Historic World Cup qualification for Cape Verde islandersMon, 13 Oct 2025 19:49:37 GMT

Cape Verde beat Eswatini 3-0 on Monday to secure a spot at the 2026 World Cup, booking their place in football’s global showpiece for the very first time.The team from an archipelago off the coast of Senegal with about 550,000 inhabitants becomes the second-least populous nation to reach the World Cup, after Iceland, with just …

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SpaceX to launch Starship test flight Monday

SpaceX is set to attempt the next test flight of its massive Starship rocket on Monday, as concerns grow that Elon Musk has overpromised his company’s ability to deliver NASA’s lunar projects and fulfill his own Mars ambitions.The US space agency plans to use the mammoth Starship — the world’s largest and most powerful rocket — in its efforts to return astronauts to the Moon. It is also key to Musk’s zealous vision to take humans to Mars.And while its last test mission in August was chalked up as a success, that followed a series of spectacular explosions that raised concerns Starship might not live up to its promises — at least not on the timeline lawmakers and the scientific community had hoped for.The US space agency’s Artemis program aims to return humans to the Moon as China forges ahead with a rival effort that’s targeting 2030 at the latest for its first crewed mission.US President Donald Trump’s second term in the White House has seen the administration pile pressure on NASA to accelerate its progress — efforts Starship is key to. Musk’s company has a multibillion-dollar federal contract to develop a modified version of Starship as a lunar lander.The manned Artemis III mission is intended for mid-2027 — but a NASA safety advisory panel has warned it could be “years late,” according to Space Policy Online.And former NASA administrator Jim Bridenstine told a Senate panel recently that “unless something changes, it is highly unlikely the United States will beat China’s projected timeline.”- ‘Second space race’ -NASA’s acting administrator Sean Duffy has insisted the US will still win the “second space race,” telling reporters last month that “America has led in space in the past, and we are going to continue to lead in space in the future,” while dismissing the notion that China could get there first.Starship’s 11th test flight window is slated to open at 6:15 pm local time (2315 GMT) from the company’s launch facilities in southern Texas.Previous tests of the enormous rocket have resulted in explosions of the upper stage, including twice over the Caribbean and once after reaching space. In June, the upper stage blew up during a ground test.But during August’s successful flight, SpaceX for the first time managed to deploy eight dummy Starlink internet satellites, with onboard cameras beaming back live views of a robotic mechanism pushing each out one by one.Musk has identified developing a fully reusable orbital heat shield as the toughest task, noting it took nine months to refurbish the Space Shuttle’s heat shield between flights.Another hurdle is proving Starship can be refueled in orbit with super-cooled propellant — an essential but untested step for the vehicle to carry out deep-space missions.NASA’s Aerospace Safety Advisory Panel has emphasized “threats” related to ensuring that vital transfer can be carried out, with member Paul Hill saying the timeline is “significantly challenged.”

Lecornu se prépare à une journée décisive, le PS maintient ses exigences

A la veille d’une déclaration à haut risque devant l’Assemblée nationale, le Premier ministre Sébastien Lecornu a poursuivi ses tractations lundi soir, le patron du PS Olivier Faure l’appelant toujours à une suspension “complète” de la réforme des retraites, sous peine de censure.Entouré de ministres et de conseillers, le chef du gouvernement a poursuivi ses travaux pour construire deux ouvrages majeurs : ses projets de budgets pour 2026 d’un côté, et sa déclaration de politique générale (DPG).Lors d’un premier Conseil des ministres mardi matin à l’Elysée (10H00), le gouvernement présentera les projets de budget de l’Etat et de la Sécurité sociale, pour qu’ils soient transmis dans les temps au Parlement.L’objectif est de garder le déficit en dessous des 5% du PIB, au lieu de 4,7% initialement prévu, un assouplissement qui laisse une marge de 9 milliards d’euros pour éventuellement satisfaire les demandes des oppositions.”Sur ces bases là, nous allons pouvoir réviser complètement la copie qui va être présentée en Conseil des ministres”, a prévenu lundi soir le Premier secrétaire du PS Olivier Faure, sur France 5.Mais avant d’en arriver à un débat budgétaire, il faudra que le gouvernement échappe à la censure. Sébastien Lecornu a demandé à ses ministres de mettre leurs “egos de côté” pour “surpasser la crise politique”.Et l’heure de vérité sera sa déclaration de politique générale, quasi bouclée, qu’il doit prononcer devant l’Assemblée mardi à partir de 15H00. Les socialistes attendent à cette occasion l’annonce d’une suspension de la réforme des retraites de 2023, qui puisse être adoptée au Parlement. Une suspension “immédiate, complète”, a insisté M. Faure. Il faut aussi “une contribution sur les plus gros patrimoines qui peut prendre différentes modalités” et la confirmation de l’abandon de “l’article 49.3” de la Constitution qui permet d’adopter un texte sans vote, a ajouté sur France 2 l’ancien président socialiste et député de Corrèze, François Hollande.Faute de quoi le gouvernement pourrait tomber dès cette semaine.Lors d’une réunion avec les chefs de parti vendredi, Emmanuel Macron avait esquissé une concession: un décalage dans le temps de “la mesure d’âge” de départ à la retraite (passage progressif à 64 ans), symbole de son deuxième quinquennat.Un geste insuffisant aux yeux du PS, qui veut à la fois une suspension de la mesure d’âge légal et de l’accélération de la hausse du nombre de trimestres cotisés. Sur ce point, les socialistes vont plus loin que la CFDT.- “Faire tout” pour éviter la dissolution -Depuis l’Egypte, où il assistait au sommet sur Gaza, Emmanuel Macron s’est défaussé sur la classe politique de toute responsabilité dans la crise, mettant plutôt en avant son rôle diplomatique.Il a appelé les partis à “se ressaisir” et à “oeuvrer à la stabilité”, au lieu de “faire des paris sur l’instabilité” dans une allusion à ceux qui espèrent une dissolution de l’Assemblée ou une présidentielle anticipée. “J’ai confiance dans l’esprit de responsabilité de chacun pour y arriver”, a-t-il ajouté un peu plus tard avant de reprendre son avion pour regagner la France.Démissionnaire en début de semaine dernière, reconduit vendredi au terme d’une mission éclair auprès des forces politiques, Sébastien Lecornu est sur une corde raide. Le RN et LFI comptent le censurer dès cette semaine. Tout dépendra donc du PS. D’autant que le parti de Marine Le Pen et Jordan Bardella entend voter la motion des Insoumis.Le président du parti d’extrême droite s’en est pris à un PS qui tente “de se faire acheter” sur les retraites. Olivier Faure raillant en retour un “expert” en “matière de magouilles”, et appelant le RN à clarifier sa position sur “la taxation des ultra riches”.Sébastien Lecornu a présenté dimanche soir sa nouvelle équipe : huit personnalités issues de la société civile et 26 de forces politiques, dont 11 du parti présidentiel Renaissance. Les six ministres de droite ont été écartés des Républicains (LR) de Bruno Retailleau qui avait donné pour consigne – contestée par les députés – de ne pas entrer dans l’équipe Lecornu 2. Leur sort définitif sera tranché par les instances du parti dans les prochains jours.Elisabeth Borne, auteure de la réforme des retraites qu’elle a proposée elle-même de suspendre, laisse sa place à l’Education à l’ancien directeur général de l’Enseignement scolaire Edouard Geffray.Gérald Darmanin, qui était résolument tourné vers 2027, a été renommé garde des Sceaux avant d’annoncer se mettre “en congé” de ses activités partisanes.”Nous devons tendre la main et faire tout pour éviter que nous allions vers la dissolution de l’Assemblée nationale, qui ajouterait de l’instabilité”, a-t-il exhorté lundi.pol-are-sac/sde/dch   

Lecornu se prépare à une journée décisive, le PS maintient ses exigences

A la veille d’une déclaration à haut risque devant l’Assemblée nationale, le Premier ministre Sébastien Lecornu a poursuivi ses tractations lundi soir, le patron du PS Olivier Faure l’appelant toujours à une suspension “complète” de la réforme des retraites, sous peine de censure.Entouré de ministres et de conseillers, le chef du gouvernement a poursuivi ses travaux pour construire deux ouvrages majeurs : ses projets de budgets pour 2026 d’un côté, et sa déclaration de politique générale (DPG).Lors d’un premier Conseil des ministres mardi matin à l’Elysée (10H00), le gouvernement présentera les projets de budget de l’Etat et de la Sécurité sociale, pour qu’ils soient transmis dans les temps au Parlement.L’objectif est de garder le déficit en dessous des 5% du PIB, au lieu de 4,7% initialement prévu, un assouplissement qui laisse une marge de 9 milliards d’euros pour éventuellement satisfaire les demandes des oppositions.”Sur ces bases là, nous allons pouvoir réviser complètement la copie qui va être présentée en Conseil des ministres”, a prévenu lundi soir le Premier secrétaire du PS Olivier Faure, sur France 5.Mais avant d’en arriver à un débat budgétaire, il faudra que le gouvernement échappe à la censure. Sébastien Lecornu a demandé à ses ministres de mettre leurs “egos de côté” pour “surpasser la crise politique”.Et l’heure de vérité sera sa déclaration de politique générale, quasi bouclée, qu’il doit prononcer devant l’Assemblée mardi à partir de 15H00. Les socialistes attendent à cette occasion l’annonce d’une suspension de la réforme des retraites de 2023, qui puisse être adoptée au Parlement. Une suspension “immédiate, complète”, a insisté M. Faure. Il faut aussi “une contribution sur les plus gros patrimoines qui peut prendre différentes modalités” et la confirmation de l’abandon de “l’article 49.3” de la Constitution qui permet d’adopter un texte sans vote, a ajouté sur France 2 l’ancien président socialiste et député de Corrèze, François Hollande.Faute de quoi le gouvernement pourrait tomber dès cette semaine.Lors d’une réunion avec les chefs de parti vendredi, Emmanuel Macron avait esquissé une concession: un décalage dans le temps de “la mesure d’âge” de départ à la retraite (passage progressif à 64 ans), symbole de son deuxième quinquennat.Un geste insuffisant aux yeux du PS, qui veut à la fois une suspension de la mesure d’âge légal et de l’accélération de la hausse du nombre de trimestres cotisés. Sur ce point, les socialistes vont plus loin que la CFDT.- “Faire tout” pour éviter la dissolution -Depuis l’Egypte, où il assistait au sommet sur Gaza, Emmanuel Macron s’est défaussé sur la classe politique de toute responsabilité dans la crise, mettant plutôt en avant son rôle diplomatique.Il a appelé les partis à “se ressaisir” et à “oeuvrer à la stabilité”, au lieu de “faire des paris sur l’instabilité” dans une allusion à ceux qui espèrent une dissolution de l’Assemblée ou une présidentielle anticipée. “J’ai confiance dans l’esprit de responsabilité de chacun pour y arriver”, a-t-il ajouté un peu plus tard avant de reprendre son avion pour regagner la France.Démissionnaire en début de semaine dernière, reconduit vendredi au terme d’une mission éclair auprès des forces politiques, Sébastien Lecornu est sur une corde raide. Le RN et LFI comptent le censurer dès cette semaine. Tout dépendra donc du PS. D’autant que le parti de Marine Le Pen et Jordan Bardella entend voter la motion des Insoumis.Le président du parti d’extrême droite s’en est pris à un PS qui tente “de se faire acheter” sur les retraites. Olivier Faure raillant en retour un “expert” en “matière de magouilles”, et appelant le RN à clarifier sa position sur “la taxation des ultra riches”.Sébastien Lecornu a présenté dimanche soir sa nouvelle équipe : huit personnalités issues de la société civile et 26 de forces politiques, dont 11 du parti présidentiel Renaissance. Les six ministres de droite ont été écartés des Républicains (LR) de Bruno Retailleau qui avait donné pour consigne – contestée par les députés – de ne pas entrer dans l’équipe Lecornu 2. Leur sort définitif sera tranché par les instances du parti dans les prochains jours.Elisabeth Borne, auteure de la réforme des retraites qu’elle a proposée elle-même de suspendre, laisse sa place à l’Education à l’ancien directeur général de l’Enseignement scolaire Edouard Geffray.Gérald Darmanin, qui était résolument tourné vers 2027, a été renommé garde des Sceaux avant d’annoncer se mettre “en congé” de ses activités partisanes.”Nous devons tendre la main et faire tout pour éviter que nous allions vers la dissolution de l’Assemblée nationale, qui ajouterait de l’instabilité”, a-t-il exhorté lundi.pol-are-sac/sde/dch   

Lecornu se prépare à une journée décisive, le PS maintient ses exigences

A la veille d’une déclaration à haut risque devant l’Assemblée nationale, le Premier ministre Sébastien Lecornu a poursuivi ses tractations lundi soir, le patron du PS Olivier Faure l’appelant toujours à une suspension “complète” de la réforme des retraites, sous peine de censure.Entouré de ministres et de conseillers, le chef du gouvernement a poursuivi ses travaux pour construire deux ouvrages majeurs : ses projets de budgets pour 2026 d’un côté, et sa déclaration de politique générale (DPG).Lors d’un premier Conseil des ministres mardi matin à l’Elysée (10H00), le gouvernement présentera les projets de budget de l’Etat et de la Sécurité sociale, pour qu’ils soient transmis dans les temps au Parlement.L’objectif est de garder le déficit en dessous des 5% du PIB, au lieu de 4,7% initialement prévu, un assouplissement qui laisse une marge de 9 milliards d’euros pour éventuellement satisfaire les demandes des oppositions.”Sur ces bases là, nous allons pouvoir réviser complètement la copie qui va être présentée en Conseil des ministres”, a prévenu lundi soir le Premier secrétaire du PS Olivier Faure, sur France 5.Mais avant d’en arriver à un débat budgétaire, il faudra que le gouvernement échappe à la censure. Sébastien Lecornu a demandé à ses ministres de mettre leurs “egos de côté” pour “surpasser la crise politique”.Et l’heure de vérité sera sa déclaration de politique générale, quasi bouclée, qu’il doit prononcer devant l’Assemblée mardi à partir de 15H00. Les socialistes attendent à cette occasion l’annonce d’une suspension de la réforme des retraites de 2023, qui puisse être adoptée au Parlement. Une suspension “immédiate, complète”, a insisté M. Faure. Il faut aussi “une contribution sur les plus gros patrimoines qui peut prendre différentes modalités” et la confirmation de l’abandon de “l’article 49.3” de la Constitution qui permet d’adopter un texte sans vote, a ajouté sur France 2 l’ancien président socialiste et député de Corrèze, François Hollande.Faute de quoi le gouvernement pourrait tomber dès cette semaine.Lors d’une réunion avec les chefs de parti vendredi, Emmanuel Macron avait esquissé une concession: un décalage dans le temps de “la mesure d’âge” de départ à la retraite (passage progressif à 64 ans), symbole de son deuxième quinquennat.Un geste insuffisant aux yeux du PS, qui veut à la fois une suspension de la mesure d’âge légal et de l’accélération de la hausse du nombre de trimestres cotisés. Sur ce point, les socialistes vont plus loin que la CFDT.- “Faire tout” pour éviter la dissolution -Depuis l’Egypte, où il assistait au sommet sur Gaza, Emmanuel Macron s’est défaussé sur la classe politique de toute responsabilité dans la crise, mettant plutôt en avant son rôle diplomatique.Il a appelé les partis à “se ressaisir” et à “oeuvrer à la stabilité”, au lieu de “faire des paris sur l’instabilité” dans une allusion à ceux qui espèrent une dissolution de l’Assemblée ou une présidentielle anticipée. “J’ai confiance dans l’esprit de responsabilité de chacun pour y arriver”, a-t-il ajouté un peu plus tard avant de reprendre son avion pour regagner la France.Démissionnaire en début de semaine dernière, reconduit vendredi au terme d’une mission éclair auprès des forces politiques, Sébastien Lecornu est sur une corde raide. Le RN et LFI comptent le censurer dès cette semaine. Tout dépendra donc du PS. D’autant que le parti de Marine Le Pen et Jordan Bardella entend voter la motion des Insoumis.Le président du parti d’extrême droite s’en est pris à un PS qui tente “de se faire acheter” sur les retraites. Olivier Faure raillant en retour un “expert” en “matière de magouilles”, et appelant le RN à clarifier sa position sur “la taxation des ultra riches”.Sébastien Lecornu a présenté dimanche soir sa nouvelle équipe : huit personnalités issues de la société civile et 26 de forces politiques, dont 11 du parti présidentiel Renaissance. Les six ministres de droite ont été écartés des Républicains (LR) de Bruno Retailleau qui avait donné pour consigne – contestée par les députés – de ne pas entrer dans l’équipe Lecornu 2. Leur sort définitif sera tranché par les instances du parti dans les prochains jours.Elisabeth Borne, auteure de la réforme des retraites qu’elle a proposée elle-même de suspendre, laisse sa place à l’Education à l’ancien directeur général de l’Enseignement scolaire Edouard Geffray.Gérald Darmanin, qui était résolument tourné vers 2027, a été renommé garde des Sceaux avant d’annoncer se mettre “en congé” de ses activités partisanes.”Nous devons tendre la main et faire tout pour éviter que nous allions vers la dissolution de l’Assemblée nationale, qui ajouterait de l’instabilité”, a-t-il exhorté lundi.pol-are-sac/sde/dch   

Lecornu se prépare à une journée décisive, le PS maintient ses exigences

A la veille d’une déclaration à haut risque devant l’Assemblée nationale, le Premier ministre Sébastien Lecornu a poursuivi ses tractations lundi soir, le patron du PS Olivier Faure l’appelant toujours à une suspension “complète” de la réforme des retraites, sous peine de censure.Entouré de ministres et de conseillers, le chef du gouvernement a poursuivi ses travaux pour construire deux ouvrages majeurs : ses projets de budgets pour 2026 d’un côté, et sa déclaration de politique générale (DPG).Lors d’un premier Conseil des ministres mardi matin à l’Elysée (10H00), le gouvernement présentera les projets de budget de l’Etat et de la Sécurité sociale, pour qu’ils soient transmis dans les temps au Parlement.L’objectif est de garder le déficit en dessous des 5% du PIB, au lieu de 4,7% initialement prévu, un assouplissement qui laisse une marge de 9 milliards d’euros pour éventuellement satisfaire les demandes des oppositions.”Sur ces bases là, nous allons pouvoir réviser complètement la copie qui va être présentée en Conseil des ministres”, a prévenu lundi soir le Premier secrétaire du PS Olivier Faure, sur France 5.Mais avant d’en arriver à un débat budgétaire, il faudra que le gouvernement échappe à la censure. Sébastien Lecornu a demandé à ses ministres de mettre leurs “egos de côté” pour “surpasser la crise politique”.Et l’heure de vérité sera sa déclaration de politique générale, quasi bouclée, qu’il doit prononcer devant l’Assemblée mardi à partir de 15H00. Les socialistes attendent à cette occasion l’annonce d’une suspension de la réforme des retraites de 2023, qui puisse être adoptée au Parlement. Une suspension “immédiate, complète”, a insisté M. Faure. Il faut aussi “une contribution sur les plus gros patrimoines qui peut prendre différentes modalités” et la confirmation de l’abandon de “l’article 49.3” de la Constitution qui permet d’adopter un texte sans vote, a ajouté sur France 2 l’ancien président socialiste et député de Corrèze, François Hollande.Faute de quoi le gouvernement pourrait tomber dès cette semaine.Lors d’une réunion avec les chefs de parti vendredi, Emmanuel Macron avait esquissé une concession: un décalage dans le temps de “la mesure d’âge” de départ à la retraite (passage progressif à 64 ans), symbole de son deuxième quinquennat.Un geste insuffisant aux yeux du PS, qui veut à la fois une suspension de la mesure d’âge légal et de l’accélération de la hausse du nombre de trimestres cotisés. Sur ce point, les socialistes vont plus loin que la CFDT.- “Faire tout” pour éviter la dissolution -Depuis l’Egypte, où il assistait au sommet sur Gaza, Emmanuel Macron s’est défaussé sur la classe politique de toute responsabilité dans la crise, mettant plutôt en avant son rôle diplomatique.Il a appelé les partis à “se ressaisir” et à “oeuvrer à la stabilité”, au lieu de “faire des paris sur l’instabilité” dans une allusion à ceux qui espèrent une dissolution de l’Assemblée ou une présidentielle anticipée. “J’ai confiance dans l’esprit de responsabilité de chacun pour y arriver”, a-t-il ajouté un peu plus tard avant de reprendre son avion pour regagner la France.Démissionnaire en début de semaine dernière, reconduit vendredi au terme d’une mission éclair auprès des forces politiques, Sébastien Lecornu est sur une corde raide. Le RN et LFI comptent le censurer dès cette semaine. Tout dépendra donc du PS. D’autant que le parti de Marine Le Pen et Jordan Bardella entend voter la motion des Insoumis.Le président du parti d’extrême droite s’en est pris à un PS qui tente “de se faire acheter” sur les retraites. Olivier Faure raillant en retour un “expert” en “matière de magouilles”, et appelant le RN à clarifier sa position sur “la taxation des ultra riches”.Sébastien Lecornu a présenté dimanche soir sa nouvelle équipe : huit personnalités issues de la société civile et 26 de forces politiques, dont 11 du parti présidentiel Renaissance. Les six ministres de droite ont été écartés des Républicains (LR) de Bruno Retailleau qui avait donné pour consigne – contestée par les députés – de ne pas entrer dans l’équipe Lecornu 2. Leur sort définitif sera tranché par les instances du parti dans les prochains jours.Elisabeth Borne, auteure de la réforme des retraites qu’elle a proposée elle-même de suspendre, laisse sa place à l’Education à l’ancien directeur général de l’Enseignement scolaire Edouard Geffray.Gérald Darmanin, qui était résolument tourné vers 2027, a été renommé garde des Sceaux avant d’annoncer se mettre “en congé” de ses activités partisanes.”Nous devons tendre la main et faire tout pour éviter que nous allions vers la dissolution de l’Assemblée nationale, qui ajouterait de l’instabilité”, a-t-il exhorté lundi.pol-are-sac/sde/dch   

Trump calls Italian PM ‘beautiful’ at Gaza summit

US President Donald Trump had some choice words for Italian Prime Minister Giorgia Meloni, the only female leader on stage at a Gaza summit in Egypt on Monday: “She’s beautiful.”The three-times-married 79-year-old admitted that he risked being accused of sexism with the comments about hard-right leader Meloni, who was standing behind him on the podium.”I’m not allowed to say it because usually it’s the end of your political career if you say it — she’s a beautiful young woman,” Trump said in the middle of a speech about his peace efforts for the Middle East.”If you use the word ‘beautiful’ in the United States about a woman, that’s the end of your political career, but I’ll take my chances.”Turning round to address the 48-year-old, Trump said: “You don’t mind being called beautiful, right? Because you are.”Meloni’s immediate reaction could not be seen, as Trump’s back was between her and the cameras.Trump went on to call Meloni, an ideological ally when it comes to immigration and cultural issues, “incredible”.”And they really respect her in Italy. She’s a very successful politician,” he added.Meloni was the only woman among around 30 leaders gathered on the stage behind Trump for the summit, where they signed a declaration pledging to help push through peace for Gaza.Trump has previously been criticised for sexist remarks.In September, a US appeals court upheld a jury’s $83.3-million penalty against Trump for defaming author E. Jean Carroll, whom he was found to have sexually assaulted.

Trump proclame un “jour formidable pour le Moyen-Orient” devant un sommet sur Gaza

Donald Trump a proclamé lundi un “jour formidable pour le Moyen-Orient” lors d’un sommet sur Gaza en Egypte et a cosigné une déclaration visant à cimenter le cessez-le-feu dans le territoire palestinien, après un échange d’otages et de détenus entre Israël et le Hamas.Plus tôt, lors d’une visite éclair à Jérusalem, le président américain a annoncé devant la Knesset la fin d’un “long cauchemar” pour Israël et les Palestiniens. “Ce n’est pas seulement la fin d’une guerre, c’est la fin d’une ère de terreur et de mort”, a-t-il dit, appelant les Palestiniens à “se détourner pour toujours de la voie du terrorisme”.Au quatrième jour du cessez-le-feu dans la bande de Gaza dévastée par deux ans de guerre, le mouvement islamiste palestinien Hamas a libéré les 20 derniers otages vivants qu’il détenait en échange de 1.968 prisonniers palestiniens relâchés par Israël.Sur la place des Otages à Tel-Aviv, des scènes de liesse ont accueilli la libération des otages enlevés le 7 octobre 2023 lors d’une attaque sans précédent du Hamas contre Israël, qui a déclenché la guerre.”C’est superbe et bouleversant que cela arrive enfin” a déclaré Shelly Bar Nir, 34 ans. “Nos otages rentrent enfin chez eux.””Ma vie, tu es ma vie… tu es un héros”, s’exclame Einav Zangauker en serrant dans ses bras son fils Matan, tout sourire, après sa libération, selon une vidéo diffusée par l’armée israélienne. A Ramallah en Cisjordanie occupée, une explosion de joie a accompagné l’arrivée des cars transportant des prisonniers palestiniens libérés. “C’est une renaissance”, a dit Mahdi Ramadan après sa libération. D’autres bus ont gagné la bande de Gaza, accueillis par des milliers de personnes agitant le drapeau palestinien et celui du Hamas.- “PEACE 2025” -A l’origine du plan sur un cessez-le-feu à Gaza, M. Trump a coprésidé le sommet à Charm el-Cheikh avec le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, en présence de nombreux dirigeants  internationaux. Ni le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ni le Hamas n’y étaient présents.M. Trump a accueilli les dirigeants sur un tapis rouge, souriant et serrant la main de chacun. Derrière une inscription géante “PEACE 2025”, il a levé plusieurs fois le pouce devant les caméras.Avec les dirigeants d’Egypte, du Qatar et de Turquie, il a ensuite signé une déclaration sur Gaza, en tant que garants de l’accord de cessez-le-feu. Ils s’y engagent à “poursuivre une vision de paix” au Moyen-Orient et se félicitent “des progrès accomplis dans la mise en place d’arrangements de paix durables à Gaza”.”Le document va détailler les règles et les dispositions et bien d’autres choses”, a déclaré M. Trump en répétant par deux fois “cela va tenir”. Il n’a pas fourni de précisions.”Nous avons réussi ensemble ce que tout le monde pensait impossible. Enfin, nous avons la paix au Moyen-Orient”, a dit le président américain avant de quitter l’Egypte.M. Sissi a lui annoncé que son pays allait accueillir une conférence sur la reconstruction de Gaza, à une date non précisée.Dans la journée, vingt otages ont été remis en deux phases au Comité international de la Croix-Rouge (CICR), dont les voitures ont pris la direction d’Israël sous l’oeil de combattants armés du Hamas.La majorité des 251 personnes enlevées durant l’attaque du 7-Octobre avaient été libérées lors de deux précédentes trêves à Gaza.- “Libération totale” -L’attaque du Hamas a entraîné côté israélien la mort de 1.219 personnes, en majorité des civils, selon un bilan établi par l’AFP à partir de données officielles.En riposte, Israël a lancé une offensive qui a ravagé la bande de Gaza, provoqué un désastre humanitaire et fait 67.869 morts, en majorité des civils, d’après les chiffres du ministère de la Santé du Hamas.La première phase du plan américain prévoit outre le cessez-le-feu et un retrait israélien de certains secteurs de Gaza, le retour dans les 72 heures des 47 derniers otages retenus à Gaza, dont 27 sont morts.Mais l’armée israélienne a annoncé la remise de seulement quatre corps d’otages via le CICR lundi. “Le Hamas est tenu de respecter l’accord et de prendre les mesures nécessaires pour le retour de tous les otages décédés.”Le Hamas a salué “la libération des prisonniers palestiniens des prisons de l’occupation” comme “un succès national sur le chemin de la libération totale”.Le plan Trump prévoit dans une phase ultérieure notamment le désarmement du Hamas et son exclusion de la gouvernance du territoire, où le mouvement a pris le pouvoir en 2007.Le mouvement islamiste ne s’est pas prononcé sur son désarmement et exige un retrait total israélien de la bande de Gaza. L’armée israélienne contrôle aujourd’hui 53% du territoire.Un responsable du Hamas a dit prévoir une deuxième phase “difficile” des négociations.

Cuban dissident Ferrer arrives in Miami for US exile

Cuban dissident Jose Daniel Ferrer landed in Miami on Monday to start his exile in the United States as Washington demanded that Cuba release more than 700 other “political prisoners.”Ferrer, 55, arrived in Florida after being freed from a Cuban prison earlier in the day.Secretary of State Marco Rubio welcomed the top Cuban dissident’s arrival in the US and demanded that Havana free hundreds of other imprisoned dissidents. “Ferrer’s leadership and tireless advocacy for the Cuban people was a threat to the regime, which repeatedly imprisoned and tortured him. We are glad that Ferrer is now free from the regime’s oppression,” Rubio said in a statement.”We call for the immediate release of the more than 700 unjustly detained political prisoners and urge the international community to join us in holding the Cuban regime accountable,” added America’s top diplomat, a Miami native and son of Cuban exiles.Ferrer, who has been imprisoned multiple times as the long-term leader of the island’s pro-democracy movement, announced this month he had opted for exile after enduring “torture” and “humiliation” behind bars.In a letter from prison, the 55-year-old said that since he was reimprisoned in April after being briefly freed under a deal negotiated with former US president Joe Biden, “the cruelty of the dictatorship towards me has known no bounds.”He cited “blows, torture, humiliation, threats and extreme conditions” in prison, including “the theft of food and hygiene products.”Ferrer said he took the difficult decision to leave given threats that his wife would also be imprisoned and his young son sent to an institution for juvenile offenders.  The foreign ministry in Havana said in a statement that Ferrer and members of his family had left the country for the United States following “a formal request from that country’s government and the express acceptance” of the dissident.His sister Ana Belkis Ferrer told AFP by telephone the opposition leader had “finally been exiled, thank God,” adding his family was “very happy despite the tension of the last days.”- ‘Dignity and honor’ -Ferrer said in his letter he would leave Cuba “with my dignity and honor intact, and not for long.”His departure deals a blow to the opposition movement in Cuba. The country faces its worst economic crisis in decades and an exodus of young people, mainly to the United States.Ferrer, founder of the Patriotic Union of Cuba (UNPACU) — one of the most active opposition organizations in the one-party state — had for years resisted pressure to go into exile to avoid prison.He was the most high-profile of a group of prisoners released in January under a landmark deal struck with Biden in exchange for Washington removing Cuba from a list of terrorism sponsors.But he was sent back to prison in April after Biden’s successor, Donald Trump, slapped Cuba back on the list.Ferrer has been in and out of prison since March 2003, when he and 74 other opposition members were arrested in a three-day period of repression known as Cuba’s “Black Spring.”He was released in 2011 but sent back to prison in 2021 following a crackdown on rare anti-government street protests that rattled the communist authorities.In his letter, he said “only the United States… truly stands in solidarity with the peaceful opposition and the Cuban people” — an implicit rebuke of the EU, which has angered dissidents by maintaining a political and cooperation agreement with Cuba.burs-iv/sms