréennes étaient depuis longtemps conscientes des problèmes liés aux visas. Allié clé des Etats-Unis pour la sécurité dans le Pacifique, la Corée du Sud est aussi la quatrième économie asiatique, un acteur majeur de la construction automobile et de l’électronique. Plusieurs usines sud-coréennes sont implantées aux Etats-Unis. Les salariés arrêtés ne disposaient probablement pas d’un visa les autorisant à effectuer des travaux de construction, ont relevé des experts.burs-str/sst/ev

Les travailleurs sud-coréens arrêtés aux Etats-Unis en route vers leur pays

Des centaines de Sud-Coréens employés dans une usine de batteries Hyundai-LG, qui avaient été arrêtés par la police américaine de l’immigration, sont repartis jeudi vers leur pays, Séoul ayant prévenu que cet épisode “déstabilisant” et pourrait avoir un impact sur les futurs investissements aux Etats-Unis.Le Boeing 747-8I de Korean Air envoyé mercredi par la Corée du Sud pour les rapatrier a décollé en fin de matinée d’Atlanta, capitale de l’Etat américain de Géorgie (sud-est), a constaté un correspondant de l’AFP.Le 4 septembre, 475 personnes, essentiellement des Sud-Coréens, avaient été arrêtées par la police de l’immigration (ICE) sur le chantier de construction d’une usine de batteries Hyundai-LG en Géorgie.S’exprimant lors d’une conférence de presse jeudi, le président sud-coréen Lee Jae Myung s’est dit “perplexe” face à ces arrestations. Il les a attribuées à des “différences culturelles”, expliquant qu’en Corée du Sud, les infractions mineures semblables touchant des ressortissants américains ne sont pas considérées comme “un problème sérieux”.Cette affaire pourrait avoir un “impact significatif sur les décisions d’investissement futures, en particulier lors de l’évaluation de la faisabilité d’opérations directes aux Etats-Unis”, a-t-il prévenu.M. Lee a expliqué que pour les entreprises sud-coréennes, les techniciens qualifiés étaient “essentiels”, lors de l’installation des infrastructures, des équipements et des usines.”Quelqu’un doit installer les machines, et la main-d’oeuvre nécessaire n’existe tout simplement pas localement aux Etats-Unis,” a-t-il souligné.Le président américain Donald Trump a finalement renoncé jeudi à expulser ces professionnels mais Séoul a décidé de les rapatrier car ils sont “en état de choc”, a précisé le ministre sud-coréen des Affaires étrangères Cho Hyun.”Le président Trump a demandé si les travailleurs sud-coréens détenus, tous des professionnels qualifiés, devaient rester aux Etats-Unis pour continuer à travailler et à former le personnel américain, ou s’ils devaient rentrer chez eux”, a détaillé le ministère des Affaires étrangères sud-coréen dans un communiqué à l’AFP.Mais Séoul a répondu que “compte tenu de l’état de choc et de l’épuisement des travailleurs, il serait préférable qu’ils rentrent d’abord chez eux, puis qu’ils reviennent aux Etats-Unis pour travailler plus tard. La partie américaine a accepté cette position”, a-t-il été ajouté.- Enchaînés et menottés -La descente de la police de l’immigration, au cours de laquelle ces employés sud-coréens avaient été enchaînés et menottés, est “déstabilisante”, a souligné le président sud-coréen.Elle a fait la Une des médias en Corée du Sud, un pays qui a promis d’investir 350 milliards de dollars aux Etats-Unis, après des menaces américaines sur les droits de douane. Séoul a indiqué avoir obtenu que ses ressortissants ne soient plus menottés lors de leur rapatriement.Ces arrestations mettent en évidence les contradictions de l’administration Trump, qui “fait venir des usines de production à grande échelle tout en négligeant de former les travailleurs locaux”, estime Kim Dae-jong, professeur de commerce à l’université de Sejong.”En conséquence, les Sud-Coréens doivent former la main-d’œuvre locale”. Sud-Coréens et Américains devraient “travailler ensemble, et être non entravés dans leurs efforts”, a-t-il déclaré à l’AFP.Ces problèmes liés à la politique migratoire américaine “auraient dû être traités plus rapidement”, estime à l’inverse Cho Dong-geun, professeur émérite d’économie à l’université de Myongji, soulignant que les entreprises sud-coréennes étaient depuis longtemps conscientes des problèmes liés aux visas. Allié clé des Etats-Unis pour la sécurité dans le Pacifique, la Corée du Sud est aussi la quatrième économie asiatique, un acteur majeur de la construction automobile et de l’électronique. Plusieurs usines sud-coréennes sont implantées aux Etats-Unis. Les salariés arrêtés ne disposaient probablement pas d’un visa les autorisant à effectuer des travaux de construction, ont relevé des experts.burs-str/sst/ev

Acclaimed French director tackles ‘commercial colonialism’ in new filmThu, 11 Sep 2025 16:43:09 GMT

In “The Fence,” a haunting new film from Claire Denis, the celebrated French director returns to a theme she has explored throughout her career — the shadow of colonialism in West Africa. Denis, who spent her early childhood moving around Africa, where her father was a colonial administrator, sets “The Fence” on the grim compound of …

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La mort de Charlie Kirk s’invite aux commémorations du 11-Septembre

Les commémorations du 11-Septembre 2001, un anniversaire traditionnellement très consensuel et transpartisan, ont servi de cadre jeudi à un hommage appuyé de Donald Trump et de ses ministres à l’influenceur de la droite radicale Charlie Kirk, assassiné la veille.Le porte-drapeau de la jeunesse trumpiste était un “géant de sa génération” et un “champion de la liberté”, a dit Donald Trump pendant une cérémonie au Pentagone, l’un des lieux frappés il y a 24 ans dans ces attaques qui ont changé la face des Etats-Unis et du monde.Le président américain a annoncé qu’il remettrait “bientôt” à Charlie Kirk, à titre posthume, la plus haute distinction civile américaine, la médaille présidentielle de la Liberté.”La vie, l’exemple et même la mort de Charlie Kirk, un fidèle du Christ et un patriote américain, me donnent de l’espoir”, a dit le ministre de la Défense Pete Hegseth, pendant la cérémonie au Pentagone.Attendu initialement à New York, le vice-président JD Vance a décidé d’annuler son voyage pour se rendre dans l’Utah (ouest) auprès de la famille endeuillée du jeune influenceur. Donald Trump sera lui dans la ville de la côte est dans la soirée, pour un match de baseball.Pendant ce temps à Ground Zero, là où se dressaient autrefois les tours jumelles du World Trade Center, des proches des quelque 3.000 victimes du drame ont procédé comme chaque année à la longue lecture des noms de tous les morts.Plusieurs candidats à la mairie de New York ont pris place parmi les responsables aux côtés notamment de Rudy Giuliani, qui dirigeait la ville pendant les attentats, le torse ceint d’un corset – il a récemment été blessé dans un grave accident de la circulation.La cérémonie est l’occasion d’une courte trêve dans l’âpre bataille en cours pour la mairie. Il y a deux jours, l’ex-gouverneur démocrate Andrew Cuomo, qui concourt en indépendant, a reproché à son principal rival Zohran Mamdani – également démocrate, mais investi par leur parti – d’avoir accordé une interview à un streamer star de la gauche radicale, Hasan Piker, lequel avait déclaré en 2019 que “les Etats-Unis ont mérité le 11-Septembre”.Pour l’équipe Cuomo, cette proximité est une “honte” et constitue la preuve que “Mamdani ne mérite pas d’être maire”.- Le maire en difficulté -“Suggérer que Zohran Mamdani – qui est sur le point de devenir le premier maire musulman de New York – a d’une manière ou d’une autre soutenu le 11-Septembre” est “infâme” et “dangereux”, a réagi l’équipe de campagne du jeune candidat.Zohran Mamadani, élu de 33 ans au conseil municipal de New York et “socialiste” revendiqué, fait toujours la course largement tête dans les sondages. Une récente enquête de l’université Siena pour le New York Times lui attribue 46% d’intentions de vote, contre 24% pour Andrew Cuomo et 15% pour le républicain Curtis Sliwa. Le maire sortant Eric Adams, un démocrate aux prises avec des accusations de corruption, est désormais dans les limbes, crédité de moins de 10% des votes.Plusieurs médias ont fait état de tractations entre lui et l’administration Trump pour un éventuel poste en échange d’un retrait de la course. Ce que l’intéressé a jusqu’à présent démenti, mais qui rebattrait singulièrement les cartes.Eric Adams a lui aussi fait le lien jeudi entre le 11-Septembre et l’assassinat du jeune influenceur trumpiste: “C’est la même haine qui a poussé deux avions à percuter le World Trade Center et qui a transpercé Charlie Kirk d’une balle dans le cou (…) C’était un acte terroriste”.Le 11 septembre 2001, les Etats-Unis ont été la cible de quatre attentats-suicides coordonnés, perpétrés par 19 membres du groupe islamiste Al-Qaïda, dirigé par Oussama ben Laden.A New York, deux avions de ligne détournés se sont écrasés volontairement contre les tours jumelles du World Trade Center, provoquant leur effondrement en moins de deux heures et la mort de milliers de personnes.Dans la soirée de jeudi, deux faisceaux de lumière s’élèveront dans le ciel pour symboliser les tours jumelles, illuminant le sud de Manhattan jusqu’à l’aube.

La mort de Charlie Kirk s’invite aux commémorations du 11-Septembre

Les commémorations du 11-Septembre 2001, un anniversaire traditionnellement très consensuel et transpartisan, ont servi de cadre jeudi à un hommage appuyé de Donald Trump et de ses ministres à l’influenceur de la droite radicale Charlie Kirk, assassiné la veille.Le porte-drapeau de la jeunesse trumpiste était un “géant de sa génération” et un “champion de la liberté”, a dit Donald Trump pendant une cérémonie au Pentagone, l’un des lieux frappés il y a 24 ans dans ces attaques qui ont changé la face des Etats-Unis et du monde.Le président américain a annoncé qu’il remettrait “bientôt” à Charlie Kirk, à titre posthume, la plus haute distinction civile américaine, la médaille présidentielle de la Liberté.”La vie, l’exemple et même la mort de Charlie Kirk, un fidèle du Christ et un patriote américain, me donnent de l’espoir”, a dit le ministre de la Défense Pete Hegseth, pendant la cérémonie au Pentagone.Attendu initialement à New York, le vice-président JD Vance a décidé d’annuler son voyage pour se rendre dans l’Utah (ouest) auprès de la famille endeuillée du jeune influenceur. Donald Trump sera lui dans la ville de la côte est dans la soirée, pour un match de baseball.Pendant ce temps à Ground Zero, là où se dressaient autrefois les tours jumelles du World Trade Center, des proches des quelque 3.000 victimes du drame ont procédé comme chaque année à la longue lecture des noms de tous les morts.Plusieurs candidats à la mairie de New York ont pris place parmi les responsables aux côtés notamment de Rudy Giuliani, qui dirigeait la ville pendant les attentats, le torse ceint d’un corset – il a récemment été blessé dans un grave accident de la circulation.La cérémonie est l’occasion d’une courte trêve dans l’âpre bataille en cours pour la mairie. Il y a deux jours, l’ex-gouverneur démocrate Andrew Cuomo, qui concourt en indépendant, a reproché à son principal rival Zohran Mamdani – également démocrate, mais investi par leur parti – d’avoir accordé une interview à un streamer star de la gauche radicale, Hasan Piker, lequel avait déclaré en 2019 que “les Etats-Unis ont mérité le 11-Septembre”.Pour l’équipe Cuomo, cette proximité est une “honte” et constitue la preuve que “Mamdani ne mérite pas d’être maire”.- Le maire en difficulté -“Suggérer que Zohran Mamdani – qui est sur le point de devenir le premier maire musulman de New York – a d’une manière ou d’une autre soutenu le 11-Septembre” est “infâme” et “dangereux”, a réagi l’équipe de campagne du jeune candidat.Zohran Mamadani, élu de 33 ans au conseil municipal de New York et “socialiste” revendiqué, fait toujours la course largement tête dans les sondages. Une récente enquête de l’université Siena pour le New York Times lui attribue 46% d’intentions de vote, contre 24% pour Andrew Cuomo et 15% pour le républicain Curtis Sliwa. Le maire sortant Eric Adams, un démocrate aux prises avec des accusations de corruption, est désormais dans les limbes, crédité de moins de 10% des votes.Plusieurs médias ont fait état de tractations entre lui et l’administration Trump pour un éventuel poste en échange d’un retrait de la course. Ce que l’intéressé a jusqu’à présent démenti, mais qui rebattrait singulièrement les cartes.Eric Adams a lui aussi fait le lien jeudi entre le 11-Septembre et l’assassinat du jeune influenceur trumpiste: “C’est la même haine qui a poussé deux avions à percuter le World Trade Center et qui a transpercé Charlie Kirk d’une balle dans le cou (…) C’était un acte terroriste”.Le 11 septembre 2001, les Etats-Unis ont été la cible de quatre attentats-suicides coordonnés, perpétrés par 19 membres du groupe islamiste Al-Qaïda, dirigé par Oussama ben Laden.A New York, deux avions de ligne détournés se sont écrasés volontairement contre les tours jumelles du World Trade Center, provoquant leur effondrement en moins de deux heures et la mort de milliers de personnes.Dans la soirée de jeudi, deux faisceaux de lumière s’élèveront dans le ciel pour symboliser les tours jumelles, illuminant le sud de Manhattan jusqu’à l’aube.

Israël: un nouveau missile houthi intercepté après les frappes sur Sanaa

L’armée israélienne a dit jeudi avoir intercepté un missile tiré depuis le Yémen, au lendemain de bombardements israéliens contre les Houthis, qui ont fait 35 morts et 131 blessés selon les rebelles yéménites. “Un missile tiré depuis le Yémen a été intercepté par les forces aériennes israéliennes”, a indiqué l’armée israélienne sur Telegram.Les rebelles houthis du Yémen, soutenus par l’Iran, tirent régulièrement des missiles ou des drones en direction d’Israël, où ils sont pour la plupart interceptés.Cette nouvelle attaque intervient après qu’Israël a affirmé mercredi avoir attaqué des “cibles militaires” houthies dans la capitale yéménite Sanaa et dans la province de Jawf (nord).Les bombardements ont fait 35 morts et 131 blessés, selon le porte-parole du ministère de la Santé houthi, Anees Alasbahi, précisant mercredi soir que ce décompte n’était pas définitif. “Nous continuerons à frapper. Quiconque nous attaque, nous l’atteindrons”, avait déclaré après ces raids le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.La télévision Al-Massirah, organe des Houthis, a fait état mercredi de “martyrs, blessés et plusieurs maisons endommagées dans l’attaque israélienne contre le quartier général de l’Orientation morale”, le nom donné aux services de communication des forces rebelles dans la capitale. Selon le porte-parole militaire houthi, Yahya Saree, ces frappes israéliennes ont été effectuées par avion.- Sanctions américaines -Selon deux journalistes de l’AFP à Sanaa, un bâtiment utilisé par les forces armées houthies a été touché. Al-Massirah a également fait état de frappes israéliennes contre des bâtiments gouvernementaux à Jawf. L’armée israélienne, qui avait déjà annoncé la veille avoir intercepté un missile tiré du Yémen, a dit avoir frappé des “camps militaires où des membres du régime terroriste avaient été identifiés, le siège des relations publiques militaires des Houthis et un site de stockage de carburant”.Cette nouvelle attaque était survenue après qu’un tir de drone, revendiqué par les Houthis depuis le Yémen, a blessé le 7 septembre un homme en tombant sur l’aéroport de Ramon, dans le sud d’Israël. Le mois dernier, des bombardements israéliens avaient tué le Premier ministre et 11 responsables houthis, dans la plus importante opération israélienne contre les rebelles au Yémen.Depuis le début de la guerre à Gaza, déclenchée par l’attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël le 7 octobre 2023, les Houthis ont multiplié les tirs contre Israël et les attaques de navires marchands qui lui sont liés au large du Yémen, affirmant agir en solidarité avec les Palestiniens.En réponse, Israël a mené plusieurs séries de frappes meurtrières au Yémen, visant des ports, des centrales électriques et l’aéroport international de Sanaa.Jeudi, le gouvernement américain, soutien d’Israël, a annoncé des sanctions économiques contre 32 personnes et organisations liées aux Houthis.Washington leur reproche de “financer et faciliter l’acquisition par les Houthis de matériel militaire de pointe, notamment des composants de missiles balistiques, de missiles de croisière et de drones, utilisés pour attaquer les forces américaines et nos alliés, ainsi que les navires commerciaux en mer Rouge”.

Israël: un nouveau missile houthi intercepté après les frappes sur Sanaa

L’armée israélienne a dit jeudi avoir intercepté un missile tiré depuis le Yémen, au lendemain de bombardements israéliens contre les Houthis, qui ont fait 35 morts et 131 blessés selon les rebelles yéménites. “Un missile tiré depuis le Yémen a été intercepté par les forces aériennes israéliennes”, a indiqué l’armée israélienne sur Telegram.Les rebelles houthis du Yémen, soutenus par l’Iran, tirent régulièrement des missiles ou des drones en direction d’Israël, où ils sont pour la plupart interceptés.Cette nouvelle attaque intervient après qu’Israël a affirmé mercredi avoir attaqué des “cibles militaires” houthies dans la capitale yéménite Sanaa et dans la province de Jawf (nord).Les bombardements ont fait 35 morts et 131 blessés, selon le porte-parole du ministère de la Santé houthi, Anees Alasbahi, précisant mercredi soir que ce décompte n’était pas définitif. “Nous continuerons à frapper. Quiconque nous attaque, nous l’atteindrons”, avait déclaré après ces raids le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.La télévision Al-Massirah, organe des Houthis, a fait état mercredi de “martyrs, blessés et plusieurs maisons endommagées dans l’attaque israélienne contre le quartier général de l’Orientation morale”, le nom donné aux services de communication des forces rebelles dans la capitale. Selon le porte-parole militaire houthi, Yahya Saree, ces frappes israéliennes ont été effectuées par avion.- Sanctions américaines -Selon deux journalistes de l’AFP à Sanaa, un bâtiment utilisé par les forces armées houthies a été touché. Al-Massirah a également fait état de frappes israéliennes contre des bâtiments gouvernementaux à Jawf. L’armée israélienne, qui avait déjà annoncé la veille avoir intercepté un missile tiré du Yémen, a dit avoir frappé des “camps militaires où des membres du régime terroriste avaient été identifiés, le siège des relations publiques militaires des Houthis et un site de stockage de carburant”.Cette nouvelle attaque était survenue après qu’un tir de drone, revendiqué par les Houthis depuis le Yémen, a blessé le 7 septembre un homme en tombant sur l’aéroport de Ramon, dans le sud d’Israël. Le mois dernier, des bombardements israéliens avaient tué le Premier ministre et 11 responsables houthis, dans la plus importante opération israélienne contre les rebelles au Yémen.Depuis le début de la guerre à Gaza, déclenchée par l’attaque du mouvement islamiste palestinien Hamas en Israël le 7 octobre 2023, les Houthis ont multiplié les tirs contre Israël et les attaques de navires marchands qui lui sont liés au large du Yémen, affirmant agir en solidarité avec les Palestiniens.En réponse, Israël a mené plusieurs séries de frappes meurtrières au Yémen, visant des ports, des centrales électriques et l’aéroport international de Sanaa.Jeudi, le gouvernement américain, soutien d’Israël, a annoncé des sanctions économiques contre 32 personnes et organisations liées aux Houthis.Washington leur reproche de “financer et faciliter l’acquisition par les Houthis de matériel militaire de pointe, notamment des composants de missiles balistiques, de missiles de croisière et de drones, utilisés pour attaquer les forces américaines et nos alliés, ainsi que les navires commerciaux en mer Rouge”.