JFK’s grandson launches Congress bid for New York seat

John F. Kennedy’s grandson Jack Schlossberg will seek a seat in the US House of Representatives, he said in a social media announcement that highlighted the soaring cost of living while attacking the White House.The former president’s only grandson will seek in midterm elections on November 3, 2026 to replace Jerry Nadler of New York’s solidly Democratic 12th Congressional district, who is retiring.Schlossberg, 32, known for his quirky social media clips, is seen as a progressive on the left of the Democratic Party and has vocally called for it to change, backing leftists like New York mayor-elect Zohran Mamdani, 34. He could face a crowded field to reach the election as the Democratic Party’s anointed candidate depending on potential primary challenges.In the clip posted to Instagram late Tuesday, Schlossberg called out a “crisis at every level,” pointing to cuts to education, health care and social programs, as well as alleged corruption.He announced in September that he had formed an exploratory committee after Nadler said he would step down from representing the district that includes the middle portion of Manhattan. “This district should have a representative who can harness the creativity, energy and drive of this district and translate that into political power in Washington,” he said in his announcement video. “I’m not running because I have all the answers to our problems. I’m running because the people of New York 12 do.”He previously told The New York Times that “if Zohran Mamdani and I have anything in common, it’s that we are both trying to be authentic versions of ourselves.”Schlossberg has also used his significant social media following to attack President Donald Trump.”The President has made almost $1 billion this year. He’s picking winners and losers from inside the Oval Office. It’s cronyism, not capitalism,” he said in his announcement.

Roubaix: un bureau de poste braqué à l’explosif, pas de blessé

Un coffre servant à alimenter des distributeurs automatiques de billets a été braqué à l’explosif mercredi matin au niveau de la façade du principal bureau de poste de Roubaix (Nord), en plein centre-ville, a constaté l’AFP.Vers 08H30, “quatre individus ont forcé avec de la dynamite le coffre de transfert”, le coffre extérieur où les convoyeurs déposent les fonds, selon une porte-parole de La Poste dans les Hauts-de-France interrogée par l’AFP.L’explosion n’a fait aucun blessé mais a causé d’importants dégâts sur la façade du bâtiment, a-t-elle ajouté. Le bureau de poste n’était pas encore ouvert au moment des faits, et une cellule psychologique a été mise en place pour le personnel.Christophe Lesne, un témoin de la scène, dit avoir vu “trois personnes”, qu’il a pris pour “des techniciens” car ils portaient des gilets fluorescents et étaient en train de “bricoler”. “Peut-être qu’ils allumaient un chalumeau”, selon lui.Puis il a vu une “explosion, une détonation, de la fumée”, avant que les personnes ne repartent “avec un sac ou deux (…) en voiture”. Les braqueurs “se sont emparés d’un sac de numéraire”, dont “le préjudice est en cours d’estimation”, a précisé le parquet de Lille à l’AFP.Selon Frédéric Moncheaux, secrétaire départemental adjoint du syndicat Alliance venu sur les lieux, les braqueurs étaient préparés car ils semblaient “bien au courant des méthodes de transfert d’argent”.  “Ce sont des méthodes qui ne sont pas habituelles”, a-t-il estimé, soulignant que le vol avait été commis “en plein centre-ville”, à l’heure où “la vie commence, les gens sont au boulot ou s’y rendent”.L’explosion a été “ressentie à plusieurs centaines de mètres”, quelque chose de “compliqué psychologiquement” pour “les employés de La Poste qui étaient à l’intérieur” et “tous les habitants qui sont autour, les passants”, a relevé M. Moncheaux.Une enquête a été ouverte par le parquet de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) pour “vol en bande organisée, association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un crime et destruction de biens par moyens explosifs en bande organisée”, selon le parquet de Lille.etb-bbr-sad-cln/swi

Argentina’s Milei to follow Trump in skipping S.Africa G20: spokespersonWed, 12 Nov 2025 15:40:48 GMT

Argentinian President Javier Milei will not attend the G20 summit in South Africa later this month, his spokesperson confirmed Wednesday.Buenos Aires did not specify the reasons for the president’s absence, but Milei, a right-wing leader, has repeatedly expressed his diplomatic alignment with the United States and President Donald Trump.Trump stated last week that he would …

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Epstein a affirmé dans un email que Trump “savait à propos des filles”

Le délinquant sexuel américain Jeffrey Epstein a affirmé que Donald Trump “savait à propos des filles” dans un email de 2019 attribué au financier new-yorkais mort en prison la même année, et rendu public mercredi par des parlementaires démocrates.”Trump a dit qu’il voulait que je renonce” à la carte de membre de Mar-a-Lago, la résidence de Floride du président américain, affirme Jeffrey Epstein dans cet email envoyé au célèbre journaliste et auteur Michael Wolff. Il précise n’avoir jamais été membre de Mar-a-Lago et ajoute: “bien sûr, il savait à propos des filles, comme il a demandé à Ghislaine d’arrêter”. Ghislaine Maxwell, complice et ancienne compagne de Jeffrey Epstein, purge actuellement une peine de 20 ans de prison pour exploitation sexuelle.Le financier new-yorkais avait lui été retrouvé mort en 2019 dans sa cellule, d’un suicide selon les autorités, avant son procès pour crimes sexuels.Le président américain a toujours démenti avoir connaissance du comportement criminel de celui avec qui il fut proche de nombreuses années avant de se brouiller dans les années 2000, affirmant que leur dispute avait eu lieu des années avant que ces crimes n’éclatent au grand jour.Dans un autre email de 2011, publié sur X par les membres démocrates d’une influente commission à la Chambre des représentants, Jeffrey Epstein écrit supposément à Ghislaine Maxwell que Donald Trump “a passé plusieurs heures” avec une victime du financier au domicile de ce dernier.- Enquête au Congrès -Ces emails, obtenus par le biais des légataires de Jeffrey Epstein, “soulèvent de graves questions sur Donald Trump et ce qu’il connaissait des crimes horribles d’Epstein”, affirment les élus démocrates.La commission dont ils sont membres enquête depuis plusieurs semaines sur la manière dont l’Etat fédéral a conduit l’enquête et les poursuites contre Jeffrey Epstein.L’affaire enflamme les Etats-Unis depuis que le gouvernement de Donald Trump a annoncé début juillet n’avoir découvert aucun élément nouveau justifiant la publication de documents supplémentaires dans ce dossier.Sa mort par suicide a alimenté d’innombrables théories du complot, selon lesquelles il aurait été assassiné pour l’empêcher d’impliquer des personnalités de premier plan.Après avoir promis à ses partisans pendant sa campagne présidentielle des révélations fracassantes, Donald Trump tente aujourd’hui d’éteindre la polémique, qu’il a qualifiée à plusieurs reprises de “canular” monté par l’opposition démocrate.Figure comme Jeffrey Epstein de la jet-set new-yorkaise des années 1990-2000, Donald Trump a été proche du financier jusqu’au milieu des années 2000.Une lettre aux tonalités lubriques et attribuée au milliardaire républicain à l’attention de Jeffrey Epstein pour son anniversaire en 2003 avait été rendue publique début septembre par les mêmes parlementaires démocrates. La signature du futur président américain figure au pied de la note, à la place du pubis d’une femme esquissée.La Maison Blanche avait démenti que Donald Trump en ait été l’auteur.- Pétition -Au Congrès, l’affaire Epstein devrait connaître de nouveaux développements dans les jours à venir.La démocrate Adelita Grijalva va être investie mercredi à la Chambre des représentants et devrait devenir ainsi la dernière signature nécessaire à une pétition d’élus. Celle-ci forcerait, en vertu des règles de la Chambre, un vote dans l’hémicycle sur un texte visant à contraindre l’administration Trump à publier les dossiers en sa possession sur Jeffrey Epstein.Le président républicain de la Chambre, Mike Johnson, s’oppose à cette pétition, affirmant qu’elle est superflue au vu de l’enquête déjà menée par l’une des commissions. Mais avec 218 signatures, dont quatre d’élus républicains, il ne pourrait plus s’opposer à la tenue d’un vote.Ce qui explique selon le chef de la minorité démocrate, Hakeem Jeffries, son opposition à faire prêter serment plus tôt à Adelita Grijalva, dont l’élection remonte à fin septembre.”Les républicains dirigent un programme de protection de pédophiles, ils cachent volontairement les documents sur Jeffrey Epstein”, a-t-il lancé lors d’une conférence de presse mardi.

Clôture sans procès du dernier grand dossier d’amiante, celui du campus parisien de Jussieu

C’était le dernier grand dossier pénal d’amiante à l’instruction, et il est désormais clos sans poursuites: la Cour de cassation a mis mercredi un point final à l’information judiciaire sur l’amiante sur le campus parisien de Jussieu, estimant que la responsabilité pénale des universités ne pouvait être retenue.La plus haute juridiction judiciaire a écarté un pourvoi de parties civiles, considérant que dans cette enquête vieille de 30 ans, la responsabilité pénale de Sorbonne-Université et de l’université Paris-Cité, héritières respectives des universités Paris VI et Paris VII qui étaient abritées dans le campus de Jussieu, ne pouvait être retenue pour des raisons de droit.Paris VI et Paris VII avaient été mises en examen en janvier 2005.Mais dans une ordonnance de non-lieu rendue en février 2022, trois magistrats instructeurs du pôle santé publique de Paris ont estimé qu’il n’existait pas de charges suffisantes pour renvoyer quiconque devant un tribunal pour blessures, homicides involontaires ou mise en danger de la vie d’autrui.Comme dans d’autres dossiers, les magistrats instruisant celui de Jussieu se sont appuyés sur une expertise judiciaire de 2017, qui juge impossible de déduire avec précision le moment de l’exposition des salariés à cette fibre cancérogène et celui de leur contamination, et donc d’établir une responsabilité pénale.Les magistrats d’appel avaient eux estimé en juillet 2023 l’action publique éteinte, du fait des modifications de la structure juridique des universités.Le dossier avait été renvoyé aux juges d’instruction pour un volet secondaire, sur le risque incendie.La chambre criminelle de la Cour de cassation a considéré mercredi, selon un communiqué, que de manière générale, un établissement public né de la fusion de deux universités pouvait “voir sa responsabilité pénale engagée pour des faits commis par ces universités avant la fusion”.Mais au nom du “principe de prévisibilité du droit pénal” et en “l’absence de fraude”, cela ne s’applique pas au dossier Jussieu, car les fusions d’universités sont antérieures à novembre 2020, “date à laquelle la Cour de cassation (…) a, pour la première fois, posé le principe du transfert de responsabilité pénale”, ajoute le communiqué.- “Loi du silence” -Michel Parigot, responsable de l’Association nationale des victimes de l’amiante (AVA), a estimé auprès de l’AFP que cette décision “consacre la volonté de l’institution judiciaire de ne pas instruire cette affaire”.”Les raisons en sont connues. On mettait en cause des grands serviteurs de l’Etat et des ministères, c’est ça qui a complètement bloqué. Le dossier Jussieu était le dernier dossier, c’est terminé”, a-t-il déploré.De toutes les enquêtes sur ce scandale sanitaire, celle sur Jussieu est l’une des plus emblématiques: c’est de cette faculté parisienne qu’était partie, dans les années 1970, la première grande mobilisation dénonçant les intoxications par l’amiante.L’instruction avait été ouverte en 1996 après le dépôt de premières plaintes, alors qu’apparaissaient les premières maladies professionnelles parmi le personnel de la faculté.Les plaignants pointaient du doigt que de l’amiante était présent dans le flocage d’une bonne partie des bâtiments du campus de Jussieu construits entre 1964 et 1972.Les premiers travaux de protection ont été réalisés à la fin des années 1970 et ne concernaient que le rez-de-chaussée, ajoutaient-ils, dénonçant une “loi du silence”.  Après plusieurs décennies d’investigations, la vingtaine de dossiers de l’amiante instruits à Paris se solde depuis plusieurs années sans renvoi devant un tribunal, à de rares exceptions près.Dans la foulée de ces revers devant la justice pénale, des victimes de l’amiante ont ouvert une autre voie au pénal, en déposant en novembre 2021 une citation directe à Paris, afin d’aboutir au procès de 14 personnes notamment pour homicides et blessures involontaires et complicité de tromperie aggravée.Leur demande a été déclarée irrecevable en mai 2023, et ils ont fait appel.Aucune date “n’a été fixée à ce stade”, selon M. Parigot, qui estime que les victimes de l’amiante ont le droit “à des délais plus longs” encore que ceux habituels de la justice pénale.Selon un rapport publié en 2014, d’ici 2050, le nombre de décès dus à l’amiante, dont l’usage est interdit en France depuis 1997, pourrait atteindre a minima 70.000 décès, selon une estimation restrictive.

Stocks mostly rise on hopes of US shutdown deal, rate cut

World stock markets mostly rose Wednesday on optimism the US government shutdown was nearing an end and on hopes of another Federal Reserve interest rate cut.Wall Street stocks edged ahead after the opening bell ahead of a congressional vote expected to reopen the government after the longest shutdown — six weeks — in US history.The House of Representatives appeared likely to vote Wednesday on a spending bill to solve the budget standoff, after eight Democrats broke ranks in the Senate on Monday.Around 20 minutes into trading, the Dow Jones Industrial Average had added around 0.8 percent while the broad-based S&P 500 added 0.3 percent, while the tech-rich Nasdaq edged into the red after several days of gains.Adam Sarhan of 50 Park Investments said the market needed concrete signals about the economy after the shutdown resulted in a dearth of economic data.”Investors are going to wait for the next bullish catalyst, which could be Nvidia, arguably the most important AI stock out there right now,” Sarhan said. The chipmaker is set to report earnings on November 19Paris and Frankfurt both gained just over one percent, while London was up 0.3 percent.In Asia, Hong Kong and Tokyo ended higher but Shanghai edged lower.”The prospect of an end to the US government shutdown later today is fuelling demand for risk assets,” said Kathleen Brooks, research director at trading group XTB.After passing the Senate, a spending bill to reopen the US government is due before the House of Representatives and then President Donald Trump, with hopes services can resume as soon as Friday.Investors have welcomed the deal, which would end a shutdown that began on October 1 and saw a million federal workers unpaid, food benefits for low-income Americans threatened and thousands of flights cancelled.The dearth of key data points has left traders and the Federal Reserve unable to make informed decisions on policy.”The end of the shutdown is positive for financial markets as we should get a clear read on economic data in the next week or so,” Brooks said.Adding to the upbeat mood were expectations for a Fed rate cut in December after data from private payrolls firm ADP added to recent reports pointing to a softening US labour market.”Investors want — and need — this data to be soft enough to justify another 25 basis point rate cut from the Federal Reserve in December,” said Ipek Ozkardeskaya, senior analyst at Swissquote bank.Wall Street had closed mixed Tuesday amid worries about elevated tech valuations following a breathtaking AI-fuelled rally this year.Traders were also spooked by news that Japanese investment titan SoftBank had sold all its shares in US chip giant Nvidia for $5.8 billion, without giving a reason.Shares in Nvidia fell three percent on Tuesday but clawed that back Wednesday, and SoftBank plunged as much as 10 percent in Tokyo after Wednesday’s open before closing down 3.5 percent.- Key figures at around 1500 GMT -New York – Dow:  UP 0.8 percent at 48,288.93 pointsNew York – S&P 500: UP 0.3 percent at 6,864.49New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.3 percent at 23,395.49London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 9,924.84 pointsParis – CAC 40: UP 1.3 percent at 8,262.33Frankfurt – DAX: UP 1.3 percent at 24,399.44Tokyo – Nikkei 225: UP 0.4 percent at 51,063.31 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.9 percent at 26,922.73 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 4,000.14 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1569 from $1.1588 on TuesdayPound/dollar: DOWN at $1.3092 from $1.3168Dollar/yen: UP at 154.99 yen from 154.10 yenEuro/pound: UP at 88.37 pence from 87.99 penceWest Texas Intermediate: DOWN 2.3 percent at $59.59 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 2.2 percent at $63.71 per barrel

A close-up of a stack of newspapers resting on a desk, symbolizing information and media.

MSC Croisières commande 2 navires aux chantiers de Saint-Nazaire pour 3,5 mds d’euros

L’armateur suisse MSC Croisières a annoncé mercredi la commande de deux nouveaux navires aux Chantiers de l’Atlantique à Saint-Nazaire, dans l’ouest de la France, pour 3,5 milliards d’euros.La livraison de ces deux paquebots, dont la construction doit démarrer en 2029, est prévue respectivement en 2030 et 2031, précisent MSC et les chantiers de l’Atlantique dans un communiqué commun.Ces deux nouvelles commandes portent à près de 7 milliards d’euros la valeur totale des navires que MSC Croisières a confiés aux Chantiers de l’Atlantique en 2025, après les deux autres paquebots de la série World Class signés en mai en marge du sommet Choose France.Ces quatre navires rejoindront les quatre premiers paquebots de la série “World Class”, d’une capacité de plus de 6.700 passagers : le MSC World Europa et le MSC World America, déjà en service, le MSC World Asia – dont la livraison est prévue en novembre 2026 – et le MSC Atlantic, qui doit entrer en service en 2027.Avec ces six bateaux déjà en construction ou prochainement en chantier, le montant des investissements directs globaux engagés actuellement par MSC Croisières en France s’élève à 10,5 milliards d’euros, souligne le communiqué.

Un scandale de corruption et des batailles judiciaires jettent une ombre sur la présidence Zelensky

Un scandale de corruption d’ampleur impliquant un proche de Volodymyr Zelensky et des accusations d’instrumentalisation de la justice pour intimider des détracteurs jettent une ombre sur la présidence ukrainienne, près de quatre ans après le début de l’invasion russe.Le ministre de la Justice, Guerman Galouchtchenko, a été suspendu mercredi pour son implication présumée dans une …

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Islamabad sous haute-sécurité après un attentat-suicide

Au lendemain d’un attentat-suicide qui a fait 12 morts à Islamabad, la capitale est placée sous haute sécurité et le gouvernement a promis d’agir contre une recrudescence d’attaques meurtrières.L’explosion a visé mardi après-midi un véhicule de police stationné devant un tribunal d’Islamabad, capitale qui abrite les principaux bureaux gouvernementaux et la diplomatie étrangère.L’attaque a été …

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