South Africa 247-6 after Kuldeep takes three in second India TestSat, 22 Nov 2025 10:50:18 GMT

Spinner Kuldeep Yadav took three wickets as India rattled South Africa with late strikes to leave the tourists 247-6 at stumps on the first day of the second Test on Saturday.Tristan Stubbs, who made 49, and skipper Temba Bavuma (41) put on 84 runs for the third wicket after South Africa elected to bat in …

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Compter sur ses doigts, étape essentielle pour l’apprentissage du calcul

Compter sur ses doigts est une étape importante dans l’apprentissage du calcul, avance une nouvelle étude, selon laquelle les jeunes enfants qui utilisent cette technique ont par la suite plus de facilité à additionner mentalement.Dénombrer avec ses doigts pour savoir combien font 3+2 est une stratégie courante, mais parfois découragée, chez les petits écoliers. Dans une enquête menée en France en 2023, 20% des enseignants en maternelle et 30% de ceux de CP y voyaient un signe que l’élève avait des problèmes à comprendre les concepts numériques, rappellent les autrices de cette étude publiée récemment par l’American Psychological Association.”Les craintes qu’on a en tant que parent ou qu’enseignant, c’est que l’enfant reste bloqué à ce stade-là” et ne soit pas capable d’effectuer des calculs plus complexes, explique à l’AFP Catherine Thevenot, principale autrice et professeure de psychologie du développement cognitif à l’Université de Lausanne. “En fait, c’est grâce au calcul sur les doigts que les enfants vont pouvoir internaliser” le processus, poursuit la chercheuse.Dans leur étude, elle et sa collègue Marie Krenger ont suivi 211 enfants suisses âgés de 4 ans et demi à 7 ans et demi. Deux fois par an, elles leur ont demandé de résoudre jusqu’à trois séries d’opérations de difficulté croissante: additionner deux chiffres entre 1 et 5, un chiffre entre 1 et 5 à un autre entre 6 et 9, puis deux chiffres entre 6 et 9. Et ont observé si les enfants utilisaient leurs doigts pour y parvenir. – “Premier outil” -Elles ont constaté que le comptage sur les doigts atteignait un pic vers 5 ans et demi/6 ans. Jusqu’à 5 ans, davantage d’enfants additionnaient sans leurs doigts que l’inverse. A 6 ans et demi, 92% des enfants avaient utilisé leurs doigts au moins une fois lors des tests. À 7 ans et demi, 43% étaient des “ex-compteurs sur les doigts”, c’est-à-dire qu’ils les avaient utilisés lors des tests précédents mais ne le faisaient plus. 50% les utilisaient encore et seulement 7% ne les avaient jamais utilisés. Les doigts sont “le premier outil” qui va permettre à l’enfant de “marquer la quantité”, souligne Mme Thevenot, qui a publié cet été “Des mythes en maths” sur l’apprentissage des mathématiques.Quand on demande à un enfant de dénombrer une collection de trois objets, “il y a toute une phase du développement où il pense que le +3+ correspond au troisième objet et pas du tout aux trois objets de la collection”, explique la chercheuse.En comptant sur ses doigts, “il n’y a pas d’ambiguïté là-dessus, il le ressent dans son corps: chaque fois qu’il lève un nouveau doigt, la quantité augmente”, poursuit-elle.L’enfant doit aussi intégrer le principe de “correspondance terme à terme”, c’est-à-dire “qu’il y a un mot pour un objet”, ajoute Mme Thévenot. “Sur les doigts, c’est extrêmement évident: chaque fois qu’il dit un mot, il lève un doigt”. Les enfants qui comptent sur leurs doigts ont “déjà commencé à construire ces principes-là” et, à force de pratique, vont progressivement passer à “des stratégies de plus en plus mentales”. Par exemple, en visualisant 3 doigts d’une main et 4 doigts de l’autre pour additionner 3+4, puis en levant les 5 doigts de la première main avant de continuer à compter sur la suivante.Dans l’étude, les enfants les plus performants étaient les “ex-compteurs”. Dès 6 ans, ces anciens utilisateurs surpassaient à la fois ceux qui n’avaient jamais compté sur leurs doigts et ceux qui continuaient à le faire.Les enfants les moins performants étaient ceux qui n’avaient jamais compté sur leurs doigts.Si compter sur ses doigts est un comportement “plutôt naturel”, certains enfants ne vont en effet pas y recourir d’eux-mêmes et “on peut le leur enseigner”, souligne Mme Thevenot.Et si à 7 ans et demi, un enfant continue à utiliser ses doigts, “c’est qu’il a encore besoin de ce stade pour plein de raisons. Il faut le laisser faire”, estime-t-elle. 

L’ouverture du G20 en Afrique du Sud dominée par le plan américain pour l’Ukraine

Le plan américain pour l’Ukraine vient bousculer l’agenda du sommet des grandes économies du G20, qui s’est ouvert samedi à Johannesburg (Afrique du Sud) et où les Européens multiplient les consultations pour adopter une contre-proposition, selon des sources européennes.Le président américain Donald Trump boycotte le sommet, mais les dirigeants européens présents dans la capitale économique sud-africaine ont prévu de se réunir dans la journée pour discuter de son plan visant à mettre fin à plus de quatre ans d’invasion russe en Ukraine avec leurs homologues canadien, japonais et australien, selon un responsable européen. “Nous travaillons à faire du plan américain quelque chose de valable sur la base de nos échanges précédents”, a précisé une autre source européenne à l’AFP.Le chancelier allemand Friedrich Merz a déjà annoncé vendredi soir s’être “mis d’accord sur les prochaines étapes” avec le président américain lors d’un entretien téléphonique.- Déclaration adoptée -Le G20 regroupe 19 pays plus l’Union européenne et l’Union africaine, et représente 85% du PIB mondial et environ deux tiers de la population.C’est un symbole de “la valeur” du multilatéralisme pour résoudre les défis mondiaux, a mis en avant le président sud-africain Cyril Ramaphosa dans son discours d’ouverture.”Les défis auxquels nous sommes confrontés ne peuvent être résolus que par la coopération, la collaboration et les partenariats”, a-t-il affirmé.  Le président Ramaphosa peut d’ores et déjà revendiquer une victoire pour ce premier G20 organisé en Afrique: une déclaration des dirigeants présents a été adoptée “par consensus” dès le début du sommet, a annoncé sur X un haut responsable du ministère des Affaires étrangères, Clayson Monyela.C’est “un important signal que le multilatéralisme peut arriver à des résultats, et le fait”, s’est félicité Cyril Ramaphosa.Le texte n’a pas été rendu public pour le moment.- Inégalités -Pour sa présidence du G20 cette année, Pretoria a affiché parmi ses priorités la création d’un panel international sur les inégalités économiques, à l’image du Giec pour le climat. L’allègement de la dette, les minerais de la transition énergétique, présents en abondance sur le continent africain, ou encore l’intelligence artificielle sont aussi au programme du sommet prévu jusqu’à dimanche.Les États-Unis s’étaient opposés à la diffusion d’un communiqué final du G20, invoquant leur absence à un sommet dont “les priorités vont à l’encontre” des vues politiques de Washington.Le gouvernement sud-africain est pris pour cible par Donald Trump depuis son retour à la Maison Blanche, notamment sur une prétendue persécution des Afrikaners, ces descendants des premiers colons européens. Le président américain a sorti ces derniers mois les États-Unis de plusieurs instances internationales. Il a notamment initié le second retrait américain de l’accord de Paris sur le climat et n’a envoyé aucune délégation officielle à la COP30 au Brésil.Les éventuelles déclarations au G20 sur le climat seront d’ailleurs examinées de près à l’heure où les négociations climatiques de la COP30 au Brésil achoppent sur la question d’une éventuelle feuille de route pour sortir des énergies fossiles. L’UE a même évoqué la perspective de partir “sans accord”.A l’issue du sommet dimanche, l’Afrique du Sud doit passer le relais de la présidence tournante du G20 aux États-Unis, lors d’une cérémonie où Washington pourrait se faire représenter par un diplomate en poste en Afrique du Sud.L’administration Trump a annoncé son intention de resserrer le G20 sur les questions de coopération économique.

Western rift over Ukraine and Trump absence mar G20 summitSat, 22 Nov 2025 09:42:04 GMT

A US-European rift over the future of Ukraine threatened to overshadow a G20 summit that started in South Africa on Saturday marked by the absence of Donald Trump. The Johannesburg gathering was attended by a host of world leaders including French President Emmanuel Macron, Indian Prime Minister Narendra Modi, Chinese Premier Li Qiang, Brazilian President Luiz …

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Western rift over Ukraine and Trump absence mar G20 summit

A US-European rift over the future of Ukraine threatened to overshadow a G20 summit that started in South Africa on Saturday marked by the absence of Donald Trump. The Johannesburg gathering was attended by a host of world leaders including French President Emmanuel Macron, Indian Prime Minister Narendra Modi, Chinese Premier Li Qiang, Brazilian President Luiz Inacio Lula da Silva and Turkish President Recep Tayyip Erdogan.But it was boycotted by the US president, with his government saying South Africa’s priorities — which include boosting global cooperation on trade and climate action — run counter to US policy.South African President Cyril Ramaphose, opening the event, implicitly rebuffed Trump’s absence by stressing that “multilateralism” was needed to help solve global challenges, including from “escalating geopolitical tensions”.The US president nonetheless loomed large at the first summit of the group of major economies to be held in Africa after he produced a surprise unilateral US plan to end the war in Ukraine largely in line with Russia’s goals.Leaders from Europe, Canada, Japan and Australia were to huddle on the sidelines of the summit on Saturday to “discuss the way ahead on Ukraine”, an EU official said.A European diplomatic source told AFP: “We are working on making the US plan something more able to be applied, based on previous dialogue.”Macron, German Chancellor Friedrich Merz and UK Prime Minister Keir Starmer on Friday, after a call with Ukrainian President Volodymyr Zelensky, stressed that any such plan needed the “joint support and consensus of European partners and NATO allies”.But Ukraine and its allies have only a few days to try to influence Washington’s 28-point proposal.Trump has warned that “Thursday is, we think, an appropriate time” for Ukraine to accept it.- Climate impasse -Another issue dogging the G20 summit was a deadlock at COP30 climate negotiations taking place in Brazil.Friday was meant to be the last day of those talks, which had gone on for nearly two weeks. But they have spilled into overtime because petro-states were accused of resisting any reference to a fossil fuel phaseout in the final text.Despite the headwinds, host South Africa stressed that international cooperation was key.”The G20 underscores the value of the relevance of multilateralism. It recognises that the challenges that we face can only be resolved through cooperation, collaboration and partnership,” Ramaphosa said.He said that a joint G20 summit leaders’ declaration, adopted at the start of the summit, “sends an important signal to the world that multilateralism can and does deliver”.The US boycott echoes Trump’s decision not to send an official delegation to the COP30, and reflects a general American withdrawal from international forums.Washington has said it would send its charge d’affaires from its embassy at the end of the Johannesburg meeting only for a handover ceremony, as the United States will host next year’s G20 summit at a golf club owned by Trump in Florida.The G20 is a grouping of 19 countries plus the European Union and the African Union. It represents 85 percent of global GDP and around two-thirds of the world’s population.

Western rift over Ukraine and Trump absence mar G20 summit

A US-European rift over the future of Ukraine threatened to overshadow a G20 summit that started in South Africa on Saturday marked by the absence of Donald Trump. The Johannesburg gathering was attended by a host of world leaders including French President Emmanuel Macron, Indian Prime Minister Narendra Modi, Chinese Premier Li Qiang, Brazilian President Luiz Inacio Lula da Silva and Turkish President Recep Tayyip Erdogan.But it was boycotted by the US president, with his government saying South Africa’s priorities — which include boosting global cooperation on trade and climate action — run counter to US policy.South African President Cyril Ramaphose, opening the event, implicitly rebuffed Trump’s absence by stressing that “multilateralism” was needed to help solve global challenges, including from “escalating geopolitical tensions”.The US president nonetheless loomed large at the first summit of the group of major economies to be held in Africa after he produced a surprise unilateral US plan to end the war in Ukraine largely in line with Russia’s goals.Leaders from Europe, Canada, Japan and Australia were to huddle on the sidelines of the summit on Saturday to “discuss the way ahead on Ukraine”, an EU official said.A European diplomatic source told AFP: “We are working on making the US plan something more able to be applied, based on previous dialogue.”Macron, German Chancellor Friedrich Merz and UK Prime Minister Keir Starmer on Friday, after a call with Ukrainian President Volodymyr Zelensky, stressed that any such plan needed the “joint support and consensus of European partners and NATO allies”.But Ukraine and its allies have only a few days to try to influence Washington’s 28-point proposal.Trump has warned that “Thursday is, we think, an appropriate time” for Ukraine to accept it.- Climate impasse -Another issue dogging the G20 summit was a deadlock at COP30 climate negotiations taking place in Brazil.Friday was meant to be the last day of those talks, which had gone on for nearly two weeks. But they have spilled into overtime because petro-states were accused of resisting any reference to a fossil fuel phaseout in the final text.Despite the headwinds, host South Africa stressed that international cooperation was key.”The G20 underscores the value of the relevance of multilateralism. It recognises that the challenges that we face can only be resolved through cooperation, collaboration and partnership,” Ramaphosa said.He said that a joint G20 summit leaders’ declaration, adopted at the start of the summit, “sends an important signal to the world that multilateralism can and does deliver”.The US boycott echoes Trump’s decision not to send an official delegation to the COP30, and reflects a general American withdrawal from international forums.Washington has said it would send its charge d’affaires from its embassy at the end of the Johannesburg meeting only for a handover ceremony, as the United States will host next year’s G20 summit at a golf club owned by Trump in Florida.The G20 is a grouping of 19 countries plus the European Union and the African Union. It represents 85 percent of global GDP and around two-thirds of the world’s population.