BBC accepts sanction over ‘misleading’ Gaza documentary

The UK media watchdog on Friday sanctioned the BBC for a Gaza documentary whose child narrator was later revealed to be the son of Hamas’s former deputy minister of agriculture, branding it “materially misleading”.The broadcaster earlier this year apologised for “serious flaws” in the making of “Gaza: How To Survive A Warzone” and pulled it from its platform after a backlash.The broadcaster said it shared the blame for the “unacceptable” flaws with UK production company Hoyo Films.Ofcom said the programme had been a serious breach of its broadcasting code because of the “potential to erode the very high levels of trust audiences would have expected in a BBC factual programme about the Israel-Gaza war.””This is particularly pertinent in the case of a public service broadcaster such as the BBC,” it added.As a sanction, the BBC will be required to broadcast a statement of the watchdog’s findings at a later date, it said.The BBC said it accepted Ofcom’s ruling because the documentary, initially broadcast on February 17, had failed to disclose the relationship.”We have apologised for this and we accept Ofcom’s decision in full,” it said.”We will comply with the sanction as soon as the date and wording are finalised,” it added.

Publicité ciblée: le Conseil d’État confirme l’amende de la Cnil à Apple

Le Conseil d’État a rejeté mercredi le recours d’Apple concernant une amende de 8 millions d’euros infligée fin 2022 par la Cnil pour avoir imposé des traceurs publicitaires à ses utilisateurs en France, sans consentement explicite de ceux-ci.Dans sa décision, consultée par l’AFP, la haute juridiction a estimé que la sanction du gendarme français des données personnelles n’était pas disproportionnée, considérant le nombre de personnes concernées (27,5 millions entre juillet 2020 et juillet 2021) ainsi que le chiffre d’affaires mondial du géant de la tech.Elle a également affirmé que les activités en France d’Apple justifiait la compétence de la Cnil dans ce domaine, et que l’entreprise avait bénéficié d’un temps suffisant pour préparer sa défense.Sollicité vendredi par l’AFP, Apple a répondu rester “fidèles à (ses) principes pour protéger la vie privée des utilisateurs face aux entreprises consommatrices de données personnelles”.”Nous considérons (…) qu’un utilisateur devrait toujours avoir la possibilité de choisir s’il souhaite partager ses données et avec qui”, a ajouté l’entreprise.L’enquête initiale avait été lancée par la Cnil après une plainte de l’association France Digitale, qui fédère les start-up françaises et notamment des développeurs de logiciels distribués via le magasin d’applications du groupe américain.Le montant relativement limité de l’amende s’explique par le fait qu’Apple s’est mis en conformité rapidement pendant l’enquête de la Cnil, qui a eu lieu à la mi-2021.De plus, ces identifiants publicitaires ne permettaient à Apple de cibler les internautes que lorsqu’ils naviguaient sur le magasin d’applications mobiles (App Store), donc dans un champ bien borné. Enfin, l’autorité n’a pu sanctionner que les manquements en France. En mars dernier, Apple avait également écopé d’une amende de l’Autorité de la concurrence de 150 millions d’euros pour abus de position dominante dans le cadre du ciblage publicitaire sur ses appareils.

Publicité ciblée: le Conseil d’État confirme l’amende de la Cnil à Apple

Le Conseil d’État a rejeté mercredi le recours d’Apple concernant une amende de 8 millions d’euros infligée fin 2022 par la Cnil pour avoir imposé des traceurs publicitaires à ses utilisateurs en France, sans consentement explicite de ceux-ci.Dans sa décision, consultée par l’AFP, la haute juridiction a estimé que la sanction du gendarme français des données personnelles n’était pas disproportionnée, considérant le nombre de personnes concernées (27,5 millions entre juillet 2020 et juillet 2021) ainsi que le chiffre d’affaires mondial du géant de la tech.Elle a également affirmé que les activités en France d’Apple justifiait la compétence de la Cnil dans ce domaine, et que l’entreprise avait bénéficié d’un temps suffisant pour préparer sa défense.Sollicité vendredi par l’AFP, Apple a répondu rester “fidèles à (ses) principes pour protéger la vie privée des utilisateurs face aux entreprises consommatrices de données personnelles”.”Nous considérons (…) qu’un utilisateur devrait toujours avoir la possibilité de choisir s’il souhaite partager ses données et avec qui”, a ajouté l’entreprise.L’enquête initiale avait été lancée par la Cnil après une plainte de l’association France Digitale, qui fédère les start-up françaises et notamment des développeurs de logiciels distribués via le magasin d’applications du groupe américain.Le montant relativement limité de l’amende s’explique par le fait qu’Apple s’est mis en conformité rapidement pendant l’enquête de la Cnil, qui a eu lieu à la mi-2021.De plus, ces identifiants publicitaires ne permettaient à Apple de cibler les internautes que lorsqu’ils naviguaient sur le magasin d’applications mobiles (App Store), donc dans un champ bien borné. Enfin, l’autorité n’a pu sanctionner que les manquements en France. En mars dernier, Apple avait également écopé d’une amende de l’Autorité de la concurrence de 150 millions d’euros pour abus de position dominante dans le cadre du ciblage publicitaire sur ses appareils.

Le Secours catholique annonce le premier plan social de son histoire

Le Secours catholique a annoncé vendredi avoir présenté aux représentants de ses salariés un projet de plan social prévoyant la suppression de 130 postes en raison de “contraintes financières”, une première pour l’association caritative. Ce “projet de transformation”, présenté au comité social et économique jeudi, vise “à mettre en place une organisation sobre, en proximité des actions de terrain”, indique la direction dans un communiqué.Elle ajoute avoir engagé des discussions sur un plan de sauvegarde de l’emploi qui “comprendrait notamment une phase préalable de départs volontaires et porterait le nombre de postes en CDI de 932 à 802”, soit 130 postes en moins. Il s’agit de “sortir d’une zone de risque à moyen terme” à l’heure où, “comme de nombreuses associations de solidarité, le Secours Catholique est confronté à des contraintes financières auxquelles il est de plus en plus compliqué de faire face”, peut-on encore lire. Créé en 1946, le Secours catholique, qui vient en aide aux populations les plus précaires, compte à l’heure actuelle 932 salariés et près de 60.000 bénévoles. Dans un rapport publié en janvier, la Cour des comptes avait estimé que les déficits en 2023, la projection de déficit pour 2024 et l’augmentation des charges immobilières devaient “inciter” l’association “à rechercher les voies d’un retour à l’équilibre financier”.L’annonce de ce plan social survient dans un contexte économique compliqué pour les associations qui ont tiré le 11 octobre la sonnette d’alarme pour alerter sur leur situation budgétaire et réclamer un soutien de l’État. 

Dozens injured at state funeral for Kenya opposition leader OdingaFri, 17 Oct 2025 11:12:29 GMT

Dozens were injured, many seriously, at the state funeral of Kenya’s revered opposition leader Raila Odinga on Friday as crowds rushed to see his coffin, AFP journalists saw. It came a day after at least three people were killed when security forces opened fire to disperse a crowd that had gathered to see Odinga’s body in …

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Water salinity hurting farmers, livestock in Iraq

Iraqi farmer Umm Ali has watched her poultry die as salinity levels in the country’s south hit record highs, rendering already scarce water unfit for human consumption and killing livestock.”We used to drink, wash and cook with water from the river, but now it’s hurting us,” said Umm Ali, 40, who lives in the once watery Al-Mashab marshes of southern Iraq’s Basra province.This season alone, she said brackish water has killed dozens of her ducks and 15 chickens.”I cried and grieved, I felt as if all my hard work had been wasted,” said the widowed mother of three.Iraq, a country heavily impacted by climate change, has been ravaged for years by drought and low rainfall.Declining freshwater flows have raised salt and pollution levels, particularly further south where the Tigris and Euphrates rivers converge before spilling into the Gulf.”We haven’t seen such high levels of salinity in 89 years,” Iraq’s water ministry spokesman Khaled Shamal said.Last month, salinity levels recorded in central Basra province soared to around 29,000 parts per million compared to 2,600 ppm last year, according to a report from the ministry.Freshwater should contain less than 1,000 ppm of dissolved salts, while ocean water salinity levels are around 35,000 ppm, according to the US Geological Survey.- Dead buffalo -The Tigris and Euphrates converge at Basra’s Shatt al-Arab waterway “laden with pollutants accumulated along their course”, said Hasan al-Khateeb, an expert from Iraq’s University of Kufa.In recent weeks, the Euphrates has seen its lowest water levels in decades, and Iraq’s artificial lake reserves are at their lowest in recent history.Khateeb warned that the Shatt al-Arab’s water levels had plummeted and it was failing to hold back the seawater from the Gulf.Farmer Zulaykha Hashem, 60, said the water in the area had become very brackish this year, adding that she has to wait for the situation to improve in order to irrigate her crop of pomegranate trees, figs and berries.According to the United Nations, almost a quarter of women in Basra and nearby provinces work in agriculture.”We cannot even leave. Where would we go?” Hashem said, in a country where farmers facing drought and rising salinity often find themselves trapped in a cycle of water crisis. The UN’s International Organization for Migration, which documents climate-induced displacement in Iraq, has warned that increased water salinity is destroying palm groves, citrus trees and other crops.As of October last year, some 170,000 people were displaced in central and southern Iraq due to climate-related factors, according to the agency. Water scarcity pushed Maryam Salman, who is in her 30s, to leave nearby Missan province for Basra several years ago, hoping her buffalo could enjoy the Shatt al-Arab.Near her house, AFP saw three buffalo skeletons on the parched land, with locals saying the animals had died due to lack of water.Rising salinity is not the only problem now, said Salman, a mother of three children.=”Water is not available… neither summer nor winter,” she said.- Fewer fish -The Tigris and Euphrates originate in Turkey, and Iraqi authorities have repeatedly blamed dams across the border for significantly reducing their flows.Iraq receives less than 35 percent of its allocated share of water from the two rivers, according to authorities, in a country with inefficient water management systems after decades of war and neglect.Khateeb from the University of Kufa said that in addition to claiming its share of the rivers, Iraq must pursue desalination projects in the Shatt al-Arab.In July, the government announced a desalination project in Basra with a capacity of one million cubic meters per day.Local residents said the brackish water was also impacting fish stocks. Hamdiyah Mehdi said her husband, who is a fisherman, returns home empty-handed more frequently.She blamed the Shatt al-Arab’s “murky and salty water” for his short temper after long days without a catch, and for her children’s persistent rash.”It has been tough,” said Mehdi, 52, noting the emotional toll on the family as well as on their health and livelihood.”We take our frustrations out on each other.”

Afghanistan-Pakistan ceasefire enters second day

A ceasefire between Afghanistan and Pakistan moved into its second day on Friday, following deadly violence between the neighbouring countries.Dozens of soldiers on both sides have been killed since the clashes began nearly a week ago, with explosions also heard in the Afghan capital Kabul.A truce was announced Wednesday, with Pakistan indicating that it would last until Friday evening — without saying what would happen afterwards.Pakistan Prime Minister Shehbaz Sharif said Thursday that for the truce to endure, the ball was “in the court” of the Taliban government.”If in 48 hours they want to resolve the issues and address our genuine demands, then we are ready for them,” Sharif told his cabinet.Residents near the border said the ceasefire appeared to be holding.”Everything is fine, everything is open,” said Nani, 35, a resident of the Afghan frontier town of Spin Boldak, where the fighting had been particularly intense.”I’m not afraid, but everyone sees things differently. Some say they’re going to send their children elsewhere as the situation isn’t good, but I don’t think anything will happen,” said Nani, who did not give a surname.Afghanistan said on Wednesday that the truce would endure unless Pakistan violated it, without confirming that the deal had a 48-hour limit.- ‘Mixed feelings’ -Initial explosions, which the Taliban blamed on Pakistan, struck Kabul last week.Taliban authorities then launched an offensive along the border, prompting a deadly response from Islamabad in the days before the ceasefire.The United Nations Assistance Mission in Afghanistan said 37 people were killed and 425 wounded on the Afghan side of the border, calling on both sides to bring a lasting end to hostilities.An AFP correspondent in Spin Boldak said they saw hundreds of people attending funerals on Thursday, including for children whose bodies were wrapped in white shrouds.”People have mixed feelings,” Nematullah, 42, told AFP. “They fear that the fighting will resume, but they still leave their homes and go about their business.”Calm has also returned to Kabul, where new explosions rang out shortly before the ceasefire announcement on Wednesday.Nobody claimed responsibility for the blasts, but Pakistani security sources said they had undertaken “precision strikes” against an armed group in the Afghan capital.Sources in Afghanistan suggested that Pakistan was behind at least one of the blasts and that they were air strikes, but the government has not formally accused Islamabad.The initial explosions took place as the Taliban’s foreign minister was beginning an unprecedented visit to India, Pakistan’s historic foe.On Thursday, Sharif suggested that New Delhi was involved in the confrontation, without giving details.Security issues have been at the heart of resurgent tensions between Afghanistan and Pakistan.Pakistan, facing a rise in attacks on its security forces, has accused Afghanistan of harbouring terrorist groups, a claim that Kabul denies.

Dermatose: la France suspend pour 15 jours ses exportations de bovins

“Coup de massue” pour les éleveurs: face à la propagation de la dermatose nodulaire contagieuse dans les troupeaux bovins de trois régions françaises, le gouvernement a décidé de suspendre les exportations d’animaux vivants pendant quinze jours.En 2024, la France a exporté 940.000 broutards, des bovins de quatre à quinze mois destinés à produire de la viande, et 356.000 veaux de moins de deux mois de type laitier, selon les chiffres de l’Institut de l’élevage.Ces animaux partent principalement en Espagne et en Italie pour être engraissés, pour parfois revenir en France à l’abattage. Ces deux pays frontaliers ont aussi enregistré des cas de dermatose nodulaire contagieuse, l’Italie quelques jours avant l’arrivée de la maladie en France en juin et l’Espagne plus récemment.”Pour 15 jours, nous fermons les marchés à l’export. Il n’y aura pas de sortie d’animaux en dehors du territoire national”, a confirmé la ministre de l’Agriculture Annie Genevard en déplacement dans le Jura, où trois foyers ont été détectés ces dernières semaines.La ministre a réuni dans la matinée un “Parlement du sanitaire”, qui rassemble les acteurs concernés (éleveurs, vétérinaires, spécialistes, autorités…), au cours duquel elle a également annoncé un renforcement des restrictions de mouvement des animaux dans les zones réglementées autour des foyers et un “renforcement draconien des contrôles”.”Les mouvements illégaux seront sévèrement sanctionnés”, a-t-elle déclaré dans son discours d’arrivée dans le Jura, après avoir dit que les éleveurs qui refuseraient la vaccination se la verraient imposée.”C’est un coup de massue pour les éleveurs”, a dénoncé Sylvie Colas, chargée des dossiers sanitaires à la Confédération paysanne, troisième syndicat agricole qui demande un changement de stratégie au gouvernement.L’administration a expliqué lors de la réunion matinale prendre les devants avant une réunion mardi à Bruxelles, qui pourrait aboutir sur une décision encore plus stricte de restriction d’exports pour la France, raconte Sylvie Colas, ajoutant que les rassemblements festifs d’animaux sont interdits partout en France et que les marchés à bestiaux des régions touchées sont également fermés pour deux semaines.Selon elle, l’Italie et l’Espagne sont disposées à importer des jeunes bovins vaccinés. Le syndicat appelle donc à la vaccination de l’ensemble du cheptel français et pas seulement dans les zones réglementées. Le gouvernement lui a opposé une fin de non-recevoir et a indiqué avoir commandé 800.000 vaccins à 1,40 euro l’unité (soit 1,12 million d’euros) pour un cheptel français de 15,7 millions de têtes.

Voters in Gbagbo ex-bastion disillusioned with Ivory Coast politicsFri, 17 Oct 2025 10:35:04 GMT

Taxi driver Alain is so disillusioned with Ivory Coast’s politicians that he and other residents of Abidjan’s Yopougon district plan to ignore next week’s presidential election. The densely populated district — a strategic target for political parties — was once a bastion of ex-president Laurent Gbagbo’s but fell to the current ruling party 14 years ago. Gbagbo …

Voters in Gbagbo ex-bastion disillusioned with Ivory Coast politicsFri, 17 Oct 2025 10:35:04 GMT Read More »