Fentanyl, beans and Ukraine: Trump hails ‘success’ in talks with Xi

A beaming US President Donald Trump hailed his “great success” in talks with Chinese President Xi Jinping in the South Korean city of Busan on Thursday.From a deal to reduce tariffs slapped on China for its role in the fentanyl trade to planned cooperation in ending the war in Ukraine, here’s what Trump says he achieved in talks with Xi: – Fentanyl -The fentanyl trade has long been a sore point in relations between China and the United States: Washington accuses Beijing of turning a blind eye to the illegal trade in the drug, a charge it denies.Trump hit China with a 20 percent levy on Chinese imports over complaints about its exports of chemicals used to make fentanyl.However, he said after the talks in Busan the tariffs would be reduced to 10 percent — bringing overall US tariffs on Chinese goods to 47 percent.Trump said Xi “agreed that he was going to work very hard to stop the flow” of the powerful opioid, which has killed thousands of Americans.”I believe he’s going to work very hard to stop the death that’s coming in,” Trump told reporters on Air Force One.- Hill of beans -Beijing retaliated against Trump’s fentanyl tariffs with levies against US agricultural products, including soybeans.More than half of US soybean exports went to China last year, but Beijing halted all orders as the trade dispute deepened.US farmers have been badly hit by the tariff war and are a key source of domestic political support for Trump.Trump said China had now agreed to purchase “tremendous” amounts of soybeans, as well as other farm products.”That was a very nice gesture,” he said.- Rare earths -A strategic field dominated by China that is essential for manufacturing in defence, automobiles and consumer electronics, rare earths were expected to occupy a central role in the Busan talks.Beijing imposed sweeping export controls on the materials and related technology this month. Trump swiftly announced retaliatory tariffs of 100 percent on all Chinese goods, which were originally due to come into effect on Saturday.But the US leader insisted on Thursday that “that whole situation, that roadblock is gone now”.”There’s no roadblock at all on rare earths — that will hopefully disappear from our vocabulary,” he said, without giving details.- Ukraine – The United States and China have also reportedly agreed to cooperate more on seeking an end to the war in Ukraine.China says it is a neutral party in the conflict, but Kyiv and Western governments have long accused Beijing of providing political and economic support to Moscow.Trump told reporters the subject had come up “very strongly” during his talks with Xi.”He’s going to help us, and we’re going to work together on Ukraine,” Trump said.- Chips -Beijing has ramped up its chip industry to beat Washington’s export restrictions on the critical component used to power artificial intelligence systems.US chip giant Nvidia has been caught in the middle of that geopolitical tussle. Nvidia’s chips are currently not sold in China due to a combination of Beijing government bans, US national security concerns and ongoing trade tensions.CEO Jensen Huang has urged the United States to allow the sale of US-made AI chips in China in order to ensure Silicon Valley companies remain a global powerhouse in providing artificial intelligence.”We did discuss chips,” Trump said after meeting Xi, adding that Huang would speak to Beijing about the dispute.”We’re sort of the arbitrator or the referee,” Trump said.Huang is currently in South Korea for the Asia-Pacific Economic Cooperation (APEC) CEO summit in Gyeongju, which Xi is also expected to attend.

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Climat: le réchauffement a multiplié par quatre le risque d’un ouragan aussi puissant que Melissa

L’ouragan Melissa, le pire à toucher la Jamaïque depuis le début des relevés météorologiques, a été rendu quatre fois plus probable en raison du changement climatique causé par l’homme, selon une étude publiée mercredi.La tempête tropicale, évoluant entre les catégories 3 et 5, a provoqué des dégâts “catastrophiques” selon les autorités jamaïcaines. Melissa, qui se trouve au large des côtes est de Cuba et prend la direction des Bahamas, a ravagé les Caraïbes faisant au moins 30 morts, dont 20 à Haïti. Le réchauffement climatique, causé principalement par la combustion de combustibles fossiles, a augmenté à la fois la probabilité et l’intensité de cet ouragan, selon l’étude menée par des scientifiques de l’Imperial College de Londres.”Le changement climatique causé par l’homme a clairement rendu l’ouragan Melissa plus puissant et plus destructeur”, affirme Ralf Toumi, qui a dirigé l’étude.”Ces tempêtes vont faire encore plus de dégâts à l’avenir si nous continuons à réchauffer la planète en brûlant des combustibles fossiles”, explique le professeur, à la tête du Grantham Institute, spécialisé dans le changement climatique, au sein de l’Imperial College.Selon lui, “la capacité des pays à se préparer et à s’adapter a ses limites”. Si s’adapter au changement climatique est “essentiel”, souligne-t-il, “les émissions de gaz à effet de serre doivent aussi cesser”.En cartographiant des millions de trajectoires théoriques de tempêtes dans différentes conditions climatiques, son équipe a découvert que dans un monde moins réchauffé, un ouragan comme Melissa toucherait terre en Jamaïque environ tous les 8.100 ans. Dans les conditions actuelles, ce chiffre est désormais tombé à 1.700 années.Le monde s’est réchauffé d’environ 1,3 degré par rapport à l’ère préindustrielle, ce qui est dangereusement proche de la limite de 1,5 degré à ne pas dépasser pour, selon les scientifiques, éviter les effets les plus destructeurs du changement climatique.Et même si une tempête aussi féroce que Melissa se produisait dans un monde sans changement climatique, elle serait de moindre intensité, selon l’étude: le réchauffement augmente la vitesse des vents de 19 kilomètres par heure.

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Malgré des revers, la production de l’éolien en mer pourrait tripler entre 2024 et 2030

La capacité installée des éoliennes en mer à l’échelle mondiale pourrait encore tripler entre 2024 et 2030, malgré des revers aux Etats-Unis et le fait que certains pays n’atteindront probablement pas leurs objectifs, selon un rapport du centre de réflexion sur l’énergie Ember.D’après l’étude commandée par l’Alliance globale de l’éolien en mer (GOWA), la capacité mondiale d’éoliennes en mer pourrait passer de 83 gigawatts en 2024, de quoi alimenter au maximum 73 millions de foyers, à 238 gigawatts en 2030.L’Agence Internationale de l’Énergie (AIE) a estimé début octobre que la croissance des énergies renouvelables dans leur ensemble ralentissait et qu’il serait difficile d’atteindre l’objectif de tripler leur capacité de production à horizon 2030, fixé durant la COP28 à Dubaï.Mais pour Amisha Patel, secrétaire général de GOWA, “malgré les récents obstacles auxquels le secteur fait face, les fondamentaux de l’éolien en mer n’ont pas changé”. “La dynamique continue de s’amplifier à mesure que les pays font progresser cette technologie désormais éprouvée, ce qui est essentiel à la transition vers une énergie propre”, a-t-il souligné dans un communiqué.Cette croissance s’accomplit malgré les grandes difficultés du secteur aux États-Unis depuis janvier et le retour à la Maison Blanche du républicain Donald Trump, fervent défenseur des énergies fossiles et pourfendeur de l’éolien.L’administration américaine a interrompu certains chantiers en cours et ouvert peu de perspectives aux investisseurs. Selon le rapport d’Ember, les États-Unis devraient construire de quoi produire 5,8 gigawatts entre 2025 et 2029, contre un objectif de 30 gigawatts fixé sous l’administration Biden en 2021.D’autres pays comme le Japon ou la Corée du Sud ne devraient atteindre qu’environ un tiers de leurs objectifs d’ici 2030, selon le rapport.Le rapport souligne également que 88 Etats qui possèdent une côte en mesure d’accueillir des éoliennes en mer n’ont pas encore affiché d’objectifs chiffrés.Parmi ces pays on retrouve le Brésil, hôte de la COP30 en novembre, qui pour l’heure ne compte aucune éolienne en mer sur ses 7.000 kilomètres de côtes.

Concerts, esport, stars du web… la Paris Games Week revisite sa formule pour attirer un plus large public

Porté par de nouveaux partenaires, le plus grand salon du jeu vidéo en France fait son retour jusqu’à dimanche à la porte de Versailles à Paris, dans une formule encore plus tournée vers les spectacles et la pop-culture.Pour cette quatorzième édition, raccourcie d’une journée, la fête du jeu vidéo proposera pour la première fois des nocturnes.Après une soirée inaugurale mercredi lancée par la star d’internet Squeezie et le chanteur Bigflo, le Dôme de Paris accueillera plusieurs soirées et concerts, avec notamment les rappeurs Bigflo & Oli, un spectacle autour de la musique du jeu vidéo français à succès “Clair Obscur: Expedition 33″ et des compétitions de esport.”Depuis le Covid, pour que les gens sortent de chez eux, il faut qu’il y ait une promesse d’expérience très forte”, a expliqué à l’AFP James Rebours, président du Syndicat des éditeurs de logiciels de loisirs (Sell), l’organisateur de l’événement.La Paris Games Week opère un “redémarrage” après trois éditions post-pandémie où s’est jouée la survie du salon, souligne de son côté Nicolas Vignolles, délégué général du Sell.Avec comme nouveaux partenaires le groupe Fimalac Entertainment (propriétaire de l’agence artistique Webedia) et le spécialiste de l’organisation de salons GL events, l’édition 2025 “change d’échelle” et “s’élargit à tous les loisirs, que ce soit la musique, les jeux de cartes ou les spectacles”, détaille M. Vignolles.La Paris Games Week héberge ainsi des espaces dédiés aux mangas, au cosplay et jeux de cartes à collectionner, tandis qu’une partie “business” accueillera des conférences et tables rondes sur l’avenir de l’industrie.Les organisateurs promettent également plus de 200 jeux jouables, répartis dans deux halls du Parc des expositions.Parmi les titres les plus attendus : “Resident Evil Requiem”, “Kirby Air Riders”, jeu de course autour du petit héros rond et rose de Nintendo, et “Call of Duty: Black Ops 7″, nouvel opus de la série d’Activision.Les trois grands constructeurs de consoles (Microsoft, Nintendo et Sony) seront sur place, aux côtés des principaux éditeurs de jeux comme Ubisoft, Bandai Namco ou Capcom.La Switch 2, nouvelle console de Nintendo qui a connu en juin un lancement record, sera également de la partie.”Cette nouvelle console a embarqué le marché avec elle”, s’enthousiasme Charlotte Massicault, directrice des produits multimédias chez Fnac-Darty.Les organisateurs espèrent une affluence au moins similaire à celle de 2024, qui avait comptabilisé plus de 188.000 entrées.

Tanzania blackout after election chaos, deaths fearedThu, 30 Oct 2025 06:52:35 GMT

Tanzania was on lockdown with a communications blackout Thursday, a day after elections turned into violent chaos with unconfirmed reports of many dead.President Samia Suluhu Hassan had sought to solidify her position and silence criticism within her party in the virtually uncontested polls, with the main challengers either jailed or disqualified.In the run-up, rights groups …

Tanzania blackout after election chaos, deaths fearedThu, 30 Oct 2025 06:52:35 GMT Read More »