South Africa says wants equal treatment, after US G20 exclusionThu, 04 Dec 2025 15:51:07 GMT

South Africa responded Thursday to a US bar on its participation in G20 events under Washington’s presidency by saying it was a fully-fledged member of the forum and expected to be treated equally.The United States took over this month the presidency of the group of leading economies after largely boycotting South Africa’s tenure, including the …

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Trump despair drives folk icon Joan Baez back to the studio

Legendary American folk singer Joan Baez has told AFP that the return of Donald Trump to the White House has pushed her to go back to the studio where she has just recorded a protest song.The 1960s icon, a famed anti-war and social justice campaigner, will appear on a duet with American folk singer Jesse Welles, performing his anti-Trump track “No Kings”.”I love singing with younger people, and that song is perfect for my voice. It was just a treat,” the 85-year-old told AFP in Paris, adding that it would be released in the next 10 days.”It’s fresh, and he’s 33 and he’s writing this stuff, and I haven’t heard anything like that,” Baez added of Arkansas-born Welles, whom she has performed with several times.”What’s needed is an anthem, something that everybody can sing. They don’t have to worry about all the verses. Just sing the ‘No Kings, no Kings, no Kings’ part,” the pacifist campaigner added.Baez’s last recording was “Whistle Down the Wind”, released in 2018.As well as writing about Trump and billionaire paedophile Jeffrey Epstein, Welles’s other recent release is “Join Ice”, which mocks the beefed-up department of Immigration and Customs Enforcement.The shaggy-haired singer-songwriter, known for his witty lyrics and nasal voice, invites immediate comparisons with Baez’s ex, Bob Dylan.”There isn’t any comparison so I wouldn’t pretend there was, but similarities? For sure,” said Baez.”But I’m happy to keep Dylan on the pedestal where he belongs.”- ‘Huge thing’ – The Baez-Dylan love story was back in the spotlight in last year’s well-received Dylan biopic “A Complete Unknown”, starring Timothee Chalamet.Baez was broadly happy with her portrayal by actress Monica Barbaro, with the Oscar-nominated actress consulting her several times during her research. “The film was a huge thing,” Baez explained, saying she was recognised on the street much more now. “There was a huge spike and it’s still going on.”Two of the world’s biggest female artists — Lana Del Rey and Taylor Swift — have also helped introduce Baez to new, younger audiences.Swift brought Baez on stage during a 2015 stop in California, while Lana Del Ray has sung with her and went on to write a 2021 song about their night-out together, “Dance Till We Die.”Baez praised “very sweet” Swift who she says “gives her money away all the time”. She said she was initially sceptical about playing with Del Rey because her teenage fans would be too young to know Baez in her pomp, when she shared stages with Martin Luther King or led anti-Vietnam war protests.”She said ‘Well, they should know you’. I loved her for that,” Baez explained. “Of the young women songwriters, she’s my preference to listen to.”- ‘Honest legacy’ – When not worrying about American democracy, indulging her passion for painting or tending to her chickens at her south California home, Baez’s focus in recent years has been releasing more autobiographical material.She opened up her personal video archives for the 2023 documentary “Joan Baez: I Am a Noise”, revealing her struggles with depression, substance abuse, and her belief she had suffered child abuse from her physicist father.After writing two sets of memoirs, her latest contribution is a book of poems, collected from scraps of paper, notebooks and old computers, all composed over decades.Some of them were written during her time struggling with dissociative identity disorder, a condition that sees sufferers assume multiple personalities.”I can write poetry now, but there was something special about the way it was written from inner voices here and they can’t come back,” she said. Although she suffers from nightmares and sometimes struggles to keep the “darkness and gloom” out, she says her last decade has been her happiest.”Isn’t that nuts?” she laughed. “For whatever reason, I’m just giving up a lot of shit. At 85, who cares? She did her last tour in 2019 and no longer plays guitar.”I really want to leave an honest legacy, whether it’s the poems, the music, the documentary. I’m going to close it out in an honest way,” she said.

Lecornu fait monter la pression avant un vote décisif sur le budget de la Sécu

Sébastien Lecornu a fait monter la pression sur les députés jeudi avant un vote décisif sur le budget de la Sécu, dont l’absence pourrait creuser selon lui le déficit, mais en refusant toujours de réactiver le 49.3. Juste avant qu’il ne prenne la parole dans l’hémicycle, son entourage a publié un courrier daté de mardi au directeur de la Sécurité sociale, dans lequel le Premier ministre demande “de manière urgente” de lui présenter les “conséquences” d’une absence ou d’un retard de budget de la Sécu, notamment en matière de remboursements.Sa réponse, faisant état d’un “risque très élevé sur le financement du système de protection sociale”, a été transmise jeudi aux députés.Peu après la reprise des débats à 15H00, Sébastien Lecornu a martelé que la France ne pouvait se priver d’un budget de la Sécu, qui conduirait à “29 ou 30 milliards” d’euros de déficit l’an prochain.Pressé par plusieurs ténors de son camp, chez Horizons, Les Républicains ou par le président LR du Sénat Gérard Larcher, d’activer l’article 49.3 de la Constitution pour faciliter l’adoption de ce texte, il l’a de nouveau exclu.Il avait abandonné cet outil constitutionnel, qui permet l’adoption d’un texte sans vote, dans un geste en direction des socialistes qui le réclamaient. “Vous avez critiqué le 49.3 pendant des années et, au moment où nous le laissons tomber, vous continuez de critiquer. Vous ne souhaitez être responsables de rien”, a lancé M. Lecornu, en invitant les députés à “engager (leur) propre responsabilité” pour la Sécurité sociale.- Menace -Le scrutin sur l’ensemble du projet de loi n’est prévu que le 9 décembre. Mais un rejet de son volet “recettes” prévu ce jeudi ou vendredi pourrait emporter tout le texte, sur fond de divergences dans le camp gouvernemental. Ce qui compliquerait grandement l’adoption du budget de la Sécu au Parlement avant le 31 décembre.Signe qu’on approche de l’heure de vérité, le Premier ministre consacre sa journée aux débats parlementaires, reportant ses rendez-vous prévus.Le texte est réécrit par les députés depuis mardi dans l’hémicycle en nouvelle lecture, après que le Sénat a supprimé plusieurs concessions du gouvernement et de ses troupes au PS, dont l’emblématique suspension de la réforme des retraites ou une hausse de la CSG sur le capital pour générer des recettes.Le prix à payer pour espérer une adoption du budget de la Sécu, avec des voix venues de la gauche. Mais ces concessions échaudent le groupe Horizons et Les Républicains, qui envisagent à ce stade de se partager entre abstention et vote contre.En l’état, “on ne peut pas voter pour”, a asséné Édouard Philippe, quand Laurent Wauquiez, patron des députés LR, refuse de voter un budget qui prévoirait des hausses d’impôts.De quoi faire peser une sérieuse menace sur l’adoption du texte. Car même avec des votes “pour” du PS et des abstentions écologistes – deux conditions loin d’être acquises -, l’absence de soutien des deux groupes à la droite du camp gouvernemental pourrait concourir au rejet du texte.- “Clarifications” -Notamment si LFI, le RN –qui prévoit de voter contre selon son porte-parole Laurent Jacobelli–, et une partie de la gauche hors-PS votent contre, comme en première lecture. LR et Horizons “ont tout fait péter”, pointe un cadre PS, critiquant le manque d’unité du camp gouvernemental.La présidente de l’Assemblée Yaël Braun-Pivet s’est dite sur TF1 “confiante” dans un “compromis global” tandis que le chef de Renaissance Gabriel Attal appelait sur RTL Édouard Philippe à “accepter des concessions”.Dans le détail du texte, concernant la CSG sur le capital, M. Lecornu a évoqué une mesure de “rendement” budgétaire qui peut aider à ce que le déficit tourne autour des “20 milliards” et a appelé à ce qu’elle ne “soit pas instrumentalisée à des fins politiques”.La mesure “est déjà bien calibrée”, estime toutefois Boris Vallaud, patron des députés socialistes, alors que le vote sur cette mesure peut être décisif pour tout le projet de loi.De l’autre côté de l’hémicycle, le groupe RN a exigé mercredi son retrait parmi d’autres mesures clivantes comme le gel des pensions de retraite et prestations sociales.Sébastien Lecornu a promis jeudi en séance des “clarifications” sur le gel des pensions de retraite et le doublement des franchises médicales.Pendant ce temps, le Sénat a adopté la partie dédiée aux recettes du projet de budget de l’Etat pour 2026, après l’avoir largement remaniée par rapport à la copie initiale du gouvernement, supprimant notamment plusieurs milliards d’euros de hausses de prélèvements.

Lecornu fait monter la pression avant un vote décisif sur le budget de la Sécu

Sébastien Lecornu a fait monter la pression sur les députés jeudi avant un vote décisif sur le budget de la Sécu, dont l’absence pourrait creuser selon lui le déficit, mais en refusant toujours de réactiver le 49.3. Juste avant qu’il ne prenne la parole dans l’hémicycle, son entourage a publié un courrier daté de mardi au directeur de la Sécurité sociale, dans lequel le Premier ministre demande “de manière urgente” de lui présenter les “conséquences” d’une absence ou d’un retard de budget de la Sécu, notamment en matière de remboursements.Sa réponse, faisant état d’un “risque très élevé sur le financement du système de protection sociale”, a été transmise jeudi aux députés.Peu après la reprise des débats à 15H00, Sébastien Lecornu a martelé que la France ne pouvait se priver d’un budget de la Sécu, qui conduirait à “29 ou 30 milliards” d’euros de déficit l’an prochain.Pressé par plusieurs ténors de son camp, chez Horizons, Les Républicains ou par le président LR du Sénat Gérard Larcher, d’activer l’article 49.3 de la Constitution pour faciliter l’adoption de ce texte, il l’a de nouveau exclu.Il avait abandonné cet outil constitutionnel, qui permet l’adoption d’un texte sans vote, dans un geste en direction des socialistes qui le réclamaient. “Vous avez critiqué le 49.3 pendant des années et, au moment où nous le laissons tomber, vous continuez de critiquer. Vous ne souhaitez être responsables de rien”, a lancé M. Lecornu, en invitant les députés à “engager (leur) propre responsabilité” pour la Sécurité sociale.- Menace -Le scrutin sur l’ensemble du projet de loi n’est prévu que le 9 décembre. Mais un rejet de son volet “recettes” prévu ce jeudi ou vendredi pourrait emporter tout le texte, sur fond de divergences dans le camp gouvernemental. Ce qui compliquerait grandement l’adoption du budget de la Sécu au Parlement avant le 31 décembre.Signe qu’on approche de l’heure de vérité, le Premier ministre consacre sa journée aux débats parlementaires, reportant ses rendez-vous prévus.Le texte est réécrit par les députés depuis mardi dans l’hémicycle en nouvelle lecture, après que le Sénat a supprimé plusieurs concessions du gouvernement et de ses troupes au PS, dont l’emblématique suspension de la réforme des retraites ou une hausse de la CSG sur le capital pour générer des recettes.Le prix à payer pour espérer une adoption du budget de la Sécu, avec des voix venues de la gauche. Mais ces concessions échaudent le groupe Horizons et Les Républicains, qui envisagent à ce stade de se partager entre abstention et vote contre.En l’état, “on ne peut pas voter pour”, a asséné Édouard Philippe, quand Laurent Wauquiez, patron des députés LR, refuse de voter un budget qui prévoirait des hausses d’impôts.De quoi faire peser une sérieuse menace sur l’adoption du texte. Car même avec des votes “pour” du PS et des abstentions écologistes – deux conditions loin d’être acquises -, l’absence de soutien des deux groupes à la droite du camp gouvernemental pourrait concourir au rejet du texte.- “Clarifications” -Notamment si LFI, le RN –qui prévoit de voter contre selon son porte-parole Laurent Jacobelli–, et une partie de la gauche hors-PS votent contre, comme en première lecture. LR et Horizons “ont tout fait péter”, pointe un cadre PS, critiquant le manque d’unité du camp gouvernemental.La présidente de l’Assemblée Yaël Braun-Pivet s’est dite sur TF1 “confiante” dans un “compromis global” tandis que le chef de Renaissance Gabriel Attal appelait sur RTL Édouard Philippe à “accepter des concessions”.Dans le détail du texte, concernant la CSG sur le capital, M. Lecornu a évoqué une mesure de “rendement” budgétaire qui peut aider à ce que le déficit tourne autour des “20 milliards” et a appelé à ce qu’elle ne “soit pas instrumentalisée à des fins politiques”.La mesure “est déjà bien calibrée”, estime toutefois Boris Vallaud, patron des députés socialistes, alors que le vote sur cette mesure peut être décisif pour tout le projet de loi.De l’autre côté de l’hémicycle, le groupe RN a exigé mercredi son retrait parmi d’autres mesures clivantes comme le gel des pensions de retraite et prestations sociales.Sébastien Lecornu a promis jeudi en séance des “clarifications” sur le gel des pensions de retraite et le doublement des franchises médicales.Pendant ce temps, le Sénat a adopté la partie dédiée aux recettes du projet de budget de l’Etat pour 2026, après l’avoir largement remaniée par rapport à la copie initiale du gouvernement, supprimant notamment plusieurs milliards d’euros de hausses de prélèvements.

Trump favorite reclaims narrow lead in Honduras presidential vote

A right-wing Honduran presidential candidate backed by Donald Trump reclaimed a narrow lead over his rival Thursday on the fourth day of a plodding vote count.With 84.52 percent of the vote count complete, businessman Nasry Asfura led with 40.05 percent to 39.74 percent for fellow right-winger and TV personality Salvador Nasralla, the CNE electoral council said.The result was still too early to call.The CNE has come under fire from the US president after announcing Monday that a partial count showed the two men locked in a “technical tie.”Trump, who routinely casts doubt on the integrity of elections whose results he disapproves of, accused Honduran authorities of “trying to change” the results, and threatened there would be “hell to pay” if they did. Honduras is one of Latin America’s most impoverished and violent countries, and many citizens have fled north to the United States to escape those hardships, including minors fearing forced recruitment by gangs.The CNE called for “patience” as it finishes the count delayed by technical difficulties, and has vowed the end result will “scrupulously respect the popular will.”It said Tuesday that ballots were still coming in from remote areas — some only accessible by donkey or boat — and the declaration of a winner may still be days away.The CNE, which has frequently been accused by parties of political favoritism, legally has one month to announce a winner.Honduran presidential elections are determined in one round, with a simple majority needed to win.- ‘Friend of freedom’ -Trump supports 67-year-old businessman Asfura, whom he has called a “friend of freedom,” while accusing 72-year-old Nasralla of merely “pretending to be an anti-communist.”Trump has become increasingly vocal in his support for allies in the region, having threatened to cut aid to Argentina and Honduras if his picks did not win.Argentina’s President Javier Milei, a close Trump ally, was victorious in his country’s midterm elections.Whatever the outcome in Honduras, Sunday’s election was a clear defeat for ruling leftists. Honduras’s swing to the right will likely boost US influence in a country that under the last government had increasingly looked to China.Trump has also granted a pardon to Juan Orlando Hernandez, a former president from Asfura’s National Party who had been serving a 45-year sentence in the United States for drug trafficking.The 57-year-old lawyer was released Monday in what was widely perceived as more interference.

UN Security Council says ready to support Syria on first-ever visit

A United Nations Security Council delegation made its first-ever visit to Syria on Thursday, pledging the international community’s support for the country days before the anniversary of Bashar al-Assad’s ousting.”We reiterated our clear support for sovereignty, unity, independence and territorial integrity of Syria,” Slovenian UN ambassador Samuel Zbogar told a press conference in Damascus.”Our united message was simple and clear: We recognise your country’s aspirations and challenges, and the path to a better future of new Syria will be Syria-led and Syria owned,” said the diplomat, whose country holds the rotating presidency of the UN body.”The international community stands ready to support you whatever you believe that we can be helpful,” he said, adding: “We want to help build a bridge to this better future for all Syrians.”The delegation met with Syria’s interim President Ahmed al-Sharaa, a presidency statement said, publishing images of the meeting.While the UN works to reestablish itself in Syria, the Security Council recently lifted sanctions on Sharaa, a former jihadist whose forces led the offensive that ousted Assad on December 8 last year.The UN has urged an inclusive transition in the multi-ethnic and multi-confessional country after nearly 14 years of civil war.Zbogar said the delegation also met communities from the Syrian coast and southern Sweida province, where sectarian violence this year killed saw hundreds killed from the country’s Alawite and Druze minority communities respectively.He said they also met with Syrian committees investigating those events, as well as the country’s commission for missing persons, religious leaders and other figures.- ‘Historic moment’ -The day’s discussions included issues from justice and reconciliation to political inclusivity, reconstruction, economic development and counterterrorism, “as well as the need for Syria not to be the source of threat to the security of other countries”, Zbogar said.Syrian Foreign Minister Asaad al-Shaibani said the visit represented “a historic moment for rebuilding trust, with the support of the international community for the Syrian people”.State news agency SANA said the delegation also visited Damascus’s historic Old City and the heavily damaged suburb of Jobar.The diplomats are to visit neighbouring Lebanon on Friday and Saturday.Zbogar had said Monday that “the visit to Syria and Lebanon is the first official visit of the Security Council to the Middle East in six years, the first visit to Syria ever”.The trip comes “at a crucial time for the region” and for both countries, Zbogar had said, noting the new authorities’ efforts towards Syria’s transition as well as a year-old ceasefire in Lebanon between Israel and militant group Hezbollah “which we see daily that is being challenged”.He noted that “there’s still a bit of lack of trust in the UN-Syria relationship, which we try to breach with this visit”.UN Secretary-General Antonio Guterres’s spokesman Stephane Dujarric said on Tuesday that “we very much hope that the visit will increase the dialogue between the United Nations and Syria.”

Assumed likelihood of US rate cuts lifts global markets

World stock markets mostly rose Thursday after the latest batch of US data reinforced expectations that the Federal Reserve will cut US interest rates next week and in 2026.Eying a third straight session in the green, Wall Street was barely up minutes after the opening bell as the Dow added 0.1 percent but the tech-heavy Nasdaq slipped back almost 0.2 percent amid lingering concerns over high tech valuations. The wider S&P was little changed, and the major European markets were higher.Bets on a December reduction for US interest rates have surged after several Fed officials said supporting jobs was more important than keeping a lid on elevated inflation.The need for more action was further stoked by Wednesday’s data from payrolls firm ADP showing 32,000 posts were lost in November, compared with an expected rise of 10,000.The drop was the most since early 2023 and is the latest example of a stuttering American labour market.”Right now, the data argues for additional Fed funds rate cuts,” noted Elias Haddad, markets analyst at Brown Brothers Harriman & Co.”US labor demand is weak, consumer spending is showing early signs of cracking, and upside risks to inflation are fading.”Kathleen Brooks, research director at XTB noted that “there seems to be one main driver for stocks this year: an increase in expectations of a Fed rate cut next week. The Fed Fund Futures market is now pricing in a 98 percent chance of a cut next week.”London, Paris and Frankfurt were all ahead around half of one percent some two hours out from the close while Tokyo earlier rallied more than two percent in a positive Asian session which also saw Hong Kong, Sydney, Taipei and Bangkok finish higher.A healthy 30-year Japanese government bond sale provided some support for Tokyo’s market, as it eased tensions about a possible rate hike from the Bank of Japan this month. The news compounded a strong response to a 10-year auction earlier in the week that settled some nerves.While market players remain confident that the Fed will continue to cut interest rates into the new year, economists at Bank of America still had a note of caution.”The most immediate source of volatility remains the US Federal Reserve,” they wrote.”While inflation has moderated and the trajectory of policy easing is intact, uncertainty around timing persists. Any delay in rate cuts could remain a source of volatility.”On currency markets, the dollar traded mixed and the Indian rupee wallowed at record lows of more than 90 against the greenback as investors grow increasingly worried about a lack of progress in India-US trade talks.- Key figures at around 1500 GMT -New York – Dow: UP 0.1 percent at 47,939.73 pointsNew York – S&P 500: FLAT at 6,851.81New York – Nasdaq Composite: DOWN 0.2 percent at 23,414.84London – FTSE 100: UP 0.1 percent at 9,711.52Paris – CAC 40: UP 0.5 percent at 8,129.97Frankfurt – DAX: UP 0.9 percent at 23,913.03Tokyo – Nikkei 225: UP 2.3 percent at 51,028.42 (close) Hong Kong – Hang Seng Index: UP 0.7 percent at 25,935.90 (close)Shanghai – Composite: DOWN 0.1 percent at 3,875.79 (close)Euro/dollar: UP at $1.1672 from $1.1667 on WednesdayPound/dollar: DOWN at $1.3362 from $1.3352Dollar/yen: DOWN at 154.64 yen from 155.23 yenEuro/pound: DOWN at 87.35 pence from 87.39 penceBrent North Sea Crude: UP 0.3 percent at $62.88 per barrelWest Texas Intermediate: UP 0.4 percent at $59.17 per barrel

Suspect arrested in US capital pipe bomb case: media

A man was arrested on Thursday for allegedly planting pipe bombs near the Democratic and Republican party headquarters on the eve of the January 6, 2021 US Capitol riot, US media reported.CNN, citing law enforcement sources, said the man was taken into custody by the FBI, which had offered a $500,000 reward for information leading to an arrest in the case.ABC News said he was arrested in Virginia. His identity was not immediately available.The pipe bombs placed outside the Democratic National Committee (DNC) and Republican National Committee (RNC) offices in Washington in the evening of January 5 failed to detonate.The devices were discovered by the authorities the next day as supporters of President Donald Trump stormed the US Capitol in a bid to prevent the congressional certification of Democrat Joe Biden’s election victory.The FBI released numerous photos and video clips of a masked and hooded suspect over the years and eventually increased the reward money to half a million dollars.But Thursday’s arrest is the first breakthrough in the case, which spawned numerous conspiracy theories among the far right.

Les principales mesures du budget de l’Etat, examiné au Sénat

Impôt sur le revenu, taxation mesurée sur les entreprises et les ménages les plus riches, baisses des dépenses… Voici les principales mesures du projet de budget de l’Etat pour 2026, examiné jusqu’au 15 décembre au Sénat.Après le rejet très large de ce projet de loi de finances (PLF) par l’Assemblée nationale en première lecture, les sénateurs ont remodelé la partie dédiée aux recettes, adoptée jeudi. Ils s’apprêtent à entamer le volet lié aux dépenses.- DéficitLa copie initiale vise un déficit ramené à 4,7% du PIB en 2026 contre 5,4% en 2025, avec une trentaine de milliards d’euros d'”économies”, entre nouveaux prélèvements (14 milliards) et économies de dépenses (17 milliards). Les sénateurs ont largement réduit les nouveaux prélèvements, à hauteur de 7,7 milliards d’euros selon le chiffrage provisoire du gouvernement. Mais ils entendent compenser ces baisses de recettes par des baisses de dépenses.Le Premier ministre Sébastien Lecornu a fixé comme “priorité absolue” de “garder une cible de déficit à moins de 5% du PIB” à l’issue des débats.- Contribution des hauts revenusInstaurée en 2025, la contribution différentielle sur les hauts revenus (CDHR) est prolongée d’un an. Approuvée au Sénat, elle fixe un taux minimal d’imposition de 20% pour les ménages dont les revenus dépassent 250.000 euros par an pour un célibataire, et 500.000 euros pour un couple. Le gain espéré est de 1,5 milliard d’euros. – Taxation des holdingsLe projet de budget entend instaurer une taxe visant le patrimoine financier des holdings patrimoniales, parfois utilisées pour contourner l’impôt. Mais le rendement de cette taxe a été nettement réduit par les sénateurs, le faisant passer à environ 100 millions d’euros, selon le gouvernement, contre un milliard dans la version initiale.- Gel du barème de l’impôt sur le revenuLes tranches du barème de l’impôt sur le revenu ne seront pas revalorisées en fonction de l’inflation, ce qui se traduira par 200.000 “nouveaux entrants” dans cet impôt, selon Bercy. D’autres ménages paieraient davantage d’impôt sur le revenu. La mesure rapporterait 2 milliards d’euros. Le Sénat propose de revaloriser seulement la tranche la plus basse du barème. Les députés avaient, eux, rejeté l’ensemble du dispositif.- Abattement forfaitaire pour les retraitésL’abattement de 10% dont bénéficient les retraités sur leur pension est remplacé par un abattement forfaitaire de 2.000 euros, selon la proposition gouvernementale. Le Sénat a adopté un autre dispositif, préférant abaisser le plafond de cet abattement de 4.399 euros à 3.000 euros.- Surtaxe pour les grandes entreprisesInstaurée en 2025, la surtaxe sur les bénéfices des grandes entreprises est reconduite pour un an, mais avec un rendement réduit de moitié, à 4 milliards d’euros, selon le projet de loi de finances initial. A l’Assemblée, le ministre de l’Economie Roland Lescure a présenté un amendement, adopté, portant le rendement à 6 milliards. Mais le dispositif est très mal embarqué car le Sénat a rejeté la reconduction de la surtaxe, tandis que l’Assemblée a rejeté l’ensemble des recettes du budget. – Suppression de 23 niches fiscalesLe projet de budget prévoit de supprimer 23 niches fiscales jugées “obsolètes ou inefficaces” parmi les 474 existantes, pour un gain d’environ 5 milliards d’euros. Parmi elles, la suppression d’un avantage fiscal accordé à deux biocarburants (B100 et E85), est décriée à la fois par l’Assemblée et par le Sénat.- Taxe sur les petits colisUne taxe de 2 euros ciblerait les petits colis d’une valeur inférieure à 150 euros livrés par des entreprises établies hors de l’UE. La mesure pourrait rapporter 5 à 600 millions d’euros. Le Sénat l’a faite passer à 5 euros par article.- Accélération de la suppression de la CVAELe projet de budget prévoit de baisser la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE), un impôt de production, et de la supprimer définitivement en 2028, deux ans avant l’échéance précédemment prévue. Le coût est de 1,3 milliard.- Maîtrise des dépensesLe projet de budget prévoit de baisser légèrement “en valeur” les crédits des ministères, à l’exception de celui des Armées qui bénéficie d’une augmentation de 6,7 milliards d’euros, de l’Intérieur (600 millions) et de la Justice (200 millions). Les sénateurs seront les seuls à pouvoir examiner ce volet “dépenses”, à partir de jeudi. Les députés n’ont pas pu s’y pencher à cause du rejet de la partie dédiée aux recettes.

A Westminster, le président allemand cite le groupe Oasis pour parler des relations post-Brexit

“Don’t look back in anger” (“Ne regarde pas en arrière avec colère”) : le président allemand Frank-Walter Steinmeier a cité jeudi devant le Parlement de Westminster à Londres cette chanson du groupe Oasis pour affirmer que les rancunes nées du Brexit appartiennent au passé.M. Steinmeier est arrivé mercredi au Royaume-Uni pour une visite d’Etat de …

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