Landmark Lagos exhibition celebrates ‘King of Afrobeat’ Fela KutiMon, 13 Oct 2025 11:11:59 GMT

The “King of Afrobeat”, “Black President”, activist and legendary musician Fela Kuti has returned to his hometown and Nigeria’s cultural capital Lagos through a landmark exhibition that celebrates his life and legacy and opens Monday.The “Afrobeat Rebellion” exhibition, organised by the French Embassy and the Kuti family, builds on one held in Paris in 2022 …

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Municipales: le RN a déjà investi 530 candidats, plus qu’en 2020

A cinq mois des élections municipales, le Rassemblement national a déjà désigné “530 têtes de listes”, soit davantage qu’au précédent scrutin de 2020, a indiqué lundi à l’AFP l’eurodéputé et directeur de campagne Julien Sanchez.Dissolution ou pas, le RN continue de miser sur les municipales des 15 et 22 mars 2026, pour récolter les fruits de son implantation locale. Signe de cette ambition: à date, “on a à peu près 530 têtes de listes”, assure M. Sanchez.C’est déjà plus qu’il y a six ans, quand le parti à la flamme avait présenté seulement 410 listes sous ses propres couleurs – et soutenu une vingtaine d’autres, comme celle de Robert Ménard à Béziers.Le nombre devrait encore augmenter jusqu’au dépôt officiel des listes fin février, et possiblement dépasser le seuil des 600 atteint en 2014. Mais “ce n’est pas un objectif en soi”, affirme le directeur de campagne, qui dit avoir examiné “plus de 1.200 candidatures à ce jour”.”Le but c’est d’être présents là où on a des gens compétents, pas d’y aller pour y aller”, insiste l’ancien maire de Beaucaire (Gard), même si le RN entend tout de même s’aligner “dans la majeure partie des chefs-lieux de départements” et en particulier dans “les villes de plus de 100.000 habitants” où il était parfois absent précédemment.Soulignant que l’extrême droite est “portée par une dynamique nationale” et que la sécurité – un de ses thèmes de prédilection – “arrive en tête des priorités” dans les sondages, M. Sanchez juge que la “qualité” de ses candidats sera primordiale: “On est dans une période où on va gagner des villes, donc il faut les sélectionner avec soin”.

European stocks rebound after Trump-fuelled slide

European stock markets rebounded slightly Monday after heavy pre-weekend falls as US President Donald Trump reignited his trade war with China. Asia’s leading stock markets, catching up with sharp losses Friday on Wall Street, began the week in the red, while gold reached a fresh record high thanks to its status as a safe haven investment.Trump wrote on social media that he would impose an additional 100-percent tariff on China and threatened to cancel a summit with Chinese counterpart Xi Jinping.The US president cited Beijing’s export curbs on rare earth minerals used in a range of goods including smartphones, electric vehicles and military hardware.Trump presented a more conciliatory tone Sunday when he described Xi as “respected”, helping to lift the dollar.”European equities are trading higher… (in) a relief rally after the violent swings seen on Friday,” noted Joshua Mahony, chief market analyst at traders Scope Markets.”The breakdown in US-China relations simply adds to the ongoing narrative around US instability, with the government shutdown rolling on towards its third week,” he added.Wall Street’s Nasdaq index plunged 3.6 percent Friday, with investors on edge also over a recent tech-led surge that has stoked fears of a stock bubble.However, investors took a little heart from a post Sunday in which Trump said “The U.S.A. wants to help China, not hurt it!!!”, adding that “respected President Xi… doesn’t want Depression for his country”.Beijing accused Washington of acting unfairly, and the Ministry of Commerce said Sunday: “Threatening high tariffs at every turn is not the right approach to engaging with China.”It follows months of fragile peace between the economic superpowers as they looked to reach a full trade deal after Trump’s tariff bombshell in April that saw both sides ramp up tit-for-tat levies to eye-watering levels.One of the winners of this year’s Nobel economics prize, France’s Philippe Aghion, warned Europe that it must not let the United States and China dominate technological innovation.”I think European countries have to realise that we should no longer let the US and China become technological leaders and lose to them,” Aghion told reporters Monday.The prize was awarded also to American-Israeli Joel Mokyr and Canada’s Peter Howitt for work on technology’s impact on sustained economic growth.The week kicked off with price recoveries for bitcoin and oil.The cryptocurrency tumbled over the weekend following Trump’s tough talk on China, while crude futures reversed big losses caused by the Israel-Hamas peace deal.- Key figures at around 1045 GMT -London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 9,431.77 pointsParis – CAC 40: UP 0.4 percent at 7,948.52Frankfurt – DAX: UP 0.4 percent at 24,342.12Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.5 percent at 25,889.48 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.2 percent at 3,889.50 (close)Tokyo – Nikkei 225: Closed for a holidayNew York – Dow: DOWN 1.9 percent at 45,479.60 (close)Euro/dollar: DOWN at $1.1587 from $1.1615 on FridayPound/dollar: DOWN at $1.3337 from $1.3352Dollar/yen: UP at 152.13 yen from 151.57 yenEuro/pound: DOWN at 86.88 pence from 86.98 penceBrent North Sea Crude: UP 1.6 percent at $63.71 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.8 percent at $59.93 per barrel

Alors que les descentes s’intensifient, l’économie latino de Chicago s’effondre

Les boutiques de robes traditionnelles du quartier de Little Village, à Chicago, sont habituellement florissantes, reflétant l’optimisme des familles latinos tournées vers l’avenir. Ce n’est plus le cas.Les commerces des quartiers à forte population immigrée de cette ville du Midwest sont en péril, alors que les descentes de police menées par l’administration du président américain Donald Trump se propagent dans les communautés, incitant les immigrés terrifiés à rester chez eux, quel que soit leur statut légal.Au coeur de Little Village, surnommé le “Mexique du Midwest”, les rues étaient désertes vendredi soir. Désormais, les restaurants ferment plus tôt et licencient du personnel. Les chantiers sont à l’arrêt.L’une des douze boutiques de robes de quinceañera — où les familles achètent des robes somptueuses pour les fêtes rituelles du passage à l’âge adulte de leurs filles de 15 ans — a déjà fermé ses portes en septembre.Pour Ariella Santoyo, propriétaire de My Quince World, la répression d’une économie immigrée pesant des milliards de dollars rappelle la pandémie de Covid.”Nous avons clairement constaté une baisse cette année”, depuis le retour de Trump à la Maison Blanche, explique à l’AFP Mme Santoyo, 38 ans, en brodant une robe.Elle estime avoir perdu “environ 40%” de son chiffre d’affaires depuis que les agents de l’immigration (ICE) ont commencé d’arrêter migrants sans papiers et citoyens américains, à un rythme de plus en plus élevé.Mike Muhammad, employé dans un supermarché latino, évoque une baisse similaire. “Les gens ne viennent plus”, déplore-t-il.De nombreux employés du bâtiment de cette grande ville démocrate restent également chez eux, selon un entrepreneur rencontré dans un salon de coiffure de Little Village.”Personne ne vient travailler. Ils ont peur”, dit-il, sous couvert de l’anonymat.Cette perte de revenus met une pression énorme sur les familles immigrées, dont beaucoup vivaient déjà dans la précarité.De nombreux immigrés ont décrit à l’AFP une situation doublement décourageante : les droits de douane imposés par Trump sur les importations mexicaines font grimper les prix des produits consommés par la communauté immigrée de Chicago. Et les descentes de police empêchent les gens de travailler.- Une économie immigrée massive -Les immigrés contribuent largement à l’économie américaine, avec 299 milliards de dollars dépensés en 2023, selon l’association de juristes American Immigration Council.Chicago compte 2,7 millions d’habitants, dont 30% sont latinos, selon le recensement de 2025. Son maire démocrate, Brandon Johnson, s’est opposé aux descentes de l’ICE et a mis en garde contre des conséquences économiques plus larges si l’économie immigrée s’effondrait. “Le président Trump sape littéralement la puissance économique de villes comme Chicago”, a-t-il récemment déclaré.Certains habitants mettent eux-mêmes en place des patrouilles de quartier pour donner l’alerte lorsqu’ils repèrent ou soupçonnent des opérations de la police de l’immigration.L’AFP a accompagné le groupe Pilsen Defense Access lors d’une patrouille dans le quartier de Pilsen.”Ces agents parcourent les quartiers en ciblant les gens et cela fait peur, non?”, dit Davis, un militant se présentant comme vétéran de l’armée américaine. “Pour moi, c’est un acte de terrorisme”.- “Retour 50 ans en arrière” -Il affirme que la fréquence des descentes de police terrorise les habitants et provoque un effet domino qui pourrait engloutir l’économie locale.Le quartier de Pilsen était toutefois particulièrement animé dimanche alors que passait le marathon de Chicago, avec des supporters agitant des drapeaux mexicains.Selon Mme Santoyo, cette nouvelle crise “renforce la solidarité dans la communauté, chacun aidant l’autre à traverser ces moments difficiles”.Elle raconte ce que lui a récemment confié son père : “J’ai l’impression d’être revenu 50 ans en arrière”. Mais “nous avons tout surmonté, donc nous surmonterons aussi cela”, veut-elle croire.Rosa, 66 ans, née au Mexique, confie pour sa part que le climat actuel est pire que celui du Covid. “Maintenant, on ne peut même plus sortir pour travailler ou faire nos courses”. Pourtant sans nous, “où en serait ce pays ?”.

Le Nobel d’économie 2025 décerné à un trio pour ses travaux sur la croissance et l’innovation

Le Nobel d’économie 2025 a été décerné lundi à l’Américano-israélien Joel Mokyr, au Français Philippe Aghion et au Canadien Peter Howitt pour leurs travaux sur l’impact des nouvelles technologies sur la croissance économique.La moitié du prix est attribuée à Joel Mokyr, 79 ans, “pour avoir identifié les conditions préalables à une croissance durable grâce au progrès technologique” et l’autre conjointement à Philippe Aghion, 69 ans, et Peter Howitt, 79 ans, “pour leur théorie de la croissance durable à travers la destruction créatrice”.Au cours des deux derniers siècles, pour la première fois dans l’histoire, le monde a connu une croissance économique soutenue et les lauréats de cette année ont expliqué comment l’innovation stimulait la croissance et fournissait l’élan nécessaire pour qu’elle se maintienne, a expliqué le président du comité pour le prix des sciences économiques, John Hassler. Joel Mokyr, qui enseigne à l’Université Northwestern aux États-Unis, “a utilisé des sources historiques comme moyen pour découvrir les causes de la croissance soutenue, devenue la nouvelle norme”, a noté le jury dans un communiqué. Philippe Aghion et Peter Howitt ont ensemble examiné le concept de “destruction créatrice”, qui fait référence à la manière dont les entreprises vendant des produits établis pâtissent de l’introduction d’un produit nouveau et meilleur sur le marché.”Ce processus est créatif car il repose sur l’innovation mais il est également destructeur car les produits plus anciens deviennent obsolètes et perdent leur valeur commerciale”, a écrit le jury. “Les travaux des lauréats nous rappellent que nous ne devons pas considérer le progrès comme acquis. Au contraire, la société doit rester attentive aux facteurs qui génèrent et soutiennent la croissance économique. Ces facteurs sont l’innovation scientifique, la destruction créatrice et une société ouverte au changement”, a dit Kerstin Enflo, professeur d’histoire économique et membre du comité Nobel, en présentant le prix.”L’ouverture est un moteur de croissance, tout ce qui entrave l’ouverture est un obstacle à la croissance”, a insisté l’un des lauréats, Philippe Aghion, à l’annonce du prix, au moment où les Etats-Unis ont entrepris de relever leurs droits de douane.Il a mis en garde l’Europe, estimant que le continent européen ne devait pas laisser les États-Unis et la Chine “devenir les leaders technologiques”.- Prix créé en 1969 -Les trois hommes succèdent à un trio de chercheurs basé aux Etats-Unis et récompensé l’an dernier pour des recherches sur les disparités de richesses entre pays, l’Américano-Turc Daron Acemoglu et les Britanno-Américains Simon Johnson et James A. Robinson.Seul à ne pas avoir été prévu dans le testament d’Alfred Nobel, le prix d’économie s’est ajouté en 1969 aux cinq traditionnelles récompenses, lui valant chez ses détracteurs le sobriquet de “faux Nobel”. Créé par la Banque centrale suédoise “à la mémoire” de l’inventeur, il boucle traditionnellement la saison des prix.Vendredi, le prix Nobel de la paix a été décerné à à l’opposante vénézuélienne Maria Corina Machado.Plus tôt, la littérature avait récompensé l’écrivain hongrois Laszlo Krasznahorkai, 71 ans, “pour son œuvre fascinante et visionnaire qui, au milieu d’une terreur apocalyptique, réaffirme le pouvoir de l’art”.En chimie c’est un trio de chimistes, le Japonais Susumu Kitagawa, Richard Robson, né au Royaume-Uni, et l’Américano-Jordanien Omar M. Yaghi, qui a été primé pour avoir développé de nouvelles structures moléculaires capables d’emprisonner des gaz.Le prix de physique a récompensé un trio britanno-franco-américain – John Clarke, Michel Devoret et John M. Martinis – pour sa découverte de “l’effet tunnel” dans la mécanique quantique, une science contre-intuitive qui décrit le monde à l’échelle de l’infiniment petit.Première récompense a être attribuée, la médecine a été décernée à un trio américano-japonais – Mary E. Brunkow, Fred Ramsdell et Shimon Sakaguchi – pour ses travaux sur la façon dont le corps contrôle le système immunitaire.Le Nobel consiste en un diplôme, une médaille d’or et un chèque de 11 millions de couronnes suédoises (près d’un million d’euros), dont Joel Mokyr reçoit une moitié tandis que Philippe Aghion et Peter Howitt se partagent l’autre. Il est remis le 10 décembre.

Le Nobel d’économie 2025 décerné à un trio pour ses travaux sur la croissance et l’innovation

Le Nobel d’économie 2025 a été décerné lundi à l’Américano-israélien Joel Mokyr, au Français Philippe Aghion et au Canadien Peter Howitt pour leurs travaux sur l’impact des nouvelles technologies sur la croissance économique.La moitié du prix est attribuée à Joel Mokyr, 79 ans, “pour avoir identifié les conditions préalables à une croissance durable grâce au progrès technologique” et l’autre conjointement à Philippe Aghion, 69 ans, et Peter Howitt, 79 ans, “pour leur théorie de la croissance durable à travers la destruction créatrice”.Au cours des deux derniers siècles, pour la première fois dans l’histoire, le monde a connu une croissance économique soutenue et les lauréats de cette année ont expliqué comment l’innovation stimulait la croissance et fournissait l’élan nécessaire pour qu’elle se maintienne, a expliqué le président du comité pour le prix des sciences économiques, John Hassler. Joel Mokyr, qui enseigne à l’Université Northwestern aux États-Unis, “a utilisé des sources historiques comme moyen pour découvrir les causes de la croissance soutenue, devenue la nouvelle norme”, a noté le jury dans un communiqué. Philippe Aghion et Peter Howitt ont ensemble examiné le concept de “destruction créatrice”, qui fait référence à la manière dont les entreprises vendant des produits établis pâtissent de l’introduction d’un produit nouveau et meilleur sur le marché.”Ce processus est créatif car il repose sur l’innovation mais il est également destructeur car les produits plus anciens deviennent obsolètes et perdent leur valeur commerciale”, a écrit le jury. “Les travaux des lauréats nous rappellent que nous ne devons pas considérer le progrès comme acquis. Au contraire, la société doit rester attentive aux facteurs qui génèrent et soutiennent la croissance économique. Ces facteurs sont l’innovation scientifique, la destruction créatrice et une société ouverte au changement”, a dit Kerstin Enflo, professeur d’histoire économique et membre du comité Nobel, en présentant le prix.”L’ouverture est un moteur de croissance, tout ce qui entrave l’ouverture est un obstacle à la croissance”, a insisté l’un des lauréats, Philippe Aghion, à l’annonce du prix, au moment où les Etats-Unis ont entrepris de relever leurs droits de douane.Il a mis en garde l’Europe, estimant que le continent européen ne devait pas laisser les États-Unis et la Chine “devenir les leaders technologiques”.- Prix créé en 1969 -Les trois hommes succèdent à un trio de chercheurs basé aux Etats-Unis et récompensé l’an dernier pour des recherches sur les disparités de richesses entre pays, l’Américano-Turc Daron Acemoglu et les Britanno-Américains Simon Johnson et James A. Robinson.Seul à ne pas avoir été prévu dans le testament d’Alfred Nobel, le prix d’économie s’est ajouté en 1969 aux cinq traditionnelles récompenses, lui valant chez ses détracteurs le sobriquet de “faux Nobel”. Créé par la Banque centrale suédoise “à la mémoire” de l’inventeur, il boucle traditionnellement la saison des prix.Vendredi, le prix Nobel de la paix a été décerné à à l’opposante vénézuélienne Maria Corina Machado.Plus tôt, la littérature avait récompensé l’écrivain hongrois Laszlo Krasznahorkai, 71 ans, “pour son œuvre fascinante et visionnaire qui, au milieu d’une terreur apocalyptique, réaffirme le pouvoir de l’art”.En chimie c’est un trio de chimistes, le Japonais Susumu Kitagawa, Richard Robson, né au Royaume-Uni, et l’Américano-Jordanien Omar M. Yaghi, qui a été primé pour avoir développé de nouvelles structures moléculaires capables d’emprisonner des gaz.Le prix de physique a récompensé un trio britanno-franco-américain – John Clarke, Michel Devoret et John M. Martinis – pour sa découverte de “l’effet tunnel” dans la mécanique quantique, une science contre-intuitive qui décrit le monde à l’échelle de l’infiniment petit.Première récompense a être attribuée, la médecine a été décernée à un trio américano-japonais – Mary E. Brunkow, Fred Ramsdell et Shimon Sakaguchi – pour ses travaux sur la façon dont le corps contrôle le système immunitaire.Le Nobel consiste en un diplôme, une médaille d’or et un chèque de 11 millions de couronnes suédoises (près d’un million d’euros), dont Joel Mokyr reçoit une moitié tandis que Philippe Aghion et Peter Howitt se partagent l’autre. Il est remis le 10 décembre.

Trio wins economics Nobel for work on tech-driven growth

The Nobel prize in economics was awarded on Monday to American-Israeli Joel Mokyr, France’s Philippe Aghion and Canada’s Peter Howitt for work on technology’s impact on sustained economic growth.Mokyr, 79, won one half of the prize “for having identified the prerequisites for sustained growth through technological progress”, the Royal Swedish Academy of Sciences said.Aghion, 69, and Howitt, 79, shared the other half “for the theory of sustained growth through creative destruction”, it added.John Hassler, chair of the prize committee, told reporters their work answered questions about how technological innovation drives growth and how sustained growth can be maintained.”During almost all of humankind’s history, living standards did not change noticeably from generation to generation. Economic growth was, on average, zero, and stagnation was the norm,” Hassler said.But over the last two centuries “things have been very different.”- ‘Creative destruction’ -“During the last 200 years, the world has seen more economic growth than ever before in human history,” Kerstin Enflo, a member of the economics prize committee, explained to reporters.However, she cautioned that “200 years is still just a short period compared to the long run history of stagnation that we saw before.””The laureates’ work reminds us that we should not take progress for granted. Instead, society must keep an eye on the factors that generate and sustain economic growth,” Enflo said. Mokyr, who is a professor at Northwestern University in the United States, “used historical sources as one means to uncover the causes of sustained growth becoming the new normal”, the jury said in a statement.Aghion and Howitt then created a mathematical model for “creative destruction”, which refers to the process “when a new and better product enters the market, the companies selling the older products lose out”.- ‘Openness’ -“I can’t find the words to express what I feel,” Aghion told reporters via telephone during the prize announcement.”I’m still speechless. It came really as a huge surprise,” he continued.Speaking about what could risk upsetting growth, he mentioned the threats of steep tariffs introduced since US President Donald Trump’s return to the White House.”Openness is a driver of growth. Anything that gets in the way of openness is an obstacle to growth,” Aghion said.The economist also warned Europe not to let the United States and China dominate technological innovation. “I think European countries have to realise that we should no longer let (the) US and China become technological leaders and lose to them,” he said.The economics prize is the only Nobel not among the original five created in the will of Swedish scientist Alfred Nobel, who died in 1896.It was instead created through a donation from the Swedish central bank in 1968, leading detractors to dub it “a false Nobel”.But like the Nobels in chemistry and physics, the Royal Swedish Academy of Sciences chooses the winner and follows the same selection process.The economics prize wraps up this year’s Nobel season which honoured research into the human immune system, practical applications of quantum mechanics and the development of new forms of molecular architecture.The literature prize went to Hungarian author Laszlo Krasznahorkai whose works explore themes of postmodern dystopia and melancholy.Venezuelan opposition leader Maria Corina Machado was given the highly watched Nobel Peace Prize.In a surprise move, Machado dedicated the prize to Trump, who had made no secret that he thought he deserved it.The Nobel economics prize consists of a diploma, a gold medal and a $1.2 million cheque.The laureates will receive their prizes at formal ceremonies in Stockholm and Oslo on December 10.That date is the anniversary of the death in 1896 of scientist Alfred Nobel, who created the prizes in his will.

Israel welcomes last 20 surviving hostages

Israel said the last 20 surviving hostages returned home on Monday after two years in captivity in Gaza, as US President Donald Trump received a standing ovation from Israeli lawmakers after brokering a ceasefire with Hamas.Trump’s lightning visit to Israel came ahead of a summit in the Egyptian resort town of Sharm El-Sheikh co-chaired by the American president, who has declared the war in Gaza “over”.In Tel Aviv, a huge crowd which gathered to support hostage families erupted in joy, tears and song as news broke of the first hostage releases, though the pain for the loss of those who had not survived was palpable.Under the ceasefire deal, Israel is due to release nearly 2,000 prisoners held in its jails.In the Palestinian city of Ramallah, huge crowds gathered to welcome home the first buses carrying prisoners, with some chanting “Allahu akbar”, or God is the greatest, in celebration.”Welcome home,” Israel’s foreign ministry said in a series of posts on X, hailing the return of the hostages.On Tel Aviv’s Hostages Square, Noga shared her pain and joy.”I’m torn between emotion and sadness for those who won’t be coming back,” she said.Israel has said it does not expect all of the dead hostages to be returned on Monday.Under the ceasefire agreement, Hamas is also due to return the bodies of the 27 hostages who died or were killed in captivity, as well as the remains of a soldier killed in 2014 during a previous Gaza conflict. Among those Israel was due to release in exchange are 250 security detainees, including many convicted of killing Israelis, while about 1,700 were detained by the Israeli army in Gaza during the war.- ‘Nothing looked the same’ -On October 7, 2023, militants seized 251 hostages during Hamas’s unprecedented attack on Israel, which led to the deaths of 1,219 people, most of them civilians.All but 47 of those hostages were freed in earlier truces, with the families of those who have remained in captivity leading lives of constant pain and worry for their loved ones.In Gaza, too, the ceasefire has brought relief, but with much of the territory flattened by war, the road to recovery remains long.”I returned to Sheikh Radwan with my heart trembling,” 38-year-old Fatima Salem told AFP after she returned to her neighbourhood in Gaza City. “My eyes kept searching for landmarks I had lost — nothing looked the same, even the neighbours’ houses were gone. “Despite the exhaustion and fear, I felt like I was coming back to my safe place. I missed the smell of my home, even if it’s now just rubble. We will pitch a tent next to it and wait for reconstruction.”- ‘War is over. Okay?’ -Trump’s visit to the Middle East aims to celebrate his role in brokering last week’s ceasefire and hostage release deal — but comes at a precarious time as Israel and Hamas negotiate what comes next.Speaking to reporters on Air Force One at the start of the “very special” visit, Trump brushed off concerns about whether the ceasefire would endure.”I think it’s going to hold. I think people are tired of it. It’s been centuries,” he said of the fighting. “The war is over. Okay? You understand that?” the US president added.In Israel, Trump was due to meet the families of hostages, before addressing the Israeli parliament in Jerusalem. – Final details -Trump announced in late September a 20-point plan for Gaza, which helped bring about the ceasefire.Negotiators were still wrangling late Sunday over the final arrangements for the exchanges, with two Hamas sources telling AFP the group was insisting that Israel include seven senior Palestinian leaders on the list of those to be released.Israel has previously rejected at least one of those names.After visiting Israel, Trump will head to Egypt, where he and President Abdel Fattah al-Sisi will co-host a summit of world leaders to back his plan to end the Gaza war and promote Middle East peace.While Palestinian president Mahmud Abbas is due at the summit, Netanyahu’s office said the Israeli premier will not attend due to the start of a religious holiday.In Egypt, Trump will be looking to resolve some of the huge uncertainty around the next phases of the peace plan — including Hamas’s refusal to disarm and Israel’s failure to pledge a full withdrawal from the devastated territory.Trump insisted he had “guarantees” from both sides and other key regional players about the initial phase of the deal, and the future stages.A new governing body for devastated Gaza — which Trump himself would head under his own plan — would be established “very quickly,” he added.Under the plan, as Israel conducts a partial withdrawal from Gaza, it will be replaced by a multi-national force coordinated by a US-led command centre in Israel.Hamas on Monday urged Trump and the mediators of the Gaza deal to ensure Israel does not resume operations in Gaza.”We call on all mediators and international parties to continue monitoring Israel’s conduct and to ensure it does not resume its aggression against our people in Gaza,” Hamas spokesman Hazem Qassem said.Israel’s campaign in Gaza has killed at least 67,869 people, according to figures from the health ministry in the Hamas-run territory that the United Nations considers credible.The data does not distinguish between civilians and combatants but indicates that more than half of the dead are women and children.