La sortie du jeu vidéo James Bond “007 First Light” repoussée de deux mois

La sortie du nouveau jeu vidéo dédié à James Bond, “007 First Light”, a été repoussée au 27 mai, soit un report de deux mois, a annoncé le studio danois IO Interactive.  “Ces deux mois supplémentaires vont nous permettre d’affiner et peaufiner l’expérience, afin de livrer la meilleure version possible (du jeu) dès son lancement”, …

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Trump s’en prend avec une violence renouvelée aux “late shows” et aux chaînes de télé

Donald Trump s’en est pris avec une violence renouvelée aux “late shows”, des émissions télévisées humoristiques dont il est une cible de prédilection, et plus généralement aux chaînes de télévision, agitant à nouveau la menace d’une suppression de leurs licences.Le président américain a choisi un vocabulaire particulièrement hostile pour réclamer la fin de l’émission de …

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Zelensky reveals US-Ukraine plan to end Russian war, key questions remain

Ukraine won some limited concessions in the latest version of a US-led draft plan to end the Russian invasion, President Volodymyr Zelensky has revealed, though key questions remain over territory and whether Moscow could accept the new terms.The 20-point plan, agreed on by US and Ukrainian negotiators, was being reviewed by Moscow. The Kremlin has previously not shown a willingness to abandon its hardline territorial demands for full Ukrainian withdrawal from the east.Zelensky conceded there were some points in the document that he did not like, but that Kyiv had succeeded in removing immediate requirements for Ukraine to withdraw from the Donetsk region or that land seized by Moscow’s army would be recognised as Russian.Nevertheless, the Ukrainian leader still indicated the proposal would pave the way for Kyiv to pull some troops back, including from the 20 percent of the Donetsk region that it controls, where demilitarised zones would be established.It also got rid of demands that Kyiv must legally renounce its bid for NATO membership.Zelensky presented the plan during a two-hour briefing with journalists, reading from a highlighted and annotated version.”In the Donetsk, Lugansk, Zaporizhzhia, and Kherson regions, the line of troop deployment as of the date of this agreement is de facto recognised as the line of contact,” Zelensky said of the latest version.”A working group will convene to determine the redeployment of forces necessary to end the conflict, as well as to define the parameters of potential future special economic zones,” he added.This appears to suggest the plan opens the way for, but delays, options that Ukraine was previously reluctant to consider — a withdrawal of troops and the creation of demilitarised zones.”We are in a situation where the Russians want us to withdraw from the Donetsk region, while the Americans are trying to find a way,” Zelensky said.”They are looking for a demilitarised zone or a free economic zone, meaning a format that could satisfy both sides,” he continued.- ‘Let him croak’ -US President Trump is trying to broker an to end the four-year war, triggered by Russia’s 2022 invasion.Tens of thousands have been killed, eastern Ukraine decimated and millions forced to flee their homes.Russian troops are advancing on the front and hammering cities and Ukraine’s energy grid with nightly missile and drone barrages. Moscow’s defence ministry on Wednesday said it had captured another Ukrainian settlement in the southern Zaporizhzhia region.Russia in 2022 claimed to have annexed four Ukrainian regions — Donetsk, Kherson, Lugansk and Zaporizhzhia — in addition to the Crimean peninsula which it seized in 2014.President Vladimir Putin has shown no willingness to compromise, doubling down on his hardline demands for a sweeping Ukrainian withdrawal and a string of political concessions that Kyiv and its European backers have previously cast as capitulation.In a Christmas Eve address to the nation later on Wednesday, Zelensky appeared to wish death upon the Russian leader.”Today we all have one dream. And we make one wish for everyone: Let him croak,” he said, a reference widely understood to be about Putin.- NATO, nuclear plant, elections -Any plan that involves Ukraine pulling back its troops would need to pass a referendum in Ukraine, Zelensky said.”A free economic zone. If we are discussing this, then we need to go to a referendum,” Zelensky said, referring to plans to designate areas Ukraine pulls out from as a demilitarised free trade zone.On NATO, Zelensky said: “It is the choice of NATO members whether to have Ukraine or not. Our choice has been made. We moved away from the proposed changes to the Constitution of Ukraine that would have prohibited Ukraine from joining NATO.”Nevertheless, the prospects of Ukraine being admitted to the bloc appear slim-to-none, as it has been ruled out by Washington.Moscow has repeatedly said NATO membership for Ukraine is unacceptable, presenting it as one of the reasons it invaded in the first place.The plan sees joint US-Ukrainian-Russian management of the Zaporizhzhia nuclear power plant, occupied by Russian troops. Zelensky said he does not want any Russian oversight of the facility.He also said Ukraine would hold presidential elections only after an agreement is signed — something both Putin and Trump have been pushing for.Kremlin spokesman Dmitry Peskov told reporters Moscow was “formulating its position” and declined to comment on the specifics of the latest plan. 

Brandt: un industriel français propose de sauver 150 emplois à Orléans

Un cadeau de Noël pour des salariés de Brandt? L’homme d’affaires Stephan Français, patron de Thomson Computing, a proposé mercredi de reprendre l’usine d’Orléans du groupe d’électroménager en liquidation judiciaire et de sauver 150 emplois.Il prévoit de continuer une partie de la production de petit et gros électroménager, l’activité historique de Brandt, et d’y ajouter celle de produits électroniques et informatiques, coeur de métier de Thomson Computing.”Aujourd’hui nous avons une solution de reprise, de redémarrage, de renouveau, (…) elle s’appelle Stephan Français”, s’est félicité le maire d’Orléans Serge Grouard, lors d’une conférence de presse commune avec le patron de 56 ans.L’homme d’affaires a évoqué un budget de 25 millions d’euros pour cette reprise. La mairie d’Orléans a précisé à l’AFP que 9 millions d’euros seraient apportés par des entités publiques (Etat, région et métropole d’Orléans) et qu’un tour de table avec les banques était en discussion.Le projet porte sur une reprise du site d’Orléans, de loin le plus important de Brandt. Il rassemblait 350 salariés sur les 700 que comptait l’entreprise, avant la liquidation.”Il faut aller très vite pour relancer la machine, relancer la production, garder un coeur de salariés et garder le plus de clients possible”, a martelé M. Grouard, devant des journalistes réunis à l’hôtel de ville. Il a qualifié le projet de “sérieux”, même s’il présente une “part de risque”.L’élu se démène depuis plusieurs semaines pour trouver une solution afin de sauver Brandt, fleuron industriel français qui comptait deux usines en Centre-Val de Loire, à Vendôme (Loir-et-Cher) et à Saint-Jean-de-la-Ruelle (Loiret), au sein de l’agglomération orléanaise.L’entreprise, basée à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), disposait aussi d’un service après-vente à Saint-Ouen-l’Aumône (Val-d’Oise).Le repreneur a dit mercredi sa “volonté de racheter (…) le savoir-faire de Brandt, De Dietrich, Sauter, Vedette”, les quatre grandes marques du groupe.Se disant attentif à la “maîtrise des coûts”, M. Français a précisé qu’il commencerait avec “150 salariés” dès l’année prochaine. “Après, progressivement, si les résultats sont là, on embauchera”, a-t-il affirmé, évoquant “jusqu’à 250 salariés sur un plan à cinq ans”.”Les personnes de la R&D (recherche et développement, ndlr), du marketing, du commerce (…) c’est ceux là que je prendrai”, a précisé sur RTL M. Français, expliquant qu’il ne souhaitait plus “usiner les pièces”.”Mon idée c’est de pouvoir essayer de reprendre début février si c’est possible”, a-t-il ajouté. – Bercy reste prudent -M. Français souhaite s’appuyer sur l’expérience de son entreprise actuelle, lointaine héritière du géant industriel français Thomson.Pour prendre vie, le projet de reprise du site d’Orléans de Brandt devra cependant être validé par le tribunal des activités économiques de Nanterre qui a prononcé le 11 décembre la liquidation judiciaire de l’entreprise, a souligné M. Français.Un appel d’offres pour la reprise de l’usine doit être lancé courant janvier, a précisé Bercy.Le projet de M. Français aura-t-il plus de succès que celui de Scop (société coopérative et participative), soutenu par le groupe Revive, rejeté début décembre par le tribunal ?”Toute piste de reprise mérite d’être examinée avec attention, mais aucune ne saurait être tenue pour acquise sans un travail d’analyse approfondi”, a tempéré auprès de l’AFP le ministre délégué à l’Industrie, Sébastien Martin.Ce dernier avait déclaré au lendemain de la liquidation judiciaire qu’un projet industriel restait possible, pas forcément dans le secteur de l’électroménager.”L’Etat sera pleinement mobilisé pour faire émerger le projet le plus solide pour les salariés et les territoires”, a pour sa part commenté le ministre de l’Economie Roland Lescure sur le réseau social Bluesky.”On a hâte de voir les bases industrielles, sociales et financières” du projet, a réagi auprès de l’AFP le président de la région Centre-Val de Loire François Bonneau. “Attention à ne pas faire d’annonces qui conduiraient demain à une nouvelle désillusion” pour les salariés, a-t-il néanmoins prévenu.L’entreprise Brandt, centenaire et emblématique du patrimoine industriel français, pâtit depuis plusieurs décennies des temps difficiles vécus par le secteur du gros électroménager.Elle est passée au gré des rachats et liquidations judiciaires entre les mains de l’Israélien Elco, puis celles de l’Espagnol Fagor, avant d’être reprise en 2014 par le groupe algérien Cevital.

Brandt: un industriel français propose de sauver 150 emplois à Orléans

Un cadeau de Noël pour des salariés de Brandt? L’homme d’affaires Stephan Français, patron de Thomson Computing, a proposé mercredi de reprendre l’usine d’Orléans du groupe d’électroménager en liquidation judiciaire et de sauver 150 emplois.Il prévoit de continuer une partie de la production de petit et gros électroménager, l’activité historique de Brandt, et d’y ajouter celle de produits électroniques et informatiques, coeur de métier de Thomson Computing.”Aujourd’hui nous avons une solution de reprise, de redémarrage, de renouveau, (…) elle s’appelle Stephan Français”, s’est félicité le maire d’Orléans Serge Grouard, lors d’une conférence de presse commune avec le patron de 56 ans.L’homme d’affaires a évoqué un budget de 25 millions d’euros pour cette reprise. La mairie d’Orléans a précisé à l’AFP que 9 millions d’euros seraient apportés par des entités publiques (Etat, région et métropole d’Orléans) et qu’un tour de table avec les banques était en discussion.Le projet porte sur une reprise du site d’Orléans, de loin le plus important de Brandt. Il rassemblait 350 salariés sur les 700 que comptait l’entreprise, avant la liquidation.”Il faut aller très vite pour relancer la machine, relancer la production, garder un coeur de salariés et garder le plus de clients possible”, a martelé M. Grouard, devant des journalistes réunis à l’hôtel de ville. Il a qualifié le projet de “sérieux”, même s’il présente une “part de risque”.L’élu se démène depuis plusieurs semaines pour trouver une solution afin de sauver Brandt, fleuron industriel français qui comptait deux usines en Centre-Val de Loire, à Vendôme (Loir-et-Cher) et à Saint-Jean-de-la-Ruelle (Loiret), au sein de l’agglomération orléanaise.L’entreprise, basée à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), disposait aussi d’un service après-vente à Saint-Ouen-l’Aumône (Val-d’Oise).Le repreneur a dit mercredi sa “volonté de racheter (…) le savoir-faire de Brandt, De Dietrich, Sauter, Vedette”, les quatre grandes marques du groupe.Se disant attentif à la “maîtrise des coûts”, M. Français a précisé qu’il commencerait avec “150 salariés” dès l’année prochaine. “Après, progressivement, si les résultats sont là, on embauchera”, a-t-il affirmé, évoquant “jusqu’à 250 salariés sur un plan à cinq ans”.”Les personnes de la R&D (recherche et développement, ndlr), du marketing, du commerce (…) c’est ceux là que je prendrai”, a précisé sur RTL M. Français, expliquant qu’il ne souhaitait plus “usiner les pièces”.”Mon idée c’est de pouvoir essayer de reprendre début février si c’est possible”, a-t-il ajouté. – Bercy reste prudent -M. Français souhaite s’appuyer sur l’expérience de son entreprise actuelle, lointaine héritière du géant industriel français Thomson.Pour prendre vie, le projet de reprise du site d’Orléans de Brandt devra cependant être validé par le tribunal des activités économiques de Nanterre qui a prononcé le 11 décembre la liquidation judiciaire de l’entreprise, a souligné M. Français.Un appel d’offres pour la reprise de l’usine doit être lancé courant janvier, a précisé Bercy.Le projet de M. Français aura-t-il plus de succès que celui de Scop (société coopérative et participative), soutenu par le groupe Revive, rejeté début décembre par le tribunal ?”Toute piste de reprise mérite d’être examinée avec attention, mais aucune ne saurait être tenue pour acquise sans un travail d’analyse approfondi”, a tempéré auprès de l’AFP le ministre délégué à l’Industrie, Sébastien Martin.Ce dernier avait déclaré au lendemain de la liquidation judiciaire qu’un projet industriel restait possible, pas forcément dans le secteur de l’électroménager.”L’Etat sera pleinement mobilisé pour faire émerger le projet le plus solide pour les salariés et les territoires”, a pour sa part commenté le ministre de l’Economie Roland Lescure sur le réseau social Bluesky.”On a hâte de voir les bases industrielles, sociales et financières” du projet, a réagi auprès de l’AFP le président de la région Centre-Val de Loire François Bonneau. “Attention à ne pas faire d’annonces qui conduiraient demain à une nouvelle désillusion” pour les salariés, a-t-il néanmoins prévenu.L’entreprise Brandt, centenaire et emblématique du patrimoine industriel français, pâtit depuis plusieurs décennies des temps difficiles vécus par le secteur du gros électroménager.Elle est passée au gré des rachats et liquidations judiciaires entre les mains de l’Israélien Elco, puis celles de l’Espagnol Fagor, avant d’être reprise en 2014 par le groupe algérien Cevital.

Régulation de la tech: l’Europe s’indigne des sanctions américaines

L’Union européenne a exigé mercredi des “clarifications” et condamné fermement les sanctions “injustifiées” imposées par l’administration Trump à l’ancien commissaire Thierry Breton et quatre autres personnalités européennes engagées pour une stricte régulation de la tech et contre la désinformation.Tous les cinq sont interdits de séjour aux États-Unis et accusés de “censure” au détriment des intérêts américains par le département d’État.Des mesures “inacceptables” pour Berlin, et qui “relèvent de l’intimidation et de la coercition à l’encontre de la souveraineté numérique européenne”, pour le président français Emmanuel Macron.Il est “fondamental pour la démocratie en Europe” de protéger un “espace numérique sûr” a réagi Madrid, exprimant sa “solidarité avec l’ancien commissaire européen Thierry Breton et les dirigeants des organisations de la société civile qui luttent contre la désinformation et les discours de haine”.Le Royaume-Uni s’est joint à ces protestations, se disant “pleinement engagé à défendre le droit à la liberté d’expression”.”Si chaque pays a le droit de fixer ses propres règles en matière de visas, nous soutenons les lois et les institutions qui œuvrent pour préserver Internet des contenus les plus préjudiciables”, a déclaré un porte-parole du gouvernement britannique.Les Européens n’ont généralement pas besoin de visa pour se rendre aux États-Unis, mais doivent toutefois obtenir une autorisation électronique de voyage (ESTA).A Bruxelles, la Commission a indiqué avoir “demandé des clarifications aux autorités américaines”. “Si nécessaire, nous répondrons rapidement et de manière décisive pour défendre notre autonomie réglementaire contre des mesures injustifiées”, a-t-elle protesté dans un communiqué.Le Français Thierry Breton, ancien ministre et artisan de la directive européenne sur les services numériques, a été commissaire au Marché intérieur de 2019 à 2024, avec de larges compétences en particulier sur les dossiers numériques et industriels.Sur X, il a dénoncé un “vent de maccarthysme” aux Etats-Unis, en référence à la chasse aux sorcières anticommuniste menée par le sénateur américain Joseph McCarthy dans les années 1950.Mardi, le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio, avait fustigé “les idéologues européens (qui) mènent des actions concertées pour contraindre les plateformes américaines à sanctionner les opinions américaines auxquelles ils s’opposent”. “L’administration Trump ne tolérera plus ces actes flagrants de censure extraterritoriale”, avait-il ajouté.- L’Europe dans le collimateur -Les quatre autres Européens sanctionnés sont des représentants d’ONG luttant contre la désinformation et la haine en ligne au Royaume-Uni et en Allemagne: Imran Ahmed, qui dirige le Center for Countering Digital Hate (CCDH), Clare Melford, à la tête d’un index de la désinformation (GDI) au Royaume-Uni, ainsi que Anna-Lena von Hodenberg, fondatrice de HateAid, une ONG allemande, et Josephine Ballon, de la même association.Les sanctions américaines “constituent une attaque autoritaire contre la liberté d’expression et un acte flagrant de censure gouvernementale”, a réagi GDI dans un communiqué.”Nous ne nous laisserons pas intimider par un gouvernement qui instrumentalise les accusations de censure pour museler ceux qui défendent les droits humains et la liberté d’expression”, a protesté HateAid à Berlin.Cette organisation allemande offre un soutien psychologique et juridique aux personnes victimes de haine en ligne.Donald Trump mène une offensive d’envergure contre les règles de l’Union européenne sur la tech qui imposent aux plateformes des régulations, jugées par les États-Unis comme une atteinte à la liberté d’expression.L’UE dispose, de fait, de l’arsenal juridique le plus puissant au monde pour réguler le numérique.Washington a très mal pris l’amende de 140 millions de dollars infligée par l’UE début décembre à X, le réseau social d’Elon Musk. Donald Trump s’en prend à l’Europe depuis son retour au pouvoir.Dans sa nouvelle Stratégie de sécurité nationale, qui mentionne un “effacement civilisationnel” de l’Europe, Washington cible pêle-mêle les instances européennes “qui sapent la liberté politique et la souveraineté”, les politiques migratoires ou encore “l’effondrement des taux de natalité” sur le Vieux continent.Dès février dernier, le vice-président américain, JD Vance, avait consterné les Européens lors d’un discours à Munich dans lequel il avait affirmé que la liberté d’expression “reculait” sur le continent, épousant les vues des partis d’extrême droite.

Cyberattaque contre La Poste: la situation s’améliore à la veille de Noël, 2 millions de colis livrés mercredi

La cyberattaque, revendiquée par des hackers prorusses, qui a touché La Poste à quelques jours de Noël, est toujours en cours mercredi, sous une forme “fluctuante” et a “perdu en intensité”, selon l’opérateur postal qui a pu distribuer 5,5 millions de colis depuis lundi.”Le site internet laposte.fr particulièrement touché par l’attaque est de nouveau accessible bien que le suivi de colis reste encore dégradé”, explique La Poste dans un point de situation daté de 16H00.La distribution des colis et courriers “continue à se dérouler normalement”, ajoute La Poste, qui a “distribué 5,5 millions de colis depuis lundi matin dont 2 millions pour la seule journée du 24 décembre”.Autre point d’amélioration, “l’activité de banque en ligne a repris normalement” tout comme le bon fonctionnement des centres d’appel.L’attaque informatique est survenue lundi, au début de la première semaine des fêtes de fin d’année, période la plus dense pour La Poste. Sur les deux derniers mois de l’année, le groupe trie et distribue 180 millions de colis.La Poste, qui a déposé plainte mardi, avait assuré lundi qu’aucune donnée sensible n’avait été volée, évoquant un incident de type “déni de service”. Ces attaques informatiques consistent à surcharger des sites web et des applications par des requêtes ciblées de telle sorte qu’ils ne soient plus accessibles.Le parquet de Paris a confirmé mardi à l’AFP que le groupe de hackers prorusses NoName057(16), responsable de multiples attaques visant principalement l’Ukraine mais aussi ses alliés dont la France, avait revendiqué l’attaque.Pour Baptiste Robert, chercheur en cybersécurité, il faut être prudent avec cette revendication “tardive” car il est “habituel de voir des revendications opportunistes” par des groupes cherchant la lumière médiatique.

Cyberattaque contre La Poste: la situation s’améliore à la veille de Noël, 2 millions de colis livrés mercredi

La cyberattaque, revendiquée par des hackers prorusses, qui a touché La Poste à quelques jours de Noël, est toujours en cours mercredi, sous une forme “fluctuante” et a “perdu en intensité”, selon l’opérateur postal qui a pu distribuer 5,5 millions de colis depuis lundi.”Le site internet laposte.fr particulièrement touché par l’attaque est de nouveau accessible bien que le suivi de colis reste encore dégradé”, explique La Poste dans un point de situation daté de 16H00.La distribution des colis et courriers “continue à se dérouler normalement”, ajoute La Poste, qui a “distribué 5,5 millions de colis depuis lundi matin dont 2 millions pour la seule journée du 24 décembre”.Autre point d’amélioration, “l’activité de banque en ligne a repris normalement” tout comme le bon fonctionnement des centres d’appel.L’attaque informatique est survenue lundi, au début de la première semaine des fêtes de fin d’année, période la plus dense pour La Poste. Sur les deux derniers mois de l’année, le groupe trie et distribue 180 millions de colis.La Poste, qui a déposé plainte mardi, avait assuré lundi qu’aucune donnée sensible n’avait été volée, évoquant un incident de type “déni de service”. Ces attaques informatiques consistent à surcharger des sites web et des applications par des requêtes ciblées de telle sorte qu’ils ne soient plus accessibles.Le parquet de Paris a confirmé mardi à l’AFP que le groupe de hackers prorusses NoName057(16), responsable de multiples attaques visant principalement l’Ukraine mais aussi ses alliés dont la France, avait revendiqué l’attaque.Pour Baptiste Robert, chercheur en cybersécurité, il faut être prudent avec cette revendication “tardive” car il est “habituel de voir des revendications opportunistes” par des groupes cherchant la lumière médiatique.

CAN-2025: Mahrez et Zidane lancent parfaitement l’Algérie

L’Algérie, en quête de rachat, s’est imposée 3-0, grâce notamment à un doublé de son capitaine Riyad Mahrez, face au Soudan mercredi à Rabat pour son entrée en lice dans la Coupe d’Afrique des nations 2025 au Maroc.C’est le premier succès depuis six rencontres en Coupe d’Afrique pour l’Algérie, vainqueur de l’épreuve en 2019, mais éliminée prématurément lors de la phase de groupe en 2021 et en 2023.Sous les yeux de Zinedine Zidane, venu supporter son fils Luca, titulaire dans les buts, Mahrez a ouvert le score après moins de deux minutes de jeu (1-0, 2e), inscrivant le but le plus rapide depuis le début de la compétition. La star des Fennecs, scrutée et attendue durant cette CAN, a doublé la mise en début de seconde période, après un contrôle orienté pour se défaire de son défenseur, à la réception d’un centre de l’attaquant de Wolfsburg Mohamed Amoura (2-0, 61e).Sorti du banc à la place de Farès Chaïbi, Ibrahim Maza, le milieu de Leverkusen, a parachevé un succès tranquille pour l’Algérie (3-0, 85e).Remplacé à la 78e par Anis Hadj Moussa, Mahrez, désormais à Al-Ahli dans le championnat saoudien, auteur de deux buts sur ses deux frappes de la partie, a rassuré sur son état de forme. La veille de la rencontre, il s’était pourtant voulu philosophe sur les critiques dont il a fait l’objet ces dernières semaines.”Plus on prend de l’âge, plus on change de championnats, moins on joue dans les grandes équipes. Il y aura toujours des critiques, il y aura toujours des gens qui parleront. Moi, je ne fais pas attention à tout ça. Je me concentre sur ce que je peux faire, sur ce que je peux donner à l’équipe”, avait-il assuré.Entre ses deux buts, Mahrez ses partenaires se sont curieusement arrêtés de jouer, laissant le Soudan dans la partie et permettant à Luca Zidane de s’illustrer.- Sous les yeux de Zinedine et Enzo -Devant son père, souriant et son frère ainé Enzo, filmés à de nombreuses reprises par le réalisateur de la rencontre, Luca Zidane a profité d’une longue ouverture soudanaise imprécise pour effectuer un contrôle de la poitrine, se chauffer et se rassurer lors de sa première apparition dans une grande compétition sous ses nouvelles couleurs.Zidane a effectué une sortie décisive quelques minutes plus tard devant Awad Boshara, parti en contre et seul devant lui, en remportant son duel dans les pieds du Soudanais (1-0, 11e). Le portier algérien a été très sérieux et solide sur sa ligne tout le reste de la partie, facilitée aussi par l’expulsion du Soudanais Salaheldin Adil pour deux cartons jaunes reçus (14e, 39e).L’Algérie disputera probablement la première place du groupe E dimanche à Rabat (18h30) au Burkina Faso, qui a renversé la Guinée équatoriale dans le temps additionnel (2-1) plus tôt dans la journée.