Explosion dans une usine près de Lyon: décès d’un des quatre blessés

Une des quatre personnes blessées lundi dans l’explosion dans l’usine chimique Elkem Silicones à Saint-Fons, près de Lyon, est décédée mardi après-midi, a indiqué la préfecture.La victime, un homme âgé de 47 ans dont le pronostic vital était engagé, “est décédée des suites de ses brûlures”, a précisé la préfecture à l’AFP, confirmant une information de RTL.Cet homme avait été blessé avec deux autres hommes et une femme dans une explosion survenue à l’intérieur d’un atelier pilote du site chimique, classé Seveso seuil haut, avait précisé à l’AFP Guillaume Artois, chargé de la communication de l’entreprise.Il s’agit du deuxième décès enregistré en près de dix ans sur le site Elkem de Saint-Fons, après la mort en 2016 d’une personne tuée dans l’incendie de fûts de silicone dans un entrepôt de 2.500 m2.Le parquet de Lyon a indiqué mardi que trois blessés lundi dans l’explosion étaient “grièvement brûlés”, précisant avoir ouvert une enquête pour “blessures involontaires par personne morale suivies d’incapacité supérieure à trois mois”.La Division de la criminalité organisée spécialisée (DCOS, ex PJ), et la Direction départementale de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS), ont été saisies pour déterminer les causes et circonstances de l’explosion, selon le parquet.La déflagration a pu être causée par l’émanation d’hydrogène “dans un atelier expérimental”, avait déclaré lundi à la presse Jean-Pierre Lerat, le directeur de l’usine. Selon le porte-parole Guillaume Artois, cet atelier était une “unité bien particulière, le laboratoire pilote, qui n’est pas connecté au reste du site”. Il avait été installé en 2021 et répondait aux exigences des “dernières normes de sécurité”, a-t-il assuré à l’AFP.Une équipe y testait une méthode de dévolatilisation d’huiles de silicone hydrogénées, une “manipulation relativement courante dans un atelier pilote”, a-t-il poursuivi.”Il y avait une réaction qui se passait mal et l’équipe est intervenue. Pendant l’intervention, il y a eu une émission, probablement d’hydrogène gazeux, qui a pu déclencher l’explosion”, a ajouté le porte-parole.Pour éteindre l’incendie qui a suivi, une centaine de pompiers ont été mobilisés lundi. L’autoroute A7, les voies ferrées et fluviales sur le Rhône à proximité de l’usine avaient été coupées quelques heures, et environ un millier de personnes autour de la zone avaient été confinées quelques heures également.

Asian markets mixed after US growth data fuels Wall St record

Asian markets went into the Christmas break Wednesday on a mixed note as investors struggled to track a record day on Wall Street fuelled by forecast-topping US economic data.After a healthy start, regional stocks stuttered into the close, although gold topped $4,500 for the first time amid US military and economic pressure on Venezuela.Traders in New York pushed the S&P 500 to an all-time high in response to figures showing the world’s top economy expanded 4.3 percent in the third quarter, the fastest pace in two years and much quicker than expected.The report, which was boosted by healthy consumer and business spending, provided some reassurance to investors about the economic outlook after a string of increasingly weakening jobs data.However, other figures did provide some cause for thought, with a gauge of consumer spending falling for a fifth successive month to its lowest level since February 2021 owing to worries about jobs. A report last showed unemployment at a four-year high.With the economy appearing to be in better shape than expected, investors pared their bets on another Federal Reserve interest rate cut next month.And while hopes for lower borrowing costs have been a key driver of the recent market rally, analysts said the strong growth overshadowed any disappointment that they will remain unchanged for now.”We’re set up for a Santa Claus rally,” UBP’s Kieran Calder told Bloomberg TV. “The market is taking some of the data pretty positively.”Asian markets swung between gains and losses as traders wound down before Christmas.Tokyo reversed a morning rally to end lower, while Sydney, Singapore, Seoul, Bangkok and Jakarta also fell.Hong Kong finished on a positive note, with Shanghai, Wellington, Taipei and Mumbai also up.Gold rallied above $4,500 for the first time to a peak of $4,525.77 per ounce, while silver hit $72.70 an ounce, with US-Venezuela tensions adding to expectations the Fed will keep cutting rates next year.Geopolitical worries have grown as Washington continues to put pressure on Caracas with a blockade of sanctioned oil vessels sailing to and from Venezuela.And on Monday, US President Donald Trump said Venezuelan President Nicolas Maduro would be “smart” to step down, as Washington ramps up military operations and threats.The yen extended its recent rebound against the dollar after Japan’s Finance Minister Satsuki Katayama suggested authorities were prepared to step in to support the currency, citing speculative moves in markets.South Korea’s won also rallied after the country’s central bank and finance ministry said they had discussed the unit’s weakness and warned against excessive weakness, while the government also said it would unveil a tax policy to ramp up inward investment.The unit has come under pressure owing to a range of issues, including a flight of capital and concerns that planned US investment — as part of trade talks — could see a further exit of cash.The won was trading around 1,457 to the dollar Wednesday, having pushed close to 1,500, a level it last saw in 2009 during the global financial crisis.- Key figures at around 0700 GMT – Tokyo – Nikkei 225: DOWN 0.1 percent at 50,344.10 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.2 percent at 25,818.93 (close)Shanghai – Composite: UP 0.5 percent at 3,940.95 (close)Dollar/yen: DOWN at 155.70 yen from 156.27 yen on TuesdayEuro/dollar: UP $1.1800 from $1.1791Pound/dollar: UP at $1.3522 from $1.3499Euro/pound: DOWN at 87.26 pence from 87.34 penceWest Texas Intermediate: UP 0.3 percent at $58.57 per barrelBrent North Sea Crude: UP 0.3 percent at $62.55 per barrelNew York – Dow: UP 0.2 percent at 48,442.41 (close)London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 9,889.22 (close)

La cyberattaque contre La Poste perd en intensité à deux jours de Noël

La cyberattaque, revendiquée par des hackers prorusses, qui a touché La Poste à quelques jours de Noël était “toujours en cours” mardi soir, mais avait “perdu en intensité”, selon l’opérateur postal.Le parquet de Paris a indiqué à l’AFP qu’il avait ouvert une enquête “pour des faits d’entrave au fonctionnement d’un système de traitement automatisé de données”, confiée à l’Unité nationale cyber (UNC) et la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). L’attaque informatique est survenue lundi, au début de la première semaine des fêtes de fin d’année, période la plus dense pour La Poste. Sur les deux derniers mois de l’année, le groupe trie et distribue 180 millions de colis.”La distribution des colis et des courriers s’est déroulée normalement aujourd’hui (mardi)”, malgré “ce contexte difficile”, a signalé le groupe dans un message envoyé à l’AFP à 19H30.Mardi matin, le ministre de l’Economie Roland Lescure avait souligné sur BFMTV/RMC que “la priorité des priorités”, c’était “de faire en sorte que les colis arrivent à temps pour Noël”.Dans un bureau de poste du 2e arrondissement de Paris, l’AFP a constaté que le service n’était que marginalement perturbé mardi. La réception des colis était assurée et le courrier distribué. Seul le suivi des colis sur internet restait inopérant.Au comptoir, Monique Petit, 69 ans, un paquet sous le bras à destination de Nantes, s’estimait “peu inquiète” concernant l’acheminement de son colis. “Tout a l’air de fonctionner normalement. C’est un cadeau de Noël pour ma fille, j’espère qu’elle l’aura dans les prochains jours”, a-t-elle expliqué. “On m’a indiqué que le suivi de colis ne fonctionne pas, mais je passerai un coup de téléphone pour savoir s’il est arrivé”, a-t-elle ajouté.- Hackers prorusses ? -“L’accès à nos services en ligne s’est globalement amélioré dans la journée (mardi), avec une instabilité plus marquée sur laposte.fr.”, selon le dernier point de situation de l’entreprise à 19H30.Concernant La Banque postale, “des ralentissements” ont pu être observés “dans certaines circonstances”, mais les opérations bancaires en bureau de poste ont “normalement fonctionné”, a précisé le groupe.Des difficultés demeuraient néanmoins dans “l’accessibilité (des) centres d’appel”. La Poste, qui a déposé plainte mardi, avait assuré lundi qu’aucune donnée sensible n’avait été volée, évoquant un incident de type “déni de service”. Ces attaques informatiques consistent à surcharger des sites web et des applications par des requêtes ciblées de telle sorte qu’ils ne soient plus accessibles.Le parquet a confirmé que le groupe de hackers prorusses NoName057(16), responsable de multiples attaques visant principalement l’Ukraine mais aussi ses alliés dont la France, avait revendiqué l’attaque.Mais cette revendication ne mentionne que le nom de domaine “lidentite.numerique.laposte.fr” dont l’accès n’était pas perturbé dans l’après-midi, a constaté l’AFP.Le chercheur en cybersécurité Baptiste Robert a appelé sur son compte X à la prudence quant à cette revendication “tardive”, rappelant qu’il était “habituel de voir des revendications opportunistes” par des groupes cherchant la lumière médiatique.meh-llb-fbe-alh/ved/er

La cyberattaque contre La Poste perd en intensité à deux jours de Noël

La cyberattaque, revendiquée par des hackers prorusses, qui a touché La Poste à quelques jours de Noël était “toujours en cours” mardi soir, mais avait “perdu en intensité”, selon l’opérateur postal.Le parquet de Paris a indiqué à l’AFP qu’il avait ouvert une enquête “pour des faits d’entrave au fonctionnement d’un système de traitement automatisé de données”, confiée à l’Unité nationale cyber (UNC) et la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). L’attaque informatique est survenue lundi, au début de la première semaine des fêtes de fin d’année, période la plus dense pour La Poste. Sur les deux derniers mois de l’année, le groupe trie et distribue 180 millions de colis.”La distribution des colis et des courriers s’est déroulée normalement aujourd’hui (mardi)”, malgré “ce contexte difficile”, a signalé le groupe dans un message envoyé à l’AFP à 19H30.Mardi matin, le ministre de l’Economie Roland Lescure avait souligné sur BFMTV/RMC que “la priorité des priorités”, c’était “de faire en sorte que les colis arrivent à temps pour Noël”.Dans un bureau de poste du 2e arrondissement de Paris, l’AFP a constaté que le service n’était que marginalement perturbé mardi. La réception des colis était assurée et le courrier distribué. Seul le suivi des colis sur internet restait inopérant.Au comptoir, Monique Petit, 69 ans, un paquet sous le bras à destination de Nantes, s’estimait “peu inquiète” concernant l’acheminement de son colis. “Tout a l’air de fonctionner normalement. C’est un cadeau de Noël pour ma fille, j’espère qu’elle l’aura dans les prochains jours”, a-t-elle expliqué. “On m’a indiqué que le suivi de colis ne fonctionne pas, mais je passerai un coup de téléphone pour savoir s’il est arrivé”, a-t-elle ajouté.- Hackers prorusses ? -“L’accès à nos services en ligne s’est globalement amélioré dans la journée (mardi), avec une instabilité plus marquée sur laposte.fr.”, selon le dernier point de situation de l’entreprise à 19H30.Concernant La Banque postale, “des ralentissements” ont pu être observés “dans certaines circonstances”, mais les opérations bancaires en bureau de poste ont “normalement fonctionné”, a précisé le groupe.Des difficultés demeuraient néanmoins dans “l’accessibilité (des) centres d’appel”. La Poste, qui a déposé plainte mardi, avait assuré lundi qu’aucune donnée sensible n’avait été volée, évoquant un incident de type “déni de service”. Ces attaques informatiques consistent à surcharger des sites web et des applications par des requêtes ciblées de telle sorte qu’ils ne soient plus accessibles.Le parquet a confirmé que le groupe de hackers prorusses NoName057(16), responsable de multiples attaques visant principalement l’Ukraine mais aussi ses alliés dont la France, avait revendiqué l’attaque.Mais cette revendication ne mentionne que le nom de domaine “lidentite.numerique.laposte.fr” dont l’accès n’était pas perturbé dans l’après-midi, a constaté l’AFP.Le chercheur en cybersécurité Baptiste Robert a appelé sur son compte X à la prudence quant à cette revendication “tardive”, rappelant qu’il était “habituel de voir des revendications opportunistes” par des groupes cherchant la lumière médiatique.meh-llb-fbe-alh/ved/er

Fin de la vigilance rouge crues dans l’Hérault, un épisode neigeux attendu en Ardèche et dans la Drôme

Météo-France a abaissé mercredi le niveau de vigilance pour crues de rouge à orange dans l’Hérault, la décrue devant se poursuivre dans la journée faute de nouvelles précipitations.Dans son bulletin de 06H00, le prévisionniste a par ailleurs annoncé que l’Ardèche et la Drôme passeraient en vigilance orange neige-verglas mercredi soir.Le département de l’Hérault avait été placé en vigilance rouge lundi pour des crues exceptionnelles, notamment sur le fleuve du même nom, en raison de fortes précipitations qui ont provoqué notamment une montée des eaux d’une ampleur inédite depuis 1994 à Agde. Selon le dernier bulletin de Météo-France, l’Hérault reste toutefois en vigilance orange pour risque de crues, tandis que dix autres départements demeurent en vigilance jaune pour le même phénomène.”Les conditions sont désormais plus favorables à une baisse progressive des niveaux, mais la prudence reste de mise dans les zones encore impactées”, souligne Météo-France, qui précise sur son site Vigicrues que des “débordements dommageables seront encore observés ce mercredi”, dans le secteur d’Agde.Sur la commune d’Agde, le niveau du fleuve Hérault a atteint un seuil haut –plateau- de 3,55 m lundi à 20H00. Il faut remonter à novembre 1994 pour observer en Agde une crue aval similaire, a indiqué la préfecture.A 6H30 mercredi, le niveau était redescendu à 3,22 m et  Vigicrues prévoit un nouveau recul à 3,10 m à 10H.Parallèlement, un épisode neigeux est attendu dans la vallée du Rhône et en Auvergne-Rhône-Alpes.Météo-France prévoit de placer l’Ardèche et la Drôme en vigilance orange pour neige et verglas entre 18H mercredi et 6H jeudi.Une perturbation active traversera la région dans la nuit de mercredi à jeudi, générée par le conflit entre l’air froid venu du nord et l’air doux et humide remontant de Méditerranée. Les chutes de neige pourraient atteindre 5 centimètres en plaine, davantage sur les hauteurs, rendant la circulation difficile en cette période de fêtes. Des pluies verglaçantes sont également possibles dans le sud des départements concernés.

Fin de la vigilance rouge crues dans l’Hérault, un épisode neigeux attendu en Ardèche et dans la Drôme

Météo-France a abaissé mercredi le niveau de vigilance pour crues de rouge à orange dans l’Hérault, la décrue devant se poursuivre dans la journée faute de nouvelles précipitations.Dans son bulletin de 06H00, le prévisionniste a par ailleurs annoncé que l’Ardèche et la Drôme passeraient en vigilance orange neige-verglas mercredi soir.Le département de l’Hérault avait été placé en vigilance rouge lundi pour des crues exceptionnelles, notamment sur le fleuve du même nom, en raison de fortes précipitations qui ont provoqué notamment une montée des eaux d’une ampleur inédite depuis 1994 à Agde. Selon le dernier bulletin de Météo-France, l’Hérault reste toutefois en vigilance orange pour risque de crues, tandis que dix autres départements demeurent en vigilance jaune pour le même phénomène.”Les conditions sont désormais plus favorables à une baisse progressive des niveaux, mais la prudence reste de mise dans les zones encore impactées”, souligne Météo-France, qui précise sur son site Vigicrues que des “débordements dommageables seront encore observés ce mercredi”, dans le secteur d’Agde.Sur la commune d’Agde, le niveau du fleuve Hérault a atteint un seuil haut –plateau- de 3,55 m lundi à 20H00. Il faut remonter à novembre 1994 pour observer en Agde une crue aval similaire, a indiqué la préfecture.A 6H30 mercredi, le niveau était redescendu à 3,22 m et  Vigicrues prévoit un nouveau recul à 3,10 m à 10H.Parallèlement, un épisode neigeux est attendu dans la vallée du Rhône et en Auvergne-Rhône-Alpes.Météo-France prévoit de placer l’Ardèche et la Drôme en vigilance orange pour neige et verglas entre 18H mercredi et 6H jeudi.Une perturbation active traversera la région dans la nuit de mercredi à jeudi, générée par le conflit entre l’air froid venu du nord et l’air doux et humide remontant de Méditerranée. Les chutes de neige pourraient atteindre 5 centimètres en plaine, davantage sur les hauteurs, rendant la circulation difficile en cette période de fêtes. Des pluies verglaçantes sont également possibles dans le sud des départements concernés.