Rubio discusses Gaza truce with Israel PM on first leg of Mideast tour

US Secretary of State Marco Rubio met with Israel’s prime minister in Jerusalem on Sunday for talks on the Gaza ceasefire, launching a Middle East tour a day after the latest hostage-prisoner exchange.On his first visit to the region as Washington’s top diplomat, Rubio is expected to push US President Donald Trump’s widely condemned proposal to take control of Gaza and relocate its more than two million residents.The plan envisions redeveloping the coastal territory into the “Riviera of the Middle East” after it was devastated by more than 15 months of war.Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu welcomed the idea during his recent White House visit, but foreign leaders have largely rejected it.Rubio arrived hours after Hamas freed three Israeli hostages in Gaza in exchange for 369 Palestinian prisoners — the sixth swap under the fragile ceasefire.Negotiations on a second phase of the truce, aimed at securing a more lasting end to the war, are expected to begin next week in Doha.The United States, Israel’s top ally and weapons supplier, has said it is open to alternative proposals from Arab governments but insists that, for now, “the only plan is Trump’s”.Rubio is also due to visit Saudi Arabia and the United Arab Emirates, with tough talks expected on Monday in Riyadh, a key player in Trump’s regional strategy.- Brink of collapse -Hamas and Israel are implementing the first, 42-day phase of the ceasefire that nearly collapsed last week.Israel had warned Hamas it must free three living hostages by the weekend or face a renewed offensive.Netanyahu credited “President Trump’s firm stance” with ensuring Saturday’s releases went ahead.The freed hostages — Israeli-American Sagui Dekel-Chen, 36, Israeli-Russian Sasha Trupanov, 29, and Israeli-Argentine Yair Horn, 46 — returned to emotional family reunions.Flanked by Hamas fighters, they carried gift bags from their captors and urged further exchanges.In an Israeli government video, Dekel-Chen’s wife, Avital, told him the name of their daughter who had been born two months after his abduction in October 2023.”That’s perfect,” the 36-year-old replied.Israel freed 369 Palestinian prisoners, mostly Gazans detained during the war, but also some were serving life sentences for attacks on Israelis.Footage aired by Israeli media showed Palestinian prisoners in sweatshirts bearing a Star of David and the slogan: “We will not forget and we will not forgive.”They tore them off upon reaching Gaza and burned them in a bonfire at the reception point in Khan Yunis.Ibrahim, 61, a freed prisoner who declined to give his full name, said he was shocked by Gaza’s devastation.Arrested in northern Gaza’s Jabalia refugee camp, he said he still did not know why he had been jailed for nine months.Since the truce began last month, 19 Israeli hostages have been released in exchange for more than 1,000 Palestinian prisoners.Out of 251 people seized in Hamas’s October 7, 2023 attack on Israel that sparked the war, 70 remain in Gaza, including 35 the Israeli military says are dead.- Second phase alternatives -The second phase of the ceasefire, still to be negotiated, is expected to include the release of the remaining hostages and discussions on ending the war.Trump’s Gaza plan has heightened tensions.The US president has warned of repercussions for neighbouring Egypt and Jordan unless they accept displaced Gazans.Diplomats say Egypt is leading efforts to propose an alternative focused on training a new security force and appointing local Palestinian leaders.Rubio said he believed Arab states were “working in good faith”, but insisted Hamas must have no future role.The October 7, 2023 attack on Israel resulted in the deaths of 1,211 people, mostly civilians, according to an AFP tally of Israeli official figures.Israel’s retaliatory campaign has killed at least 48,264 people in Gaza, the majority of them civilians, according to figures from the health ministry in the Hamas-run territory that the United Nations considers reliable.On Sunday morning, Hamas said an Israeli air strike killed two police officers and wounded another near south Gaza’s Rafah. Israel said it struck “several armed individuals” in south Gaza.And overnight, Israel said it received a shipment of “heavy” US-made bombs. The Biden administration had blocked a shipment of 2,000-pound bombs during the Gaza war.burs-lb/dv/jsa

Mauritius ex-PM arrested in money-laundering probe: policeSun, 16 Feb 2025 09:14:55 GMT

Police in Mauritius on Sunday arrested the island’s former prime minister Pravind Jugnauth in a money-laundering probe and seized stacks of cash in raids on fellow suspects’ homes, officials said.Officers detained the 63-year-old along with his wife Kobita Jugnauth on Saturday and questioned them for several hours, police sources who asked not to be named …

Mauritius ex-PM arrested in money-laundering probe: policeSun, 16 Feb 2025 09:14:55 GMT Read More »

Corse: une jeune femme tuée par balles au volant d’une voiture à Ponte-Leccia

Une jeune femme de 19 ans a été tuée par balles au volant d’un véhicule samedi soir à Ponte-Leccia (Haute-Corse), le parquet de Bastia privilégiant la piste d’une méprise en lien avec la criminalité organisée. La victime est décédée “des suites de blessures par balles alors qu’elle circulait seule au volant du véhicule habituellement utilisé par son compagnon” dans le village de Ponte-Leccia, situé sur la commune de Morosaglia, selon les premiers éléments de l’enquête communiqués par le procureur de la République de Bastia, Jean-Philippe Navarre, dans un communiqué.”En l’état, aucune hypothèse ne peut complètement être exclue ou privilégiée mais il est très probable que la victime visée n’ait pas été celle recherchée par les tireurs dans un contexte très évocateur des agissements de la grande criminalité organisée”, a-t-il précisé.Une voiture brûlée a été découverte sur la commune de Tralonca, à une vingtaine de kilomètres de Morosaglia, sans qu’aucun lien ne puisse être établi à ce stade avec l’homicide, selon le procureur de Bastia.L’enquête ouverte pour homicide volontaire en bande organisée est confiée aux services de la section de recherches de Corse et à la DIPN (Direction interdépartementale de la police nationale) de Haute-Corse.Il s’agit du troisième homicide depuis le début de l’année en Corse. 

Rubio rencontre Netanyahu en Israël au lendemain de la libération de trois otages à Gaza

Le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, a entamé dimanche un entretien avec le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, à Jérusalem, au lendemain de nouvelles libérations d’otages à Gaza en échange de prisonniers palestiniens, dans le cadre de la fragile trêve entre Israël et le Hamas. M. Rubio, qui débute sa première tournée au Moyen-Orient, doit discuter de la proposition du président Donald Trump de prendre le contrôle de la bande de Gaza et d’en déplacer ses habitants vers l’Egypte et la Jordanie.Benjamin Netanyahu a dit samedi apprécier le “soutien total” de Donald Trump aux décisions d’Israël à propos du territoire palestinien. Juste avant le début de leur rencontre, l’armée israélienne a annoncé avoir mené une frappe aérienne visant “deux individus armés” dans la bande de Gaza, le Hamas faisant état de deux policiers tués par un raid israélien dans le sud du territoire palestinien. “C’est désormais à Israël de décider ce qu’ils veulent faire”, a écrit samedi M. Trump sur son réseau social Truth Social, “les Etats-Unis soutiendront” leur  décision. Une cargaison de “bombes lourdes” américaines, dont la livraison à Israël a été débloquée par l’administration Trump, est entretemps arrivée dans la nuit en Israël, a indiqué le ministère de la Défense.Les entretiens de M. Rubio en Israël se tiennent au lendemain du sixième échange d’otages à Gaza contre des prisonniers palestiniens depuis le début de la trêve.Après 498 jours de captivité, Sacha Trupanov, un Israélo-Russe de 29 ans, Yaïr Horn, un Israélo-Argentin de 46 ans, et Sagui Dekel-Chen, un Israélo-Américain de 36 ans, ont été libérés à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza. Ils sont apparus en meilleure forme physique que trois otages décharnés libérés une semaine plus tôt.- Reprise des négociations ? – Ils avaient été enlevés le 7 octobre 2023 au kibboutz Nir Oz, dans le sud d’Israël. Sur 251 personnes alors emmenées à Gaza, 70 s’y trouvent toujours, dont au moins 35 mortes, selon l’armée israélienne.Israël a libéré en contrepartie 369 prisonniers palestiniens. La plupart ont été transférés dans la bande de Gaza et en Cisjordanie, territoire occupé par Israël depuis 1967, où ils ont été accueillis par des foules en liesse. Vingt-quatre autres, condamnés à la prison à vie, ont été expulsés vers l’Egypte.L’accord de cessez-le-feu est entré en vigueur le 19 janvier après 15 mois d’une guerre dévastatrice dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas, déclenchée par l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien sur le sol israélien du 7-Octobre. Cette attaque a fait 1.211 morts côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles et incluant les otages morts ou tués en captivité.L’offensive israélienne de représailles à Gaza a fait au moins 48.264 morts, en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU. La première phase de la trêve, qui doit s’achever le 1er mars, a déjà permis la libération de 19 otages israéliens et 1.134 Palestiniens. L’accord prévoit qu’elle permette au total le retour en Israël de 33 otages, dont huit décédés, et la libération de 1.900 détenus palestiniens.Le chef de la diplomatie américaine devrait aussi discuter de la deuxième phase de l’accord, censée déboucher sur la libération de tous les otages et une fin définitive de la guerre.Selon une source proche des négociations, les médiateurs espèrent entamer “la semaine prochaine à Doha” les pourparlers sur cette deuxième phase, avant une étape finale dédiée à la reconstruction de Gaza, un immense chantier estimé par l’ONU à plus de 53 milliards de dollars.- La survie des otages en jeu – Des Israéliens ont manifesté samedi soir à Tel-Aviv pour demander la poursuite du processus.Ceux toujours captifs “ne survivront pas longtemps (…) L’accord sur les otages doit être appliqué dans son intégralité”, a plaidé Zahiro Shahar Mor, neveu d’un otage décédé.  Il a déploré que “le gouvernement israélien ait fait tout ce qui était en son pouvoir pour torpiller la deuxième phase de l’accord.”Sur le sort à terme de la bande de Gaza, un sommet de cinq pays arabes est prévu le 20 février à Ryad, pour répondre au projet américain. “Pour l’instant, le seul plan, ils ne l’aiment pas, mais le seul plan, c’est celui de Trump. Donc s’ils en ont un meilleur, le moment est venu de le présenter”, a affirmé jeudi M. Rubio. Après Israël, il doit se rendre en Arabie saoudite et aux Emirats arabes unis.- Plan de reconstruction -Le président américain ambitionne de faire du territoire palestinien une “Côte d’Azur du Moyen-Orient”, en déplaçant ses 2,4 millions d’habitants vers la Jordanie et l’Egypte. Ces deux pays s’opposent catégoriquement à ce plan décrié à l’international, mais salué par le gouvernement israélien.”Les pays partenaires doivent s’engager à fournir un plan de reconstruction post-conflit pour Gaza”, a précisé un porte-parole du département d’Etat américain, soulignant qu’il fallait à présent “penser hors des sentiers battus”.M. Rubio doit également rencontrer dans la journée le ministre des Affaires étrangères Gideon Sa’ar, le président Isaac Herzog et le chef de l’opposition Yair Lapid.

Rubio rencontre Netanyahu en Israël au lendemain de la libération de trois otages à Gaza

Le secrétaire d’Etat américain, Marco Rubio, a entamé dimanche un entretien avec le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, à Jérusalem, au lendemain de nouvelles libérations d’otages à Gaza en échange de prisonniers palestiniens, dans le cadre de la fragile trêve entre Israël et le Hamas. M. Rubio, qui débute sa première tournée au Moyen-Orient, doit discuter de la proposition du président Donald Trump de prendre le contrôle de la bande de Gaza et d’en déplacer ses habitants vers l’Egypte et la Jordanie.Benjamin Netanyahu a dit samedi apprécier le “soutien total” de Donald Trump aux décisions d’Israël à propos du territoire palestinien. Juste avant le début de leur rencontre, l’armée israélienne a annoncé avoir mené une frappe aérienne visant “deux individus armés” dans la bande de Gaza, le Hamas faisant état de deux policiers tués par un raid israélien dans le sud du territoire palestinien. “C’est désormais à Israël de décider ce qu’ils veulent faire”, a écrit samedi M. Trump sur son réseau social Truth Social, “les Etats-Unis soutiendront” leur  décision. Une cargaison de “bombes lourdes” américaines, dont la livraison à Israël a été débloquée par l’administration Trump, est entretemps arrivée dans la nuit en Israël, a indiqué le ministère de la Défense.Les entretiens de M. Rubio en Israël se tiennent au lendemain du sixième échange d’otages à Gaza contre des prisonniers palestiniens depuis le début de la trêve.Après 498 jours de captivité, Sacha Trupanov, un Israélo-Russe de 29 ans, Yaïr Horn, un Israélo-Argentin de 46 ans, et Sagui Dekel-Chen, un Israélo-Américain de 36 ans, ont été libérés à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza. Ils sont apparus en meilleure forme physique que trois otages décharnés libérés une semaine plus tôt.- Reprise des négociations ? – Ils avaient été enlevés le 7 octobre 2023 au kibboutz Nir Oz, dans le sud d’Israël. Sur 251 personnes alors emmenées à Gaza, 70 s’y trouvent toujours, dont au moins 35 mortes, selon l’armée israélienne.Israël a libéré en contrepartie 369 prisonniers palestiniens. La plupart ont été transférés dans la bande de Gaza et en Cisjordanie, territoire occupé par Israël depuis 1967, où ils ont été accueillis par des foules en liesse. Vingt-quatre autres, condamnés à la prison à vie, ont été expulsés vers l’Egypte.L’accord de cessez-le-feu est entré en vigueur le 19 janvier après 15 mois d’une guerre dévastatrice dans la bande de Gaza entre Israël et le Hamas, déclenchée par l’attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien sur le sol israélien du 7-Octobre. Cette attaque a fait 1.211 morts côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles et incluant les otages morts ou tués en captivité.L’offensive israélienne de représailles à Gaza a fait au moins 48.264 morts, en majorité des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU. La première phase de la trêve, qui doit s’achever le 1er mars, a déjà permis la libération de 19 otages israéliens et 1.134 Palestiniens. L’accord prévoit qu’elle permette au total le retour en Israël de 33 otages, dont huit décédés, et la libération de 1.900 détenus palestiniens.Le chef de la diplomatie américaine devrait aussi discuter de la deuxième phase de l’accord, censée déboucher sur la libération de tous les otages et une fin définitive de la guerre.Selon une source proche des négociations, les médiateurs espèrent entamer “la semaine prochaine à Doha” les pourparlers sur cette deuxième phase, avant une étape finale dédiée à la reconstruction de Gaza, un immense chantier estimé par l’ONU à plus de 53 milliards de dollars.- La survie des otages en jeu – Des Israéliens ont manifesté samedi soir à Tel-Aviv pour demander la poursuite du processus.Ceux toujours captifs “ne survivront pas longtemps (…) L’accord sur les otages doit être appliqué dans son intégralité”, a plaidé Zahiro Shahar Mor, neveu d’un otage décédé.  Il a déploré que “le gouvernement israélien ait fait tout ce qui était en son pouvoir pour torpiller la deuxième phase de l’accord.”Sur le sort à terme de la bande de Gaza, un sommet de cinq pays arabes est prévu le 20 février à Ryad, pour répondre au projet américain. “Pour l’instant, le seul plan, ils ne l’aiment pas, mais le seul plan, c’est celui de Trump. Donc s’ils en ont un meilleur, le moment est venu de le présenter”, a affirmé jeudi M. Rubio. Après Israël, il doit se rendre en Arabie saoudite et aux Emirats arabes unis.- Plan de reconstruction -Le président américain ambitionne de faire du territoire palestinien une “Côte d’Azur du Moyen-Orient”, en déplaçant ses 2,4 millions d’habitants vers la Jordanie et l’Egypte. Ces deux pays s’opposent catégoriquement à ce plan décrié à l’international, mais salué par le gouvernement israélien.”Les pays partenaires doivent s’engager à fournir un plan de reconstruction post-conflit pour Gaza”, a précisé un porte-parole du département d’Etat américain, soulignant qu’il fallait à présent “penser hors des sentiers battus”.M. Rubio doit également rencontrer dans la journée le ministre des Affaires étrangères Gideon Sa’ar, le président Isaac Herzog et le chef de l’opposition Yair Lapid.

18 dead in India stampede to catch trains to Hindu mega-festival

At least 18 people died during a stampede at a railway station in India’s capital late Saturday when surging crowds scrambled to catch trains to the world’s largest religious gathering, officials and reports said.The Kumbh Mela attracts tens of millions of Hindu faithful every 12 years to the northern city of Prayagraj, and has a history of crowd-related disasters — including one last month, when at least 30 people died in another stampede at the holy confluence of the Ganges, Yamuna and the mythical Saraswati rivers.The rush at the train station in New Delhi appeared to break out Saturday as crowds struggled to board trains for the ongoing event, which will end on February 26.”I can confirm 15 deaths at the hospital. They don’t have any open injury. Most (likely died from) hypoxia or maybe some blunt injury but that would only be confirmed after an autopsy,” Dr Ritu Saxena, deputy medical superintendent of Lok Nayak Hospital in New Delhi told AFP.”There are also 11 others who are injured. Most of them are stable and have orthopaedic injuries,” she said.Broadcaster NDTV reported three more dead from the stampede quoting an official of another hospital in the city.Those dead were mostly women and children.”I have been working as a coolie since 1981, but I never saw a crowd like this before,” the Times of India newspaper quoted a porter at the railway station as saying.”People started colliding and fell on the escalator and stairs” when platform for a special train departing for Prayagraj was suddenly shifted, the porter said.Railways minister Ashwini Vaishnaw said a “high-level inquiry” had been ordered into the causes of the accident.- ‘Doing our best’ -Vaishnaw said additional special trains were being run from New Delhi to clear the rush of devotees.Undeterred by the accident crowds of devotees continued to throng the railway station on Sunday with more police and railway protection forces deployed to control the flow of passengers.”We are operating an unprecedented and record number of special trains for the ease of passengers,” railways official Himanshu Shekhar Upadhyay told reporters. “We are doing our best.”Opposition parties, however, criticised travel arrangements for the mega-festival and blamed the government for attempting a coverup, after they denied for hours that a stampede had occurred.”They are worried about their image at the cost of the faith of crores of people who are visiting Maha Kumbh… There is no arrangement,” opposition Congress party leader Pawan Khera told ANI news agency.Prime Minister Narendra Modi said he was “distressed” by the stampede.”My thoughts are with all those who have lost their loved ones. I pray that the injured have a speedy recovery,” Modi wrote on X.The governor of the capital territory Delhi, Vinai Kumar Saxena said disaster management personnel had been told to deploy and “all hospitals are in readiness to address related exigencies.”  The six-week Kumbh Mela is the single biggest milestone on the Hindu religious calendar, and officials said around 500 million devotees have already visited the festival since it began last month.More than 400 people died after they were trampled or drowned on a single day of the festival in 1954, one of the largest tolls in a crowd-related disaster globally.Another 36 people were crushed to death in 2013, the last time the full festival was staged in Prayagraj.

200 ans après sa naissance, Strauss fils donne toujours le la

En fond sonore dans l’avion, pour le Concert du Nouvel an ou lors des bals viennois, Johann Strauss II reste omniprésent en Autriche, qui célèbre en 2025 les 200 ans du roi de la valse.”Il est aimé de tous à travers les époques”, lance enthousiaste la touriste britannique Helen Foster en visitant le musée consacré au virtuose dans la capitale mondiale de la musique classique.A Vienne, Strauss se décline à toutes les sauces, tant ses airs entêtants demeurent plébiscités par un public se délectant du Beau Danube bleu, l’hymne officieux du pays alpin. Le bicentenaire de sa naissance le 25 octobre 1825 est le prétexte de multiples événements, entre concerts, expositions et hommage insolite, la compagnie Austrian Airlines ayant même relooké pour l’occasion un appareil à son effigie.- “Remonter le moral” -Ses airs joyeux et entraînants convoquent immédiatement une imagerie insouciante de fête et de rires, dans un décor belle époque de femmes drapées de mousseline aux bras d’hommes en queue de pie.Ils avaient été conçus pour être accessibles et “remonter le moral des gens”, rappelle son arrière-petit-neveu Eduard Strauss, un juge à la retraite de 69 ans rencontré par l’AFP.Vienne était alors la capitale surpeuplée d’un empire multiethnique et autoritaire en décadence, un phare de la modernité, en même temps confronté aux épidémies de choléra et aux difficultés économiques d’une Europe en guerre.”Contrairement à aujourd’hui, il n’y avait pas de sécurité sociale ou de régime de retraite”, et même chez les Strauss, il fallait trimer pour vivre, rappelle le descendant de l’illustre famille.D’autant que le père, Johann Strauss I, qui ne voulait pas que ses enfants suivent ses traces, abandonna vite son foyer pour une autre femme, laissant la mère Anna diriger la carrière de Johann et de ses frères Josef et Eduard, eux aussi talentueux.- Pop star -Ce n’est qu’une fois qu’elle sut que son fils serait en mesure de subvenir à leurs besoins qu’elle demanda le divorce en 1844. La même année, Johann, alors âgé de 18 ans, fit ses débuts, devenant du jour au lendemain le rival direct de son père.Il laissera une production prolifique de plus de 500 valses, polkas, quadrilles et opérettes répondant parfaitement à la demande sociale. “On pourrait le comparer aux pop stars d’aujourd’hui”, résume Clara Kaufmann, guide au musée Strauss, car à la naissance de la photographie, il savait commercialiser son personnage, soignant ses cheveux “au fer à friser” et teignant sa barbe.Le compositeur de La Chauve-Souris (Die Fledermaus) était aussi un chef d’orchestre talentueux fédérant tous les publics.Il avait une forte présence scénique, jouant du violon avec brio et dirigeant fiévreusement les musiciens avec son archet.”Les gens dansent encore sur ses valses, mais on peut aussi les entendre en concert et c’est là son plus grand succès”, souligne le musicologue Thomas Aigner.- Falsification nazie -Bien avant les tournées record des stars d’aujourd’hui, il se produisit lors d’un festival devant des dizaines de milliers de personnes à Boston, aux Etats-Unis, et quoique détestant voyager, il courut jusqu’en Russie divertir la noblesse.En véritable enfant de la balle, il a perfectionné les valses plus simples de son père, d’origine juive hongroise et connu pour sa sautillante Marche de Radetzky.Mais il y avait le Strauss pour la scène et le Strauss dans la vie. Anxieux, l’homme derrière l’artiste était en proie aux phobies et à une insécurité constante, selon son arrière-petit-neveu. Véritable “fils à maman”, ce séducteur se maria trois fois sans avoir d’enfants. Mort d’une pneumonie à l’aube du XXe siècle à l’âge de 73 ans, il reste aux côtés de Mozart et de Sissi une valeur sûre de la culture en Autriche. A tel point que même les nazis n’osèrent y toucher.Ils ont falsifié en 1941 un registre pour supprimer la référence au baptême juif de son arrière-grand-père et maintenir l’image d’une musique purement “germanique”, très prisée par le IIIe Reich.

Trump, une conception viriliste du pouvoir

Accusé pendant la campagne de promouvoir une masculinité toxique, Donald Trump a imprimé, depuis son retour à la Maison Blanche, une tonalité viriliste à sa conduite des affaires, assisté en cela par l’incontournable Elon Musk.Le patron de Tesla et de SpaceX s’est publiquement inquiété mercredi des menaces pesant selon lui contre les hommes à cause des politiques de promotion des femmes ou des personnes issues de minorités raciales et sexuelles.”Si une intelligence artificielle est programmée pour promouvoir la diversité à tout prix, elle pourrait décider qu’il y a trop d’hommes au pouvoir et les exécuter”, a-t-il déclaré pendant une intervention, en visioconférence.Le multimilliardaire, qui mène pour le compte du président américain une charge féroce contre la bureaucratie fédérale, poste sur son réseau X des messages tels que “Je vais pas mentir, la testostérone c’est super”.Dès son retour au pouvoir le 20 janvier, Donald Trump, qui a courtisé un électorat jeune et masculin pendant sa campagne, a mis fin à l’existence administrative des personnes transgenres.Le milliardaire de 78 ans, qui a promis de “protéger” les femmes, a aussi signé un décret interdisant à des personnes transgenres de participer à des compétitions sportives féminines, s’entourant à cette occasion de jeunes filles et de petites filles.- “Airmen” -“Mettre l’accent sur une conception rigide et binaire du genre est révélateur d’une patriarchie nostalgique, qui veut retourner à une conception des années 1950, avec les hommes blancs et hétérosexuels placés en haut de la hiérarchie identitaire”, analyse Karrin Anderson, professeure de communication à la Colorado State University.L’administration Trump s’est mise au diapason jusque dans les acronymes techniques.Le système d’alerte des pilotes d’avion NOTAM a été rebaptisé, passant de “Notice to Air Missions” (Message aux missions aériennes) à “Notice to Airmen” (Messages aux hommes de l’air, selon une traduction littérale).Le nouveau ministre de la Défense Pete Hegseth, accusé par une femme de l’avoir agressée sexuellement en 2017 et qui avait critiqué la présence de femmes dans l’armée, a publié vendredi une photo le montrant en train de faire du sport dans la neige en Pologne avec des militaires. Le patron du Pentagone dit avoir fait cinq séries de 47 pompes – une référence à Donald Trump, 47e président des Etats-Unis. L’un des conseillers les plus influents de la Maison Blanche, Stephen Miller, avait lui donné des conseils amoureux sur la chaîne Fox News avant l’élection, encourageant les jeunes hommes à manifester ouvertement leur soutien au candidat républicain: “Montrez que vous êtes de vrais hommes. Montrez que vous n’êtes pas des mâles bêta”, par opposition aux mâles dominants ou “mâles alpha”.Cette aspiration à la virilité se teinte aussi de religiosité, Donald Trump n’hésitant pas à se poser en dirigeant providentiel, choisi par Dieu – le nouveau ministre de la Santé Robert F. Kennedy Junior l’a ainsi comparé jeudi à un “homme sur son cheval blanc”, arrivant au galop pour sauver l’Amérique.- “Saine virilité” -“Raviver la virilité américaine est l’un des besoins les plus urgents de notre nation”, écrivait fin janvier Jim Daly, président de l’organisation évangéliste conservatrice Focus on the Family, dans le Washington Examiner.Il juge dans sa tribune que Donald Trump incarne une “saine virilité” rappelant son prédécesseur républicain Ronald Reagan – dont l’actuel président américain vient d’ailleurs d’accrocher un grand portrait dans le Bureau ovale.C’est désormais sous le regard de l’ancien acteur de western que le républicain de 78 ans signe avec son épais feutre noir les rafales de décrets qui, selon Karrin Anderson, prouvent sa conception musclée du pouvoir. “En court-circuitant le Congrès et en faisant fi de l’équilibre constitutionnel des pouvoirs, Trump (choisit) une autorité masculiniste plutôt qu’une approche collaborative et démocratique,” juge la chercheuse.Le président républicain, condamné en 2023 à verser des millions de dollars de dommages et intérêts à une autrice à la suite d’une agression sexuelle, a constitué une équipe dominée par les hommes.Mais il s’est aussi entouré de plus de femmes que lors de son premier mandat, dont certaines à des postes très stratégiques.Sa directrice de cabinet Susie Wiles – qu’il surnomme “la dame de glace” pour son sang-froid – est par exemple la première femme dans cette fonction cruciale.