US warship reported heading toward Mideast as Iran, Israel fight

The aircraft carrier USS Nimitz was leaving Southeast Asia on Monday after cancelling plans to dock in Vietnam, amid reports it is headed to the Middle East to boost the US presence as Israel and Iran do battle.At 13:45 GMT, the carrier was traveling through the Malacca Strait toward the Indian Ocean, according to Marine Traffic, a ship-tracking site.A Vietnamese government official confirmed to AFP that a planned reception aboard the USS Nimitz on June 20, as part of the ship’s expected June 19-23 visit to Danang, had been cancelled.  The official shared a letter from the US embassy announcing that the Defense Department was cancelling the event due to “an emergent operational requirement.” The US Embassy in Hanoi declined to comment to AFP, as did a spokesman for the Nimitz.The movement of one of the world’s largest warships came on day four of the escalating air war between Israel and Iran, with no end in sight despite international calls for de-escalation.Israel’s strikes have so far killed at least 224 people, including top military commanders, nuclear scientists and civilians, according to Iranian authorities.In retaliation, Iran said it had struck Israel with a salvo of missiles and warned of “effective, targeted and more devastating operations” to come.US ambassador to Israel Mike Huckabee on Monday said that Iran’s missile barrage had lightly damaged a building used by the American embassy in Tel Aviv.

US warship reported heading toward Mideast as Iran, Israel fight

The aircraft carrier USS Nimitz was leaving Southeast Asia on Monday after cancelling plans to dock in Vietnam, amid reports it is headed to the Middle East to boost the US presence as Israel and Iran do battle.At 13:45 GMT, the carrier was traveling through the Malacca Strait toward the Indian Ocean, according to Marine Traffic, a ship-tracking site.A Vietnamese government official confirmed to AFP that a planned reception aboard the USS Nimitz on June 20, as part of the ship’s expected June 19-23 visit to Danang, had been cancelled.  The official shared a letter from the US embassy announcing that the Defense Department was cancelling the event due to “an emergent operational requirement.” The US Embassy in Hanoi declined to comment to AFP, as did a spokesman for the Nimitz.The movement of one of the world’s largest warships came on day four of the escalating air war between Israel and Iran, with no end in sight despite international calls for de-escalation.Israel’s strikes have so far killed at least 224 people, including top military commanders, nuclear scientists and civilians, according to Iranian authorities.In retaliation, Iran said it had struck Israel with a salvo of missiles and warned of “effective, targeted and more devastating operations” to come.US ambassador to Israel Mike Huckabee on Monday said that Iran’s missile barrage had lightly damaged a building used by the American embassy in Tel Aviv.

Plus qu’une dizaine de foyers encore privés d’eau à Perpignan après une rupture de canalisation

Seule une dizaine de foyers du centre-ville de Perpignan restait lundi après-midi privée d’accès à l’eau potable en raison d’une fuite de canalisation qui a touché jusqu’à “6.000 abonnés”dimanche, selon Veolia.Au total, “une dizaine d’abonnés reste impactée par la coupure”, a affirmé peu après 16H00 la mairie de Perpignan, dans un communiqué, alors qu’ils étaient encore environ 500 à la mi-journée. Par ailleurs, le lieu de la fuite a été identifié, dans une rue toute proche du centre historique, a-t-elle précisé.Cette “casse sur une canalisation, non visible”, selon les mots d’une porte-parole d’Eau Agglo Perpignan/Veolia, s’est produite dimanche matin. Dans les milliers de foyers concernés, “on a constaté une chute de pression au robinet des abonnés”, a-t-elle souligné, ou de “l’eau colorée”, selon la mairie.Lundi matin, Veolia indiquait que même si l’eau avait été rétablie dans la majorité des foyers concernés, elle restait impropre à la consommation humaine dans l’attente de résultats d’analyses sanitaires.Ces dernières n’ont cependant révélé “aucun problème de qualité de l’eau”, a indiqué dans l’après-midi la mairie dans un communiqué précisant que “même si l’eau est trouble, elle est désormais propre à la consommation”.Une porte-parole de l’Agence régionale de Santé (ARS) a confirmé à l’AFP que l’instance avait donné son accord à Eau agglo pour “lever les restrictions”.L’eau est donc effectivement de nouveau consommable même si les résultats définitifs des analyses effectuées par l’ARS elle-même ne seront connus que “mercredi ou jeudi”, a-t-elle souligné.Seul le “public très vulnérable”, c’est-à-dire les personnes à haut risque en matière de santé doivent continuer à boire de l’eau en bouteille, tout comme les habitants d’un EHPAD du centre-ville, a précisé l’ARS. Cette fuite d’environ 10.000 m3 d’eau (soit l’équivalent de trois à quatre piscines olympiques) intervient dans un département des Pyrénées-Orientales confronté depuis trois ans à une sécheresse persistante, la préfecture rappelant régulièrement les nécessaires mesures d’économies d’eau.- Manque d’informations -Selon le dernier point de la préfecture à ce sujet, en date du 1er juin, la ville de Perpignan est d’ailleurs en situation d'”alerte” jusqu’au 31 juillet (sur une échelle qui comprend quatre niveaux: Vigilance, Alerte, Alerte renforcée, Crise).Depuis plusieurs jours et cette semaine encore, la cité catalane est par ailleurs confrontée à des températures élevées (plus de 30 degrés l’après-midi).La mairie de Perpignan qui avait mis en place des distributions de packs de bouteilles d’eau minérale dimanche soir puis tôt lundi matin les a désormais levées, à charge pour Veolia d’approvisionner les derniers foyers encore coupés, selon la mairie. Selon Veolia, l’ensemble des usagers concernés avait été prévenu de la situation par téléphone.Aux points de distribution d’eau, des Perpignanais concernés se plaignaient néanmoins lundi matin du manque d’informations reçues. “J’ai essayé de consulter sur Facebook les pages d’information, j’ai juste trouvé un post qui parlait de cette panne. Ce n’était pas clair”, a déploré Abdellalih, venu se ravitailler.”Ça fait neuf ans que je vis à Perpignan, j’ai jamais vécu un incident pareil (…) le problème n’a pas été bien expliqué”, a-t-il ajouté.Clodia, venue avec un caddy pour récupérer les bouteilles d’eau (un pack par personne) a estimé également n’avoir “pas eu beaucoup d’informations”.”Vers 9H00, j’allais me doucher mais il n’y avait pas beaucoup d’eau. J’ai ouvert tous les robinets et ça ne sortait nulle part. J’ai dû aller (…) chez mon copain pour me doucher, et laver mon uniforme de travail”, a-t-elle raconté à une correspondante de l’AFP. 

En visite en Autriche, Zelensky évoque l’achat d’armes américaines

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en visite lundi à Vienne, a dit vouloir parler avec son homologue américain Donald Trump de l’achat par Kiev de matériel militaire à Washington.”L’un des sujets dont je discuterai avec le président Trump, au cours d’une rencontre, concernera un lot de défense que l’Ukraine est prête à acheter”, a-t-il déclaré, espérant rencontrer le locataire de la Maison Blanche en marge du sommet du G7 au Canada.”Nous devons tous oeuvrer pour que l’alliance entre l’Amérique et l’Europe ne se désagrège pas. C’est dans l’intérêt de tous”, a-t-il insisté, disant “ne pouvoir imaginer, même aujourd’hui, comment vivre et lutter sans l’aide des Etats-Unis”.Il s’exprimait pendant une conférence de presse aux côtés du chef de l’Etat autrichien Alexander Van der Bellen, rencontré dans le cadre de ses efforts visant à assurer la poursuite du soutien occidental face à l’invasion russe.- “Poursuite du soutien à l’Ukraine” -Volodymyr Zelensky ne reste que quelques heures en Autriche, l’un des derniers pays de l’Union européenne (UE) à ne l’avoir pas encore reçu depuis l’invasion de son pays en février 2022. Dans un communiqué, la présidence ukrainienne a souligné que les deux présidents avaient évoqué en “tête-à-tête” puis au sein d’un “format élargi” la “poursuite du soutien à l’Ukraine”. Au programme également, la participation du secteur économique autrichien à la reconstruction de l’Ukraine, où l’Autriche était avant la guerre l’un des plus gros investisseurs.Les dirigeants se concentrent sur le “déminage humanitaire, la récupération d’énergie, la sécurité alimentaire et la construction d’abris”. Le ministère autrichien des Affaires étrangères a ajouté que la coopération sur la reconstruction et la santé allait entre autres être renforcée, le “savoir-faire” de Vienne pouvant être utile.Le gouvernement a dit avoir versé 320 millions d’euros d’aide humanitaire à l’Ukraine et aux Etats voisins. L’Autriche, qui n’est pas membre de l’Otan, “est certes neutre militairement mais elle ne l’est en aucun cas sur le plan politique”, a rappelé M. Van der Bellen.Ses relations auparavant bonnes avec la Russie se sont notablement dégradées depuis le début du conflit en Ukraine. Mais elle conserve des liens économiques avec Moscou : l’une des principales banques autrichiennes, la Raiffeisen, est la plus grande banque occidentale toujours présente sur le sol russe. Volodymyr Zelensky avait dénoncé son maintien en 2022.Le parti d’extrême droite FPÖ, qui arrive en tête dans les sondages mais qui siège dans l’opposition, a vivement critiqué sa visite. “Notre population a le droit de savoir pourquoi l’Autriche compromet sa crédibilité en matière de politique étrangère, enterre sa neutralité et met ainsi en péril sa propre sécurité”, a déclaré son chef Herbert Kickl.

En visite en Autriche, Zelensky évoque l’achat d’armes américaines

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky, en visite lundi à Vienne, a dit vouloir parler avec son homologue américain Donald Trump de l’achat par Kiev de matériel militaire à Washington.”L’un des sujets dont je discuterai avec le président Trump, au cours d’une rencontre, concernera un lot de défense que l’Ukraine est prête à acheter”, a-t-il déclaré, espérant rencontrer le locataire de la Maison Blanche en marge du sommet du G7 au Canada.”Nous devons tous oeuvrer pour que l’alliance entre l’Amérique et l’Europe ne se désagrège pas. C’est dans l’intérêt de tous”, a-t-il insisté, disant “ne pouvoir imaginer, même aujourd’hui, comment vivre et lutter sans l’aide des Etats-Unis”.Il s’exprimait pendant une conférence de presse aux côtés du chef de l’Etat autrichien Alexander Van der Bellen, rencontré dans le cadre de ses efforts visant à assurer la poursuite du soutien occidental face à l’invasion russe.- “Poursuite du soutien à l’Ukraine” -Volodymyr Zelensky ne reste que quelques heures en Autriche, l’un des derniers pays de l’Union européenne (UE) à ne l’avoir pas encore reçu depuis l’invasion de son pays en février 2022. Dans un communiqué, la présidence ukrainienne a souligné que les deux présidents avaient évoqué en “tête-à-tête” puis au sein d’un “format élargi” la “poursuite du soutien à l’Ukraine”. Au programme également, la participation du secteur économique autrichien à la reconstruction de l’Ukraine, où l’Autriche était avant la guerre l’un des plus gros investisseurs.Les dirigeants se concentrent sur le “déminage humanitaire, la récupération d’énergie, la sécurité alimentaire et la construction d’abris”. Le ministère autrichien des Affaires étrangères a ajouté que la coopération sur la reconstruction et la santé allait entre autres être renforcée, le “savoir-faire” de Vienne pouvant être utile.Le gouvernement a dit avoir versé 320 millions d’euros d’aide humanitaire à l’Ukraine et aux Etats voisins. L’Autriche, qui n’est pas membre de l’Otan, “est certes neutre militairement mais elle ne l’est en aucun cas sur le plan politique”, a rappelé M. Van der Bellen.Ses relations auparavant bonnes avec la Russie se sont notablement dégradées depuis le début du conflit en Ukraine. Mais elle conserve des liens économiques avec Moscou : l’une des principales banques autrichiennes, la Raiffeisen, est la plus grande banque occidentale toujours présente sur le sol russe. Volodymyr Zelensky avait dénoncé son maintien en 2022.Le parti d’extrême droite FPÖ, qui arrive en tête dans les sondages mais qui siège dans l’opposition, a vivement critiqué sa visite. “Notre population a le droit de savoir pourquoi l’Autriche compromet sa crédibilité en matière de politique étrangère, enterre sa neutralité et met ainsi en péril sa propre sécurité”, a déclaré son chef Herbert Kickl.

Wall Street avance malgré l’escalade Israël-Iran

La Bourse de New York évolue en hausse lundi, les investisseurs se montrant confiants quant à l’absence de généralisation régionale du conflit entre Israël et l’Iran, dans l’attente de l’issue de la réunion de la banque centrale américaine (Fed) mercredi.Vers 13H55 GMT, le Dow Jones avançait de 1,03%, l’indice Nasdaq gagnait 1,32% et l’indice élargi S&P 500 prenait 1,04%.”Le fait que la situation (entre Israël et l’Iran, ndlr) reste sous contrôle et qu’il n’y ait pas d’effondrement total au Moyen-Orient, ni de guerre (…) pour le moment, a permis aux marchés de souffler un peu”, estime auprès de l’AFP Adam Sarhan, de 50 Park Investments.L’Iran a tiré lundi des missiles sur plusieurs grandes villes d’Israël, où le bilan s’est alourdi de onze morts au quatrième jour de l’escalade militaire entre les deux pays, en réponse à des frappes aériennes israéliennes sur le territoire iranien.Israël a de son côté dit viser en Iran des “dizaines” de sites de missiles sol-sol et des installations militaires dans l’ouest du pays. Ont aussi été bombardées la capitale et la ville sainte de Machhad à l’extrémité nord-est de l’Iran.Les frappes israéliennes ont fait au moins 224 morts et plus d’un millier de blessés en Iran, selon un bilan officiel établi dimanche.L’absence de généralisation du conflit constitue “une grande bouffée d’oxygène pour le marché, car la situation entre Israël et l’Iran a entraîné une forte baisse des cours vendredi”, rappelle Adam Sarhan.Lundi, “il y a également un intérêt naturel pour des achats à bon compte (…) soutenu par la Chine qui a publié des ventes au détail plus élevées que prévu pour le mois de mai (…) ce qui a contribué à tempérer certaines des inquiétudes concernant la croissance mondiale”, note Patrick O’Hare, de Briefing.com.Selon l’analyste, “les acteurs du marché attendent avec impatience un certain nombre de décisions des banques centrales cette semaine, notamment la décision de la Banque du Japon ce soir et la décision du comité monétaire de la Fed mercredi”.Les acteurs de la finance sont presque unanimes: la banque centrale américaine va opter pour le statu quo pour la quatrième fois d’affilée, dans une fourchette comprise entre 4,25% et 4,50%.”Trump a clairement indiqué qu’il voulait que la Fed réduise ses taux”, ce que l’institution monétaire s’est refusée de faire depuis décembre, souligne Adam Sarhan.”Si la Fed nous donne un ou plusieurs indices qu’elle est prête à réduire les taux, cela pourrait être très haussier pour le marché”, prévoit l’analyste.Sur le marché obligataire, vers 13H50 GMT, le rendement des emprunts d’État américains à 10 ans se tendait à 4,43%, contre 4,40% à la clôture vendredi.Au tableau des valeurs, le géant de la sidérurgie U.S. Steel bondissait (+5,08% à 54,84 dollars) après que le président américain Donald Trump a signé vendredi un décret portant sur son acquisition par Nippon Steel, la conditionnant au respect d’un “accord de sécurité nationale”.La plateforme de streaming Roku s’envolait de 8,53% à 80,70 dollars après avoir annoncé un partenariat avec Amazon au niveau des téléviseurs connectés. Le but est d’offrir aux annonceurs publicitaires une plateforme commune regroupant les utilisateurs des deux services.Les activités de la société de tests génétiques californienne 23andMe, en faillite, vont être rachetées par sa fondatrice Anne Wojcicki pour 305 millions de dollars, a annoncé l’entreprise vendredi, alors que le laboratoire américain Regeneron était initialement pressenti pour cette acquisition.

A l’Assemblée, bataille en vue autour de la relance du nucléaire

Définir le futur énergétique de la France, c’est l’objectif du texte examiné à partir de lundi dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale. Les partisans de l’atome devraient s’unir pour réintroduire la relance du nucléaire supprimée en commission. Pour le Rassemblement national, ce serait l’opportunité d’engranger une nouvelle victoire autour de cette proposition de loi du sénateur Daniel Gremillet, qui doit ensuite inspirer le décret fixant la feuille de route énergétique du pays.Le gouvernement doit le publier d’ici la fin de l’été, avant la fin de la navette parlementaire, a rappelé dimanche le ministre de l’Industrie et de l’Énergie Marc Ferracci, soulignant le besoin du décret pour certaines filières afin de “lancer des investissements”.”Nous ne remettrons pas en question le cap de la décarbonation, ni le principe d’un mix électrique équilibré, reposant sur les énergies renouvelables et le nucléaire”, a-t-il dit à propos de la feuille de route.”Notre position est constante : pas de décret avant qu’une loi sérieuse ait été votée” au Parlement, a prévenu en retour lundi le député RN Jean-Philippe Tanguy.Si le texte est étudié à l’Assemblée, c’est d’abord parce que le groupe de Marine Le Pen a agité fin avril la menace de la censure et obtenu du Premier ministre François Bayrou son inscription à l’ordre du jour.Jean-Philippe Tanguy a promis lundi que son groupe mettrait l’accent dans les débats à l’Assemblée sur “le coût de production et le prix (pour les consommateurs) le plus bas possible”, reprochant au gouvernement Bayrou de projeter un prix de “100 euros le mégawatt-heure”. “Autant ne rien faire”, a-t-il lancé.Les élus écologistes ont eux fustigé le fait d’en passer par une proposition de loi “issue de la droite sénatoriale”, et non par un projet de loi qui aurait permis une étude d’impact.”Est-ce que vous avez entendu la droite parler des énergies renouvelables, de la réduction de la consommation ? Non. Ils se cachent derrière le nucléaire pour faire semblant d’Å“uvrer pour le climat”, a dénoncé la députée EELV Julie Larnoes.- Le nucléaire au cÅ“ur du débat – Après un examen chaotique en commission, au cours duquel l’article fixant les objectifs du secteur nucléaire a été supprimé, le rapporteur, le député macroniste et ancien ministre Antoine Armand, a déposé des amendements pour réintroduire une relance massive de l’atome, qui semble convenir au Rassemblement national.Elle prévoit notamment de nouvelles capacités nucléaires, équivalent à engager la construction de 14 nouveaux EPR au plus tard en 2030. Une position plus tranchée que celle du gouvernement.”Les amendements déposés par le rapporteur sur les objectifs de nucléaire et sur la suppression des objectifs pour les énergies intermittentes vont dans le bon sens pour nous”, a estimé le député RN Maxime Amblard.A contrario, la recherche d’un accord entre le rapporteur et les socialistes semble au point mort.- Quelle place pour les énergies renouvelables ? -Le groupe de Boris Vallaud défend, lui, une relance de l’atome qu’il estime “raisonnable”, face au retard pris dans le développement des énergies renouvelables, en engageant la construction de huit nouveaux EPR d’ici 2035. Il propose d’attendre cinq ans et un retour d’expérience sur la construction des nouveaux réacteurs, avant de s’engager sur des capacités supplémentaires.”Nous avons présenté au rapporteur nos positions (…) mais nous n’avons pas eu de retour”, a déploré auprès de l’AFP Karim Benbrahim (PS).Comme le reste de la gauche, les socialistes déplorent que le texte ne fixe plus de part des énergies renouvelables à atteindre, ne parlant maintenant plus que d’énergies “décarbonées”. Ce changement sémantique ouvre, selon eux, la voie à une production électrique sans énergies renouvelables. “Une ligne rouge”, prévient Karim Benbrahim. Le texte actuel prévoit à présent de porter d’ici 2030 la part d’énergie décarbonée à 58% au moins de la consommation d’énergie en France, alors que le pays doit se mettre sur la voie de la neutralité carbone en 2050.Aujourd’hui, la consommation d’énergie en France dépend encore à hauteur de 60% de combustibles fossiles, majoritairement importés, selon le dernier rapport du gestionnaire du transport de l’électricité, RTE.Dans le reste de la gauche, les Insoumis et les écologistes sont farouchement opposés à toute relance de l’atome.A la demande de la présidente du groupe LFI Mathilde Panot le débat devra faire l’objet d’au moins 40 heures de débats dans l’hémicycle et devrait donc s’étendre tout au long de la semaine.

Oil prices fall, stocks rise as Iran-Israel war fears ease

Stocks rose and oil prices retreated Monday as fears of a wider Middle East conflict eased even as Israel and Iran pounded each other with missiles for a fourth day.The dollar and safe-haven gold declined slightly.”As things stand, investors seem less fearful than they were going into the weekend of the possibility that the war between Israel and Iran spreads across the Middle East, and beyond,” said David Morrison, senior market analyst at financial services provider Trade Nation.”It appears that most of the Israeli airstrikes and missile launches avoided the most significant parts of Iran’s energy infrastructure. And so far Iran’s retaliation has done relatively little damage,” he added.Wall Street opened in the green, with the tech-heavy Nasdaq up around one percent in early deals, while London, Paris and Frankfurt were all higher in afternoon trading.That tracked gains in Asia, where Tokyo closed up 1.3 percent, boosted by a weaker yen, while Hong Kong and Shanghai also advanced.Israel’s surprise strike against Iranian military and nuclear sites on Friday — killing top commanders and scientists — sent crude prices soaring as much as 13 percent at one point on fears about supplies from the region.However, concerns over the conflict spreading appeared to have eased, with both main oil contracts retreating by more than one percent on Monday.Analysts said the recent decision by the OPEC+ group of crude producing nations, led by Saudi Arabia and Russia, to raise output again in July also played a role.”Financial markets are very good at absorbing geopolitical risk, and OPEC+’s supply boost is also helping to cushion the blow,” said Kathleen Brooks, research director at trading group XTB.”There may need to be a major escalation in the conflict before we get another sharp upswing in oil and gold prices,” she added.Analysts had warned that the spike could send inflation surging globally again, dealing a blow to long-running efforts by governments and central banks to get it under control.Investors were gearing up for monetary policy decisions this week from the US Federal Reserve, Bank of England and Bank of Japan.All are expected to stand pat but traders will be keeping a close watch on their statements for clues on interest-rate outlooks, with US officials under pressure from President Donald Trump to cut borrowing costs.There was little major reaction to data showing China’s factory output grew slower than expected last month as trade war pressures bit, while retail sales topped forecasts.Also in focus is the G7 summit in the Canadian Rockies, which kicked off Sunday, where the Middle East crisis will be discussed along with trade after Trump’s tariff blitz.In corporate news, shares in Nippon Steel rose more than three percent in Tokyo after Trump on Friday signed an executive order approving its $14.9 billion merger with US Steel, bringing an end to the long-running saga. Shares in Gucci owner Kering climbed over 11 percent in Paris on reports that the outgoing boss of French automaker Renault would take over as chief executive of the struggling luxury group.Renault shares shed almost eight percent percent, following its announcement on Sunday that Luca de Meo would step down in July. – Key figures at around 1340 GMT -West Texas Intermediate: DOWN 1.4 percent at $71.96 per barrelBrent North Sea Crude: DOWN 1.3 percent at $73.29 per barrelNew York – Dow: UP 0.6 percent at 42,458.20 pointsNew York – S&P 500: UP 0.8 percent at 6,022.67New York – Nasdaq: UP 1.0 percent at 19,593.77London – FTSE 100: UP 0.3 percent at 8,876.07 Paris – CAC 40: UP 0.6 percent at 7,728.56Frankfurt – DAX: UP 0.2 percent at 23,565.34Tokyo – Nikkei 225: UP 1.3 percent at 38,311.33 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.7 percent at 24,060.99 (close)Shanghai – Composite: UP 0.4 percent at 3,388.73 (close)Euro/dollar: UP at $1.1595 from $1.1540 on FridayPound/dollar: UP at $1.3601 from $1.3560Dollar/yen: DOWN at 143.88 yen from 144.04 yenEuro/pound: UP at 85.22 pence from 85.11 pence

France shuts Israeli weapons booths at Paris Air Show

Geopolitical tensions roiled the opening of the Paris Air Show on Monday as French authorities sealed off Israeli weapons industry booths amid the conflicts in Iran and Gaza, a move that Israel condemned as “outrageous”.The decision added drama to the major aerospace industry event, which was already under the shadow of last week’s deadly crash of Air India’s Boeing 787 Dreamliner.Black walls were installed around the stands of five Israeli defence firms at the trade fair in Le Bourget, an airfield on the outskirts of Paris.The booths displayed “offensive weapons” that could be used in Gaza — in violation of agreements with Israeli authorities, a French government source told AFP.The companies — Israel Aerospace Industries (IAI), Rafael, Uvision, Elbit and Aeronautics — make drones and guided bombs and missiles.An Israeli exhibitor wrote a message in yellow chalk on one of the walls, saying the hidden defence systems “are protecting the state of Israel these days. The French government, in the name of discrimination is trying to hide them from you!”French Prime Minister Francois Bayrou defended the decision during a Monday press conference at the air show. “The French government’s position was very simple: no offensive weapons at the arms exposition,” he said.”Defensive weapons were perfectly acceptable,” he added.- Conflicts loom large -Bayrou cited the ongoing conflict in Gaza as the rationale behind the ban.”Given the situation in Gaza… which is extremely serious from a humanitarian and security point of view, France was keen to make it clear that offensive weapons should not be present at this exposition,” Bayrou said.Israeli President Isaac Herzog said he was shocked by the “outrageous” closure of the pavilions and said the situation should be “immediately corrected”.”Israeli companies have signed contracts with the organisers… it’s like creating an Israeli ghetto,” he said on French television channel LCI.The Israeli defence ministry said in a statement that the “outrageous and unprecedented decision reeks of policy-driven and commercial considerations”.”The French are hiding behind supposedly political considerations to exclude Israeli offensive weapons from an international exhibition — weapons that compete with French industries,” it said.”This is particularly striking given Israeli technologies’ impressive and precise performance in Iran.”Israel launched surprise strikes on Iranian military and nuclear sites on Friday, killing top commanders and scientists, prompting Tehran to hit back with a barrage of missiles.The presence of Israeli firms at Le Bourget, though smaller than in the past, was already a source of tension before the start of the Paris Air Show, because of the conflict in Gaza.A French court last week rejected a bid by NGOs to ban Israeli companies from Le Bourget over concerns about “international crimes”.Local lawmakers from the Seine-Saint-Denis department hosting the event were absent during Bayrou’s visit to the opening of the air show in protest over the Israeli presence.”Never has the world been so disrupted and destabilised,” Bayrou said earlier at a roundtable event, urging nations to tackle challenges “together, not against each other”.- Boeing ‘focus on supporting customers’ -The row over Israel cast a shadow over a trade fair that is usually dominated by displays of the aerospace industry’s latest flying wonders, and big orders for plane makers Airbus and Boeing.Airbus announced an order of 30 single-aisle A320neo jets and 10 A350F freighters by Saudi aircraft leasing firm AviLease.The European manufacturer also said Riyadh Air was buying 25 long-range, wide-body A350-1000 jets.But Boeing chief executive Kelly Ortberg last week cancelled plans to attend the biennial event, to focus on the investigation of the Air India crash.”Our focus is on supporting our customers, rather than announcing orders at this air show,” a Boeing spokeswoman told AFP on Monday.The London-bound Dreamliner crashed shortly after take-off in the western Indian city of Ahmedabad, killing 241 passengers and crew and another 38 on the ground. One passenger survived.