L’arsenal nucléaire américain touché à son tour par la paralysie budgétaire

Vingt jours après le début de la paralysie budgétaire aux Etats-Unis, ses effets s’étendent à toujours davantage de secteurs de l’Etat fédéral et touchent même lundi la dissuasion nucléaire du pays.L’agence de sécurité nucléaire nationale, la NNSA, doit mettre quelque 1.400 fonctionnaires fédéraux au chômage technique, tandis que moins de 400 resteront en poste pour assurer la maintenance des ogives nucléaires américaines durant ce “shutdown”, a affirmé un porte-parole du ministère de l’Energie.L’élu républicain Mike Rogers, qui préside la commission des forces armées à la Chambre des représentants, avait auparavant déclaré avoir été informé que la NNSA était “sur le point d’épuiser les fonds de secours qu’elle utilisait” et de mettre au chômage technique 80% de son personnel.”Ce ne sont pas des employés que vous voulez voir rentrer chez eux”, avait-il ajouté.Selon deux sources au sein de la NNSA citées par CNN, aucune menace immédiate pour la sécurité nationale n’est cependant à craindre pour le moment.Depuis le 1er octobre et l’expiration du budget des Etats-Unis, les républicains de Donald Trump et l’opposition démocrate ne parviennent pas à s’entendre pour sortir du “shutdown”.Interrogé lors d’une conférence de presse sur la question nucléaire, le chef républicain de la Chambre, Mike Johnson, a affirmé lundi que “chaque jour que l’Etat est paralysé est un danger pour le peuple Américain”.- 1er novembre -Selon les estimations du cercle de réflexion Bipartisan Policy Center, plus de 700.000 fonctionnaires fédéraux sont déjà au chômage technique sans rémunération. Près de 700.000 autres continuent eux de travailler sans être payés non plus jusqu’à la fin du blocage.En revanche, Donald Trump s’était engagé à ce que les plus de 1,3 million de militaires américains reçoivent leur solde du 15 octobre normalement.Sans issue en vue, le blocage actuel est déjà le troisième plus long de l’histoire du pays et se rapproche lentement mais sûrement du record de 35 jours, établi en 2019, déjà sous Donald Trump.Les républicains proposent de prolonger le budget actuel, avec les mêmes niveaux de dépenses, tandis que les démocrates réclament une prolongation de subventions pour des programmes d’assurance santé à destination de ménages à bas revenus.Le chef de la minorité démocrate à la Chambre, Hakeem Jeffries, a souligné lundi l’importance de l’échéance du 1er novembre, date à laquelle d’importants changements dans les polices d’assurance santé des Américains prendront effet.Pour l’élu new-yorkais, si le problème des subventions n’est pas résolu avant cette date, “des dizaines de millions de gens à travers le pays se rendront compte que leurs primes, coûts, et franchises d’assurance santé auront explosé”, a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse.- “Cinglés” -En raison des règles en vigueur au Sénat, même si les républicains y sont majoritaires, plusieurs voix démocrates sont nécessaires pour adopter un budget.Mais Donald Trump rejette toute négociation sur les questions de santé sans “réouverture” préalable de l’Etat fédéral.Pour tenter de faire céder des sénateurs de l’opposition, le président a multiplié les menaces de suppression de “programmes soutenus par les démocrates”, assurant que le blocage était une “grosse erreur” de leur part.La Maison Blanche a ainsi affirmé avoir l’intention de limoger au moins 10.000 fonctionnaires fédéraux pendant ce “shutdown”, avant qu’une juge fédérale ne suspende jeudi ceux déjà annoncés.”On espère que les démocrates deviennent moins cinglés et qu’on obtiendra les voix bientôt” pour mettre fin au blocage, a déclaré Donald Trump lundi.”J’ai eu vent du fait qu’ils commencent à être du même avis”, a-t-il ajouté.Kevin Hassett, principal conseiller économique du président républicain, a également avancé sur la chaîne CNBC que le blocage pourrait être levé “probablement à un certain moment cette semaine”.Dans le cas contraire, la Maison Blanche va étudier quelles “mesures plus fortes” prendre pour amener les démocrates à y mettre fin, a-t-il ajouté.Le Sénat a voté lundi soir pour la 11e fois sur un texte républicain afin de lever le blocage budgétaire, sans succès.

L’arsenal nucléaire américain touché à son tour par la paralysie budgétaire

Vingt jours après le début de la paralysie budgétaire aux Etats-Unis, ses effets s’étendent à toujours davantage de secteurs de l’Etat fédéral et touchent même lundi la dissuasion nucléaire du pays.L’agence de sécurité nucléaire nationale, la NNSA, doit mettre quelque 1.400 fonctionnaires fédéraux au chômage technique, tandis que moins de 400 resteront en poste pour assurer la maintenance des ogives nucléaires américaines durant ce “shutdown”, a affirmé un porte-parole du ministère de l’Energie.L’élu républicain Mike Rogers, qui préside la commission des forces armées à la Chambre des représentants, avait auparavant déclaré avoir été informé que la NNSA était “sur le point d’épuiser les fonds de secours qu’elle utilisait” et de mettre au chômage technique 80% de son personnel.”Ce ne sont pas des employés que vous voulez voir rentrer chez eux”, avait-il ajouté.Selon deux sources au sein de la NNSA citées par CNN, aucune menace immédiate pour la sécurité nationale n’est cependant à craindre pour le moment.Depuis le 1er octobre et l’expiration du budget des Etats-Unis, les républicains de Donald Trump et l’opposition démocrate ne parviennent pas à s’entendre pour sortir du “shutdown”.Interrogé lors d’une conférence de presse sur la question nucléaire, le chef républicain de la Chambre, Mike Johnson, a affirmé lundi que “chaque jour que l’Etat est paralysé est un danger pour le peuple Américain”.- 1er novembre -Selon les estimations du cercle de réflexion Bipartisan Policy Center, plus de 700.000 fonctionnaires fédéraux sont déjà au chômage technique sans rémunération. Près de 700.000 autres continuent eux de travailler sans être payés non plus jusqu’à la fin du blocage.En revanche, Donald Trump s’était engagé à ce que les plus de 1,3 million de militaires américains reçoivent leur solde du 15 octobre normalement.Sans issue en vue, le blocage actuel est déjà le troisième plus long de l’histoire du pays et se rapproche lentement mais sûrement du record de 35 jours, établi en 2019, déjà sous Donald Trump.Les républicains proposent de prolonger le budget actuel, avec les mêmes niveaux de dépenses, tandis que les démocrates réclament une prolongation de subventions pour des programmes d’assurance santé à destination de ménages à bas revenus.Le chef de la minorité démocrate à la Chambre, Hakeem Jeffries, a souligné lundi l’importance de l’échéance du 1er novembre, date à laquelle d’importants changements dans les polices d’assurance santé des Américains prendront effet.Pour l’élu new-yorkais, si le problème des subventions n’est pas résolu avant cette date, “des dizaines de millions de gens à travers le pays se rendront compte que leurs primes, coûts, et franchises d’assurance santé auront explosé”, a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse.- “Cinglés” -En raison des règles en vigueur au Sénat, même si les républicains y sont majoritaires, plusieurs voix démocrates sont nécessaires pour adopter un budget.Mais Donald Trump rejette toute négociation sur les questions de santé sans “réouverture” préalable de l’Etat fédéral.Pour tenter de faire céder des sénateurs de l’opposition, le président a multiplié les menaces de suppression de “programmes soutenus par les démocrates”, assurant que le blocage était une “grosse erreur” de leur part.La Maison Blanche a ainsi affirmé avoir l’intention de limoger au moins 10.000 fonctionnaires fédéraux pendant ce “shutdown”, avant qu’une juge fédérale ne suspende jeudi ceux déjà annoncés.”On espère que les démocrates deviennent moins cinglés et qu’on obtiendra les voix bientôt” pour mettre fin au blocage, a déclaré Donald Trump lundi.”J’ai eu vent du fait qu’ils commencent à être du même avis”, a-t-il ajouté.Kevin Hassett, principal conseiller économique du président républicain, a également avancé sur la chaîne CNBC que le blocage pourrait être levé “probablement à un certain moment cette semaine”.Dans le cas contraire, la Maison Blanche va étudier quelles “mesures plus fortes” prendre pour amener les démocrates à y mettre fin, a-t-il ajouté.Le Sénat a voté lundi soir pour la 11e fois sur un texte républicain afin de lever le blocage budgétaire, sans succès.

L’arsenal nucléaire américain touché à son tour par la paralysie budgétaire

Vingt jours après le début de la paralysie budgétaire aux Etats-Unis, ses effets s’étendent à toujours davantage de secteurs de l’Etat fédéral et touchent même lundi la dissuasion nucléaire du pays.L’agence de sécurité nucléaire nationale, la NNSA, doit mettre quelque 1.400 fonctionnaires fédéraux au chômage technique, tandis que moins de 400 resteront en poste pour assurer la maintenance des ogives nucléaires américaines durant ce “shutdown”, a affirmé un porte-parole du ministère de l’Energie.L’élu républicain Mike Rogers, qui préside la commission des forces armées à la Chambre des représentants, avait auparavant déclaré avoir été informé que la NNSA était “sur le point d’épuiser les fonds de secours qu’elle utilisait” et de mettre au chômage technique 80% de son personnel.”Ce ne sont pas des employés que vous voulez voir rentrer chez eux”, avait-il ajouté.Selon deux sources au sein de la NNSA citées par CNN, aucune menace immédiate pour la sécurité nationale n’est cependant à craindre pour le moment.Depuis le 1er octobre et l’expiration du budget des Etats-Unis, les républicains de Donald Trump et l’opposition démocrate ne parviennent pas à s’entendre pour sortir du “shutdown”.Interrogé lors d’une conférence de presse sur la question nucléaire, le chef républicain de la Chambre, Mike Johnson, a affirmé lundi que “chaque jour que l’Etat est paralysé est un danger pour le peuple Américain”.- 1er novembre -Selon les estimations du cercle de réflexion Bipartisan Policy Center, plus de 700.000 fonctionnaires fédéraux sont déjà au chômage technique sans rémunération. Près de 700.000 autres continuent eux de travailler sans être payés non plus jusqu’à la fin du blocage.En revanche, Donald Trump s’était engagé à ce que les plus de 1,3 million de militaires américains reçoivent leur solde du 15 octobre normalement.Sans issue en vue, le blocage actuel est déjà le troisième plus long de l’histoire du pays et se rapproche lentement mais sûrement du record de 35 jours, établi en 2019, déjà sous Donald Trump.Les républicains proposent de prolonger le budget actuel, avec les mêmes niveaux de dépenses, tandis que les démocrates réclament une prolongation de subventions pour des programmes d’assurance santé à destination de ménages à bas revenus.Le chef de la minorité démocrate à la Chambre, Hakeem Jeffries, a souligné lundi l’importance de l’échéance du 1er novembre, date à laquelle d’importants changements dans les polices d’assurance santé des Américains prendront effet.Pour l’élu new-yorkais, si le problème des subventions n’est pas résolu avant cette date, “des dizaines de millions de gens à travers le pays se rendront compte que leurs primes, coûts, et franchises d’assurance santé auront explosé”, a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse.- “Cinglés” -En raison des règles en vigueur au Sénat, même si les républicains y sont majoritaires, plusieurs voix démocrates sont nécessaires pour adopter un budget.Mais Donald Trump rejette toute négociation sur les questions de santé sans “réouverture” préalable de l’Etat fédéral.Pour tenter de faire céder des sénateurs de l’opposition, le président a multiplié les menaces de suppression de “programmes soutenus par les démocrates”, assurant que le blocage était une “grosse erreur” de leur part.La Maison Blanche a ainsi affirmé avoir l’intention de limoger au moins 10.000 fonctionnaires fédéraux pendant ce “shutdown”, avant qu’une juge fédérale ne suspende jeudi ceux déjà annoncés.”On espère que les démocrates deviennent moins cinglés et qu’on obtiendra les voix bientôt” pour mettre fin au blocage, a déclaré Donald Trump lundi.”J’ai eu vent du fait qu’ils commencent à être du même avis”, a-t-il ajouté.Kevin Hassett, principal conseiller économique du président républicain, a également avancé sur la chaîne CNBC que le blocage pourrait être levé “probablement à un certain moment cette semaine”.Dans le cas contraire, la Maison Blanche va étudier quelles “mesures plus fortes” prendre pour amener les démocrates à y mettre fin, a-t-il ajouté.Le Sénat a voté lundi soir pour la 11e fois sur un texte républicain afin de lever le blocage budgétaire, sans succès.

Trump says Hamas will be ‘eradicated’ if group breaches Gaza deal

US President Donald Trump warned Hamas Monday it would be “eradicated” if it breaches the Gaza deal with Israel, but said he would give the Palestinian militant group a chance to honor the truce.Vice President JD Vance headed to Israel shortly after Trump’s comments, joining two top US envoys after weekend violence threatened to wreck the fragile ceasefire.”We made a deal with Hamas that they’re going to be very good, they’re going to behave, they’re going to be nice,” Trump told reporters at the White House as he hosted Australian Prime Minister Anthony Albanese.”And if they’re not, we’re going to go and we’re going to eradicate them, if we have to. They’ll be eradicated, and they know that.”Trump helped broker the Gaza deal nearly two weeks ago but it has repeatedly come under threat as Israel accuses Hamas of stalling on handing over dead hostages, and of launching attacks.Hamas’s top negotiator, Khalil al-Hayya, told Egypt’s Al-Qahera News that the group was still committed to the ceasefire agreement. “We are finding it extremely difficult to extract the bodies, but we are serious and working hard to extract them,” he said in comments broadcast Tuesday morning.”The Gaza agreement will hold, because we want it to and our will to abide by it is strong.”Trump has also warned the militant group to stop public executions of rivals and alleged collaborators as it seeks to reestablish its grip on the devastated territory.Trump, however, insisted that American forces would not be involved in confronting against Hamas, saying dozens of countries that have agreed to join an international stabilization forces for Gaza would “love to go in.””In addition, you have Israel would go in in two minutes, if I asked them to go in,” Trump said.”But right now, we haven’t said that. We’re going to give it a little chance, and hopefully there will be a little less violence. But right now, you know, they’re violent people,” he added.”They got very rambunctious, and they did things that they shouldn’t be doing, and if they keep doing it, then we’re going to go in and straighten it out, and it’ll happen very quickly and pretty violently.”Trump said that Hamas was now far weaker, especially as regional backer Iran was now unlikely to step in on its behalf following US and Israeli strikes this year.”They don’t have the backing of really anybody anymore. They have to be good, and if they’re not good, they’ll be eradicated,” Trump stressed.Trump’s special envoy Steve Witkoff and adviser son-in-law Jared Kushner met Netanyahu on Monday to discuss “developments and updates in the region”, a spokesman for the prime minister’s office said.Vance and his wife Usha later left Washington for Israel without commenting to reporters. They were also due to meet with Netanyahu, the prime minister’s office said.

US begins sending nuke workers home as shutdown drags

The agency responsible for safeguarding the US nuclear stockpile began placing most staff on enforced leave Monday, an official said, as yet another congressional vote to end the crippling government shutdown failed.With the standoff about to enter its fourth week, some 1,400 workers at the National Nuclear Security Administration were due to receive notices telling them they had been placed on unpaid furlough.”Due to the Democrat shutdown, approximately 1,400 NNSA federal employees will be furloughed as of today, October 20th and nearly 400 NNSA federal employees will continue to work to support the protection of property and the safety of human life,” a Department of Energy spokesperson said in a statement.The United States has an arsenal of 5,177 nuclear warheads, with about 1,770 deployed, according to the global security nonprofit Bulletin of the Atomic Scientists.The NNSA, which oversees 60,000 contractors, is responsible for designing, manufacturing, servicing and securing the weapons.The Department of Energy did not immediately respond to a request for comment, but CNN reported that the furloughs will initially hit sites that assemble nuclear weapons, such as Pantex in Texas and Y-12 in Tennessee.At 20 days, the United States is enduring its longest full government shutdown ever — the third-longest if partial stoppages are included.President Donald Trump has been ratcheting up pressure on Democrats to vote with his Republicans to reopen the government, with increasingly ominous threats to slash public services and ramp up mass layoffs.”So we’re hoping the Democrats become much less deranged and that we will get the vote pretty soon. And I hear they’re starting to feel that way, too,” Trump said at the White House.Kevin Hassett, director of the White House National Economic Council, told CNBC he expected the shutdown to end “some time this week” — but he warned Democrats of “stronger measures… to bring them to the table” if it dragged on further.- ‘Danger to the American people’ -Democrats’ key condition for backing a House-passed funding resolution that would reopen the government through late November is the renewal of expiring health care subsidies for 24 million Americans.Senate Republicans have offered a vote on renewing the subsidies, but many Democrats insist that any deal in the upper chamber will be meaningless without the sign-off of Trump and House Speaker Mike Johnson.A Senate vote Monday evening on a House-passed resolution to reopen the government failed, for the 11th time.Johnson has vowed to keep the House closed until the shutdown ends, and it has already been out of session since September 19. “Every day that the government is shut down, it is a danger to the American people,” Johnson told reporters on Monday when asked about the NNSA furloughs.He warned that falling behind US adversaries in the nuclear arms race would be a “very serious” threat to the country’s status as “the last great superpower.” Trump has been clear that he believes Republicans are winning the messaging war and has not felt the need so far to intervene. But Democratic strategists are confident that they can stick Republicans with the blame for skyrocketing premiums and health care coverage losses that would hit millions of Americans in 2026 if no action is taken.”In Georgia, Virginia and Maryland, people are now finding out that their health insurance premiums are about to increase, in some instances by more than $2,000 per month, for a total of $24,000 per year,” House Minority Leader Hakeem Jeffries told reporters.”No one can afford those types of increases.”Federal employees — who generally get paid every two weeks — are expected to miss the entire amount for the first time on Thursday, and troop pay is another issue pressuring lawmakers to strike a deal.The Senate is due to consider legislation midweek that would allow members of the military and other federal workers to receive pay, though it is not clear that the effort has sufficient Democratic buy-in. 

Trump demolishes part of White House for new ballroom

Donald Trump has often been dubbed a political wrecking ball for his unorthodox style — and now the US president has literally started demolition work on the White House.Work crews began tearing down part of the East Wing on Monday as the former property mogul said work had formally commenced on a huge new $250-million ballroom.A mechanical excavator had ripped through the facade of the East Wing, leaving a tangle of broken masonry, rubble and steel wires, AFP journalists at the scene saw.Republican Trump said as he hosted college baseball players at the White House on Monday that “right on the other side you have a lot of construction that you might hear occasionally.”The 79-year-old billionaire later officially announced that work had started on the ballroom, the biggest addition to the US presidential mansion in more than a century.”I am pleased to announce that ground has been broken on the White House grounds to build the new, big, beautiful White House Ballroom,” Trump said on his Truth Social network.Trump said the East Wing was being “fully modernized as part of this process, and will be more beautiful than ever when it is complete!”The East Wing is where US first ladies have traditionally had their offices. The president works in the West Wing and the couple live in the Executive Mansion.- ‘Generous Patriots’ -But while Trump said that the East Wing is “completely separate from the White House itself,” it is in fact physically joined to the main mansion by a covered colonnade.Trump says the new 90,000-square-foot ballroom with a capacity of 1,000 people is needed to host large state dinners and other events that currently have to be held in a tent.The former reality TV star held a glitzy dinner at the White House last week for donors to the ballroom. The guests included representatives from tech firms like Amazon, Apple, Meta, Google, Microsoft and Palantir and defense giant Lockheed Martin — all companies with significant contracts or other dealings with the government.They also included twins Cameron and Tyler Winklevoss, the founders of crypto platform Gemini, who were made famous as jilted investors in the movie “The Social Network” about the birth of Facebook.”The White House Ballroom is being privately funded by many generous Patriots, Great American Companies, and, yours truly. This Ballroom will be happily used for Generations to come!” he said on Monday.It is the largest part of the huge makeover Trump has given the White House since returning to power in January, including covering the Oval Office with gold decor and paving over the Rose Garden.Trump has also unveiled plans for a huge triumphal arch in Washington, which was dubbed the “Arc de Trump” after AFP first revealed the proposal.

Maccabi Tel Aviv to decline tickets for European tie at Aston Villa

Maccabi Tel Aviv will decline any tickets offered to their fans for a Europa League away match at Aston Villa, the Israeli club announced Monday.The local Safety Advisory Group (SAG) covering Villa Park in Birmingham, in central England, last week blocked visiting fans from attending the November 6 match following a police risk assessment.That decision drew widespread political criticism, including from UK Prime Minister Keir Starmer, with widespread calls for the ruling to be reversed. The British government said Friday it was working to allow Israeli fans to attend. But a statement on the Maccabi Tel Aviv website said: “The wellbeing and safety of our fans is paramount and, from hard lessons learned, we have taken the decision to decline any allocation offered on behalf of away fans, and our decision should be understood in that context.”We hope that circumstances will change and look forward to being able to play in Birmingham in a sporting environment in the near future.”The announcement came only a day after Israeli police called off the Israeli Premier League match between Maccabi and city rivals Hapoel because of “riots” between rival fans.Maccabi insisted their supporters were not involved in the unrest, while their statement questioned the motivation of those leading calls for a ban on away fans.”We acknowledge the efforts of the UK government and police to ensure both sets of fans can attend the match safely, and are grateful for the messages of support from across the footballing community and society at large,” said the club.”Our first-team squad consists of Muslims, Christian and Jewish players and our fan base also crosses the ethnic and religious divide. We have also been working tirelessly to stamp out racism within the more extreme elements of our fan base.”- Game ‘weaponised’ to stoke violence -The statement added: “It is clear that various entrenched groups seek to malign the Maccabi Tel Aviv fan base, most of whom have no truck with racism or hooliganism of any kind, and are exploiting isolated incidents for their own social and political ends.”As a result of the hate-filled falsehoods, a toxic atmosphere has been created, which makes the safety of our fans wishing to attend very much in doubt.”A British government spokesperson, responding to Maccabi’s announcement, said: “We are deeply saddened Maccabi Tel Aviv have turned down their away fan allocation but we respect their right to do so.”It is completely unacceptable that this game has been weaponised to stoke violence and fear by those who seek to divide us.”We will never tolerate antisemitism or extremism on our streets.”Earlier, UK Culture, Media and Sport Secretary Lisa Nandy told the House of Commons the final decision must ultimately be made by the police.However, she also said the country “should be appalled” that the initial assessment was “based in no small part on the risk posed to those fans that are attending who support Maccabi because they are Israeli, and because they are Jewish”.West Midlands Police last week classified the fixture as “high risk”. They said the decision was “based on current intelligence and previous incidents, including violent clashes and hate crime offences that occurred during the 2024 UEFA Europa League match between Ajax and Maccabi Tel Aviv in Amsterdam”.Birmingham has been the scene of pro-Palestinian rallies since the Gaza war between Israel and Hamas began.A number of British left-wing independent and Green politicians backed the ban, with some calling for the wider exclusion of Israeli teams from international competitions due to the government’s actions in Gaza.Earlier this month, two Jewish men died in an attack on a synagogue in Manchester, England, that police linked to Islamist extremism.

Budget : la taxe Zucman rejetée en commission, la gauche dénonce un manque de “justice fiscale”

La commission des Finances de l’Assemblée a achevé lundi son premier jour d’examen du budget 2026, avec une bataille sur la fiscalité entre les députés, qui ont réécrit plusieurs mesures gouvernementales et rejeté la taxe Zucman, au grand dam de la gauche.Ces débats, qui continueront de mardi matin à mercredi soir, sont un tour de chauffe avant le débat dans l’hémicycle dès vendredi, en présence du Premier ministre Sébastien Lecornu. Les députés repartiront du texte initial du gouvernement, comme toujours pour les textes budgétaires.La commission permet toutefois de mettre en lumière les positions des groupes.- Taxe Zucman supprimée -La taxe Zucman a été défendue en commission par les quatre groupes de gauche. Du nom de l’économiste Gabriel Zucman, elle entend faire payer aux contribuables ayant au moins 100 millions d’euros de patrimoine un impôt minimum de 2%, y compris sur le patrimoine professionnel.”C’est une taxe de justice fiscale (…) pour éviter que nos sociétés deviennent des sociétés totalement inégalitaires”, a défendu Mathilde Feld (LFI).C’est “un repoussoir pour les nouveaux entrepreneurs” voulant s’installer en France, a rétorqué le rapporteur général Philippe Juvin (LR).”Vous n’expliquez pas comment vous n’allez pas taxer les biens professionnels”, a accusé de son côté Jean-Philippe Tanguy (RN), craignant que la mesure favorise “une vague de désindustrialisation”. Le camp gouvernemental et le RN ont voté contre.En réaction, M. Zucman a estimé sur X que rejeter à nouveau cette mesure dans l’hémicycle revient à “défendre le +droit+ des milliardaires à payer zéro”.Lundi, les députés n’ont pas hésité à corriger la copie de l’exécutif, parfois à l’initiative des groupes de la coalition gouvernementale. Si des députés macronistes ont échoué à supprimer la reconduction partielle en 2026 d’une contribution exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises, un amendement de Daniel Labaronne (Renaissance) a exclu de son périmètre les entreprises de taille intermédiaire (ETI).Les députés ont également supprimé, via un amendement LR, la taxe sur le patrimoine financier des holdings patrimoniales détenant au moins 5 millions d’euros d’actifs, parfois utilisées pour contourner l’impôt. L’amendement adopté propose plutôt de taxer les holdings lorsque leur propriétaire décède, mais le vote, qui s’est tenu dans la confusion en commission, devrait toutefois être différent dans l’hémicycle.- “C’est non” -A plusieurs reprises plusieurs députés de gauche se sont émus du peu d’amendements de “justice fiscale” adoptés. “On a déjà compris. La taxe Zucman c’est non (…) l’impôt sur les grandes transmissions, c’est non. Le retour de l’ISF, c’est non”, a égrainé François Ruffin (groupe écologiste).La gauche a toutefois fait voter des amendements rétablissant “l’exit tax”, pour freiner l’évasion fiscale des entrepreneurs.Une coalition de la gauche au RN en passant par Les Républicains a aussi supprimé des mesures clivantes, dont la fiscalisation des indemnités journalières pour affection longue durée, ou l’extinction d’une réduction d’impôt pour frais de scolarité dans l’enseignement secondaire et supérieur.Dans la matinée, les députés avaient en revanche approuvé la prolongation de la contribution différentielle des hauts revenus (20% d’imposition minimale pour les ménages aux revenus dépassant 250.000 euros par an). Ils l’ont également renforcée en la prolongeant jusqu’à ce que le déficit repasse sous les 3% du PIB.Quant au gel du barème de l’impôt sur le revenu prévu dans le texte, qui se traduira par 200.000 “nouveaux entrants” dans cet impôt en raison de l’inflation, il a été modifié après de longs débats. Un amendement du groupe Liot, le moins coûteux pour les finances publiques, a été adopté pour que seule la première tranche du barème soit indexée sur l’inflation, estimée à 1%.La commission des Affaires sociales examinera, elle, à partir de jeudi le projet de budget de la sécurité sociale, après audition des ministres mardi.Avec un déficit public qui devrait s’établir à 5,4% du PIB en 2025, le gouvernement ambitionne un effort global d’une trentaine de milliards d’euros pour 2026, entre nouveaux prélèvements (14 milliards) et économies de dépenses (17 milliards) afin de ramener le déficit public à 4,7%. Il accepterait d’assouplir l’objectif jusqu’à un niveau se situant “sous 5%” pour permettre des compromis.Les députés débattent sous la pression des délais constitutionnels prévus pour adopter le budget (70 jours pour celui de l’Etat, 50 pour la Sécurité sociale). En cas de dépassement des délais, le budget pourrait passer par voie d’ordonnances.mpa-sl-la-bpa-sac/may