Israel names latest hostage body, as families await five more

Israel identified on Saturday the latest hostage remains sent back from Gaza by Palestinian militants, leaving only five more bodies to be returned under the US-brokered truce that halted the two-year war.  The Israeli military identified the body handed over on Friday as that of volunteer ambulance driver Lior Rudaeff, who was killed in the October 7, 2023 Hamas attack that triggered the Gaza war.The Israeli-Argentinian was 61 at the time of the bloody cross-border assault and one of five armed civilians killed while trying to defend his community, the Nir Yitzhak kibbutz. His death was confirmed by Israeli authorities in May 2024 and his name was put on the list of 20 living and 28 dead former hostages that Hamas agreed to return under the terms of the October ceasefire.Five more bodies remain to be returned: four seized in the October 7 attack — three Israelis and one Thai — as well as the remains of a soldier who died in combat in 2014 during a previous Gaza conflict.The Hostages and Missing Families Forum, a campaign group representing the Israeli families caught up in the crisis, welcomed Rudaeff’s homecoming.”Lior’s return provides some measure of comfort to a family that has lived with agonising uncertainty and doubt for over two years,” it said. “We will not rest until the last hostage is brought home.”The first phase of the Gaza ceasefire deal brokered last month by US President Donald Trump paved the way for a hostage and prisoner exchange.- Bombed out rubble -Hamas quickly returned 20 surviving hostages and Israel released hundreds of Palestinian detainees.Under the stark mathematics of the ceasefire plan, for every Israeli hostage returned the bodies of 15 slain Palestinians will be handed back.Accordingly, on Saturday the Nasser Medical Centre in Khan Yunis announced the “arrival of the bodies of 15 martyrs from the Gaza strip which had been held” by Israel — bringing the number returned to 300.The Palestinian bodies were returned to the hospital by the Red Cross, as in previous transfers. The Palestinian remains have been returned unidentified and many have been consigned to mass graves. Israel has accused Hamas of dragging its feet in returning the bodies of deceased hostages, while the Palestinian group says the process is slow because many are buried beneath Gaza’s bombed-out rubble.The office of Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu once again demanded Hamas “uphold its commitments” and return the last five bodies.”We will not compromise on this and will spare no effort until we return all of the deceased hostages, every last one of them,” it said.- Mostly civilians -Hamas’s October 2023 attack resulted in the deaths of 1,221 people on the Israeli side, mostly civilians, according to an AFP tally based on official Israeli figures. The Israeli military’s retaliatory campaign has since killed 69,169 Palestinians, again mostly civilians, according to Gaza’s health ministry, which operates under Hamas authority.  The ministry, whose figures are considered reliable by the UN, does not specify the number of fighters killed within this total.According to the Israeli army, 479 soldiers have been killed in the campaign on Gaza since the start of the ground offensive at the end of October 2023.

Philippines: secours suspendus à l’approche d’un autre typhon après Kalmaegi

Les opérations de secours ont été suspendues à Cebu, province philippine la plus meurtrie par le typhon Kalmaegi, en raison d’une autre redoutable tempête à l’approche, ont annoncé samedi les autorités.”Nous ne pouvons pas mettre en danger nos secouristes. Nous ne voulons pas qu’ils soient les prochaines victimes”, a déclaré samedi à l’AFP Myrra Daven, …

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Festival de BD d’Angoulême: vers une organisation partagée pour sortir de la crise

À défaut de choisir entre eux, l’association propriétaire du festival de BD d’Angoulême (FIBD), menacé de boycott pour sa prochaine édition, a prôné samedi le rapprochement des deux candidats à sa future organisation, dont l’actuel délégataire très critiqué dans la profession.Celui-ci, la société privée 9eArt+, et la Cité Internationale de la Bande dessinée et de l’Image (CIBDI), un établissement public qui abrite le musée de la BD, doivent “envisager un rapprochement” pour soumettre “un projet commun” d’ici au 20 novembre, a annoncé l’association du FIBD à l’issue d’un appel à projets pour l’organisation de l’événement après 2028.Depuis 2007 et jusqu’en 2027, elle est confiée à 9eArt+, dont la simple reconduction aurait été fatale au festival créé en 1974, selon des observateurs.Un “rapprochement” entre les deux offres candidates vise à produire une “plus grande transparence dans la gestion de l’événement” et offre aux financeurs publics “l’opportunité de prendre une place appropriée” dans la gouvernance du festival, a fait valoir l’association dans un communiqué.Son annonce intervient après des mois de tensions autour de l’événement.Sa dernière édition, en début d’année, avait été marquée par une virulente mise en cause de 9eArt+, accusé dans la presse d’opacité financière, de “dérives” mercantiles et d’avoir licencié une salariée, en 2024, qui venait de porter plainte pour un viol survenu en marge du festival.Une information judiciaire est ouverte sur ces faits et la jeune femme conteste son licenciement pour “faute grave – 9eArt+ lui reproche un “comportement incompatible avec l’image de l’entreprise” – devant les prud’hommes.- “Nouvelle page” -Les collectivités locales (Région Nouvelle-Aquitaine, Conseil départemental de Charente, intercommunalité du Grand Angoulême et ville d’Angoulême), qui cofinancent l’événement avec l’État à hauteur de 40%, ont pris acte samedi de la proposition de l’association et souhaitent qu'”une nouvelle page s’écrive” pour assurer “le développement et la pérennité” du festival.Interrogé par l’AFP, Patrick Mardikian, président de la CIBDI que subventionnent les mêmes financeurs publics, s’est dit “pas opposé” à un rapprochement des projets mais il souhaite que les tutelles chargent cette dernière de “piloter un travail de préfiguration, en lien avec l’interprofession” de la bande dessinée.”Nous avons l’opportunité d’écrire une page blanche mais cela doit être organisé”, a-t-il insisté auprès de l’AFP, jugeant le délai fixé au 20 novembre “pas tenable”: “Arrêtons de bousculer les choses, on a deux ans devant nous”.”On nous respecte pas, on nous écoute pas, donc on y va pas”, a maintenu de son côté le Syndicat des travailleurs.euses Artistes-Auteur.ices CNT-SO, qui réclame le départ de 9eArt+.”Delphine Groux (présidente de l’association du FIBD, ndlr) ne fait que gagner du temps grâce à cette manœuvre qui ne trompe personne”, a-t-il ajouté le syndicat sur son compte Instagram.- Boycott -Avec le collectif MeToo#BD, il est à l’origine d’une pétition en ligne appelant à boycotter le prochain festival, organisée du 29 janvier au 1er février.Elle a recueilli près de 2.300 signatures, dont celles de lauréats récents du Grand Prix de la BD d’Angoulême comme la Britannique Posy Simmonds, l’Américain Art Spiegelman ou les Français Blutch, Lewis Trondheim, Luz ou Fabcaro.Mi-octobre, la dessinatrice et autrice française Anouk Ricard, lauréate en 2025, avait annoncé qu’elle boycotterait la prochaine édition et l’exposition qui devait lui y être consacrée, pour réclamer un “changement” à la tête de l’événement.Au printemps, sous la pression des financeurs publics et face à l’appel au boycott, l’association du FIBD avait dénoncé le contract actuel de 9eArt+, reconductible, ouvrant à la concurrence la future organisation de l’événement.Puis en juillet, le délégataire historique avait annoncé le retrait à cet horizon de son directeur général décrié, Franck Bondoux, sans renoncer à candidater à l’appel à projets.La société 9eArt+ a “confirmé de nouveau son départ et son désir de transmission de son entreprise”, a assuré l’association du FIBD samedi.

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

Dans le Lot, les traverses de chemin de fer deviennent moins polluantes

Dans l’usine de Bretenoux-Biars, dans le Lot, les traverses des voies ferrées sont immergées dans d’immenses cuves contenant un mélange d’huiles cuivrées, un procédé moins polluant qu’auparavant, qui permettra à terme leur recyclage.Ces poutres rectangulaires en bois d’environ 80 kg, placées sous les rails, assurent la stabilité et l’inclinaison des voies ferrées. Elles étaient jusqu’alors protégées des intempéries par une imprégnation à la créosote, substance cancérogène et hautement toxique, et devenaient des déchets dangereux une fois retirées.Devant l’usine flambant neuve, les traverses de bois s’empilent, séchées à l’air libre avant d’être traitées. L’huile cuivrée, désormais utilisée, est une substance “moins toxique” et “plus respectueuse de l’environnement” que la créosote, a assuré le PDG de SNCF Réseau Matthieu Chabanel devant les nouvelles installations.SNCF-Réseau vient d’investir 6,5 millions d’euros pour moderniser son usine du Lot et abandonner progressivement la créosote, dont l’odeur âcre imprègne encore l’air. Non loin des forêts du Lot, qui fournissent en partie le bois, Estelle Masclet, directrice des opérations à SNCF Réseau, explique que les traverses, ainsi traitées à l’huile cuivrée, ont une durée de vie d’environ 35 ans sur le réseau ferroviaire.- “Deuxième vie” -“Les traverses pourront avoir une deuxième vie après avoir assuré le maintien des circulations sur le réseau”, dit-elle à l’AFP. “On pourra les réutiliser pour des aménagements paysagers ou des soutiens de talus.”Chaque année, quelque 700.000 traverses en bois sont retirées du réseau en France. Puis, un processus “très réglementé” consiste “à les brûler dans des incinérateurs”, précise Matthieu Chabanel. Pour Marion Carrier, chercheuse en génie des matériaux, jointe par l’AFP, “que la SNCF s’éloigne de la créosote est une très bonne nouvelle”. Elle souligne toutefois que “le cuivre est un métal lourd dont le recyclage reste complexe”.La réglementation européenne prévoit l’interdiction totale de la créosote d’ici 2029. La France a banni son usage en 2019, octroyant seulement une dérogation pour ses traverses de chemin de fer et les poteaux électriques ou de télécommunications.Le traitement étant essentiel pour éviter la putréfaction du bois, l’entreprise en charge du réseau ferroviaire français cherchait depuis plusieurs années une alternative à la créosote. L’usine du Lot, inaugurée fin octobre, produit chaque année 300.000 traverses, soit l’essentiel de la production française, intégralement absorbée par SNCF Réseau. C’est l’une des principales en Europe dans le domaine. Le marché européen des traverses en bois représente 2 millions de pièces par an.- Filière du bois -Depuis les années 1970, les traverses en béton s’imposent progressivement en France, notamment sur les Lignes à grande vitesse (LGV), mais plus de 15% des traverses sont encore en bois, parce qu’elles sont plus légères et plus souples, un avantage sur les ponts, par exemple. “Et puis le bois, c’est aussi un matériau qui soutient toute une filière économique”, avance le PDG de SNCF Réseau.Le bois de chêne est coupé et séché plusieurs mois pour atteindre le bon taux d’humidité, puis percé, entaillé et finalement imbibé d’huiles cuivrées, dans l’infrastructure de Bretenoux-Biars.Avant que leur réutilisation ne soit bannie, les vieilles traverses de chemin de fer traitées à la créosote finissaient en meubles, en barrières de jardin, en plancher ou en feu de cheminée, mais cet emploi domestique s’est révélé dangereux et a été interdit il y a une quinzaine d’années par le gouvernement français. 

Dans le Lot, les traverses de chemin de fer deviennent moins polluantes

Dans l’usine de Bretenoux-Biars, dans le Lot, les traverses des voies ferrées sont immergées dans d’immenses cuves contenant un mélange d’huiles cuivrées, un procédé moins polluant qu’auparavant, qui permettra à terme leur recyclage.Ces poutres rectangulaires en bois d’environ 80 kg, placées sous les rails, assurent la stabilité et l’inclinaison des voies ferrées. Elles étaient jusqu’alors protégées des intempéries par une imprégnation à la créosote, substance cancérogène et hautement toxique, et devenaient des déchets dangereux une fois retirées.Devant l’usine flambant neuve, les traverses de bois s’empilent, séchées à l’air libre avant d’être traitées. L’huile cuivrée, désormais utilisée, est une substance “moins toxique” et “plus respectueuse de l’environnement” que la créosote, a assuré le PDG de SNCF Réseau Matthieu Chabanel devant les nouvelles installations.SNCF-Réseau vient d’investir 6,5 millions d’euros pour moderniser son usine du Lot et abandonner progressivement la créosote, dont l’odeur âcre imprègne encore l’air. Non loin des forêts du Lot, qui fournissent en partie le bois, Estelle Masclet, directrice des opérations à SNCF Réseau, explique que les traverses, ainsi traitées à l’huile cuivrée, ont une durée de vie d’environ 35 ans sur le réseau ferroviaire.- “Deuxième vie” -“Les traverses pourront avoir une deuxième vie après avoir assuré le maintien des circulations sur le réseau”, dit-elle à l’AFP. “On pourra les réutiliser pour des aménagements paysagers ou des soutiens de talus.”Chaque année, quelque 700.000 traverses en bois sont retirées du réseau en France. Puis, un processus “très réglementé” consiste “à les brûler dans des incinérateurs”, précise Matthieu Chabanel. Pour Marion Carrier, chercheuse en génie des matériaux, jointe par l’AFP, “que la SNCF s’éloigne de la créosote est une très bonne nouvelle”. Elle souligne toutefois que “le cuivre est un métal lourd dont le recyclage reste complexe”.La réglementation européenne prévoit l’interdiction totale de la créosote d’ici 2029. La France a banni son usage en 2019, octroyant seulement une dérogation pour ses traverses de chemin de fer et les poteaux électriques ou de télécommunications.Le traitement étant essentiel pour éviter la putréfaction du bois, l’entreprise en charge du réseau ferroviaire français cherchait depuis plusieurs années une alternative à la créosote. L’usine du Lot, inaugurée fin octobre, produit chaque année 300.000 traverses, soit l’essentiel de la production française, intégralement absorbée par SNCF Réseau. C’est l’une des principales en Europe dans le domaine. Le marché européen des traverses en bois représente 2 millions de pièces par an.- Filière du bois -Depuis les années 1970, les traverses en béton s’imposent progressivement en France, notamment sur les Lignes à grande vitesse (LGV), mais plus de 15% des traverses sont encore en bois, parce qu’elles sont plus légères et plus souples, un avantage sur les ponts, par exemple. “Et puis le bois, c’est aussi un matériau qui soutient toute une filière économique”, avance le PDG de SNCF Réseau.Le bois de chêne est coupé et séché plusieurs mois pour atteindre le bon taux d’humidité, puis percé, entaillé et finalement imbibé d’huiles cuivrées, dans l’infrastructure de Bretenoux-Biars.Avant que leur réutilisation ne soit bannie, les vieilles traverses de chemin de fer traitées à la créosote finissaient en meubles, en barrières de jardin, en plancher ou en feu de cheminée, mais cet emploi domestique s’est révélé dangereux et a été interdit il y a une quinzaine d’années par le gouvernement français. 

Macron se pose en “garant du long terme”, au risque de décalage à court terme

Climat, réseaux sociaux, démocratie… Emmanuel Macron se pose en “garant du long terme” pour définir son rôle d’ici à 2027, mais, impopulaire et privé de leviers politiques, il court de plus en plus le risque d’apparaître en décalage, voire déconnecté, avec l’actualité du pays.Le président est “le garant du long terme pour le pays, mais aussi le garant de son indépendance”, a-t-il dit à la presse à Belem, en Amazonie brésilienne, où il était allé jeudi porter la voix de la France au sommet de la COP30 sur le climat.Le chef de l’Etat tâtonne depuis la dissolution ratée de l’Assemblée nationale en 2024, qui avait débouché sur la défaite de son camp dans un paysage parlementaire plus fracturé que jamais.Sa mini-tournée en Amérique latine a parfois donné à voir cette difficulté.Toujours aux manettes de la diplomatie, domaine réservé présidentiel sous la Ve République, il a naturellement abordé au Brésil avec le président Lula l’accord commercial entre l’Union européenne et des pays du bloc latino-américain du Mercosur.Lui qui a longtemps jugé ce traité “inacceptable” s’est réjoui, à l’issue de cet entretien, des clauses de sauvegarde obtenues auprès de la Commission européenne, et s’est dit “plutôt positif”, bien que “vigilant”, quant à la possibilité de donner son feu vert.Bronca politique et agricole immédiate dans l’Hexagone. Et, comme une illustration cruelle de sa perte d’influence sur les affaires gouvernementales, sa propre ministre de l’Agriculture Annie Genevard, venue du parti de droite Les Républicains, s’est même autorisée à le corriger en affirmant que pour elle, “le compte n’y est pas”.- “Echec” de son bilan -S’aventurer sur le terrain de la politique nationale se révèle de plus en plus risqué pour Emmanuel Macron, au plus bas dans les sondages.Deux semaines plus tôt en Slovénie, il avait tenu à dire que le compromis sur les retraites trouvé entre Sébastien Lecornu et le Parti socialiste n’était “ni l’abrogation ni la suspension” de la réforme de 2023, mais seulement son “décalage”. De quoi accréditer l’image d’un président qui s’accroche à son bilan, pourtant considéré comme un “échec” par 89% des personnes interrogées dans un récent sondage Odoxa–Backbone pour Le Figaro.Là aussi, les réactions outrées à gauche avaient forcé son Premier ministre, pourtant un très proche, à le contredire pour confirmer le terme de “suspension”.A Mexico vendredi, Emmanuel Macron a préféré éluder une question sur les débats budgétaires français.Au début de la tournée, à Salvador de Bahia, il s’était offert mercredi une parenthèse dans ce foyer vibrant de la culture afro-brésilienne.Au programme, visite d’expositions et plus d’une heure de déambulation au son des percussions et au rythme des danses traditionnelles et des groupes de capoeira.Dans une cohue chaleureuse, ce président qui aime les bains de foule a toutefois semblé presque sur la retenue au moment de taper sur un tambour ou d’esquisser quelques pas de danse.Au même moment, à des milliers de kilomètres de l’autre côté de l’Atlantique, la crise politique couvait toujours et, surtout, les chaînes d’information tournaient en boucle sur l’attaque de l’île d’Oléron, où un conducteur venait de faucher volontairement cinq personnes.Emmanuel Macron ne réagira sur le réseau X qu’une fois sa journée brésilienne terminée – en pleine nuit française.De retour à Paris, samedi, le chef de l’Etat entend renouer malgré tout avec des dossiers nationaux, par le prisme du “temps long”, comme le dit son entourage.Au programme, peut-être d’ici la fin du mois, un service militaire “volontaire” qui pourrait remplacé le service national universel (SNU), un projet qui lui était cher mais qui a connu beaucoup de vicissitudes.Et, surtout, son nouveau cheval de bataille: la défense de l’enfance, mais aussi de la démocratie, face à des réseaux sociaux et des algorithmes mal régulés à ses yeux.Un premier rendez-vous avec des experts fin octobre à l’Elysée, puis un débat avec des élèves mardi à Rochefort, en Charente-Maritime, sont passés relativement sous les radars.Qu’à cela ne tienne, le président entend récidiver: un échange avec 250 lecteurs du quotidien régional La Dépêche du Midi est prévu mercredi à Toulouse, un exercice qu’il va rééditer à travers la France à un rythme soutenu dans l’espoir de faire émerger ce qu’il considère comme une priorité.

Suppression prime de Noël: Farandou prêt à une “suspension” si une compensation est trouvée

Le ministre du Travail Jean-Pierre Farandou s’est dit ouvert samedi à une “suspension” de la suppression de la prime de Noël pour les foyers éligibles sans enfants, si une recette compensatoire est trouvée dans le budget 2026.”Je suis en train de réfléchir à comment cette proposition pourrait évoluer”, a déclaré le ministre sur BFMTV.”S’il y a une recette qui vient compenser les effets de cette proposition, je n’aurais pas de grandes difficultés à envisager sa suspension”, a ajouté Jean-Pierre Farandou.Réserver la prime de Noël aux allocataires de minima sociaux ayant des enfants a été jugé “honteux” et “mesquin” par la secrétaire générale de la CGT Sophie Binet.Son homologue de la CFDT Marylise Léon considère que cette prime n’est ni “de la générosité” ni “un luxe”, alors que le ministre du Travail avait justifié cette suppression partielle de la prime de Noël pour des raisons budgétaires.”L’Etat français a été très généreux”, avait estimé mardi sur France Inter Jean-Pierre Farandou, ajoutant qu’il n’était “pas sûr que notre pays ait les moyens de poursuivre ces politiques de générosité maximale. Il faut donc accepter un recentrage”, avait-il dit.

Suppression prime de Noël: Farandou prêt à une “suspension” si une compensation est trouvée

Le ministre du Travail Jean-Pierre Farandou s’est dit ouvert samedi à une “suspension” de la suppression de la prime de Noël pour les foyers éligibles sans enfants, si une recette compensatoire est trouvée dans le budget 2026.”Je suis en train de réfléchir à comment cette proposition pourrait évoluer”, a déclaré le ministre sur BFMTV.”S’il y a une recette qui vient compenser les effets de cette proposition, je n’aurais pas de grandes difficultés à envisager sa suspension”, a ajouté Jean-Pierre Farandou.Réserver la prime de Noël aux allocataires de minima sociaux ayant des enfants a été jugé “honteux” et “mesquin” par la secrétaire générale de la CGT Sophie Binet.Son homologue de la CFDT Marylise Léon considère que cette prime n’est ni “de la générosité” ni “un luxe”, alors que le ministre du Travail avait justifié cette suppression partielle de la prime de Noël pour des raisons budgétaires.”L’Etat français a été très généreux”, avait estimé mardi sur France Inter Jean-Pierre Farandou, ajoutant qu’il n’était “pas sûr que notre pays ait les moyens de poursuivre ces politiques de générosité maximale. Il faut donc accepter un recentrage”, avait-il dit.

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Philippines: secours suspendus à l’approche d’un autre typhon après Kalmaegi

Les opérations de secours ont été suspendues à Cebu, province philippine la plus meurtrie par le typhon Kalmaegi, en raison d’une autre redoutable tempête à l’approche, ont annoncé samedi les autorités.”Nous ne pouvons pas mettre en danger nos secouristes. Nous ne voulons pas qu’ils soient les prochaines victimes”, a déclaré samedi à l’AFP Myrra Daven, une responsable des secours de cette région du centre du pays.  Fung-wong doit se transformer en “super-typhon” avant de toucher terre entre dimanche et lundi. Le typhon frappera les Philippines quelques jours seulement après le passage de Kalmaegi, responsable d’au moins 204 morts dans l’archipel d’Asie du Sud-Est où 109 personnes sont encore portées disparues, selon des chiffres officiels.Cebu déplore près de 70% des victimes.Vers 11H00 locales (03H00 GMT) samedi, Fung-wong progressait vers l’ouest en direction de l’île principale de Luçon, soufflant des vents à 140 km/h, avec des pointes à 170.”A part des vents puissants, nous pouvons nous attendre à des fortes pluies (…) des précipitations de 200 millimètres ou plus, qui peuvent provoquer des inondations étendues, pas seulement dans les zones de basse altitude”, a mis en garde le météorologue Benison Estareja lors d’une conférence de presse.Le typhon semble assez massif pour couvrir “presque l’intégralité du pays”, a-t-il prévenu.Dans la province d’Aurora (nord), sur sa trajectoire, les secouristes faisaient du porte-à-porte pour appeler les habitants à se réfugier en hauteur, a déclaré à l’AFP l’un d’eux, Elson Egargue.Sur l’île de Catanduanes (est), les locaux rivaient leurs maisons au sol avec des cordes “afin qu’elles ne soient pas emportées par le vent”, a raconté à l’AFP Roberto Monterola, un responsable des secours.Kalmaegi est jusqu’à présent le typhon le plus létal de l’année, d’après la base de données spécialisée EM-DAT. Chaque année, une vingtaine de tempêtes ou de typhons frappe les Philippines ou s’en approche, les régions les plus pauvres étant généralement les plus gravement affectées.Selon les scientifiques, le réchauffement climatique provoqué par l’activité humaine rend les phénomènes météorologiques extrêmes plus fréquents, plus meurtriers et plus destructeurs.

Philippines: secours suspendus à l’approche d’un autre typhon après Kalmaegi

Les opérations de secours ont été suspendues à Cebu, province philippine la plus meurtrie par le typhon Kalmaegi, en raison d’une autre redoutable tempête à l’approche, ont annoncé samedi les autorités.”Nous ne pouvons pas mettre en danger nos secouristes. Nous ne voulons pas qu’ils soient les prochaines victimes”, a déclaré samedi à l’AFP Myrra Daven, une responsable des secours de cette région du centre du pays.  Fung-wong doit se transformer en “super-typhon” avant de toucher terre entre dimanche et lundi. Le typhon frappera les Philippines quelques jours seulement après le passage de Kalmaegi, responsable d’au moins 204 morts dans l’archipel d’Asie du Sud-Est où 109 personnes sont encore portées disparues, selon des chiffres officiels.Cebu déplore près de 70% des victimes.Vers 11H00 locales (03H00 GMT) samedi, Fung-wong progressait vers l’ouest en direction de l’île principale de Luçon, soufflant des vents à 140 km/h, avec des pointes à 170.”A part des vents puissants, nous pouvons nous attendre à des fortes pluies (…) des précipitations de 200 millimètres ou plus, qui peuvent provoquer des inondations étendues, pas seulement dans les zones de basse altitude”, a mis en garde le météorologue Benison Estareja lors d’une conférence de presse.Le typhon semble assez massif pour couvrir “presque l’intégralité du pays”, a-t-il prévenu.Dans la province d’Aurora (nord), sur sa trajectoire, les secouristes faisaient du porte-à-porte pour appeler les habitants à se réfugier en hauteur, a déclaré à l’AFP l’un d’eux, Elson Egargue.Sur l’île de Catanduanes (est), les locaux rivaient leurs maisons au sol avec des cordes “afin qu’elles ne soient pas emportées par le vent”, a raconté à l’AFP Roberto Monterola, un responsable des secours.Kalmaegi est jusqu’à présent le typhon le plus létal de l’année, d’après la base de données spécialisée EM-DAT. Chaque année, une vingtaine de tempêtes ou de typhons frappe les Philippines ou s’en approche, les régions les plus pauvres étant généralement les plus gravement affectées.Selon les scientifiques, le réchauffement climatique provoqué par l’activité humaine rend les phénomènes météorologiques extrêmes plus fréquents, plus meurtriers et plus destructeurs.