Trêve Thaïlande-Cambodge: les déplacés commencent à rentrer

De premiers habitants déplacés par le conflit frontalier entre la Thaïlande et le Cambodge ont commencé timidement à rentrer chez eux dimanche, au lendemain de l’annonce d’un cessez-le-feu jusqu’ici respecté, tout en restant méfiants.Kanlaya Somjettana a évacué son village de la province thaïlandaise de Surin, tout proche de la frontière contestée, dès le début des hostilités, le 7 décembre, en compagnie de son bébé de sept mois. “J’espère vraiment que ce cessez-le-feu tiendra longtemps et qu’on pourra rentrer chez nous”, témoigne-t-elle par téléphone à l’AFP, depuis un centre d’hébergement d’urgence. “Mais je ne rentrerai pas tant que les autorités n’auront pas confirmé que c’est sûr”.”J’ai vu des dizaines de personnes rentrer chez elles ce matin. La plupart s’inquiétaient pour leur bétail”, poursuit la jeune maman de 21 ans. “Personne ne leur a dit qu’on pouvait rentrer, mais on a entendu aux informations qu’il y avait un cessez-le-feu”.Saichon Wongpitak, agricultrice cultivant du riz et du manioc, ne pouvait plus attendre et prévoyait dimanche après-midi de rentrer chez elle, dans la province thaïlandaise de Sisaket. “Notre voisin m’a dit qu’il n’y avait pas eu de coups de feu depuis hier”, a dit Saichon, 38 ans, à l’AFP. “Nous avons peur… mais nous avons du travail à faire, du bétail, notre ferme”. Saichon ne s’attend pas à ce que cette trêve dure longtemps “avant que le Cambodge ne reprenne les combats”. “Je vis à la frontière et j’ai appris à ne pas faire confiance au Cambodge”, dit-elle.Du côté cambodgien, on ne dit pas autre chose. Kot Ngik, 43 ans, originaire d’un autre camp de déplacés à Banteay Meanchey, au Cambodge, s’est dite reconnaissante de la trêve, car elle pourrait permettre aux enfants de retourner bientôt à l’école. Mais “nous ne faisons pas encore confiance à l’armée thaïlandaise”, a-t-elle dit. “Ils pourraient reprendre les combats à tout moment”.- “Un peu d’espoir” -So Choeun, 35 ans, s’attendait à accoucher dans les jours qui suivraient et espérait ensuite ramener son bébé chez elle, à environ un kilomètre de la frontière.Mais pas encore, a dit cette femme réfugiée avec sa famille sous des tentes de fortune dans une pagode bouddhiste de la province de Banteay Meanchey. “Nous n’osons pas encore rentrer chez nous. Nous avons toujours peur”, a-t-elle confié à l’AFP. “Nous allons attendre quelques jours pour voir comment la situation évolue”. “Au moins, ce cessez-le-feu nous donne un peu d’espoir”.Les deux pays ont conclu une trêve samedi après trois semaines d’affrontements le long de leur frontière de 800 kilomètres, dont ils contestent de longue date le tracé, hérité de la période coloniale française.Donald Trump a félicité dimanche les dirigeants de la Thaïlande et du Cambodge “pour leur brillante démarche”, sur son réseau Truth Social, ajoutant que les Etats-Unis “étaient fiers d’avoir aidé” à faire cesser les tirs.Au moins 47 personnes sont mortes — 26 côté thaïlandais et 21 côté cambodgien — et près d’un million ont été contraintes d’évacuer.Un responsable de l’armée de l’air thaïlandaise, Prapas Sornchaidee, a indiqué à l’AFP qu’aucun tir n’avait été rapporté près de 24 heures après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu.”Les habitants ont commencé à rentrer chez eux”, a-t-il dit.Le ministre thaïlandais de la Défense, Nattaphon Narkphanit, avait évoqué la veille une “période d’observation” de 72 heures afin d’évaluer le respect de la trêve.La situation est “calme”, a souligné le ministère cambodgien de la Défense, mais les habitants déplacés n’ont pas encore eu le feu vert des autorités pour rentrer.”On attend de voir un peu plus comment les choses évoluent”, a dit à l’AFP le porte-parole de la province cambodgienne d’Oddar Meanchey, Met Measpheakdey.La Chine participe aux efforts de médiation et son ministre des Affaires étrangères, Wang Yi, reçoit les ministres cambodgien et thaïlandais des Affaires étrangères pour des entretiens dans la province du Yunnan, dimanche et lundi. Le cessez-le-feu “a ouvert la voie à la reconstruction de la paix”, a dit M. Wang à son homologue cambodgien, Prak Sokhonn, selon un communiqué du ministère chinois des Affaires étrangères.burs-sdu/vgu/ial/ib/mm 

Italie: l’AC Milan domine Vérone avec un doublé de Nkunku

L’AC Milan, avec un doublé de Christopher Nkunku auteur de ses premiers buts cette saison, a facilement pris la mesure de Vérone (3-0) dimanche pour prendre provisoirement la tête de la série A lors de la 17e journée.Dans l’attente du déplacement en soirée de l’Inter à l’Atalanta Bergame, les Rossoneri s’emparent de la première place avec 35 points pour 33 aux Nerazzurri.En déplacement, Naples a profité de son déplacement à Cremonese pour passer de la quatrièmee à la deuxième place avec 34 points. Les champions en titre se sont imposé 2 à 0 grâce à Rasmus Hoejlund (13e et 45e).Nkunku, arrivé en Italie l’été dernier en provenance de Chelsea pour 37 millions d’euros, n’avait pas encore inscrit le moindre but cette saison en 14 matches de championnat.De quoi soulever de nombreuses critiques et pousser les dirigeants milanais à recruter Niklas Füllkrug, le buteur allemand de West Ham qui sera qualifié dès le 1er janvier et était présent dimanche en tribunes à San Siro.Cela a-t-il fouetté l’orgueil du Français ? Toujours est-il que l’ancien joueur du Paris SG est apparu à son avantage en signant un doublé après le but d’ouverture de Christian Pulisic juste avant la pause (45e+1).D’abord en se faisant justice sur penalty à la suite d’une faute de Victor Nelsson (48e) puis en battant Lorenzo Montipo après avoir bien suivi un tir de Luka Modric repoussé par le poteau (53e).”C’est un gars sensible, qui veut bien faire”, a expliqué son entraineur, Massimiliano Allegri. “Je pense qu’il peut continuer à s’améliorer, comme nous le devons tous.””On va avoir besoin de tout le monde parce qu’on a un programme très chargé en janvier”, a-t-il poursuivi.

Zelensky rencontre Trump, en quête d’un accord pour un nouveau plan de paix

Fort du soutien des Européens, Volodymyr Zelensky rencontre Donald Trump dimanche en Floride, espérant sceller une nouvelle version du plan de paix pour l’Ukraine, après de nouvelles frappes massives de Moscou contre Kiev.La rencontre, prévue dans la résidence Mar-a-Lago de Donald Trump à 13H00 (18H00 GMT), sera la première entre les deux présidents depuis le mois d’octobre, lorsque l’Ukrainien était venu demander – en vain – des missiles Tomahawk à son homologue américain.Cette fois Volodymyr Zelensky vient chercher l’imprimatur de Donald Trump sur une nouvelle version du plan de paix en Ukraine, présenté par Washington il y a près d’un mois.Le président ukrainien a dévoilé cette semaine la nouvelle mouture de ce document, retravaillé après d’âpres négociations réclamées par Kiev, qui jugeait la première version beaucoup trop proche des revendications russes.La nouvelle version propose un gel du front sur les positions actuelles sans offrir de solution immédiate face aux revendications territoriales de la Russie, qui contrôle environ 20% de l’Ukraine.Le nouveau document abandonne aussi deux exigences clés du Kremlin: un retrait des troupes ukrainiennes de la région de Donetsk et un engagement de l’Ukraine juridiquement contraignant de non-adhésion à l’Otan.- Nouvelles frappes russes -Samedi, lors d’une étape à Halifax au Canada, le président ukrainien a reçu le soutien appuyé d’Ottawa ainsi que des Européens et de l’Otan.Dimanche, après la rencontre Trump-Zelensky à Mar-a-Lago, un appel téléphonique entre les deux hommes et des dirigeants européens est prévu, a par ailleurs annoncé un porte-parole de Kiev.”Nous devons mettre fin à cette guerre, et pour cela, nous avons besoin de deux choses: exercer une pression sur la Russie et apporter un soutien suffisamment fort à l’Ukraine”, a encore répété samedi Volodymyr Zelensky.L’accueil que lui réservera Donald Trump est toutefois incertain. Le chef de l’Etat ukrainien n’aura “rien tant que je ne donne pas mon accord”, a déclaré le président américain au site internet Politico vendredi, plantant le décor de la rencontre.Donald Trump s’est néanmoins montré confiant. “Je pense que ça se passera bien avec lui. Je pense que ça se passera bien avec (le président russe Vladimir) Poutine”, avec lequel il prévoit de s’entretenir “bientôt”.Accroissant la pression sur le terrain, la Russie a samedi pilonné Kiev et sa région, privant d’électricité durant des heures plus d’un million de foyers, puis annoncé la prise de deux nouvelles villes dans l’est de l’Ukraine.”Si les autorités de Kiev ne souhaitent pas régler ce différend pacifiquement, nous réglerons tous les problèmes qui se présentent à nous par la force”, a lancé samedi le président russe Vladimir Poutine.Pour la Russie, qui a trouvé en Donald Trump un relai efficace de certaines de ses revendications “l’Europe et l’Union européenne sont devenues le principal obstacle à la paix”, selon le ministre des Affaires étrangères Serguei Lavrov.- Frustration américaine -Donald Trump ne cache plus son agacement face à l’étirement des négociations. Il “est extrêmement frustré par les deux camps”, avait déclaré le 11 décembre sa porte-parole Karoline Leavitt. Le 19 décembre, le dirigeant américain avait pressé l’Ukraine de “bouger”.Volodymyr Zelensky le convaincra-t-il d’adresser le même genre de message à Moscou, alors que la dernière version du plan paraît inacceptable pour les Russes?Outre le sort du Donbass, cette région de l’est de l’Ukraine que Moscou revendique, et celui de la centrale nucléaire de Zaporijjia occupée par les soldats russes, dans le sud, les deux dirigeants devraient évoquer les garanties de sécurité que les Occidentaux pourraient fournir dans le cadre d’un éventuel accord de paix.Ces “garanties de sécurité doivent arriver en même temps que la fin de la guerre,” a insisté Volodymyr Zelensky samedi.Le président américain a laissé entendre que selon lui, l’Ukraine avait intérêt à figer la ligne de front face à de futures avancées russes qu’il juge inévitables.”La Russie a l’avantage. Et elle l’a toujours eu”, a-t-il lancé le 8 décembre.

Zelensky to push new Ukraine peace deal in meeting with Trump

President Volodymyr Zelensky will push a new peace plan for Ukraine when he sits down with Donald Trump in Florida on Sunday, bolstered by the backing of European leaders but with his capital Kyiv still reeling from a massive Russian bombardment.The US president has been non-committal on the revised 20-point proposal for ending the nearly four-year conflict, while Russian leader Vladimir Putin has offered no indication that Moscow would find it acceptable.Trump has made ending the Ukraine war a centerpiece of his second term as a self-proclaimed “president of peace,” and he has repeatedly blamed both Kyiv and Moscow for the failure to secure a ceasefire.Sunday’s meeting, to be hosted by Trump at his Mar-a-Lago residence at 1:00 pm (1800 GMT), will be their first in-person encounter since October, when the US president refused to grant Zelensky’s request for long-range Tomahawk missiles.And the Ukrainian leader could face another hard sell this time around, with Trump insisting that he “doesn’t have anything until I approve it.”- European allies -The talks are expected to last an hour, after which the two presidents are scheduled to hold a joint call with the leaders of key European allies.The revised peace plan, which emerged from weeks of intense US-Ukraine negotiations, would stop the war along its current front lines and could require Ukraine to pull troops back from the east, allowing the creation of demilitarized buffer zones.As such, it contains Kyiv’s most explicit acknowledgement yet of possible territorial concessions.It does not, however, envisage Ukraine withdrawing from the 20 percent of the eastern Donetsk region that it still controls — Russia’s main territorial demand.Before landing in Florida, Zelensky made a stopover in Canada during which he held a conference call with European allies, who pledged their full support for his peace efforts and vowed to maintain pressure on Moscow.The Ukrainian leader said he hoped the talks in Florida would be “very constructive,” and stressed that Putin had shown his hand with a deadly drone and missile assault on Kyiv that temporarily knocked out power and heating to hundreds of thousands of residents during freezing temperatures.”This attack is again Russia’s answer on our peace efforts. And this really showed that Putin doesn’t want peace,” he said.He also told reporters that he would press Trump on the importance of providing security guarantees that would prevent any renewed Russian aggression if a ceasefire were secured.”We need strong security guarantees. We will discuss this and we will discuss the terms,” he said.Ukraine insists it needs more European and US funding and weapons — especially drones.- Russian opposition -Russia has accused Ukraine and its European backers of trying to “torpedo” a previous US-brokered plan to stop the fighting, and recent battlefield gains — Russia announced on Saturday it had captured two more towns in eastern Ukraine — are seen as strengthening Moscow’s hand when it comes to peace talks.”If the authorities in Kyiv don’t want to settle this business peacefully, we’ll resolve all the problems before us by military means,” Putin said on Saturday.Russian Foreign Minister Sergei Lavrov told state news agency TASS that Moscow would continue its engagement with US negotiators but criticized European governments as the “main obstacle” to peace.”They are making no secret of their plans to prepare for war with Russia,” Lavrov said, adding that the ambitions of European politicians are “literally blinding them.”

Brigitte Bardot, la passionaria des animaux

En 1973, Brigitte Bardot, décédée dimanche, faisait une croix sur le cinéma et son statut d’icône mondiale pour se consacrer entièrement au combat de sa vie, la cause animale.”Ma première partie de vie fut comme le brouillon de mon existence”, la deuxième a apporté “les réponses aux questions que je me posais jusque-là”, affirmait l’ancienne actrice, alors âgée de 83 ans, dans son livre testament “Larmes de combat” en 2018.”Tout est parti d’une conviction que j’avais: l’humanité n’est pas au centre du monde, l’animal n’est pas esclave de l’homme, l’asservir et le maltraiter nous rend inhumains”, expliquait B.B.Sa disparition a déclenché une salve d’hommages parmi les défenseurs de la cause animale. Brigitte Bardot était “un ange pour les animaux”, a salué l’association Peta. Pour la SPA, elle a “ouvert la voie à des combats qui restent plus que jamais d’actualité”. “Ton départ laisse un vide immense. Soyons nombreuses et nombreux à reprendre le flambeau”, a de son côté réagi le journaliste Hugo Clément, connu pour son engagement en faveur des animaux. La première bataille de la star remonte à 1962. Au sommet de sa gloire, elle est sensibilisée aux conditions d’abattage du bétail par son premier mari Roger Vadim, puis par Jean-Paul Steiger, fondateur du club des Jeunes amis des animaux. Au début des années 1960, ce dernier s’était introduit dans un abattoir pour prendre des photos.”Ces clichés m’ont horrifiée. Je devais faire quelque chose”, raconte Brigitte Bardot. Elle dénonce à la télévision les égorgements d’animaux conscients, “des traitements dignes du Moyen- Age”, et rencontre le ministre de l’Intérieur, Roger Frey, sans que rien ne change.En 1977, avec sa spectaculaire arrivée sur la banquise pour sauver les bébés phoques et sa photo avec un nouveau-né, un “blanchon”, en Une de Paris Match, elle affiche sa nouvelle image. “J’ai tout appris de mon +sacerdoce+ de défenseur des animaux avec cette bataille”, confiait-elle.A partir de là, toutes les bêtes (visons, chiens, chats, civettes, éléphants, baleines, tourterelles, pigeons, ours, ânes, chevaux, loups) ont trouvé leur porte-parole. – “Ridiculisée” -C’est aussi à cette époque qu’elle partage sa vie avec un autre défenseur des animaux: le journaliste Allain Bougrain-Dubourg, connu pour ses émissions animalières dans les années 1980. De 1989 à 1992, elle présente sur TF1 son émission “SOS animaux”, qui enregistrait un taux exceptionnel d’écoute malgré l’heure tardive. “Ce côté pionnier m’a coûté cher. On m’a ridiculisée, on m’a méprisée pour cela”, estimait-elle dans son livre.S’appuyant sur son image et sa popularité, elle crée en 1986 sa Fondation, pour laquelle elle a tout donné, “son nom, son temps et ses revenus”. La Fondation Brigitte Bardot démarre dans “une petite chambre d’ami de La Madrague”, sa propriété de Saint-Tropez, avec les moyens du bord, avant de déménager à Paris. Elle mène une lutte tenace contre la chasse à courre, la vivisection, les pièges à mâchoires, la corrida, les delphinariums…Protectrice ombrageuse des animaux, Brigitte Bardot était aussi une habile stratège. Dénonciations à la télévision, communiqués de presse, manifestations, participation à des conférences internationales, interpellations de politiques, lettres aux chefs d’État, invectives, injures…. Tout était bon pour mener son combat.En avril 2023, elle invectivait sur Twitter Emmanuel Macron, le “président des chasseurs”, qui l’avait reçue à l’Élysée en 2018. – “Beauté sans artifice” -“Cinq ans après, oui je vous engueule Emmanuel Macron car je suis en colère face à votre inaction, votre lâcheté, votre mépris des Français (qui vous le rendent bien il est vrai)”, lâchait-elle dans une lettre ouverte, lui reprochant de ne pas assez faire pour la condition animale. Avant cela, la militante avait demandé à François Mitterrand la création d’un “Secrétariat d’État à la cause animale”. Elle avait aussi plaidé auprès de Nicolas Sarkozy et François Hollande.L’ex-actrice, devenue végétarienne, avait fait de l’hippophagie “une de (ses) dernières batailles” et espérait “voir l’abolition “avant (sa) mort” de la consommation de cheval.Opposée à l’abattage traditionnel de moutons liés à la fête musulmane de l’Aïd el-Kébir, Brigitte Bardot s’en est aussi pris aux musulmans, ce qui lui a valu des condamnations pour incitation à la haine raciale.Dans “Mon BBcédaire”, livre paru en septembre 2025 et entièrement rédigé de sa main, Bardot s’élevait encore contre l’élevage “qui conduit (les animaux) à l’abattoir”, les zoos, ou les laboratoires, “lieux de douleurs infinies”.Sous le mot “Beauté”, elle écrivait que “seuls les animaux en sont porteurs sans artifice”.

La Centrafrique aux urnes, Touadéra sur la voie d’un troisième mandat

Les électeurs centrafricains ont commencé à voter pour l’élection présidentielle où le sortant Faustin-Archange Touadéra part favori pour un troisième mandat consécutif en se targuant d’avoir stabilisé ce pays abonné aux conflits.Quelque 2,3 millions d’électeurs sont appelés à voter entre 05h00 et 17h00 GMT pour ces élections à la fois présidentielle, législatives, municipales et régionales.Escorté …

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Le Kosovo vote pour tenter de sortir d’un an de blocage politique

Les électeurs kosovars votent ce dimanche pour des élections législatives anticipées, avec l’espoir de dégager une majorité claire pour sortir de la crise politique dans laquelle le pays est englué depuis dix mois.À 11H00 (10H00 GMT), 8,27% des citoyens avaient voté, un taux de participation globalement conforme à celui des élections de février, qui n’avaient …

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