Senegal unveils report into WWII massacre by French colonial armyThu, 16 Oct 2025 19:52:35 GMT

Investigations into one of the worst massacres in France’s colonial history took a step forward on Thursday when researchers presented an official report to Senegalese President Bassirou Diomaye Faye.The document, whose contents have not yet been made public, aims to clarify events in 1944 when the French colonial army in Senegal massacred African troops who …

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Marchés financiers: Merz appelle à la création d’une Bourse européenne

Le chancelier allemand Friedrich Merz a appelé jeudi à la création d’une place financière européenne pour concurrencer ses rivales américaines et asiatiques, afin d’éviter la fuite des capitaux des entreprises du continent, en perte de compétitivité.Lors d’un discours devant les députés allemands avant un sommet européen la semaine prochaine, le chancelier a répété la nécessité d’unifier les marchés de capitaux de l’UE.Ce véritable serpent de mer des sommets des 27 prévoit d’harmoniser les règlementations des différentes bourses européennes, pour accélérer les flux financiers au sein de l’UE et faciliter les investissements.”Nos entreprises ont besoin d’un marché des capitaux suffisamment large et profond pour pouvoir se financer mieux, et surtout, plus rapidement” a déclaré le dirigeant.Berlin et Bruxelles ont donc “besoin d’une Bourse européenne pour que des entreprises prospères comme, par exemple BioNTech en Allemagne, n’aient pas à aller à la Bourse de New York”, a-t-il ajouté.Le laboratoire connu pour son vaccin contre le Covid-19 fait partie des entreprises du Nasdaq depuis 2019.D’autres entreprises allemandes ont aussi tourné le dos à la bourse de Francfort pour celle de New York, comme la célèbre marque de sandales Birkenstock ou le géant gazier Linde.Ce dernier avait quitté le Dax en 2023, dénonçant les règles boursières allemandes qui bridaient ses performances, ce qui avait été un coup de massue pour la place de Francfort.”Euronext est prêt à contribuer au prochain niveau de consolidation des marchés en Europe pour créer un pool de liquidité plus profond afin de financer la croissance des entreprises européennes”, a réagi le patron de l’opérateur de places boursières européennes Stéphane Boujnah dans une déclaration transmise à l’AFP.Euronext, qui gère les Bourses de Paris, Milan, Amsterdam, Bruxelles, Dublin, Lisbonne et Oslo, “a toujours été guidé par la forte conviction qu’en Europe, il est toujours possible de réussir ensemble plutôt que d’échouer séparément”, a-t-il ajouté.Ce n’est que grâce à une bourse européenne “que la création de valeur issue de la recherche allemande et européenne restera en Europe”, selon Friedrich Merz.Enlisée dans la stagnation, l’Union Européenne et ses entreprises phare, notamment allemandes, sont menacées de décrochage économique et technologique vis à vis de la Chine et des Etats-Unis.Le risque est que l’Europe devienne un “jouet pour les grands pôles économiques en Asie et en Amérique”, a aussi déclaré le chancelier.A la pointe de cette consolidation financière européenne se trouve Euronext, l’opérateur de la bourse de Paris, qui a racheté plusieurs places (Oslo, Milan) et lorgne désormais sur celle d’Athènes.Plusieurs tentatives de fusion avec son grand concurrent, l’allemand Deutsche Börse, ont échoué par le passé.

Marchés financiers: Merz appelle à la création d’une Bourse européenne

Le chancelier allemand Friedrich Merz a appelé jeudi à la création d’une place financière européenne pour concurrencer ses rivales américaines et asiatiques, afin d’éviter la fuite des capitaux des entreprises du continent, en perte de compétitivité.Lors d’un discours devant les députés allemands avant un sommet européen la semaine prochaine, le chancelier a répété la nécessité d’unifier les marchés de capitaux de l’UE.Ce véritable serpent de mer des sommets des 27 prévoit d’harmoniser les règlementations des différentes bourses européennes, pour accélérer les flux financiers au sein de l’UE et faciliter les investissements.”Nos entreprises ont besoin d’un marché des capitaux suffisamment large et profond pour pouvoir se financer mieux, et surtout, plus rapidement” a déclaré le dirigeant.Berlin et Bruxelles ont donc “besoin d’une Bourse européenne pour que des entreprises prospères comme, par exemple BioNTech en Allemagne, n’aient pas à aller à la Bourse de New York”, a-t-il ajouté.Le laboratoire connu pour son vaccin contre le Covid-19 fait partie des entreprises du Nasdaq depuis 2019.D’autres entreprises allemandes ont aussi tourné le dos à la bourse de Francfort pour celle de New York, comme la célèbre marque de sandales Birkenstock ou le géant gazier Linde.Ce dernier avait quitté le Dax en 2023, dénonçant les règles boursières allemandes qui bridaient ses performances, ce qui avait été un coup de massue pour la place de Francfort.”Euronext est prêt à contribuer au prochain niveau de consolidation des marchés en Europe pour créer un pool de liquidité plus profond afin de financer la croissance des entreprises européennes”, a réagi le patron de l’opérateur de places boursières européennes Stéphane Boujnah dans une déclaration transmise à l’AFP.Euronext, qui gère les Bourses de Paris, Milan, Amsterdam, Bruxelles, Dublin, Lisbonne et Oslo, “a toujours été guidé par la forte conviction qu’en Europe, il est toujours possible de réussir ensemble plutôt que d’échouer séparément”, a-t-il ajouté.Ce n’est que grâce à une bourse européenne “que la création de valeur issue de la recherche allemande et européenne restera en Europe”, selon Friedrich Merz.Enlisée dans la stagnation, l’Union Européenne et ses entreprises phare, notamment allemandes, sont menacées de décrochage économique et technologique vis à vis de la Chine et des Etats-Unis.Le risque est que l’Europe devienne un “jouet pour les grands pôles économiques en Asie et en Amérique”, a aussi déclaré le chancelier.A la pointe de cette consolidation financière européenne se trouve Euronext, l’opérateur de la bourse de Paris, qui a racheté plusieurs places (Oslo, Milan) et lorgne désormais sur celle d’Athènes.Plusieurs tentatives de fusion avec son grand concurrent, l’allemand Deutsche Börse, ont échoué par le passé.

Plan social à Auchan: un hypermarché de La Défense temporairement bloqué par la CGT

L’hypermarché Auchan de La Défense, quartier d’affaires à l’ouest de Paris, a été bloqué toute la journée jeudi par des militants CGT, dispersés dans la soirée sans interpellation, a-t-on appris auprès d’une source policière.Les militants de la CGT Commerce et services s’opposent à un plan social prévoyant 2.400 suppressions de postes. Ils étaient 200 manifestants, selon la préfecture des Hauts-de-Seine.Ils bloquaient l’accès à l’hypermaché, a constaté un journaliste de l’AFP et entendaient initialement rester sur place pour “24 heures minimum”, “jusqu’à demain 10H”.”On veut que le groupe Mulliez”, propriétaire d’Auchan, “arrête ses licenciements”, a dénoncé auprès de l’AFP le secrétaire général de la fédération, Amar Lagha.La CGT Commerce et services demande également l’abrogation de la réforme des retraites de 2023, plutôt que sa suspension annoncée par Sébastien Lecornu, répondant à une demande du PS qui le menaçait de censure.La direction d’Auchan a dénoncé auprès de l’AFP “une action illégale”, car elle n’est pas l’oeuvre de salariés élus d’Auchan.”J’invite Auchan à saisir la justice”, a rétorqué Amar Lagha. “Il y a énormément de travailleurs d’Auchan qui sont là”, a-t-il affirmé.Le plan social prévoyant près de 2.400 suppressions d’emplois chez Auchan a été invalidé fin septembre par le tribunal administratif de Lille, une décision dont le distributeur a annoncé faire appel.Cette décision, si elle devenait définitive, ouvrirait a minima la voie à des indemnisations supplémentaires devant les prud’hommes pour les salariés qui les saisiraient, alors que trois quarts de ceux concernés par les suppressions de postes ont déjà quitté l’entreprise.La CGT demande à ce que la situation de l’ensemble des entreprises de la famille Mulliez, dont certaines, comme Decathlon ou Kiabi, présentant une excellente santé économique, soit prise en compte lors d’un plan social. Un argument repris par le jugement du tribunal de Lille.”On ne peut pas faire un plan social alors que Decathlon engrange 1 milliard de bénéfice (787 millions d’euros en 2024)”, dénonce Roger, employé de logistique à Auchan depuis trente ans et syndiqué CGT, qui n’a pas souhaité donner son nom de famille.La CGT Commerce et services, qui appelait à un mouvement de grève nationale dans le secteur ce jeudi, a évoqué des actions dans d’autres supermarchés, dont un magasin Carrefour à Montélimar (Drôme), un Aldi à Paris et un Super U à Bihorel (Seine-Maritime).

Espagne: l’OPA hostile de la banque BBVA sur sa concurrente Sabadell a échoué

L’offre publique d’achat (OPA) hostile de la banque espagnole BBVA sur sa concurrente Sabadell, destinée à créer un mastodonte du secteur en Europe, a échoué, a déclaré jeudi soir le gendarme boursier espagnol, dont l’annonce était initialement attendue vendredi.Ce dossier brûlant était suivi de près depuis son annonce en mai 2024 à Madrid, où le gouvernement du Premier ministre socialiste Pedro Sánchez s’était montré particulièrement frileux vis-à-vis de l’opération, dont il craignait qu’elle n’aboutisse à réduire la concurrence.L’OPA a reçu un niveau d’acceptation représentant 25,33% du capital de Sabadell et “devient (ainsi) caduque”, a indiqué dans un communiqué la Commission nationale du marché des valeurs (CNMV).Ce résultat en-deça des 50%, et même des 30% qui lui aurait permis de lancer éventuellement une seconde OPA, est un revers important et inattendu pour BBVA, deuxième banque d’Espagne et qui avait tout tenté ces dernières semaines pour convaincre les multiples actionnaires de Sabadell, quatrième établissement bancaire national, d’accepter l’OPA.Le 22 septembre, la banque dont le siège est situé à Bilbao dans le Pays basque (nord), avait relevé de 10% son offre initiale, valorisant ainsi Sabadell à environ 17 milliards d’euros.BBVA ambitionnait de créer un géant bancaire capable de rivaliser avec les mastodontes tels que Santander (première banque en Espagne), mais aussi HSBC et BNP Paribas. Dans la foulée de l’annonce de la CNMV, BBVA a publié un communiqué visant à rassurer ses actionnaires et le marché, qui pourrait réagir vendredi dès l’ouverture de la bourse à Madrid.”Nous regardons le futur avec confiance et enthousiasme”, a assuré le président de BBVA Carlos Torres Vila, cité dans ce communiqué, promettant un dividende “historique” aux actionnaires dès le 7 novembre prochain “pour un total de 1,8 milliard d’euros” et un rachat d’actions massif à la fin du mois “pour environ un milliard d’euros”.De son côté, Sabadell n’a pas encore réagi à l’annonce du résultat par la CNMV intervenue plus tôt que prévu.

Masques et gestion du Covid: pas de faute de l’Etat, dit le Conseil d’Etat, qui rejette des demandes d’indemnisation

Pour les masques comme pour la gestion de la crise Covid-19, le Conseil d’Etat a jugé jeudi que l’Etat avait respecté ses obligations légales, rejetant les demandes d’indemnisation de proches de personnes décédées et annulant ainsi certaines décisions de la cour administrative d’appel.La plus haute juridiction administrative estime que l’État s’était préparé depuis 2004 au risque d’émergence d’un agent respiratoire hautement pathogène et a pris, dès le début et pendant la pandémie, des mesures appropriées au contexte et cohérentes avec les recommandations scientifiques, résume un communiqué.Elle considère donc que les conditions pour indemniser des fautes qui auraient été commises par l’État dans la mise en œuvre de sa mission de préparation ou de réponse aux alertes et crises sanitaires ne sont pas remplies.En appel, la justice administrative avait confirmé la responsabilité de l’Etat dans la constitution d’un stock insuffisant de masques avant l’épidémie de Covid-19 et accepté une indemnisation partielle pour certaines personnes plus exposées au risque de contamination, notamment par leur profession.Elle avait ainsi statué pour indemniser par exemple la famille d’un médecin généraliste. Ce dernier avait reçu à son cabinet en Seine-Saint-Denis, en mars 2020, de nombreux patients, dont certains porteurs du virus, sans avoir pu se procurer de masques. Il est mort du Covid en avril 2020.Mais, en l’espèce, la cour d’appel a méconnu les règles régissant la responsabilité de la puissance publique et commis une erreur de droit, selon le Conseil d’Etat.Pour les masques, il juge qu'”avoir pu constater, a posteriori, que le nombre de masques disponibles au sein du stock national s’était révélé insuffisant pour répondre aux besoins de protection de toute la population ne conduit pas à retenir que l’État aurait manqué à ses obligations”.- Arrêt de la CJR -Car l’Etat avait élaboré une doctrine sur les stocks, tenu compte de l’épisode de grippe A (H1N1) de 2009 et des recommandations du Haut Conseil de la santé publique, et constitué un stock stratégique de 100 millions de masques chirurgicaux destinés aux malades et à leur entourage, expose le Conseil.Et les employeurs privés et publics, y compris de santé et médico-sociaux, sont responsables de la constitution de stocks pour leur personnel, ajoute-t-il.Pendant la crise sanitaire, le Conseil d’Etat a jugé la communication en deux temps des autorités sur le port du masque cohérente avec les recommandations scientifiques et adaptée au contexte de pénurie mondiale.L’instance note que des commandes massives de masques ont été effectuées dès fin février 2020, complétées par des réquisitions, et trouve le choix de distribuer ces masques en priorité aux professionnels et établissements de santé cohérent avec les recommandations scientifiques. Elle ne retient pas davantage de faute de l’Etat sur d’autres griefs liés à la gestion de crise, notamment sur la date du premier confinement ou le dépistage.Le journal Le Monde a pour sa part revélé jeudi le contenu des près de 1.500 pages de l’arrêt rendu en juillet par la Cour de justice de la République sur la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement. Si les magistrats de la CJR avaient prononcé un non-lieu en faveur d’Agnès Buzyn, Edouard Philippe et Olivier Véran, leur arrêt, publié en intégralité sur le site du quotidien, relève de “graves manquements”, selon Le Monde.Selon des extraits cités par le journal, ces magistrats écrivent notamment que “le pays était mal préparé et mal équipé, il a connu une insuffisance des stocks stratégiques, une politique de dépistage tardive, une crise logistique, un défaut d’anticipation ou une minoration de la deuxième vague, une gouvernance peu lisible”.Pour autant, à l’encontre des trois ex-ministres, les magistrats n’avaient rien retenu “de répréhensible sur le plan pénal, en l’état actuel du droit”, souligne Le Monde. Un non-lieu global avait été prononcé le 7 juillet. 

LVMH demande à la direction du Parisien un plan d’ici la fin de l’année pour réduire ses pertes

Le groupe LVMH, propriétaire du Parisien/Aujourd’hui en France, a demandé mercredi à la direction du quotidien de lui présenter d’ici la fin de l’année un plan pour réduire ses pertes, selon un compte-rendu d’une réunion du comité de groupe de LVMH consulté jeudi par l’AFP.La direction du groupe de luxe a demandé au PDG du Parisien/Aujourd’hui en France Pierre Louette de présenter un plan stratégique pour ramener le titre à l’équilibre financièrement, le niveau de pertes étant trop important, selon ce compte-rendu d’un participant.Elle a ensuite assuré que l’option d’une vente n’était pas à l’ordre du jour mais ne pouvait être exclue en cas d’absence de consensus sur la mise en place de ce plan stratégique de réduction des pertes, selon le même document.Quant à une potentielle revente au groupe Bolloré, LVMH a assuré que cela restait une rumeur, affirmant qu’il n’y avait pas de processus en cours, toujours selon la même source.Contacté par l’AFP, le numéro un mondial du luxe s’est refusé à tout commentaire concernant ces informations. Les journalistes du quotidien s’inquiètent d’un éventuel projet de vente du Parisien au milliardaire conservateur Vincent Bolloré, évoquée par le magazine Challenges dans un article paru en septembre.D’après le document résumant une partie des échanges du comité de groupe, LVMH a assuré être dans une logique économique et non idéologique concernant Le Parisien.Sollicité par l’AFP, Pierre Louette n’avait pas répondu dans l’immédiat. Un plan de réorganisation prévoyant la suppression de près de 40 postes est déjà en cours au Parisien. Son annonce avait entraîné une grève de 24 heures en mars.Deux autres journées de grève ont eu lieu en septembre, pour s’opposer à une éventuelle vente au groupe Bolloré et exiger l’embauche de 17 CDI pour combler des départs.Le Parisien/Aujourd’hui en France est le 3e quotidien le plus diffusé en France quand on cumule son édition nationale et régionale, avec quelque 260.000 exemplaires vendus par jour, selon l’Alliance pour les chiffres de la presse et des médias.

LVMH demande à la direction du Parisien un plan d’ici la fin de l’année pour réduire ses pertes

Le groupe LVMH, propriétaire du Parisien/Aujourd’hui en France, a demandé mercredi à la direction du quotidien de lui présenter d’ici la fin de l’année un plan pour réduire ses pertes, selon un compte-rendu d’une réunion du comité de groupe de LVMH consulté jeudi par l’AFP.La direction du groupe de luxe a demandé au PDG du Parisien/Aujourd’hui en France Pierre Louette de présenter un plan stratégique pour ramener le titre à l’équilibre financièrement, le niveau de pertes étant trop important, selon ce compte-rendu d’un participant.Elle a ensuite assuré que l’option d’une vente n’était pas à l’ordre du jour mais ne pouvait être exclue en cas d’absence de consensus sur la mise en place de ce plan stratégique de réduction des pertes, selon le même document.Quant à une potentielle revente au groupe Bolloré, LVMH a assuré que cela restait une rumeur, affirmant qu’il n’y avait pas de processus en cours, toujours selon la même source.Contacté par l’AFP, le numéro un mondial du luxe s’est refusé à tout commentaire concernant ces informations. Les journalistes du quotidien s’inquiètent d’un éventuel projet de vente du Parisien au milliardaire conservateur Vincent Bolloré, évoquée par le magazine Challenges dans un article paru en septembre.D’après le document résumant une partie des échanges du comité de groupe, LVMH a assuré être dans une logique économique et non idéologique concernant Le Parisien.Sollicité par l’AFP, Pierre Louette n’avait pas répondu dans l’immédiat. Un plan de réorganisation prévoyant la suppression de près de 40 postes est déjà en cours au Parisien. Son annonce avait entraîné une grève de 24 heures en mars.Deux autres journées de grève ont eu lieu en septembre, pour s’opposer à une éventuelle vente au groupe Bolloré et exiger l’embauche de 17 CDI pour combler des départs.Le Parisien/Aujourd’hui en France est le 3e quotidien le plus diffusé en France quand on cumule son édition nationale et régionale, avec quelque 260.000 exemplaires vendus par jour, selon l’Alliance pour les chiffres de la presse et des médias.