Mondial-2026: victorieuse des Gallois, la Belgique fait un grand pas vers l’Amérique

La Belgique, victorieuse du pays de Galles lundi soir à Cardiff (4-2), a fait un grand pas vers la phase finale du Mondial-2026 l’été prochain aux Etats-Unis, au Canada et au Mexique.Avec 14 points, et avec deux matches encore à jouer, au Kazakhstan le 15 novembre puis face au Liechtenstein trois jours plus tard, les hommes de Rudi Garcia ont leur destin entre leurs mains.D’autant que leurs prochains adversaires semblent à la portée de Thibaut Courtois, de Kevin De Bruyne, qui a inscrit deux buts sur pénalty lundi soir à Cardiff, et de leurs équipiers.Deuxième au classement du groupe J, la Macédoine du Nord ,e compte qu’un point de retard mais n’a plus qu’un seul match à jouer, le 18 novembre au Pays de Galles.Lundi soir à Cardiff, les Belges ont certes souffert en début de match, bousculés en entame de rencontre au point d’être logiquement menés au score dès la 8e minute via un but de Joe Rodon.Mais le pressing gallois a trouvé ses limites face à l’expérience et l’efficace froideur devant le but des Belges, qui ont d’abord égalisé sur un pénalty converti pas De Bruyne à la suite d’une faute de main d’Ethan Ampadu (1-1, 18e) avant Thomas Meunier six minutes plus tard sur un service de l’intenable Jérémy Doku ne les fasse passer devant (2-1, 24e).Un nouveau pénalty (pour une faute de Jordan James), encore converti par “KDB”, a assuré le succès des Belges (3-1, 76e).Et même si un but de Nathan Broadhead à la 89e à redonné quelques secondes d’espoir aux Gallois, un envoi victorieux de Leandro Trossard dans la minute suivante a fini par rassurer les Belges, plus que jamais en route vers l’Amérique.

Mondial-2026: la France freinée en Islande

La France a connu un petit coup d’arrêt en Islande (2-2) avec une équipe largement remaniée, lundi à Reykjavik, mais sera qualifiée pour la Coupe du monde si elle bat l’Ukraine en novembre.Il faut finir le travail. Avec 10 points en quatre matches, les joueurs de Didier Deschamps auront une occasion de distancer définitivement les Ukrainiens (7 points), vainqueurs lundi de l’Azerbaïdjan (2-1), le 13 novembre à Paris.Mais il faudra en faire plus qu’à Reykjavik.Malgré un but de Christopher Nkunku (63e) et le premier de Jean-Philippe Mateta (68e) en sélection, les Bleus se sont laissé surprendre sur une faute de déconcentration et ont permis à l’Islande d’égaliser par Kristian Hlynsson (70e), parti seul défier Mike Maignan, capitaine d’un soir.Les joueurs de l’île de glace et de feu menaient déjà au bout d’une première mi-temps très pauvre des Tricolores, grâce à Victor Palsson (39e).L’équipe avec sept changements par rapport à la victoire contre l’Azerbaïdjan (3-0) a mis une mi-temps à se mettre véritablement en marche. Déjà vendredi il avait fallu un exploit personnel de Kylian Mbappé juste avant la pause pour débloquer un match figé.- Premier but pour Mateta -Mais cette fois le capitaine n’était pas là. Touché en fin de rencontre contre l’Azerbaïdjan, son forfait s’est ajouté à l’absence de l’autre joyau français, le Ballon d’or Ousmane Dembélé, touché dès le premier match des qualifications.Sans eux, sans Désiré Doué ni Bradley Barcola aussi blessés, les Bleus manquent de créativité.Leurs remplaçants ont vécu un match contrasté. Mateta, pour sa première titularisation, trois jours après sa première sélection, s’est longtemps montré trop imprécis, mais il a marqué son premier but sur un centre parfait de l’entrant Maghnès Akliouche.Nkunku aussi a beaucoup patiné avant de signer un but superbe, d’une frappe enveloppée au bout d’une action solitaire.Le nouveau joueur de l’AC Milan, rappelé pour la première fois depuis onze mois, a marqué son deuxième but en 16 sélections. Le premier remontait à un an contre Israël.En revanche Florian Thauvin ne sort pas gagnant de cette soirée fraîche, où un vent glacial charriait une entêtante odeur de saucisse grillée venue des stands de nourriture du stade Laugardalsvollur.Flotov, la belle histoire du match précédent avec son but en ciseau, n’a pas percuté, malgré une seconde période de meilleure facture. Son remplaçant Akliouche a réussi une passe décisive.Seul titulaire régulier de la ligne d’attaque, Michael Olise, qui devait une revanche après sa terne rencontre face à l’Azerbaïdjan, a semblé encore une fois à court d’idées.- Trou de concentration -Les Français se sont créé d’autres occasions, ils auraient pu égaliser plus tôt avec deux frappes coup sur coup, une tête plongeante d’Eduardo Camavinga repoussée par le gardien Elias Olafsson suivie d’un tir de Mateta sur le défenseur Mikael Ellertsson (45e+3).A 2-2 les Bleus ont encore poussé mais sans réussite.Si l’attaque a connu des ratés, la défense n’a pas brillé non plus. Sur le premier but islandais, tout le monde est figé. Camavinga a le ballon dans les pieds mais ne dégage pas et le défenseur Palsson a surgi pour glisser le ballon dans le but.Les Bleus estimaient qu’il y avait une faute sur Manu Koné – le meilleur Bleu lundi soir – sur ce but. Dayot Upamecano, joueur référent autorisé à parler à l’arbitre, puisque le capitaine Mike Maignan était loin du jeu, l’a réclamé en vain à l’arbitre israélien Orel Grinfeld.Déjà à l’aller les Islandais avaient fait douter les Bleus et s’étaient vu refuser une égalisation par la vidéo dans les dernières minutes (2-1 pour la France).Le but du 2-2 est consécutif à un gros trou de concentration de l’arrière-garde tricolore.Tout le long du match la vitesse des attaquants islandais a posé des problèmes à la charnière Dayot Upamecano-William Saliba.Il faudra régler ces petits soucis pour novembre, avec le retour des blessés, pour que Deschamps assure une septième qualification à une phase finale depuis le début de son mandat, qui se termine à la Coupe du monde.

Mondial-2026: la France freinée en Islande

La France a connu un petit coup d’arrêt en Islande (2-2) avec une équipe largement remaniée, lundi à Reykjavik, mais sera qualifiée pour la Coupe du monde si elle bat l’Ukraine en novembre.Il faut finir le travail. Avec 10 points en quatre matches, les joueurs de Didier Deschamps auront une occasion de distancer définitivement les Ukrainiens (7 points), vainqueurs lundi de l’Azerbaïdjan (2-1), le 13 novembre à Paris.Mais il faudra en faire plus qu’à Reykjavik.Malgré un but de Christopher Nkunku (63e) et le premier de Jean-Philippe Mateta (68e) en sélection, les Bleus se sont laissé surprendre sur une faute de déconcentration et ont permis à l’Islande d’égaliser par Kristian Hlynsson (70e), parti seul défier Mike Maignan, capitaine d’un soir.Les joueurs de l’île de glace et de feu menaient déjà au bout d’une première mi-temps très pauvre des Tricolores, grâce à Victor Palsson (39e).L’équipe avec sept changements par rapport à la victoire contre l’Azerbaïdjan (3-0) a mis une mi-temps à se mettre véritablement en marche. Déjà vendredi il avait fallu un exploit personnel de Kylian Mbappé juste avant la pause pour débloquer un match figé.- Premier but pour Mateta -Mais cette fois le capitaine n’était pas là. Touché en fin de rencontre contre l’Azerbaïdjan, son forfait s’est ajouté à l’absence de l’autre joyau français, le Ballon d’or Ousmane Dembélé, touché dès le premier match des qualifications.Sans eux, sans Désiré Doué ni Bradley Barcola aussi blessés, les Bleus manquent de créativité.Leurs remplaçants ont vécu un match contrasté. Mateta, pour sa première titularisation, trois jours après sa première sélection, s’est longtemps montré trop imprécis, mais il a marqué son premier but sur un centre parfait de l’entrant Maghnès Akliouche.Nkunku aussi a beaucoup patiné avant de signer un but superbe, d’une frappe enveloppée au bout d’une action solitaire.Le nouveau joueur de l’AC Milan, rappelé pour la première fois depuis onze mois, a marqué son deuxième but en 16 sélections. Le premier remontait à un an contre Israël.En revanche Florian Thauvin ne sort pas gagnant de cette soirée fraîche, où un vent glacial charriait une entêtante odeur de saucisse grillée venue des stands de nourriture du stade Laugardalsvollur.Flotov, la belle histoire du match précédent avec son but en ciseau, n’a pas percuté, malgré une seconde période de meilleure facture. Son remplaçant Akliouche a réussi une passe décisive.Seul titulaire régulier de la ligne d’attaque, Michael Olise, qui devait une revanche après sa terne rencontre face à l’Azerbaïdjan, a semblé encore une fois à court d’idées.- Trou de concentration -Les Français se sont créé d’autres occasions, ils auraient pu égaliser plus tôt avec deux frappes coup sur coup, une tête plongeante d’Eduardo Camavinga repoussée par le gardien Elias Olafsson suivie d’un tir de Mateta sur le défenseur Mikael Ellertsson (45e+3).A 2-2 les Bleus ont encore poussé mais sans réussite.Si l’attaque a connu des ratés, la défense n’a pas brillé non plus. Sur le premier but islandais, tout le monde est figé. Camavinga a le ballon dans les pieds mais ne dégage pas et le défenseur Palsson a surgi pour glisser le ballon dans le but.Les Bleus estimaient qu’il y avait une faute sur Manu Koné – le meilleur Bleu lundi soir – sur ce but. Dayot Upamecano, joueur référent autorisé à parler à l’arbitre, puisque le capitaine Mike Maignan était loin du jeu, l’a réclamé en vain à l’arbitre israélien Orel Grinfeld.Déjà à l’aller les Islandais avaient fait douter les Bleus et s’étaient vu refuser une égalisation par la vidéo dans les dernières minutes (2-1 pour la France).Le but du 2-2 est consécutif à un gros trou de concentration de l’arrière-garde tricolore.Tout le long du match la vitesse des attaquants islandais a posé des problèmes à la charnière Dayot Upamecano-William Saliba.Il faudra régler ces petits soucis pour novembre, avec le retour des blessés, pour que Deschamps assure une septième qualification à une phase finale depuis le début de son mandat, qui se termine à la Coupe du monde.

Wall Street retrouve son optimisme à travers le brouillard commercial

La Bourse de New York a terminé en hausse lundi, voyant d’un bon œil le changement de ton de Donald Trump à l’égard de la Chine, après des menaces de droits de douane colossaux qui avaient fait trembler les investisseurs.Le Dow Jones a pris 1,29%, l’indice Nasdaq a grimpé de 2,29% et l’indice élargi S&P 500 a gagné 1,56%.Après avoir menacé vendredi Pékin de droits de douane supplémentaires de 100% sur les produits chinois entrant aux Etats-Unis, “Donald Trump est revenu (sur ses propos) et a clairement indiqué que tout allait bien se passer avec la Chine”, relève auprès de l’AFP Adam Sarhan, de 50 Park Investments.Dans un message vu par certains analystes comme un nouvel exemple du phénomène “TACO” (“Trump always chickens out”, “Trump se défile toujours”), le président américain a écrit dimanche que les Etats-Unis souhaitent “aider la Chine, pas lui nuire”.”Une fois de plus, nous assistons à un scénario qui se répète: Trump utilise les droits de douane ou la possibilité de les imposer comme moyen de négocier des accords. Le marché réagit, puis il s’adapte”, estime Adam Sarhan.Les menaces formulées vendredi avaient fait tanguer les marchés financiers, notamment Wall Street dont l’indice de référence avait connu sa plus forte baisse en une séance depuis le chaos provoqué en avril par la guerre commerciale américaine.Selon M. Sarhan, le “rebond de soulagement” de lundi reste toutefois modéré, les principaux indices de la place américaines ne regagnant qu’environ la moitié de leurs pertes de la fin de semaine.La Maison Blanche continue d’appliquer de nouveaux droits de douane sectoriels, à l’image de ceux visant le bois de construction et l’ameublement, qui doivent entrer en vigueur mardi.Et toute reprise des tensions entre Washington et Pékin, “avec une augmentation des surtaxes des deux côtés, pourrait très vite dégénérer et provoquer une récession mondiale”, prévient Adam Sarhan.En parallèle, les acteurs de marché attendent avec impatience la publication des performances financières trimestrielles des grandes banques américaines, coup d’envoi de la saison des résultats.”Les résultats trimestriels et les perspectives d’avenir auront plus de poids que d’habitude, car les données économiques (officielles) ne sont pas disponibles” en raison de la paralysie budgétaire aux Etats-Unis, relève Jose Torres, d’Interactive Brokers.Le marché obligataire américain est, lui, fermé ce lundi en raison du “Columbus Day” (Jour de Christophe Colomb), férié aux Etats-Unis.Côté entreprises, le groupe américain de microprocesseurs Broadcom (+9,88% à 356,70 dollars) a bondi à l’annonce d’un partenariat avec OpenAI, le créateur de ChatGPT.L’accord annoncé lundi va au-delà d’une simple commande car les processeurs destinés à OpenAI vont être conçus spécifiquement pour cette société et adaptés à ses usages.Les sociétés minières ont continué d’être soutenues par un fort vent d’optimisme, voyant dans le conflit entre Pékin et Washington – qui s’est récemment ravivé en raison des tensions sur les exportations liées aux terres rares – la perspective d’un plus large développement de cette industrie aux Etats-Unis.L’action de USA Rare Earth s’est envolée de plus de 18%, celle de MP Materials de plus de 21% tandis que le titre de Ramaco Resources a grimpé de plus de 11%.La société Bloom Energy (+26,52% à 109,91) a été très recherchée, au point que son titre a atteint un niveau record, en raison d’un partenariat avec le gestionnaire d’actifs Brookfield Asset Management pour installer des piles à combustibles dans des centres de données dédiés à l’intelligence artificielle (IA).

Equipe de France: Nkunku et Mateta sauvent les meubles

Privée de ses joueurs majeurs, l’attaque de l’équipe de France, longtemps incapable de mettre en difficulté la défense islandaise, a finalement été sauvée après la pause par Christopher Nkunku et Jean-Philippe Mateta, buteurs providentiels, lundi à Reykjavik en qualifications du Mondial-2026 (2-2).A voir la liste impressionnante des blessés dans le secteur offensif (Kylian Mbappé, Ousmane Dembélé, Marcus Thuram, Bradley Barcola, Désiré Doué, Rayan Cherki), l’incertitude était de mise pour les Bleus, obligés de se débrouiller avec une escouade d’éléments soit novices sur le plan international, soit sur le retour. Le résultat a failli tourner au vinaigre pour Didier Deschamps et il a fallu patienter plus d’une heure pour voir les Tricolores réagir et percer enfin la forteresse nordique. Globalement, les absents n’ont pas trop d’inquiétudes à se faire pour leurs places, une fois rétablis de leurs pépins physiques, mais Nkunku et Mateta auront eu au moins le mérite d’empêcher le pire. Durant la première période, les éléments offensifs français ont en effet montré trop de lacunes pour bousculer une arrière-garde qui venait d’encaisser cinq buts trois jours plus tôt face à l’Ukraine (5-3).Le sélectionneur avait certes dû bricoler dans l’urgence une animation avec le trio Florian Thauvin-Jean-Philippe Mateta-Christopher Nkunku, avec Michael Olise en position de meneur de jeu. Mais on attendait tout de même autre chose de cet attelage inédit. Heureusement pour le patron des vice-champions du monde, Nkunku puis Mateta ont évité à l’équipe de France une défaite qui aurait fait tâche.- Thauvin très décevant -C’est d’abord Nkunku qui a égalisé par une action personnelle en débordant côté gauche avant de tromper le gardien islandais Elias Olafsson d’une frappe croisée dans le petit filet (63e), inscrivant son 2e but en 16 sélections. Mateta est ensuite parvenu à doubler la mise, à la réception d’un centre de Maghnes Akliouche (68e), entré en jeu juste avant (64e). Un dénouement heureux pour l’attaquant de Crystal Palace, appelé à 28 ans pour la première fois en bleu et qui fêtait sa première titularisation en équipe de France. Jusqu’à son but, le finaliste des JO de Paris-2024 sous les ordres de Thierry Henry a  vécu un calvaire, trop tendre dans ses remises et introuvable sur les centres, manquant même une énorme occasion juste avant la pause (45e+2) après plusieurs autres ratés (13e, 20e).  A sa décharge, Mateta a été peu aidé par les joueurs positionnés sur les côtés, surtout Thauvin. De retour en bleu à l’occasion de ce rassemblement pour la première fois depuis 2019, le champion du monde 2018 n’a ainsi jamais débordé, ne parvenant pas à éliminer son adversaire direct, et ses centres n’ont quasiment pas trouvé preneurs.Seule action à mettre à son actif, un retourné acrobatique après la pause, lui qui avait inscrit le troisième but français vendredi contre l’Azerbaïdjan (3-0) d’un ciseau spectaculaire (58e).   On espérait également plus de Michael Olise, devenu depuis une saison le dépositaire du jeu français. Placé à son poste de prédilection, derrière les attaquants, il a eu une influence assez limitée. Vivement novembre donc pour Deschamps, qui espère que le retour progressif de ses tauliers ranimera une attaque guère flamboyante sans ses leaders.

Wall Street stocks bounce after Trump-fueled slide

Wall Street stocks rebounded Monday from steep pre-weekend falls as US President Donald Trump softened his posture on China following earlier threats of large tariffs.European stock markets made modest gains while Asia’s leading stock markets began the week in the red as they caught up with Wall Street’s sharp losses Friday. Gold reached a fresh record high thanks to its status as a safe haven investment.”Things have calmed down almost as dramatically as the flare up on Friday when Donald Trump threatened 100 percent tariffs on China,” said City Index and FOREX.com analyst Fawad Razaqzada.Trump, who on Friday announced “massive” tariffs due to Chinese curbs on rare earths exports, backed off that stance, saying in a Sunday social media post “it will all be fine,” and adding that the United States wants to “help” China.Major Wall Street indices that fell hard on Friday recovered a large chunk of their losses after Trump’s weekend pivot.”Trump came back and made it very clear that everything is going to be fine with China,” said Adam Sarhan of 50 Park Investments. “This looks like a relief rally.”The tech-rich Nasdaq led major US indices with a 2.2 percent gain, while the Dow piled on around 630 points to finish up 1.4 percent.”To be blunt, this is just such nonsense — the heaving to and fro on social media posts — but it is what it is, and the stock market seems to be fine playing the part of the puppet,” said Briefing.com analyst Patrick O’Hare.”Friday’s price action exposed how vulnerable market pricing is to developments that threaten the rose-colored outlook embedded in premium valuations,” he added.Chip giant Broadcom was a standout on Monday, soaring almost 10 percent after announcing a partnership with ChatGPT maker OpenAI that would provide 10 gigawatts in computing power, the firms said.In the past few weeks, under the leadership of CEO Sam Altman, OpenAI has signed deals involving huge investments in data centers and AI chips with US companies Nvidia, AMD, and Oracle, as well as with South Korea’s Samsung and SK Hynix.Earnings season gets underway in earnest this week, with reports from JPMorgan Chase, Goldman Sachs and other financial heavyweights on Tuesday.The IMF and World Bank’s semi-annual gathering of finance ministers and central bank governors also began in Washington on Monday.- Key figures at around 2010 GMT -New York – Dow: UP 1.3 percent at 46,067.58 (close)New York – S&P 500: UP 1.5 percent at 6,654.72 (close)New York – Nasdaq Composite: UP 2.0 percent at 22,694.61 (close)London – FTSE 100: UP 0.2 percent at 9,442.87 (close)Paris – CAC 40: UP 0.2 percent at 7,934.26 (close)Frankfurt – DAX: UP 0.6 percent at 24,387.93 (close)Hong Kong – Hang Seng Index: DOWN 1.5 percent at 25,889.48 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.2 percent at 3,889.50 (close)Tokyo – Nikkei 225: Closed for a holidayEuro/dollar: DOWN at $1.1568 from $1.1619 on FridayPound/dollar: DOWN at $1.3332 from $1.3360Dollar/yen: UP at 152.31 yen from 151.59 yenEuro/pound: DOWN at 86.77 pence from 86.98 penceBrent North Sea Crude: UP 0.9 percent at $63.32 per barrelWest Texas Intermediate: UP 1.0 percent at $59.49 per barrelburs-jmb/ksb