Soudan: le chef des paramilitaires reconnaît une “catastrophe” à El-Facher

Le chef des paramilitaires soudanais Mohamed Daglo a reconnu mercredi soir une “catastrophe” à El-Facher, ville clé du Darfour prise dimanche par ses forces, où les informations se multiplient sur des exactions massives. Après 18 mois de siège, les Forces de soutien rapide (FSR, paramilitaires) ont pris dimanche cette dernière grande ville qui échappait à leur …

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Dans Bamako sous blocus jihadiste, les habitants luttent au quotidien contre les pénuries de carburant

Dans le quartier des affaires de Bamako, des centaines de voitures et de motos à l’arrêt s’agglutinent nuit et jour sur un boulevard, dans l’attente qu’une des trois stations-service s’y alignant distribue du carburant alors que la capitale malienne subit un blocus imposé par les jihadistes, rendant difficile le quotidien des habitants.”Je suis à cette place …

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Rob Jetten, ex-athlète champion précoce de la politique néerlandaise

Plus jeune, Rob Jetten était meneur d’allure, “lièvre”, pour les entraînements de Sifan Hassan, devenue championne olympique d’athlétisme. A 38 ans, c’est dans l’arène politique que le Néerlandais mène désormais la course après le succès de son parti centriste.D’après les premiers résultats, qui ne sont pas encore définitifs, il est en position pour devenir le …

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Budget: Lecornu fragilisé par une alliance gauche-RN sur la fiscalité des multinationales

Les députés ont voté mercredi de nouvelles taxes visant les grandes entreprises, dans une alliance de circonstance entre la gauche et l’extrême droite, rendant plus difficile l’adoption du budget par le camp gouvernemental qui dénonce une “folie fiscale”.Sébastien Lecornu se retrouve face à une équation politique de plus en plus impossible, alors même que les mesures les plus sensibles – notamment sur la taxation des hauts patrimoines, condition posée par les socialistes à leur non-censure – n’ont pas encore été examinées.Jeudi, les députés feront une pause dans les débats budgétaires, avec une journée réservée à l’examen de textes proposés par le Rassemblement national.Mais ils reprendront vendredi, avec l’examen prioritaire dès 09H00 de l’article 3 du projet de loi de Finances instaurant une taxe sur les holdings, suivi des amendements de la gauche pour créer une taxe Zucman. Dans ce contexte déjà tendu, le gouvernement avait haussé le ton dès mercredi matin. “La justice fiscale a laissé place à la surenchère fiscale”, a mis en garde mercredi le ministre de l’Economie Roland Lescure. Le Premier ministre s’est lui inquiété devant les sénateurs d’une déconnexion entre le débat fiscal et “la question économique générale et globale”.Dans leur ligne de mire, le vote mardi par une alliance de la gauche et du RN d’un “impôt universel” sur les multinationales, pour lutter contre l’évasion et l’optimisation fiscale.Une mesure censée rapporter 26 milliards d’euros, selon ses défenseurs, mais jugée inopérante, contraire à la législation et néfaste pour l’économie française, par le gouvernement.- “Pas honteux” -Marine Le Pen, pointée du doigt par la droite pour son soutien, a défendu la mesure. “Il s’agit juste de faire respecter la loi”, selon elle.”Pour l’instant, ce qui a été voté” à l’Assemblée dans le cadre de l’examen du budget de l’Etat n’est “pas honteux, contrairement aux hurlements du gouvernement”, a enfoncé la cheffe des députés RN.Mais les mises en garde du camp gouvernemental n’ont pas freiné les députés dans leur lancée, au contraire.Dans l’après-midi, ils ont continué d’adopter des mesures visant les grands groupes.Là encore, ce sont les votes réunis de la gauche et du RN qui ont permis l’adoption d’une mesure portée par LFI visant à élargir le champ d’application de l’impôt minimum de 15% sur les bénéfices des multinationales. C’est “une autoroute vers le contentieux”, qui fragiliserait les efforts coordonnés avec l’OCDE pour lutter contre l’évasion fiscale, a fustigé dans l’hémicycle le ministre de la Fonction publique, David Amiel.”On assume à 100%” ce vote, a martelé le député RN Jean-Philippe Tanguy.Dans la foulée, le gouvernement a essuyé deux nouveaux revers: le RN a réussi à faire adopter de justesse un amendement pour alourdir la taxation sur les rachats d’actions, afin de lutter contre la spéculation. Les députés de gauche se sont pour la plupart abstenus. Puis c’est la France Insoumise qui a réussi à faire adopter, lors d’un vote très serré, un amendement instaurant une taxe exceptionnelle sur les superdividendes.Ces derniers votes ne devraient pas faciliter la tâche de Sébastien Lecornu.Mercredi matin, le président de LR Bruno Retailleau avait dénoncé une “folie fiscale”, et “le coût de la stabilité politique exorbitant”. Le chef des députés MoDem Marc Fesneau estime aussi que le texte “devient totalement invotable”.- Amendement de compromis ? -A l’issue du Conseil des ministres, la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, avait relativisé les votes de la veille, rappelant qu’on n’est “qu’au tout début du processus parlementaire”.M. Retailleau pense d’ailleurs que la première partie du budget sur les recettes “sera refusée par l’Assemblée” et donc que ce sera le Sénat “qui devra reprendre la copie”.Sous couvert d’anonymat, plusieurs cadres de la coalition gouvernementale disent s’attendre à ce qu’il n’y ait “pas de budget” et que le gouvernement doive se contenter d’une “loi spéciale”, qui lui permet de reconduire en 2026 les impôts et dépenses de 2025.Autre option: l’adoption d’un budget par ordonnances, comme l’autorise la Constitution si les délais d’examen du texte sont dépassés, et comme s’en inquiète le RN.Les groupes politiques ont accepté de retirer une partie de leurs amendements afin d’accélérer les débats.La fiscalité va continuer d’alimenter les tensions dès la reprise vendredi matin. Du fait de l’opposition résolue du bloc central, de la droite et du RN, la taxe Zucman n’a guère de chance d’être votée, que ce soit dans sa forme initiale (un impôt minimum de 2% sur les patrimoines de plus de 100 millions d’euros) ou modifiée (3% à partir de 10 millions d’euros, mais en excluant les entreprises innovantes et familiales).Un amendement de compromis pourrait donc être encore présenté par le gouvernement au moment des débats. “Il y a encore du travail”, a reconnu Mme Bregeon.parl-far-sl-cma/lpa

Budget: Lecornu fragilisé par une alliance gauche-RN sur la fiscalité des multinationales

Les députés ont voté mercredi de nouvelles taxes visant les grandes entreprises, dans une alliance de circonstance entre la gauche et l’extrême droite, rendant plus difficile l’adoption du budget par le camp gouvernemental qui dénonce une “folie fiscale”.Sébastien Lecornu se retrouve face à une équation politique de plus en plus impossible, alors même que les mesures les plus sensibles – notamment sur la taxation des hauts patrimoines, condition posée par les socialistes à leur non-censure – n’ont pas encore été examinées.Jeudi, les députés feront une pause dans les débats budgétaires, avec une journée réservée à l’examen de textes proposés par le Rassemblement national.Mais ils reprendront vendredi, avec l’examen prioritaire dès 09H00 de l’article 3 du projet de loi de Finances instaurant une taxe sur les holdings, suivi des amendements de la gauche pour créer une taxe Zucman. Dans ce contexte déjà tendu, le gouvernement avait haussé le ton dès mercredi matin. “La justice fiscale a laissé place à la surenchère fiscale”, a mis en garde mercredi le ministre de l’Economie Roland Lescure. Le Premier ministre s’est lui inquiété devant les sénateurs d’une déconnexion entre le débat fiscal et “la question économique générale et globale”.Dans leur ligne de mire, le vote mardi par une alliance de la gauche et du RN d’un “impôt universel” sur les multinationales, pour lutter contre l’évasion et l’optimisation fiscale.Une mesure censée rapporter 26 milliards d’euros, selon ses défenseurs, mais jugée inopérante, contraire à la législation et néfaste pour l’économie française, par le gouvernement.- “Pas honteux” -Marine Le Pen, pointée du doigt par la droite pour son soutien, a défendu la mesure. “Il s’agit juste de faire respecter la loi”, selon elle.”Pour l’instant, ce qui a été voté” à l’Assemblée dans le cadre de l’examen du budget de l’Etat n’est “pas honteux, contrairement aux hurlements du gouvernement”, a enfoncé la cheffe des députés RN.Mais les mises en garde du camp gouvernemental n’ont pas freiné les députés dans leur lancée, au contraire.Dans l’après-midi, ils ont continué d’adopter des mesures visant les grands groupes.Là encore, ce sont les votes réunis de la gauche et du RN qui ont permis l’adoption d’une mesure portée par LFI visant à élargir le champ d’application de l’impôt minimum de 15% sur les bénéfices des multinationales. C’est “une autoroute vers le contentieux”, qui fragiliserait les efforts coordonnés avec l’OCDE pour lutter contre l’évasion fiscale, a fustigé dans l’hémicycle le ministre de la Fonction publique, David Amiel.”On assume à 100%” ce vote, a martelé le député RN Jean-Philippe Tanguy.Dans la foulée, le gouvernement a essuyé deux nouveaux revers: le RN a réussi à faire adopter de justesse un amendement pour alourdir la taxation sur les rachats d’actions, afin de lutter contre la spéculation. Les députés de gauche se sont pour la plupart abstenus. Puis c’est la France Insoumise qui a réussi à faire adopter, lors d’un vote très serré, un amendement instaurant une taxe exceptionnelle sur les superdividendes.Ces derniers votes ne devraient pas faciliter la tâche de Sébastien Lecornu.Mercredi matin, le président de LR Bruno Retailleau avait dénoncé une “folie fiscale”, et “le coût de la stabilité politique exorbitant”. Le chef des députés MoDem Marc Fesneau estime aussi que le texte “devient totalement invotable”.- Amendement de compromis ? -A l’issue du Conseil des ministres, la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, avait relativisé les votes de la veille, rappelant qu’on n’est “qu’au tout début du processus parlementaire”.M. Retailleau pense d’ailleurs que la première partie du budget sur les recettes “sera refusée par l’Assemblée” et donc que ce sera le Sénat “qui devra reprendre la copie”.Sous couvert d’anonymat, plusieurs cadres de la coalition gouvernementale disent s’attendre à ce qu’il n’y ait “pas de budget” et que le gouvernement doive se contenter d’une “loi spéciale”, qui lui permet de reconduire en 2026 les impôts et dépenses de 2025.Autre option: l’adoption d’un budget par ordonnances, comme l’autorise la Constitution si les délais d’examen du texte sont dépassés, et comme s’en inquiète le RN.Les groupes politiques ont accepté de retirer une partie de leurs amendements afin d’accélérer les débats.La fiscalité va continuer d’alimenter les tensions dès la reprise vendredi matin. Du fait de l’opposition résolue du bloc central, de la droite et du RN, la taxe Zucman n’a guère de chance d’être votée, que ce soit dans sa forme initiale (un impôt minimum de 2% sur les patrimoines de plus de 100 millions d’euros) ou modifiée (3% à partir de 10 millions d’euros, mais en excluant les entreprises innovantes et familiales).Un amendement de compromis pourrait donc être encore présenté par le gouvernement au moment des débats. “Il y a encore du travail”, a reconnu Mme Bregeon.parl-far-sl-cma/lpa

Budget: Lecornu fragilisé par une alliance gauche-RN sur la fiscalité des multinationales

Les députés ont voté mercredi de nouvelles taxes visant les grandes entreprises, dans une alliance de circonstance entre la gauche et l’extrême droite, rendant plus difficile l’adoption du budget par le camp gouvernemental qui dénonce une “folie fiscale”.Sébastien Lecornu se retrouve face à une équation politique de plus en plus impossible, alors même que les mesures les plus sensibles – notamment sur la taxation des hauts patrimoines, condition posée par les socialistes à leur non-censure – n’ont pas encore été examinées.Jeudi, les députés feront une pause dans les débats budgétaires, avec une journée réservée à l’examen de textes proposés par le Rassemblement national.Mais ils reprendront vendredi, avec l’examen prioritaire dès 09H00 de l’article 3 du projet de loi de Finances instaurant une taxe sur les holdings, suivi des amendements de la gauche pour créer une taxe Zucman. Dans ce contexte déjà tendu, le gouvernement avait haussé le ton dès mercredi matin. “La justice fiscale a laissé place à la surenchère fiscale”, a mis en garde mercredi le ministre de l’Economie Roland Lescure. Le Premier ministre s’est lui inquiété devant les sénateurs d’une déconnexion entre le débat fiscal et “la question économique générale et globale”.Dans leur ligne de mire, le vote mardi par une alliance de la gauche et du RN d’un “impôt universel” sur les multinationales, pour lutter contre l’évasion et l’optimisation fiscale.Une mesure censée rapporter 26 milliards d’euros, selon ses défenseurs, mais jugée inopérante, contraire à la législation et néfaste pour l’économie française, par le gouvernement.- “Pas honteux” -Marine Le Pen, pointée du doigt par la droite pour son soutien, a défendu la mesure. “Il s’agit juste de faire respecter la loi”, selon elle.”Pour l’instant, ce qui a été voté” à l’Assemblée dans le cadre de l’examen du budget de l’Etat n’est “pas honteux, contrairement aux hurlements du gouvernement”, a enfoncé la cheffe des députés RN.Mais les mises en garde du camp gouvernemental n’ont pas freiné les députés dans leur lancée, au contraire.Dans l’après-midi, ils ont continué d’adopter des mesures visant les grands groupes.Là encore, ce sont les votes réunis de la gauche et du RN qui ont permis l’adoption d’une mesure portée par LFI visant à élargir le champ d’application de l’impôt minimum de 15% sur les bénéfices des multinationales. C’est “une autoroute vers le contentieux”, qui fragiliserait les efforts coordonnés avec l’OCDE pour lutter contre l’évasion fiscale, a fustigé dans l’hémicycle le ministre de la Fonction publique, David Amiel.”On assume à 100%” ce vote, a martelé le député RN Jean-Philippe Tanguy.Dans la foulée, le gouvernement a essuyé deux nouveaux revers: le RN a réussi à faire adopter de justesse un amendement pour alourdir la taxation sur les rachats d’actions, afin de lutter contre la spéculation. Les députés de gauche se sont pour la plupart abstenus. Puis c’est la France Insoumise qui a réussi à faire adopter, lors d’un vote très serré, un amendement instaurant une taxe exceptionnelle sur les superdividendes.Ces derniers votes ne devraient pas faciliter la tâche de Sébastien Lecornu.Mercredi matin, le président de LR Bruno Retailleau avait dénoncé une “folie fiscale”, et “le coût de la stabilité politique exorbitant”. Le chef des députés MoDem Marc Fesneau estime aussi que le texte “devient totalement invotable”.- Amendement de compromis ? -A l’issue du Conseil des ministres, la porte-parole du gouvernement, Maud Bregeon, avait relativisé les votes de la veille, rappelant qu’on n’est “qu’au tout début du processus parlementaire”.M. Retailleau pense d’ailleurs que la première partie du budget sur les recettes “sera refusée par l’Assemblée” et donc que ce sera le Sénat “qui devra reprendre la copie”.Sous couvert d’anonymat, plusieurs cadres de la coalition gouvernementale disent s’attendre à ce qu’il n’y ait “pas de budget” et que le gouvernement doive se contenter d’une “loi spéciale”, qui lui permet de reconduire en 2026 les impôts et dépenses de 2025.Autre option: l’adoption d’un budget par ordonnances, comme l’autorise la Constitution si les délais d’examen du texte sont dépassés, et comme s’en inquiète le RN.Les groupes politiques ont accepté de retirer une partie de leurs amendements afin d’accélérer les débats.La fiscalité va continuer d’alimenter les tensions dès la reprise vendredi matin. Du fait de l’opposition résolue du bloc central, de la droite et du RN, la taxe Zucman n’a guère de chance d’être votée, que ce soit dans sa forme initiale (un impôt minimum de 2% sur les patrimoines de plus de 100 millions d’euros) ou modifiée (3% à partir de 10 millions d’euros, mais en excluant les entreprises innovantes et familiales).Un amendement de compromis pourrait donc être encore présenté par le gouvernement au moment des débats. “Il y a encore du travail”, a reconnu Mme Bregeon.parl-far-sl-cma/lpa

Google parent Alphabet posts first $100 bn quarter as AI fuels growth

Google parent Alphabet reported its first-ever $100 billion quarterly revenue on Wednesday, powered by strong growth across its core search business and rapidly expanding cloud division that was buoyed by artificial intelligence.The tech giant’s revenues jumped 16 percent year-on-year to $102.3 billion in the third quarter, beating analyst expectations and marking a milestone for the company founded by Larry Page and Sergey Brin in 1998.”Alphabet had a terrific quarter, with double-digit growth across every major part of our business,” said CEO Sundar Pichai in a statement.Net income surged 33 percent to $35 billion, with the company pointing to its ability to capitalize on the artificial intelligence boom that is reshaping the tech landscape.Google’s core search and advertising business remained the primary revenue driver, generating $56.6 billion, up from $49.4 billion a year earlier.YouTube advertising revenues also grew strongly to $10.3 billion from $8.9 billion.But it was Google Cloud that stole the spotlight, with revenues soaring 34 percent to $15.2 billion. The cloud division, which competes with Amazon Web Services and Microsoft Azure, has become a key growth engine for Alphabet.The company’s ambitious approach to offering AI “is delivering strong momentum and we’re shipping at speed,” Pichai said, highlighting the global rollout of AI features in Google Search and the company’s Gemini AI models.The company said its Gemini App now boasts over 650 million monthly active users and that a growing amount of users were using the company’s AI Mode for search queries.However, the results were partially overshadowed by a $3.5 billion fine imposed by the European Commission in September for competition law violations in its ad tech business.Excluding this penalty, operating income would have increased 22 percent instead of the reported nine percent, the company said.The strong performance comes as Alphabet ramps up capital spending to meet surging demand for AI infrastructure.The company now expects 2025 capital expenditures of between $91-$93 billion, reflecting massive investments in data centers and computing power to fulfill its AI ambitions.It said its spending on capex would grow even more next year, though without providing more details for now.Microsoft and Meta, which also posted results on Wednesday, showed similar massive expenditures on AI infrastructure, which consume more energy than conventional data centers, strain electric power grids and use local water resources for cooling.The company also reported having over 300 million paid subscriptions across services like Google One and YouTube Premium.Despite the robust growth, Alphabet’s experimental “Other Bets” division, which includes autonomous vehicle unit Waymo, posted a loss of $1.4 billion on revenues of just $344 million.Google’s shares have surged by nearly 40 percent in the thrid quarter, with investors also buoyed by the company’s success in persuading a federal judge to deny a US government request that it sell off its Chrome browser as a solution in an antitrust trial.The judge was swayed by arguments that Google’s world-dominating search engine — the heart of Google’s business — faces stiff competition from ChatGPT and other AI chatbots like Perplexity.Still, Google’s search revenue was up nearly 15 percent from the same quarter last year.

Underwater ‘human habitat’ aims to allow researchers to make weeklong dives

To someday allow scientists to stay underwater conducting research for days on end, the UK-based company DEEP has designed Vanguard, a “subsea human habitat.”The company unveiled its prototype Wednesday at a hangar in Miami, Florida, hoping that oceanographers and other researchers can use it to stay underwater in the ocean for at least a week, instead of only a few hours like most expeditions.”There are zones in oceans around the world that are unexplored at those depths, and making them available and accessible by divers will open up a whole new realm of science,” Norman Smith, DEEP’s Chief Technology Officer and the lead engineer behind Vanguard, told AFP.For now, Vanguard is situated only 20 meters (65 feet) underwater, a depth accessible by scuba diving, but DEEP is already working on prototypes that can get down to 200 meters (650 feet). The vessel consists of three sections: a living chamber, a diving center and a base. The first part, measuring 12 meters (40 feet) long by 3.7 meters (12 feet) wide, is where scientists would eat, sleep and work, designed to resist ocean water pressure to keep up to four occupants safe. The “diving center” would connect to the underwater base, which would be anchored to the seabed to protect the overall habitat from waves and storms. Vanguard also will include a floating structure on the surface of the water to transport compressed air, power the vessel, and allow for communication with the outside world.When DEEP deploys Vanguard for the first time in the coming weeks off the coast of Florida, the company hopes scientists will be able to use it to carry out long-term underwater conservation projects, such as coral restoration.

Ligue 1: Beye toujours en sursis après un nouveau nul de Rennes à Toulouse

Après le match nul concédé par le Stade rennais mercredi à Toulouse (2-2), alors que les Bretons menaient 2-0 lors de la 10e journée de Ligue 1, Habib Beye est toujours menacé mais sera bien sur le banc lors du prochain match dimanche.Après ce sixième match consécutif sans victoire, le président breton Arnaud Pouille a indiqué maintenir son entraîneur en poste en vue de la réception de Strasbourg dimanche au Roazhon Park (15h00).Dans ce match important pour continuer à espérer se mêler à la course à l’Europe mais surtout décisif pour l’avenir du technicien sénégalais, ce dernier avait choisi de se passer de deux cadres, Seko Fofana et Ludovic Blas, pas retenus pour le déplacement au Stadium. Avec 12 points, les Rennais sont toujours dixièmes, à deux longueurs de leur adversaire du soir, mais après des journées incertaines quant à l’avenir de Beye, une nouvelle sortie sans  victoire semblait pouvoir être fatale à Beye. “On va essayer d’avancer ensemble”, a affirmé Arnaud Pouille au micro du diffuseur Ligue 1+ quelques minutes après la fin de la rencontre.”C’est réconfortant, ça montre le soutien qu’il veut donner à ce staff, à ce groupe”, a déclaré Beye, soulagé, en conférence de presse.”J’espère que le déclic interviendra dimanche, où on pourra vivre un match où on mène, où on gagne”, a-t-il poursuivi, alors que sa formation a perdu dix points après avoir mené en cours de partie depuis le début de saison. – “traumatisme” -“Il y a un impact psychologique, il y a comme un traumatisme qui anime” les joueurs, selon Beye, qui évoque “une crainte qui fait qu’on n’arrive pas à maintenir les résultats”. Après une première mi-temps globalement maîtrisée par le TFC, pas payé malgré une superbe frappe enroulée de Gboho venue s’écraser sur la barre transversale (32e), Rennes a profité d’un cadeau de la maison pour ouvrir le score.Sur une passe en retrait ratée d’Abu Francis, le N.9 breton Esteban Lepaul a hérité du ballon et ne s’est pas fait prier pour tromper Restes (1-0, 50e).Quatre minutes plus tard, l’avant-centre s’est mué en passeur après une belle sortie de balle des Rouge et Noir, afin de trouver Al-Tamari, qui a remporté son face à face avec le portier des Violets. Devant plus de 25.000 personnes, les Toulousains ont vite réduit l’écart. Le défenseur anglais Charlie Cresswell, a bien conclu un beau travail de Yann Gboho (2-1, 58e).Les hommes de Carles Martinez Novell ont continué à pousser, récompensé par une égalisation obtenue par Aron Donnum sur pénalty, après une faute du jeune Mohamadou Nagida (2-2, 85e).Malgré plusieurs occasions, les Toulousains, qui ratent une opportunité de se rapprocher des places européennes, n’ont pas fait la différence.