Trump slams ‘decaying’ and ‘weak’ Europe

President Donald Trump blasted Europe as “decaying” and “weak” on immigration and Ukraine in an interview published Tuesday, deepening a rift between the United States and some of its oldest allies.Speaking to Politico, Trump also called on war-battered Ukraine’s President Volodymyr Zelensky to hold elections despite Russia’s invasion and said that Moscow had the “upper hand.”Trump’s comments doubled down on extraordinary criticism of top US partners in his administration’s new national security strategy last week, which recycled far-right tropes about civilizational “erasure” in Europe.”Most European nations, they’re decaying,” Trump told Politico in the interview, conducted Monday.The 79-year-old billionaire, whose political rise to power was built on inflammatory language about migrants, said that Europe’s policies on migrants were a “disaster.””They want to be politically correct, and it makes them weak. That’s what makes them weak,” Trump said, adding that there were “some real stupid ones” among Europe’s leaders.Trump also criticized European nations over Ukraine, amid growing differences over a US plan to end the war that many in Europe fear will force Kyiv to hand over territory to Russia, which launched a full-scale invasion of the country in 2022.”NATO calls me daddy,” Trump said, referring to comments by the military alliance’s leader Mark Rutte at a summit in June when leaders backed Trump’s call to raise defense spending.But he added: “They talk but they don’t produce. And the war just keeps going on and on.”European leaders have been trying to woo Trump since his return to office in January, especially on maintaining US support for Ukraine against Russia.Trump’s interview will intensify the alarm in European capitals sparked by the US security strategy last week, with its calls for “cultivating resistance” in Europe on migration and warnings of so-called “civilizational erasure.”Experts have said parts of it echo elements of the “great replacement theory” promoted by the far-right — and Trump’s former ally Elon Musk — which alleges a conspiracy to replace white populations.- ‘Not a democracy anymore’ -In contrast to the savaging of close US allies, Russia and China got off relatively lightly in the US strategy. The Kremlin said the US document aligned with its own worldview.A French minister, Alice Rufo, said Tuesday that the US security strategy was an “extremely brutal clarification of the ideological stance of the United States.”In his Politico interview, Trump said countries including Britain, France, Germany, Poland and Sweden were being “destroyed” by migration.He also launched a new attack on “horrible, vicious, disgusting” Sadiq Khan, London’s first Muslim mayor. Khan told Politico that Trump was “obsessed” with him and said US citizens were “flocking” to live in London.Trump also had sharp words for Ukraine and for Zelensky, in his latest seesaw in relations with the leader whom he called a “dictator without elections” in January and then berated in the Oval Office in February.”I think it’s an important time to hold an election. They’re using war not to hold an election.” Trump said. “It gets to a point where it’s not a democracy anymore.”Elections in Ukraine were due in March 2024 but have been postponed under the imposition of martial law since the Russian invasion of Ukraine in February 2022. About 20 percent of the country is under occupation.Fresh elections were included in the draft US plan to end the war. He also reiterated claims about Zelensky having not read the US plan. “It would be nice if he would read it. You know, a lot of people are dying,” Trump said.Top US negotiators met Putin in Moscow last week, then held days of negotiations with Ukrainian officials, but there has been no apparent breakthrough.Zelensky said on Tuesday in response to Trump’s comments that he was “ready for the elections” if security was ensured.He said he hoped to send Ukraine’s updated version of the US plan on Wednesday.

Trois ans de prison requis contre une nourrice accusée d’avoir intoxiqué des parents juifs, l’antisémitisme au coeur du débat

La question de l’antisémitisme était au coeur du procès d’une nourrice jugée mardi à Nanterre pour avoir intoxiqué les parents des enfants d’une famille qu’elle gardait en janvier 2024, le parquet ayant requis trois ans de prison en retenant cette circonstance aggravante.Le parquet a également demandé une interdiction du territoire français de 10 ans à l’encontre de la prévenue, une Algérienne de 42 ans qui avait reconnu durant sa garde à vue avoir versé des produits de nettoyage dans des bouteilles d’alcool.Elle affirmait alors vouloir nuire uniquement aux parents des trois enfants, de 2, 5 et 7 ans qu’elle gardait à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) et agir en raison d’un conflit sur sa rémunération.”L’inspecteur m’a mis la pression au point que j’ai inventé une histoire”, assure-t-elle aujourd’hui devant le tribunal correctionnel.”Votre avocate était présente, je n’imagine pas que, si vous aviez subi une telle pression, elle n’ait pas fait de commentaire”, s’est étonné le président.- “Phrase de haine” -Il a également noté la précision des propos de la nourrice, qui avait dans ses aveux cité d’elle-même une bouteille de whisky et une bouteille de jus de raisin qui n’avaient pas encore été identifiées.Un démaquillant et un plat de pâtes étaient également touchés par des produits nettoyants, car il a été cuisiné avec du whisky lui-même affecté, ont supposé les enquêteurs.Même sa défense s’est attardée sur ses aveux, se focalisant sur des “produits fortement dilués” et évoquant “un acte de représailles puéril, mettre du produit dans du vin pour qu’il soit imbuvable”.Conséquence du silence de la nourrice sur les faits, elle répond peu aux questions sur l’antisémitisme qu’un juge d’instruction a retenu comme circonstance aggravante en ordonnant son procès.Lors d’une perquisition à son domicile, elle avait affirmé: “parce qu’ils ont de l’argent et le pouvoir, j’aurais jamais dû travailler pour une Juive”.Une phrase qu’elle reconnaît comme une “phrase de haine” et pour laquelle elle a présenté ses excuses aux parents, affirmant ne pas être raciste ou antisémite.Le parquet avait cependant décidé dans un premier temps de ne pas retenir cette circonstance aggravante, même si le procureur a reconnu dans ses réquisitions un “antisémitisme latent dans ce dossier”.Quand les parents intoxiqués ont été entendus par les policiers, “la raison qui leur vient à l’esprit n’a pas de rapport avec la religion, mais celle que vous avez évoqué en garde à vue”, à savoir un conflit sur sa rémunération, a noté le président du tribunal durant l’audience. – “Tout devient danger” -Pour l’avocate de la prévenue, Me Solange Marle, “la comparaison constante entre ces deux vies, c’est ce sentiment d’écrasement social qui a entraîné ce geste démesuré. C’est pas de la haine, c’est de la souffrance”.L’un des avocats des parents, Me Sacha Ghozlan, décrit pour sa part la “coloration particulière” de ce qu’il voit comme un “antisémitisme d’intimité, qui rentre dans la maison, dans le foyer, qui s’en prend aux enfants et aux parents”.Plusieurs associations se sont constituées parties civiles: l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), SOS Racisme et la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (Licra).”Il y a besoin de cette circonstance aggravante pour envoyer le message que la République n’est pas aveugle”, a expliqué à la barre Yonathan Arfi, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), appelé comme témoin par les parties civiles.La mère des enfants a assuré que sa fille de neuf ans cachait désormais sa religion en public.”C’est terrifiant cette histoire, finalement. J’accueille quelqu’un dans mon intimité, et tout devient un danger, une arme”, a-t-elle déploré.La prévenue est aussi poursuivie pour usage d’un document administratif falsifié, à savoir une fausse carte d’identité nationale belge.La décision sera rendue le 18 décembre.

Agression sexuelle: six mois de prison avec sursis requis contre l’animateur Vincent Cerutti

Six mois de prison avec sursis ont été requis mardi contre Vincent Cerutti, ancien animateur de la matinale de la radio Chérie FM, jugé à Paris pour avoir mordu, à deux reprises, il y a dix ans, les fesses d’une collègue, à l’époque standardiste.”Ces deux morsures ont une connotation sexuelle évidente”, a déclaré la procureure dans son réquisitoire, rappelant qu’elles visaient “exclusivement” “une partie intime”, les fesses de la plaignante, Caroline Barel. Le ministère public a, en outre, demandé 10.000 euros d’amende à l’encontre de l’ancien présentateur de l’émission “Danse avec les stars” sur TF1.Les faits remontent à 2015-2016, dans la matinale de Chérie FM, animée par Vincent Cerutti, où l’ambiance est “très misogyne” selon Mme Barel et où elle n’est pas la seule à avoir été mordue par l’animateur.     A la barre, Mme Barel, chignon et gilet blanc, se remémore, très émue, l’agression sexuelle qu’elle dit avoir subie en novembre 2015 à la radio. L’animateur la “met au sol”, “les mains derrière le dos”, et la mord à la “fesse gauche”.Elle raconte avoir crié de douleur avant l’intervention d’un collègue. “Je ne peux absolument pas bouger, la seule chose que j’ai c’est mon cri”, relate-t-elle. Face à la photo d’un hématome présentée au dossier, le président du tribunal évoque une marque “assez impressionnante”.    “On est avant MeToo, je ne sais pas ce que c’est une agression sexuelle”, souligne Caroline Barel, aujourd’hui vice-présidente de l’association MeTooMedia.Devant le tribunal, Vincent Cerruti, qui reconnaît cette morsure, conteste toute violence ou “connotation sexuelle”. L’homme de 43 ans évoque un “jeu d’équipe” baptisé “Tout cul tendu mérite son dû”. Hors antenne, selon M. Cerutti, il fallait mettre une “petite fessée” ou mordre un ou une collègue qui se penchait “mais sans l’intention de faire mal”. Il le compare au jeu “chat-bite”.  “On n’est pas sur France Inter”, poursuit l’homme de 43 ans, veste grise et pantalon noir, alors animateur d’une émission “pour divertir”, qui affirme avoir également été mordu, notamment par Mme Barel.”Il n’y a que Monsieur Cerutti qui mord”, réplique la partie civile pendant l’audience.Et Caroline Barel de raconter que M. Cerutti s’était vanté auprès de l’équipe d’avoir réussi à la mordre, elle qui avait “toujours dit non”.      En février 2016, poursuit-elle, Vincent Cerutti lui mord furtivement la fesse lors d’une photo après la matinale à destination des réseaux sociaux. Si l’animateur, qui conteste cette deuxième morsure, a “honte d’avoir joué à ce jeu ridicule”, il juge “impossible” d’être l’auteur d’agression sexuelle, lui qui se revendique “féministe”.Jugement mis en délibéré au 4 février 2026.

Atteintes à la laïcité à l’école: baisse de 10% par rapport à la rentrée 2024 selon le ministre

Les atteintes à la laïcité à l’école sont en baisse de 10% depuis la rentrée par rapport à la même période de 2024, s’est félicité mardi à Bobigny le ministre de l’Education nationale, Edouard Geffray, célébrant la laïcité comme un principe “merveilleux” depuis 120 ans.”La laïcité est la plus forte et les chiffres le confirment”, a assuré à la presse le ministre, selon lequel “les atteintes à la laïcité depuis deux ans n’ont pas cessé de diminuer”.”On est à 1.300 atteintes au sens très, très large (depuis septembre, ndlr), c’est 10% de moins que l’année dernière” sur la même période, a dit le ministre. Edouard Geffray s’exprimait, au sein de la préfecture de Seine-Saint-Denis, à l’issue d’une cérémonie joyeuse à laquelle participaient une foule d’élèves, de professeurs et de personnels de l’Éducation nationale du département, ayant rivalisé de créativité (par des concerts, saynètes, expositions) pour marquer les 120 ans de la loi de séparation des Églises et de l’État, promulguée le 9 décembre 1905. Des écoliers ont ainsi chanté “toi et moi dans la même histoire (…) même si dans la vie tout nous sépare”, avant que le mot laïcité soit accroché 120 fois, traduit en 120 langues, sur des panneaux bleu, blanc et rouge.S’adressant à ces élèves, le ministre a fait l’éloge de la laïcité en assurant: “Quand vous êtes à l’école, on respecte vos convictions, on vous met à l’abri de l’expression qui serait un peu offensive, ce qu’on appelle le prosélytisme”. “Vos professeurs, quand ils rentrent dans une salle de classe, ne se disent pas +Ah tiens, un élève chrétien, un élève juif, un élève musulman, un élève athée, un élève ceci, un élève cela+… Tout ce qu’ils voient, c’est des enfants de la République” qu’ils veulent faire réussir, a-t-il ajouté.”Il y a des gens qui cherchent à faire croire que (la laïcité) serait contre les religions”, a insisté l’ancien directeur général de l’enseignement scolaire, assurant qu’au contraire “il n’y a pas plus respectueux des religions que la laïcité”, “c’est la condition de notre unité (…), c’est absolument merveilleux” depuis plus d’un siècle.Devant des journalistes, le ministre a déclaré que ce qui menace la laïcité, “ce sont les radicalités religieuses, l’islamisme qui a frappé Samuel Paty et Dominique Bernard”, assassinés il y a cinq ans et deux ans. Mais il a aussi fait valoir que les perturbations pendant les hommages à ces deux professeurs avaient elles aussi diminué, passant “de 174 l’an dernier à 66 cette année”. 

Thousands flee DR Congo fighting as M23 enters key cityTue, 09 Dec 2025 20:51:50 GMT

M23 fighters entered the key eastern Democratic Republic of Congo city of Uvira late on Tuesday, sources said, with thousands fleeing across the border into Burundi to escape the Rwanda-backed militia’s latest advance.According to military and security sources, the militia’s fighters entered the strategic border town at the gates of Burundi from the north, after the …

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Le candidat PS à la mairie de Paris Emmanuel Grégoire favorable à une vente du Parc des Princes au PSG

Emmanuel Grégoire, candidat socialiste à la mairie de Paris, s’est déclaré favorable à la vente du Parc des Princes au Paris Saint-Germain, affirmant vouloir “sortir des postures pour trouver une issue” et maintenir le club dans la capitale dès 2026, dans un entretien diffusé mardi par L’Équipe.Alors que les négociations sont actuellement au point mort, l’ancien premier adjoint d’Anne Hidalgo souhaite soumettre “deux options” au Conseil de Paris pour débloquer la situation: un bail de longue durée ou une cession pure et simple de l’enceinte.”Oui, Maire, la vente est une option que je proposerai au Conseil de Paris”, assure l’élu, marquant une rupture avec la ligne actuelle de la municipalité.La ville est en froid depuis plusieurs années avec les dirigeants du PSG, qui souhaitaient racheter le stade pour mener à bien leurs travaux d’aménagement et d’agrandissement, afin notamment de passer d’une jauge de 48.000 à 60.000 places.Face au refus persistant de la mairie, le patron qatari du PSG Nasser Al-Khelaïfi avait annoncé en février 2024 vouloir quitter la capitale. Dix sites franciliens avaient alors manifesté leur intérêt pour accueillir le club. Cette éventuelle cession serait toutefois encadrée par des clauses strictes, interdisant notamment le “naming” pour préserver l’appellation “Parc des Princes” et obligeant le site à rester un stade de football, même en cas de faillite du club ou de revente par l’actionnaire.La Ville conserverait par ailleurs un “droit prioritaire de rachat” et exigerait une protection patrimoniale du bâti.Au-delà du stade, Emmanuel Grégoire dit porter un projet de “Nouveau Parc des Princes” incluant la couverture d’une partie du périphérique pour créer un jardin et le développement d’une zone commerciale à la Porte de Saint-Cloud pour augmenter les revenus du club.Ce programme immobilier permettrait au PSG de développer des activités économiques (musée, loisirs) tout en finançant la rénovation d’équipements sportifs de proximité, comme des gymnases souterrains.”Je souhaite dire aux Parisiennes et Parisiens qui souhaitent que le PSG reste au Parc des Princes que c’est possible”, conclut le candidat, qui espère concrétiser ce projet “dès 2026”.

Budget de la Sécu: le pari réussi d’Olivier Faure

Olivier Faure misait gros. En mettant tout son poids dans la balance pour faire adopter par l’Assemblée le budget de la Sécu, que peu souhaitaient endosser il y a encore quelques jours, le patron du PS a réussi son pari, celui du compromis avec les macronistes. Un rejet du budget de la Sécu “serait un échec personnel pour moi”, reconnaissait-il pendant la journée de mardi, quand l’issue du vote était encore incertaine et qu’il cherchait, de son propre aveu, “à convaincre des gens de toutes formations politiques” de voter pour ce texte. Poussant ainsi le député RN Laurent Jacobelli à ironiser: “Olivier Faure devient officiellement ministre des Relations avec le Parlement”.Car lundi matin, le dirigeant socialiste avait fait tapis en appelant les députés de son groupe à voter pour ce budget “de compromis” de la Sécurité sociale afin qu’il puisse être adopté, faute de majorité par ailleurs.C’était là un – léger – tabou qui sautait, tant les socialistes n’osaient admettre qu’il faudrait donner un feu vert à ce budget, pour que soit validée notamment la suspension de la réforme des retraites, véritable victoire à leurs yeux. Et sans usage du 49.3 par le gouvernement, comme ils l’avaient demandé. “On cherche la possibilité de s’abstenir”, promettait encore il y a moins de deux semaines un cadre PS.Mais les abstentions annoncées des Républicains et de Horizons – qui font pourtant partie du “socle commun” avec le parti présidentiel Renaissance – ont poussé les socialistes à franchir le Rubicon: sous l’impulsion d’Olivier Faure, 63 des 69 députés socialistes ont finalement endossé le budget de la Sécu mardi soir. “C’est une victoire politique qu’il a su construire de manière patiente, précise et inédite pour améliorer la vie des Français”, se félicite auprès de l’AFP Pierre Jouvet, le secrétaire général du PS.  – “Affirmation socialiste” -Malgré les habituels procès en trahison des Insoumis – qui reprochent à Olivier Faure d’être devenu un supplétif de la Macronie et un soutien du gouvernement – les socialistes se vantent d’avoir “nettoyé le musée des horreurs” que constituait à leurs yeux le projet initial du gouvernement. Pour ce faire, le flegmatique député de Seine-et-Marne, réputé fin tacticien mais difficilement sondable, a pu compter sur la bonne relation qu’il a su nouer avec le Premier ministre Sébastien Lecornu – alors que ses rapports avec l’ancien locataire de Matignon François Bayrou étaient bien plus mauvais. “Faure et Lecornu ils ont une histoire d’amour. Ils s’appellent le matin pour se dire +ça va t’as bien dormi?+”, raconte avec humour un cadre socialiste. Mais pour quels gains finaux?Le budget de la Sécu n’est pas encore officiellement voté par le Parlement, et doit retourner au Sénat avant de revenir une dernière fois à l’Assemblée, pour être adopté définitivement.Et sur le budget de l’Etat (PLF), encore à l’examen par le Parlement, la partition s’annonce encore plus compliquée tant la version initiale du gouvernement semble difficilement acceptable pour les socialistes. “Si le gouvernement veut reproduire l’exploit de faire voter un PLF comme le PLFSS, il faut qu’il ait la même approche” de compromis, a résumé Olivier Faure mardi soir.  “Pour l’instant, il n’y a aucune voie de passage pour arriver”, a-t-il cependant mis en garde sur BFMTV, prédisant le recours par le gouvernement d’une “loi spéciale” sur ce budget.Cette méthode a en tout cas permis au PS de reprendre un rôle central sur l’échiquier politique à l’approche des élections municipales, notamment en rompant définitivement avec La France insoumise.”Avec le budget, le PS veut faire de l’affirmation socialiste en vue des municipales. Ils veulent apparaître le plus éloigné de nous possible. Mais en faisant cela, ils actent leur nouvelle alliance avec les macronistes et surtout entérinent des reculs sociaux terribles”, dénonce l’eurodéputée et cadre LFI Manon Aubry. Outre l’échéance de 2026, la présidentielle de 2027 pourrait-elle également être un objectif pour Olivier Faure? Malgré ses volontés de compromis ces derniers mois, sa cote de popularité n’a pas explosé. “Ces derniers temps, il a fait plein de JT de 20h et rien n’a changé pour lui dans les sondages. Je ne l’explique pas”, note le cadre socialiste susnommé.L’intéressé, lui, jure ne pas s’en préoccuper.

Tanzania streets deserted as heavy security spooks protestersTue, 09 Dec 2025 20:10:06 GMT

Tanzania’s biggest city was deserted on Tuesday, with a heavy security presence apparently deterring planned anti-government demonstrations over election violence in October.Police last week banned the proposed rallies, which were called in response to the violent crackdown on unrest during the October 29 election. President Samia Suluhu Hassan was declared the winner with 98 percent of …

Tanzania streets deserted as heavy security spooks protestersTue, 09 Dec 2025 20:10:06 GMT Read More »