Afghan in court over deadly knife attack on toddlers in Germany

An Afghan man deemed psychologically ill faced a German court on Thursday over a deadly knife attack on a group of toddlers that his defence lawyer labelled the “deed of a madman”. The stabbings nine months ago in a park in the southern city of Aschaffenburg killed a two-year-old boy and a 41-year-old man who tried to protect the children, and left three others wounded.Prosecutors acknowledged that the 28-year-old who set upon the daycare group with a kitchen knife on January 22 was suffering from paranoid schizophrenia.The attack, which came just a month before German national elections, inflamed an already heated debate on migration.The suspect, who was arrested near the scene of the stabbing, has been only partially named as Enamullah O., in line with usual practice by the German judiciary.Facing the court in handcuffs and foot shackles, he appeared groggy and subdued, wearing an open white shirt with a dark jacket.He mostly stared at the table and yawned frequently, which his lawyer said was due to medication he has been taking.Prosecutors are seeking to have him permanently confined to a psychiatric facility. They previously said there was no indication the suspect acted out of extremist or terrorist motivation.Five toddlers from a kindergarten class were in a public park, accompanied by two teachers, when the assailant attacked them with a kitchen knife.He also injured a two-year-old Syrian girl, one of the teachers as well as a 72-year-old man who had also tried to protect the children.- Fits of delusion -Defence lawyer Juergen Vongries told the court that O. was experiencing fits of delusion and had only vague memories of voices he heard at the time of the crime.His client had expressed regret, but could offer no explanation for why he attacked the children.A few minutes before the attack, he had allegedly watched a YouTube video with the Turkish title “Motivating Combat Music”, prosecutor Juergen Buntschuh said while reading the indictment.The two-year-old boy was stabbed five times, and the man slain by the attacker was stabbed four times, he said.Buntschuh said the attacker’s delusions and severe mental impairment meant he was not able to fully recognise the horrific nature of his actions.Not long after the attack, German media reported that the authorities had tried and failed in 2023 to deport the man to Bulgaria — the first EU country he had arrived in.In August 2024, he allegedly threatened a fellow resident at an accommodation for asylum seekers in the nearby town of Alzenau with a butcher’s knife and caused her minor injuries.The Aschaffenburg stabbings, which followed a string of other bloody attacks in Germany, provoked intense political reactions.Friedrich Merz, the leader of the centre-right Christian Democrats who went on to become chancellor, promised a “fundamental” overhaul of asylum rules and strict border controls if elected.About a week later, Merz, then the opposition leader, relied on support from the far-right Alternative for Germany (AfD) to/ach  pass a non-binding resolution through parliament demanding stricter immigration and refugee policies.Merz’s decision to rely on far-right support broke a longstanding taboo in post-World War II German politics, prompting fierce criticism and mass street protests.

Lecornu échappe de peu à la censure, et va pouvoir s’atteler au budget

Sébastien Lecornu a échappé à quelques voix près jeudi à la censure, le Parti socialiste laissant sa chance au Premier ministre en échange de sa promesse de suspendre la réforme des retraites. Les débats budgétaires vont désormais pouvoir commencer à l’Assemblée dès la semaine prochaine.Au total, 271 députés ont voté pour, insuffisant pour atteindre les 289 voix nécessaires pour renverser le gouvernement. LFI, les communistes, les écologistes et l’extrême droite avaient annoncé leur volonté de censurer le gouvernement, Les Républicains et surtout le PS faisant le choix inverse.Une deuxième motion déposée par le Rassemblement national devrait elle être rejetée largement un peu plus tard dans la matinée, la gauche refusant d’y mêler ses voix.Lors des débats à la tribune de l’Assemblée, le député socialiste Laurent Baumel a défendu cette décision du PS d’épargner le gouvernement de Sébastien Lecornu, à rebours du reste de la gauche. Ce n’est “en aucun cas un pacte de non-censure” pour l’avenir, a-t-il averti. “La pérennité même de votre gouvernement” est suspendue à l’effectivité de la suspension de la réforme des retraites promise, et “il n’y aura pas d’entourloupe ou de ruse procédurale”, a-t-il aussi prévenu.Chacune leur tour, Aurélie Trouvé (LFI) puis la cheffe des députés RN, Marine Le Pen, ont tenté de convaincre les possibles hésitants, notamment chez LR et au PS, de voter leur motion respective. La suspension de la réforme des retraites, “n’est qu’un leurre, une tromperie, un subterfuge”, a dénoncé la députée insoumise en lançant les débats. “Vous tous qui avez été élus pour abroger la réforme des retraites, allez-vous vraiment vous laisser abuser par cette aumône en trompe-l’oeil ?”, a-t-elle lancé aux socialistes, alors que doutes émergent sur le fait qu’elle soit effectivement votée. Marine Le Pen a elle tancé la droite, qui après “après avoir fait campagne pendant des mois sur son refus de se dissoudre dans le macronisme”, a préféré “se dissoudre dans le socialisme”. Elle a attaqué les “partis unis par la terreur de l’élection” et a dit attendre la dissolution “avec une impatience croissante”.- “Moment de vérité” – En réponse, Sébastien Lecornu, dont le gouvernement a été nommé dimanche, a appelé à “un moment de vérité entre ordre républicain et désordre”, demandant aux censeurs de ne pas “prendre en otage” le budget. Pour donner des gages aux députés, le Premier ministre a renoncé à utiliser l’arme du 49.3 dans les débats budgétaires, permettant habituellement au gouvernement d’imposer son texte.Chez les socialistes, le chef des députés Boris Vallaud avait appelé ses troupes à s’en tenir à la ligne décidée de façon “quasi-unanime”. Mais certains s’inquiètent notamment que la suspension de la réforme des retraites n’aboutisse pas. Celle-ci doit passer par un amendement au projet de loi de financement de la sécurité sociale, ce qui implique que ce texte budgétaire soit adopté, possiblement avec les voix des socialistes, pourtant dans l’opposition.Or, argumentent Insoumis, écologistes et communistes, ce projet de loi comprend des mesures d’économies “inacceptables” comme le gel des prestations sociales ou le doublement des franchises médicales. Les socialistes font “le pari” que celles-ci évolueront lors du débat parlementaire.En cas de censure, le patron du PS Olivier Faure a également fait valoir jeudi que le budget passerait par “une loi spéciale”.Les LR ont eux décidé de ne pas censurer “au nom de l’intérêt national de doter la France d’un budget” malgré des “désaccords importants” selon leur orateur Jean-Didier Berger.Le patron des députés LR, Laurent Wauquiez, avait appelé ses troupes à suivre cette ligne — contrairement à l’eurodéputé François-Xavier Bellamy, proche du chef du parti Bruno Retailleau. – Bataille du budget -Les débats autour du budget, dont le texte a été présenté en Conseil des ministres mardi et qui prévoit un effort d’une trentaine de milliards d’euros, doivent enfin commencer à l’Assemblée la semaine prochaine.La commission des Finances s’en emparera lundi, et il devrait arriver dans l’hémicycle vendredi. La bataille entre une gauche traversée de tensions, un socle commun fracturé et l’extrême droite s’annonce dantesque, dans des délais très contraints.Le socialiste Laurent Baumel a d’ores et déjà appelé M. Lecornu à faire de “nouvelles concessions” sur “la trajectoire financière, sur la justice sociale, sur le pouvoir d’achat” lors des discussions. Même au sein du bloc central, le chef des députés Horizons Paul Christophe, qui a jugé jeudi la suspension de la réforme des retraites “déconnectée de toute réalité démographique et financière” a prévenu: “nous ne voterons pas n’importe quoi. Nous n’avons aucunement l’intention de renier nos valeurs”. 

Lecornu échappe de peu à la censure, et va pouvoir s’atteler au budget

Sébastien Lecornu a échappé à quelques voix près jeudi à la censure, le Parti socialiste laissant sa chance au Premier ministre en échange de sa promesse de suspendre la réforme des retraites. Les débats budgétaires vont désormais pouvoir commencer à l’Assemblée dès la semaine prochaine.Au total, 271 députés ont voté pour, insuffisant pour atteindre les 289 voix nécessaires pour renverser le gouvernement. LFI, les communistes, les écologistes et l’extrême droite avaient annoncé leur volonté de censurer le gouvernement, Les Républicains et surtout le PS faisant le choix inverse.Une deuxième motion déposée par le Rassemblement national devrait elle être rejetée largement un peu plus tard dans la matinée, la gauche refusant d’y mêler ses voix.Lors des débats à la tribune de l’Assemblée, le député socialiste Laurent Baumel a défendu cette décision du PS d’épargner le gouvernement de Sébastien Lecornu, à rebours du reste de la gauche. Ce n’est “en aucun cas un pacte de non-censure” pour l’avenir, a-t-il averti. “La pérennité même de votre gouvernement” est suspendue à l’effectivité de la suspension de la réforme des retraites promise, et “il n’y aura pas d’entourloupe ou de ruse procédurale”, a-t-il aussi prévenu.Chacune leur tour, Aurélie Trouvé (LFI) puis la cheffe des députés RN, Marine Le Pen, ont tenté de convaincre les possibles hésitants, notamment chez LR et au PS, de voter leur motion respective. La suspension de la réforme des retraites, “n’est qu’un leurre, une tromperie, un subterfuge”, a dénoncé la députée insoumise en lançant les débats. “Vous tous qui avez été élus pour abroger la réforme des retraites, allez-vous vraiment vous laisser abuser par cette aumône en trompe-l’oeil ?”, a-t-elle lancé aux socialistes, alors que doutes émergent sur le fait qu’elle soit effectivement votée. Marine Le Pen a elle tancé la droite, qui après “après avoir fait campagne pendant des mois sur son refus de se dissoudre dans le macronisme”, a préféré “se dissoudre dans le socialisme”. Elle a attaqué les “partis unis par la terreur de l’élection” et a dit attendre la dissolution “avec une impatience croissante”.- “Moment de vérité” – En réponse, Sébastien Lecornu, dont le gouvernement a été nommé dimanche, a appelé à “un moment de vérité entre ordre républicain et désordre”, demandant aux censeurs de ne pas “prendre en otage” le budget. Pour donner des gages aux députés, le Premier ministre a renoncé à utiliser l’arme du 49.3 dans les débats budgétaires, permettant habituellement au gouvernement d’imposer son texte.Chez les socialistes, le chef des députés Boris Vallaud avait appelé ses troupes à s’en tenir à la ligne décidée de façon “quasi-unanime”. Mais certains s’inquiètent notamment que la suspension de la réforme des retraites n’aboutisse pas. Celle-ci doit passer par un amendement au projet de loi de financement de la sécurité sociale, ce qui implique que ce texte budgétaire soit adopté, possiblement avec les voix des socialistes, pourtant dans l’opposition.Or, argumentent Insoumis, écologistes et communistes, ce projet de loi comprend des mesures d’économies “inacceptables” comme le gel des prestations sociales ou le doublement des franchises médicales. Les socialistes font “le pari” que celles-ci évolueront lors du débat parlementaire.En cas de censure, le patron du PS Olivier Faure a également fait valoir jeudi que le budget passerait par “une loi spéciale”.Les LR ont eux décidé de ne pas censurer “au nom de l’intérêt national de doter la France d’un budget” malgré des “désaccords importants” selon leur orateur Jean-Didier Berger.Le patron des députés LR, Laurent Wauquiez, avait appelé ses troupes à suivre cette ligne — contrairement à l’eurodéputé François-Xavier Bellamy, proche du chef du parti Bruno Retailleau. – Bataille du budget -Les débats autour du budget, dont le texte a été présenté en Conseil des ministres mardi et qui prévoit un effort d’une trentaine de milliards d’euros, doivent enfin commencer à l’Assemblée la semaine prochaine.La commission des Finances s’en emparera lundi, et il devrait arriver dans l’hémicycle vendredi. La bataille entre une gauche traversée de tensions, un socle commun fracturé et l’extrême droite s’annonce dantesque, dans des délais très contraints.Le socialiste Laurent Baumel a d’ores et déjà appelé M. Lecornu à faire de “nouvelles concessions” sur “la trajectoire financière, sur la justice sociale, sur le pouvoir d’achat” lors des discussions. Même au sein du bloc central, le chef des députés Horizons Paul Christophe, qui a jugé jeudi la suspension de la réforme des retraites “déconnectée de toute réalité démographique et financière” a prévenu: “nous ne voterons pas n’importe quoi. Nous n’avons aucunement l’intention de renier nos valeurs”. 

Lecornu échappe de peu à la censure, et va pouvoir s’atteler au budget

Sébastien Lecornu a échappé à quelques voix près jeudi à la censure, le Parti socialiste laissant sa chance au Premier ministre en échange de sa promesse de suspendre la réforme des retraites. Les débats budgétaires vont désormais pouvoir commencer à l’Assemblée dès la semaine prochaine.Au total, 271 députés ont voté pour, insuffisant pour atteindre les 289 voix nécessaires pour renverser le gouvernement. LFI, les communistes, les écologistes et l’extrême droite avaient annoncé leur volonté de censurer le gouvernement, Les Républicains et surtout le PS faisant le choix inverse.Une deuxième motion déposée par le Rassemblement national devrait elle être rejetée largement un peu plus tard dans la matinée, la gauche refusant d’y mêler ses voix.Lors des débats à la tribune de l’Assemblée, le député socialiste Laurent Baumel a défendu cette décision du PS d’épargner le gouvernement de Sébastien Lecornu, à rebours du reste de la gauche. Ce n’est “en aucun cas un pacte de non-censure” pour l’avenir, a-t-il averti. “La pérennité même de votre gouvernement” est suspendue à l’effectivité de la suspension de la réforme des retraites promise, et “il n’y aura pas d’entourloupe ou de ruse procédurale”, a-t-il aussi prévenu.Chacune leur tour, Aurélie Trouvé (LFI) puis la cheffe des députés RN, Marine Le Pen, ont tenté de convaincre les possibles hésitants, notamment chez LR et au PS, de voter leur motion respective. La suspension de la réforme des retraites, “n’est qu’un leurre, une tromperie, un subterfuge”, a dénoncé la députée insoumise en lançant les débats. “Vous tous qui avez été élus pour abroger la réforme des retraites, allez-vous vraiment vous laisser abuser par cette aumône en trompe-l’oeil ?”, a-t-elle lancé aux socialistes, alors que doutes émergent sur le fait qu’elle soit effectivement votée. Marine Le Pen a elle tancé la droite, qui après “après avoir fait campagne pendant des mois sur son refus de se dissoudre dans le macronisme”, a préféré “se dissoudre dans le socialisme”. Elle a attaqué les “partis unis par la terreur de l’élection” et a dit attendre la dissolution “avec une impatience croissante”.- “Moment de vérité” – En réponse, Sébastien Lecornu, dont le gouvernement a été nommé dimanche, a appelé à “un moment de vérité entre ordre républicain et désordre”, demandant aux censeurs de ne pas “prendre en otage” le budget. Pour donner des gages aux députés, le Premier ministre a renoncé à utiliser l’arme du 49.3 dans les débats budgétaires, permettant habituellement au gouvernement d’imposer son texte.Chez les socialistes, le chef des députés Boris Vallaud avait appelé ses troupes à s’en tenir à la ligne décidée de façon “quasi-unanime”. Mais certains s’inquiètent notamment que la suspension de la réforme des retraites n’aboutisse pas. Celle-ci doit passer par un amendement au projet de loi de financement de la sécurité sociale, ce qui implique que ce texte budgétaire soit adopté, possiblement avec les voix des socialistes, pourtant dans l’opposition.Or, argumentent Insoumis, écologistes et communistes, ce projet de loi comprend des mesures d’économies “inacceptables” comme le gel des prestations sociales ou le doublement des franchises médicales. Les socialistes font “le pari” que celles-ci évolueront lors du débat parlementaire.En cas de censure, le patron du PS Olivier Faure a également fait valoir jeudi que le budget passerait par “une loi spéciale”.Les LR ont eux décidé de ne pas censurer “au nom de l’intérêt national de doter la France d’un budget” malgré des “désaccords importants” selon leur orateur Jean-Didier Berger.Le patron des députés LR, Laurent Wauquiez, avait appelé ses troupes à suivre cette ligne — contrairement à l’eurodéputé François-Xavier Bellamy, proche du chef du parti Bruno Retailleau. – Bataille du budget -Les débats autour du budget, dont le texte a été présenté en Conseil des ministres mardi et qui prévoit un effort d’une trentaine de milliards d’euros, doivent enfin commencer à l’Assemblée la semaine prochaine.La commission des Finances s’en emparera lundi, et il devrait arriver dans l’hémicycle vendredi. La bataille entre une gauche traversée de tensions, un socle commun fracturé et l’extrême droite s’annonce dantesque, dans des délais très contraints.Le socialiste Laurent Baumel a d’ores et déjà appelé M. Lecornu à faire de “nouvelles concessions” sur “la trajectoire financière, sur la justice sociale, sur le pouvoir d’achat” lors des discussions. Même au sein du bloc central, le chef des députés Horizons Paul Christophe, qui a jugé jeudi la suspension de la réforme des retraites “déconnectée de toute réalité démographique et financière” a prévenu: “nous ne voterons pas n’importe quoi. Nous n’avons aucunement l’intention de renier nos valeurs”. 

US judge halts shutdown layoffs as Trump threatens 10,000 jobs

A US judge ordered President Donald Trump on Wednesday to pause the planned mass layoffs of federal workers during the government shutdown after the White House said it expected to fire 10,000 workers.The shutdown has ground into its third week, with Congress deadlocked in a clash over spending and Trump following through on his threats to take a hatchet to the workforce in response.District Judge Susan Illston issued the temporary restraining order in San Francisco in response to a suit filed by labor unions claiming the layoffs are illegal and “not ordinary.”Some employees also did not know they were being laid off because notices were sent to government email accounts which cannot be accessed during a shutdown, according to the seven-page order seen by AFP.Illston said unions had been hearing from pregnant members or other workers who “worry their health insurance will be impacted,” but there is no one in the office to answer questions.”Those who have received reductions in force notices cannot prepare for their upcoming terminations because the human resources staff who would typically assist them are also furloughed,” she added.Trump’s budget chief Russ Vought had been asked in an interview earlier how many layoffs there would be.”I think we’ll probably end up being north of 10,000,” he said. “We want to be very aggressive where we can be in shuttering the bureaucracy.”Court documents filed by the Department of Justice showed that more than 4,000 employees were fired on Friday, with the US Treasury and health, education and housing departments hardest hit.Vought said that was a “snapshot” and that there would be more.The court drama came as the Senate failed for the ninth time to approve a House-passed funding bill championed by Republicans — ensuring that an estimated 1.4 million federal employees remain at their posts unpaid or on enforced leave, also without pay.- ‘Playing politics’ -Trump has warned that continued refusal by Democrats to support the resolution would result in mass layoffs targeting workers deemed to be aligned with the opposition party.But with lawmakers bracing for a historically long standoff, Trump has also sought to deflect blame from Republicans by diverting funds to popular causes such as the military and young mothers.House Speaker Mike Johnson told reporters on Monday that Congress was “barreling toward one of the longest shutdowns in American history.” Johnson has kept the House floor shuttered since mid-September, and is holding firm in refusing to move a standalone bill to pay troops throughout the shutdown.But Trump directed Defense Secretary Pete Hegseth to use any funds available to avoid 1.3 million military personnel missing their first paychecks on Wednesday.Many Democrats consider the move illegal, although most have balked at embarking on what would be a politically unpopular lawsuit to block it.While the military are guaranteed to get their paychecks on time, the Capitol Police — the force charged with securing Congress — missed their full paycheck for the first time on Tuesday.At least 688,000 federal employees are working without pay, according to the latest estimate provided to AFP by the independent Bipartisan Policy Center think tank.A further 706,000-plus employees are furloughed — meaning on enforced leave with no pay — while 832,000 employees are showing up for work and still getting their checks.The White House has not announced how it is going to handle the next military payday, due on October 31.”The administration should reverse every single firing from last week and should stop playing politics with people’s livelihoods,” top Senate Democrat Chuck Schumer said in a floor speech. “They should instead get serious about negotiation with Congress to end this shutdown at once.”

Impeached president confirms he fled Madagascar as new leader claims ‘not a coup’Thu, 16 Oct 2025 09:59:03 GMT

Madagascar’s new leader insisted Thursday that a military power grab after the army joined weeks of demonstrations was “not a coup”, as ousted President Andry Rajoelina confirmed he had fled the country days earlier.Colonel Michael Randrianirina from the mutinied CAPSAT military contingent has faced international criticism after the army announced Tuesday it had taken power …

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Prince Andrew accuser says he acted as if sex with her was ‘birthright’: memoir

Britain’s Prince Andrew behaved as if having sex with the then 17-year-old Virginia Giuffre was his “birthright”, according to allegations in her posthumous memoir.In “Nobody’s Girl: A Memoir of Surviving Abuse and Fighting for Justice”, Giuffre — the woman at the centre of the Jeffrey Epstein scandal — said she had sex with Andrew on three separate occasions including when she was under 18.Giuffre rose to public prominence after alleging that the disgraced US financier Epstein used her as a sex slave and that Andrew had assaulted her.Andrew, 65, has repeatedly denied Giuffre’s accusations and avoided trial by paying a multimillion-dollar settlement.In extracts published by The Guardian, Giuffre describes meeting the prince, a younger brother of King Charles III, in London in March 2001.Andrew was allegedly challenged to guess her age which he did correctly adding by way of explanation: “My daughters are just a little younger than you.”Giuffre and Andrew later went to the Tramp nightclub in central London where she said he was “sort of a bumbling dancer, and I remember he sweated profusely”.They later returned to the London house of Ghislaine Maxwell, Epstein’s associate and former girlfriend, where they had sex, Giuffre alleged in the book due out next week.”He was friendly enough, but still entitled -– as if he believed having sex with me was his birthright,” she wrote.The following morning Maxwell allegedly told her: “You did well. The prince had fun.”She said Epstein paid her $15,000 dollars for “servicing the man the tabloids called Randy Andy”.Epstein took his own life in a New York jail in 2019 while awaiting trial for trafficking underage girls for sex.Maxwell, 63, was sentenced in the US in 2022 to 20 years in prison for recruiting underage girls for Epstein.Giuffre, a US and Australian citizen, died at her farm in Western Australia on April 25.Andrew’s association with Epstein has left his reputation in tatters and made him a source of embarrassment to the king.In a devastating 2019 TV interview Andrew — once feted as a handsome war hero who served as a helicopter pilot in the Falklands War — denied ever meeting Giuffre and defended his friendship with Epstein.He now makes increasingly rare appearances and his popularity rating has plummeted to an all-time low, an ignominious fall for the prince, thought to have been the late Queen Elizabeth II’s favourite child.The book is due to be published by Knopf on October 21.

Kenya flights suspended as body of revered politician Odinga repatriatedThu, 16 Oct 2025 09:48:37 GMT

Huge crowds gathered across Kenya on Thursday as the body of revered opposition leader Raila Odinga was repatriated from India, forcing the authorities to suspend flights and change memorial plans.As a large number of mourners gathered at Jomo Kenyatta International Airport to greet the coffin, the civil aviation authority announced that it had temporarily suspended …

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L’affaire Jubillar, “chronique d’un désastre judiciaire annoncé”, fustige la défense

L’affaire Jubillar, c’est “la chronique d’un désastre judiciaire annoncé”, a fustigé jeudi l’avocate Emmanuelle Franck, première des deux défenseurs de l’accusé à prendre la parole devant la cour d’assises du Tarn, dont le verdict est attendu vendredi.Mercredi soir, le ministère public a requis 30 ans de réclusion criminelle et le retrait de l’autorité parentale contre Cédric Jubillar, jugé depuis le 22 septembre pour le meurtre de Delphine, son épouse et mère de leurs deux enfants, disparue dans la nuit du 15 au 16 décembre 2020 à Cagnac-les-Mines, un village du Tarn.”Nous sommes les dernières voix d’un homme écrasé”, a estimé l’avocate, affirmant faire “face à une armée d’accusateurs, dans une ambiance de chasse à courre”. Cédric Jubillar “ne sait plus comment dire qu’il est innocent, il peut dire ce qu’il veut, personne n’a envie de le croire. Il a mis depuis quatre ans le pied dans une machine à broyer où la mauvaise foi côtoie parfois l’incompétence”, a-t-elle affirmé.A la barre, Me Franck a dénoncé le travail des enquêteurs de la gendarmerie qui n’ont “pas de preuves”, des juges qui ont instruit le dossier “à charge”. Elle a aussi regretté une deuxième partie de procès au cours de laquelle la défense a dû faire face à des “ressentis”.”Comment combattre des ressentis ?”, s’est-elle interrogée alors que les témoignages ont parlé de “Cédric Jubillar le sale type, le mauvais type”: “on a fait de celui-ci un criminel pour mieux expliquer qu’il a commis un crime”, a-t-elle déploré.- “Ca colle pas” -L’avocate a ensuite repris les faits, heure par heure, l’attitude de Cédric Jubillar, le cri d’effroi entendu par les voisines, la téléphonie, jetant le discrédit sur l’enquête, tentant d’introduire le doute dans l’esprit des jurés en ponctuant ses affirmations d’un “ça colle pas”.”On fabule, on raconte une histoire, on essaie de faire rentrer des ronds dans des carrés”, accuse-t-elle. “C’est bien beau de parler d’indices mais encore faut-il qu’ils s’imbriquent entre eux”.Dans son box vitré, vêtu de noir, le peintre-plaquiste de 38 ans assiste, concentré et impassible, à la plaidoirie, affalé en avant, menton appuyé sur ses bras croisés, ou adossé à sa chaise, les mains jointes.Au sujet des enfants du couple Jubillar, Louis, 11 ans, et Elyah, 6 ans, Me Franck regrette l’utilisation par l’accusation de la parole de l’aîné, âgé de 6 ans au moment de la disparition de sa mère. “Derrière ce procès spectacle, il y a deux invisibles qui attendent, deux orphelins de mère”, à qui on dit “que papa a tué maman”, “il faut être sûr et certain pour leur dire cela, et peut-on l’être?”, a questionné l’avocate.Au fil des audiences, des contradictions sont apparues dans les déclarations de Cédric Jubillar, pointées par les avocats généraux et les avocats des parties civiles, qui ont successivement pris la parole cette dernière semaine du procès.”Tu n’as pas toujours été brillant dans tes déclarations”, admet Me Franck en se tournant vers son client.- “Le crime parfait attendra” -Mercredi, dans son réquisitoire, l’avocat général Pierre Aurignac a déclaré: “Le crime parfait attendra, le crime parfait, ce n’est pas le crime sans cadavre mais celui pour lequel on n’est pas condamné, et vous allez être condamné M. Jubillar”.Selon M. Aurignac, “pour défendre l’idée de l’innocence de M. Jubillar, il faut écarter quatre experts, faire taire 19 témoins et tuer le chien pisteur” qui a permis d’établir que l’infirmière de 33 ans n’a pas quitté son domicile vivante, la nuit de la disparition. “On a beau prendre ce dossier par tous les bouts, on arrive au même résultat: la culpabilité”, a-t-il martelé.Il a critiqué une défense “tombée dans les travers” qu’elle dénonçait, à savoir un “battage médiatique féroce”, tout comme son obsession d’un “complot” contre leur client.Durant les quatre semaines du procès, les parties civiles ont espéré en vain des aveux dans cette affaire sans corps, ni scène de crime, ni preuves irréfutables.Vendredi, la parole sera donnée une dernière fois à l’accusé, avant que les trois magistrats et les six jurés se retirent pour délibérer et ensuite rendre leur verdict.