New JPMorgan skyscraper underlines Manhattan office comeback

JPMorgan Chase officially inaugurated its new Manhattan tower Tuesday, a 60-story skyscraper that also marks a kind of comeback of office working after the pandemic years.Some 10,000 employees of the giant US bank are expected to be in place at the midtown building by the end of 2025. The project cost about $3 billion to build and comprises some 2.5 million square feet of office space.  “For all of us it’s a labor of love,” declared JPMorgan Chief Executive Jamie Dimon just before the symbolic ribbon-cutting at the building referred to as “270” for its address at 270 Park Avenue.Just five years ago, midtown Manhattan was a wasteland as the pandemic dominated life in a city that had seen some of the darkest times of Covid-19 only months earlier. Even at the end of 2023, some 19 percent of New York office space remained vacant, according to Cresa.”Who remembers 2021 when people were questioning the future of office, questioning the future of New York City?” said Rob Speyer of real estate firm Tishman Speyer, a partner on the project.”JPMorgan really demonstrated tremendous courage and leadership,” Speyer said at the ceremony. “By moving forward with 270 Park, you sent the world a message that you believe in New York, that the city is resilient, that we have a great future.”When the pandemic halted city life in its tracks in March 2020, JPMorgan had just finished the demolition of its old headquarters building at the same address, which had stood for 60 years.At that point, JPMorgan “were kind of committed to this path and really had no effective way to change (its) mind without abandoning a huge investment,” said Joshua Harris, a managing partner at the Lakemont Group consultancy and director of the Fordham Real Estate Institute at Fordham University. The new building’s dramatic arrival comes as vacancy rates in New York sit at their lowest level in five years, according to JLL. The location of project, just above new tracks for the Long Island Railroad, meant that workers had to demolish — and then reconstruct — one of the rail line’s halls. The new building is also entirely powered by energy from a New York state hydroelectric plant, making it the city’s largest “all-electric” skyscraper and boasting net-zero emissions.

Ligue des champions: Arsenal pilonne l’Atlético (4-0) en treize minutes

Les Gunners d’Arsenal ont fait totalement exploser l’Atlético Madrid (4-0) avec quatre buts en seconde période, mardi à Londres, et enchaîné un troisième succès sans but encaissé en trois matches de Ligue des champions.Dominant d’entrée, accroché et menacé ensuite, le club au canon a fait parler la poudre après la mi-temps avec quatre buts en l’espace de treize minutes, dont deux signés Viktor Gyökeres.Le faible rendement de la recrue-phare de l’été, muet depuis sept matches, était un des rares nuages dans le ciel bleu d’Arsenal, leader de la Premier League. L’attaquant suédois a remis les points sur les “i” avec des buts et un engagement de chaque instant.”Il le mérite au vu de tout ce qu’il a apporté à l’équipe, à quel point il l’a aidée dans de nombreux domaines, mais sans marquer ces dernières semaines”, a réagi son entraîneur Mikel Arteta. L’ancienne gâchette du Sporting Portugal allait retrouver le chemin des filets, “cela ne faisait aucun doute”.Le club anglais poursuit son début de saison parfait dans la grande Coupe d’Europe, qu’il rêve de gagner pour la première fois de sa riche histoire. Cela fait trois victoires en trois matches, avec huit buts marqués et aucun encaissé.L’Atlético ressemblait à un adversaire plus redoutable que l’Athletic Bilbao et l’Olympiakos, battus tous deux 2-0, et il a fallu du temps à Arsenal néanmoins pour avaler sa proie.- Alvarez menaçant -L’histoire aurait pu être bien différente si Julian Alvarez, la menace offensive N.1 côté espagnol, avait eu davantage de réussite.L’ex de Manchester City a manqué de peu la cible alors que le gardien David Raya, peu inspiré sur le coup, était parti loin de sa cage jouer un ballon près d’un poteau de corner (25e). William Saliba et Gabriel ont dû s’y mettre à deux pour stopper l’Argentin (28e), qui a aussi déposé une superbe frappe enroulée de l’extérieur de la surface sur la barre transversale (49e).Arsenal aussi s’est frotté aux montants, très tôt, sur un tir d’Eberechi Eze contré par un défenseur (5e), et a multiplié les incursions dans la surface adverse dans les vingt premières minutes, sans réussite.La fébrilité a semblé gagner les tribunes au début de la seconde période mais les joueurs, eux, ont continué de pousser sans paniquer. Et les Gunners ont fini par faire craquer les Colchoneros grâce à leur arme de prédilection, les coups de pied arrêtés.Declan Rice a envoyé un coup franc dans la surface et Gabriel, étrangement démarqué, est venu le déposer de la tête dans les filets de Jan Oblak (57e).- Les “erreurs” de l’Atlético -Le public de l’Emirates a pu alors laisser exploser sa joie et ressorti les classiques de son répertoire de chants, “Set-piece again allez allez” (“Encore un coup de pied arrêté”, en français) et “One-Nil to the Arsenal” (“1-0 pour Arsenal”).Puis le tableau d’affichage s’est mis à s’affoler dans la foulée.Le jeune latéral Myles Lewis-Skelly a fait une percée dans l’axe et décalé sur sa gauche Gabriel Martinelli. L’ailier a enroulé une frappe du droit qu’Oblak n’a plus que dévier sur un poteau, rentrant (64e).Gyökeres a ensuite ajouté son nom à la liste des buteurs, et plutôt deux fois qu’une, comme une juste récompense de son travail acharné pour peser sur la défense espagnole.L’avant-centre suédois a marqué d’un tir de près, contré par un défenseur (67e), puis il a poussé le ballon de la cuisse sur un corner de Rice redressé par Gabriel, de la tête, au second poteau (70e).”Les coups de pied arrêtés sont très importants dans le football et peuvent être décisifs dans cette compétition, car tout peut se jouer à très peu de choses. Ce n’est pas une question de malchance, mais d’erreurs, et ils ont su tirer profit de nos erreurs”, a retenu l’entraîneur visiteur, Diego Simeone.Pour l’Atlético, la campagne européenne se complique avec deux défaites contre un seul succès.

Ligue des champions: festival du PSG, Dembélé buteur pour son retour

Gêné en Ligue 1, le PSG continue d’impressionner en Ligue des champions en écrasant cette fois Leverkusen (7-2), mardi lors de la troisième journée de phase de ligue, porté par Doué auteur d’un doublé, et par Dembélé, buteur dès son entrée.Il a fallu trois minutes au nouveau Ballon d’Or pour trouver la voie des filets à Leverkusen, humilié par les champions d’Europe en titre, qui se retrouvent provisoirement premier du classement sur les 36 équipes.Rentré à l’heure de jeu (63e) après six semaines d’absence à cause d’une “lésion sévère” à la cuisse droite, Ousmane Dembélé n’a pas trainé pour ouvrir son compteur de buts dans la compétition européenne, fêtant en même temps sa récompense individuelle suprême.Pour son premier match de C1 de la saison, il a retrouvé ses jambes et n’a rien perdu de sa science du placement et de sa technique. Servi par Bradley Barcola, qui a eu la bonne idée de ne pas frapper et de lui offrir ce but, le N.10 a marqué en taclant (6-2, 66e).”Le Ballon d’Or, c’est fini”, a prévenu la veille Luis Enrique, voulant recentrer son joueur sur cette nouvelle saison. A la vue de ses trente minutes, l’ex-Rennais a effectivement bien tourné la page de cette séquence folle pour lui, et semble pleinement concentré sur le reste.”Je me sens bien, je retrouve mes sensations petit à petit”, a commenté Dembélé après être “un peu sur la pointe des pieds”. “Quand on revient de blessure, on n’est pas encore à 100%”, a-t-il ajouté.En attendant que Dembélé rentre en jeu, Désiré Doué a été le joueur central de la première période, rappelant son dernier match en Ligue des champions… la finale contre l’Inter Milan en mai dernier à Munich, qu’il avait éblouie d’un doublé et d’une passe décisive.Comme Dembélé (cuisse), Désiré Doué (mollet) a parfaitement réussi son retour dans la compétition reine, jouant seulement la première période. – Premier but pour Pacho -Les deux Français, blessés le 5 septembre, étaient absents lors des deux premiers succès des Parisiens, d’abord contre l’Atalanta Bergame (4-0) et sur le terrain du FC Barcelone (2-1).Marquant en fin de première période coup sur coup, d’abord d’une frappe croisée du gauche (2-1, 41e) puis d’une frappe enroulée du droit (4-1, 45+3), le N.14 avait reçu quelques minutes avant un gros coup de coude à la mâchoire de la part du capitaine de Leverkusen, Robert Andrich, qui écopait d’un carton rouge (33e).Après son doublé, Doué – pas gêné par le choc – est sorti à la mi-temps, remplacé par Lucas Hernandez. Le défenseur français est entré en jeu en raison de l’expulsion du défenseur central Illya Zabarnyi, coupable d’avoir accroché Christian Kofane dans la surface allemande (37e). Cette faute a valu un pénalty transformé par Aleix Garcia (1-1, 38e). Quelques minutes avant (23e), Zabarnyi – aligné à la place de Marquinhos qui n’est finalement pas entré en jeu – avait déjà provoqué un pénalty à cause d’une faute de main. Mais  cette fois, Alejandro Grimaldo a frappé à côté du but de Lucas Chevalier, parti du bon coté. L’égalisation de Leverkusen – qui a dû faire face à l’absence de sept joueurs – n’a pas gêné les Parisiens. Ils avaient ouvert tôt le score (1-0), 7e) grâce à une tête piquée de Willian Pacho, marquant son premier but au PSG sur un magnifique centre de Nuno Mendes, buteur plus tard dans le match (50e, 5-1). “Kvara” (44e) et Vitinha (90e) ont aussi participé au festival.”Cette année, ce sera encore plus dur. Il y a des équipes très fortes (…). On a gagné les trois matchs, il faut enchaîner les buts et continuer”, a insisté Nuno Mendes, toujours aussi impactant et de nouveau élu homme du match.Davantage gênés en Ligue 1 avec une défaite à l’OM (1-0) et deux nuls face à Lille (1-1) et Strasbourg (3-3), les joueurs de Luis Enrique sont impériaux en Europe, envoyant un message clair: ils ont les moyens et l’envie de conserver leur couronne. 

Ligue des champions: festival du PSG, Dembélé buteur pour son retour

Gêné en Ligue 1, le PSG continue d’impressionner en Ligue des champions en écrasant cette fois Leverkusen (7-2), mardi lors de la troisième journée de phase de ligue, porté par Doué auteur d’un doublé, et par Dembélé, buteur dès son entrée.Il a fallu trois minutes au nouveau Ballon d’Or pour trouver la voie des filets à Leverkusen, humilié par les champions d’Europe en titre, qui se retrouvent provisoirement premier du classement sur les 36 équipes.Rentré à l’heure de jeu (63e) après six semaines d’absence à cause d’une “lésion sévère” à la cuisse droite, Ousmane Dembélé n’a pas trainé pour ouvrir son compteur de buts dans la compétition européenne, fêtant en même temps sa récompense individuelle suprême.Pour son premier match de C1 de la saison, il a retrouvé ses jambes et n’a rien perdu de sa science du placement et de sa technique. Servi par Bradley Barcola, qui a eu la bonne idée de ne pas frapper et de lui offrir ce but, le N.10 a marqué en taclant (6-2, 66e).”Le Ballon d’Or, c’est fini”, a prévenu la veille Luis Enrique, voulant recentrer son joueur sur cette nouvelle saison. A la vue de ses trente minutes, l’ex-Rennais a effectivement bien tourné la page de cette séquence folle pour lui, et semble pleinement concentré sur le reste.”Je me sens bien, je retrouve mes sensations petit à petit”, a commenté Dembélé après être “un peu sur la pointe des pieds”. “Quand on revient de blessure, on n’est pas encore à 100%”, a-t-il ajouté.En attendant que Dembélé rentre en jeu, Désiré Doué a été le joueur central de la première période, rappelant son dernier match en Ligue des champions… la finale contre l’Inter Milan en mai dernier à Munich, qu’il avait éblouie d’un doublé et d’une passe décisive.Comme Dembélé (cuisse), Désiré Doué (mollet) a parfaitement réussi son retour dans la compétition reine, jouant seulement la première période. – Premier but pour Pacho -Les deux Français, blessés le 5 septembre, étaient absents lors des deux premiers succès des Parisiens, d’abord contre l’Atalanta Bergame (4-0) et sur le terrain du FC Barcelone (2-1).Marquant en fin de première période coup sur coup, d’abord d’une frappe croisée du gauche (2-1, 41e) puis d’une frappe enroulée du droit (4-1, 45+3), le N.14 avait reçu quelques minutes avant un gros coup de coude à la mâchoire de la part du capitaine de Leverkusen, Robert Andrich, qui écopait d’un carton rouge (33e).Après son doublé, Doué – pas gêné par le choc – est sorti à la mi-temps, remplacé par Lucas Hernandez. Le défenseur français est entré en jeu en raison de l’expulsion du défenseur central Illya Zabarnyi, coupable d’avoir accroché Christian Kofane dans la surface allemande (37e). Cette faute a valu un pénalty transformé par Aleix Garcia (1-1, 38e). Quelques minutes avant (23e), Zabarnyi – aligné à la place de Marquinhos qui n’est finalement pas entré en jeu – avait déjà provoqué un pénalty à cause d’une faute de main. Mais  cette fois, Alejandro Grimaldo a frappé à côté du but de Lucas Chevalier, parti du bon coté. L’égalisation de Leverkusen – qui a dû faire face à l’absence de sept joueurs – n’a pas gêné les Parisiens. Ils avaient ouvert tôt le score (1-0), 7e) grâce à une tête piquée de Willian Pacho, marquant son premier but au PSG sur un magnifique centre de Nuno Mendes, buteur plus tard dans le match (50e, 5-1). “Kvara” (44e) et Vitinha (90e) ont aussi participé au festival.”Cette année, ce sera encore plus dur. Il y a des équipes très fortes (…). On a gagné les trois matchs, il faut enchaîner les buts et continuer”, a insisté Nuno Mendes, toujours aussi impactant et de nouveau élu homme du match.Davantage gênés en Ligue 1 avec une défaite à l’OM (1-0) et deux nuls face à Lille (1-1) et Strasbourg (3-3), les joueurs de Luis Enrique sont impériaux en Europe, envoyant un message clair: ils ont les moyens et l’envie de conserver leur couronne. 

Ligue des champions: le retour rêvé de Doué dans la cour des grands

Près de cinq mois après sa finale magistrale de Ligue des champions à Munich, Désiré Doué a signé de la plus belle des façons son retour dans la compétition reine du foot européen mardi soir à Leverkusen avec un doublé.Si le PSG n’a douté que quelques minutes mardi soir sur la pelouse de la BayArena pour aller chercher sa troisième victoire (7-2) en autant de rencontres de Ligue des champions cette saison, c’est grâce à Désiré Doué.Alors que les Parisiens ont vu les joueurs de Werkself (le onze de l’usine, le surnom de l’équipe du club fondé en 1904 par le chimiste Bayer) revenir au score à la 37e minute sur un penalty d’Aleix Garcia (1-1), le show Doué a pu commencer.D’abord par un enchaînement très rapide contrôle du pied droit et frappe placée du pied gauche, pour mettre la balle hors de portée de Mark Flekken, il a redonné l’avantage à son équipe à la 41e minute.Trois minutes plus tard, Doué a ensuite servi de relais après une récupération de balle d’Achraf Hakimi pour Khvicha Kvaratskhelia, dont la frappe a franchi la ligne après avoir touché deux fois les montants de Flekken (44e).Et juste avant la pause, d’une superbe frappe enroulée, Doué a quasiment scellé le sort de la rencontre, offrant à son équipe une seconde période à 10 contre 10 toute en maîtrise et en contrôle.- Reposé en seconde période -Touché à un mollet début septembre avec l’équipe de France contre l’Ukraine en qualifications pour le Mondial-2026, Doué avait manqué le début de la campagne européenne des Parisiens, contre l’Atalanta Bergame (4-0) et à Barcelone (2-1).Il n’a fait son retour en Ligue 1 que samedi, après six semaines d’absence, contre Strasbourg dans un rôle de milieu relayeur.Mardi, c’est à nouveau à ce poste qu’il a brillé pendant 45 minutes, exploitant à merveille les espaces libres devant lui, bien plus nombreux après l’exclusion logique du capitaine de Leverkusen Robert Andrich pour un coup de coude asséné par l’international allemand à… Doué.Le joueur formé à Rennes est resté sur le banc au retour des vestiaires, l’entraîneur Luis Enrique le préservant pour la suite des événements, alors que le Bayern s’annonce dans deux semaines (4 novembre) sur la pelouse du Parc des princes, pour une affiche à faire saliver toute l’Europe du foot. D’ici là, les Parisiens iront à Brest puis Lorient, et recevront Nice.Un soir de la fin du mois de mai 2025, Désiré Doué avait ébloui de toute sa classe la finale de la Ligue des champions, déjà sur une pelouse allemande, celle de l’Allianz Arena de Munich, avec un doublé et une passe décisive contre l’Inter Milan (5-0), le plus jeune joueur à réaliser pareil exploit à trois jours de ses 20 ans.Une performance exceptionnelle au terme d’une première saison parisienne tout aussi remarquable, surtout lors de la seconde moitié (c’est lui qui avait inscrit le tir au but décisif en huitièmes de finale à Anfield contre Liverpool), qui lui avait valu une nomination dans les trente meilleurs joueurs du Ballon d’Or, terminant à la 14e place.

Ligue des champions: l’Inter poursuit face à l’Union Saint-Gilloise son sans-faute

L’Inter Milan a laissé passer l’orage du premier quart d’heure avant de faire tomber la foudre sur l’Union Saint-Gilloise (4-0) mardi à Bruxelles pour sa troisième victoire en autant de matches de Ligue des champions.Après un début de saison hésitant, l’Inter a trouvé sa vitesse de croisière: contre les champions de Belgique en titre, vite dépassés, les Nerazzurri ont enchaîné une septième victoire consécutive, toutes compétitions confondues.Cristian Chivu avait pourtant procédé à six changements par rapport à l’équipe qui a battu l’AS Rome au Stade olympique samedi (1-0).En manque d’automatismes et de repères, les vice-champions d’Italie et d’Europe 2025, privés de Marcus Thuram jusqu’à début novembre, ont complétement manqué leur début de match, bousculés aussi par l’impact physique de Promise David.L’imposant attaquant canadien a failli ouvrir la marque dès la 3e minute, mais sa frappe a été repoussée par Yann Sommer. Dans la foulée, Lautaro Martinez a sauvé son équipe, en repoussant sur la ligne une reprise de Christian Burgess.L’Inter a fini par se réveiller.Sur un centre de Lautaro Martinez, le grand espoir Francesco Pio Esposito, pourtant seul devant le gardien de l’Union, a manqué sa reprise et le cadre (16e).- 2e derrière le PSG -Si l’Inter a alors nettement pris l’ascendant, il lui a fallu attendre la 41e minute pour concrétiser sa domination grâce à Denzel Dumfries qui a devancé la défense belge sur un corner mal dégagé.Dans le temps additionnel (45e+1), Lautaro Martinez a doublé la mise au terme d’un mouvement lancé par Dumfries et accéléré par Pio Esposito.L’Union Saint-Gilloise, dirigée pour la première fois par David Hubert qui a succédé à son compatriote Sébastien Pocognoli, parti à Monaco, n’a jamais réussi à reprendre son souffle.Après une faute de main d’un défenseur belge dans sa surface, Hakan Calhanoglu a porté le score à 3-0 sur penalty (53e), avant que Pio Esposito n’inscrive à 20 ans, quelques jours après avoir ouvert son compteur en Serie A et avec la Nazionale, son premier but en Ligue des champions (76e).”L’équipe devrait retrouver sa confiance, après les déceptions de la fin de la saison dernière (…) Elle a retrouvé son feu intérieur, je crois”, a analysé Chivu sur Sky Sport.Seul le Paris SG, qui l’avait humilié en finale de la dernière Ligue des champions (5-0), affiche un meilleur bilan. Mais son carton-plein après des victoires sur le terrain de l’Ajax (2-0), à domicile face au Slavia Prague (3-0) et ce mardi face à l’Union Saint-Gilloise, ne permet pas encore d’étalonner l’Inter.Il faudra attendre décembre pour en savoir plus: après la réception de Kairat Almaty le 5 novembre, les Lombards auront fort à faire successivement contre l’Atletico Madrid, Liverpool, Arsenal et Dortmund.