Kenyan athletes shine in Tokyo, but anti-doping efforts remain in the darkMon, 22 Sep 2025 04:41:19 GMT

Kenyan athletes may have shone at the world championships in Tokyo, winning seven golds, but persistent allegations of doping still cast a shadow as the global anti-doping agency threatens to sanction the east African country.The warning is anything but trivial for a nation whose runners embody Kenyans hopes for lifting families out of poverty, a …

Kenyan athletes shine in Tokyo, but anti-doping efforts remain in the darkMon, 22 Sep 2025 04:41:19 GMT Read More »

Foreign journalists face uncertain future under Trump

When US President Donald Trump berated an Australian reporter for asking an unpleasant question, his colleagues took that as a warning.With the administration planning to slash correspondent visas and issuing not-so-veiled warnings, foreign journalists find themselves under pressure in the United States.Earlier this week, a journalist from the Australian Broadcasting Corporation asked Trump about his business dealings while in office. Trump was visibly irritated.”In my opinion, you are hurting Australia very much right now, and they want to get along with me,” Trump told the reporter, John Lyons. “Your leader is coming over to see me very soon. I’m gonna tell him about you. You set a very bad tone.”The exchange was widely discussed in Washington media circles. One foreign correspondent, who spoke to AFP on condition of anonymity, said Trump’s hostility toward the media was not concentrated on foreigners.”When Trump insults a journalist, it doesn’t matter to him whether it’s a foreigner or not,” the correspondent said.What worries the reporter much more is the administration’s plan to slash journalists’ visas to a renewable 240-day period, down from five years — or just 90 days for Chinese media workers.”How am I supposed to rent a flat? To get a driver’s license? To put my kids in school with a 240-day visa?” the correspondent wondered, adding that it takes time to build a network of sources in the country.”It’s going to be a nightmare.”- Working ‘without fear’ -Another journalist, a correspondent for a European media outlet, said that “the precariousness of foreign journalists doesn’t make them prime targets for this administration,” but “is part of a very worrying overall picture.”The White House prefers journalists, wherever they come from, “who are committed to its stories or self-censor enough to normalize what’s happening,” the European correspondent said.AFP contacted several foreign journalists for this article. Only a few responded, and each of them did only on condition of anonymity.”The shortened timeframe for I-visa renewals creates a framework for possible editorial censorship in which the Trump administration can trade access for compliance in reporting,” Katherine Jacobsen with the Committee to Protect Journalism said in a statement.Mike Balsamo, president of the Washington-based National Press Club echoed that view, adding that such actions could lead to reprisals against American journalists working abroad.”A free press doesn’t stop at America’s borders. It depends on correspondents who can work here without fear their time will run out,” he wrote on X.While the correspondents interviewed for this story did not notice any particular hostility from the White House itself toward them, they pointed out that political figures in Trump’s “Make America Great Again” (MAGA) movement have not hesitated to target foreign journalists.A close associate of Donald Trump, former ambassador to Germany Richard Grenell, recently called for revoking the visa of a journalist from the German television channel ZDF.”This radical Lefty German keeps calling for violence against people he politically disagrees with,” Grenell said on X, criticizing the journalist’s interview with influential White House adviser Stephen Miller. “He poses as a journalist in Washington, DC. His visa should be revoked. There is no place in America this type of inciter.”- A warning to foreigners -Following last week’s assassination of conservative influencer Charlie Kirk — a close associate of the American president — a senior official issued a broad warning to foreigners who are seen “praising, rationalizing, or making light of the event.””Feel free to bring such comments by foreigners to my attention,” Deputy Secretary of State Christopher Landau said on X.But Trump’s return to power has not been bad news for all foreign media outlets. Some news organizations who are known for sharing views similar to Trump’s in their home countries have been embraced by the White House.British television channel GB News, whose stars include far-right leader Nigel Farage, was recently welcomed into the Oval Office, and its journalist was given a coveted seat on the US presidential plane during Trump’s visit to the UK this week.When Trump appeared in the press box, the journalist said that the channel’s viewers had asked if he wanted to “swap jobs” with Prime Minister Keir Starmer.

Foot: grand soir attendu pour Ousmane Dembélé, favori pour le Ballon d’or

Un couronnement individuel pour une saison fantastique? L’attaquant Ousmane Dembélé est le grand favori pour soulever le Ballon d’or lundi soir à Paris, au cours d’une cérémonie qui devrait consacrer l’exercice historique du PSG, champion d’Europe.A partir de 19h30, les joueurs, joueuses et personnalités du monde du football défileront par dizaines sur le tapis rouge du théâtre du Châtelet, au coeur de la capitale, devant d’innombrables caméras et micros.Quelques heures plus tard, le nom d’Ousmane Dembélé devrait sortir de l’enveloppe, pour consacrer l’officieux meilleur joueur de l’année, élu par un panel de journalistes, avant un discours du lauréat, devant les délégations des clubs les plus prestigieux.Le Parisien, un temps dans l’ombre de Kylian Mbappé, depuis parti au Real Madrid, a réalisé une saison de rêve pour gagner la faveur des pronostics, et deviendrait le sixième lauréat français.- Modèle de fair-play -Pendant que Dembélé devrait crouler sous les honneurs, ses coéquipiers du PSG seront sur la pelouse du Stade Vélodrome, pour affronter l’OM, en Ligue 1, dans un “classique” initialement programmé dimanche soir mais décalé de 24h en raison d’intempéries sur la région marseillaise. Actuellement blessé, Dembelé sera présent pour la cérémonie, tout comme son coéquipier Désiré Doué, selon leur entourage.L’international français âgé de 28 ans a été l’un des grands artisans de la victoire historique du PSG en Ligue des champions, complétant un triplé avec le championnat et la coupe de France.D’abord avec ses 35 buts et 16 passes décisives toutes compétitions confondues, mais aussi avec son influence dans le jeu, capable de permuter avec les milieux de terrain ou de conclure dans la surface de réparation. Il est aussi le premier maillon de la chaîne du pressing implacable de l’équipe.Sans être une personnalité médiatique hors norme, Dembélé jouit aussi d’une bonne image et est un modèle de fair-play sur le terrain, l’un des critères regardés par les votants, 100 journalistes de toutes nationalités.”Ousmane, Ballon d’or”, a chanté son entraîneur Luis Enrique en conférence de presse samedi. Son concurrent le plus dangereux? L’Espagnol Lamine Yamal, dont la victoire constituerait cependant une énorme surprise.Le prodige de 18 ans a certes fait forte impression, grâce à ses gestes fous et son aisance magique avec le ballon. Mais ses statistiques sont moins bonnes (18 buts, 25 passes décisives toutes compétitions confondues) et son FC Barcelone a été stoppé en demi-finale de Ligue des champions par l’Inter Milan, que le PSG a ensuite écrasé en finale (5-0). Et puis son image a été écornée cet été avec l’embauche de nains pour une fête d’anniversaire.Loin derrière, les outsiders s’appellent Kylian Mbappé et Mohamed Salah (Liverpool), mais surtout Achraf Hakimi et Vitinha, coéquipiers de Dembélé.Pour éviter une dispersion des voix, le PSG s’est d’ailleurs employé à faire la promotion du seul Dembélé, en premier lieu son entraîneur et son président. Nasser Al-Khelaïfi a même prévenu: “S’il ne gagne pas, il y a un problème. Il a tout fait”.Plus largement, la cérémonie portera la marque du PSG.Le trophée de meilleur entraîneur ne devrait pas échapper à Luis Enrique, bâtisseur d’une équipe rajeunie et terriblement séduisante, que personne ne voyait remporter si tôt la “Coupe aux grandes oreilles”.L’ex-gardien du PSG Gianluigi Donnarumma, parti à Manchester City, devrait remporter le prix Yachine. Et si Lamine Yamal est favori pour le trophée Raymond-Kopa de meilleur jeune, Désiré Doué est un sérieux candidat (double buteur et passeur en finale de Ligue des champions).- Ballon d’or féminin plus incertain -Pour la première fois, la cérémonie offrira tous les équivalents féminins des trophées masculins. Mais la distinction suprême est là plus incertaine.La double Ballon d’or (2023, 2024) Aitana Bonmati, meneuse de jeu du Barça et de l’Espagne, reste très probablement la meilleure joueuse du monde, mais elle a perdu les deux finales européennes, C1 et Euro. C’est aussi le cas pour Alexia Putellas, double lauréate en 2021 et 2022, qui a réalisé une grosse saison mais n’a rien gagné hormis la Liga avec le Barça.En revanche, la défenseuse centrale Leah Williamson ou l’attaquante Alessia Russo, toutes deux Anglaises et joueuses d’Arsenal, ont elles remporté la Ligue des champions face au Barça et l’Euro-2025 face à l’Espagne.Les Françaises, Clara Mateo (Paris FC) et Sandy Baltimore (Chelsea), font parties des 30 nommées mais sont loin derrière les favorites.

Google à la barre pour éviter le démantèlement de son empire publicitaire

Google débute lundi une série d’audiences judiciaires qui vont permettre à un juge fédéral de statuer sur le démantèlement de l’activité publicitaire du géant technologique, réclamé par le gouvernement américain pour mettre fin à son monopole récemment jugé illégal.Il s’agit du deuxième procès fédéral majeur pour Google cette année, après celui où le groupe de Mountain View (Californie, ouest) s’est vu sanctionné pour sa domination sans partage dans la recherche en ligne.Sauf que dans ce cas, la demande du gouvernement américain de contraindre Google à vendre son navigateur Chrome a été rejetée par le juge début septembre.L’affaire de lundi porte, elle, sur la plateforme publicitaire de Google, c’est-à-dire l’interface utilisée par les éditeurs de sites web pour vendre des espaces publicitaires et par les annonceurs pour les acheter.Dans une décision importante il y a quelques mois, la juge Leonie Brinkema a donné raison au ministère américain de la Justice en reconnaissant que Google s’était maintenu illégalement dans une situation de monopole sur la publicité numérique.Reste à déterminer les sanctions et les remèdes anti-monopoles à imposer à la filiale d’Alphabet, ce qui est l’objet des audiences qui débutent lundi.Selon les documents judiciaires, le gouvernement américain fera valoir que Google doit se séparer de sa plateforme d’échange publicitaire et qu’il devrait se voir interdit d’en exploiter une pendant 10 ans.En défense, Google devrait plaider qu’un tel démantèlement est excessif au vu des conclusions du tribunal sur le fond de l’affaire, qu’il est techniquement irréalisable et nuira à l’ensemble du marché, en particulier aux petites entreprises.”Nous avons dit, dès le début, que le dossier du ministère de la Justice méconnaissait le fonctionnement de la publicité numérique et ignorait l’évolution spectaculaire du paysage, avec une concurrence accrue et l’arrivée de nouveaux acteurs”, a déclaré Lee-Anne Mulholland, vice-présidente des affaires réglementaires chez Google.- Amende de l’UE -Dans une affaire similaire, la Commission européenne, en revêtant sa casquette d’autorité antitrust de l’UE, a infligé début septembre une amende de 2,95 milliards d’euros (3,47 milliards de dollars) à Google pour son emprise sur le marché publicitaire.Bruxelles a exigé des changements de pratiques mais a renoncé à son intention initiale d’ordonner un démantèlement, récoltant des critiques pour cette décision jugée trop indulgente.L’audience qui débute lundi devant une cour fédérale de Virginie, près de Washington, devrait durer environ une semaine, avant des plaidoiries finales quelques semaines plus tard.Dans l’autre dossier, sur le monopole de la recherche en ligne, Google a échappé début septembre à l’obligation de vendre Chrome. La décision, largement décrite comme une grande victoire pour le géant de la tech, lui impose à la place de partager des données avec ses concurrents, entre autres mesures correctives.Le gouvernement américain avait fait pression pour que Chrome soit cédé, arguant que le navigateur constituait une passerelle cruciale vers Internet et générait un tiers de toutes les recherches en ligne sur Google.Depuis cette décision, les actions de la société mère de Google, Alphabet, ont grimpé en flèche de plus de 20%.La juge Brinkema a déclaré, lors des audiences préliminaires, qu’elle examinerait attentivement l’issue de l’autre procès, sur la recherche en ligne, avant de décider de la suite à donner à sa propre affaire sur la publicité.Ces affaires s’inscrivent dans une série de poursuites récentes, entamées aussi bien sous l’administration démocrate que républicaine, pour limiter la domination sans partage de plusieurs grandes entreprises des technologies, telles que Google, Amazon ou Apple, après des années de mansuétude gouvernementale.

Trump says Murdochs interested in investing in TikTok’s US arm

US President Donald Trump said on Sunday that media mogul Rupert Murdoch and his eldest son Lachlan could be among the investors who will take control of TikTok in the United States.The United States has forcefully sought to take TikTok’s US operations out of the hands of Chinese parent company ByteDance for national security reasons.Since returning to power in January, Trump has repeatedly delayed implementation of the ban while a deal has been sought.He has negotiated with Beijing to sell the platform’s US operations to a consortium of investors he describes as “patriots,” including ally and tech giant Oracle’s boss Larry Ellison, and entrepreneur Michael Dell. On Sunday, he added more names to that list.”I hate to tell you this, but a man named Lachlan is involved… Lachlan Murdoch, I believe,” Trump said in an interview with Fox News.”And Rupert is, is probably going to be in the group. I think they’re going to be in the group. Couple of others, really great people, very prominent people.”Earlier this month, right-wing media mogul Rupert Murdoch’s children reached a settlement in their long-running legal dispute over control of the media empire, cementing his eldest son Lachlan’s leadership.Lachlan Murdoch, who officially took control of Fox News and News Corp as part of the deal, is Rupert Murdoch’s eldest son.The elder Murdoch built a right-wing conservative media empire spanning the United States, Britain and Australia. On Saturday, the White House said the board of the new company that would control TikTok’s US operations would be dominated by American citizens, and that a deal could be signed “in th coming days.”

Trump says Murdochs interested in investing in TikTok’s US arm

US President Donald Trump said on Sunday that media mogul Rupert Murdoch and his eldest son Lachlan could be among the investors who will take control of TikTok in the United States.The United States has forcefully sought to take TikTok’s US operations out of the hands of Chinese parent company ByteDance for national security reasons.Since returning to power in January, Trump has repeatedly delayed implementation of the ban while a deal has been sought.He has negotiated with Beijing to sell the platform’s US operations to a consortium of investors he describes as “patriots,” including ally and tech giant Oracle’s boss Larry Ellison, and entrepreneur Michael Dell. On Sunday, he added more names to that list.”I hate to tell you this, but a man named Lachlan is involved… Lachlan Murdoch, I believe,” Trump said in an interview with Fox News.”And Rupert is, is probably going to be in the group. I think they’re going to be in the group. Couple of others, really great people, very prominent people.”Earlier this month, right-wing media mogul Rupert Murdoch’s children reached a settlement in their long-running legal dispute over control of the media empire, cementing his eldest son Lachlan’s leadership.Lachlan Murdoch, who officially took control of Fox News and News Corp as part of the deal, is Rupert Murdoch’s eldest son.The elder Murdoch built a right-wing conservative media empire spanning the United States, Britain and Australia. On Saturday, the White House said the board of the new company that would control TikTok’s US operations would be dominated by American citizens, and that a deal could be signed “in th coming days.”

In Sudan, ‘never again’ has proved untrue: UNHCR chiefMon, 22 Sep 2025 01:15:59 GMT

After the bloody civil war in Sudan’s Darfur region 20 years ago, the world said “never again.” And yet it is happening again, UN High Commissioner for Refugees Filippo Grandi told AFP in a sobering interview.Since April 2023, a war between the Sudanese army and the paramilitary Rapid Support Forces (RSF) has left tens of thousands …

In Sudan, ‘never again’ has proved untrue: UNHCR chiefMon, 22 Sep 2025 01:15:59 GMT Read More »